Pente : 1-c - Jean-Pierre Laffargue`s home page

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1. L’approche keynésienne
1.1. Hypothèses
C  C  cY
Z  Z (E, Y )
X  X ( E , Y *)
 hypothèse keynésienn e de petit pays  Y *  Y *
 taux de change supposé fixé  E  E
Z  Z  zY
XX
BC  X  Z  zY
1.2. L’équilibre
A l' équilibre keynésien :
Y C  I G  X Z
Y  C  cY  I  G  X  Z  zY
A X Z
dY
1
1
Y 
et


1 c  z
dA s  z s
Multiplica teur plus faible en économie
ouverte qu' en économie fermée : les
importatio ns, comme l' épargne constituen t
une fuite hors du circuit des dépenses.
L' équilibre keynésien s' écrit :
Y C  I G X Z
ou :
( S  I )  (T  G )  X  Z
ou encore : SN  I  X  Z
avec
SN  S  (T  G ) l' épargne nationale.
1.3. Les multiplicateurs
BC
a. Relance budgétaire
SN-I
X Z
(Pente : 1-c)
E
SN’-I
EF
0
Y
Déficit commercial
E’
dG>0
T G  I
dY
X-Z
(Pente : - z)
b. Effet d’une hausse des exportations
BC
SN-I
Pente : 1-c
E’
dX>0
excédent commercial
0
E
dY
Y
X’-Z
X-Z
Pente : -z
1.4. La transmission des chocs
• En changes fixes :
dY
1
Choc interne :

dI 1  c  z
dY
1
Choc externe :

dX 1  c  z
Une partie de la variation de la demande agrégée
étrangère est transmise à l’économie via la balance
commerciale.
• En changes flottants :
Les variations du taux de change assurent
l’équilibre de la balance des paiements qui se
résume ici à la balance commerciale, donc :
X-Z=S-I=0
• Choc interne :
dY
1

dI 1  c
→ L’effet du choc interne est plus fort par rapport
aux changes fixes
• Choc interne
• Choc externe
BC
BC
SN-I’
dX<0
SN-I
0
dE>0
Y
E’
SN-I
dI<0
dE<0
E
X-M
Y
X-M
X’-M
X’-M
Les changes flottants isolent des chocs externes
et renforcent l’effet des chocs internes.
1.5. Substitution et réduction de dépenses
BC
BC
SN-I
SN-I
SN’-I
X
0
Y
B
Y
Y
Y
X
N
N
X-M
1. Politique budgétaire
X’-M
X-M
2. Politique de change
BC
BC
S-I
S-I
S’-I
0
Y
Y
Y
Y
A
B
A
F
S’-I
F
X-M
X’-M
X-M
C
X’-M
E
E
BB
B
A
dE>0
A dG>0 F
0
Déficit
dG>0 F Excès de demande
dE<0
C
G
YY
G
E
BB
IV
Inflation
C1
B1
III
Excédent commercial
I
B2
C2
Chômage
II
P2
0
Déficit commercial
P1
YY
G
1.6. Facteurs monétaires
BC
S-I
BC=0
S-I’
0
Y
M
E
X-M
LM
LM’
i
a. Relance monétaire
dM>0
E
Déficit commercial
M
0
IS
Y
b. Relance budgétaire et éviction
BC
S-I
BC=0
E
0
Y
F
X-M
i
LM
F
E
dG>0
IS’
IS
0
Y
c. Dévaluation et éviction
BC
D
L
E
0
Y
X’-M
BC=0
i
LM
X-M
D
L
E
dX>0
0
IS
IS’
Y
2. L’approche monétaire
2.1. L’hypothèse de non-stérilisation
ΔM=ΔR=BP
2.2. L’hypothèse de PPA
P=EP*
2.3. Le modèle monétariste de la BP (le
modèle de Polak, 1957)
2.5. Le modèle monétaire avec biens non
échangeables
2. 3. Le modèle monétariste
P  EP *
M
D
 kPY
H   ( M  M )   (kPY  M )
Sous l' hypothèse de non stérilisation :
D
BP  H   (kPY  M )
a. Relance monétaire dans le modèle
monétariste de petit pays
BP
H   (kYP  M )
+
P  EP *
H   (kY P  M ' )
0
-
P
b. Dévaluation dans le modèle monétariste
de petit pays
BP
P  EP * P  E ' P *
H   (kYP  M )
+
D
0
-
B
C
P
YN
L’équilibre du modèle monétaire
avec biens non échangeables
Frontière des possibilités de
production
S
YN1
Courbe d’indifférence
Droite de revenu
Droite budgétaire
PT/PN
YT
YT1
Y=A
Accroissement des
dépenses et baisse du
prix relatif des BNE
YN
B
F
CN
YN
S
X
YT
YT
CT
Y
A
Accroissement des
dépenses et hausse du
prix relatif des BNE
YN
F
G
CN
X
YN
S
YT
Y
A
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