Les urgences andrologiques en milieu urbain au Cameroun

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Andrologie (2012) 22:223-226
DOI 10.1007/s12610-012-0190-3
ARTICLE ORIGINAL / ORIGINAL ARTICLE
Les urgences andrologiques en milieu urbain au Cameroun :
aspects cliniques et thérapeutiques
Andrologic emergencies in urban area of Cameroon: clinical and therapeutical features
E.H. Moby Mpah · P.J. Fouda · T. Sala-Beyeme · E.C. Eboumbou Moukoko · A. Njifou Njimah · J.-G. Tsiagadigui ·
H.J.G. Berthe · J. Mekeme Mekeme · F. Angwafo III
Reçu le 30 janvier 2012 ; accepté le 19 juin 2012
© SALF et Springer-Verlag France 2012
Résumé But : Décrire les aspects cliniques et thérapeutiques
des urgences andrologiques reçues en milieu urbain dans un
centre hospitalo-universitaire du Cameroun.
Nous avons réalisé une étude prospective sur une période
de 36 mois, recrutant toutes les urgences andrologiques
reçues à l’hôpital Laquintinie de Douala.
Résultats : Nous avons recensé 291 patients d’âge moyen de
42,50 ans. La majorité des patients (73,53 %) avait un âge
compris entre [0–45] ans. Les affections les plus fréquentes
étaient les traumatismes des organes génitaux externes
(OGE) (51,50 %) et les infections urogénitales (23,71 %).
Le priapisme et la torsion du cordon spermatique (TCS)
ont également été retrouvés. Parmi les urgences reçues,
185 ont nécessité des interventions chirurgicales. L’exploration et la suture des plaies des OGE (38,91 %) et la scrototomie exploratrice (21,62 %) étaient les principaux gestes
effectués.
Conclusion : Les traumatismes des OGE sont la principale
urgence andrologique en milieu urbain au Cameroun. Des
cas d’infections urogénitales, de priapisme et de TCS sont
également rencontrés.
Abstract Goal: Describe clinical and therapeutic aspects of
andrologic emergencies in an urban area, received in a university teaching hospital in Cameroon.
Methodology: We prospectively studied during 36 months
all andrologic emergencies received at Laquintinie Hospital
of Douala.
Results: We had a total of 291 patients. The mean age was
42.50 years. Most of our patients’ age was between 0 and
45 years. The most frequent lesion was genito-urinary
trauma (51.50%) and uro-genital infections (23.71%). Priapism and torsion of the spermatic cord were also frequent.
We carried out 185 emergency surgical interventions. Exploration and suture of wounds of the external genitalia
(38.91%) and the exploratory scrototomy (21.62%) were
the main emergency procedures.
Conclusion: Genito-urinary trauma are the most encountered
andrologic emergencies in an urban area of Cameroon. Priapism and torsion of the spermatic cord were not rare.
Keywords Andrological emergency · Clinic · Management
Mots clés Urgences andrologiques · Clinique · Traitement
Introduction
E.H. Moby Mpah (*) · T. Sala-Beyeme ·
E.C. Eboumbou Moukoko · A. Njifou Njimah · J.-G. Tsiagadigui
Faculté de médecine et des sciences pharmaceutiques de Douala,
Cameroun
e-mail : [email protected]
P.J. Fouda · F. Angwafo
Faculté de médecine et des sciences biomédicales de Yaoundé,
Cameroun
H.J.G. Berthe
Service d’urologie, CHU du Point-G, Bamako, Mali
J. Mekeme Mekeme
Hôpital central de Yaoundé, Cameroun
Les données chiffrées sur les urgences andrologiques sont
très peu disponibles en Afrique. Ces urgences sont probablement sous-évaluées en termes de fréquence et de gravité.
Leur prise en charge, par un personnel non qualifié, constitue
un problème dans un milieu médical dominé par la chirurgie
programmée, le faible nombre de chirurgiens urologues,
l’inadéquation du plateau technique et une mauvaise organisation des structures de santé. Bien que le pronostic vital soit
rarement engagé, ces urgences méritent d’être connues afin
d’être correctement prises en charge.
Notre étude avait pour but de décrire les aspects cliniques
et thérapeutiques des urgences andrologiques prises en charge
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en milieu urbain dans un hôpital hospitalo-universitaire au
sud du Sahara.
Matériel et méthode
Une étude prospective a été conduite pendant 36 mois,
d’avril 2008 à avril 2011, sur tous les cas d’urgences andrologiques au service d’urologie ou au service des urgences de
l’hôpital Laquintinie de Douala (HLD). Seuls les patients
ayant donné leur consentement éclairé (celui du représentant
légal si patient mineur) ont été inclus dans l’étude. L’âge, le
diagnostic, le phénotype clinique, le traitement réalisé en
urgence et la durée d’hospitalisation ont été enregistrés sous
forme ad hoc.
Résultats
Deux cent quatre-vingt-onze patients âgés de 0 et 85 ans ont
été inclus dans cette étude. Leur âge moyen était de 42,50 ans,
et plus de la moitié (61,26 %) avait entre 16 et 45 ans (Fig. 1).
La pathologie andrologique la plus fréquemment retrouvée dans notre série était les traumatismes des organes génitaux externes (OGE), avec 51,50 % des cas (Tableau 1). Les
accidents de la voie publique (39 %), les plaies par armes
blanches ou à feu (27 %) et les accidents ludiques (13 %)
étaient les principales causes de ces traumatismes. Dans
26,80 % des cas, ces traumatismes concernaient uniquement
les bourses et étaient des traumatismes fermés avec hématome isolé du scrotum dans la plupart des cas. Le détail des
lésions retrouvées et leur prise en charge sont résumés au
Tableau 2.
Les lésions traumatiques du testicule ont été décrites chez
27 patients après examen clinique ou après une exploration
scrotale. Nous avons retrouvé huit contusions, cinq hématomes intratesticulaires, cinq plaies de l’albuginée, trois cas
d’écrasement testiculaire. Un cas de section incomplète du
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Tableau 1 Prévalence des pathologies andrologiques reçues
Pathologies (n = 291)
Nombre de cas
%
Traumatismes OGE
Pénis
Scrotum
Testicules
Infections urogénitales basses
Gangrène des OGE
Orchiépidymites aiguës
Torsion du cordon spermatique
Priapisme
Accident de circoncision
147
42
78
27
69
39
30
33
33
9
50,51
14,43
26,80
9,27
23,71
13,40
10,30
11,34
11,34
3,09
ttt : traitement.
Tableau 2 Traumatisme des bourses : rationnel et traitement
Traumatisme
Lésions*
Traitement*
Bourses
(n = 78)
Plaie
du scrotum (20)
Traumatisme
fermé (58)
Exploration-suture (20)
Surveillance/traitement
médical (19)
Scrototomie
exploratrice (33)
Échographie (6)
* Sont indiqués dans les () le nombre de cas de lésions et de
patients ayant reçu un traitement.
cordon spermatique a également été reçu. La description précise des lésions testiculaires et leur traitement n’ont pas été
précisés pour cinq patients. La prise en charge de ces traumatismes testiculaires a consisté en un traitement médical
après suture du scrotum pour tous les cas de contusions et
d’hématomes intratesticulaires, une suture de l’albuginée
avec du fil résorbable 3/0 pour les cas de plaie de l’albuginée. Quatre orchidectomies ont été réalisées pour les cas
d’écrasement testiculaire et de section incomplète du cordon
spermatique.
Concernant les 42 traumatismes de la verge de notre série,
les lésions étaient dans 70 % des cas des plaies de la peau de
la verge ou des dermabrasions. Le traitement de ces lésions a
consisté pour l’essentiel au parage et/ou à la suture des plaies
avec du Vicryl® 2/0.
Les complications sexuelles ou urinaires de ces traumatismes n’ont globalement pas pu être évaluées.
Fig. 1 Répartition des urgences andrologiques reçues, selon les
tranches d’âge
Les infections urogénitales basses (23,71 %) représentaient
la seconde pathologie reçue en termes de fréquence. Le diagnostic de gangrène des OGE a été retenu pour 39 patients.
Cette gangrène était secondaire à un rétrécissement urétral
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pour 24 patients, due à un abcès périanal pour un patient et
sans cause retrouvée pour 14 patients. La prise en charge spécifique de ces patients est décrite au Tableau 3.
Trente patients ont été pris en charge après un diagnostic
clinique d’orchiépididymite aiguë. Pour 22 d’entre eux, il a
été retrouvé une notion de rapports sexuels à risque. Leur
traitement a consisté en une association AINS, antalgiques
et antibiotiques, associé au port d’un suspensoir. Aucun de
ces patients n’a été revu à long terme, pour s’assurer du
devenir du testicule malade.
Des cas de priapisme ont été retrouvés dans 11,34 % des
patients et représentaient 33 cas de toute notre série. Du
point de vue étiologique, la drépanocytose a été retrouvée
dans 19 cas, trois cas étaient révélateurs d’une leucémie
myéloïde chronique, trois cas étaient dus à une cause médicamenteuse. Dans huit cas, la cause n’a pas été retrouvée.
La prise en charge de ces priapismes a consisté en un
traitement médical (étiléfrine injectable et orale, exercice
physique) pour quatre cas, une ponction évacuatrice des
corps caverneux pour 23 cas, une anastomose cavernospongieuse selon Al-Ghorab pour deux cas. Le traitement du
priapisme n’a pas été précisé pour cinq patients.
Sur les 168 patients venus consulter pour grosse bourse
aiguë douloureuse, nous avons diagnostiqué 107 patients
victimes de traumatisme des bourses ou du testicule,
30 patients ayant une orchiépididymite aiguë et 33 patients
victimes de torsion du cordon spermatique (TCS). Une scrototomie exploratrice pour suspicion de TCS a été réalisée
dans 40 cas. L’âge moyen de ces derniers patients était de
19 ans, avec des extrêmes de 3 et 35 ans. Le délai de prise en
Tableau 3 Répartition des gestes effectués en urgence,
en fonction du diagnostic posé
Diagnostic
Gestes (n = 185)
Trauma
Exploration et PEC plaies
des OGE
OGE
Suspicion TCS Scrototomie exploratrice
Gangrène
Débridement
Débridement +
des OGE
cystostomie
Débridement +
cystostomie + colostomie
Priapisme
Ponction corps caverneux
Al-Ghorab
Accident
Reprise circoncision
Hémostase tranche section
circoncision
verge
Nombre %
de cas
72
38,91
40
22
16
21,62
11,89
8,64
1
0,54
23
2
6
3
12,43
1,08
3,24
1,62
OGE = organes génitaux externes ; PEC = prise en charge ;
TCS = torsion du cordon spermatique.
charge n’a pas pu être évalué. Une orchidopexie in dartos a
été réalisée dans huit cas, une fixation du testicule en trois
points de fil non résorbable 3/0 dans six cas et une orchidectomie dans 19 cas.
Neuf cas d’accidents de circoncision ont été retrouvés,
tous les patients étant âgés de 0 à 15 ans. Six patients étaient
venus consulter pour hémorragie persistante, et trois patients
pour amputation totale du gland.
La prise en charge des 291 patients de notre série a nécessité un suivi en ambulatoire (18,24 %) ou une hospitalisation
(81,76 %), dont la durée variait d’un jour à quatre mois. Des
interventions chirurgicales ont été réalisées en urgence sur
63,87 % des patients. L’exploration et la suture des plaies
des OGE (38,91 %) et la scrototomie exploratrice pour
suspicion de TCS (21,62 %) ont été les principaux gestes
réalisés (Tableau 3).
Discussion
Toutes les tranches d’âges sont représentées dans notre
étude, la majorité de nos patients avait entre 16 et 45 ans
(âge moyen : 42,50 ans). Ces chiffres montrent que les
urgences andrologiques touchent surtout les jeunes, contrairement aux urgences urologiques. En effet, des études antérieures menées en Mauritanie [1], en Guinée [2] et au Sénégal [3] ont montré que les urgences urologiques concernent
plus les personnes âgées.
Les traumatismes des OGE représentaient 51,50 % des
cas et occupaient la première place au tableau des urgences
dans notre série. Ces traumatismes occupaient la troisième
place dans la série de Bobo-Diallo et al. (7 %) [2], alors
qu’ils ne représentaient que 3,7 % des cas chez Fall et al.
[3] ainsi que chez Ould-Tfeil et al. [1]. Il est important de
noter que ces séries concernaient les urgences urologiques en
général. Ces traumatismes étaient essentiellement dus aux
accidents de la voie publique (moto-taxis) (42 %). Les rixes
(12 %) et les agressions à main armée (8 %) en sont également les causes. Dans des études antérieures, Paparel et al.
[4] avaient trouvé que les reins (43 %) et les testicules (24 %)
étaient les organes urogénitaux les plus atteints. Dans notre
population, les traumatismes des bourses étaient les urgences
les plus fréquentes (26,80 %).
La pathologie infectieuse (23,71 %) occupait la deuxième
place des urgences andrologiques de notre série. Elle était
fortement dominée par la gangrène des OGE et du périnée
(13,40 %), mais les orchiépididymites aiguës (10,30 %) ne
sont pas rares. Ces chiffres sont comparables à ceux de Fall
et al. [3] qui avaient trouvé que la pathologie infectieuse
constituait la deuxième urgence urologique (16,4 %) à
Dakar. Dans la plupart des études européennes [5–7], les
gangrènes des OGE n’ont pas été rapportées. Cette pathologie semble être l’apanage des pays en développement, où
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la situation sanitaire est encore dominée par les infections
opportunistes, et par une prise en charge tardive et parfois
inadaptée des infections urogénitales.
Concernant les cas de priapisme retrouvés dans notre
série, 57 % étaient d’origine drépanocytaire. Ces chiffres
sont proches de ceux retrouvés au Congo par Bouya et al.
(62,7 %) [8]. Au Sénégal, Kane et al. avaient retrouvé dans
leur étude 43 % de patients drépanocytaires [9]. La forte
prévalence des drépanocytaires dans notre population pourrait s’expliquer par la présence, à l’HLD, d’un centre de
référence pour la prise en charge de la drépanocytose au
Cameroun. Pour le traitement complémentaire du priapisme,
nous n’utilisions pas de l’Androcur®, pour nos patients drépanocytaires, comme le décrivent Roupret et al. [10], du fait
du coût élevé de ce médicament.
L’âge moyen de 19 ans retrouvé dans notre série de
patients victimes de TCS est comparable avec les résultats
de Sarr et al. [11], qui avaient retrouvé un âge moyen de
21 ans à Dakar. De plus, notre résultat est en adéquation avec
Sauvat et al. [12] qui précisent que la TCS présente classiquement deux pics de fréquence : pendant la période néonatale et lors de l’adolescence. Toutefois, il est à noter que ces
torsions peuvent également survenir chez l’adulte jeune. Un
patient de 35 ans dans notre série vient confirmer ce fait
établi de longue date.
Concernant le volet thérapeutique de la TCS, des
33 patients chez qui ce diagnostic a été retenu après scrotomie exploratrice, une orchidectomie a dû être réalisée dans
57,57 % des cas. Ce taux très élevé de castrations pourrait
s’expliquer par le long délai de prise en charge des douleurs
aiguës des bourses dans notre environnement. Ces résultats
sont comparables à ceux de Sarr et al. (52 %) [11], mais
différents de ceux de Zini et al. (15 %) [13] et de Hodonou
et al. (18 %) [14]. Nos résultats confortent le fait qu’il est
impératif de considérer comme urgence chirurgicale toute
douleur aiguë du testicule, surtout chez le jeune garçon. Il
est donc nécessaire de mettre l’accent sur la formation des
médecins généralistes qui devraient être capables de réaliser
une exploration chirurgicale de la bourse au moindre doute
diagnostique.
Les actes en urgence concernant les circoncisions ont été
peu retrouvés (neuf cas), contrairement aux études de Sylla
et al. [15] et Ba et al. [16] qui rapportent respectivement
63 et 20 cas. Il est tout de même important de souligner
que tous les cas vus à l’HLD concernaient des accidents de
circoncision et non des complications de la circoncision,
objet des études des précédents auteurs.
Conclusion
Les traumatismes des OGE constituent l’urgence andrologique la plus fréquente en milieu urbain camerounais. La
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gravité et la fréquence des gangrènes des organes génitaux
sont considérables. Les priapismes et les TCS ne sont pas
rares. Ces données soulignent l’importance des urgences
andrologiques au Cameroun et la nécessité de la mise en
service de structures et de personnels spécifiquement formés
pour leur prise en charge optimale.
Conflit d’intérêt : les auteurs déclarent ne pas avoir de
conflit d’intérêt.
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