dossier Cercles Fictions - premier

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Saison
2010010-2011
Saison
20102010-2011
Cercles/Fictions
Du lundi 3 au 6 janvier 2011
© Elisabeth Carecchio
Au Grand T
Dossier Jeune Public
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Sommaire
Présentation .......................................................................................... 3
Le propos............................................................................................... 4
Les intentions de mise en scène ......................................................... 5
A propos de Cercles/Fictions ............................................................... 6
Joël Pommerat, metteur en scène ....................................................... 8
La scénographie.................................................................................... 9
Cercles/Fictions : Extraits .................................................................. 10
Les échos de la presse ....................................................................... 19
Dossier réalisé à partir de documents divers
dont ceux fournis par la Compagnie Louis Brouillard.
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Cercles/Fictions
Texte et mise en scène
Joël Pommerat
Assistante à la mise en scène
Scénographie et lumières
Réalisation sonore
Recherches musicales et compositions
Costumes
Martine de Michèle
Eric Soyer
François Leymarie
Antonin Leymarie et Grégoire Leymarie
Isabelle Deffin
Avec
Jacob Ahrend Serge Larivière
Saadia Bentaïeb Frédéric Laurent
Agnès Berthon Ruth Olaizola
Gilbert Beugniot Dominique Tack
Production
Compagnie Louis Brouillard
Coproductions
Théâtre National de la communauté française de Belgique/Bruxelles, CNCDC de
Châteauvallon, Espace Malraux/Scène nationale de Chambéry et de la Savoie, Comédie de
Béthune/Centre Dramatique Régional Nord/Pas de Calais, Théâtre Brétigny/Scène
conventionnée du Val d’Orge, Théâtre d’Arras, Maison de la Culture d’Amiens,
Le Fanal/Scène nationale de Saint-Nazaire
Coréalisation
Le Fanal/Scène nationale de Saint-Nazaire
Résidence de création
CNCDC de Châteauvallon, au Théâtre National de la communauté française de
Belgique/Bruxelles et au Théâtre des Bouffes du Nord
Avec le soutien du
Ministère de la Culture / Drac Ile-de-France, la Ville de Paris et la Région Ile-de-France
Du lundi 3 au jeudi 6 janvier 2010 au Grand T
Les lundi et mercredi à 20h30, les mardi et jeudi à 20h
Durée du spectacle : 2h10
Public : à partir de la Terminale
Tarif : 9€ par élève ou un pass-culture
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Le propos
Un immense lustre coupe le noir de sa lumière pâle et orangée. Voici un homme à table. Un
de ces puissants tel que l'on en rencontre chez Joël Pommerat. Un de ces hommes qui peut
se permettre de parler à cœur ouvert à ses domestiques. Ce qu'il a à dire est d'une
importance capitale. En voilà une autre, une femme en longue robe blanche. Elle aussi a
des choses très importantes à dire à ceux qui lui sont liés par contrat. Servir, être servi,
bousculer les rôles...
Inutile toutefois de chercher un thème unique au nouveau rendez-vous que nous
donne le magicien Pommerat. Poursuivant son examen minutieux de la nature
humaine, l'auteur - metteur en scène plaque une nouvelle fois le spectateur devant un
miroir fabuleux mais pas toujours flatteur.
© Elisabeth Carecchio
De cette manière, il remonte le temps, croise des vivants et des fantômes qui jalonnent son
existence, reconstruit « comme on reconstitue la scène d’un meurtre pour éclaircir une
énigme ». Celle du théâtre ? Celle de la vie ?
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Les intentions de mise en scène
« Je voudrais parler des deux points de départ de Cercles.
Le premier ce sont des discussions avec Peter Brook, qui nous a invités il y a deux ans à
venir travailler au Théâtre des Bouffes du Nord à Paris, discussions sur notre façon
d’envisager le rapport entre les spectateurs et la scène. Dans mes spectacles précédents, je
n’avais jamais considéré ce rapport autrement que frontalement, ce qui revient à imposer un
seul et même point de vue : plusieurs centaines de spectateurs mais un seul regard.
Ainsi j’ai pu travailler sur une grande précision du détail, mais aussi sur des notions
d’ambiguïté et d’ouverture. Car orienter le regard du spectateur ne veut pas dire le rassurer,
cela peut aussi permettre de l’égarer. Dans le travail de Peter Brook, la multiplicité des
regards est essentielle. Cette salle des Bouffes du nord est le lieu idéal pour une telle
conception. Il m’a beaucoup parlé de cette idée qu’il avait lui et j’ai beaucoup résisté à cette
invitation, qu’il me faisait, à me « défaire » de la mienne.
C’est alors qu’avec Eric Soyer, scénographe de la compagnie, nous est venue l’image d’un
cercle complet. Nous avons imaginé la fermeture du cercle de la salle des Bouffes du
nord. Cela pour constituer une ronde de spectateurs, et créer ainsi une ouverture
complète du point de vue et des regards. J’ai vu que je pouvais être totalement
inspiré par les enjeux d’une telle relation au public. Cette évolution dans ma position de
travail a pris un aspect libérateur. Voilà donc le premier aspect de ce projet.
L’autre est finalement encore plus personnel et assez particulier. J’avoue qu’il me dépasse.
Il pose la question de la fiction en général. Il est sans doute en lien avec le précédent.
Le voici : tous les personnages de cette pièce, à l’exception d’un seul, sont vrais,
authentiques. Toutes les situations de cette pièce sont authentiques. Elles me
concernent moi directement ou bien elles sont parties prenantes de ce que je suis
aujourd’hui. Elles concernent des personnes qui ont existé. Etres vivants ou fantômes de
mon histoire, histoire la plus lointaine même parfois, dont les actions m’ont hanté ou
impressionné. Des instants que j’ai voulu reconstruire comme on reconstitue la scène d’un
meurtre pour éclaircir une énigme.
Ces histoires sont drôles, parfois horribles ou dures. Mais elles sont vraies. »
Joël Pommerat
Janvier 2010
Cercles/Fictions a été créée le 26 janvier 2010 au Théâtre des Bouffes du Nord.
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A propos de
Cercles/Fictions
L'auteur-metteur en scène Joël Pommerat, inventeur du noir
clinique
Tous les spectacles de Joël Pommerat se ressemblent - on appelle cela un style - mais
à un point tel qu'on a pu dire qu'il tournait en rond. À tout cela, l'artiste répond par son
nouveau spectacle, Cercles/Fictions, en jetant un pavé dans sa mare.
L'oubli de la boîte noire
Le dit pavé fait des ronds, engrange des ondes. Ironie féroce (il y a toujours un moment où
les spectacles de Pommerat versent dans une ironie féroce) et prise de risque réelle. En
disposant le public en cercle au Théâtre des Bouffes du Nord (où Peter Brook l'a invité en
résidence pour une troisième saison), Pommerat casse le cadre de scène et le dispositif
frontal qui lui étaient habituels. À une distance certaine, le spectateur voyait et écoutait les
acteurs dans la boîte noire, très noire le plus souvent, du plateau. Une sorte de diaporama
propre à l'artiste.
Le trouble identitaire
Rien de tel aux Bouffes du Nord où le cercle est matérialisé par une bordure, comme au
cirque. Le spectateur, quelle que soit sa place, non seulement voit le cercle, mais voit aussi
les autres spectateurs - selon sa place ceux qui sont sur un haut gradin disposé sur le
plateau ou ceux qui ont pris place dans la salle habituelle des Bouffes du Nord.
Bref, le premier des « cercles » du spectacle est celui des spectateurs de la représentation.
Spectateurs donc, mais pas seulement. Là aussi Pommerat chérit l'ambivalence, le trouble
identitaire.
L'isolation des corps
Second cercle, celui du spectacle qui se déploie à l'envie : table circulaire, cercle de famille,
réunion en rond, rond de lumière, etc. Face à ce dispositif circulatoire, Eric Soyer, le
scénographe habituel de Pommerat dont le travail commence et finit par la lumière (signée
en collaboration avec Jean-Gabriel Valot), pousse plus avant encore la radicalité antérieure
dans une isolation des corps par un éclairage froid (rendue possible et renforcée par
l'immobilité dominante). Quelque chose que l'on pourrait nommer le « noir clinique ».
L'immobilité première
Avec ici et là, ce pendant qu'est le flou nocturne, de préférence humide, à grands renforts de
fumées (en osmose avec le nom de la compagnie de Pommerat : Louis Brouillard). Pour
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zébrer ce dispositif, s'ajoutent des chemins de lumière lorsqu'un acteur sort ou entre (le plus
souvent, il est déjà en place puisque l'immobilité est première). Pommerat atteint là une
perfection formelle qui force l'admiration.
Dans Troubles, l'ouvrage qu'il a co-signé avec la journaliste Joëlle Gayot, Pommerat parle
beaucoup mais se livre finalement assez peu. Il dit toutefois l'importance qu'a eu pour lui le
philosophe François Flahaut, « l'extrême proximité » qu'il a ressentie en lisant ses livres
comme « Le Sentiment d'exister », comment la notion du soi qui ne va pas de soi, l'a
« profondément troublé, réjoui et atteint ».
L'avènement du fragment
Cette « rencontre » l'a poussé vers une « forme fragmentaire », un spectacle « qui ne serait
pas une fable ou une grande histoire mais un amas de petits bouts ». C'était le cas avec Je
tremble, plus encore avec Cercles/Fictions.
Le spectacle commence par une scène de la vie bourgeoise : un homme en rencontre un
autre, plus jeune, qui fut son serviteur. Il voudrait lui dire « tu », il finira par lui avouer l'amour
qu'il lui porte depuis longtemps. La scène s'arrête là. Elle n'a pas de suite mais fait écho à
d'autres scènes plus collectives entre maîtres et serviteurs où il sera question de
vouvoiement et de tutoiement, de frontières entre deux êtres.
Drôles d'époques
C'est l'une des époques du spectacle, une sorte de mémoire bourgeoise d'antan (forcément
surannée et qui, venant après l'axe Strindberg-Bergman, fait pâle figure). D'autres
séquences se passent au Moyen-Age (plutôt embrouillées, pour la luminosité voir Lancelot
de Rohmer). Il y a enfin, et c'est la partie la plus forte, je veux dire la plus troublante, tout ce
qui a trait au monde d'aujourd'hui entre clochardes puantes, sans papiers autour d'un
brasero, chômeurs en fin de droits convoqués pour un réunion à l'ANPE, cadre de direction
avec épouse fêtant sa promotion ; PDG parti de rien qui positive à tout va y compris la
maladie de son fils, et animateur de jeu (il y a souvent un homme de spectacle qui passe
dans les pièces de Pommerat).
Profession, entomologiste
Ce qui intéresse Pommerat, à travers ses acteurs (dont les fidèles Saadia Bentaïeb, Agnès
Berthon et Ruth Olaizola) c'est d'observer ces milieux, de montrer comment, à la faveur d'un
événement (infime, anodin) tout se renverse. Il nous donne à voir, en les isolant, la faille, le
point où la carapace se fend, le moment où les valeurs, les croyances vacillent. C'est un
entomologiste qui étudie le comportement de quelques spécimens humains qu'il épingle
comme des insectes.
Rue89, Jean-Pierre Thibaudat, Février 2010
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Joël Pommerat,
Pommerat, metteur en scène
Joël Pommerat est né en 1963. Il est auteur-metteur en scène.
Il découvre le théâtre au collège, grâce à un professeur de français.
A 19 ans, il est engagé par une compagnie, le Théâtre de la Mascara.
A 23 ans, il décide qu’il ne sera pas acteur. Il écrit pendant quatre
ans.
En 1990, il fonde la Compagnie Louis Brouillard et met en scène ses premiers textes au
Théâtre de la Main d’Or à Paris. Il y crée Le Chemin de Dakar (monologue) (1990), Le
Théâtre (1991), Des suées, Vingt-cinq années (1993), Les Evénements (1994).
Il crée au Théâtre des Fédérés à Montluçon Pôles (1995) et Treize étroites têtes (1997). Il
écrit Les Enfants (1996), commande d’une pièce radiophonique pour France Culture.
A partir de 1997, il est accompagné et soutenu par le Théâtre Brétigny et le Théâtre ParisVillette. Il crée Qu’est-ce qu’on a fait ? en 2003, commande de la CAF du Calvados et du
CDN de Caen.
Trois ans plus tard, Joël Pommerat remet en scène cette pièce sous le titre : Cet enfant.
Il crée au Théâtre Paris-Villette Mon ami (2000), Grâce à mes yeux (2002) et Cet enfant
(2006). Il monte ensuite Au monde (2004), Le Petit Chaperon rouge (2004), D’une seule
main (2005), Les Marchands (2006).
De 2005 à 2008, il est artiste en résidence à l’Espace Malraux Scène nationale de Chambéry
et de la Savoie.
En juillet 2006, il est invité au Festival d’Avignon, où il présente Le Petit Chaperon rouge, Cet
enfant, Au Monde et Les Marchands.
A l’invitation de Peter Brook, il est en résidence pour trois ans au Théâtre des Bouffes du
Nord (2007-2010). Il y crée Je tremble (1) en 2007 puis Cercles/Fictions en janvier 2010.
En mars 2008, à l’Odéon-Théâtre de l’Europe (aux Ateliers Berthier), il crée Pinocchio.
Il crée au Festival d’Avignon en juillet 2008 Je tremble (1 et 2).
Ont été accueilli par le Grand T : Cet enfant (février 2008), Au Monde (mars 2008), Les
Marchands (avril 2008) et Je tremble (1 et 2) (mars 2009).
Joël Pommerat a également écrit et réalisé plusieurs courts métrages en vidéo.
Les textes de Joël Pommerat sont édités chez Actes Sud-Papiers. Ils sont traduits en
anglais, allemand, coréen, croate, espagnol, grec, italien, roumain, russe et suédois.
Ouvrages sur Joël Pommerat :
Théâtres en présence, Actes Sud-Papiers/Collection Apprendre - mars 2007.
Joël Pommerat, troubles de Joëlle Gayot et Joël Pommerat - Editions Actes Sud - août 2009.
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La scénographie
© Elisabeth Carecchio
L’auteur et metteur en scène Joël Pommerat a choisi de disposer le public en cercle autour
des acteurs, comme au cirque, « pour constituer une ronde et créer ainsi une ouverture
complète du point de vue et des regards ».
Le dispositif scénographique relève du désir d’instaurer un rapport différent avec les
spectateurs, en échappant à une frontalité habituellement utilisée lors des précédentes
créations de Joël Pommerat.
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Cercles/Fictions :
Extraits
Extraits
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Les échos de la presse
Les Lettres françaises
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L’Humanité
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Le Monde, 9 février 2010
Aux Bouffes du Nord, place au public
Belle évidence ou simple coïncidence ? Tout comme Paroles, pas de rôles…, l’autre très beau
spectacle du moment chamboule aussi la relation entre acteurs et public. Aux Bouffes du
Nord , jusqu’au 6 mars, on ne va pas voir une pièce : on fait une rencontre, aussi intense que
déroutante. Pour Cercles/Fictions, en effet, Joël Pommerat s’est laissé convaincre par le grand
Peter Brook, son hôte et maître des lieux, que « la multiplicité des regards est essentielle », et
qu’il est parfois bon d’abolir le traditionnel face à face entre la scène et la salle. Bien que très
marqué par le cinéma, cet écran qui fait écran, Pommerat s’est donc affranchi du schéma
frontal habituel. Ici, les spectateurs entourent le plateau, formant des « cercles » vivants
autour des « fictions » qui se racontent sur scène - d’où le double titre.
Bien sûr, ce type de dispositif n’est pas franchement révolutionnaire. Patrice Chéreau, entre
autres, a beaucoup usé de ces répartitions où la scène fend la salle en deux - comme c’est le
cas en ce moment au Vieux Colombier dans Paroles, pas de rôles… Rappelons d’ailleurs que
cette démarche a beau faire « avant-garde », elle est en réalité aussi vieille que l’art
dramatique : dans les amphithéâtres grecs et romains, le public entourait la scène ; et dans les
spectacles de rue, chacun se met là où il peut, sans ordre ni hiérarchie…
Il n’empêche : ces métamorphoses de salles n’en finissent pas de dérouter. C’est qu’elles
mettent à mal la passivité dans laquelle nous autres spectateurs avons tendance à nous laisser
installer.
A chaque fois, en effet, il s’agit de créer un véritable espace de cohabitation entre le spectacle
et son public. Voilà que soudain, ce dernier empiète sur la scène. D’une certaine manière, les
acteurs lui font soudain un peu de place dans leur espace. Si bien qu’une profonde intimité
s’instaure entre la vie réelle et le théâtre.
Or là est justement le sujet de Cercles/Fictions, cette chronique terrifiante des tragédies
quotidiennes : les héros de ces drames existent au moins autant que nous autres spectateurs c’est ce que répète Pommerat dans sa note d’intention : « ces histoires (…) sont vraies.
Voilà ! ».
Quelques exemples pour vous convaincre ? A l’ANPE, des chômeurs ont pour coach un chef
d’entreprise qui leur donne un tas de conseils mais ne leur donnera jamais un job. Dans sa
luxueuse maison, une femme laisse mourir son bébé qu’elle préférait confier à une
nourrice plutôt que de s’en occuper. Ailleurs, une lady Macbeth des temps modernes oblige
son mari à coucher avec une clocharde : cette sorcière contemporaine lui a prédit qu’il
deviendrait grand patron, remplaçant ses supérieurs destinés à mourir un à un, à condition
qu’il la « baise »…
Toutes ces histoires sont d’une virtuosité narrative étourdissante, et en même temps, leur
« authenticité » (mot cher à Pommerat) va de soi. Tout paraît si proche de nous, en effet, au
centre de ce cercle obscur, où des éclairages ultrasophistiqués achèvent de fusionner les deux
univers : la salle plongée dans l’obscurité, et la scène baignée de clair obscur, ne font plus
qu’un…
Pour reprendre la formule du philosophe Jacques Rancière dans Le spectateur émancipé, cette
fusion « brouille la frontière entre ceux qui agissent et ceux qui regardent ». Ainsi l’assistance
comprend-elle enfin qu’elle a, elle aussi, un « rôle » à jouer.
Judith Sibony
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Saison 20102010-2011
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