Introduction à la psychologie cognitive

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Introduction à la psychologie cognitive
La psychologie cognitive est née de l’évolution de la psychologie scientifique. Elle est
apparue en réaction au « béhaviorisme » qui limitait la psychologie à l’étude du
comportement.
Elle étudie les processus mentaux :





D’acquisition
De traitement
De conservation
De récupération
D’utilisation des connaissances … et tous les facteurs qui influencent ces processus
La psychologie cognitive étudie les gdes fonctions mentales de l’ê humain tel que :






La mémoire
Le langage
L’intelligence
Le raisonnement
L’attention
La perception
La psychologie cognitive utilise l’étude du comportement pour tenter de comprendre les
processus mentaux.
La psychologie cognitive fait appel à un vocabulaire spécifique et à une logique précise.
Toutes ces notions sont nouvelles et complexes.
Les activités mentales ne sont pas observables. Elles sont inférées, déduites de faits
observables -> des comportements.
Les connaissances expertes qui vont être présentées sont fondées sur des expérimentations
systématiques. Elles ne relèvent pas d’observations fortuites.
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Transmission d’un message :
-
Un émetteur (milieu) envoi un message codé (signal sensoriel)
-
Ce msg est décodé au niveau du récepteur sensoriel et codé en info physiologique ->
sensation
Cette info converge vers le cerveau via un canal (visuel, auditif, …)
Le cerveau décode l’info et la confronte avec l’acquis en mémoire
Une réponse est alors construite en fonction des connaissances stockées et suivant un
ensemble de règles de raisonnement
Enfin, cette réponse cognitive suit le chemin inverse pour s’exprimer sous une forme
comportemental -> comportement
-
Transmission d’un msg et traitement de l’info
-
Le modèle du traitement de l’info s’inscrit dans une approche de fonctionnement
cognitif
Postulat : les prises de décisions que l’individu produit en réaction aux sollicitations
du milieu, dépendent du traitement par le cerveau des infos prélevées sur ce milieu.



-
Sollicitation du milieu : le feu est rouge
Prise de décision : s’arrêter
Traitement par le cerveau : vous avez appris que quand le feu passe au rouge, on
s’arrête
Chaque structure du SNC effectue des opérations spécialisées
Il existe des liens démontrables entre structures et fonctions
Certains traitements s’effectuent en parallèle dans des structures différentes
La perception : 1ère étape d’acquisition
-
Comprendre la perception
 C’est comprendre cmt ca marche
Le but des mécanismes perceptifs est d’acquérir des connaissances
Elles ne sont pas données, mais construites
Celles-ci sont de 2 types :
 Connaissances conceptuelles : reconnaissance des objets (visuels, auditifs…)
 Connaissances pragmatiques : guidage et contrôle des actions, savoir faire
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Problématique du traitement de l’info
-
L’immédiat n’existe pas. La perception a besoin de multiples opérations
Reconnaitre un objet, une personne, agir ou réagir va impliquer une succession
d’opérations de traitement d’info
-
Ces étapes de traitement sont successives
-
Au niveau du comportement, on pourra mesurer la durée de ces traitements.
Durée de ces traitements = tps de réaction
Ce dont nous avons consciences n’est que le « produit fini » et final des mécanismes
perceptifs
Schéma du tps de réaction
Préparer
une action
Traitement
sensoriel
Traitement
perceptifs
Traitement
décisionnel
Commande de
réponse
Interprétation /
reconnaissances
STIMULUS
REPONSE
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Lors du traitement d’info
-
-
L’organisme effectue une série d’opérations de traitement des infos entre :
 Le début de la présentation du stimulus
 Le moment de la réponse
La complexité et le nombre de ces traitements augmentent le tps de réaction
Lors de la présentation d’in stimulus, si on veut pouvoir produire une réponse, il faut être
attentif… voir concentré !
Quelles différences entre les 2 concepts ?
Attention-concentration
-
Ceux sont 2 mécanismes mentaux interdépendants et essentiels à l’apprentissage
 Etre attentif, c’est mobiliser ses 5 sens pour recevoir, chercher, sélectionner et
traiter les infos pertinentes dont on a besoin.
 Etre concentré, c’est réduire le champ de l’attention, fermer la conscience à tout
ce qui peut distraire l’esprit de cet apprentissage
L’attention
-
C’est l’une des gdes fonctions cérébrale supérieures qui permet de traiter,
d’organiser et d’acquérir des infos qui influenceront par la suite nos comportements
L’attention est une fonction :
 Cognitive
 Exécutive
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Attention comme fonction cognitive
-
L’attention participe à un ensemble complexe du traitement de l’info formant un
processus mental de haut niveau.
Elle permet de contrôler et moduler la quasi-totalité de no processus psychologiques
en s’appuyant sur des représentations :
 Perceptives
 Conceptuelles
 Motrices
Attention comme fonction exécutive
-
-
L’attention participe à :
 L’exécution d’une tâche ou d’un acte
 La poursuite
 L’arrêt
 Le passage d’une activité à une autre
Les fonctions exécutives sont impliquées dans le contrôle attentionnel par :
 Des mécanismes d’inhibition
 La flexibilité cognitive qui permet le déplacement de l’attention d’un objet à un
autre
Processus attentionnels
-
-
-
L’attention est partagée entre différentes tâches de traitement de l’information
On distingue des :
 Processus attentionnels automatiques
 Processus attentionnels conscients et contrôlés
Si certains processus automatisés permettent un tel traitement sans « coûter » pour
de l’attention … ce n’est pas le cas de processus contrôlés !
Les processus attentionnels automatiques : plusieurs opérations se font en parallèle.
Les éléments peuvent être traités simultanément.
Les processus attentionnels conscients et contrôlés :
Les opérations se font de manière séquentielle.
Chaque élément est traité successivement.
Il faut donc qu’un mécanisme de haut niveau affecte ces ressources attentionnelles à
différentes informations à traiter.
 Superviseur attentionnel
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Tâche automatisée
Définition : tout traitement de l’info devenu si routinier et efficace, qu’il ne réclame plus la
mobilisation que d’un minimum de ressources attentionnelles conscientes
L’activité automatique se produit sans intention et n’interfère pas avec une autre activié
mental
 Plus on utilise des processus cognitif automatisés, plus on libère des ressources
attentionnelles (ex : la lecture)
Le contrôle attentionnel permet un réglage de l’action en cours, mais contribue aussi
l’apprentissage et à l’automatisation.
Etude de l’attention
L’attention se divise en 3 composantes :
-
-
Le contrôle : automatique/contrôlé
La sélectivité : l’attention peut être portée sur :
 La cible
 Les distracteurs
L’intensité : dimension qui permet de traiter et de répondre à une stimulation de
manière + ou – efficiente
 La vigilance
 L’attention sélective
 L’attention partagée
Vigilance
C’est l’attention du pêcheur, du chasseur, du soldat qui monte la garde, de tout ceux qui
pour une raison ou une autre font « le guet ».
On peut croire que le pêcheur rêve, mais une partie de lui est attentive. Il attend que morde
le poisson. Il guette le mvt du fil, prêt à agir dès qu’un poisson s’accrochera à sa ligne.
C’est l’attention que doit avoir un enfant quand il fait une dictée. Il guette les verbes se
terminant par le son « é » pour réfléchir à cmt les écrire (er ou é ?)
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L’attention sélective
Il s’agit de l’attention que l’on porte à qq chose de précis.
C’est un droit, une sélection.
 Ex: Imaginez un dîner. Autour de la table, plusieurs personnes parlent en même temps. Vous
les entendez, mais leurs voix se confondent en un bruit de fond car vous n’écoutez qu’une
seule d’entre elles.
 Vous êtes attentif à ce que vous dit cette personne et à elle seule.
L’attention partagée
Dans ce cas, on prête attention à deux choses, à deux personnes en même tps.
 Ex du diner : vous pouvez écouter ce que disent 2 des convives. Mais avec cette attention, la
qualité est ≠ de l’attention sélective. Vous ne pourrez la soutenir très longtemps, surtout si la
conversation est un peu complexe.
 Vous aurez des difficultés à mémoriser tout ce qui est dit.
Être attentif
On ne peut être attentif sans une adhésion de tout son être à la tâche à accomplir. C’est une attitude
mentale mais aussi corporelle.
Il s’agit bien d’un acte :
-
un acte mental
un acte volontaire
un état d’éveil actif
une démarche maîtrisée
Être attentif est un processus qui dépend de l’environnement, du travail à accomplir.
Cela nécessite une anticipation.
C’est un processus en 3 temps :
-
tout d’abord il faut se rendre disponible
s’intéresser à l’information, puis l’accueillir
enfin il faut se fermer à toute autre information.
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Selon le biologiste, Henri Laborit:
« Certains neurones d’attention ne répondraient pas à des stimulations répétées, ils ne seraient
sensibles qu’à un son nouveau ou à une information visuelle différente ».
 Importance d’éviter les répétitions à l’identique et de renouveler les formes sous
lesquelles on présente les connaissances.
Il ne faut pas oublier que l’attention est aussi fonction :
-
de la motivation
d’une disposition intérieure
de nos rythmes
de la compréhension de la nécessité.
La concentration
-
C’est la focalisation, une attention soutenue que rien n’interrompt
Elle bloque l’arrivée à la conscience de toute info qui pourrait nuire à la tâche
La concentration dépend de notre attention, de notre intérêt pour ce qui nous es
proposé, ce que l’on lit ou entend
Elle permet d’apprendre, de comprendre, de mémorises, de réfléchir, et même de
faire tout travail de créativité
 Facteurs favorisant la concentration : Intérêt, plaisir, réussite, motivation…
 Facteurs perturbent la concentration : Passivité, stress, répétition de la tâche…
La concentration & l’attention sont des mécanismes mentaux qui consomment de l’énergie,
d’où la fatigue qui survient après un travail intellectuel.
L’effort de concentration varie selon la complexité et la durée de ce travail
-
L’acquisition de nouvelles connaissances
La mise en application de connaissances déjà acquises
La rédaction de travaux, c'est-à-dire la mise en forme d’informations comprises et
mémorisées.
La durée idéale d’une séance de travail, pendant laquelle nous pouvons nous concentrer, est
de l’ordre de 20 à 40 min.
Cela dépend de notre âge et de notre habitude à le faire.
Il faut obligatoirement alterner les séquences de travail et les pauses.
Ces moments de détente sont nécessaires au cerveau pour stocker ce qui nous a été amené,
pour se préparer à un nouvel apprentissage.
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Maîtriser son attention et sa concentration
On observe la durée de son attention, de sa concentration selon:





le support (lecture ou écoute),
le travail (compréhension, mémorisation, réflexion),
la matière,
l’intérêt qu’on y porte,
le moment de la journée et le lieu.
S’observer pour avoir conscience des moments où l’on « décroche » d’une tâche pour
parvenir à « raccrocher » au plus tôt.
On observe les messages envoyés par le cerveau. Certains sont négatifs « C’est trop dur »,
«J’y comprends rien», «Je suis nul en maths».
 Ils entraînent une démotivation, une démobilisation de l’attention, ils offrent une
moins bonne résistance aux distractions…
 ils favorisent les décrochages.
Se concentrer : une habitude à acquérir
L’important est d’apprendre:


en délimitant un espace de travail
à délimiter le temps de travail.
Il faut prendre l’habitude de ne pas « rêvasser » à sa table de travail
 dès que l’on est fatigué, qu’on se met à rêver, on se lève pour faire une pause de
quelques minutes.
Les liens entre l’attention et la mémoire sont nombreux et complexes. Ainsi un objet sur
lequel on porte notre attention sera mieux mémorisé.
La mémoire
C’est la faculté cognitive permettant de stocker, conserver et de rappeler des expériences
passées et des infos.
Reconnaitre un objet, l’utiliser va consister à confronter des infos sensorielles traitées à un
ensemble de représentations.
Les représentations sont des connaissances résultant de nos expériences passées.
 Ces sont des traces mnésiques localisables dans les structures cérébrales.
Les représentations sont les contenus des mémoires.
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« Les » mémoires :
-
-
-
Mémoire sensorielle : désigne la capacité de tout système sensoriel de conserver
l’info qqes dizaines ou centaines de millisecondes au-delà de la durée de la
stimulation -> infos non relatives
Mémoire à court terme (ou mémoire de travail) : désigne la capacité de maintenir
une info pdt qqes dizaine de seconde. L’oubli y est rapide. Elle est quantitativement
limitée -> oublis (environ 7 éléments)
Mémoire à long terme : mémoire permanente dans laquelle les infos st transformées
en traces mnésiques par des mécanismes d’encodage -> oublis
On distinguera différents types de MLT.
Liens MCT et MLT
Traditionnellement, la MCT (comme la MT) est conçue comme la porte d’entrée dans la
Mémoire à Long Terme (encodage).
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Schéma :
Mémoire à long terme
Déclarative
Sémantique
Noms, dates,
concepts
Mémoire des
connaissances
Procédurale
Episodique
Actions, habiletés
Evènement
Mémoire
autobiographique
Mémoire des
savoirs faire
L’apprentissage
C’est un processus qui permet d’acquérir et de développer des savoir-faire et des
connaissances pratiques.
L’apprentissage p-ê :







Par imitation
Par associations
Par essais et erreurs
Par explication
Par répétition
Combiné
Par immersion
L’apprentissage : mise en relation entre un évènement provoqué par l’extérieur (stimulus) et une
réaction adéquate du sujet.
Ce processus cause un changement de comportement qui est :
-
Persistant
Mesurables
Spécifiques
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Et permet à l’individu de formuler une nouvelle construction mentale ou réviser une construction
mentale déjà existante.
Le raisonnement
Le raisonnement est un processus cognitif qui permet d’obtenir de nouveaux résultats ou de
vérifier un fait en faisant appel à différentes « lois » ou expériences, dans différents domaines.
Les raisonnements vont conduire à des objectifs différents, qui peuvent se combiner :
-
La prise de décision
Test d’une argumentation confirmation d’une hypothèse
Conduite d’une démonstration
L’individu effectue des inférences.
Le mécanisme d’élaboration de ses inférences s’appelle le raisonnement.
Images mentales
Représentation mentale évocatrice d’un objet absent du champ perceptif.
Image : restitue l’apparence des objets ou des évènements en dehors des conditions matérielles de
réalisation d’un champ perceptif.
Les représentations mentales
Une représentation mentale est l’image qu’un individu se fait d’une situation, d’une image, d’un
concept.
Ceux sont des modèles intériorisés que l’individu construit de son environnement et de ses actions
sur l’environnement.
Activation temporaire peut se faire sans accès à la conscience.
Importance des représentations dans la préparation mentale.
Elle est au confluent des sensations et de la mémoire, dans une situation donnée.
Situation
Activation
Sensation
Informations
contenues en mémoire
Activation
Réaction
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L’abstraction
Opération par laquelle l’esprit se désolidarise d’un objet ou d’une relation de son contexte.
Elle fait appel à :
-
-
Activité de traitement cognitif, qui permet dans une situation donnée de négliger
certaines caractéristiques pour se concentrer sur d’autres
Ex : du repas -> faire abstraction de …
Activité d’apprentissage par laquelle à partir :
 D’éléments partiellement semblables
 D’éléments partiellement différentiels
L’individu extrait cette situation ou cet objet de ses connaissances plu G pour en faire une
nouvelle connaissance.
Les émotions
Pour la plupart
inconscients : éliminent,
déforment, généralisé
Etat émotionnelle
FILTRE
Résultats,
expériences de vie
Représentation
internes de la réalité
Entrée des
données externes
Comportement
-
Langage, souvenirs, décisions,
croyances, valeurs, stratégies,
traitement de l’information
Emotion : permet un changement d’état au niveau physique
Emouvoir= mettre en mouvement
Emotions = manifestation de joie, peur, dégout, colère
-
Les émotions prennent leur source dans le cerveau, qui joue un rôle de régulation et
de mémoire des émotions.
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-
Chaque expérience émotionnelle est unique mais fait appel à des connaissances
stockées en mémoires épisodique
 Circonstances
 Conditions perceptives
 Comportements
Notre vécu suggère l’existence d’une palette différenciée d’états émotionnels.
Manifestations expressives de ses émotions peuvent s’observer :


Au niveau comportemental
Au niveau physiologique
L’émotion est d’abord une manifestation interne, qui génère une réaction extérieure.
Emotion = séquence de changements d’état. Eléments détectables au niveau physiologique
 Pression sanguine. Arrêt ou accélération des fonctions digestives, foncions cardiaques et
respiratoires. Augmentation de la glycémie et taux de GB. Vitesse de sédimentation.
Elle est provoquée par la confrontation à une situation et à l’interprétation de la réalité.
Ex : détecteur de mensonges : un polygraphe est utilisé avec le postulat que mentir provoque une
réaction émotionnelle avec des manifestations psychophysiologiques.
L’expérience émotionnelle dépend du résultat de l’évaluation d’un évènement en termes de
significativité pour la survie et le bien être de l’individu.
D’après Paul Ekman, il existe des émotions de base :
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Et des émotions secondaires (ou mixte), qui sont des mélanges des émotions de base.
Par exemple, la honte est une émotion mixte, à la base un mélange de peur et de colère
(bloqué ou retournée contre soi).
Le mélange des émotions
Emotions de bases
-
Joie
Tristesse
Peur
Colère
Dégoût
Surprise
Emotions secondaires (ou mixtes), qui sont des mélanges des émotions de base :
-
Nostalgie
Amour
Haine
Confiances…
Par exemples, la honte est une émotion mixte, à la base d’un mélange de peur et de colère.
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Différence émotion-sensation
Sensation = Conséquence directe d’une stimulation physique (réaction à la température, à la
texture...).
Elle est directement associée à la perception sensorielle. Elle est par conséquent physique.
Emotion ≠ Sensation : L’émotion ne présente pas de manifestation réflexe.
Phénomène de réverbération faciale
-
Expression faciale va accentuer ou diminuer le processus émotionnel
Impact significatif sur l’état subjectif que rapporte l’individu.
Le langage
-
Langage se divise en 2 domaines
 Langage oral
 Langage écrit
-
Langage est un domaine complexe. En effet, il est la fois un outil de communication
et également un outil cognitif
Dans le cadre de la psychologie cognitive, il est support de la pensée
Il est imbriqué au développement d’autres domaines : mémoires, perceptions,…
-
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