L1 TD Illustration n°4 Petot.pptx

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+
Questions Beauvois & Joulé
 Pourquoi
peut on parler de « soumission librement
consentie » ? Expliquez.
 Choisissez
une expérience de l’article pour laquelle vous
identifierez les variables indépendantes et dépendantes.
 A
partir de ce que vous avez appris dans le texte,
comment feriez-vous, sachant que votre copie est
mauvaise, pour que je vous rajoute 2 points ?
+
J. Petot
Etude de cas clinique
+
Questions sur le texte de J. Petot
 Quel
est le domaine abordé par le texte ?
 Quelle(s)
méthodes est/sont mises en œuvre ?
 Quels
sont les moyens et les outils dont disposent les
psychologues pour poser un diagnostic ?
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+
Les activités du psychologue
 Activités
principales s’articulent essentiellement autour :
De l’évaluation
 Du traitement
  Les
 interventions du psychologue se ont lieu au niveau :
Du patient :
Diagnostic, à la décision thérapeutique, et au suivi des
patients.
  De la famille :
Déterminer le rôle éventuel de l’entourage dans le du
trouble du patient.
 Prise en charge de la souffrance des familles .
 +
L’évaluation et le diagnostic : le
bilan psychologique
 L’activité du psychologue passe nécessairement par une phase
d’évaluation et de bilan.
 Objectif
 : identifier la ou les cause(s) de la souffrance du patient.
La phase d’évaluation permet :
 De
découvrir l’histoire, le passé du patient (l’anamnèse)
déceler d’éventuelles pathologies ou déficits qu’ils se situent au niveau
même de la personnalité* ou au niveau des potentialités** intellectuelles.
 De
 Phase essentielle :
 Premier
 Sert
contact entre le psychologue et le patient
de base à la relation psychologue/patient en dépend.
* = ensemble de caractéristiques affectives, émotionnelles, dynamiques
relativement stables et générales qui détermine la façon dont réagit une
personne dans une situation particulière.
** = ce qu’on est capable de faire mais qu’on ne fait pas forcément.
+
Outils pour l’évaluation
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L’entretien clinique d’évaluation
 Familial
Cas de patients enfants ou adolescents, le premier entretien est
en général familial : il réunit enfant, parent(s) et psychologue.
 Note : la famille ou les proches peuvent être vus dans le cadre
d’entretiens même pour des adultes.
 Les informations recueillies lors du premier entretien fournissent un
cadre général (histoire, symptômes, etc.), qui va servir de point
de comparaison pour les informations recueillies lors de l’entretien
individuel.
  Individuel
  Le psychologue essaye ici de trouver les causes de la souffrance
du patient.
Cet entretien permet également de recouper les informations
éventuellement recueillies lors d’un entretien familial.
+
Les tests
+
Qu’est-ce qu’un test ?
 Un
test est un instrument de mesure standardisé dont les
conditions de passation et les épreuves sont toujours
identiques. Les réponses fournies sont notées et quantifiées
de façon identique, quelle que soit la personne qui fait
passer le test.
 Les
résultats obtenus par la personne évaluée sont ensuite
comparés à ceux d’une population de référence avec qui
elle partage des caractéristiques communes (ex : âge, sexe,
niveau d’études…).
 Pour
que les informations apportées par un test soient
valables, le test doit répondre à des critères stricts en terme
de construction et de validation. Il doit être standardisé,
valide, fidèle et sensible.
3
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+
Standardisation
 La
standardisation consiste à faire en sorte que le test soit
passé dans les mêmes conditions pour tout le monde.
 Buts:
Eliminer les biais relatifs à la subjectivité de la personne qui fait
passer le test.
Ne pas – ou peu – laisser de place à l’interprétation lors de
l’évaluation des réponses.
 Faire en sorte que les mesures soient comparables et
permettre la mise en évidence des différences
interindividuelles.
 Ex: les consignes données à la personne qui passe le test
doivent être rigoureusement identiques d’une personne à
l’autre.
  +
Validité
 Lorsque l’on teste la validité d’un test, de s’assurer que le test
mesure bien ce qu’il est censé mesurer.
 Ex.:
si un test de mathématique contient des questions dans lesquelles on
recourt à des termes compliqués, une mauvaise note à ce test ne va pas
uniquement refléter la connaissance des math mais plutôt celle du
français.
 Il faut s’assurer de 2 types de validité :
 convergente
 divergente.
+
 Convergente : existence d’une bonne corrélation* entre les résultats
au test et ceux à un autre test censé mesurer le même concept ou
un concept proche (ex. 2 QI).
 Divergente : non existence de lien entre le test et d’autres tests
visant à mesurer des choses très différentes (ex. test verbal vs
logique).
Fidélité
 On
dit qu’un test est fidèle lorsqu’il permet de donner une
mesure relativement stable dans le temps de ce qu’il est
censé évaluer.
  La fidélité d’un test se mesure en répétant la passation du test
à différents intervalles de temps.
On calcule ensuite un coefficient de corrélation entre les
résultats obtenus aux différents temps.
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+
Sensibilité
 But
premier d’un test = faire ressortir les différences inter
individuelles. Un test se doit d’être discriminant, sensible.
 Pour
+
augmenter la sensibilité d’un test, on peut :
 modifier la difficulté des items qui composent le test
 donner un temps limité de passation des items
 Augmenter le nombre d’items ou de dimensions
Etalonnage
 Etalonnage =
échelle permettant de situer le résultat obtenu
par un individu par rapport aux résultats qui ont été observés
antérieurement dans une population de référence
(comprenant un nombre important d’individus comparables
à celui qui a été étudié).
 L’étalonnage
du test, correspond à la mise en place des
« normes » pour une population donnée.
 Grâce
à l’étalonnage, les résultats obtenus à un test par un
individu peuvent être comparés à ceux d’une population de
référence (qui partage des caractéristiques communes
avec le sujet) qui a passé le test préalablement à sa mise sur
le marché.
 +
En résumé
 Un
test est un outil de mesure standardisé qui permet
d’évaluer une dimension particulière du comportement,
des aptitudes ou de la personnalité d’une personne.
 Un
test doit répondre à des critères stricts de
standardisation, de validité, de fidélité et de sensibilité.
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+
Les types de tests
 2
+
grands types de tests :
 les tests d’efficience
 les tests de personnalité.
Tests d’efficience
 Les
tests d’efficience permettent d’évaluer les principaux
domaines de développement :
le langage
la connaissance des concepts de base (vocabulaire et
compréhension)
 le raisonnement (la logique)
 l’organisation spatio-temporelle
 la mémoire
 le comportement affectif (autonomie, assurance, confiance en
soi…).
   L’une
des batteries de tests les plus utilisées reste la WISC
(Wechsler Intelligence Scale for Children) ou sa version pour
adulte, la WAIS (Wechsler Adult Intelligence Scale).
 WISC
+
& WAIS permettent le calcul d’un « QI ».
La notion de QI
 Initialement
 âge mental
QI = --------------------- x 100
âge réél
où l’âge mental = score obtenu par un enfant à un test
correspondant au score moyen obtenu par les enfants du
même âge.
 De
 :
nos jours :
Le terme QI ne renvoie plus à l’âge mental mais à la
comparaison de la performance du sujet à la performance
moyenne d’un échantillon représentatif de la population.
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+
La WISC-R
 La
WISC-R (Echelle d’Intelligence de Wechsler pour
enfants ; 6-16 ans) comprend deux échelles :
 une échelle « verbale »
 Une échelle « performance »
 Le
WISC-R permet le calcul d’un score de QI verbal, d’un
QI de performance, et d’un score de QI global.
 Pour
la WISC Le QI moyen = 100 avec un ET = 15
 Ce
score permet de situer l’efficience intellectuelle de
l’enfant par rapport à sa population de référence.
+
La WISC-R
 Le
test est composé de dix subtests obligatoires et de
deux optionnels (labyrinthes et mémoire immédiate des
chiffres).
 L’échelle
verbale contient les subtests : information,
similitudes, arithmétique, vocabulaire et compréhension.
 L’échelle
de performance contient les subtests :
complétement d’images, arrangement d’images, cubes
de Kohs, assemblages d’objets et code.
+
Subtest Arithmétique
 Consigne :
Lis ce problème tout haut. Quand tu l’auras lu,
cherche la réponse et donne la moi quand tu l’auras
trouvée.
 Six
personnes peuvent laver 40 voitures en 4 jours. Combien
de personnes faut-il pour laver 40 voitures en une demijournée ?
 Paul
a fait un voyage à moto. Il a roulé 3 heures, s’est arrêté
une heure pour manger et a encore roulé 2 heures. Il a fait
225 km en tout. Lorsqu’il était sur sa moto, à quelle vitesse
moyenne a-t-il roulé ?
(75 secondes maxi pour répondre)
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+
+
Subtest Cubes
 On met à disposition de l’enfant des cubes dont 2 faces sont
totalement rouges, 2 faces totalement blanches et 2 faces miblanches mi-rouges.
 On place devant l’enfant un modèle qu’on lui demande de
reproduire le plus rapidement possible.
Arrangement d’images
 +
Consigne : Mets ces images en ordre pour qu’elles racontent
une histoire qui a du sens. Travaille aussi vite que tu peux.
Complètement d’images
 Consigne : Regarde bien cette image, il manque quelque chose
d’important. Qu’est-ce que c’est ?
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+
Complètement d’images
 +
Consigne : Regarde bien cette image, il manque quelque chose
d’important. Qu’est-ce que c’est ?
Subtest informations
 Consigne :
Je vais te poser des questions. J’aimerais que
tu y répondes.
+
 Qui a écrit les Misérables ?
 Qui était Darwin ?
 Qu’est-ce qu’un Baromètre ?
 De quoi est composée l’eau ?
 Qu’est-ce qui fait que le fer rouille ?
Codes
 Consigne :
Regarde ces cases. Chacune d’elle est divisée
en deux. Dans la partie supérieure, il y a un chiffre et dans
la partie inférieure il y a un signe. A chaque chiffre
correspond un signe différent. Tu dois placer dans
chacune des cases vides le signe qui devrait y être
d’après le modèle.
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+
Que dire des résultats de Bruno ?
 Bruno
obtient un QI égal à 100, donc à la moyenne (pour
le WISC, moyenne = 100 ; Ecart type = 15)
 Les
résultats de l’enfant sont globalement homogènes
tant sur l’échelle verbale que sur l’échelle de
performances.
 Ils
se situent dans la zone de normalité qui se situe entre 8
et 12 sur les deux échelles.
+
Les tests de Personnalité:
inventaires et projectifs
 Il
+
existe 2 grands types de tests de personnalité :
 les
inventaires de personnalité
 les
tests projectifs de personnalité Les inventaires de personnalité
 Sous
forme de questionnaires.
 Les
questions doivent permettre d’évaluer les différentes
facettes ou dimensions de la personnalité et peuvent
porter sur :
 des comportements
 des opinions
 des attitudes
 des sentiments
 Les
réponses aux questions sont généralement proposées
(QCM).
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Avantages des inventaires
 Commodité
d’utilisation :
 passation individuelle ou collective  recueil et traitement des données rapides.
 Bonne
standardisation
 au niveau de la passation
 de la cotation
 et de l’interprétation.
 Validation
 +
En général validés sur des échantillons très importants.
Un exemple : Le Big 5
 Les
inventaires de personnalité les plus utilisés dans le
monde actuellement reposent sur la théorie du « Big
Five » de Goldberg (1981).
 Conçoit
la personnalité comme composée de 5 facteurs
principaux bipolaires plus ou moins indépendants.
 Ces
5 facteurs sont :
l’Ouverture  la Conscience   l’Extraversion
 l’Agréabilité (ou amabilité) et le Névrosisme(ou stabilité émotionnelle).
 +
Les dimensions
 L’ouverture
  La
 aux expériences (O)
Regroupe tout ce qui est relatif à la recherche active et le goût
pour les expériences nouvelles. L’ouverture se manifeste par des
intérêts ouverts, une capacité à rechercher et vivre sans anxiété
des expériences nouvelles.
conscience (C)
Elle est composée d’éléments dynamiques (l’anticipation, le
besoin de réussir, l’implication) et d’éléments de contrôle ou
d’inhibition (planification, méticulosité).
 L’extraversion
 (E)
Renvoie à la quantité et à l’intensité des relations avec
l’environnement social. Elle concerne la tendance à rechercher
le contact avec l’environnement avec énergie, enthousiasme et
confiance à vivre ces expériences de manière positive.
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+
Les dimensions (suite)
 L’agréabilité
  Le
 +
(A)
Dimension qui concerne la nature des relations avec autrui.
Renvoie à la qualité des relations impersonnelles allant de la
compassion à l’antagonisme.
névrosisme (N)
Renvoie à la prédisposition des individus à construire, à
percevoir et à ressentir la réalité comme problématique et
pénible (soucis, inquiétudes, dévalorisation de soi,…) et à
ressentir des émotions négatives (peur, honte, etc.).
Les dimensions du Big 5 (fin)
Dimension
Pole Négatif
- Tranquille
- Réservé
- Calme
- Bavard
- Assuré
- Actif
Agréabilité
- Suspicieux
- Froid
- Inamical
- Sympathique
- Gentil
- Apprécié
Conscience
- Insouciant
- Désordonné
- Irresponsable
- Organisé
- Minutieux
- Efficace
- Tendu
Stabilité Emotionnelle - Anxieux
- Nerveux
Ouverture
+
Pole Positif
Extraversion
- Banal
- Intérêts étroits
- Simple
- Stable
- Calme
- Contrôlé
- Intérêts larges
- Imaginatif
- Original
Les tests projectifs
 Principe
: produire un discours à partir d’un matériel
donné (des images plus ou moins concrètes).
 Objectif
: avoir accès aux aspects affectifs et à la
structure de personnalité de l’enfant.
 Problème
: leur interprétation laisse une place à la
subjectivité.
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+
CAT (Children Aperception Test)
TAT (Thematic Aperception Test)
&
 Le CAT est la version pour enfants du TAT.
 La personne évaluée (enfant ou adulte selon le cas) doit raconter
une histoire à partir d’une image qui lui est proposée.
 Basé sur la théorie psychanalytique
 Hypothèse
= le récit du patient est un moyen d’accès au mode
d’organisation de la personnalité et aux aménagements défensifs.
= activité contradictoire de fantasmatisation et de contrôle.
 Récit
 Exploration
des aspects non cognitifs, à l’affectif, aux caractéristiques
interpersonnelles et à l’inconscient tout en donnant une bonne idée des
compétences linguistiques du patient.
 +
L’interprétation porte à la fois sur le contenu manifeste (ce qui est
objectivement présenté sur la planche) et sur le contenu latent (la
problématique sous jacente au contenu manifeste).
Exemples de planches
+
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Le Rorschach
 Test
projectif de personnalité reposant sur la théorie
psychanalytique.
 Contrairement
au TAT et au CAT, le matériel du Rorschach
(taches d’encre) est non structuré (abstrait).
 La
tâche des individus consistent à dire à quoi les tâches
d’encre leur fait-elles penser.
+
Le Diagnostic
+
La pose du diagnostic
 A l’issue du bilan psychologique (entretiens + tests), le psychologue
doit être en mesure de poser un diagnostic sur :
 la
cause de la souffrance du patient
 son
 et
 type de personnalité
la présence ou non de pathologies.
Classifications :
 Regroupent
les pathologies et de troubles mentaux en fonction de leurs
symptômes.
 DSM
IV (US ; manuel diagnostic et statistique des troubles mentaux) ;
Classification française de l’INSERM (Institut National de la Santé et de la
recherche Médicale) ; Classification de l’OMS «ICD10 ».
 Toutes ce classifications fonctionnent selon un principe descriptif :
« tel dysfonctionnement ou telle pathologie est caractérisé par tels
symptômes ».
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Névroses et Psychoses
+
Névroses
 Névrose
+
 = maladie mentales dont le sujet est conscient et qui, malgré
les troubles permanents de la personnalité qu’elle peut
entraîner n’en affecte pas profondément les fonctions
essentielles.
 Bien que la personne névrosée soit « mal dans sa peau », elle
peut quand même être à l’aise, adaptée en société.
Les troubles névrotiques
 Très
 Se
fréquents…
répartissent en 4 grandes catégories :
Les troubles anxieux, paniques et phobiques (attaque de
panique, agoraphobie, phobies simples et phobies sociales).
 Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC).
  Les troubles hystériques (conversions somatiques)
 Les troubles dépressifs (sentiment d’infériorité, affects négatifs,
tristesse, souffrance morale…)
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Troubles névrotiques
 Ces
troubles se retrouvent de manière isolée ou
combinée au sein des différents types de névroses :
 Névrose obsessionnelle
 Névrose hystérique
 Névrose d’angoisse
Névrose phobique
 +
Psychoses
 Psychose
  2
= maladie mentale qui atteint l’ensemble de la personnalité et
bouleverse le rapport à la réalité. Contrairement aux personnes
souffrant de névroses, la personne n’est pas consciente de ses
troubles psychiques.
types de troubles psychotiques :
Délire
= croyance fausse de la réalité, qui se caractérise par le fait
d’être convaincu de ce que l’on dit.
 Hallucinations
    +
Perceptions sans objets à percevoir que l’individu vit comme de
réelles perceptions Modalités : visuelle, auditive, kinesthésique.
2 types de Psychoses
 Les
psychoses aiguës
 « attaques »,
épisodique
 Les
qui apparaissent de façon brutale et
psychoses chroniques
 affection
durable de la personnalité
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Psychoses aiguës
 Confusion
  Bouffée
 +
maniaque
état d’excitation important caractérisé par une hyperactivité
physique et mentale.
 Accès
 délirante aiguë
épisode délirant d’apparition brutale et intense envahissant
tout le psychisme).
 Accès
 mentale
trouble de la vigilance ; l’attention, la mémoire, l’imagination
se trouvent altérées)
mélancolique
dépression extrême
Psychoses chroniques
 Schizophrénie
 Renfermement sur soi ; la personne finit par vivre dans un
monde qui lui est propre, hors de la réalité
 Paranoïa
 la méfiance, hypersensibilité aux événements, aux remarques
des autres
 Psychose
hallucinatoire chronique
 un type particulier de délire chronique
 Ex: être convaincu que ses pensées et ses actes sont
contrôlées par une force extérieure.
+
Prise en charge du patient
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+
La prise en charge
 A
partir du diagnostic, le clinicien va pouvoir orienter son
patient vers un type particulier d’action thérapeutique.
 Modalités
de prise en charge très diverses :
 Renvoi vers un psychiatre pour un traitement médicamenteux
 Thérapies
 Séances avec un psychomotricien
 Orthophonie
 …
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