(À CLASSER À LA SUITE DU SOUS

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(À CLASSER À LA SUITE DU SOUS-CENTRE D’ACTIVITÉS 6240)
AJOUT D’EXEMPLES À LA DÉFINITION D’USAGERS AMBULANTS ET SUR CIVIÈRE
PRÉSENTÉS AU RAPPORT STATISTIQUE (AS-478)
PAGE 12
La répartition des usagers de l’Urgence entre réorientés, ambulants et sur civières.
USAGERS RÉORIENTÉS (1)
Usager qui, lors d’une visite à l’urgence, est réorienté vers une ressource autre que
l’urgence (interne ou externe) après le triage.
USAGERS AMBULANTS
Usager qui, lors d’une visite à l’urgence, bénéficie de la consultation ou reçoit le traitement
requis sans que son état nécessite la mise sur civière. (2)
USAGERS SUR CIVIÈRE
Toute personne inscrite à l’urgence qui requiert une civière, à cause de sa condition
médicale ou psychosociale (3), pour des fins de traitement ou d’évaluation ainsi que toute
personne occupant une civière à l’urgence et qui se trouve en attente d’hospitalisation, de
retour à domicile ou de transfert vers une autre ressource du système de soins.
____________________
(1)
Ce nombre peut comprendre des usagers inscrits qui quittent sans être vus.
(2)
Le guide de gestion de l’unité d’urgence nous donne les exemples suivants pour lesquels un usager
est considéré ambulant, qu’il soit placé sur une civière ou assis dans un fauteuil :
« 1.
2.
3.
4.
(3)
les cas nécessitant une civière seulement pour procéder à un examen ;
l’utilisation de fauteuils pour les patients ;
les patients arrivant par ambulance ne doivent pas être catégorisés automatiquement
comme des « cas civières », mais doivent passer par le processus de triage pour y être
catégorisés comme tous les patients ;
le patient couché par souci humanitaire ou pour des raisons de commodité. »
Le guide de gestion de l’unité d’urgence recommande de coucher sur civière les usagers présentant
les conditions suivantes :
« 1.
2.
3.
4.
5.
6.
le patient présente une pathologie qui comporte un risque de morbidité ou de mortalité et
qui nécessite une prise en charge immédiate dans la salle de réanimation ;
le patient présente une instabilité des signes vitaux;
le patient présente des symptômes nouveaux ou une exacerbation de symptômes reconnus
comme comportant un risque de morbidité ou de mortalité que l’on doit investiguer,
surveiller et traiter ;
le patient a des symptômes non spécifiques incapacitants, empêchant l’ambulation :
confusion, vertiges importants, faiblesse marquée, incapacité de marcher, etc. ;
le patient présente une douleur importante nécessitant l’administration d’un analgésique
par voie parentérale;
le patient présente une condition psychiatrique qui demande une protection : patients
agités, suicidaires, etc. »
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