Chapitre 5 : Motricite volontaire et plasticite cerebrale

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 Chapitre 5 Motricité volontaire et plasticité cérébrale I)
Les aires cérébrales de la motricité volontaire L’exploration du cortex cérébrale est réalisable grâce a des technique de l’imagerie médicale. Ces techniques permettent non seulement d’observer ces zones avec précision mais aussi de déterminer les zones actives lors d’une activité définie. Ces zones actives sont appelés les aires motrices primaires et aires près motrice. Les premières commandent directement les mouvements chaque partie du corps humain est associé a une zone précise du cortex cérébrale et qui assure une commande motrice. Les aires promotrices jouent un rôle de planification du mouvement. Ces aires sont mit en évidence lors de l’apraxie qui est due à un déficit des neurones de ces aires. II)
Du cerveau aux motoneurones de la moelle épinière 1) Les conséquences d’un accident modulaire et cérébrale Une accident qui provoque une fracture de la moelle épinière entraine une paralysie de certains membres selon ou ce situe la rupture. Les messages nerveux qui partent du cerveau passent donc par la moelle épinière avant d’atteindre les organes. D’autre part lors d’un AVC qui est un ralentissement de la circulation sanguine ou la formation d’un Caillaux dans le cerveau montre que certains mouvements ne peuvent plus se produire, ce qui provoque une paralysie complète (tétraplégie), soit une paralysie de la moitié du corps (hémiplégie). Donc les cellules ??? en particulier pour l’apport de glucose, et d’oxygène. 2) Les neurones présents au niveau du cortex moteur gauche se dirige au niveau du bulbe rachidien vers la partie droite de la moelle épinière et plus précisément la corne ventrale de la substance grise, et a différents endroits de la moelle épinière ces neurones seront en relation avec d’autres neurones moteurs qui relient la moelle épinière aux organes. C’est le contraire pour les neurones présent dans le cortex moteur de la partie droite du cerveau. III)
Le rôle intégrateur des motoneurones modulaire La fixation d’un neurotransmetteur sur son récepteur entraine une dépolarisation ou une hyperpolarisation de la membrane post synaptique selon le type de neurotransmetteur. Plus l’intensité de stimulation du neurone pré synaptique (qui vient du cerveau ou du muscle pour reflexe myotatique) augmente, plus la quantité de neurotransmetteur libère augmente, et plus la variation du potentiel de membrane favorisant ou empêchant la formation d’un potentiel d’action post synaptique. Il existe deux types de synapses, les synapses excitatrices qui augmente la fréquence des potentiels d’action dans le neurone post synaptique, par exemple avec le neurotransmetteur acétylcholine. Les synapses inhibitrices qui diminuent la fréquence des potentiels d’action post synaptique par exemple avec le neurotransmetteur gamma. Ainsi les signaux afférant de faible intensité ne suffisent pas toujours à déclencher un signal effarant et donc une réaction. Au niveau de la moelle épinière chaque motoneurone réalise des synapses avec un grand nombre de neurones provenant du muscle ou du cerveau. Le motoneurone effectue une sommation des différents messages reçus de ses neurones. La sommation des messages provenant d’un seul neurone est appelée sommation temporelle. L’ensemble de la sommation spatiale et de la sommation temporelle constitue l’intégration neuronale. IV)
La plasticité cérébrale 1) Apprentissage moteur La comparaison des cartes motrices de plusieurs individus révèle des différences importantes. Le cortex moteur présente des capacités de remaniements au cours la vie surtout chez l’enfant. C’est ce qu’on appel la plasticité. Cette plasticité est due à différents facteurs, en particulier a l’entrainement moteur. Des études réalisés par IRM fonctionnel montre qu’un entrainement entraine la taille des territoires de l’air motrices primaires contrôlant les muscles mit en jeu, ce qui augment les performances. De telles modifications peuvent s’obtenir rapidement, mais dans ce cas seront transitoires et réversibles. Un entrainement répété sur des périodes plus grandes stabilise ces modifications. La plasticité du cortex moteur est à la base de l’apprentissage moteur. 2) Les capacités de récupération A la suite d’un AVC affectant les aires motrices corticales (et donc la motricité de certains muscles), on observe une récupération progressive des capacités motrices. De nouvelles régions des deux hémisphères sont recrutées lors de la réalisation de mouvement que l’AVC avait affecté. La rééducation est onc importante. Cette plasticité est essentielle aux facultés de récupération motrices après un accident. 
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