Centres colorés du diamant : source “pratique” de photon unique

publicité
Nanosciences au cœur
des technologies
convergentes
Centres colorés du diamant : source
“pratique” de photon unique
Vincent Jacques, E Wu, Frédéric Grosshans,
François Treussart et Jean-François Roch
Laboratoire de Photonique Quantique et Moléculaire,
Ecole Normale Supérieure de Cachan
[email protected]
Merci à Philippe Grangier et Alain Aspect
(Laboratoire Charles Fabry, Institut d’Optique)
Début XXe siècle: le photon
particule de lumière
•Einstein (1905). Lumière constituée de
quantas, grains élémentaires d’énergie E = hν
baptisés « photons » en 1922.
• Comment réconcilier le modèle corpusculaire avec les
phénomènes ondulatoires de diffraction et d’interférence ?
• De Broglie (1925) : dualité onde-corpuscule
La lumière est à la fois une onde (capable
d’interférer, d’être diffractée) et un
ensemble de particules possédant une
énergie, une quantité de mouvement…
…et de même, les particules comme les
électrons se comportent aussi comme des
ondes : diffraction, interférences.
Comment se représenter cette dualité ?
comportement ondulatoire des particules
trous d’Young
T1
S
Particules émise une par
une, toutes “dans le même
état” : émission à partir
d’un même point source,
direction aléatoire, énergie
déterminée
probabilité
de détection
PD
D
PD
T2
quand on déplace le détecteur
PD est modulée
si un des deux trous est fermé
pas de modulation → PD constant
Interprétation: chaque particule est décrite par une onde qui
passe par les deux trous et se recombine sur le détecteur
PD dépend de la différence des chemins ∆ = ST1 D − ST2 D
3
Comment se représenter cette dualité ?
comportement corpusculaire
T1 D1
S
détection simple P1
détection en
coïncidence
PC
T2 D2
Particules émise
une par une,
toutes “dans le même état”
détection simple P2
D1 et D2 déclenchés aléatoirement
taux moyen constant
mais pas de coincidences : PC = 0
→ anti − corrélation
Interprétation: une particule unique passe soit à travers le
trou T1, soit à travers le trou T2, pas les deux à la fois.
Image classique : une particule unique ne se divise pas. 4
Test du comportement corpusculaire ?
Caractère corpusculaire considéré comme «évident»
pour électrons, neutrons, atomes, molécules :
observation d’effets ondulatoires
Lumière très atténuée telle que distance moyenne
entre photons grande devant dimension de
l’appareil : observation d’effets ondulatoires en
lumière très atténuée
film
Expérience de
Taylor (1909)
Proceedings of the Cambridge
Philosophical Society,
15, 114-115 (1909).
fente
épingle
figure de diffraction
Critère de comportement corpusculaire
Particule :
on attend
Philippe Grangier et Alain Aspect - 1986
détection simple
PC = 0
Onde : passe
par les deux
trous à la
fois et on
attend
T1 D1
S
T2 D2
P1 != 0
détection en
coïncidence
PC
détection simple
P2 != 0
PC != 0
PC
<1
Critère de comportement “corspuscule” α =
P1 × P2
impulsions atténuées (LED ou laser) → α = 1 !
En accord avec les prédictions de la théorie quantique de
la lumière : la lumière très atténuée est décrite comme
un état “quasi-classique” (ou état cohérent de Glauber).
6
Sources de photons uniques
La théorie quantique de la lumière permet de concevoir
des sources de photons uniques pour lesquels
un comportement corpusculaire est prédit :
α<1
atome isolé
excité
émet un
photon et
un seul
(e)
(g)
détection simple
T1 D1
T2 D2
P1 != 0
détection en
coïncidence
PC
détection simple
P2 != 0
Dans les sources lumineuses classiques (lampe
fluorescente, laser, LED, ...) un très grand nombre
d’émetteurs sont excités simultanément.
Comment isoler un seul atome, ou plus généralement
un seul centre émetteur excité ?
Première source de photon unique
Alain Aspect et Philippe Grangier - 1986
Cascade radiative atomique.
dye laser
ν1 (551 nm)
τ = 5 ns
Kr ion laser
ν2 (423 nm)
Atome unique isolé
temporellement : pendant une
durée de 5 ns suivant la
détection de ν1 un atome unique
est pret à émettre un photon et
un seul de fréquence ν2.
résultat expérimental
αmes = 0.18 ± 0.06
α < 1 → anticorrélation
comportement corpusculaire
Et aujourd’hui ?
• On utilise des atomes ou ions refroidis et piégés
• Il s’agit cependant de sources complexes à
mettre en œuvre
• Peut-on imaginer des sources de photon unique
plus “pratiques”, (presque) “presse-bouton” ?
coups/20 ms
isolée
etMolécule
photons
uniques
spatialement
signal/fond ! 30
20
15
20
10
δt
Γ
1
δt !
Γ
t
15
5
10
2
5
4
)
!m
X(
3
5
6
5
6
7
8
9
)
Y (! m
F. De Martini et al., Phys. Rev. Lett. 76, 900 (1996)
B. Lounis & W. E. Moerner, Nature 407, 491 (2000)
Molécules à T
ambiante :
Molécules
:
souplesse d’emploi
souplesse• d’emploi,
• efficacité élevée
efficacité
élevée,
• mais photodestruction !
Nombre de photons/50 µs
Quel émetteur
choisir
Quelles peut-on
applications envisager
? ?
20
excitation à
saturation
15
12
8
énergie des
impulsions
laser
d’excitation
5
0
34$5(6$7189":7;64(<;&1$(1
89=+<77<;&17;&(1"55;68":%$71
7><#"&(1%"1("<%%$18$714"6(<5>%$7
Boîtes quantiques d’InAs
dans des micro-piliers
Nanocristaux de CdSe
Spectre d’émission étroit relié
à la taille des nanocristaux
10nm
4
0
Ep (pJ)
!"#$%#&'
!"#$#%&'"#$()%*%+),-"#$.-*/)0%-*"-1#!"#$%#&'
mais photoblanchiment
(105 à 106 photons à T ambiant)
!"#$%#
10
0
100 200 300 400 500
Temps (ms)
#
'"&
'"%
'"$
'"#
*-./., '
!"&
!"%
!"$
!"#
!
()!
0.01&+
21&+
*$1)(/('%+&1#/-2)1$.
$)!
))!
%)!
!"#$%$&'() *&+,
!"#$#%&'$(%)*%#+#$,
(-&'01&-#$2 ./-"./
,-$)1""1-4#$,50'%)408%&$-#'$(%&'49"+;<$&)$"%4#$,-$"0$#8
(%""%?,0"-6
Centres colorés NV du diamant
"molécule artificielle" parfaitement photostable
Centre
coloré
N-V
dans
le
diamant
Centres colorés NV du diamant
Collaboration Philippe Grangier (Labo. Charles Fabry, Institut d’Optique)
atome d’azote (N) comme
impureté
associé
à
Création
des centres
colorés
Azote le(irradiation
une lacune (V)N=dans
site adjacent
de
la 800°C)
électronique
+ recuit
V= Lacune
mailleVcristalline
nonraw
irradié
irradié
+ annealed
N
C
V
Photostable
à
N
température ambiante !
irradiated
diamond
non recuit
50 !m
50 µm
recuit
photoluminescence
a microcristal
microcrystal
Photoluminescence of
d’un
(excitation
!=500-550
pause 1.5 s)
λexc
= 500nm,−temps
550 de
nm
• Les impuretés d’azote sont naturellement
présentes dans du diamant synthétique (type I)
• Irradiation électronique permettant de créer
les lacunes V dans le cristal + recuit à 800°C
Emission des défauts dans le diamant
.
.
. .
nair = 1
Limit angle ~ 24.5°
Photons are trapped in the
NV
crystal by internal reflection...
Optical aberrations induced
ndiamond = 2.4 by the strong mismatch of
bulk diamond indexes of refraction
ndiamond = 2.4
Nanocristauxde
de diamant
diamant photoluminescents
Nanocristaux
photoluminescents
Collaboration
Thierry Gacoin (Labo. PMC,
École Polytechnique)in bulk ?
• How
to
circumvent
emission
Collaboration Thierry Gacoin (Labo. PMC, École Polytechnique)
centres
NV émettant
abrasive
diamond
powder
Poudre
d’abrasion
dispersée
comme
dans
l’air
dispersed
a polymer
dans
une in
solution
polymère, puis
size selection
centrifugation
triée en by
taille
par centrifugation
Poudre
d’abrasion
dispersée
Thierry GACOIN (PMC)
40
occurence
diamond nanocrystal
centres
NV émettant
!λλ
taille
< 10size
nm
with
!
comme dans l’air
60
λ
occurence
taille < 10 nm !
20
0
60
40
020
taille moyenne=7.2 nm
dév. standard= 5.6 nm
7.2
± 5.6 nm
taille moyenne=7.2 nm
−15
standard=
10dév.
carat5.6!nm
10
20
30
size
in(nm)
nm
taille
Détection par microscopie confocale
cw or pulsed excitation
amant photoluminescents
PMC, École Polytechnique)
air
taille moyenne=7.2 nm
dév. standard= 5.6 nm
40
z control
e
puis
ation
occurence
60
20
0
0
ON=0.95
silice
spectrograph
100 µm
signal
! 30
background
10
20
taille (nm)
30
polymère
polymer
ép.!30
! 30 nmnm
miroir de
Bragg
Bragg
mirror
start
stop
histogram
of time delays
Thèse de Alexios Beveratos
(Institut d’Optique)
13
Interférence avec un photon unique
Interferomètre éclairé par une source de photons uniques
Orsay 1985
MZ1
(α < 1 observé)
ICCD
MZ2
V. Jacques et al., Eur. J. Phys D 35, 561 (2005)
Dualité onde particule: bizarre!
Première expérience
T11
Comportement T
corpusculaire:
SS
photon unique
passe soit par T1
TT22
soit par T2.
Deuxième expérience
Comportement
ondulatoire: photon
unique passe par les
deux trous à la fois.
T1 D
1
S
détection simple
DD11
T2 D2
T1
S
T2
détection en
coïncidence
PC
détection simple
D
P1 != 0
P2 != 0
Résultat en D
dépend de la
différence
des chemins
ST1 − ST2
Même source, mêmes trous : incompréhensible avec
les images classiques d’onde et de corpuscule.
Complémentarité de Bohr
Il faut choisir la question posée au sytème:
“Par quel trou passe le photon ?” OU BIEN “Interférence ?”
On ne peut poser les deux questions à la fois.
Que se passerait-il si on attendait que l’impulsion lumineuse
ait dépassé les trous pour choisir l’appareillage ?
« …decide whether to put in the second beamsplitter or take it
out at the very last minute. Thus one decides the photon shall
have come by one route or by both routes after it has already
done its travel. »
J. A. Wheeler
Delayed-choice experimental set-up
Wheeler’s BSout
48 meters
Interferometer
là d’un générateur qui repose sur un phénomène p
alors pas possible de trouver un algorithme qui p
contrairement au cas de générateurs pseudo-aléa
mathématiques.
amplified shotnoise
QRNG
Noise (mV)
40
0
-40
40
0
-40
VEOM = Vπ
1
1.2
0
2
4
6
8
Time (µs)
10
Ramdom number
Random Noise (mV)
Measurement random choice
VEOM = 0
1.0
0.8
0.6
0.4
0.2
0
!/2
BS'
WP
EOM
Nc
D2
BSoutput
N1
D1
N2
Figure 8: Géneration de nombres aléatoires à par
Le système que nous utilisons est simplement
de focalisation et d’une photodiode BPX65. Un c
tension bas bruit, mis au point dans le groupe d’O
le bruit de photon, permet de couper la compos
d’amplifier le bruit de photons (Figure 9). Les c
de répétition de 4.2 MHz, soit une impulsion de p
impulsions, une électronique rapide effectue la com
EOM
à zéro et génère un nombre
aléatoire 0 ou 1. Afin
dans la suite de 0 et de 1 générés par ce système,
• If 0 comes out → V
=0
“open” configuration
!
A(τ
)
=
• If 0 comes out → VEOM = VπS(t)
“closed”
configuration
Afin de faciliter la procédure de normalisation de
τ
Dans ce cas, la moyenne de la série de nombres
18
fonction A(τ ) sur sa valeur à τ = 0 :
“Space-like” separation
single-photon
emission
τrepτ=
rep240 ns
τinterfτinterf
= 160 ns
τsp
Input
C
48 m
1"
"
"n
"n
ck
ck
lo
lo
C
C
Output
t
n+1
n
n-1
Space-like
region
lo
ck
"n
+1
"
x
EOM
QRNG
0
50
100
Time (ns)
150
200
250
300
350
Time (ns)
Choice for photon ''n''
400
450
Detection
gate τd
500
550
Time (ns)
600
Time (ns)
EOM switches: the photon is in the interferometer.
19
3.3
Résultats de l’expérience
3.3.1
Interférences en choix retardé.
Delayed-choice experiment : results
BS1
BD1
λ/2
Pour chacune des positions de la cale piezoelectrique, permettant de varier la différen
marche entre les deux bras de l’interféromètre, on sépare les détections obtenues pour l’
sur la position 0 V et celles obtenues lorsque l’EOM est polarisé avec la tension Vπ . On eff
l’acquisition pour chacun des points de l’interférogramme durant un temps d’intégration T
s. Les résultats obtenus sont représentés sur la figure 13.
BS2
BD2
Counts
the random choice
EOM
Single
2000 (a)
of the measurement is
photon
Wollaston
source
Φ
1500
performed once the
3.3 Résultats de l’expérience
Random 1000
3.3.1 Interférences en choix retardé.
Trigger
CLOCK
photon has already
choice 0 or 1 ?
Pour chacune des positions de la cale piezoelectrique, permettant de varier la différence de
marche entre les deux bras de l’interféromètre, on sépare les détections obtenues pour l’EOM 500
flew through BS1
1m
48 m
sur la position 0 V et celles obtenues lorsque l’EOM est polarisé avec la tension V . On effectue
π
l’acquisition pour chacun des points de l’interférogramme durant un temps d’intégration T = 1.9
s. Les résultats obtenus sont représentés sur la figure 13.
1500
1000
10
0
2000
(b)
1500 fringe
1000
500
60
visibility V = 0.94
60
and if 0 comes out...
1000
0
30
40
50
PZT voltage (V)
30
40
50
PZT voltage (V)
(b)
1500
500
20
20
2000
500
10
Counts
If 1 comes out...
(a)
Counts
Counts
2000
0
0
10
20
30
40
PZT voltage (V)
50
60
equal probability of detection on
the two channels
Figure 12: Résultats de l’expérience d’interférence en photon unique dans le régime de
retardé. (a)-Franges d’interférence obtenues pour l’EOM chargé sur sa tension demi-ond
Afin de s’affranchir des problèmes de chromatisme évoqués précédemment, la fluorescenc
centres colorés est filtrée sur une largeur de 10 nm, centrée à 670 nm. Après soustractio
événements dus aux coups d’obscurité des détecteurs, on mesure un contraste des frang
98% sur chacune des deux voies complémentaires de l’interféromètre. Les coups d’obscurité
respectivement de 59 s−1 et 70 s−1 pour les APD 1 (en bleu) et 2 (en rouge). (b)-Lorsqu’au
tension est appliquée à l’EOM, les franges d’interférence ne sont plus observées et on obtien
déétections équiprobables sur les deux détecteurs. Dans ce cas, chacun des détecteurs est as
à un bras de l’interféromètre ce qui correspond à une information complète sur le chemin
par le photon.
20
integration time 1.9 s for each acquisition point
Results in perfect agreement with Quantum Mechanics
0
Les diamants brilleront-ils dans l'électronique ?
2
enzymatic activity of mitochondria . Apoptosis will also be evaluated by the measuring ex
related proteins (Bcl-xl, Fas, and active caspase 3) using immunoblotting after protein resolut
Conclusion and perspectives
Cellular Binding and Uptake
Hela cells will be grown on coverslips in DMEM medium supplemented with 100 units/mL p
streptomycin, and 5% foetal calf serum at concentrations to allow 70% confluence in 24 h (i.
On the day of experiments, cells will be washed with prewarmed PBS and incubated with p
reduced OptiMEM media for 30 minutes before the addition of different amounts of diamo
2
50µg / 6 cm ). Cells will be incubated for various times (75 min to 16 h) at 37°C, washed
CNRS > Presse > Journal du CNRS > Le vin dans la tourmente / N°188 Septembre 20
fixed with 4% paraformaldehyde,
mounted, and visualized by fluorescent microscopy.
Physique des matériaux
Presence of nanoparticles will be assessed by fluorescent microscopy under oil immer
magnification microscope
objectives.
Attachment to
the cell
surface and internalization
will b
Les diamants
brilleront-ils
dans
l'électronique
?
of confocal imaging (TREUSSART, LPQM) with individual images taken along the z-axis at 0.1
images will be combined
andleurs
deconvoluted
reconstruct
image
of t
Au cours de
expériences,to
des
chercheurs a
ontthree-dimensional
réussi à améliorer la
conductiv
analysis. Routes processus
will be determined
usingfaire
co-localization
methods
performed with other
à maîtriser pour
d'eux les meilleurs
des semi-conducteurs.
known to be taken up by specific pathways e.g. the endosomal pathway.
Ultrastructure localization of diamond nanoparticles will also be studied in fixed cells by Hi
THOREL (Armines). These studies will compare the NDs localization using different fixation an
to avoid delocalization artefacts. Results will be compared to route determination achieved o
convergent results these ultrastructure studies will provide important information regard
processes.
Individual colour centres in diamond are really
“turn-key” single-photon emitters at room temperature
All our results have been obtained with unoptimized
off-the-shelf diamond material.
Developed ultra-pure CVD diamond.
Lithographically written
defect centres.
Remarkable spin properties.
Coupling to microcavity or photonic
bandgap.
Other centres ? Si-V ? Xe ?...
Markers with intrinsic
T3.2: Vectorization of Biomolecules, Proof of Concept
As a proof of concept, the objectives are here to transfer either nucleic acids or bioactive pep
the diamond nanoparticles to demonstrate its potential as a versatile vector.
Quantum Cryptography
T3.2.1 Cell transfection by DNA - Nanovector complexes
We will investigate whether the diamond nanoparticle vector enables efficient cytoplasmic
nucleic acids i.e. plasmid DNA. Functionalized diamond nanoparticles with amino function
BOUDOU and GACOIN. DNA will be coupled using different linkers designed with varying
dendrimeric structures to achieve non covalent interactions with charges DNA. This charge
help intracellular delivery, as routinely used with DNA and different amine-substituted syste
properties of the diamond nanoparticles will allow us to visualize the penetration route, which
the other systems used to deliver DNA within a cell.
HeLa cells will be grown as described above. FCS concentration will be adjusted to slow
when needed. Plasmid DNA will be that coding for EGFP to allow fluorescent quantif
efficiency. Plasmid DNA will be amplified in E.coli and purified by resin kits. The concentra
À travers
hublot help
de ce réacteur,
on peut observer
un diamant
will be check before
usele with
of standard
procedure.
Nucleic-acids nanovector com
synthétique en cours de fabrication
4 grâce à un plasma d'hydrogène et
directly to 24-well plate
containing ~3 x 10 cells per well in DMEM or RPMI without FCS or c
de méthane.
S. Godefroy/CNRS
(to modulate cell ©division).
Cells Photothèque
will be plated at least 24 h before transfection, and c
transfection, prior GFP fluorescence analyses.
Il a tout pour devenir le joyau de l'électronique de demain. Résistant à des tempér
Feasibility
puissances et capable de répondre à de hautes fréquences, le diamant supplant
Preliminary resultssemi-conducteur
have been obtained
by T90
REUSSART
and CURMI en
with
a complexsont
of polyc
avec lequel
% des composants
électronique
encor
montre DNA
facilement
ses (pEGFP)
faiblesses, was
car sa
température
limite d'utilisation
d'en
nanoparticles on which
plasmid
attached.
Transfection
of HeLaest
cells
w
pour des(Figure
applications
with a very low efficiency
4). dans des conditions extrêmes, dans l'aéronautique, le spa
luminescence for Biology
très résistants sont requis.
En théorie donc, de tous les semi-conducteurs, le diamant est le meilleur, le plu
pour la pratique, c'est une autre histoire. Si les chercheurs savent depuis plu
Figure
4 : Preliminary
transfect
synthétiques, purs et sans défauts de structure
– conditions
indispensables
pour l'é
maîtrise de leur conductivité. Une équipe pilotée
Jacques Chevallier,
direct
pEGFPparattached
to 100 nm
di
1
physique des solides et de cristallogenèse Fluorescence
(LPSC)
tiendrait
pourtant
une (gr
pi
of GFP
protein
conductivité. Mais tout d'abord, rappelons la technique de la culture du diama
on Hofman modulation contrast t
enfermé un gaz composé à 99 % d'hydrogène (H 2) et à 1 % de méthane (CH4) e
HeLa cells. This work was carrie
décomposé par une énergie micro-onde, est réduit en atomes instables et réacti
CURMI
using
microscope
conférences et chercheur au laboratoire. Il seand
produit
alors
un miracle
de la fac
nat
C. LAPLACE
microscope
obje
l'état gazeux décomposé vont venir délicatement
et dans );
unx40
ordre
précis se dépos
se cultive, couche par couche, au rythme d'un micromètre par heure, le diamant sy
dépôt chimique en phase vapeur, permet en outre d'y introduire les impuretés do
Jacques Chevallier. C'est-à-dire ? « Pour réaliser des dispositifs électroniques,
conducteur dont la conductivité électrique est établie par des dopants “donneurs” d
des dopants “accepteurs” d'électrons (conductivité de type p). » Dans le diamant,
F. Treussart
(ENS Cachan)
Patrick Curmi
(INSERM &
Univ. Evry)
Remerciements
INSTITUT UNIVERSITAIRE DE FRANC
JOURNÉES SCIENTIFIQUES 2005
EADS CENTRE COMMUN DE RECHER
DEPARTEMENT PHYSIQUE DE
L’ENVIRONNEMENT DES SYSTEMES
et merci pour votre attention !
Téléchargement