A consulter : le Krach du Libéralisme, Manière de voir, 102

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LES LIBERALISMES ECONOMIQUES
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Mercredi 4 Mars 2009
R.ROUSSILLON (SES 38 Villefontaine) – rrses.free.fr
Les libéralismes économiques face aux faits économiques, sociaux et politiques :
La dynamique de l’évolution et de la diversité dans la pensée économique libérale
depuis le XVIIIe siècle dans le monde.
PBQ : Comment expliquer les tranformations de la doctrine économique libérale au regard de l’histoire des
idées et de l’histoire des faits ES depuis la révolution industrielle dans le monde ?
PLAN I-
Du libéralisme classique au libéralisme néoclassique : l’essor du capitalisme
comme résultat du désencastrement de la sphère économique du social.
La théorie de la valeur chez les Classiques, invalidée par la critique économique de Marx, dans sa
théorie de la plus value, conduit à une transformation de la théorie libérale, qui s’adapte à son
incapacité à expliquer le monde économique observable. Les Néoclassiques fondent la scientificité
de leur théorie sur une formalisation mathématique de leurs théories.
A- La régulation de l’économie chez les Classiques
B- Le commerce international au cœur de la théorie économique des Classiques et
Néoclassiques
II-
Le libéralisme économique keynésien, moteur de la démocratie sociale ?
La crise du capitalisme économique et financier conduit à renforcer le rôle de l’Etat dans la
régulation sociale. L’économie se réencastre dans le social. Les pouvoirs publics, béquille du
capitalisme ?
A- Le rôle central de l’Etat (et des autres administrations publiques) dans le libéralisme économique
keynésien
B- Les institutions financières de Bretton-Woods, au service du libre-échange
III-
Le néolibéralisme, un totalitarisme du marché ?
L’essoufflement du modèle de croissance fordiste, et des politiques économiques keynésiennes,
inefficaces en économie ouverte, conduisent à la mise en place d’un courant idéologique centré
sur l’Offre et refusant à l’Etat toute légitimité d’intervention économique, sinon pour favoriser les
mécanismes du marché.
La mise en concurrence entre pays et entre salariés conduit à une remise en cause du rôle de
l’Etat, qui se voit chargé de mener une politique d’attractivité des capitaux étrangers, pour attirer
les activités à forte valeur ajoutée sur son territoire. Reprenant beaucoup des principes du
libéralisme classique et néoclassique, il en oublie cependant la principale leçon : la crise de 1929,
la crise de l’offre.
A- Les nouveaux courants libéraux et la question de la régulation de l’économie
B- Le néolibéralisme et les capitalismes financier et cognitif mondialisé
Conclusion : la fin du Libéralisme économique ?
A consulter : le Krach du Libéralisme, Manière de voir, 102 / Décembre 2008 - janvier 2009,
LES LIBERALISMES ECONOMIQUES
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Mercredi 4 Mars 2009
R.ROUSSILLON (SES 38 Villefontaine) – rrses.free.fr
Université populaire d’Avignon : http://www.upavignon.org/archive/cours/cours_passes.html
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