Signe de gravité

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Pole Pneumologie
Cours III
Infection broncho-pulmonaires
Objectifs
-
-
-
En ville
o Difficulté du diagnostique
o Car ils ne font pas de bon diagnostique
o Technique et économique
 Font des tests inutiles
 Induit le patient en erreur
Objectif 5
o Tout pigé au schéma
o Si douteux
 Antibiotique qui marche sur la bande des trois et le Pneumocoque
 Telithromycine 800 mg/j
 Prestinamycine
o Sujet sans Comorbidité mais avec signe de gravité
 Oxygénothérapie
 ABO IV en urgence
 PO
 Bande des Trois
 Amoxiciline ou C3G + Macrolides
 Fluroroquinolone active sur SP
o Moxifloxacine
o Levofloxacine
o Suet avec Comorbidité dont sujet âgé
 Hospitalisation
 Sans signe de gravité
 Augmentin
o Amoxicilline + Acide clavulanique
o 1g *3 par jour
 Avec signe de gravité
 Céphalosporine
 Fluoroquinolone
 1 sur 100 pneumonies
Objectif 6
o Attitude thérapeutique a tenir lors de la réévaluation à 48-72h
 Critère de suces (forme peu sévère)
 Défervescence thermique





 Amélioration des SFR
 Amélioration de l’asthénie
 Critère clinique et pas Radiologique
o Car l’extension peu encore continuer sur plusieurs jours
Sévère
 Défervescence thermique
 Stabilisation de l’état respiratoire et hémodynamique
 Arrêt de l’extension des opacités
En cas de succes
 Peu sévère
o Poursuivre le traitmeent initial sur 7 a 14 jour
o Si decision de control radio, le faire a distance (21 jour jeune,
2 mois âgé)
o Discuté fibroscopie si tabagisme majeur ou abces
 Sévère
o Dapter le traitement aux résultat microbiologique
 Si antigenurie legionelle
 Antilegionelle
Critère d’échec
 Peu sévère
o Persistance de la fièvre
o Aggravation des sfr
o Aggravation de l’asthénie
 Sévère
o Persistance de la fièvre
o Aggravation Respiratoire ou Hémodynamique
o Opacité continuent de s’étendre
Avant d’envisager de changer l’antibiothérapie
 Est-ce que je suis sure que la fièvre qui persiste ne traduit ps une
localisation de l’infection qui relève d’un drainage mécanique
o Pleurésie
 Fièvre n’est elle pas dû a une réaction allergique (érythème,
éosinophilie)
 Pneumopathie initial était-elle bien d’origine bactérienne
o Radio permettant de déterminer si viral, parasitaire ou
tuberculeuse, ou immunologique)
e
 Voir 4 question
En cas d’echec
 Sans comorbiditéet sas gravité
o Echec Amoxiciline
 Macrolide ou substituer télithromycine
 Chez le sujet avec Comorbidité
o Echec de l’antibiothérapie initial
o Nécessité d’une imagerie thoracique
o Les modification d’antibiothérapie doivent combler les
lacunes de l’antibiothérapie initiale.
Définition
Epidémiologie
-
Fréquentes (10^7 bronchite chronique par an)
Graves
Couteuse et dangeureuse écologiquement
o Non Justification de la prise d’antibiotique
 Perte de sensibilité aux traitements
 Augmentation des couts
Physiopathologie
Le germe a trois propriétés :
-
Sa virulence
Inoculum
Résistance
o Sensibilité aux antibiotiques
L’hôte à trois types de défenses :
-
-
Defense mécanique
o Au niveau du larynx
o Du carrefour
o Ascenseur muco-cilliaire
Défense immunitaire
o Inée
 Polynucléaire neutro et macrophage
o Acquise
 Lymphocyte CD4
 Lymphocyte B
La pathologie respiratoire est le résultat de cette interaction :
-
Infection de surface
o Bronchite
Infection profonde
o Pneumonie
BPCO
Inflammation chronique de la bronche qui entraine une colonisation bacterienne va produire un
obstacle dans la bronche, entrainant la BPCO.
L’exacerbation consiste à une inflammation aigue :
-
Nouvelle bacterie
Viral
Aéorcontaminant comme le tabac
Entraine une pullulation bactérienne.
On a tendance a proposer un nouveau antibiotique si nouvelle bacterie.
Etiologie
-
-
-
-
Bronchite aigue
o Chez le sujet sain
o Virus
o Pas d’antibiotique
Pneumonie
o Sujet sain
o Agent infectieux
 Bactérie non nécrosante
 Spretococcus pneumoniae
o Le plus mortel
o Le plus fréquent
 La bande des trois bactéries a développement intracellulaire
o Mycoplasma pneumoniae
o Chlamydia pneumoniae
o Légionella pneumophila sérogroupe 1
 Virus respiratoire
 SRAS
 Peu commun
 Hémophilus influenzae
 Myobacterium tuberculosis
o ABO type 1
Pneumonie Abcédée
o Defense mécanique diminué (pas un sujet sain)
o Bactére nécrosantes
 Staphylococcus species
 Entérobactéries
 Escherichia coli
 Klebsiella pneumoniae
 Bactérie anaérobies
 Pseudomonas species
o ABO type 2
o Ne peux se développer que chez ce type de sujet
Pneu de l’immunodéprimée (pas au programme)
o Défenses immunitaires diminuées

Deficit polynucléaires neutrophiles
 Staphy sp, enterobac, pseudomonas et aspergillus
 Deficit en immunoglobuline
 Streptococcus pneumoniae
 Haemophilus
 Deficite en T
 Pneumocystis
 Cryptococcus
 Cytomegalovirus
o Germe opportuniste
o Traitement spécifique
Facteur de rsique (important)
-
-
-
Comorbidité justifiant a elle seule l’hospitalisation
o Inhalation
o Obstacle bronchique
Comorbidité justifiant l’hospitalisation si associées (au moins 2)
o Age sup 65
o Maladie rénale chronique
o Maladie hep chronique
o Vie en institution
o Immunodépression
o Maladie cérébro-vasculaire
o Hospitalisation dans l’année
o Insuffisance respiratoire chronique
o Diabète sucré non équilibré
o Insuffisance cardiaque congestive
Situation particulière
o Prise en charge non fiable
o Diarrhée
 On ne donne pas de médicament ORAL (per os)
Diagnostique
1) Préciser l’état des défenses de l’hôte
2) Identifié la pathologie respiratoire
3) Identifier ou présumer du germe en cause
a. Pneumocoques
i. Tout terrain
ii. Pas d’épidémie
iii. Début brutal
iv. Fièvre élevé
v. Frissons
vi. Syndrome de condensation alvéolaire unique et systématisé
vii. Choc précoce possible
b. Mycoplasma pneumoniae
i. Sujet jeune
ii. Petites épidémies de collectivité
iii. Début rapide mais sans la brutalité du pneumocoque
iv. Fièvre modérée (38)
v. Signes ORL
1. Rhinite
2. Angine
vi. Signes physiques et radiologique discret
vii. Echec de l’amoxicilline (anti-pneumocoque)
c. Legionella pneumophila
i. Commence comme un pneumocoque
ii. Fini comme un mycoplasme
iii. Tout terrain
iv. Début rapide AGGRAVE SOUS AMOXICILLINE
v. Fièvre élevé
vi. Trouble de conscience
vii. Troubles digestifs
viii. Condensations alvéolaires multiples
ix. Choc retardé possible
Identifier la pathologie respiratoire
Bronchite Aigue
Maladie inflammatoire des membranes muqueuses des bronches
1) Début
2) Signe respiratoire
a. Toux souvent productive
b. Rale bronchique
3) Signe extra respiratoire
a. Fièvre modérée
b. Sensation de brulure retrosternale
4) Signe Radiologique
a. Normal
5) Contexte
a. Contexte saisonnier/Epidémique
Pneumonie aigues communautaires
1) Début
a. Brutal
b. impression de gravité
2) Signe respiratoire
a. Polypnée
b. Condensation Alvéolaire
i. Matité
3)
4)
5)
6)
7)
ii. Souffle tubaire
iii. Râles crépitant en foyer
1. Très bonne valeur prédictive
Signe extra respiratoire
a. Fièvre
b. Tachycardie
Signe Radiologique
a. Confirmation si condensation alvéolaire
b. Difficile si opacité en motte de la bronchopneumonie
Biologie
a. Dans des cas délicat
b. CRP
Contexte
a. Sujet sain
Chez le sujet âgé
a. Diagnostique difficile
b. Il ne se plaint pas forcément
c. Faire attention des que signes qui ne s’explique pas
Pneumonie avec Abcès
1) Début
a. Souvent torpide
b. Evolution trainant sous antibiotique
2) Signe respiratoire
a. Expectoration purulente
i. Fétide voir vomique
3) Signe extra respiratoire
a. Tableau de suppuration profonde
i. Anorexie
ii. Fièvre
iii. Asthénie
4) Signe Radiologique
a. Opacité radiologique excavée avec un niveau liquide en son sein
i. Egalité de longueur de face et de profil
5) Contexte
a. Sujet a risque
i. Inhalation
ii. Contamination hématogènes
iii. Signe
1. Trouble de la conscience
2. Trouble de la déglutition
3. Toxicomanie
b. Signe témoignant de la porte d’entrée
i. Etat dentaire déplorable
ii. Phlébite suppurée
1. Toxicomane
2. Dans la zone d’injection phlébite a staphylocoque
Exacerbation de BPCO
1)
2)
3)
4)
5)
Début
Signe respiratoire
Signe extra respiratoire
Signe Radiologique
Contexte
Grippe (pas au programme)
1) Début
a. Brutal
b. Incubation 24-72h
2) Signe respiratoire
a. Discret
3) Signe extra respiratoire
a. Fièvre, Asthénie
b. Myalgie
c. Malaise
d. Frissons
e. Contraste important entre signes généraux et signe physiques.
4) Signe Radiologique
a. Discret
5) Contexte
a. Epidémie
6) Evolution
a. Guérison spontané 5jour
Evaluation des défenses de l’hôte
Diminution des défenses mécaniques :
-
Maladies respiratoire chroniques
Maladie cause de fausse route
Diminution des defenses innées
-
Cirrhose
Diabète ID
Insuffisance rénale chronique
Chimiothérapie
o Plus de globule blanc
Diminution des defenses acquises
-
SIDA
-
Leucémie, Lymphome
Dysglobulinémie
Splénectomie
Immunosuppresseur
Corticoïdes
Identifier germe
-
-
Virus
o Virus (Bronchites aigue)
 Myxovirus
 Virus syncytial repiratoire
 Coronavirus
 Rhinovirus
 Cas de la coqueluche (voir net)
o Examen complémentaires
 Prélèvements nasopharyngé
 Rarement nécessaire
 PCR
 Culture
 Sérologie
 Premier prélèvement au moment de la maladie
 15j 1 mois après pour le 2e prélèvement
 Prélèvements invasifs
Bactérie non nécrosante
o Pneumocoques
 Tout terrain
 Pas d’épidémie
 Début brutal
 Fièvre élevé
 Frissons
 Syndrome de condensation alvéolaire unique et systématisé
 Choc précoce possible
o Mycoplasma pneumoniae
 Sujet jeune
 Petites épidémies de collectivité
 Début rapide mais sans la brutalité du pneumocoque
 Fièvre modérée (38)
 Signes ORL
 Rhinite
 Angine
 Signes physiques et radiologique discret
 Echec de l’amoxicilline (anti-pneumocoque)
o Legionella pneumophila
 Commence comme un pneumocoque
 Fini comme un mycoplasme
-
-
 Tout terrain
 Début rapide AGGRAVE SOUS AMOXICILLINE
 Fièvre élevé
 Trouble de conscience
 Troubles digestifs
 Condensations alvéolaires multiples
 Choc retardé possible
o Examen complémentaires
 Crachat si :
 aspect purulent
 Inferieur à 10 cellules épithéliales par champ
 Supérieur à 25 polynucléaires neutrophiles par champ
 On ne retient que les germe possédant une culture supérieur a 10^7
cfu/ml
 Hémoculture
 Positive seulement dans les formes invasives quand les bactéries
passent dans le sang
 Antigènurie
 On retrouve l’antigène dans les urines
 Légionella
 Pneumocoque
 Sérologie
 Diagnostique rétrospectif
 Prélèvement invasif
Bactérie nécrosante
o Staphylocoque
 Toxicomanie IV
 Porte d’entrée cutanée ou relais endocardique
 Relais endocardite droite
 Phlébite à staphylocoque
 Fièvre élevée
 Opacités périphériques évoluant vers l’excavation
o Anaérobies
 Trouble de déglutition
 Etat dentaire déplorable
 Expectoration purulente et fétide
 Abcès dans les zones déclives
o Examen complémentaires
 Examen de crachat
 Prélèvement invasif
Germe opportuniste
o Prélèvement invasifs
Signe de gravité
PAC
-
Pression art inférieur a 90
Pouls sup a 125
Fréquence respiratoire > 30/mn
Un seul de ces signes hospitalisation
Trouble de la conscience
Température
o Inférieur à 35
o Supérieur à 40
Transfert en réanimation
- Deux des trois critères mineurs
o PA systolique inferieur a 90
o Atteinte radio multilobaire
o Fi02<250
- Ou un des deux critères majeurs
o Choc septique
o VOIR LE DERNIER
Traitement
Bronchite aigue
-
-
PAS D’antibiotique
o Inefficace
o Nocif car rend résistant la flore commensale
Pas d’antitussifs si toux productive
Discussion corticoïdes inhalés en cas de toux persistante avec sifflements
Exacerbation de BPCO
-
Si pas de trouble ventilatoire obstructif
o Pas d’antibiotique
Si TVO peu ou moyennement sévère
o Si expectoration purulente ABO adapté aux bactéries colonisantes initiales
TVO sévère (VEMS < 30%)
o ABO de type 2
 Bactérie nécrosante
Grippe
-
-
Commune de l’adulte sain
o Prise en charge symptomatique
o Antineurminidase
Si detresse respiratoir aigue
o Hospitalisation
o Voir suite cour
Vaccin
Antigrippaux
o Voie sous cutané sauf vivant inactivé
o Rythme d’administration annuel à cause des mutations des souches
o Indiqué chez le sujet âgés de plus de 65 ans ou avec Comorbidité, ainsi que le
personnel soignant
o Permet de diminué de 50% l’hospitalisation
Antipneumococcique
-
Vaccin polyssacharidique PNEUMO 23 tout les 5 ans
Conjugué PREVENAR
Inoculation intramusculaire
Indiqué chez les sujet de plus de 65ans
Diminution de 57% de la mortalité
Complication
Bronchite aigue infectieuse
-
-
Chez l’adulte sans comorbidité
o Persistance de la toux plus de 15 jours mais avec tendane à l’amélioration (si
aggravation coqueluche)
o Si persistance anormale, Peut-être asthme, faire les EFR a distance
Chez l’adulte avec comorbidité
o Morbidité et mortalité mal estimée
Pneumonie virale primitive
-
Patient (âge < 5ans > 40ans) avec comorbidité
Apparition au 2-3jour d’un detresse respiratoire aigue
Rales bilateraux opacités extensives
Regarder tranquilement AVEC L’ensemble ! biatch
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