PROJET DIDACTIQUE Date : Jeudi, le 4 mars, 2010 Classe : la VIIIe Nombre d’élèves : 26 Niveau : la VIe année d’étude, L1 Sujet : La cuisine française Manuel : Cavallioti Durée : 50 minutes Lieu de travail : la salle de classe Professeur : Burghiu Anca-Lavinia COMPÉTENCES GÉNÉRALES : 1. développer l’intérêt pour la langue française ; 2. enrichir le vocabulaire ; 3. enrichir les connaissances linguistiques ; 4. créer des habilités et des habitudes de communiquer. COMPÉTENCES SPÉCIFIQUES : 1. comprendre le sens global du texte par le biais des images ; 2. répondre à des questions sur le texte pour vérifier la comprehension ; 3. traduire le texte donné ; 4. compléter le rebus ; 5. compléter les tableaux donnés ; 6. réaliser une autoévaluation objective. STRATÉGIES DIDACTIQUES : 1. la lecture ; 2. l’explication ; 3. l’exercice ; 4. l’observation ; 1 5. l’appréciation. MATÉRIEL UTILISÉ : 1. Fiches de travail ; 2. Craie de couleur ; 3. Planches ; 4. Dictionnaire. DÉROULEMENT DE LA SÉQUENCE DIDACTIQUE : 1. MISE EN TRAIN : Je salue mes élèves, je fais la présence et j’assure une atmosphère adéquate pour le développement de la leçon. 2. L’ÉVEIL DE L’ATTENTION : Je réalise au tableunoir un raisin ayant comme mot cle « cuisine ». Les élèves doivent dire tous les mots auxquels ils pensent quand ils prononcent le mot-clé. Ainsi on trouve ensemble le titre de la leçon « La cuisine française ». Je l’écris au tableunoir ; les élèves l’écrivent aussi dans leurs cahiers. 3. LES NOUVELLES CONNAISSANCES : Comme première activité, je propose aux élèves un texte du manuel qu’ils élèves lisent à haute voix. (ANNEXE 1) Ensuite, je réalise au tableaunoir trois colonnes avec « je sais », « je veux savoir », « j’ai appris » (ANNEXE 2). Les élèves les complètent pas à pas, en trouvant toutes les informations nécessaires sur le texte. Pour mieux comprendre les mots nouveaux, je leur montre quelques images qu’ils doivent associer à un mot trouvé dans le texte. Le troisième tableau va être complété jusqu’à la fin de la classe avec les nouvelles connaissances apprises. 4. LA FIXATION DES CONNAISSANCES : Pour fixer les connaissances je propose aux éléves de résoudre les exercices de la fiche de travail. À la fin, je demande aux élèves de compléter un rebus qui a comme noyau le mot « gastronomie » (ANNEXE 2). Ensuite, je leur donne une fiche d’autoévaluation pour pouvoir apprécier, d’une manière adéquate, ce qu’ils ont appris pendant la nouvelle leçon. (ANNEXE 3) 2 5. L’ÉVALUATION : Je donne des notes aux élèves qui ont participé durant la classe de français et je fais des appréciations verbales. 6. L’ANNONCE DU DEVOIR : Tes parents n’ont pas fait le marché. Tous les magasins d’alimentation sont fermés. Tous les membres de ta famille sont affamés. C’est toi qui dois préparer le repas. Qu’est-ce que tu décides de cuisiner ? Écris ta recette en quelques lignes. Essais d’être le plus inventif que possible (8-10 lignes). J’offre les explications necessaires pour une bonne solution du devoir. ANNEXE 1 Les français aiment manger. Ils sont cependant moins gourmands(= gros mangeurs) que gourmets (= ils apprécient la bonne cuisine). D’ailleurs, la gastronomie est considérée comme un élèment important de la civilisation française. Par exemple, d’un bon cuisinier ou d’une bonne cuisinière, on dit qu’il/elle est un vrai cordon bleu. Être cuisinier est un bon métier – un métier délicat et difficile. Pour bien faire la cuisine on a besoin d’outils, que l’on nomme ustensiles : - de casseroles : pour faire cuire les légumes, la viande, y faire mijoter les plats ; - d’une ou plusieurs cocotte(s) minute : pour hâter la cuisson des plats ou des ingrédients ; - d’une bouilloire : pour faire bouillir l’eau (du thé, par exemple) ; - de poêles grandes et petites : pour faire cuire des oeufs sur le plat ou pour faire des crêpes ; - d’une passoire : pour faire « passer » l’eau, ou les légumes que l’on veut transformer en purée ; - d’un mixeur : pour mélanger ou battre les aliments ; - d’un ruleau à pâtisserie : pour étendre la pâte ; - d’une planche : pour y travailler – étendre la pâte, couper la viande, les légumes ; - de moules à gâteaux : pour y cuire les gâteaux en leur donnant une forme ; - d’un fouet : pour faire monter les oeufs en neige (les fouetter, les battre) ; - d’un presse-agrumes : pour préparer le jus frais ; - d’une louche : pour servir la soupe ; 3 ... ou d’un robot, qui remplace bien d’autres ustensiles et nous fait gagner du temps ! Questions : 1. Les Français, sont-ils gourmands ou gourmets ? Et vous ? 2. Qu’est-ce cela signifie « être un vrai cordon bleu » ? 3. Quels sont les plus importants ustensiles de cuisine ? À quoi servent-ils ? ANNEXE 2 JE SAIS JE VEUX SAVOIR 4 J’AI APPRIS ANNEXE 3 REBUS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . G1 . . A2 . . S3 . . T4 R5 O6 . . N7 . . O8 . . M9 . . I10 . . E11 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1. On dit souvent que les français ne sont pas gourmands, mais plutôt …………… . 2. Pour faire cuire les légumes, la viande et y faire mijoter les plats on utilise la ................. . 3. Préparer de bons repas signifie faire la ................... . 4. Nous aide beaucoup à gagner du temps dans la cuisine : ...................... 5. Les cuisinières utilisent le ................. pour mélanger les aliments ou pour battre les oeufs. 6. Synonyme pour les vivres : ............................. 7. Antonyme du verbe ajouter : ........................... 8. Pour servir la soupe on doit utiliser la ................. . 9. Lieu connu qui a donné le nom d’une recette célèbre : ....................... 10. On frit les oeufs dans l’ ......................... 11. Celui qui prépare les plats dans un restaurant s’appelle ....................... . 5 ANNEXE 4 FICHE D’AUTOÉVALUATION 1. Comprendre / écouter J’ai pu comprendre ce que le professeur nous a demandé à faire : a. très bien b. bien c. assez bien d. pas très bien 2. Lire : J’ai pu lire ce qu’on a écrit en français : a. très bien b. bien c. assez bien d. pas très bien 3. Parler J’ai pu parler en français : a. tout le temps b. le plus du temps c. quelque fois d. peu 4. Écrire J’ai pu écrire des notes et des messages en français : a. très bien b. bien c. assez bien d. pas assez très bien Observation : Pour le point a, on peut donner les notes 9 ou 10. Pour b : 7 ou 8. Pour c : 5 ou 6. Pour d : 4. Les élèves peuvent ainsi s’autoévaluer d’une manière objective. 6