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DOSSIER DE PRESSE – janvier 2011 ALVIS Audio Les spécialiste de la protection auditive des chasseurs Une nouveauté dans le domaine de la chasse ALVIS 1 SOMMAIRE Les protections d’oreilles pour le chasseur Une protection physiologique, les solutions existantes pour le chasseur Oriellettes Alvis enfin une protection adaptée au chasseur Quelques précisions, fiche technique de compression du son Quelques notions d’acoustique Les décibels, la fréquence, relation entre Intensité et Fréquence (dB /Hz), valeur limite d’exposition Les dommages causés par l’abus de décibels sur les cellules de l’oreille sont irrémédiables. Grâce aux aides auditives, des solutions existent pour « feinter » et réactiver les fonctions auditives. Mais avant de réparer le mal fait, on peut s’en prémunir ! A tout âge, on peut se sentir concerné par son patrimoine auditif. ALVIS s’adresse à tous ceux qui réalisent l’importance de préserver son audition, qui s’intéressent à l’écoute et ont l’intelligence de s’occuper de leur ouïe, toutes générations confondues. 2 La pratique de la chasse Si l’on peut aisément comprendre que la vision joue un rôle essentiel dans la pratique de la chasse, la faculté auditive est malheureusement souvent négligée par les chasseurs. Les oreilles constituent cependant le lien que le chasseur entretient avec la nature et sont, à ce titre, un outil précieux à protéger. Les lésions que l’audition subit lors du coup de fusil sont cumulatives et s’aggravent donc à chaque tir. Préserver son capital auditif est primordial Les oreilles font l’objet d’agressions quotidiennes et continues. Dans certaines circonstances, (sous la pression de l’eau en plongée, de l’air en avion ou en moto, lors de l’exposition à des sons violents par leur intensité - musique, armes à feu etc..) ces nuisances qui altèrent l’audition peuvent causer des lésions à l’oreille interne qui sont très souvent irréversibles. La dégénérescence des facultés auditives qui en découle correspond aux fréquences aiguës qui sont celles de la compréhension du langage parlé avec tous les inconvénients et parfois traumatismes que cela entraîne. Les protections d’oreilles pour le chasseur 1. Une protection physiologique Le corps humain a intégré une protection auditive « naturelle » que l’on appelle le réflexe stapédien. L’oreille soumise à des sons violents met en jeu un mécanisme qui lui permet de contracter la perception de ces bruits et d’en atténuer l’impact. Il s’agit d’un réflexe très utile mais qui a deux limites essentielles : - Il est inefficace pour les bruits d’une très grande intensité - Il est inefficace pour les bruits d’impulsion très rapide Il s’agit de deux limites auxquelles l’utilisateur d’armes à feux modernes est malheureusement confronté dans l’exercice de son sport. 2. Les solutions pour le chasseur Les bouchons Les bouchons de couleur diverses ont une efficacité acoustique plus que discutable et n’ont qu’un rôle d’atténuateur de bruit. Cette atténuation du bruit même légère tout en ne protégeant pas l’oreille, isole le chasseur. Il perd de façon sensible certaines perceptions sonores utiles (bruit du gibier, clochette du chien....). Cette perte peut s’avérer parfois dangereuse (perte de communication avec d’autres chasseurs etc.) Les casques amplificateurs et protecteurs Il existe sur le marché un certains nombre de casques qui amplifient les sons faibles et coupent (ou compressent pour les plus sophistiqués) le bruit violent du coup de fusil. Ils présentent différents inconvénients : 3 - leur ergonomie pose souvent un problème lorsque le chasseur épaule - leur intolérance due à la sudation des oreilles - leur encombrement - lors du port d’une casquette ou d’un chapeau - des caractéristiques techniques parfois discutables Ces inconvénients deviennent parfois tellement rédhibitoires que le chasseur finit par ne plus utiliser son casque. Les oreillettes « Alvis » enfin une protection adaptée au chasseur La société Française Alvis a mis au point des oreillettes électroniques ayant les deux fonctions d’amplification et de protection spécialement étudiées pour les chasseurs : le « Alvis ». Ce sont les seuls oreillettes pour les chasseurs. Elles se placent directement dans l’oreille, sont très discretes et apportent toute la liberté nécessaire lorsque le chasseur épaule sans risque de percussion. Le confort est optimal sans risque de sudation ou lors du port d’une casquette ou d’un chapeau. Issus de la technologie numérique, ces oreillettes répondent aux souhaits des chasseurs les plus exigeants en leur offrant le confort et les caractéristiques les plus performants du marché. Quelques précisions : Qualité du son : Stéréo. Cela permet la perception naturelle des sons dans l’espace. Ainsi le chasseur sait à tout moment d’où vient le son et apprécie naturellement sa distance. Amplification : 12 dB maximum. Le niveau sonore d’une source perd environ 6 dB chaque fois que l’on double la distance qui nous en sépare. Ainsi le chasseur qui utilise une paire d’Alvis percevra une source sonore à 30 mètres comme si elle se situait à 10 mètres. Technologie numérique : Ces assistants d’écoute bénéficient de la toute dernière technologie numérique permettant leur grande miniaturisation et leur grande fiabilité. Cette technologie assure un réglage automatique sans manipulation aucune permettant ainsi une concentration sur la chasse exclusivement. Oreillettes : Coque et mousse. Elles se positionnent directement dans l’oreille, elles sont très discrètes. Alimentation : 2 piles assurant une autonomie d’environ 60 heures. 4 Garantie : 12 mois. Fiche technique de compression du son : La protection du Alvis est particulièrement performante sur les fréquences situées entre 2 000 Hz et 8 000 Hz qui correspondent à la zone de plus grande sensibilité de l’oreille. La valeur SNR est particulièrement faible. Fréquence ( Hz) Mf (dB) Sf (dB) APV (dB) 125 18.8 8.3 10.5 250 20.4 7.3 13.1 500 22.1 7.2 14.9 1 000 26.4 6.3 20.0 2 000 33.7 5.3 28.4 4 000 34.7 5.4 29.3 8 000 37.5 7.7 29.9 Données établies en accord avec les normes DS/EN 24869-1 : 1993 et DS/EN ISO 4869-2 :1995 Mf Sf APV = valeur d’atténuation optimale = valeur de déviation = valeur moyenne de protection Valeur d’atténuation dB Haute fréquence Moyenne 2000 Hz / 20 000Hz fréquence 200 Hz / 2 000 Hz 27 19 Basse fréquence 20 Hz / 200 Hz 15 SNR 23 Données établies en accord avec les normes DS/EN 24869-1 :1993 et DS/EN 4869-2 :1995 Le « Alvis » est un produit haut de gamme. Il a été sélectionné par des armuriers reconnus par leur savoir-faire et leur rôle de conseil. QUELQUES NOTIONS D’ACOUSTIQUE Les décibels Les décibels rendent compte de l’intensité d’un son. A titre de repère le tableau ci-joint donne quelques exemples : Exemples dB Les dangers 5 Décollage d’une fusée Réacteur d’avion Coup de fusil * Formule 1 Orchestre de musique rock Passage d’un train en gare Walkman volume à fond Radio à fond Restaurant bruyant Conversation animée Conversation calme Appartement tranquille Promenade en forêt Campagne paisible Studio d’enregistrement Silence 180 140 130 120 110 100 90 85 80 70 60 50 40 30 20 10 0 Dangers certains pour L’audition Risque probable pour L’audition Pas de risque pour l’audition Seuil d’audibilité * L’intensité du son d’un coup de fusil varie en fonction de l’arme elle-même et de l’environnement dans lequel le coup de fusil est tiré. En moyenne et en champ ouvert un coup de fusil génère une intensité de 130 dB. La fréquence La fréquence rend compte du nombre d’ondes émises par un son en 1 seconde et s’exprime en Herz : 1 Hz = 1 oscillation /seconde C’est ce qui détermine ce que l’on appelle des sons graves, medium ou aigus. L’oreille humaine idéale est faite pour ne percevoir les fréquences qu’entre 20 Hz et 20 000hz. 1 HZ A 20 HZ Infra sons 20 HZ A 200 HZ 200 HZ A2 000 HZ 2 000 A 20 000 HZ AU DELA Sons graves Sons medium Sons aigus Ultra sons 6 Seuls les sons purs ont une fréquence unique. Ainsi, l’on peut dire que la très grande majorité des sons de la vie quotidienne sont des sons composites c'est-à-dire comportant eux-mêmes une certaine quantité de sons « purs » correspondant à différentes fréquences. Le son du coup de fusil comprend une multitude de sons « purs » et présente donc un spectre de fréquences excessivement large. Relation entre Intensité et Fréquence (dB /Hz) Il existe une relation intime entre la fréquence et l’intensité. Autrement dit l’oreille aura besoin d’une certaine intensité pour percevoir certaines fréquences. Les sons ayant une fréquence située entre 2 000 et 8 000 Hz sont mieux perçus par l’oreille. Ainsi un son très fort de 120 dB sera-t-il plus dommageable si ses fréquences sont situées entre 2000 Hz et 8000 Hz qu’un son de même intensité mais présentant des fréquences hors de cette plage. Donc c’est bien entre 2 000 et 8 000 Hz que l’oreille doit être le plus protégée. Le spectre de fréquence d’un coup de fusil est excessivement étendu et il couvre largement la plage 2 000 Hz / 8 000 Hz. Une véritable protection devra donc être très performante en particulier sur cette zone. Valeur limite d’exposition Enfin la valeur limite d’exposition (VLE) au bruit est la valeur d’exposition à ne pas dépasser pour sauvegarder son capital auditif. Niveau sonore d’un bruit en dB 85 88 91 94 97 100 103 106 109 112 115 Durée d’exposition maximale Par jour 8h 4h 2h 1h 30 min 15 min 7 min 30 s 3 min 45 s 1 min 52 s 56 s 28 s Au-delà de 115 dB (un coup de fusil = environ 130 dB) l’exposition au bruit est impossible sans dommage. Chaque augmentation de 3 dB correspond à un doublement d’intensité du son. 7 Enfin la valeur limite d’exposition (VLE) au bruit est la valeur d’exposition à ne pas dépasser pour sauvegarder son capital auditif. Alvis Audio, AB Solutions Stephen DOUEZY 74 rue des Clairs Chênes 91 390 Morsang sur Orge Tel 06 60 46 91 51 [email protected] 8
