MUSCLES 3e élément de l’appareil locomoteur Organe moteur qui fonctionne de manière neurologique II// T TYYPPEES S ddee M MU US SCCLLEES S A A// M MU US SCCLLEES S LLIIS SS SEES S Annexés à 1 viscère. Rôle : motricité viscérale = péristaltisme. Activité autonome (capable de se dépolariser seul) mais sont sous contrôle du SN végétatif. BB// M MU US SCCLLEES SS ST TRRIIEES S Les muscles annexés au squelette permettent les mouvements sous la direction du faisceau pyramidal (aspect strié) = muscle strié squelettique. Le myocarde est 1 muscle strié mais qui ne dépend pas de la contraction volontaire (a le même comportement que les muscles lisses). Rôle : _ destinés à faire des mvts (muscles phasiques ou dynamiques) _ Lutter contre la pesanteur (muscles toniques ou posturaux). Nombre : 500 qui représente 40 % du poids du corps. Souvent fusiforme : 1 partie renflée (corps charnu) et 2 extrémités fibreuses (tendons musculaires). IIII// T TEEN ND DO ON NM MU US SCCU ULLA AIIR REE A A// S ST TRRU UCCT TU URREE Le + volumineux tendon est celui du Triceps Sural = tendon calcanéen tendon gaines séreuses corps charnu (cellules musculaires = fibres musculaires) aponévrose (élément fibreux) tendon (fibre de collagène, tissu conjonctif fibreux) Coupe transversale d’1 Muscle Jonction myotendineuse = jonction entre le corps charnu et le tendon Jonction tendino-périostée = jonction avec l’os qui se fait sur le périoste (elle est fragile) Muscles 1 11// LLO ON NG GU UEEU URR EET T EEPPA AIIS SS SEEU URR :: variables 22// CCO OM MPPO OS SIIT TIIO ON N :: tissu conjonctif fibreux _ fibrocytes _ Fibres de collagène (orientées dans le sens de traction du muscle = 1 ou 2 axes anatomiques) entre lesquelles existent des liens protéiques. _ Substance fondamentale assez épaisse. Le tendon est entourée d’1 gaine séreuse (entre cette gaine et le tendon, il existe 1 peu de synovie qui permet le glissement du tendon ds sa gaine). L’aponévrose est en continuité avec la gaine séreuse. BB// V VA AS SCCU ULLA ARRIIS SA AT TIIO ON N Il y a peu de vaisseaux sanguins et ils se trouvent seulement en périphérie. Les substrats pénètrent dans le tendon surtout par imbibition du corps charnu et du périoste vers le tendon. Les extrémités du tendon sont donc plus vascularisées que la partie centrale moins bonne cicatrisation si rupture des fibres dans la partie moyenne les fibres de collagène vont coloniser la lésions, donc la zone sera fragilisée car il y a 1 discontinuité des fibres qui sont, de plus mal orientées (cicatrisation en 3 semaines) De plus, la partie centrale du tendon a 1 température moins élevée que le reste du corps environ 33°C (idem qu’à la partie extérieure de la peau). Si la température augmente, et dès 37°, 1 réaction inflammatoire s’installe pour prévenir la rupture des fibres (le tendon supporte donc mal la chaleur). Ténosynovite = réaction inflammatoire du tendon et de sa gaine Lorsqu’on tire trop fort sur le tendon ou peu fort mais trop longtemps, 1 morceau d’os peut se détacher au niveau de l’insertion ou bien il peut se développer 1 inflammation de la zone d’insertion périostée = Tendinite d’Insertion (périostite). CC// T TRRA AIIT TEEM MEEN NT TD DEES ST TEEN ND DIIN NIIT TEES S curatif Il faut supprimer la cause pendant et après le traitement. Pour cela, il faut la trouver (en podo on traite les tendinites du pied, genoux et hanche) : chaussure, dynamique surtout, changement de chaussures ou de mode de vie brutal, penser qu’1 problème de pied peut avoir des répercussion sur le genoux ou la hanche, mauvaise position pour les activités ménagères ou quotidiennes, etc. Surtout ne pas traiter aux Ultras-sons car ils chauffent le tendon donc aggravent le problème. Muscles 2 D D// IIN NN NEERRV VA AT TIIO ON N _ Végétative liée aux vaisseaux sanguins. _ «Extéroceptive» : . nociceptive = système d’alarme . proprioceptive : renseigne sur l’aspect du geste engendré par le contact Ajustement (si lésions répétées, les info proprioceptives sont mal ajustées car il y a moins de récepteurs, donc mauvaise qualité des info risques de récidives. IIIIII// M MU US SCCLLEE La structure musculaire est liée à sa fonction épimysium périnysium cellules musculaires = myocytes extensibles et viscoélastiques Endonysium Aponévrose vaisseaux sanguins Nerf Aponévrose = enveloppe fibreuse qui entoure la partie charnue du muscle Muscle digastrique = muscle composé de 2 corps charnus donc de 3 tendons (ex : biceps) L’aponévrose, l’épimysium, l’endomysium et le périmysium sont constitués surtout de fibres de collagène donc ne sont pas élastiques (non-extensibles) mais sont solides. A A// CCEELLLLU ULLEE M MU US SCCU ULLA AIIRREE Elle résulte de la fusion d’1 centaines de cellules embryonnaires initiales = syncytium. La fusion se fait bout à bout fibres qui peuvent être très longues. Après la fusion, elle perdent leur pouvoir de mitose cicatrisation difficile (dans quelques cellules, on retrouve des myoblastes. 11// LLO ON NG GU UEEU URR :: quelques 100aines de microns à plusieurs cm (la + longue = Sartorius) 22// LLA ARRG GEEU URR :: 100 microns Muscles 3 33// CCO OM MPPO OS SIIT TIIO ON N _ Sarcolemme = membrane plasmique (plaque motrice invaginations) : mosaïque fluide avec comme protéines : canaux ioniques à Na+, K+ ou Ca2+, récepteurs à ACH postsynaptique _ Sarcoplasme = hyaloplasme (eau + protéines plus ou moins visqueux = gel colloïde aqueux). . phosphocréatine ++ régénération de l’ATP (déchet = créatinine) . myoglobine (pigment protéique rouge-orangé) fixer et transporter l’O2 . Enzyme oxydatives (participent à l’oxydoréduction) dont la cholinestérase. _ Organites : REL très développé, REG moins développé que le lisse, beaucoup de mitochondries, appareil. de Golgi peu développé, beaucoup de myofibrilles d’actine et de myosine aspect strié. Dès qu’on sollicite trop le muscle micro-lésions désorganisation des fibres (ex : courbatures). BB// M MYYO OFFIIBBRRIILLLLEE 11// S ST TRRU UCCT TU URREE Cellule cylindrique avec alternance d’1 disque sombre = disque A (anisotrope : composé de 2 éléments ou + = hétérogène) et d’1 disque clair = disque I (isotrope : composé d’1 seul élément = homogène) Strie Z ½ disque clair I myosine Disque sombre Strie M bande H ½ disque clair I actine Strie Z Structure sagittale d’1 myofibrille en repos et contraction Muscles 4 sarcomère = unité structurale et fonctionnelle des myofibrilles (comprise entre 2 stries Z) donc sarcomère = ½ disque I + 1 disque A + ½ disque I myosine Actine Structure transversale d’1 myofibrille Au niveau du disque clair, coupe transversale : seulement actine Au niveau de la Bande H : seulement myosine Pour 1 filament de myosine, il y a 6 filaments qui s’attachent à l’actine, ce qui la solidité de la fibre La cellule musculaire ne se reproduit ps au stade adulte La cicatrisation est possible grâce à certains myocytes (cellules souches) mais st peu nbreux et au fur et à mesure de la vie vers 50 ans, la cicatrisation se fera grâce aux f. de collagène = tissu fibreux 22// S ST TRRU UCCT TU URREE M MO OLLEECCU ULLA AIIRREE D DEES SM MYYO OFFIILLA AM MEEN NT TS S A ACCT TIIN NEE :: molécule complexe formée de 4 parties complémentaires _ actine fibrillaire (support) = actine F _ actine globulaire = actine G (7 sur chaque spire d’actine F) qui comporte 1 récepteur pour la myosine _ tropomyosine (support de la troponine) Muscles 5 _ troponine (activée par Ca2+ ionisé), lorsqu’elle est activée, elle bascule et va découvrir les récepteurs de myosine M MYYO OS SIIN NEE = méromyosine La myosine est 1 fibre composée de 2 parties : _ Support : méromyosine légère (Light) = HMM _ Tête de myosine : . bras coudée : méromyosine lourde S2 = HMM S2 . Tête active : méromyosine lourde S1 = HMM S1 2+ C’est le Ca qui va activer S1 et qui va permettre l’hydrolyse de l’ATP : ATP + H2O ADP + P + énergie L’énergie va servir à faire basculer S1 pour se fixer à l’actine afin de former 1 pont d’actomyosine. Cette fixation s’accompagne d’1 glissement de l’actine (système de crémaillère qui forme des liens brefs et transitoires). traitement converge vers la strie M (la bande H se rétrécit) et entraîne le filament d’actine vers la strie M raccourcissement de la myofibrille. CC// O ORRG GA AN NIIS SA AT TIIO ON ND DU U RREELL Strie Z Disque A Strie Z Le tubule transverse est 1 invagination de la membrane plasmique, à angle droit, qui arrive à la jonction disque clair-disque sombre liaison entre l’extérieur de la cellule et la myofibrille. Le gros tube du REL comporte 1 partie renflée = citerne terminale qui sert à stocker au repos le Ca2+ ionisé. A la contraction, celui-ci va rentrer dans la myofibrille pour rendre actif la troponine sur lequel siège du Mg2+ (ce qui empêche la liaison de ces fibres, au repos) il y a donc échange avec le Mg2+ Citernes = réserves L’étirement passif d’1 muscle va favoriser le retour du Ca2+ dans les citernes le Mg2+ revient entre les filaments des myofibrilles relâchement favorisé. Muscles 6 En Cabinet : Manœuvre de Levées de Tension _ Contraction max. du muscle ciblé pendant 3-4 secondes _ relâchement en soufflant _ extension passive d’environ 7 secondes 2 fois de suite D D// IIN NN NEERRV VA AT TIIO ON N _ Sensitive : nociceptive et proprioceptive (neurone Ia avec la fibre annulo-spirale qui lui donne naissance boucle gamma ou réflexe myothatique. _ Motrice ( et gamma) = SN somatique. _ Végétative : faire varier le calibre des vx = vasomotricité grâce au sphincter pré-capillaire. Syndrome Algo-neuro-dystrophique : problème de vascularisation due à 1 problème de vasomotricité trouble de la mobilité musculaire (le muscle s’atrophie à cause de la mauvaise trophicité douleur à la palpation du muscle, neurone fatigué plus vite car manque d’O2) IIV V// PPH HEEN NO OM MEEN NEE M MU US SCCU ULLA AIIR REE EELLEECCT TR RIIQ QU UEE D DEE LLA A CCO ON NT TR RA ACCT TIIO ON N A A// RRA APPPPEELL Motoneurone : neurone moteur dont le corps cellulaire se trouve dans la corne antérieure de la moelle épinière et dont l’axone se termine au niveau du muscle strié squelettique (1 motoneurone peut innerver de 10 à 10 000 cellules musculaires nombre en rapport avec la fonction du muscle). Plaque Motrice : 1 branche du bouton synaptique qui forme 1 synapse neuro-musculaire avec 1 cellule musculaire. Unité Motrice : ensemble de cellules innervées par 1 même neurone (clinique). BB// PPLLA AQ QU UEE M MO OT TRRIICCEE 11// S ST TRRU UCCT TU URREE Muscles 7 22// FFO ON NCCT TIIO ON NN NEEM MEEN NT TD DEE LLA A PPLLA AQ QU UEE M MO OT TRRIICCEE _ dépolarisation du motoneurone _ entrée de Na+ et de Ca2+ (échange ionique respectivement avec le Potassium et le Mg2+) _ exocytose de l’ACH dans la fente synaptique _ repolarisation du motoneurone _ fixation d’ACH sur les récepteurs à Ach post-synaptiques _ entrée de Na+et de Ca2+ (par le tubule transverse) dans la myofibrille _ dissociation d’ACH par la cholinestérase en Acétyl et en Choline _ repolarisation de la cellule musculaire _ sortie de Na+ à la fin ou après la repolarisation _ entrée de Ca2+ ds la myofibrille au niveau de la triade _ phénomènes mécaniques des ponts d’acto-myosine contraction BB// PPO OT TEEN NT TIIEELL D DEE M MEEM MBBRRA AN NEE 11// PPO OT TEEN NT TIIEELL D DEE RREEPPO OS S Valeur des charges électriques de part et d’autre de la memb - 80 mV (parfois – 60 mV) 22// PPO OT TEEN NT TIIEELL D DEE PPLLA AQ QU UEE Fluctuation continuelle du potentiel insuffisante à créer 1 PA = PPSE due à 1 libération modérée et continue d’Ach système musculaire en alerte = vigilance ou éveil musculaire (permet de rapprocher, si besoin, le potentiel du seuil d’excitabilité). 33// PPO OT TEEN NT TIIEELL D D’’A ACCT TIIO ON N Sommation Spatio-temporelle (dans 1 temps bref) des PPSE jusqu’à atteindre 1 valeur de potentiel d’ - 50 mV qui est le seuil d’excitabilité de la cellule musculaire. 1 fois atteint, le PA a 1 valeur positive comprise entre 20 et 50 mV. 44// LLO OIIS SD DEE CCO ON ND DU UCCT TIIO ON N Tout ou rien :. seuil d’Intensité et de durée min pour obtenir 1 PA . dès que le seuil est atteint, ce PA est d’emblée max Excitabilité : période réfractaire D D// EELLEECCT TRRO O--M MYYO OG GRRA AM MM MEE == EEM MG G Enregistrement de l’activité électrique globale du muscle (donc de ses unités motrices 11// PPRRO OT TO OCCO OLLEE _ Positionnement des électrodes d’enregistrement et de stimulation (au moins 1 de chaque) sur la peau en regard d’1 muscle superficiel uniquement (profond pas possible). _ Enregistrement de l’activité du muscle en décharge. _ Enregistrement de l’activité du muscle en position statique posturale (debout). Muscles 8 _ Enregistrement de l’activité du muscle en contraction volontaire : plus le patient contracte son muscle fortement et plus il y a de fibres musculaires recrutées donc contractées augmentation de la valeur des PA (1 trait par unité motrice contractée activité cyclique). Remarque : on enregistre 1 activité groupée nerf / muscle. 22// IIN NT TEERREET TS S CCLLIIN NIIQ QU UEES S _ Existence ou non d’1 activité électrique du muscle (possibilité ou non de se contracter). _ Activité électrique normale ou ps (influx efficace ou pas). _ Aspect évolutif : . en myopathie : dégénérescence du muscle dans le temps. . degré de récupération après 1 accident, etc. _ Comparaison droite / gauche du même muscle qualité des muscles. 33// IIN NT TEERREET TS S EEX XPPEERRIIM MEEN NT TA AU UX X _ activité des muscles au sein d’1 mouvement donné. _ aspect de la réponse d’1 muscle à 1 stimulation externe. V V// PPH HEEN NO OM MEEN NEE M MU US SCCU ULLA AIIR REE M MEECCA AN NIIQ QU UEE D DEE LLA A CCO ON NT TR RA ACCT TIIO ON N A A// PPRRO OPPRRIIEET TEES S 11// M MU US SCCLLEE _ Excitabilité (peut être excité par 1 influx nerveux). _ Contractilité (grâce aux myofilaments). _ Extensibilité. _ viscoélasticité (amortissement dû à la viscosité du sarcolemme). 22// T TEEN ND DO ON N _ non-excitable directement (sur le plan moteur) mais excitable sur le plan sensitif (douleur, etc) _ Non-contractile. _ non-extensible mais très légèrement déformable donc non-élastique. BB// RRA APPPPO ORRT TT TEEN NS SIIO ON N//LLO ON NG GU UEEU URR La tension se fait dans le sens de la contraction du muscle. L’extension par l’étirement peut être divisée en 3 secteurs : _ Course interne : position la plus courte des points d’insertion. _ Course moyenne : position intermédiaire. _ Course externe : position longue. Muscles 9 Tension : résultat d’étirement des cellules musculaires rupture : résultat d’étirement des éléments fibreux, épi-, péri- et endomysium Fmax Longueur 1 2 3 1 course interne : peu de force dvpée mais tension faible 2 Course moyenne : tension dvpée max (dans tout le secteur) mais résistance des éléments fibreux faible efficacité maximum globale 3 Course externe : tension faible et résistance max due à l’étirement des structures nonextensibles moins bonne efficacité pour renforcer 1 muscle, il faut donc le faire travailler en course moyenne CC// S SEECCO OU US SS SEES SM MEECCA AN NIIQ QU UEES S ((CCO ON NT TRRA ACCT TIIO ON NS SM MU US SCCU ULLA AIIRREES S)) Enregistrement de la déformation mécanique d’1 muscle par 1 myogramme à la suite d’1 stimulation électrique _ travail en isométrie (pas de mouvement) = statique ou en anisométrie (mouvement) = dynamique _ charge constante (isotonie) ou variable (anisotonie) certains muscles ne travaillent qu’en dynamique ou en statique (il ne sert à rien de les faire travailler à l’encontre de leur nature) EEX XEERRCCIICCEES S EEN N IIS SO OT TO ON NIIEE _ Phase de latence : phénomènes électriques se déroulent donc les ponts d’acto-myosine se forment. _ Phase de contraction : glissement des filaments d’actine entre les filaments de myosine (l’amplitude de déformation est proportionnelle au nombre de fibres misent en jeu). _ Phase de relâchement : ponts se retirent donc retour à la position initiale de l’ensemble des éléments (2-3 fois + longue que la phase de contraction). Muscles 10 S ST TIIM MU ULLA AT TIIO ON N M MU US SCCU ULLA AIIRREE PPO ORRT TEEEE PPEEN ND DA AN NT T LLA A PPH HA AS SEE D DEE RREELLA ACCH HEEM MEEN NT T _ Temps de latence : Quasi-inexistant (Ca2+ déjà sur place donc les ponts peuvent se reformer très vite). _Phase de contraction : l’amplitude est + importante alors que la stimulation est de même Intensité, il y a donc sommation spatio-temporelle + importante (+ de fibres recrutées pour 2 influx faibles, on peut avoir 1 bonne contraction) _ Phase de relâchement : identique S ST TIIM MU ULLA AT TIIO ON N M MU US SCCU ULLA AIIRREE PPO ORRT TEEEE PPEEN ND DA AN NT T LLA A PPH HA AS SEE D DEE CCO ON NT TRRA ACCT TIIO ON N _ Temps de latence : inexistant car tout est déjà ou est en train de se former fluidité de la réponse _ Phase de contraction : l’amplitude est + importante alors que la stimulation est de même I, il y a donc sommation spatio-temporelle + importante (+ de fibres recrutées pour 2 influx faibles, on peut avoir 1 bonne contraction) _ Phase de relâchement : identique S ST TIIM MU ULLA AT TIIO ON N M MU US SCCU ULLA AIIRREE PPO ORRT TEEEE PPEEN ND DA AN NT T LLA A PPH HA AS SEE D DEE LLA AT TEEN NCCEE Rien ne se passe car c’est 1 période réfractaire électrique. PPLLU US SIIEEU URRS S S ST TIIM MU ULLA AT TIIO ON NS S D DEE M MEEM MEE IIN NT TEEN NS SIIT TEE A A IIN T E R V A L L E S R E G U L I E R S , P O R T E E S A C H A Q U E P H A S E NTERVALLES REGULIERS, PORTEES A CHAQUE PHASE D DEE RREELLA ACCH HEEM MEEN NT T _ Temps de latence : formation des ponts d’acto-myosine _ Phase de contraction : . 1e temps : glissement d’actine contre la myosine amplitude selon le nombre de fibres recrutées . 2e temps d’atteinte : phase de contraction amplitude différente à cause du nombre de fibres recrutées . 3e temps d’atteinte : Toujours constante l’ensemble des unités motrices a été recruté. . 1er plateau = tétanos imparfait puis retour à la position initiale PPLLU US SIIEEU URRS S S ST TIIM MU ULLA AT TIIO ON NS S PPO ORRT TEEEES S PPEEN ND DA AN NT T LLA A PPH HA AS SEE D DEE CCO ON NT TRRA ACCT TIIO ON N Temps de latence puis phase de contraction. Continuité de la réponse (viscoélasticité). Muscles 11 tétanos parfait (recrutement de toutes les unités motrices du muscle) Dans l’organisme n’existe pas car seulement 25 % des fibres, au max, peuvent être dépolarisées ensemble (sinon il y aurait écrasement, éclatement osseux) = recrutement asynchrone de l’organisme. La résistance du squelette est très inférieure à la force développée par l’ensemble du muscle, donc, si on dépasse 25 % fracture. La crampe est un sorte de tétanos parfait qui ne touche qu’un faisceau. Le tétanos parfait est une crampe de tous les muscles, non supportable pendant longtemps. Conclusion : _ L’activité électrique est dissociée de l’activité mécanique, donc quand on stimulation il faut laisser du temps entre 2 stimulations que le muscle se contracte. _ La viscoélasticité de la cellule musculaire (sarcoplasme) permet de faire des gestes fluides, sans acout. Quand les mouvements sont non fluides, origine neurologique ou origine musculaire. _ Le tétanos n’existe pas en physiologie humaine, qu’il soit parfait ou imparfait car le squelette ne pourrait pas supporter. _ En contraction maximum, on a utilisation de 25 % des unités motrices (non utilisé la plus part du temps). _ En activité quotidienne, on utilise entre 8 et 10 % (en vie quotidienne, sans sport). _ Travail en longueur, pour ne pas fatiguer les unités motrices, il y a recrutement asynchrone. Eutonies : savoir utiliser les muscles de façons détendue (minimum de geste). D D// LLEE D DIIFFFFEERREEN NT TS ST TYYPPEES SD DEE T TRRA AV VA AIILL M MU US SCCU ULLA AIIRREE 11 //FFO ORRCCEE EEX XT TEERRIIEEU URREE << FFO ORRCCEE M MU US SCCU ULLA AIIRREE Travail en dynamique (= phasique). Rapprochement des points d’insertion du muscle : raccourcissement. Donc travail concentrique (= moteur). 22// FFO ORRCCEE EEX XT TEERRIIEEU URREE == FFO ORRCCEE M MU US SCCU ULLA AIIRREE Travail statique ( = postural). Isométrie, donc travail statique. Muscles 12 33// FFO ORRCCEE EEX XT TEERRIIEEU URREE >> FFO ORRCCEE M MU US SCCU ULLA AIIRREE Travail en dynamique (= phasique). Eloignement des points d’insertion du muscle : étirement (actif). Donc travail excentrique (= freinateur). Il existe des muscles phasiques = capable de faire des mouvements, ne dure pas (fatigue) Muscle posturaux : travail longtemps sans fatiguer. Le moins coûteux en énergie dépensé est le travail excentrique (= freinateur). Le plus coûteux en énergie dépensé est le travail concentrique (= moteur). Entre les 2, le travail statique. EE// LLEES S FFA ACCT TEEU URRS SD DEE V VA ARRIIA AT TIIO ON ND DEE LLA AS SEECCO OU US SS SEE M MU US SCCU ULLA AIIRREE Une cellule musculaire, travaille bien à 38° localement : les enzymes sont efficace, la viscosité du sarcoplasme est un peu diminuée, donc les mouvement sont fluides, donc meilleur étirement, = échauffement musculaire. L’échauffement musculaire c’est la mise en jeu d’au moins 50 % de la masse musculaire pendant au moins 20 min. Quand un muscle est fatigué, la secousse est moins efficace. Il y a 2 formes de fatigue sur le muscle sain. _ Travail statique : écrasement sur place des capillaires du muscle, donc ischémie locale, entraînant des douleurs de types de brûlure. Donc pas de contraction longue (pas plus de 2 – 3 min). _ Travail en contraction alterné (phase de relâchement) fatigue qui apparaît beaucoup plus tardivement. Cause : déficit en substrat (glucose). V VII //LLEES S PPH HEEN NO OM MEEN NEES S CCH HIIM MIIQ QU UEES SD DEE LLA A CCO ON NT TR RA ACCT TIIO ON N M MU US SCCU ULLA AIIR REE A A// U UT TIILLIIS SA AT TIIO ON ND DEES SS SU UBBS ST TRRA AT TS S _ Au repos, utilisation de 50% de glucides, 50 % de lipides _ Lors d’un effort musculaire : utilisation de 100 % de glucides (glucose), on utilise le glycogène du foie qui se dégrade par glycogenolyse pour donner du glucose dans le sang afin qu’i soit utilisé. Au bout de ¾ H il n’y a plus de glucose, donc utilisation des lipides qui fournissent de l’énergie pendant 1H30. puis utilisation des protéines de structures mais on s’autodétruit : lyse de l’actine et de la myosine, problème de syncope (sans alimentation). Il faut bien s’hydrater. Quand on prend 1g de glucide, il faut 1 mL d’eau. Quand on prend 1g de lipide, il faut 1mL d’eau. Quand on prend 1g de protéine, il faut 7 m d’eau. Muscles 13 BB// U UT TIILLIIS SA AT TIIO ON ND DEES SS SU UBBS ST TRRA AT TS SA AU UN NIIV VEEA AU UD DEE LLA A CCEELLLLU ULLEE M MU US SCCU ULLA AIIRREE Glycolyse anaérobie alactique : 30 secondes. ATP (+ H2O) ADP + P+ energie Utilisation d’ATP principalement pendant cette phase. Phosphocréatine P+créatine P correspond a peu près à l’AMP ADP + P ATP ou ADP + ADP ATP + AMP Le lactate est libéré dans le sang et crée une acidose sanguine du fait de l’acidité. Il existe des systèmes tampon qui captent les H+ et les élimine soit par le foie, soit par le rein. Il y a un surcroît d’activité de l’organisme ce qui fatigue le cœur et peut entraîner la mort. La quantité d’o2 maximale utilisé par la cellule en 1 min peut être calculée. On l’appelle la VO2 max. Elle est mesurée en ml / min / m2. elle est soumise a plusieurs facteurs de variation : génétique, ethnique (certaines ethnies utilisent beaucoup plus d’O2 que d’autres), entraînement. Effort en résistance = effort en anaérobie. Travail en endurance = travail en aérobie. L’hydratation est très importante pendant un effort. Il existe 2 grandes phases : anaérobie et aérobie. Anaérobie : très courte, de grande attention. La VO2 max. Endurance, résistance, travail explosif L’ATP : formation, ce que c’est, a quoi sert-il. Muscles 14 V VIIII// PPH HEEN NO OM MEEN NEE T TH HEERRM MIIQ QU UEE D DEE LLA A CCO ON NT TRRA ACCT TIIO ON NM MU US SCCU ULLA AIIRREE Beaucoup de chaleur libérée après la secousse musculaire, donc l’intérêt est de maintenir la température centrale à 37°. La diminution de la température centrale, provoque une hypothermie, les neurones se mettent au repos. Il y a une thermorégulation par les contractions. V VIIIIII// A AD DA APPT TA AT TIIO ON ND DEES SM MU US SCCLLEES SA A LLEEU UR R FFO ON NCCT TIIO ON N Il existe 2 types de muscles : posturaux _ muscles anti-gravifiques (pesanteur) _ Travail long : aérobie richement vascularisé beaucoup de mitochondries beaucoup de myoglobines beaucoup d’enzymes oxydatives muscle rouge _ Situation : muscles profonds de la nuque muscles para-vertébraux (spinaux) muscles pelvitrochantériens soléaire muscle abdominaux _ cellule musculaire courte, intérieur fibreux faible étirement _ peu fatigable _ Récepteurs : fuseau neuro-musculaire nombreux _ peu d’unité motrice par cellule beaucoup de cellule par unité motrice Muscles phasiques _ muscle du mouvement _ Travail court : anaérobie moins vascularisé moins de mitochondries moins de myoglobines moins d’enzyme oxydatives muscle blanc situation : tous les autres _ cellule musculaire longue étirement important _ très vite fatigable _ Récepteurs : fuseau neuro-musculaire peu nombreux _ beaucoup d’unité motrice par cellule 15