muscles - vers Etudiant

publicité
MUSCLES
3e élément de l’appareil locomoteur
Organe moteur qui fonctionne de manière neurologique
II//  T
TYYPPEES
S ddee M
MU
US
SCCLLEES
S
A
A// M
MU
US
SCCLLEES
S LLIIS
SS
SEES
S
Annexés à 1 viscère.
Rôle : motricité viscérale = péristaltisme.
Activité autonome (capable de se dépolariser seul) mais sont sous contrôle du SN végétatif.
BB// M
MU
US
SCCLLEES
SS
ST
TRRIIEES
S
Les muscles annexés au squelette permettent les mouvements sous la direction du faisceau
pyramidal (aspect strié) = muscle strié squelettique.
Le myocarde est 1 muscle strié mais qui ne dépend pas de la contraction volontaire (a le
même comportement que les muscles lisses).
Rôle : _ destinés à faire des mvts (muscles phasiques ou dynamiques)
_ Lutter contre la pesanteur (muscles toniques ou posturaux).
Nombre : 500 qui représente  40 % du poids du corps.
Souvent fusiforme : 1 partie renflée (corps charnu) et 2 extrémités fibreuses (tendons
musculaires).
IIII// T
TEEN
ND
DO
ON
NM
MU
US
SCCU
ULLA
AIIR
REE
A
A// S
ST
TRRU
UCCT
TU
URREE
Le + volumineux tendon est celui du Triceps Sural = tendon calcanéen
tendon
gaines séreuses
corps charnu (cellules musculaires = fibres musculaires)
aponévrose (élément fibreux)
tendon (fibre de collagène, tissu conjonctif fibreux)
Coupe transversale d’1 Muscle
Jonction myotendineuse = jonction entre le corps charnu et le tendon
Jonction tendino-périostée = jonction avec l’os qui se fait sur le périoste (elle est fragile)
Muscles
1
11// LLO
ON
NG
GU
UEEU
URR EET
T EEPPA
AIIS
SS
SEEU
URR ::
variables
22// CCO
OM
MPPO
OS
SIIT
TIIO
ON
N ::
tissu conjonctif fibreux
_ fibrocytes
_ Fibres de collagène (orientées dans le sens de traction du muscle = 1 ou 2 axes
anatomiques) entre lesquelles existent des liens protéiques.
_ Substance fondamentale assez épaisse.
Le tendon est entourée d’1 gaine séreuse (entre cette gaine et le tendon, il existe 1 peu de
synovie qui permet le glissement du tendon ds sa gaine). L’aponévrose est en continuité avec
la gaine séreuse.
BB// V
VA
AS
SCCU
ULLA
ARRIIS
SA
AT
TIIO
ON
N
Il y a peu de vaisseaux sanguins et ils se trouvent seulement en périphérie.
Les substrats pénètrent dans le tendon surtout par imbibition du corps charnu et du périoste
vers le tendon.
Les extrémités du tendon sont donc plus vascularisées que la partie centrale  moins bonne
cicatrisation si rupture des fibres dans la partie moyenne  les fibres de collagène vont
coloniser la lésions, donc la zone sera fragilisée car il y a 1 discontinuité des fibres qui sont,
de plus mal orientées (cicatrisation en  3 semaines)
De plus, la partie centrale du tendon a 1 température moins élevée que le reste du corps
environ 33°C (idem qu’à la partie extérieure de la peau).
Si la température augmente, et dès 37°, 1 réaction inflammatoire s’installe pour prévenir la
rupture des fibres (le tendon supporte donc mal la chaleur).
Ténosynovite = réaction inflammatoire du tendon et de sa gaine
Lorsqu’on tire trop fort sur le tendon ou peu fort mais trop longtemps, 1 morceau d’os peut se
détacher au niveau de l’insertion ou bien il peut se développer 1 inflammation de la zone
d’insertion périostée = Tendinite d’Insertion (périostite).
CC// T
TRRA
AIIT
TEEM
MEEN
NT
TD
DEES
ST
TEEN
ND
DIIN
NIIT
TEES
S
curatif
Il faut supprimer la cause pendant et après le traitement.
Pour cela, il faut la trouver (en podo on traite les tendinites du pied, genoux et hanche) :
chaussure, dynamique surtout, changement de chaussures ou de mode de vie brutal, penser
qu’1 problème de pied peut avoir des répercussion sur le genoux ou la hanche, mauvaise
position pour les activités ménagères ou quotidiennes, etc.
Surtout ne pas traiter aux Ultras-sons car ils chauffent le tendon donc aggravent le problème.
Muscles
2
D
D// IIN
NN
NEERRV
VA
AT
TIIO
ON
N
_ Végétative liée aux vaisseaux sanguins.
_ «Extéroceptive» : . nociceptive = système d’alarme
. proprioceptive : renseigne sur l’aspect du geste engendré par le
contact 
Ajustement (si lésions répétées, les info proprioceptives sont mal
ajustées car il y a moins de récepteurs, donc mauvaise qualité des info
 risques de récidives.
IIIIII// M
MU
US
SCCLLEE
La structure musculaire est liée à sa fonction
épimysium
périnysium
cellules musculaires = myocytes
extensibles et viscoélastiques
Endonysium
Aponévrose
vaisseaux sanguins
Nerf
Aponévrose = enveloppe fibreuse qui entoure la partie charnue du muscle
Muscle digastrique = muscle composé de 2 corps charnus donc de 3 tendons (ex : biceps)
L’aponévrose, l’épimysium, l’endomysium et le périmysium sont constitués surtout de fibres
de collagène donc ne sont pas élastiques (non-extensibles) mais sont solides.
A
A// CCEELLLLU
ULLEE M
MU
US
SCCU
ULLA
AIIRREE
Elle résulte de la fusion d’1 centaines de cellules embryonnaires initiales = syncytium.
La fusion se fait bout à bout  fibres qui peuvent être très longues.
Après la fusion, elle perdent leur pouvoir de mitose  cicatrisation difficile (dans quelques
cellules, on retrouve des myoblastes.
11// LLO
ON
NG
GU
UEEU
URR ::
quelques 100aines de microns à plusieurs cm (la + longue = Sartorius)
22// LLA
ARRG
GEEU
URR ::
100 microns
Muscles
3
33// CCO
OM
MPPO
OS
SIIT
TIIO
ON
N
_ Sarcolemme = membrane plasmique (plaque motrice  invaginations) : mosaïque fluide
avec comme protéines : canaux ioniques à Na+, K+ ou Ca2+, récepteurs à ACH postsynaptique
_ Sarcoplasme = hyaloplasme (eau + protéines  plus ou moins visqueux = gel colloïde
aqueux).
. phosphocréatine ++  régénération de l’ATP (déchet = créatinine)
. myoglobine (pigment protéique rouge-orangé)  fixer et transporter l’O2
. Enzyme oxydatives (participent à l’oxydoréduction) dont la cholinestérase.
_ Organites : REL très développé, REG moins développé que le lisse, beaucoup de
mitochondries, appareil. de Golgi peu développé, beaucoup de myofibrilles d’actine et de
myosine  aspect strié.
Dès qu’on sollicite trop le muscle  micro-lésions  désorganisation des fibres (ex :
courbatures).
BB// M
MYYO
OFFIIBBRRIILLLLEE
11// S
ST
TRRU
UCCT
TU
URREE
Cellule cylindrique avec alternance d’1 disque sombre = disque A (anisotrope : composé de
2 éléments ou + = hétérogène) et d’1 disque clair = disque I (isotrope : composé d’1 seul
élément = homogène)
Strie Z
½ disque clair
I
myosine
Disque sombre
Strie M
bande H
½ disque clair
I
actine
Strie Z
Structure sagittale d’1 myofibrille en repos et contraction
Muscles
4
sarcomère = unité structurale et fonctionnelle des myofibrilles (comprise entre 2 stries Z)
donc sarcomère = ½ disque I + 1 disque A + ½ disque I
myosine
Actine 
Structure transversale d’1 myofibrille
Au niveau du disque clair, coupe transversale : seulement actine
Au niveau de la Bande H : seulement myosine
Pour 1 filament de myosine, il y a 6 filaments qui s’attachent à l’actine, ce qui  la solidité de
la fibre
La cellule musculaire ne se reproduit ps au stade adulte
La cicatrisation est possible grâce à certains myocytes (cellules souches) mais st peu nbreux et
 au fur et à mesure de la vie  vers 50 ans, la cicatrisation se fera grâce aux f. de collagène
= tissu fibreux
22// S
ST
TRRU
UCCT
TU
URREE M
MO
OLLEECCU
ULLA
AIIRREE D
DEES
SM
MYYO
OFFIILLA
AM
MEEN
NT
TS
S
A
ACCT
TIIN
NEE ::
molécule complexe formée de 4 parties complémentaires
_ actine fibrillaire (support) = actine F
_ actine globulaire = actine G (7 sur chaque spire d’actine F) qui comporte 1 récepteur pour
la myosine
_ tropomyosine (support de la troponine)
Muscles
5
_ troponine (activée par Ca2+ ionisé), lorsqu’elle est activée, elle bascule et va découvrir les
récepteurs de myosine
M
MYYO
OS
SIIN
NEE
= méromyosine
La myosine est 1 fibre composée de 2 parties :
_ Support : méromyosine légère (Light) = HMM
_ Tête de myosine : . bras coudée : méromyosine lourde S2 = HMM S2
. Tête active : méromyosine lourde S1 = HMM S1
2+
C’est le Ca qui va activer S1 et qui va permettre l’hydrolyse de l’ATP :
ATP + H2O  ADP + P + énergie
L’énergie va servir à faire basculer S1 pour se fixer à l’actine afin de former 1 pont d’actomyosine.
Cette fixation s’accompagne d’1 glissement de l’actine (système de crémaillère qui forme des
liens brefs et transitoires).
traitement converge vers la strie M (la bande H se rétrécit) et entraîne le filament d’actine vers
la strie M  raccourcissement de la myofibrille.
CC// O
ORRG
GA
AN
NIIS
SA
AT
TIIO
ON
ND
DU
U RREELL
Strie Z
Disque A
Strie Z
Le tubule transverse est 1 invagination de la membrane plasmique, à angle droit, qui arrive à
la jonction disque clair-disque sombre  liaison entre l’extérieur de la cellule et la
myofibrille.
Le gros tube du REL comporte 1 partie renflée = citerne terminale qui sert à stocker au repos
le Ca2+ ionisé. A la contraction, celui-ci va rentrer dans la myofibrille pour rendre actif la
troponine sur lequel siège du Mg2+ (ce qui empêche la liaison de ces fibres, au repos) il y a
donc échange avec le Mg2+
Citernes = réserves
L’étirement passif d’1 muscle va favoriser le retour du Ca2+ dans les citernes  le Mg2+
revient entre les filaments des myofibrilles  relâchement favorisé.
Muscles
6
En Cabinet : Manœuvre de Levées de Tension
_ Contraction max. du muscle ciblé pendant 3-4 secondes
_ relâchement en soufflant
_ extension passive d’environ 7 secondes
2 fois de suite
D
D// IIN
NN
NEERRV
VA
AT
TIIO
ON
N
_ Sensitive : nociceptive et proprioceptive (neurone Ia avec la fibre annulo-spirale qui lui
donne naissance  boucle gamma ou réflexe myothatique.
_ Motrice ( et gamma) = SN somatique.
_ Végétative : faire varier le calibre des vx = vasomotricité grâce au sphincter pré-capillaire.
Syndrome Algo-neuro-dystrophique : problème de vascularisation due à 1 problème de
vasomotricité  trouble de la mobilité musculaire (le muscle s’atrophie à cause de la
mauvaise trophicité  douleur à la palpation du muscle, neurone fatigué plus vite car manque
d’O2)
IIV
V// PPH
HEEN
NO
OM
MEEN
NEE
M
MU
US
SCCU
ULLA
AIIR
REE
EELLEECCT
TR
RIIQ
QU
UEE
D
DEE
LLA
A
CCO
ON
NT
TR
RA
ACCT
TIIO
ON
N
A
A// RRA
APPPPEELL
Motoneurone  : neurone moteur dont le corps cellulaire se trouve dans la corne antérieure
de la moelle épinière et dont l’axone se termine au niveau du muscle strié squelettique (1
motoneurone peut innerver de 10 à 10 000 cellules musculaires  nombre en rapport avec la
fonction du muscle).
Plaque Motrice : 1 branche du bouton synaptique qui forme 1 synapse neuro-musculaire
avec 1 cellule musculaire.
Unité Motrice : ensemble de cellules innervées par 1 même neurone  (clinique).
BB// PPLLA
AQ
QU
UEE M
MO
OT
TRRIICCEE
11// S
ST
TRRU
UCCT
TU
URREE
Muscles
7
22// FFO
ON
NCCT
TIIO
ON
NN
NEEM
MEEN
NT
TD
DEE LLA
A PPLLA
AQ
QU
UEE M
MO
OT
TRRIICCEE
_ dépolarisation du motoneurone 
_ entrée de Na+ et de Ca2+ (échange ionique respectivement avec le Potassium et le Mg2+)
_ exocytose de l’ACH dans la fente synaptique
_ repolarisation du motoneurone 
_ fixation d’ACH sur les récepteurs à Ach post-synaptiques
_ entrée de Na+et de Ca2+ (par le tubule transverse) dans la myofibrille
_ dissociation d’ACH par la cholinestérase en Acétyl et en Choline
_ repolarisation de la cellule musculaire
_ sortie de Na+ à la fin ou après la repolarisation
_ entrée de Ca2+ ds la myofibrille au niveau de la triade
_ phénomènes mécaniques des ponts d’acto-myosine  contraction
BB// PPO
OT
TEEN
NT
TIIEELL D
DEE M
MEEM
MBBRRA
AN
NEE
11// PPO
OT
TEEN
NT
TIIEELL D
DEE RREEPPO
OS
S
Valeur des charges électriques de part et d’autre de la memb  - 80 mV (parfois – 60 mV)
22// PPO
OT
TEEN
NT
TIIEELL D
DEE PPLLA
AQ
QU
UEE
Fluctuation continuelle du potentiel insuffisante à créer 1 PA = PPSE due à 1 libération
modérée et continue d’Ach  système musculaire en alerte = vigilance ou éveil musculaire
(permet de rapprocher, si besoin, le potentiel du seuil d’excitabilité).
33// PPO
OT
TEEN
NT
TIIEELL D
D’’A
ACCT
TIIO
ON
N
Sommation Spatio-temporelle (dans 1 temps bref) des PPSE jusqu’à atteindre 1 valeur de
potentiel d’ - 50 mV qui est le seuil d’excitabilité de la cellule musculaire.
1 fois atteint, le PA a 1 valeur positive comprise entre 20 et 50 mV.
44// LLO
OIIS
SD
DEE CCO
ON
ND
DU
UCCT
TIIO
ON
N
Tout ou rien :. seuil d’Intensité et de durée min pour obtenir 1 PA
. dès que le seuil est atteint, ce PA est d’emblée max
Excitabilité : période réfractaire
D
D// EELLEECCT
TRRO
O--M
MYYO
OG
GRRA
AM
MM
MEE
== EEM
MG
G
Enregistrement de l’activité électrique globale du muscle (donc de ses unités motrices
11// PPRRO
OT
TO
OCCO
OLLEE
_ Positionnement des électrodes d’enregistrement et de stimulation (au moins 1 de chaque)
sur la peau en regard d’1 muscle superficiel uniquement (profond pas possible).
_ Enregistrement de l’activité du muscle en décharge.
_ Enregistrement de l’activité du muscle en position statique posturale (debout).
Muscles
8
_ Enregistrement de l’activité du muscle en contraction volontaire : plus le patient contracte
son muscle fortement et plus il y a de fibres musculaires recrutées donc contractées 
augmentation de la valeur des PA (1 trait par unité motrice contractée  activité cyclique).
Remarque : on enregistre 1 activité groupée nerf / muscle.
22// IIN
NT
TEERREET
TS
S CCLLIIN
NIIQ
QU
UEES
S
_ Existence ou non d’1 activité électrique du muscle (possibilité ou non de se contracter).
_ Activité électrique normale ou ps (influx efficace ou pas).
_ Aspect évolutif : . en myopathie : dégénérescence du muscle dans le temps.
. degré de récupération après 1 accident, etc.
_ Comparaison droite / gauche du même muscle  qualité des muscles.
33// IIN
NT
TEERREET
TS
S EEX
XPPEERRIIM
MEEN
NT
TA
AU
UX
X
_ activité des muscles au sein d’1 mouvement donné.
_ aspect de la réponse d’1 muscle à 1 stimulation externe.
V
V// PPH
HEEN
NO
OM
MEEN
NEE
M
MU
US
SCCU
ULLA
AIIR
REE
M
MEECCA
AN
NIIQ
QU
UEE
D
DEE
LLA
A
CCO
ON
NT
TR
RA
ACCT
TIIO
ON
N
A
A// PPRRO
OPPRRIIEET
TEES
S
11// M
MU
US
SCCLLEE
_ Excitabilité (peut être excité par 1 influx nerveux).
_ Contractilité (grâce aux myofilaments).
_ Extensibilité.
_ viscoélasticité (amortissement dû à la viscosité du sarcolemme).
22// T
TEEN
ND
DO
ON
N
_ non-excitable directement (sur le plan moteur) mais excitable sur le plan sensitif (douleur,
etc)
_ Non-contractile.
_ non-extensible mais très légèrement déformable donc non-élastique.
BB// RRA
APPPPO
ORRT
TT
TEEN
NS
SIIO
ON
N//LLO
ON
NG
GU
UEEU
URR
La tension se fait dans le sens de la contraction du muscle.
L’extension par l’étirement peut être divisée en 3 secteurs :
_ Course interne : position la plus courte des points d’insertion.
_ Course moyenne : position intermédiaire.
_ Course externe : position longue.
Muscles
9
Tension
: résultat d’étirement des cellules musculaires
rupture
: résultat d’étirement des éléments fibreux,
épi-, péri- et endomysium
Fmax
Longueur
1
2
3
1  course interne : peu de force dvpée mais tension faible
2  Course moyenne : tension dvpée max (dans tout le secteur) mais résistance des éléments
fibreux faible  efficacité maximum globale
3  Course externe : tension faible et résistance max due à l’étirement des structures nonextensibles  moins bonne efficacité
pour renforcer 1 muscle, il faut donc le faire travailler en course moyenne
CC// S
SEECCO
OU
US
SS
SEES
SM
MEECCA
AN
NIIQ
QU
UEES
S ((CCO
ON
NT
TRRA
ACCT
TIIO
ON
NS
SM
MU
US
SCCU
ULLA
AIIRREES
S))
Enregistrement de la déformation mécanique d’1 muscle par 1 myogramme à la suite d’1
stimulation électrique
_ travail en isométrie (pas de mouvement) = statique ou en anisométrie (mouvement) =
dynamique
_ charge constante (isotonie) ou variable (anisotonie)
certains muscles ne travaillent qu’en dynamique ou en statique (il ne sert à rien de les faire
travailler à l’encontre de leur nature)
EEX
XEERRCCIICCEES
S EEN
N IIS
SO
OT
TO
ON
NIIEE
_ Phase de latence : phénomènes électriques se déroulent donc les ponts d’acto-myosine se
forment.
_ Phase de contraction : glissement des filaments d’actine entre les filaments de myosine
(l’amplitude de déformation est proportionnelle au nombre de fibres misent en jeu).
_ Phase de relâchement : ponts se retirent donc retour à la position initiale de l’ensemble des
éléments (2-3 fois + longue que la phase de contraction).
Muscles
10
S
ST
TIIM
MU
ULLA
AT
TIIO
ON
N M
MU
US
SCCU
ULLA
AIIRREE PPO
ORRT
TEEEE PPEEN
ND
DA
AN
NT
T LLA
A
PPH
HA
AS
SEE D
DEE RREELLA
ACCH
HEEM
MEEN
NT
T
_ Temps de latence : Quasi-inexistant (Ca2+ déjà sur place donc les ponts peuvent se
reformer très vite).
_Phase de contraction : l’amplitude est + importante alors que la stimulation est de même
Intensité, il y a donc sommation spatio-temporelle + importante (+ de fibres recrutées  pour
2 influx faibles, on peut avoir 1 bonne contraction)
_ Phase de relâchement : identique
S
ST
TIIM
MU
ULLA
AT
TIIO
ON
N M
MU
US
SCCU
ULLA
AIIRREE PPO
ORRT
TEEEE PPEEN
ND
DA
AN
NT
T LLA
A
PPH
HA
AS
SEE D
DEE CCO
ON
NT
TRRA
ACCT
TIIO
ON
N
_ Temps de latence : inexistant car tout est déjà ou est en train de se former  fluidité de la
réponse
_ Phase de contraction : l’amplitude est + importante alors que la stimulation est de même I,
il y a donc sommation spatio-temporelle + importante (+ de fibres recrutées  pour 2 influx
faibles, on peut avoir 1 bonne contraction)
_ Phase de relâchement : identique
S
ST
TIIM
MU
ULLA
AT
TIIO
ON
N M
MU
US
SCCU
ULLA
AIIRREE PPO
ORRT
TEEEE PPEEN
ND
DA
AN
NT
T LLA
A
PPH
HA
AS
SEE D
DEE LLA
AT
TEEN
NCCEE
Rien ne se passe car c’est 1 période réfractaire électrique.
PPLLU
US
SIIEEU
URRS
S S
ST
TIIM
MU
ULLA
AT
TIIO
ON
NS
S D
DEE M
MEEM
MEE IIN
NT
TEEN
NS
SIIT
TEE A
A
IIN
T
E
R
V
A
L
L
E
S
R
E
G
U
L
I
E
R
S
,
P
O
R
T
E
E
S
A
C
H
A
Q
U
E
P
H
A
S
E
NTERVALLES REGULIERS, PORTEES A CHAQUE PHASE
D
DEE RREELLA
ACCH
HEEM
MEEN
NT
T
_ Temps de latence : formation des ponts d’acto-myosine
_ Phase de contraction :
. 1e temps : glissement d’actine contre la myosine  amplitude selon le nombre de
fibres recrutées
. 2e temps d’atteinte : phase de contraction  amplitude différente à cause du nombre
de fibres recrutées
. 3e temps d’atteinte : Toujours constante  l’ensemble des unités motrices a été
recruté.
. 1er plateau = tétanos imparfait puis retour à la position initiale
PPLLU
US
SIIEEU
URRS
S S
ST
TIIM
MU
ULLA
AT
TIIO
ON
NS
S PPO
ORRT
TEEEES
S PPEEN
ND
DA
AN
NT
T LLA
A
PPH
HA
AS
SEE D
DEE CCO
ON
NT
TRRA
ACCT
TIIO
ON
N
Temps de latence puis phase de contraction.
Continuité de la réponse (viscoélasticité).
Muscles
11
tétanos parfait (recrutement de toutes les unités motrices du muscle)
Dans l’organisme n’existe pas car seulement 25 % des fibres, au max, peuvent être
dépolarisées ensemble (sinon il y aurait écrasement, éclatement osseux) = recrutement
asynchrone de l’organisme.
La résistance du squelette est très inférieure à la force développée par l’ensemble du muscle,
donc, si on dépasse 25 %  fracture.
La crampe est un sorte de tétanos parfait qui ne touche qu’un faisceau.
Le tétanos parfait est une crampe de tous les muscles, non supportable pendant longtemps.
Conclusion :
_ L’activité électrique est dissociée de l’activité mécanique, donc quand on stimulation il faut
laisser du temps entre 2 stimulations que le muscle se contracte.
_ La viscoélasticité de la cellule musculaire (sarcoplasme) permet de faire des gestes fluides,
sans acout. Quand les mouvements sont non fluides, origine neurologique ou origine
musculaire.
_ Le tétanos n’existe pas en physiologie humaine, qu’il soit parfait ou imparfait car le
squelette ne pourrait pas supporter.
_ En contraction maximum, on a utilisation de 25 % des unités motrices (non utilisé la plus
part du temps).
_ En activité quotidienne, on utilise entre 8 et 10 % (en vie quotidienne, sans sport).
_ Travail en longueur, pour ne pas fatiguer les unités motrices, il y a recrutement asynchrone.
Eutonies : savoir utiliser les muscles de façons détendue (minimum de geste).
D
D// LLEE D
DIIFFFFEERREEN
NT
TS
ST
TYYPPEES
SD
DEE T
TRRA
AV
VA
AIILL M
MU
US
SCCU
ULLA
AIIRREE
11 //FFO
ORRCCEE EEX
XT
TEERRIIEEU
URREE << FFO
ORRCCEE M
MU
US
SCCU
ULLA
AIIRREE
Travail en dynamique (= phasique).
Rapprochement des points d’insertion du muscle : raccourcissement.
Donc travail concentrique (= moteur).
22// FFO
ORRCCEE EEX
XT
TEERRIIEEU
URREE == FFO
ORRCCEE M
MU
US
SCCU
ULLA
AIIRREE
Travail statique ( = postural).
Isométrie, donc travail statique.
Muscles
12
33// FFO
ORRCCEE EEX
XT
TEERRIIEEU
URREE >> FFO
ORRCCEE M
MU
US
SCCU
ULLA
AIIRREE
Travail en dynamique (= phasique).
Eloignement des points d’insertion du muscle : étirement (actif).
Donc travail excentrique (= freinateur).
Il existe des muscles phasiques = capable de faire des mouvements, ne dure pas (fatigue)
Muscle posturaux : travail longtemps sans fatiguer.
Le moins coûteux en énergie dépensé est le travail excentrique (= freinateur).
Le plus coûteux en énergie dépensé est le travail concentrique (= moteur).
Entre les 2, le travail statique.
EE// LLEES
S FFA
ACCT
TEEU
URRS
SD
DEE V
VA
ARRIIA
AT
TIIO
ON
ND
DEE LLA
AS
SEECCO
OU
US
SS
SEE M
MU
US
SCCU
ULLA
AIIRREE
Une cellule musculaire, travaille bien à 38° localement : les enzymes sont efficace, la
viscosité du sarcoplasme est un peu diminuée, donc les mouvement sont fluides, donc
meilleur étirement, = échauffement musculaire.
L’échauffement musculaire c’est la mise en jeu d’au moins 50 % de la masse musculaire
pendant au moins 20 min.
Quand un muscle est fatigué, la secousse est moins efficace.
Il y a 2 formes de fatigue sur le muscle sain.
_ Travail statique : écrasement sur place des capillaires du muscle, donc ischémie
locale, entraînant des douleurs de types de brûlure. Donc pas de contraction longue (pas plus
de 2 – 3 min).
_ Travail en contraction alterné (phase de relâchement) fatigue qui apparaît beaucoup
plus tardivement. Cause : déficit en substrat (glucose).
V
VII //LLEES
S PPH
HEEN
NO
OM
MEEN
NEES
S CCH
HIIM
MIIQ
QU
UEES
SD
DEE LLA
A CCO
ON
NT
TR
RA
ACCT
TIIO
ON
N
M
MU
US
SCCU
ULLA
AIIR
REE
A
A// U
UT
TIILLIIS
SA
AT
TIIO
ON
ND
DEES
SS
SU
UBBS
ST
TRRA
AT
TS
S
_ Au repos, utilisation de 50% de glucides, 50 % de lipides
_ Lors d’un effort musculaire : utilisation de 100 % de glucides (glucose), on utilise le
glycogène du foie qui se dégrade par glycogenolyse pour donner du glucose dans le sang afin
qu’i soit utilisé. Au bout de ¾ H il n’y a plus de glucose, donc utilisation des lipides qui
fournissent de l’énergie pendant 1H30. puis utilisation des protéines de structures mais on
s’autodétruit : lyse de l’actine et de la myosine, problème de syncope (sans alimentation).
Il faut bien s’hydrater.
Quand on prend 1g de glucide, il faut 1 mL d’eau.
Quand on prend 1g de lipide, il faut 1mL d’eau.
Quand on prend 1g de protéine, il faut 7 m d’eau.
Muscles
13
BB// U
UT
TIILLIIS
SA
AT
TIIO
ON
ND
DEES
SS
SU
UBBS
ST
TRRA
AT
TS
SA
AU
UN
NIIV
VEEA
AU
UD
DEE LLA
A CCEELLLLU
ULLEE
M
MU
US
SCCU
ULLA
AIIRREE
Glycolyse anaérobie alactique :
30 secondes.
ATP (+ H2O)  ADP + P+ energie
Utilisation d’ATP principalement pendant cette phase.
Phosphocréatine  P+créatine
P correspond a peu près à l’AMP
ADP + P  ATP
ou
ADP + ADP  ATP + AMP
Le lactate est libéré dans le sang et crée une acidose sanguine du fait de l’acidité. Il existe des
systèmes tampon qui captent les H+ et les élimine soit par le foie, soit par le rein. Il y a un
surcroît d’activité de l’organisme ce qui fatigue le cœur et peut entraîner la mort.
La quantité d’o2 maximale utilisé par la cellule en 1 min peut être calculée. On l’appelle la
VO2 max. Elle est mesurée en ml / min / m2. elle est soumise a plusieurs facteurs de
variation : génétique, ethnique (certaines ethnies utilisent beaucoup plus d’O2 que d’autres),
entraînement.
Effort en résistance = effort en anaérobie.
Travail en endurance = travail en aérobie.
L’hydratation est très importante pendant un effort.
Il existe 2 grandes phases : anaérobie et aérobie. Anaérobie : très courte, de grande attention.
La VO2 max.
Endurance, résistance, travail explosif
L’ATP : formation, ce que c’est, a quoi sert-il.
Muscles
14
V
VIIII// PPH
HEEN
NO
OM
MEEN
NEE T
TH
HEERRM
MIIQ
QU
UEE D
DEE LLA
A CCO
ON
NT
TRRA
ACCT
TIIO
ON
NM
MU
US
SCCU
ULLA
AIIRREE
Beaucoup de chaleur libérée après la secousse musculaire, donc l’intérêt est de maintenir la
température centrale à 37°. La diminution de la température centrale, provoque une
hypothermie, les neurones se mettent au repos. Il y a une thermorégulation par les
contractions.
V
VIIIIII// A
AD
DA
APPT
TA
AT
TIIO
ON
ND
DEES
SM
MU
US
SCCLLEES
SA
A LLEEU
UR
R FFO
ON
NCCT
TIIO
ON
N
Il existe 2 types de muscles :
posturaux
_ muscles anti-gravifiques (pesanteur)
_ Travail long : aérobie
richement vascularisé
beaucoup de mitochondries
beaucoup de myoglobines
beaucoup d’enzymes oxydatives
muscle rouge
_ Situation : muscles profonds de la nuque
muscles para-vertébraux (spinaux)
muscles pelvitrochantériens
soléaire
muscle abdominaux
_ cellule musculaire courte, intérieur fibreux
faible étirement
_ peu fatigable
_ Récepteurs : fuseau neuro-musculaire
nombreux
_ peu d’unité motrice par cellule
beaucoup de cellule par unité motrice
Muscles
phasiques
_ muscle du mouvement
_ Travail court : anaérobie
moins vascularisé
moins de mitochondries
moins de myoglobines
moins d’enzyme oxydatives
muscle blanc
situation : tous les autres
_ cellule musculaire longue
étirement important
_ très vite fatigable
_ Récepteurs : fuseau neuro-musculaire peu
nombreux
_ beaucoup d’unité motrice par cellule
15
Téléchargement