28/11/05 Anatomie Cours 11 I. L’aorte thoracique descendante L’aorte thoracique descendante fait suite à la crosse de l’aorte sur le flanc gauche de Th4 et à partir de le, elle chemine dans le médiastin postérieur. Elle longe ce flanc gauche de la colonne thoracique. Dans sont trajet descendant elle chemine vers le bas et le dedans de sorte quelle se retrouve à la hauteur de TH12 sur la face antérieur. Au niveau de Th12 elle empreinte un hiatus fibreux, arrive dans l’abdomen et elle devint aorte abdominal. Durant son trajet, l’aorte thoracique mesure 25 cm de long pour 2 cm de diamètre. A. Rapports 1. Avec l’oesophage Le principal rapport se fait avec l’œsophage en décrivant un quart de tour de spire. Initialement l’aorte est latéro-oesophagienne gauche, elle devient en descendant retro-oesophagienne. L’aorte et œsophage sont séparés par des tractus fibreux, en haut en en bas par le recessus antéro-aortico-oesophagien. La proximité de l’aorte et de l’œsophage nous explique la rupture d’anévrisme ou le sang s’écoule dans l’œsophage. 2. Avec les autres organes du médiastin postérieur Les rapports se font en arrières avec les vertèbres, les disques intervertébral, les arc costo-vertébraux gauche, les veines hemiazygose et azygos accessoire. Ce seront également les artère intercostal postérieur et le tronc sympathique létaro-vertabral gauche. Les rapports antérieurs se font avec la face postérieure du hile, du ligament pulmonaire gauche, l’œsophage. Le nerf vague gauche qui progressivement se dirige vers la face antérieur de l’œsophage et l’atrium gauche revêtu de péricarde. Les rapports latéraux se font avec la face médiastinale du poumon gauche qui laisse une empreinte sur le poumon. Les rapports latéraux à droit se font avec le conduit thoracique, la veine azygos, le tronc sympathique latéral droit et le nerf vague droit. B. Collatérales 1. Branches pariétales L’aorte thoracique descendante abandonne des collatéraux pariétaux qui sont les artères intercostales postérieures qui niassent de la partie postérieur de l’aorte thoracique. Les trois premières sont issues de artère intercostale suprême qui est une branche du tronc costo cervical. 2. Branches viscérales A ces collatérales pariétales s’ajoutent des collatérales viscéral qui sont des rameaux oesophagiens, péricardique et pleuraux ainsi que bronchiques. L’ensemble de ces collatérales se détache de la fac antérieure. II. Système veineux azygos Le système veineux azygos est constitué par la veine azygos qui constitue la veine principale du système qui remonte sur le flanc droit de la colonne vertébral. A cette veine azygos s’ajoute la veine hemiazygose pour la partie inférieur et hemiazygose accessoire pour le parti supérieur. C'est un système anastomotique profond entre la veine cave inférieure et la veine cave supérieur. Ils drainent le sang veineux des plexus vertébraux et des éléments thoraciques postérieur. Elle est plaquée sur la face latérale des vertèbres. Il n’est pas satellite mais correspond au secteur de l’aorte descendant et de artère thoracique suprême. A. Veine azygos 1. Origines, trajet, terminaison La veine azygos se constitue dans l’espace inter médiastinal droit de la fusion de deux racines, une racine latérale et une médiale. La racine latérale est formée par la réunion d’une veine lombaire ascendante avec la 12é veines intercostales. La veine lombaire ascendante née de la veine iliaque commune droite, draine les quatre veines lombaires droites et remonte pour fusionner avec la 12e veines intercostales. La racine médiale née de la face postérieure des veines cave inférieur. Les différentes racines traversent le diaphragme et se fusionnent au niveau du 11e espaces intercostal pour remonter dans le flanc droit et la colonne vertébral jusqu’à Th4. En th4 elle se porte vers l’avant passe au dessus du hile du poumon droit pour décrire sa crosse et se jeter à la fac postérieur de la veine cave supérieur. Cette veine azygos mesure environ 25 cm de long pour un diamètre à la terminaison de 12mm et au départ de 4 mm. 2. Rapports Le segment ascendant de la vines azygos chemine avec le conduit thoracique et l’aorte qui forme ces vaisseaux longitudinaux. A gauches les rapports se font avec le flanc droit de la colonne thoracique, avec l’aorte thoracique descendante et au conduit thoracique. En arrière, les rapports se font avec les artères intercostales droite et avec le tronc sympathique latéral vertébral droit. Les rapport à droit se font avec la face médiastinal du poumon droit déterminant une emprunte. Le rapport antérieur va se faire avec le recessus pleural inter-azygosoesophagien. Les rapports antérieur, c'est la face postérieur du hile du poumon droit, la ligament pulmonaire droit, l’œsophage, le nerf vague droit qui va gagner la face postérieur de l’œsophage La crosse de l’azygos se projette en Th4. Ses rapports se font avec la face latérale de l’œsophage, avec le nerf vague droit, la face latérale de la trachée. Il existe ici toute une série de nœud lymphatique. 3. Branche afférentes Ces collatérales afférentes seront les veines intercostal postérieur droit à l’exception des trois premières qui forment une veine intercostal suprême qui se jette isolement au niveau de la crosse de l’aorte. La veine azygos reçoit en plus les veines hemiazygose accessoire B. Hémi azygos La veines hemiazygose née dans l’espace infra médiastinal postérieur de la réunion de deux racines. La racine médiale née dans la veine rénale et constitué n canal veineux reino-azygo-lombaire. Cette veine hemiazygose après avoir traverser le hiatus va se retrouver dans le médiastin postérieur sur la flanc gauche de la colonne. Elle remonte jusqu'à la 7e vertèbres. Ensuite, elle traverse la ligne médiale pour se jeter dans la veine azygos. Au cours de son trajet elle va recevoir les veines intercostales postérieures des 8 au 11 espace intercostal. C. Hémi azygos accessoire La veines hémi azygos accessoire va forme la veine supérieur. Les trois premières forment au préalable la veine thoracique supérieur qui se jettent dans la brachiocéphalique gauche. Les autres veines se réunissent formant la veine hémi azygos accessoire En Th7, elle franchie la ligne médiale pour venir se jeter dans le veines azygos. III. Conduit thoracique A. Origine Le conduit thoracique constitué le plus volumineux vaisseaux lymphatique. Son calibre est de 5 mm. Sa longueur atteint 40cm. Ce conduit thoracique va remmener la lymphe de la moitié inférieur plus la lymphe de l’hémicorps supérieur gauche. Il née dans l’abdomen au niveau de la citerne du Chile. Il née à la hauteur de L1. La citerne du Chile est une ampoule dilater vers laquelle plusieurs tronc lymphatiques se drainent comme les troncs urogénitaux et des troncs intestinaux. Ces différents troncs ramenant la lymphe, la confluence donne naissance à la citerne du Chyle. B. Trajet Ce conduit thoracique remonte dans le thorax dans le même orifice du diaphragme que l’aorte. Il remonte contre le plan vertébral jusqu’au niveau de Th5 ou il se déporte sur la gauche, il remonte vers le pole supérieur du poumon et finalement après avoir enjambé artère subclavière gauche rejoint le tronc brachiocéphalique gauche dans le confluent veineux jugulo-subclavier gauche. Le conduit thoracique chemine en arrière de l’œsophage, an arrière du cœur et dans sa partout terminal il passe au dessus de artère subclavière gauche. C. Conduit lymphatique droit L’hémi corp supérieur droit se drainera dans le confluent jugulosubcalvier droit par l’intermédiaire du conduit lymphatique droit qui va drainer le tronc le tronc brachéo-médiastinal droit, le tronc jugulaire droite et le tronc subclavière droit. D. Généralité sur le système lymphatique Le système lymphatique est étroitement lié au vaisseau. Il comporte aussi du tissu lymphoïde. Le système lymphatique comporte enfin des cellules, les lymphocytes. Ce système lymphatique représente une voie privilégiée des essaimages des cellules cancéreuse. Les vaisseaux lymphatiques naissent en périphérie au niveau des capillaires lesquelles aboutissent à des troncs lymphatiques. Ces vaisseaux lymphatique sont soient superficielle ou viscéraux. Sur leur trajet on trouve des nœud qui sont des renflements qui sont soient isolé ou superficielles. Ils augmentent de volume lors d’infection. A l’inverse, ils diminuent de volume après irradiation ou mal nutrition. Cette lymphe est acheminée vers le haut par contraction musculaire et présence de valvules. Sur ce trajet, il y a des nœuds lymphatique qui constitués des barrières et que l’on enlève lors de curage ganglionnaire.