explorateurs hyères

EXPLORATEURS
HYÈRES
JARDIN SAINT-BERNARD
LIVRET DE VISITE
BIENVENUE
AU PARC SAINT-BERNARD
Ce jardin est ancien et très fragile. Nous te demandons de respecter
les règles suivantes pour nous aider à le protéger :
- je ne cueille rien dans le jardin,
- je ne sors pas des allées (il est interdit de marcher dans les bosquets
afin de protéger les plantes) et je ne grimpe pas sur les murs,
- je respecte le travail des jardiniers qui s’occupent du parc (je ne traîne
pas les pieds dans les allées ratissées, je ne jette pas de papier par
terre).
Les règles du livret
Tu peux compléter le livret dans l’ordre que tu veux, mais le but est de
passer par toutes les étapes.
Pour te repérer dans le jardin et trouver les espaces qui correspondent
aux numéros, tu peux utiliser le plan au centre du livret. Il est accompagné d’un petit glossaire qui t’expliquera les mots compliqués.
C’est parti !
1) PARVIS DE LA
VILLA NOAILLES
Charles et Marie-Laure de Noailles reçoivent en cadeau de mariage de
la princesse de Poix, mère de Charles, une terre située sur la colline du
Castéou. Le couple souhaite y bâtir « une petite maison fonctionnelle »
pour leurs vacances. Robert Mallet-Stevens, jeune architecte parisien,
dessine les plans. Il propose une villa moderne, lumineuse et ouverte,
construite sur plusieurs terrasses. Les travaux débutent en 1924. Après
plusieurs modifications et agrandissements, la villa est terminée en
1933.
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Le parvis est couvert d’une pelouse. Le mur de clôture, qui le protège,
est percé de grandes ouvertures. Ici, les pleins et les vides s’opposent.
Notre regard, lui, est attiré par les vides, grâce auxquels la nature se
dévoile. Le panorama est exceptionnel : la vieille ville, Notre-Dame de
Consolation, le salin des Pesquiers, la presqu’île de Giens. Hyères est à
nos pieds !
Cette terrasse est un palier, un espace de transition. D’un côté, la
villa – le lieu des fêtes, des amis, des jeux – symbolise la légèreté
des vacances. De l’autre, la nature – le jardin en terrasses et l’horizon s’ouvrant sur la mer – représente l’univers de l’intime et de la
contemplation.
La fonction de ce parvis n’est pas sans nous rappeler le rôle des jardins
spirituels des monastères, les cloîtres*.
Observe le paysage à travers les ouvertures du parvis. Sauras-tu retrouver d’où a été prise la photographie ci-dessous ?
Malheureusement, elle a perdu ses couleurs ! Aide-nous à identifier
les éléments du paysage : à côté de chaque flèche, note le nom des
trois sites patrimoniaux concernés.
.......................................................
.......................................................
.......................................................
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2) LE PARC
SAINT-BERNARD
Peut-être as-tu aperçu des vestiges de remparts ?
La propriété se trouve au pied du château médiéval d’Hyères.
L’architecte Robert Mallet-Stevens a intégré dans le projet quelques
vestiges du château et une longue bâtisse faisant partie d’un ancien
monastère cistercien*, le clos Saint-Bernard. La résidence fut construite
sur le verger, le puits et le poulailler de l’abbaye.
Passionné de botanique, Charles de Noailles accompagne sa résidence
d’un jardin d’agrément. Néanmoins, le terrain est très escarpé, avec
une forte déclivité*, et le sol est pauvre et aride. Alors, le vicomte
lance un long chantier de modelage et de nivellement. Il casse, creuse
et terrasse… Peu à peu, le jardin prend forme. Il souhaite un jardin
méditerranéen.
Rendez-vous au labyrinthe pour
la suite de la visite !
4
Depuis ce point, le jardin t’entoure. Plusieurs variétés de plantes
le composent. Certaines te sembleront familières et d’autres plus
exotiques…
Avant de débuter ta balade dans ce jardin d’agrément, vérifions
tes connaissances grâce à ce petit questionnaire :
1. Lorsque Charles et Marie-Laure de Noailles se marient à Grasse en
1923, la princesse de Poix offre au jeune couple une terre à Hyères. Qu’y
avait-il sur ce terrain avant l’arrivée du couple ?
a) Un domaine viticole
b) Une ancienne abbaye
c) Une bergerie
2. Charles et Marie-Laure possèdent-ils d’autres résidences de villégiature ?
a) Oui, à Grasse et Fontainebleau
b) Oui, à Biarritz et Fontainebleau
c) Non
3. Charles et Marie-Laure étaient mécènes. Qu’est-ce que cela signifie ?
a) Ils étaient artistes.
b) Ils soutenaient des artistes financièrement ou par des commandes.
c) Ils étaient de Mycènes, en Grèce.
4. Quel est le style du jardin ?
a) Un jardin à la française
b) Un jardin japonais
c) Un jardin en terrasses
5. Qui entretient le jardin de la villa aujourd’hui ?
a) Charles de Noailles
b) Les enfants du couple de Noailles
c) Le service des Espaces verts de la ville d’Hyères
Après avoir répondu à ces questions, tu peux continuer ta découverte du jardin... Parviendras-tu à traverser le labyrinthe sans te
perdre ?
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3) PLANTES
ORIGINALES
Parmi les plantes autour de toi,
certaines ont des particularités
inattendues. Grâce aux planches
botaniques ci-dessous, retrouve
3 espèces originales et coche
sur la photo ci-contre l’endroit
où tu les as trouvées.
Arbustus menziesii, appelé l’arbousier d’Amérique :
Je suis un arbre originaire d’Amérique du Nord. Mon écorce
lisse est de couleur rouge orangé. L’été, elle se détache en fines
lanières laissant apparaître des zones de couleur vert pistache,
virant ensuite au brun orangé. Mes feuilles ovales, allongées,
sont vert foncé, luisantes sur le dessus et pâles sur le dessous.
Au printemps, j’ai de petites fleurs blanches, donnant un fruit
rouge comestible à l’automne, l’arbouse.
Anthyllis barba Iovis, appelée Barbe de Jupiter :
Plante méditerranéenne, je suis un arbuste semi-halophile*.
J’aime les sols rocheux et siliceux. Mes rameaux sont gris argentés. Mes feuilles duveteuses me permettent de résister aux
embruns et aux vents. Ce duvet m’a valu le nom de Barbe de
Jupiter. Au printemps, je me couvre de fleurs blanc cassé, virant
au jaune. Je fais partie des espèces protégées, car je suis inscrite
sur la liste rouge des espèces menacées en France.
Manilkara zapota, appelé le sapotillier :
Je suis un arbre, originaire des Caraïbes et d’Amérique centrale.
Mon bois, de grande qualité, est recherché dans l’ébénisterie.
Autrefois, les Mayas extrayaient le chicle de mon bois, le latex
blanc, pour en faire de la gomme à mâcher. Celui-ci fut utilisé
plus tard dans la fabrication des chewing-gums. Mes feuilles
ovales et elliptiques sont groupées à l’extrémité de la branche.
Une petite fleur blanche naît à l’aisselle de la feuille. Elle donne
un fruit ovale, comestible, à la chair jaune ; son goût sucré
rappelle celui de la poire.
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4) ÉTYMOLOGIE
LATINE
Parmi les essences de cette terrasse, certaines sont largement implantées dans nos paysages méditerranéens.
À toi de relier le nom scientifique, en latin, aux informations qui
correspondent à la plante :
� Originaire du sud de l’Afrique, ce plant appartient à la
famille des Oleaceae. Contrairement à son cousin, l’Olea
europea, c’est un arbuste au feuillage dense. Ses feuilles
oblongues sont d’un vert argenté, ce qui lui donne un
aspect brillant. Le fruit, d’abord de couleur verte, devient
noir lorsqu’il est mûr. Il est ramassé pour en faire de l’huile.
Pistacia vera �
Eucalyptus �
Olea africana �
Prunus dulcis �
� Originaire du Moyen-Orient, cet arbre est aujourd’hui
présent dans tout le bassin méditerranéen. Ses graines
comestibles sont un accompagnement essentiel de l’apéritif. Pour la reproduction, le plant mâle doit fleurir en même
temps qu’un plant femelle situé à proximité.
� Arbre fruitier connu et cultivé depuis des millénaires,
il est apprécié pour ses nombreuses vertus. Comestible,
le fruit est consommé dans de nombreux pays méditerranéens. Il sert notamment à faire du sirop d’orgeat. Véritable
sérum de jeunesse, la dermatologie et la cosmétologie
utilisent l’huile extraite de son fruit. Au jardin, ses fleurs
annoncent la fin de l’hiver.
� Originaire d’Australie, cet arbre mesure jusqu’à
30 mètres. Son nom vient du grec signifiant « bien couvert », en raison de ses feuilles bleutées persistantes. Il
est surnommé « le gommier » à cause de la gomme rouge
s’écoulant de ses blessures. Son écorce à deux teintes
tombe chaque année. Isolé ou en groupe, il s’adapte à tous
les sols en raison de ses longues racines qui sont capables
de se gorger d’eau. Il est utilisé comme bois de chauffage et
pour la papèterie. Il est aussi utilisé en pharmacopée, pour
ses vertus cicatrisante et antiseptique.
7
PLAN DU JARDIN
SAINT-BERNARD
a
1
g
b
2
8
7
6
f
c
3
d
e
5
4
GLOSSAIRE
� Chênaie : forêt dont l’espèce dominante est le chêne.
� Cistercien : ordre religieux, fondé par Robert de Molesmes en 1098, en
Bourgogne. Il souhaitait revenir à la stricte application de la règle de saint
Benoît, contrairement à l’ordre des Bénédictins qui s’en étaient éloignés. Les
moines vivent en communauté, dans une abbaye, à l’écart du monde. Leur vie
est basée sur le travail et la prière.
� Cloître : vient du latin claustrum, signifiant fermé. C’est un jardin clos,
entouré de galeries. Dans un monastère, le cloître est un jardin de prière. Il
8
� Pour te rendre à l’étape 1, dirige-toi vers la pelouse
du parvis principal de la villa Noailles.
� Pour aller vers l’étape n°2, le plus simple est d’emprunter les grands escaliers situés vers l’entrée de la
villa Noailles (a). Tourne à gauche après la rembarde en
fer (b). Rendez-vous au-dessus du labyrinthe !
a
� Traverse le labyrinthe, sans te perdre, pour te rendre
vers l’étape 3 ! Reste toujours sur le même niveau (ne
prends pas les escaliers), puis passe l’arche en pierre
(c) : tu es arrivé au bon carrefour.
b
c
� Pour te rendre à l’étape 4, emprunte les deux escaliers (d) pour atteindre la terrasse en dessous.
� Pour aller à l’étape 5, remonte les premiers escaliers
et tourne de suite à droite (e).
� Pour te rendre à l’étape 6, dirige-toi vers le haut du
jardin. En haut des escaliers, prends à gauche avant la
sortie du jardin et arrête-toi le long des romarins (f).
� Pour faire l’étape 7, rien de plus facile : reste où tu
es ! Retourne-toi simplement et admire les chênes verts
de l’autre côté de l’allée.
� L’étape 8 n’est pas loin ! Sors par le haut du parc
Saint-Bernard. Le jardin Guévrékian est situé le long de
l’allée centrale. On y entre par une ouverture étroite (g).
Attention aux petites marches !
d
e
f
g
symbolise le jardin idéal, le paradis.
� Déclivité : inclinaison, qui est en pente.
� Halophile : plante vivant dans des eaux ou des sols salés.
� Persistante (feuille persistante) : feuillage qui reste vert et ne tombe pas
en hiver.
� Proue : désigne l’avant d’un bateau.
� Tan : écorce de chêne broyée, utilisée dans le processus de tannage des
peaux. Après plusieurs mois passés dans des bassins couverts de tan, la peau
devient imputrescible et imperméable. Ainsi, la peau de bêtes s’est transformée en cuir.
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5) JARDIN DE
PLANTES
DÉSERTIQUES
L’ambiance est différente ici. Dans cette rocaille, certaines plantes
vivent en milieu désertique.
Identifie-les en t’aidant des définitions de la page de droite et
retrouve leur nom dans cette grille de mots mêlés.
H E A G A V I S X
A G A V E S G U A
C S I S A Y C A C
A M E R I C A N A
N A X Y G Y N S N
T L S U N U I X T
H S I C A C T E E
E A M T X C S Y A
S I S A L A N A S
V A S L Y C A C T
10
E
S
T
X
A
Y
S
I
X
U
Horizontal
� AGAVES : groupe de végétaux originaires principalement
du Mexique et du Sud-Ouest des États-Unis. L’agave a été introduit en
Europe au 16e siècle. Il pousse dans les zones désertiques et sur les
parois rocheuses. La plupart des espèces ont des longues feuilles lancéolées, vertes et épineuses. La floraison spectaculaire a lieu une fois,
en fin de vie. Au Mexique, à partir de ses feuilles, on fait de l’alcool très
fort. Son nom vient du grec agauê signifiant admirable.
� CACTÉES : le figuier de barbarie fait partie de cette vaste
famille, comme le yucca et l’aloés. Plantes grasses ou cactus, ce sont
des plantes xérophytes : elles ont la capacité d’emmagasiner de l’eau
dans leurs tissus durant la saison sèche.
� SISALANA : variété appartenant à la famille des agaves.
Ses feuilles sont radiantes, en forme d’épée, sans épine latérale et de
couleur vert foncé. À partir du 19e siècle, on la cultive dans la province
du Yucatán au Mexique pour produire une fibre textile, le sisal, utilisée
pour faire de la ficelle.
� AMERICANA : agave largement répandue en Provence, cette
plante est identifiable grâce à la couleur bleu-vert de ses feuilles larges,
résistantes et épineuses dont les extrémités sont recourbées vers le
bas. La floraison, unique, est une grande tige atteignant parfois 5 à
9 mètres. Puis, après un mois, elle s’effondre au vent par épuisement.
Son nom rappelle sa terre d’origine, l’Amérique du Nord.
Vertical
� ACANTHES : plantes vivaces méditerranéennes, elles
poussent sur des sols caillouteux, secs et bien drainés. Leur belle
hampe florale blanche rosée et leurs longues feuilles vertes sont appréciées des jardiniers. Elles ont aussi inspiré les artistes : l’ordre corinthien des chapiteaux des temples antiques reprend le graphisme de
leurs feuilles.
� YUCCA : petit arbuste ou plante vivace. Originaire des zones
arides d’Amérique du Nord, il craint le froid et le gel. En raison de ses
feuilles persistantes* et rigides à bord lisse, pointues et acérées, on
le surnomme « baïonnette espagnole ». Ses énormes épis peuvent
atteindre 1 à 2 mètres de haut.
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6) LE ROMARIN
Appelé « Rose marine » ou « Encensier », le romarin est une plante
méditerranéenne qui aime les sols arides et pauvres. Aromate, il fait
partie de nos herbes de Provence. Il a aussi des vertus médicinales :
il est préconisé pour soigner les maux de tête et les rhumatismes. Les
Grecs l’utilisaient pour stimuler l’intellect et renforcer la mémoire.
La cosmétique l’emploie abondamment dans les crèmes de soin, les
shampoings, les lotions et le parfum.
L’un des romarins du jardin Saint-Bernard situé sous le genêt a un
nom bien connu à Hyères… À toi de le découvrir en répondant à
cette charade !
• Mon premier est une voiture décorée sur laquelle paradent, à l’occasion de fêtes, des personnages, des fleurs, des marionnettes…
• Mon deuxième est un article défini masculin.
• Mon troisième est la somme d’1 + 1.
• Mon quatrième est une forme de théâtre classique japonais, alliant
poésie, danse et musique.
• Mon cinquième est une interjection exprimant la douleur.
Mon tout est le nom du créateur du parc Saint-Bernard.
Réponse : C’est le romarin « _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ ».
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7) LA CHÊNAIE*
Remplis le texte à trous à l’aide des mots suivants :
Provence – grise – écorce – bel arbre – chêne – Noailles – Italie –
farine – gland – saint Louis.
Charles de ________________ a souhaité, à l’entrée de la villa, une
allée de chênes verts qu’il a faits venir d’________________. Pourtant,
cet arbre est présent en ________________ ! Mais plus de 600 espèces
existent dans le monde. Son nom latin Quercus vient du celte Kaër que
signifiant « ________________ ». Symbole de puissance et de majesté,
le roi ________________ réunissait sous un chêne ses sujets, avec
lesquels il s’entretenait avant de rendre la justice. C’est aussi sous un
________________ que Jeanne d’Arc aurait entendu des voix.
Cet arbre aime les sols calcaires. Son écorce, ________________ et
lisse, se craquèle avec l’âge. Ses feuilles persistantes* sont vertes et
sombres. Son fruit, le ________________, est la nourriture de nombreux animaux, comme le geai, le sanglier ou l’écureuil. Autrefois, en
période de famine, on en faisait de la ________________, en remplacement du blé ou du seigle. On utilise son ________________ pour en
faire du tan* et son bois est apprécié des menuisiers et des ébénistes.
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8) LE JARDIN GUÉVRÉKIAN
Pour achever le projet architectural de Robert Mallet-Stevens, Charles
de Noailles fait appel à Gabriel Guévrékian, architecte paysagiste.
Celui-ci conçoit, en contrebas du parvis principal, un jardin sur un
espace étroit et triangulaire. Guévrékian réalise un parterre divisé en
damier, associant mosaïque et végétal. Un jet d’eau ouvre la perspective sur une sculpture en bronze de Jacques Lipchitz, aujourd’hui
disparue.
La villa prend l’allure d’un « paquebot immobile », le jardin se situant à
sa proue*.
À partir de l’ancienne photographie ci-dessous, imagine ton jardin
idéal sur la page de droite. Quelles plantes, arbustes et fleurs
ferais-tu pousser dans les cubes du jardin ?
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Bravo ! Ton parcours est terminé !
Les réponses du livret seront publiées dès
lundi 6 juin sur la page Facebook « Hyères
Patrimoine » et sur le site internet de la ville
d’Hyères : www.hyeres.fr
Crédits photos/images
© Ville d’Hyères, sauf :
- p. 6 : Curtis’s Botanical
Magazine, vol. 58, t. 3111
(1831) et vol. 135, t. 8249
(1909) ; H. L. Duhamel
de Monceau, Traité des
arbres et arbustes, vol. 2,
t. 67 (1804)
- p. 14 : Marc Heller
© Région PACA, Inventaire général
Conception graphique DES SIGNES studio
Muchir Desclouds 2015
Contenu pédagogique
Audrey Allègre (guide
conférencière)
Maquette
Service Patrimoine (CG),
Ville d’Hyères
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« (...) DES HAIES RECTILIGNES
TAILLÉES PROLONGENT L’ASPECT
CUBIQUE DE LA CONSTRUCTION
DANS LES TERRASSES SUD, S’ÉTAGEANT JUSQU’À LA VIEILLE VILLE. »
Cécile Briolle, Agnès Fuzibet, Gérard Monnier, Mallet-Stevens, La villa Noailles, 1990
Hyères appartient au réseau
des Villes et Pays d’art et
d’histoire
Le ministère de la Culture et de la
Communication, direction générale des patrimoines, attribue le
label Ville ou Pays d’art et d’histoire aux collectivités territoriales
qui mettent en œuvre des actions
d’animation et de valorisation de
l’architecture et du patrimoine.
Il garantit la compétence des
guides conférenciers, des animateurs de l’architecture et du
patrimoine et la qualité de leurs
actions. Des vestiges antiques à
l’architecture du XXIe siècle, les
villes et pays mettent en scène
l’architecture et le patrimoine
dans sa diversité.
Aujourd’hui, un réseau de 184
villes et pays vous offre son savoir-faire dans toute la France.
En Provence-Alpes-Côte d’Azur
Arles, Briançon, Pays de Carpentras et du Comtat Venaissin,
Fréjus, Grasse, Martigues, Menton,
Pays de la Provence Verte, Pays
S.U.D (Serre-Ponçon Ubaye
Durance), Pays des Vallées Roya
Bévéra sont aussi des Villes ou
Pays d’art et d’histoire.
/// Le service du patrimoine
coordonne les initiatives
d’Hyères, Ville d’art et d’histoire.
Il propose toute l’année des
animations pour les Hyérois, les
visiteurs et les scolaires. Il se tient
à leur disposition pour étudier
tout projet.
Direction Culture et Patrimoine
Park Hotel
Avenue de Belgique
83400 Hyères
Tél. +33 (0)4 94 00 78 82
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animateurdupatrimoine@
mairie-hyeres.com
/// Laissez-vous conter Hyères,
Ville d’art et d’histoire…
… en compagnie d’un guide
conférencier agréé par le ministère de la Culture.
Le guide conférencier vous
accueille. Il connaît toutes les
facettes d’Hyères et vous donne
des clefs de lecture pour comprendre l’échelle d’une place, le
développement de la ville au fil
de ses quartiers. Le guide est à
votre écoute. N’hésitez pas à lui
poser vos questions.
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Rotonde du Park Hotel
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