[Nom du destinataire] [Adresse] Les examens complémentaires, (en particulier l’E.M.G et le bilan urodynamique et l’examen gynécologique chez la femme), mais aussi les techniques de diagnostic autres que l’I.R.M, ainsi que le type d’intervention sont décidés par chaque spécialistes en fonction de la clinique et de leurs pratiques spécifiques. Les douleurs liées à la maladie de Tarlov peuvent être confondues avec d’autres pathologies. Il est donc important d’exclure en priorité: [Code postal Ville] [Nom de la société] [Adresse] - une sciatique banale ou par hernie discale. - une tumeur osseuse bénigne (neurinome, méningiome) ou maligne. - une névralgie pudendale du canal d’alcock. - une tendinite du moyen fessier. - une dégénérescence arthrosique des apophyses articulaires postérieures qui donnent des douleurs similaires. [Code postal Ville] Maladie des Kystes de Tarlov-France Les Symptômes fréquemment rapportés sont associés à des kystes de Tarlov : maux de dos, douleurs périneurales, sciatique, syndrome de la queue de cheval, dysurie, incontinence urinaire, constipation, vessie neurologique, coccygodynie, radiculalgie sacrée, les douleurs radiculaires, maux de tête, trouble de la vue, paresthésies et hypoesthésies, éjaculation rétrograde, troubles moteurs des membres inférieurs et des organes génitaux, du périnée ou lombo-sacrée, difficulté à marcher, douleurs abdominales basses, périnée, aine, etc. paresthésie vaginale ou du pénis, des changements sensoriels sur les fesses, le périnée, et des membres inférieurs. Ces douleurs sont parfois intolérables, surtout en position assise malgré des traitements antalgiques lourds (morphine). • Troubles fonctionnels et moteurs quotidiens. • Perte d’emploi et impossibilité parfois d’en retrouver en raison de leur handicap. • Méconnaissance de la maladie pour de nombreux médecins et experts, leurs douleurs sont souvent qualifiées de psychosomatiques, ce qui laisse les patients désemparés, voire dépressifs. Qu’est ce qu’un kystes meninges- Photo sacrées dits de Tarlov ? Les kystes de Tarlov (KT) ou kyste périneural, kyste péri-radiculaire ou kyste arachnoïdien, ont une dilatation locale de l'espace sous-arachnoïdienne se formant au contact d'une racine nerveuse, alors que la membrane arachnoïdienne devient le périnèvre (membrane externe du nerf). Il est formé par l'excroissance d'une ou de deux des méninges : l'arachnoïde et/ou la duremère et est rempli de liquide cérébro-spinal (LCS, ou LCR). Les Kystes de Tarlov concernent le plus souvent les racines sacrées, mais peuvent se voir aussi, beaucoup plus rarement, aux niveaux lombaire, dorsal et cervical. On doit leur première description, en 1938, au neurochirurgien américain Isadore Tarlov (1905-1970). il s’agit d’une malformation qui consiste en une dilatation kystique à partir du ganglion rachidien d’une ou plusieurs gaines des racines sacrées. le plus souvent les radicelles nerveuses. traversent le kyste. le kyste peut être unique ou multiple. Ces kystes sont remplis de liquide céphalorachidien. L’os du sacrum est souvent érodé en regard des kystes, parfois confondus avec une simple dilatation des gaines radiculaires, (ce qui a fait dire à tort à de nombreux professionnels, qu’ils le sont toujours) ces kystes peuvent devenir symptomatiques. Ce déclarent alors des signes sensitifs, voire moteurs en rapport avec des atteintes neurologiques au niveau des nerfs de la queue-de-cheval (de s1 à s5), et à distance avec des troubles en rapport avec le couple méninge/liquide céphalo-rachidien (céphalées, troubles visuels et ou auditifs, vertige), couple dont on sait encore peu de choses. La douleur des patients Les douleurs sont parfois intolérables, surtout en position assise malgré des traitements antalgiques lourds (morphine).Des Troubles fonctionnels et moteurs quotidiens. Les patients perte leurs emploi et impossibilité parfois d’en retrouver en raison de leur handicap. La Méconnaissance de la maladie pour de nombreux médecins et de spécialiste. Les patient qualifiées de psychosomatiques, ce qui laisse les patients désemparés, voire dépressifs médecins et experts. sont alors qualifiées de troubles psychosomatiques, ce qui laisse les patients désemparés, voire dépressifs. les kystes remplis de liquide céphalo-rachidien sous pression, vont alors progressivement endommager les racines de avoisinante et ainsi que celles qui les traversent. Les signes sont alors en rapport avec les racines touchées, qui innervent, la sensibilité la face postérieure du membre inférieur, à l’exception de la partie supérieure de la fesse. La racine S1, le mollet, la voûte plantaire et le bord externe du pied. La racine S2 la face postérieure de la cuisse et le creux poplité. La racine S3 le périnée, S3/S4 eux innervent le sphincter urétéral, en S2 le sphincter anal externe ainsi que l’élévateur de l’anus. La racine S5 lui donne la sensibilité de la zone rétro anale ou du nerf pudendal ou nerf honteux interne qui est essentiellement de la racine S3, il innerve les muscles du périnée.sa branche terminale va aux organes génitaux externes (nerf clitoridien chez la femme et nerf dorsal de la verge chez l’homme). Les racines S1/S2 donne au branches motrices à deux muscles très importants, le grand fessier (glutéal) qui participe à l’équilibre antéropostérieur et le pyramidal (piriforme), qui est le bras de levier puissant pour l’équilibre frontal du bassin (d’où contracture et douleur spontanée et à la palpation en profondeur de la fesse externe, lorsqu’il est affaibli). Les racines S1/S2 donnent l’influx moteur aux muscles du mollet, aux ischio-jambiers internes et aux muscles de la plante du pied, ce qui donne parfois des troubles de l’équilibre et de la marche par faiblesse musculaire.