Dossier Presse 2013

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Dossier Presse
2013
nature takes care of you
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Et si les personnes allergiques
devaient leur salut
aux œufs de cailles ?
• Qui sommes-nous ?
• L’oeuf de caille
• Historique
• Allergies
• Traitements actuels
• Ovogenics innove
• Mode d’action
• Conclusion
• Annexes
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Qui sommes-nous ?
OVOGENICS est une société belge active dans le secteur de la santé, elle cherche et développe
des produits novateurs à base d’enzymes spécifiques contenues dans l’œuf de caille (souche
ovogenica). OVOGENICS allie technologie de pointe et savoir faire ancestral pour élaborer, selon
un processus rigoureux, des produits à l’efficacité scientifiquement démontrée ; un recours
exceptionnel pour lutter contre toute forme d’allergie, ayant le triple avantage d’être 100%
naturel, optimalement efficace et sans effets secondaires !
L’activité de notre laboratoire se concentre sur le traitement des allergies (IgE). Son expertise et
sa connaissance dans le domaine des mécanismes de la réaction allergique la rendent unique.
Tant au niveau du processus de mise au point que du développement de ses produits, OVOGENICS
dispose d’un savoir-faire riche de 30 années de recherches.
Notre laboratoire répond aux normes HACCP et dispose d’un certificat BIO ainsi qu’une
certification ISO 22000.
C’est au cœur de la nature
qu’OVOGENICS puise ses principes actifs
Mais s’engager pour la santé c’est également préserver la nature et l’environnement, c’est
pourquoi Ovogenics favorise, à chaque étape de production, l’utilisation d’ingrédients naturels
dûment certifiés. L’objectif est clair : « Améliorer durablement et naturellement la qualité de vie
des personnes allergiques ».
Un comité scientifique de pointe : voir annexe 1
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3
L’œuf de caille,
une arme puissante contre les allergies !
Nos ancêtres avaient déjà saisi tout le potentiel de ce petit oeuf
merveilleux, puisque les applications thérapeutiques de l’oeuf de
caille sont connues depuis l’antiquité. On retrouve des traces de
leur consommation dans les témoignages laissés par les anciennes
civilisations chinoise et égyptienne, qui y recourraient pour lutter
contre l’asthme, par exemple.
L’E.S.O.C.,
Extrait Standardisé d’Oeufs de Cailles
L’Extrait Standardisé d’Oeufs de Cailles (E.S.O.C.) contient
différentes enzymes appelées : ovomucoïdes et ovoinhibiteurs.
Celles-ci ont le pouvoir, scientifiquement démontré, d’inhiber les
protéases humaines responsables du phénomène d’inflammation
et donc du déclenchement de la cascade allergique.
Un peu d’histoire
La formidable aventure scientifique de l’œuf de caille débute en 1960, lorsqu’un un éleveur de
cailles français (R. Cordonnier) observe la disparition progressive de l’asthme et de la dyspnée
de son épouse (allergie : plume, poussières, poils de chien), après l’absorption régulière d’œufs
de caille. Cette observation se confirme par un autre éleveur qui expérimente avec succès la
même thérapeutique dans son entourage. Un double constat qui éveille tout l’intérêt du docteur
Truffier…
Historique complet : voir annexe 2
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L’allergie, un fléau croissant…
On déplore actuellement une véritable « explosion épidémique mondiale » des maladies
allergiques. En 1995, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) considérait que l’allergie était le
sixième fléau sanitaire mondial. Cinq ans plus tard, l’alarmisme est de mise : l’allergie passait
en deuxième position dans le classement, tout de suite après l’hypertension artérielle et les
maladies cardio-vasculaires.
Aujourd’hui, les maladies allergiques touchent plus de 20% de la population des pays
industrialisés et ont connu une progression inexorable de 25% en 10 ans. Leurs manifestations
les plus fréquentes sont : la pollinose, l’asthme, les rhinites, les conjonctivites, l’urticaire,
l’œdème de Quincke, l’eczéma atopique et le choc anaphylactique.
Pour contrer ce fléau, le recours allopathique le plus couramment utilisé est la gamme des
antihistaminiques. Malheureusement, ceux-ci ne conviennent pas à tous et s’accompagnent
souvent d’une série d’effets secondaires pour le moins déplaisants : une somnolence diurne et
des troubles cognitifs. L’homéopathie, la naturopathie, la phytothérapie et l’acuponcture peuvent
s’avérer être des recours intéressants… mais c’est surtout du côté de la nutrithérapie que les
regards se tournent aujourd’hui, grâce aux dernières découvertes issues des expérimentations
sur l’œuf de caille.
L’allergie, kesako ?
Lorsqu’une substance étrangère de type antigène s’introduit dans l’organisme, une réaction se
produit. Chez tout individu normalement immunisé, l’antigène est absorbé soit par la respiration,
soit par l’ingestion, le corps délivrant des anticorps provenant des lymphocytes B, protégeant
l’organisme de l’agression.
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Chez une personne à tendance allergique, le corps va surproduire l’immunoglobuline E qui va
se fixer sur les mastocytes et provoquer une sensibilisation exacerbée par la libération, entre
autres, de l’histamine. Ces manifestations peuvent se traduire par des éternuements répétés,
des trachéites, de l’asthme, des rougeurs aux yeux, un écoulement nasal, de l’eczéma, des
rhinites de printemps… et posent un problème quotidien à leurs victimes.
Les allergies les plus fréquentes sont respiratoires. Elles sont provoquées par les
pneumallergènes : poussières, pollens, phanères de l’animal, fermentations provoquées par les
moisissures, acariens. Ces derniers, à eux seuls, sont responsables de plus de 65% des allergies
respiratoires.
Les allergies alimentaires sont provoquées par les trophallergènes. Elles concernent
principalement les enfants en bas âge, et si elles sont moins fréquentes chez les adolescent(e)s,
en revanche, elles gagnent en puissance et en durée. Leur forme la plus courante est l’eczéma.
Les différents types d’allergies : voir annexe 3
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Le phénomène de l’allergie,
une affection à la banalité trompeuse…
Le mot allergie décrit plusieurs réactions qui peuvent se manifester en différentes régions du
corps : la peau, les yeux, le système digestif ou les voies respiratoires. Les types de symptômes
et leur intensité varient selon l’endroit où l’allergie se déclare, et en fonction de chaque individu.
Les symptômes peuvent être légers, comme un écoulement nasal ou potentiellement mortels,
comme le choc anaphylactique.
Une des réactions allergiques les plus connues est la rhinite allergique. C’est une des
principales causes de consultation chez le généraliste ou chez le pharmacien. Elle fait suite à une
inflammation des IgE (immunoglobulines) et à la libération de l’histamine par les mastocytes.
La rhinite allergique n’est pas une infection banale et une personne qui en souffre a trois fois
plus de risque de développer un asthme. Il est donc impératif de se soigner promptement.
Dans les pays industrialisés, les maladies respiratoires allergiques (allergie aux pollens, aux
acariens) connaissent une progression exponentielle. Actuellement on estime que près de 30 %
de la population occidentale est concernée par la maladie allergique.
Les traitements traditionnels prescrits par les médecins ont pour objectif de diminuer l’intensité
des symptômes et de combattre l’inflammation causée par l’allergie, mais ne sont pas préventifs
et n’ont que peu de bénéfice à long terme. La première chose à faire en cas d’allergie est
l’éviction des allergènes, ce qui n’est pas aisé si l’on n’a pas identifié formellement l’allergène
responsable des symptômes.
Liens vers les calendriers polliniques :
Belgique :
http://www.meteo.be/meteo/view/fr/123501-Allergie+aux+pollens+et+rhume+des+foins.html
France :
http://www.pollens.fr/bulletin-alerte/bulletin-alerte-modification.php?key=4d95bdb1074ca
Suisse :
http://www.creapharma.ch/calendrier-polinique.htm
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Les traitements actuels
Attention : aucun médicament ne soigne les allergies elles-mêmes. Leur seul pouvoir, quand ils
en ont, est de réduire quelque peu les symptômes. Dès leur arrêt, les troubles reprennent…
Les antihistaminiques H1 de seconde génération. Réduisent l’action de l’histamine sur les
récepteurs cellulaires H1 pour les rhinites, urticaires, conjonctivites. Selon la Haute Autorité de
Santé (HAS), leur service médical rendu (SMR) est modéré.
Les corticoïdes. Anti-inflammatoires, ils sont très efficaces contre les symptômes de l’asthme,
sauf chez les fumeurs, mais peuvent entrainer des effets secondaires, à long terme et forte dose
: acné, vergetures, prise de poids, ostéoporose, hypertension… Pour le rhume des foins, leur
efficacité par voie nasale est toutefois supérieure à celle des antihistaminiques H1.
Les dermocorticoïdes. Appliqués sur la peau ou les muqueuses, ils traitent le plus efficacement
l’eczéma atopique (génétique). Avec en effets secondaires : retards de cicatrisation, troubles
pigmentaires, eczémas ; et plus rarement : insuffisance surrénalienne, hypertension, troubles
oculaires.
Les antileucotriènes. Ils s’opposent aux effets des leucotriènes, médiateurs immunitaires libérés
lors de la réaction allergique, dans le traitement de l’asthme et de la rhinite.
Les stabilisateurs de mastocytes. Ils agissent en inhibant la libération de substances par
certaines cellules inflammatoires (mastocytes) qui provoquent les symptômes de l’asthme ou
le bronchospasme (rhinites allergiques, asthme et conjonctivites allergiques. De SMR faible et
moins efficaces que les précédents, ils conviennent aux enfants ou pendant une grossesse.
Les antiasthmatiques. Il s’agit des bronchodilatateurs, anticholinergiques, anti IGE, mucolytiques
prescrits en cas d’hypersécrétion de mucus bronchique. Et le seul traitement en cas de choc
anaphylactique.
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Ceux qui sont jugés par la HAS comme dépourvus d’intérêt scientifique pour leur SMR faible,
voire nettement insuffisant :
-
Les antihistaminiques H1 de première génération qui apparaissent dans de nombreux
médicaments contre le rhume et la rhinite. À éviter pour ces maladies bénignes, car ils exposent
à des effets indésirables graves, voire mortels (troubles du rythme cardiaque, hypertension,
convulsions…).
-
Un bronchodilatateur (Atrovent)
-
Un immunosuppresseur (Protopic)
-
Certains décongestionnants (rhume) pouvant provoquer des hypertensions et
tachycardies.
Pour en savoir plus : www.has-sante.fr. ©Sciences & Vie – Mai 2012.
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Ovogenics innove
OVOGENICS développe constamment de nouveaux produits naturels enregistrés répondant à
deux critères essentiels : la qualité et la sécurité.
Notre laboratoire répond aux normes HACCP et dispose d’un certificat BIO ainsi qu’une
certification ISO 22000.
OVOGENICS allie technologie de pointe et savoir faire ancestral pour élaborer, selon un
processus rigoureux, des produits à l’efficacité scientifiquement démontrée. S’engager pour la
santé c’est également préserver la nature et l’environnement, c’est pourquoi Ovogenics favorise,
à chaque étape de production, l’utilisation d’ingrédients naturels dûment certifiés.
Notre objectif est clair :
« Améliorer durablement et naturellement la
qualité de vie des personnes allergiques »
Mode d’action
L’ESOC, un mode d’action exclusif :
Le mécanisme d’action de l’ESOC est totalement novateur et couvert par de nombreux brevets.
C’est un produit 100% naturel sans effets secondaires dont l’action soulage les patients en
atténuant rapidement les symptômes de l’allergie (IgE).
Particulièrement efficace dans plus de 70% des cas chez l’adulte et 85% chez l’enfant (voir
résultats des études), l’ESOC est disponible dans différents produits qui se veulent une
alternative ou un complément naturel aux différents traitements connus aujourd’hui.
Mécanisme d’action de l’ESOC : voir annexe 4
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annexe 1
Comité Scientifique
Dr. G. Bruttmann
Expert Scientifique (Ministère de la santé France)
Gradué en médecine et chirurgie – Université de
Grenoble, 1965
Dr. Crasborn
Diplômé Docteur en Médecine de l’Université de Liège
- Belgique) -1976
Dr. Jacquemin
Docteur en Médecine diplômé en 1981Université Catholique de Louvain - UCL - Belgique
Dr. Aimé Christian Kayath
PhD in Sciences 2010
Master of Biotechnology, Université de Liège
- Belgique - 2005
Dr. Sainte-Laudy
Pharmacien Biologiste, Docteur en Pharmacie 1970
Ancien interne des Hôpitaux de Paris 1973
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annexe 2
Historique
La formidable aventure scientifique de l’œuf de caille débute en 1960, lorsqu’un un éleveur de
cailles français (R. Cordonnier) observe la disparition progressive de l’asthme et de la dyspnée de
son épouse (allergie : plume, poussières, poils de chien), après l’absorption régulière d’œufs de
caille. Cette observation se confirme par un autre éleveur qui expérimente avec succès la même
thérapeutique dans son entourage. Un double constat qui éveille tout l’intérêt du docteur Truffier.
A l’aide d’études sur un large échantillon de patients (soit 5.000»cures» proposées en 10 ans),
celui-ci constate à son tour les propriétés thérapeutiques de l’œuf de caille.
En 1968, ses études se portent d’abord sur l’asthme puis sur les maladies allergiques dans leur
ensemble: asthme, rhinite périodique, pollinose, trachéite spasmodique, conjonctivite, ainsi que
sur certaines maladies de peau (prurigo, eczéma, psoriasis).
En 1978, ses études compilent 10 années d’expérience et d’observations sur des patients ayant
suivi un protocole détaillé et des règles strictes en terme de posologie, de surveillance clinique
et biologique. Truffier propose déjà un choix précis de souches d’œufs. Il affirmera cependant :
« qu’il importe que le patient ne se traite pas lui-même, n’importe comment et avec n’importe
quel œuf… » Les résultats obtenus affichent plus de 70% de succès chez les adultes et 85% chez
les enfants, et lui permettent de publier un ouvrage scientifique : « Approche thérapeutique de la
maladie allergique par ingestion d’oeufs de caille », pour lequel il se voit discerner le prix Marcel
Zara.
Parallèlement, le scientifique Gérard Lucotte, docteur en génétique et spécialiste des cailles,
publie un ouvrage sur les vertus du blanc d’oeuf de la caille (souche Japonica) contre l’asthme.
Il estime que ses travaux fondamentaux sont suffisamment avancés pour proposer une forme
galénique plus acceptable que les cures d’œufs crus.
L’ensemble de des recherches de Truffier et de Lucotte serviront de base à l’approche
scientifique actuelle, ainsi qu’à la mise au point d’une nouvelle forme de traitement.
Deux études primordiales vont également alimenter ce développement.
In prime, celle de Lineweaver, qui mettra en évidence une nouvelle
fraction de l’albumen, identifiée sous le nom « d’ovomucoïde ». Feeney
comparera l’activité des ovomucoïdes de 12 espèces d’oiseaux et en
conclura que celui de la caille est largement le plus puissant inhibiteur
de la trypsine humaine, si importante dans la réaction allergique.
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Une équipe scientifique franco-belge menée par le Docteur Bruttmann, allergologue expert
auprès du ministère de la santé française, réalise une étude clinique en double aveugle versus
placébo auprès de 33 allergologues étude qui confirme les résultats surprenants observés par
Truffier (La Médecine Biologique, avril 1995).
D’autres chercheurs consacrent tout leur intérêt à ces découvertes : en 1971, le Dr Liu découvre
que le blanc de l’œuf de caille contient d’autres inhibiteurs d’enzymes que l’ovomucoïde : les
ovoinhibiteurs glycoprotéines qui sont également désinhibiteurs naturels des protéases à sérine
et possèdent une puissante activité sur la trypsine. En 1990, une étude canadienne démontrera
que l’ovomucoïde de l’œuf de caille possède une puissante activité envers l’élastase qui intervient
dans de nombreuses pathologies chez l’homme, en particulier dans l’emphysème pulmonaire et
le psoriasis.
En 1994, le Dr Takahashi démontre que parmi toutes les espèces aviaires, l’ovomucoïde du blanc
de l’œuf de caille japonaise est le seul capable d’inhiber la trypsine humaine. S’en suivent les
travaux du Dr Bruttmann (chu de Grenoble, 2007) sur la stabilité de l’ovomucoïde et son effet
inhibiteur sur les trypsines ainsi que les travaux du Dr Sainte-Laudy, qui compléteront les
nombreuses publications scientifiques.
Les progrès constant en biotechnologie nous permettent de toujours mieux comprendre
le mécanisme d’action de l’œuf de caille : il s’agit d’un domaine de recherche actif dont le
mécanisme d’action est décrit comme antagoniste du récepteur-2 aux sérines protéases, grands
responsables des maladies allergiques. Les propriétés ce petit œuf suscitent un intérêt toujours
grandissant et continuent d’être étudiées au sein de plusieurs universités importantes.
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annexe 3
Les différentes allergies
ALLERGIES RESPIRATOIRES
La rhinite allergique :
La rhinite allergique se caractérise par des éternuements à répétition, le « nez qui coule » et
souvent une obstruction nasale de plusieurs heures, des chatouillements, une irritation des yeux
avec larmoiements, la respiration peut devenir difficile ou sifflante . Les causes de la rhinite
allergique sont principalement aériennes (pollen, acariens, poils d’animaux). Lorsqu’elle est
causée par le pollen, on l’appelle rhinite saisonnière ou, plus communément, rhume des foins.
Les caractéristiques de la rhinite allergique sont principalement de deux types :
La rhinite saisonnière (ou perannuelle) qui survient en
période pollinique et bien sûr en réaction au pollen (bouleau,
graminées…).
La rhinite persistante (ou apériodique) apparaît souvent en
période de stress et en réaction aux allergènes présents en
permanence dans l’environnement de la personne. (acariens,
fumée, poussière, odeurs de produits chimiques…).
Les causes de la rhinite allergique ne sont pas encore
parfaitement connues mais l’hérédité serait un facteur
relativement important. Certaines personnes présenteraient génétiquement un « terrain
atopique » soit une réaction exagérée (réponse immuno-allergique) lors de contact avec des
allergènes normalement inoffensifs.
Ce « terrain atopique » peut entraîner différentes réactions comme la rhinite allergique,
l’eczéma, l’asthme, les allergies alimentaires, etc.…
Entre 20 et 30 % de la population mondiale présenterait une allergie aux pollens ou aux acariens.
L’asthme :
L’asthme se définit comme une gêne respiratoire à l’expiration. Il s’agit d’une maladie du
système respiratoire caractérisée par un état inflammatoire plus ou moins grave des bronches
dans lequel de nombreuses cellules jouent un rôle important et en particulier les mastocytes,
les éosinophiles et les lymphocytes. Il se traduit par une respiration difficile et sifflante d’une
sensation d’oppression dans la poitrine et d’un essoufflement.
Les causes de l’asthme ne sont pas encore bien connues. Mais une fois encore notre bagage
génétique et notre environnement semblent jouer un rôle important.
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Les principaux types d’asthmes :
•
L’asthme allergique :
Cette affection est une réaction anormale et excessive des voies aériennes aux allergènes
présents dans l’air et caractérisée par une ou plusieurs crises. C’est la forme d’asthme la plus
grave à court terme, le degré de réaction pouvant être particulièrement important et parfois
mortel, le patient s’étouffant par suffocation. Il est primordial de prendre en charge rapidement
une crise d’asthme sévère.
•
L’asthme chronique :
Généralement présent depuis l’enfance, il peut se manifester dans les premières années de
l’enfance par des crises d’asthme répétées ou des bronchites sifflantes chroniques. Il s’agit
souvent d’une installation lente et progressive de l’inflammation, qui peut passer inaperçue,
notamment parce que le patient s’habitue aux symptômes et à la gêne respiratoire jusqu’au
moment où celle-ci devient trop envahissante. Non traitée, cette forme d’asthme évolue
généralement en insuffisance respiratoire.
•
L’asthme d’effort :
Survenant lors d’un effort physique qui solliciterait les bronches dans des conditions rendant le
travail des bronches plus difficile. Le froid et le vent favorisent l’inflammation bronchique et donc
la crise d’asthme d’effort.
L’asthme chez l’enfant devrait impérativement bénéficier d’une prise en charge par un
allergologue qualifié. En effet, on soupçonne que chez beaucoup d’adultes asthmatiques il
s’agisse d’une réactivation d’asthmes de l’enfance qui ont été non ou sous-diagnostiqués et
négligés.
LES ALLERGIES CUTANEES
L’eczéma :
L’eczéma, également appelé dermatite, est une inflammation non contagieuse de la peau.
Cette inflammation touche de nombreux patients, les formes simples pourront bénéficier de
thérapeutiques locales mais il faut être très attentif aux formes
récidivantes ou aigues qui doivent impérativement bénéficier d’un
bilan allergologique.
On distingue généralement deux grands types d’eczéma :
•
La dermatite atopique :
L’eczéma atopique est une affection de la peau assez fréquente
(20 à 30% des enfants) qui se développe principalement chez
les jeunes enfants présentant un terrain génétique propice.
La dermatite apparaît généralement vers l’âge de trois – quatre mois. Elle atteint le visage
(pommettes et menton) et quand l’enfant grandit, les lésions se localisent souvent au niveau
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des plis (cou, coudes, poignets, arrière des genoux). Les poussées commencent par une simple
rougeur qui démange, puis la peau se dessèche et devient rugueuse par endroits, finalement la
peau suinte et des croûtes se forment. En général la dermatite atopique disparaît naturellement
avant l’adolescence.
•
L’eczéma de contact :
L’eczéma de contact, plus fréquent chez l’adulte, est une réaction allergique d’hypersensibilité
immunologique au contact d’une substance irritante (produit chimique, certaines plantes ou
un métal comme le nickel des bijoux). Il peut être allergique ou irritatif (non allergique) et
provoquer soit une réaction instantanée soit une réaction différée, les symptômes pouvant varier
en intensité, passant d’une simple rougeur à l’ulcération. La plupart des eczémas de contact sont
liés à des allergènes bien identifiés. En Europe, la batterie de tests ICDG (International Contact
Dermatitis Group) est capable de déterminer l’étiologie de 80% des causes d’eczéma.
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annexe 4
Mode d’action
Macrophage
Allergènes
(pollen,
acariens ... )
Transmission des informations
au lymphocyte B
Lymphocyte B
1
1er contact (1)
Immunoglobuline E (IgE)
Les allergènes (pollen, acariens, poils d’animaux...)
ne présentent aucun danger pour l’être humain.
Pourtant, chez certains individus, le contact avec
un allergène déclenche un mécanisme de défense
élaboré. On parle alors de maladie allergique.
Au niveau tissulaire, l’allergène est capturé,
analysé, puis les informations sur les défenses
du corps à mettre en place sont transmises aux
lymphocytes T puis aux lymphocytes B.
Sécrétion d’IgE
spécifique de l’allergène
Lymphocyte B
2
Réaction (2)
Les lymphocytes B produisent des anticorps
spécifiques appelés immunoglobulines de type E
(IgE) qui sont destinés à lutter contre l’allergène,
considéré comme un envahisseur dangereux.
Ces anticorps sont adaptés à chaque allergène; on
dit qu’ils sont spécifiques. Ils préparent le corps à
lutter contre une nouvelle exposition aux mêmes
allergènes.
Mastocyte
Fixation des IgE
sur les récepteurs
des mastocytes
3
Préparation (3)
Les IgE se fixent sur les récepteurs des mastocytes,
cellules que l’on trouve dans tous les territoires du
corps en contact avec le milieu extérieur (le nez, les
bronches, la peau ou le système intestinal).
Ces cellules contiennent des agents inflammatoires tels que l’histamine, qui sont stockées dans
des granules.
L’ovomucoïde
→ réduit considérablement la production
d’anticorps IgE
→ inhibe fortement et efficacement la libération de l’histamine par les basophiles.
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Mastocyte
4
Histamine
Prostaglandines
Protéases
Mastocyte
Sensibilisation (4)
Tous ces événements se passent en silence, à notre
insu. Une fois les IgE fixées sur les mastocytes,
le corps est prêt à réagir, lors d’une deuxième
rencontre, avec l’allergène qu’il s’est préparé à
combattre.
5
Allergie (5)
Lors de chaque nouvelle rencontre, l’allergène
viendra s’attacher aux IgE fixés sur les mastocytes.
Ceux-ci dégranuleront en libérant massivement
dans les tissus différentes substances chimiques
dont l’histamine, principale responsable des
symptômes allergiques (par exemple au niveau du
nez : écoulement nasal, éternuement, nez bouché
et démangeaisons du nez).
Ovoinhibiteur
Ovomucoïde
Mastocyte
L’ovoinhibiteur
→ fait partie des inhibiteurs des protéases
à sérine.
→ inhibiteur puissant de l’élastase, de
protéases bactériennes et fongiques
6
Action inhibitrice (6)
Les ovomucoïdes et ovoinhibiteurs contenues
dans l’oeuf de caille ont une action inhibitrice
sur les enzymes à sérine protéases, qui amplifie
la réaction de défense et donc les symptômes
d’allergie. Leur action contribue ainsi à atténuer de
manière significative les symptômes allergiques.
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Les Ovomucoïdes et Ovo-inhibiteurs
L’ovomucoïde :
Ce polypeptide comprend trois domaines fonctionnels très similaires capables chacun de fixer
une protéase (par exemple la trypsine). Il réduit considérablement la production d’anticorps IgE
(immunoglobulines E) et, par voie de conséquence, est un puissant inhibiteur de la libération de
l’histamine par les basophiles et les mastocytes. Même à faibles niveaux, l’ovomucoïde, à la différence de la plupart des substances antiallergiques, inhibe fortement et efficacement la libération
de l’histamine par les basophiles.
L’ovomucoïde de l’œuf de caille (souche Ovogenics) est un des plus puissants inhibiteurs naturels
de la trypsine humaine (sérine-protéase).
L’ovo-inhibiteur :
L’ovo-inhibiteur du blanc de l’œuf de caille (souche Ovogenics) est une glycoprotéine dont la
structure est différente de celle de l’ovomucoïde. Comme l’ovomucoïde, l’ovo-inhibiteur fait partie des inhibiteurs des protéases à sérine. C’est un inhibiteur puissant de l’élastase, de protéases
bactériennes et fongiques.
Les ovo-inhibiteurs se distinguent de l’ovomucoïde par leur capacité d’inhiber la protéinase
d’aspergillus orizae.
Il existe une multitude de publications récentes concernant les sérines protéases. L’ovomucoïde
et l’ovo-inhibiteur de l’albumen de l’œuf de caille (souche Ovogenics) sont reconnus comme de
puissants inhibiteurs des sérines protéases et sont les seuls parmi tous les œufs aviaires capables d’inhiber la trypsine.
Activité des ovo-inhibiteurs
L’activité des ovo-inhibiteurs contenus dans le blanc des oeufs de différentes espèces aviaires
a été calculée par rapport à la capacité inhibitrice du blanc de l’oeuf de poule
sur une protéase fongique (aspergillus orizae)
Poule
10%
Dinde
20%
Canard
20%
Pingouin
Autruche
40%
50%
200%
Caille
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2,5
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Conclusion
Nous savons d’ores et déjà que grâce à l’oeuf de caille, nous possédons aujourd’hui un recours
exceptionnel pour lutter contre les allergies, ayant le triple avantage d’être 100% naturel,
optimalement efficace et bien toléré !
La nature vous agresse ?
La nature vous offre la solution !
Les propriétés de ce petit œuf suscitent un intérêt toujours grandissant et continuent d’être
étudiées au sein d’Ovogenics en partenariat avec plusieurs universités importantes. Les
dernières avancées scientifiques comme les études menées actuellement nous permettent
d’envisager de nouvelles applications très prometteuses.
OVOGENICS S.A.
Siège Social :
60, avenue des Croix du Feu
B-1410 Waterloo
BELGIQUE
Siège d’exploitation :
Route de Wallonie 138
B-7011 Ghlin
BELGIQUE
Tél & Fax : +32 2 354 21 00
Mobile : +32 496 56 56 06
Courriel : [email protected]
www.ovogenics.eu
RELATIONS PRESSE
CATHERINE PORTEVIN
Tél : +32 2 346 58 55
Mobile : +32 477 29 27 01
[email protected]
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