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Pathologie chirurgicale
Travail sur les traumatismes abdominaux chez les enfants
Catégorie paramédicale
Section soins infirmiers
Spécialisation en pédiatrie
Année académique 2013-2014
Bayrak Florence et Wiame Arielle
Table des matières
Traumatismes abdominaux
•
Epidémiologie
•
Rappel anatomique
•
Particularités de l’enfant
•
Traumatismes abdominaux ouverts/fermés
•
Démarche diagnostic
•
Principales lésions traumatiques :
 rate
 foie
 rein
•
Soins infirmiers
•
Conclusion
Epidémiologie :
Les traumatismes en général sont la cause de décès la plus fréquente dans notre société chez
les individus entre 1 et 44 ans.
Les traumatismes abdominaux représentent environ 15-20% des traumatismes qui sont
observés en traumatologie. L’abdomen est la 3e région du corps la plus fréquemment lésée
chez les accidentés, après la tête et les membres. C'est le site le plus fréquent d'hémorragie
précoce dangereuse pour la vie traitable chez le polytraumatisé.
Rappel anatomique :
L’abdomen comprend 3 parties : la cavité péritonéale, la cavité pelvienne et le rétropéritoine.
 La cavité péritonéale contient le foie, la rate, l’estomac, le grêle et le colon
transverse.
 La cavité pelvienne contient le rectum, la vessie, les vaisseaux iliaques et les
organes reproducteurs féminins.
 Le rétropéritoine contient l'aorte abdominale, la veine cave inférieure, la plus
grande partie du duodénum, le pancréas, les reins, les uretères et le côlon droit et
gauche.
Dans la littérature, on parlera de :
 Viscères pleins pour désigner la rate, le foie et le pancréas.
 Viscères creux pour évoquer l’estomac, le duodénum, le grêle, le colon et le
rectum.
 Autres viscères pour les reins et la vessie.
Particularité de l’enfant :
Il existe divers particularités propre aux enfants :
Leurs petites tailles, ce qui explique que l’agent traumatisant est proportionnellement plus
grand que chez l’adulte.
Les organes intra-abdominaux mal protégés : par une cage thoracique plus souple et par la
faible épaisseur pariétale.
Leur faible adiposité et fine musculature abdominal : explique également la moindre
absorption aux chocs.
Les traumatismes abdominaux les plus fréquents chez l’enfant sont surtout dus à des
accidents de la voie publique, des jeux qui tournent mal, des sévices, des accidents
domestiques ou des accidents de sport (bicyclette, équitation).
Le plus souvent, ils présentent des traumatismes fermés et sont souvent polytraumatisés.
Traumatismes fermés/ouverts :
Les traumatismes abdominaux fermés (= TAF)
Mécanisme :
 Impact paroi : concerne les viscères pleins
 Écrasement : concerne le tube digestif, le mésentère
 Décélération : concerne le circuit vasculaire et le mésentère
 Blast (= effet de souffle) : concerne les viscères creux
Les organes les plus souvent lésés lors de traumatismes fermés sont la rate et le foie.
La gravité initiale d'un traumatisme abdominal fermé repose essentiellement sur le risque de
détresse circulatoire liée à une lésion responsable d'un choc hémorragique.
Récapitulatif : TAF généralité1
Rate = N° 1 =>
Foie = N° 2 =>
Rein =>
contusion, hématome, fracture, avulsion =>
contusion, hématome, fracture, avulsion =>
contusion, hématome, fracture, avulsion =>
Pancréas =>
contusion, fracture =>
hémorragie
hémorragie, fuite biliaire, IHC
hémorragie, fuite urinaire
hémorragie, pancréatite, pseudo-kyste
TD (viscère creux) => contusion, rupture => hémorragie, péritonite, occlusion
Mésentère=>
dissection, rupture vasculaire =>hémorragie, ischémie, péritonite
Vessie / Uretère => Rupture => hémorragie, fuite urinaire
Les traumatismes abdominaux ouverts
Les traumatismes ouverts peuvent être causés par diverses choses tels que : les armes à feu,
les armes blanches (couteaux, flèches) …
La gravité dépend avant tout de la nature de l'agent causal (arme blanche, différents types
d'arme à feu) et des organes atteints.
Les plaies abdominales par arme à feu sont souvent plus graves que celles par armes blanches,
car elles s'accompagnent, entre autres, d'atteintes viscérales abdominales sévères.
1
http://www.uvp5.univ-paris5.fr/CAPMU/pdf/Traumatisme%20abdominal.pdf
Démarche diagnostic
Traumatismes abdominaux fermés :
Le diagnostic clinique est généralement aisé en raison des éléments présents et de l'examen
clinique : douleur, contracture ou défense abdominale, hématome.
D’autres éléments sont importants pour la prise en charge du patient : les circonstances de
l’accident, la cinétique, la notion d’écrasement ou de décélération, et le profil
hémodynamique du patient.
Attention : Chez les polytraumatisées, le diagnostic est plus difficile en raison des lésions
associées (traumatisme crânien et/ou thoracique).
Traumatismes abdominaux ouverts :
Un examen de la plaie est l’élément fondamental de la prise en charge, il permet de
déterminer :
 la localisation exacte de la plaie
 l'aspect pénétrant de la plaie
 la présence d'une hémorragie par l'orifice ou d'une éviscération.
 l'existence d'un orifice de sortie. Permettant de reconstituer le trajet supposé
rectiligne du projectile, il est systématiquement recherché.
Communs aux traumatismes abdominaux :
La prise en charge immédiate est commune à tous les traumatismes.
On réalise une évaluation initiale : A B C D E
A =>Airway (perméabilité des voies aériennes avec contrôle de la colonne vertébrale)
B =>Breathing (respiration, oxygénation, ventilation et contrôle de pneumothorax)
C =>Circulation (signes de choc et contrôle des hémorragies)
D =>Disability (état neurologique, AVPU, pupilles)
E =>Exposure (prévenir l’hypothermie, analgésie adéquate, déshabiller l’enfant, assurer une
immobilisation si nécessaire, connaitre les circonstances de l’accident)
L’interrogatoire : on se renseigne sur les circonstances de l’accident, le type et le siège du
traumatisme, de son horaire, de l’existence d’une syncope passagère, de vomissements, d’une
hématurie, …
L’examen de la paroi abdominale comprend :
Auscultation : Absence de péristaltisme dans les traumatismes aux organes abdominaux ou
aux organes adjacents à l'abdomen.
Palpation : On recherche de la douleur, des signes d'irritation péritonéale, un utérus gravide,...
L’inspection : On recherche des lésions pariétales, points d’impacts cutanés sous la forme de
contusions, d’ecchymoses, ou plaies. Chaque plaie doit faire supposer son caractère pénétrant
et à chaque orifice d’entrée il faudra rechercher un éventuel orifice de sortie.
L’examen des urines : à la bandelette recherche une hématurie, témoin d’une contusion rénale
ou d’une atteinte vésicale.
On complète avec un examen génito- urinaire et un toucher rectal et une évaluation de la
stabilité du bassin, à la recherche de saignements, de lacérations ou signes de fractures qui
pourraient être associés à un traumatisme abdominal.
Examens de laboratoire :
Connaitre le groupe sanguin afin de le transfuser si besoin est.
Hémoglobine : Si l’hémoglobine est abaissée d’emblée, l'hémorragie est sûrement majeure.
Gaz artériel : Une acidose métabolique est un signe indirect d'hypoperfusion et d'hémorragie
probable.
Examens radiologiques :
La radiographie du thorax : Elle doit être réalisée systématiquement car certains organes
comme le foie et la rate sont en fait en situation thoraco-abdominale. Les lésions thoraciques
pures associées sont fréquentes (pneumothorax, hémothorax, contusion pulmonaire).
L’échographie : Elle doit être systématique. Elle a pour but de rechercher un épanchement
intra-péritonéal. Elle analyse précisément l’état des organes pleins (foie, rate, rein).
Le scanner : est nécessaire pour une évaluation précise des lésions. Il permet de déceler : des
corps étrangers, la présence de liquide intrapéritonéal, une extravasation de produit de
contraste, des bulles d’air extradigestives (visibles en cas de perforation), une contusion ou un
trait de fracture sur un organe plein, une solution de continuité de la paroi d’un organe creux,
des lésions du rétropéritoine, et des lésions extra-digestives associées.
Principales lésions traumatiques :
Traumatismes spléniques
Définition et épidémiologie :
Les fonctions essentielles de la rate sont hématopoïétiques et immunitaires, elle va
notamment participer dans la formation des lymphocytes B. Toutefois, la rate intervenant
contre les infections à pneumocoques, il est déconseillé de réaliser toute splénectomie avant
l’âge de 8 à 10ans, pour préserver ce capital anti-infectieux.
De plus, chez l’enfant, la capsule splénique est plus épaisse, ce qui diminue l’extension de la
lésion.
De manière générale, les cas les plus rencontrés de traumatismes spléniques sont dû à des
contusions directes ou indirectes via le grill costal. Les décélérations brutales ou une
hyperpression abdominale peuvent en être plus occasionnellement la cause.
Diagnostic :
Le diagnostic passe avant tout par un examen clinique complet :
 une inspection
 une palpation de l’abdomen, des côtes et du bassin
 une auscultation des bruits intestinaux
 l’absence de facture du bassin.
Il est important de dépister dès le départ le risque d’état de choc de l’enfant et de prendre en
considération les symptômes de nausées ou de vomissements.
Les lésions associées doivent toujours être recherchées (viscère, bassin, crânien, membres).
Les examens prioritaires sont
 L’échographie : afin de dépister la présence d’un hémopéritoine. Elle permet
d’être réalisée au chevet du patient et d’être répétée plusieurs fois, sans danger
pour l’enfant.
 La tomodensitométrie : elle d’abord réalisée sans puis avec un produit de
contraste et permet d’avoir une vue d’ensemble sur les organes du patient et de
détecter des hématomes ou des hémopéritoine de très petite taille. La TDM
permet de préciser le score de gravité.
 Examen biologique : Il est nécessaire de connaitre le taux d’hémoglobine et
d’hématocrite, qui seront le reflet d’un choc hémorragique, afin de décider de
la nécessité d’une transfusion sanguine.
“Le score de gravité des lésions spléniques en TDM selon «l’American Association for the
Surgery of Trauma» se base sur l’importance de l’hématome, la persistance du saignement,
ainsi que l’étendue de l’atteinte du parenchyme et le retentissement sur sa vascularisation.”2
Tableau I 3:
Traitement :
Le traitement conservateur de la rate est avant tout prôné, avec un contrôle des éventuelles
hémorragies et d’une surveillance des biologies sanguines.
La chirurgie s’imposera en cas de :
 Perforation d’organes creux
 Instabilité hémodynamique
2
http://www.mapar.org/article/pdf/614/Traumatismes%20de%20la%20rate.pdf
3
http://www.sfip-radiopediatrie.org/SFIPoldpages/EPUTRO04/BRUTRO04.HTM
 Rupture sous intimal de l’artère rénale
 Rupture du diaphragme
Trois types de chirurgie peuvent être envisagés :
 Exploratrice : pour évacuer l’hémopéritoine
 Splénectomie partielle
 Splénectomie totale
Traumatismes hépatiques
Epidémiologie :
Chez l’enfant, le foie est plus volumineux, surtout en ce qui concerne le lobe gauche qui va
jusque dans le hile splénique, expliquant des atteintes plus fréquente.
Les traumatismes hépatiques sont autant d’origines ouverts (22%) que fermés (15%).
Un choc direct va transmettre au foie par l’intermédiaire de la cage thoracique son énergie
cinétique sous forme d’une onde de choc, entre le grill costal et la colonne vertébral.
Une plaie ouverte peut être réalisée par un projectile (balle, plombs) ou par une arme blanche.
Les lésions vont surtout dépendre de la vitesse et de la trajectoire du corps étranger.
Figure II 4
4
http://www.anesthesie-foch.org/s/spip.php?article355
Diagnostic :
Le diagnostic pourra être évident lorsque l’enfant présentera une plaie pénétrant au niveau du
thorax droit, sous la ligne mamelonnaire, ou lors d’un état de choc avec un épanchement
péritonéal.
Toutefois, il sera nécessaire de diriger la prise en charge thérapeutique en cas d’ecchymose
sur le flanc droit ou de fracture des côtes droites.
De plus, la recherche de signes hémorragiques, doit être réalisée au plus vite pour éviter une
dégradation de l’état général et déterminer le type d’intervention.
« La définition d’un traumatisme hépatique grave se heurte à un problème qualitatif : à partir
de quand peut-on considérer une lésion comme grave ? De nombreuses classifications ont été
publiées et celle qui est actuellement la plus utilisée est la classification de Moore modifiée en
1994 et connue comme la liver injury scale . Elle tient compte de l’existence d’un hématome
(taille, localisation), de lacérations ou de lésions vasculaires juxta-hépatiques (veine cave ou
veines sus-hépatiques). La complexité des lésions augmente le grade de 1 à 5, un grade 6 est
incompatible avec la survie. »5
Tableau III 6
Examen complémentaire :
 L’échographie : permet de diagnostiquer un épanchement péritonéal, se réalise
au chevet du patient sans être invasif.
5
6
http://www.anesthesie-foch.org/s/spip.php?article355
http://revue.medhyg.ch/print.php3?sid=23989
 La Tomodensitométrie : bilan lésionnel précis et permet d’établir la
classification de la « Liver Injury sclary ». Mais nécessite un patient stable.
 La laparoscopie : permet un diagnostic de certitude, mais se réalise sous
anesthésie générale avec risque d’embolie gazeuse.
Traitement :
Le traitement conservateur est conseillé chez un patient stable, chez qui on ne soupçonne pas
de lésion associé. Il sera accompagné d’une surveillance sous TDM régulière et de contrôle
biologie pour le maintien de l’hémostase.
Le traitement conservateur représente 80% des cas.
L’acte chirurgical est à réaliser en urgence en cas d’hémorragie, de trouble de la coagulation
ou d’instabilité hémodynamique. Le chirurgien a recours à une laparotomie pour réaliser un
packing. Toutefois, l’embolisation peut être envisagé en premier recours.
Traumatismes urologiques
Epidémiologie
En pédiatrie, les traumatismes urologique sont plus fréquent, dû à un rein plus volumineux
mais aussi moins bien protégé (paroi abdominal fine, cage thoracique souple) avec un
parenchyme plus fragile.
De manière générale, c’est avant tout des traumatismes de types fermés que l’on rencontre
chez l’enfant tandis que les lésions pénétrantes du rein sont plus rares (environs 25%).
Diagnostic :
Lors de l’arrivée du patient, un examen clinique est réalisé pour vérifier la présence ou non
de :
 Douleur abdominal
 Douleur lombaire
 Hématurie (attention, quelle soi macroscopique, microscopique ou même
absente, est n’est pas à lier à la sévérité des lésions)
Comme la prise en charge des lésions rénales dépend de leur gravité, une classification a été
mise en place. Elle permet de guider la décision thérapeutique du patient. En pratique, cette
classification est simplifiée, séparant les lésions mineures (grade 1 et 2) et les lésions
majeures (grades 3 à 5).
Tableau III 7
Examens complémentaires :
 Un scanner abdominal injecté : réalisé en cas d’urgence d’abord sans injection
puis injecté.
 L’échographie – Doppler : Permet de faire un premier diagnostic des lésions
capsulaire et parenchymateuse.
7
http://www.urofrance.org/science-et-recherche/base-bibliographique/article/html/les-traumatismes-fermes-durein-10-ans-dexperience.html
 La tomodensitométrie : il est réalisé systématiquement chez l’enfant
polytraumatisé ou lorsque l’échographie est anormal.
 La scintigraphie rénale : permet d’estimer des séquelles de fractures en
donnant une idée chiffrée du parenchyme fonctionnel résiduel.
Traitement :
Il est au maximum conservateur dans les lésions mineures tant que l’ensemble des signes
cliniques sont contrôlés et surveillés.
L’embolisation peut être envisagée en premier recours. La néphrectomie d’urgence est
indiquée dans les lésions majeures ou si le patient se dégrade sur le plan hémodynamique.
Soins infirmiers :
Lors de l’arrivée du patient, l’installer en position semi-assise, jambes repliées.
On placera une voie d’abord veineux de gros calibre et il faut mettre en route des solutés de
remplissage de type cristalloïdes.
On surveillera l’état des fonctions vitales : fréquence respiratoire et cardiaque, tension
artérielle, oxymétrie du pouls ; en reliant le patient à un monitoring cardiaque avec si possible
une prise de tension continue et d’un saturomètre.
Si besoin est, on mettra en route une oxygénation par lunettes nasales ou par masque à haute
concentration.
On réalisera divers prélèvements : NFS, groupe sanguin et rhésus, hémostase, urée et créatine,
ionogramme, bandelettes urinaires et prise de température.
Si c’est un traumatisme ouvert avec éviscération, on enveloppe les viscères dans des champs
stériles humidifiés avec du sérum physiologique et il ne faut jamais tenter de réintégrer les
viscères dans la cavité abdominale.
Conclusion :
La première cause (en fréquence) de traumatismes abdominaux graves est constituée par les
accidents de la circulation.
Le principal problème des traumatismes abdominaux est l'hémorragie. Cette hémorragie est le
plus souvent intrapéritonéale.
Le deuxième problème des traumatismes abdominaux est la survenue d'une perforation d'un
organe creux, dont le diagnostic est beaucoup plus difficile et donc souvent retardé.
Les traumatismes abdominaux fermés sont fréquents et potentiellement graves, surtout chez le
patient polytraumatisé.
Les traumatismes abdominaux ouverts sont de gravité variable mais comportent un risque
vital potentiel.
Bibliographie :
•
GARNIER et DELAMARE, Dictionnaire des termes techniques de médecine, Paris :
Maloine, Coll. Réviser, 20iéme édition, 1978 : 1340
•
J-L. CHABERNAUD, Urgences pédiatriques, guide poche, Paris : Maloine, 2007 :
324 .
•
http://www.medecine.ups-tlse.fr/dcem4/module11/urgence/201f_abdominal.pdf,
Traumatismes de l’abdomen (CSCT), Dr Jean-pierre Duffas
•
http://www.fmed.ulaval.ca/med-18654/prive/Cours%2021/Pdf/Les%20trauma-
abdo.pdf, Les traumatismes abdominaux.
•
http://www.sfar.org/acta/dossier/archives/ca07/html/ca07_33/ca07_33.htm,
Traumatisme abdominal fermé.
•
http://www.uvp5.univ-paris5.fr/CAPMU/pdf/Traumatisme%20abdominal.pdf,
Traumatisme abdominal fermé.
•
http://www.anesthesie-foch.org/s/spip.php?article355, Les traumatismes graves du
foie.
•
http://www.mapar.org/article/pdf/614/Traumatismes%20de%20la%20rate.pdf,
Traumatisme de la rate.
•
http://radiologie-brabois.com/wp-content/uploads/2011/07/L%C3%A9sions-
traumatiques-rein-AF-2011FILEminimizer.pdf, Traumatisme du rein.
•
https://esante.univ-rennes1.fr/cours/PolyUro/uro-logique/traumatismes_du_rein.html,
Traumatisme du rein.
•
http://udsmed.u-
strasbg.fr/emed/courses/MODULE15/document/traumatisme_du_rein.pdf?cidReq=MOD
ULE15, Pathologies de l’appareil urinaire.
•
http://www.medecine.unilim.fr/formini/descreaso/decembre_2006/traumatismes_hepa
tiques_graves.pdf, Traumatismes hépatiques graves.
•
http://www.mapar.org/article/pdf/614/Traumatismes%20de%20la%20rate.pdf,
Traumatisme de la rate.
•
http://www.sfip-radiopediatrie.org/SFIPoldpages/EPUTRO04/BRUTRO04.HTM,
Imagerie de la rate chez l’enfant.
•
http://revue.medhyg.ch/print.php3?sid=23989, Gros boum sur petit ventre : le
traumatisme abdominal chez l’enfant.
•
http://www.urofrance.org/science-et-recherche/base-bibliographique/article/html/les-
traumatismes-fermes-du-rein-10-ans-dexperience.html, Les traumatismes fermés du rein :
10 ans d’expériences.
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