6) le résultat du croisement test nous montre que l’on obtient 50 % de phénotypes de type parentaux et
50% de phénotypes de type recombiné.
Tous ces phénotypes sont équiprobables.
Or nous savons que le croisement test permettant aux allèles de F1 de s’exprimer dans la descendance,
le % des phénotypes obtenus correspond aux gamètes produits par F1, donc F1 produit autant de
gamètes parentaux que de gamètes recombinés. Ceux ci sont donc le résultat d’un événement aléatoire
s’étant déroulé en méiose : en métaphase 1 chaque paire de chromosomes a 2 possibilités équiprobables
de positionnement au niveau du plan équatorial : les gènes sont situés sur des chromosomes différents,
ils sont indépendants.
7) Ainsi la diversité des phénotypes obtenus au croisement 2 est le résultat d’un brassage
interchromosomique.