Borréliose et maladie de Lyme. Conférence du Dr NORD La borréliose est le vrai terme de ce que l’on appelle la maladie de Lyme. Ce qui n’est pas du tout la même chose , la première est Européenne, la seconde Américaine. Historique : 1975 : Dr Allen Sterre, médecin de campagne fait la relation entre les épidémies d’arthrite juvénile et un agent infectieux. 1982 : L’agent est identifié : les spirochètes. (Trouvés dans l’intestin des tiques) La borréliose est un véritable problème de santé publique. Définition : 1 Lyme : C’est une maladie aiguë de l’Est du continent nord américain due à borrélia burgdorferi sensu stricto. 2 Borréliose américaine aiguë et chronique avec deux groupes que sont afzelii et garinii. 3 Borréliose Européenne : Aiguë et chronique avec afzelii, garinii, spielmanii et burgdorferi. Cette dernière (burgdorferi) en Europe ne représente que 15% des cas. Hors 95 % des laboratoires ne testent que burgdorferi. Ainsi, les laboratoires Européens utilisent les tests américains basés uniquement sur burgdorferi, nous avons un taux très important de faux négatifs. Critères : En phase aiguë, le sérodiagnostic doit être > à 1 (c’est une technique immuno-enzymatiques de dépistage) Et le Western Blot > à 6 (c’est une technique de confirmation par immuno-empreinte utilisant l’immuno-fluorescence) Nous recherchons un taux d’anticorps circulants. On ne détecte donc pas la bactérie mais la réaction du corps à la bactérie et c’est bien là que se situe le problème du Lyme. Il y a une pandémie sans données réelles par un trop grand nombre d’erreurs diagnostiques et biologiques. Il y a 70% de faux négatifs. Epidémiologie : C’est une véritable pandémie mais il n’y pas de données réelles. Chiffres de la commission Européenne 2010 : Incidence annuelle moyenne pour 100 0000 habitants. Autriche : 14 0000 France : 10 000 Allemagne : 20 000 Irlande : 30 Suède du sud : 7 000 pour 9 millions d’habitants. Si la France compte 62 millions d’habitants, le chiffre de 10 000 ne peut être que faux, L’Allemagne estime le taux réel de Lyme à 10 fois plus, le chiffre Irlandais est quand à lui des plus fantaisiste et le chiffre Suédois est celui qui se rapproche le plus de la réalité. Pour simplifier le texte, le terme de Lyme sera utilisé pour parler de la borréliose Européenne mais il s’agira bien d’elle dont il sera question dans le reste de l’exposé. Clinique officielle : Stade I : Infection débutante. Erythème chronique migrant. (Erytéma chronicus migrans) Il apparaît quelques jours à plusieurs semaines après la piqûre. Il s’agit d’une macule érythémateuse annulaire à croissance centrifuge avec la morsure au centre, un cercle blanc puis un cercle rouge autour. Il peut être de petite taille mais également de très grande taille. Il est présent dans 30 à 70% des cas suivant les séries. Si positif = borréliose de façon certaine. Si négatif = un patient qui ne l’a pas mais qui a été mordu peut très bien être touché. La seconde caractéristique de cette tache est qu’elle dure 3 à 4 semaines. Une tache qui reste 3 à 4 jours, c’est une allergie à la salive de tique. Stage II 1. Fièvre, céphalées, (signes de septicémie) maux de gorge, arthralgies. 2. Malaise, fatigue accrue avec adénopathies (qui ne sont pas toujours présentes) La fatigue du lyme est différente de celle de la mononucléose infectieuse. Dans le premier cas le patient se lève le matin, pense qu’il va y arriver mais 10 mn après il n’y arrive plus. Dans le lyme il se lève le matin et a l’impression de ne pas s’être couché (bien que cette fatigue puisse avoir une intensité variable) 3. Splénomégalie, myalgies, raideur articulaire. Les myalgies sont augmentées par la compression musculaire et un traitement musculaire ne les soulage que pour quelques heures ce qui montre que ce n’est pas ostéopathique. 4. Toux C'est une toux chronique, constante qui apparaît par exemple 15 jours après une morsure de tique, qui dure et ne cède pas aux traitements classiques. 5. Conjonctivite, inflammation de l’iris, péricardite, inflammation du muscle cardiaque. La péricardite et l’inflammation cardiaque existe dans 2% des cas. En cas d’examens normaux (staphylocoques et streptocoques), il faut penser à un lyme. 7. Hépatite, orchite. 8. Méningite, PF unilatérale brutale. (Qui apparaît par exemple le matin au réveil et qui est hyperalgique) 9. Erythème circulaire secondaire (la séquence temporelle est éminemment variable) Stade III Après plusieurs années, entre 6 mois et quarante ans Arthrite, acrodermatite chronique atrophiante, (regarder les mains de vos patients) Arthropathies. Leucocytose non expliquée (11 000 blancs), augmentation de la VS, CRP toujours normales. Il y a bien quelques signes biologiques mais ils sont si peu spécifiques qu’il ne faut pas s’attarder dessus. Arythmies cardiaques non jugulées par les traitements classiques qui terminent parfois par la pose de pace maker. Maladies auto immunes atypiques. Stade IV neuro-borréliose. Modifications neurologiques, Méningo-radiculite (que l’on connaît sous le nom de sciatique chronique non paralysante) Encéphalite chronique, (que l’on connaît sous le nom de : « il va de moins en moins bien et on s’est même posé la question si le grand père n’avait pas un Alzheimer) Polynévrites périphériques (que l’on connaît sous le nom de syndrome des jambes sans repos) Syndrome confusionnel aigu et chronique (dû à une sur infection, la babésiose qui dans 9 fois sur 10 sera une schizophrénie Pensez Lyme chez les autistes et les Alzheimer agressifs. L’infection aiguë peut être une primo infection mais aussi une infection secondaire de gravité variable. Clinique : La séquence temporelle est variable. L’infection aiguë qui peut être une primo infection (terme de la tuberculose) mais aussi une seconde infection de gravité variable et de siège aléatoire par opposition à l’infection chronique est une réactivation de la maladie ou résurgence de gravité croissante avec des atteintes organiques séquentielles. Le patient sur 20 ans fera toute une série de pathologies mal identifiées. Si on prend un calendrier nous verrons qu’il fait une fièvre Q, une fièvre récurrente, une fièvre quarte, une fièvre tierce avec un petit pic de 2 jours toutes les 3 semaines. Si l’on note sa température deux fois par jour avec un graphique on peut trouver l’origine qui peut être un lyme . Signes cliniques pathognomoniques : Erythème chronique migrant. Acrodermatite. Ite= inflammatoire, acro= extrémité, derma = la peau. C’est donc une atteinte de la peau des extrémités (maladie auto immune qui atteint la peau de l’intérieur) Parasites intra oculaires qui correspond à la neuro borréliose qui est souvent non vus car ils descendent par la pesanteur vers le bas de l’œil. Ne peuvent être vus en ophtalmologie que si le patient est en décubitus ventral et le praticien situé en dessous. Ces parasites peuvent être vus par le patient en regardant un mur blanc bien éclairé. Ces parasites intra oculaires peuvent bloquer les muscles ciliaires et être responsable de glaucome chronique ou glaucome à angle ouvert. Neurologie Polyneuropathies périphériques atypiques. « Restless legs syndrome » (syndrome des jambes sans repos, touche préférentiellement la sensibilité profonde) Parkinson atypique (sous modopar qui ne va pas mieux) SEP atypique (leucoacaraiose), Alzheimer atypique, pathologies démyélinisantes. L’autisme. La borréliose est une M.A.I : maladie auto immune. Là est le vrai challenge. La complication de la relance systématique du système immunitaire, c’est la fabrication d’anticorps de plus en plus puissants et de plus en plus agressifs. Dans cette catégorie nous trouvons : L’eczéma chronique. Le psoriasis atypique. L’acrodermatite. Le syndrome hépatitique chronique (avec augmentation des enzymes hépatiques avec tests hépatitiques A, B, C négatifs, et pas d’hémochromatose : penser au lyme) Le syndrome de fièvres récurrentes. Les SEP like Le Parkinson like L’Alzheimer Les co-infections bactériennes. La borréliose est « la grande simulatrice » Question biologique : 20 à 80 % des tiques sont infestés et 80% sont infestés en se nourrissant de sang infecté. En Alsace 80% des patients sont positifs aux tests biologiques, mais 80% ne présentent pas de symptômes. Il ne faudra s’intéresser qu’à ceux qui présentent des signes cliniques et biologiques. Dans les régions les plus touchées on trouve : l’Alsace, les Vosges et le Jura. Puis le Berri, le Limousin, l’Auvergne, Rhône Alpe, le Sud Ouest, la Bretagne, la région parisienne (surtout le parc Monceau) Microbiologie : C’est une bactérie de la famille des spirochètes. 1500 séquences génétiques ,132 gênes en fonction et 21 plasmides ou extra chromosomes (3 fois plus que les autres bactéries) 21 pour le tréponème pale agent de la syphilis (son cousin germain) La spécificité des spirochètes est l’autolyse, ceci par rapport à la réaction de JarrishHerxheimer (ou réaction de HERX) [Tara Montary Calgari] La réaction de Herx est une réaction au traitement mais pas une réaction du traitement mais cela signe l’efficacité du traitement. La plasmide s’adapte aux antibiotiques pour ne pas donner de réponse immunitaire, ceci rend les antibiotiques inefficaces. Vecteurs : Ils sont du genre Ixodes Les nymphes de 2 mm sont le plus souvent en cause. La larve peut également transmettre. Le cycle de vie : il est de deux ans. Il faut des rongeurs, des cervidés et des humains comme vecteurs principaux. Mais d’autres vecteurs existent : les puces, les pucerons, les araignées rouges (thuyas), les moustiques (ils meurent après 9 h), les aoûtats (petites mouches qui piquent) L’homme : La transmission transplacentaire est confirmée. (Etats unis, Canada, Suède) La transmission par voie sanguine est confirmée également ainsi que celle par le sperme, les sécrétions vaginales et celle par la salive est en voie de confirmation. Le tic est également vecteur d’autres maladies comme la babésiose (qui est la piroplasmose de l’homme) la rikettiose et l’anaplasmose Les différentes versions: Version officielle : Le vecteur est causal dans 100% des cas. (Version Française) Version internationale : vecteur tique : 70%, autres arthropodes 30% Version inofficielle : 30% pour tous les arthropodes, 70% transmission inter – humaine. Le IXX ieme siècle était bactérien. Le XX ieme est viral Le XXI ieme sera parasitaire Signes biologiques : Deux tests se font : Sérodiagnostic : positif si les Ig G et les Ig M sont > à 1. La France est le seul pays ou un seuil a été défini pour donner une limite en dessous de laquelle le second test n’est pas fait. Le Western Blot : n’est réalisé que si le premier test est > à 1. NB: un traitement par corticothérapie fausse le résultat. Si infection récente on aura des Ig M (inférieur à 6 mois) Si infection ancienne on aura des Ig G (supérieur à 2 ans) Les Ig M donnent la datation de l’infection alors que les Ig G donnent le détail de l’infection. Les Ig M notamment le P41 correspond à la réponse précoce mais reste positif si la maladie est évolutive (cela veut dire que la maladie est encore en cours même si le test est fait tardivement) L’OSPC donne également une réponse précoce (+++) mais reste positive si la maladie est évolutive. La gravité de l’atteinte est donné par le score total. Celui ci est l’addition de chaque score qui sont cotés de 1 à 8. Plus le chiffre est élevé, plus l’atteinte est spécifique, inversement, plus le chiffre est bas plus l’atteinte est commune. Par exemple le P 41 a un score de 1 (c’est peut être la l’erreur de le noter à 1) La borréliose provoque une immunodépression qui invite d’autres parasitoses (babéiose, piroplasmose) Les Ig G : Surtout le VLSE correspond à la réponse tardive avec notion de gravité. Cette ligne correspond à la pathogénicité. Avec cette ligne activée avec une, deux, trois ou 4 croix, on peut mettre tous les symptômes présents sur le compte d’un Lyme. Le travail est fait lorsque cette ligne est négative. Le P18 correspond également à une atteinte au stade tardif. Tropisme : Qu’est ce qui correspond à quoi ? Le P 100 = la peau. VLSE = tout (peau, SN, articulations) P 58 = SN P 41 = articulations, SN P 39 Peau. OSPA = peau, articulations. On met en relation une atteinte P 39 avec une atteinte de peau dans 90 % des cas. En fait, le corps fabrique des anticorps contre l’antigène P 39 qui s’attaquent à la peau, ce n’est pas le Lyme qui s’attaque à la peau. Si l’on ne test que Borrelia Burgdorferi , on ne teste que P 100, P 58, P 41 et P 18 et OSPC et l’on ne passe à coté de 4/5 ieme de la maladie. Atteinte digestive : Spielmanii atteint les neurones des ganglions moteurs et sensitifs du tube digestif d’où des soucis majeurs du tube digestif. Atteinte du SN : Atteinte typiques du SNC : Garinii Plancher du cerveau : Parkinson Corticale périphérique : Alzheimer Résumé de lecture : Lecture n°1 ELISA Lecture n°2 Western blot. Présence d’Ig M (court terme) Ig G (long terme) Ig M et Ig G en même temps serait un paradoxe. Soit il s’agit d’une personne qui a été réinfectée après une première morsure même si c‘est potentiellement possible, ce sera le plus souvent une résurgence de la maladie. Lecture 3 : Correspondance clinico-biologique. Relever les signes cliniques du patient par groupe d’atteinte (cutanée, neurologique, articulaire, digestives) Regrouper les signes immunitaires positifs du patient. Faire ensuite la correspondance ente le patient et sa prise de sang S’il y a plus de 3 occurrences, la probabilité est extrêmement forte de causalité dans le pourquoi le patient souffre. Il existe une discordance entre les laboratoires suivant les tests utilisés. (+++) Physiopathologie : Morsure avec infection locale. Septicémie, c’est la reconnaissance de l’agent pathogène. Les globules blancs sont les troupes de combats qui vont agir en premier et créer à la longue une hypo leucocytose qui peut aboutir à une aleucocytose. Le corps voulant utiliser ses missiles pour ne pas envoyer tout le temps ces troupes va fabriquer des anticorps qui vont garder la mémoire contrairement aux globules blancs et vont détruire les borrélies circulantes. Celles ci vont créer un squat de borrélies. Ce peut être dans un tissu de glissement, la synoviale d’une articulation, un ganglion. Ce squat va relancer de façon plus ou moins régulière le système immunitaire. Celles ci vont toutes les 3 à 4 semaines envoyer des borrélies qui obligera le système immunitaire à tuer les borrélies circulantes. Il y aura une destruction des anticorps sauf quelques uns qui vont continuer à tourner dans le corps et vont attaquer quelque chose qui ressemble à mais qui n’est plus la borrélie. Les tissus du corps seront attaqués et ce de façon de plus en plus puissante. (c’est la définition de la maladie autoimmune). On obtient un épuisement du système. On arrive ensuite à une immunodépression par surcharge. Celle ci va inviter d’autres parasitoses. (trypanosome, bartonelles,, mycoplasme, babéiose) d’où la fréquence inefficacité des traitements. Plus le Lyme est ancien, plus on est dans cette situation. Si un Lyme ancien ne va pas bien, il faut penser à une sur infection. Méningo-encéphalite à tic : Premier cas décrit en 1927, virus identifié en 1937. N’a rien a voir avec la borrélie, le vecteur est le même mais c’est une maladie virale. Les chiffres doublent d‘année en année. Elle est présente en Allemagne à 56%, en Suisse à 49%, en république Tchèque à 24%. C’est une maladie bi-phasique possiblement mortelle. Elle débute par un état pseudo grippal de 4 à 28 jours. En phase 2 il y a atteinte du SNC avec une mortalité dans 2% des cas avec séquelles neurologiques dans 46 % des cas. La seule prévention est le ticovac. Ce type d’atteinte est passé dans le rouge en Alsace en 2010. Incidence: +56 % en Allemagne, +49 % en Suisse. Protocole et traitement officiel faculté de médecine : Que le cas soit récent ou ancien le traitement est le suivant : Ammocixilline : 3 à 6 g / 24 heures per os pendant 3 semaines. Ceftriaxone 1 g/ 24 heures en IM ou IV pendant 3 semaines. (9 mois aux USA) Surtout si le cas est très récent mais oblige à une surveillance rénale, le rein est perdu à 20% sur 3 mois de traitement. (On ne donne pas des antibiotiques sans punition) Celui-ci est indispensable en cas de méningite ou de syndrome encéphalique. Antalgiques AINS voir AIS et décontracturants musculaires. [Voir canlyme.org. Site américain] Récentes publications : Il se produit une encapsulation sous AINS et AIS. Ces traitements soulagent les patients ne sont pas à arrêter. Il n’existe aucun traitement apte à éradiquer borrélia. Inefficacité des antibiotiques à éradiquer borrélia . Tout traitement inefficace retranche la maladie dans un secteur cellulaire ou extra cellulaire qui sera plus difficile d’accès. Traitement proposé par le Dr Nord : Se fait sur 5 niveaux. Niveau 1 : l’enfant Pas de Désacidification, doses moindres. Niveau 2 : Borréliose sans atteinte neurologique Celui sur lequel on doit se baser. Drainage du Foie, drainage rénal, désacidification, traitement spécifique de borrélia. Niveau 3 : Borréliose avec atteinte neurologique Niveau 4 : Echappement du niveau 2 ou 3 Niveau 5 : Echappement du niveau 4 Traitement : Drainage du Foie, drainage du rein, traitement spécifique. Semaine 1 Traitement su foie : Hépat : 5ml/0ml/5ml 1 bouchon de 5 ml dans un grand verre d’eau avant le repas matin et soir Draine Hépat 0 /2 gel / 0 (2 gélules le midi avant le repas.) Semaine 2 : désacidification. Drainage acide : aromabase 2/ 0 / 2 (2 gélules matin et soir avant le repas.) Puis continuer pendant les 3 semaines suivantes. Semaine 3 : Aromathérapie : AromaTic: 2/0/2 gouttes par jour ( 2 gouttes matin et soir) C’est de l’immunostimulant. Ceci informe le système et permet de n’avoir une réaction de Herx que dans 25 % des cas contre 95 % des cas Semaine 4 à 14 On fait le traitement sur 11 semaines au moins, la durée étant fixée par le thérapeute: de la 4 ieme à la 14 ieme voir à la semaine XX avec AromaTic 5/0/5 ( 5 gouttes matin et soir). Ajouter Hepat et draine Hepat 4 jours par semaine sur les semaines 5,7,9 et 11 et aromabase sur les semaines 4 et 5. En cas de douleurs abdominales (surtout hépatiques) Hepat 5ml/0)5ml En cas de fatigue importante : Quintéscenec Synergie (complexe aromatique lab Jeam) 2/2/2 et acérola 1000 (vitamine C naturelle) 1/1/0. Voir protocole et tableau page suivante. NB : le Tictox 2 (formule modifiée avec de la silice) Réaction de Herx : C’est un syndrome de mort cellulaire qui provoque une recrudescence des symptômes car les cellules explosent. Ce n’est pas un effet secondaire du traitement. Au mieux une pseudo grippe au plus une pseudo méningite. A la quatrième semaine 25% présentent ce phénomène dans le protocole du Dr Nord. Soutien immunitaire possible à faire après deux semaines de repos suite au traitement premier : Q majeur. (2 par semaine) Q synergie. (2 par semaine) Soit 4 comprimés par semaine. Si le traitement est bien fait il n’y pas de récidive sous deux ans. S’il y a réactivation il faut refaire le traitement de tictox pendant un mois. Si après le premier traitement il y a plus de deux résurgences dans l’année qui suit il faut passer au niveau de traitement supérieur. 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 4 Traitement en niveau 4 : Ce traitement n’est plus d’actualité avec le nouveau protocole. Traitement par bio résonance : (médecine quantique, médecine de demain) Avec biowave LCD 21. Une découverte russe dans les années 60 a monté que chaque organisme unicellulaire à une fréquence de résonance propre. Les ondes sont transmises par les tubes creux : os, vaisseaux, nerfs. La fréquence efficace est entre 378,950 et 382 Khz, le 380 Khz est utilisé. Les séances sont de 40 mn 4 jours par semaine à 4 volts. Le lyme devra se déplacer sans être tué par ce traitement et il sera touché par les globules blancs et les anticorps et l’on arrive ainsi à baisser la charge immunitaire de 90 % à 5%. A ce stade le patient pourra à nouveau gérer son Lyme. Le protocole niveau 3 est repris en association avec tictox. Sur 85 cas de ce niveau : 65 sont guéris ,13 ont un résultat incomplet et 7 sont négatifs et son traités par le prêt d’un biowave à domicile.) Il y a réaction de Herx dans 25 % des cas à la semaine 4 avec recrudescence des symptômes. Cas traités : Sur 1500 cas : Niveau 1 : 200 Niveau 2 : 850 Niveau 3 : 115 Niveau 4 : 85 Niveau 5 : 0 Problèmes avec le tictox : Le traitement avec tictox n’est plus d’actualité avec le nouveau protocole. Le goût est très prononcé. Il provoque une dépapillation de la langue et des phénomènes de gastrite et intolérance aux HE au long cours et photo sensibilisation. (pas d’exposition au soleil pendant le traitement) Le tictox 2 est moins efficace. Il ne faut pas administrer d’He pendant la grossesse. Elles sont également contre indiquées en cas de prise d’anticoagulants à haute dose (pas avec le cardégique par ex) Autres traitements : Samento (très puissant, à utiliser avec précaution car on ne maîtrise pas très bien les réactions : ex pelades) Alfa alfa, gingseng, red clover… Griffe du chat, artemisia, dent de lion, echinacéa, hawthorn, horsetail, Kelp, marschmallow mais pas d’argent colloïdal. Traitement et accompagnement: Il est surtout important de voir ce qui se passe dans les 15 jours qui suivent le protocole. Soit l’amélioration se poursuit et le traitement peut être arrêté. Soit il y a diminution du mieux et le traitement doit être poursuivi (et soutien immunitaire) Soit il y a diminution importante et dans ce cas il faut passer à un traitement plus fort. La consigne est toujours de reprendre le tictox dès qu’ils ne vont pas bien. Accompagnement : 1 psychologique : Ecouter Ecouter Expliquer Expliquer Accompagner Accompagner 2 MMO pure et ostéopathie : Assouplir Assouplir Drainer Drainer Traiter toute pathologie ostéopathique intercurrente. Apporter une attention toute particulière aux douleurs pseudo viscérales et aux projections viscérales. 3 approche énergétique : Surtout si patient à bout de tolérance. Accompagner avec les fleurs de Bach. Ne pas oublier les aspects géo-biologiques et de sensibilité électromagnétique qui sont toujours accrus chez patients avec sensibilité décuplée.( tel portable , antenne TV…) Penser également au gluten, lait de vache et ses dérivés. Remarques: Attention à ne pas faire «flamber» le tableau algique. ne pas toucher le patient avant le Herx. Prévention officielle: Prévention 1 : La pernetrine : Les habits proposés aux forestiers qui étaient imprégnés de ce produit ont été retirés après deux ans car neuro toxiques pour le foie (augmentation des cancers du foie de 50 fois supérieur à la population générale) DEET présente dans tous les répulsifs vendus en pharmacie : un article a montré une neuro toxicité , ce produit est maintenant interdit dans de nombreux pays européens sauf en France. Eviter les zones à tiques surtout en mai, juin, juillet. Utiliser des vêtements clairs et couvrants. Marcher au milieu du sentier Désherber autour des maisons. Planter de la lavande. Préférer les forêts acides et à épines (pas de plantes à rhizomes.) Prévention 2 : Spray. Les espoirs : Espoir biologique. QRIBB = quantitative Rapid Identification of Borrélia Burgdoferi ; Ce nouveau test n’est cependant valable que sur le lyme américain. Espoir déçu car le laboratoire à été acheté par un grand laboratoire qui a fermé le petit, donc le QRIBB n’est plus fabriqué , celui ci aurait pu être copié pour la borréliose européenne mais ce n’est plus possible. Espoir thérapeutique : Traitement anti borrélia spécifique. Cela n’existe pas. Espoir clinique : Reconnaissance en France du problème. Remarques : Le sujet doit prendre le tictox non pas dans l’eau mais sur un support autre comme du pain car le produit est huileux. Baisse importante de l’efficacité à 5 %. La tolérance et le coût posent problème ainsi que la moindre efficacité sur certains organes. Projection thérapeutique : Diagnostic ciblé de présence parasitaire pouvoir dire vous êtes en septicémie à borrélia (ce qui n’a jamais été cherché) Diagnostic de septicémie à borrélia Différencier les atteintes SNP/ SNC/SNV Traitement de base à diffusion optimale pour avoir une tolérance au long court. Facilitation organo-spécifique, travailler sur l’ouverture de portes (ouverture des barrières hémoméningées.) Traitement d’entretien simplifié.