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Mai 2016
L'hypothèse VIH/SIDA en clair - Les faits
On ne détecte pas le virus ou que très rarement même chez des malades au stade final du sida, seule une
chance rare et une extrême persévérance peuvent faire apparaître le VIH chez une personne séropositive,
donc un problème énorme se pose pour les virologues qui ne trouvent pas de virus actif chez les malades...
On ne remarque que des anticorps qui serait une réponse de défense au VIH. En fait ces anticorps sont NON
SPECIFIQUES puisqu'on les retrouve dans 70 autres causes ou facteurs pouvant faire cette même réaction de
"séropositivité" (liste de Christine Johnson).
Les anticorps sont traditionnellement un signe de ce que le système immunitaire a rejeté le virus (vaccination
naturelle efficace et protection absolue contre une maladie infectieuse). Certaines personnes ont d'ailleurs
naturellement des taux d'anticorps élevés et sont bien entendu en parfaite santé.
Ce sont des anticorps que reconnaissent les "tests de dépistage" de l'infection et non le virus lui-même... Ces
tests de dépistage sont aléatoires, car les critères de diagnostic ne sont pas les mêmes dans tous les pays, vous
pouvez donc vous retrouver positif au Canada et négatif en France, la définition de séropositivité varie donc
d'un pays à l'autre, aux USA cela dépend d'un laboratoire à l'autre... Encore mieux au Royaume Uni le test
Western Blot n'est pas reconnu valide pour confirmer une infection au VIH. Les notices accompagnant ces
tests, avertissent qu'aucun d'entre eux n'a été validé ni approuvé par la FDA pour diagnostiquer l'infection
VIH. Les tests Elisa et Western Blot sont tellement non spécifiques qu'ils sont utilisés pour détecter la
maladie de lyme, une infection due à la bactérie Borrelia burgdorferi...
Cela signifie que la première chose à faire en cas de test VIH +, c’est d’en chercher la cause !
Pour qu'un test soit fiable, un virus doit être isolé de manière purifiée, ses protéines spécifiques pourront
alors être reconnues par le test.
La plupart des gens croient que le test de "charge virale" met en évidence le vrai virus, or ce n’est pas le cas.
Ce test recherche de minuscules brins d’ARN qu’on déclare être spécifiques au VIH. On applique alors une
formule mathématique complexe qui génère un nombre qu’on étiquette « charge virale » ce terme est
trompeur car il suggère que le virus est présent à un titre élevé, bien qu'un virus infectieux soit généralement
indétectable. Au lieu de cela, ce terme désigne la quantité de fragments d'ADN viral ("copies") qui peuvent
être générés in vitro par la réaction en chaîne polymérase 'PCR' (amplification de l'ordre du milliard de fois)
au départ de l'ARN de rares virus neutralisés par les anticorps, ou de l'ADN des rares cellules infectées de
manière latente isolées à partir du patient (artificiellement et à l'extérieur du corps, culture cellulaires in
vitro).
La méthode PCR a été inventée par le prix Nobel Kary Mullis opposant de l'hypothèse VIH/SIDA... Ainsi,
pour prendre un exemple : une personne qui a fait une infection par Cyto Mégalo Virus qui est en train de
disparaître, verra une diminution régulière de la charge virale de ce virus bien précis. Il en est de même pour
d’autres infections virales comme l’hépatite B ou la mononucléose infectieuse. Par contre dans le cas du
VIH, on ne sait pas ce qu’on mesure puisque ce très hypothétique virus n’a jamais été vu, isolé ou cultivé !
Kary Mullis a toujours refusé de donner son aval pour l’utilisation de sa technique dans le cas du VIH !
Le nombre d’unités infectieuses constitue le seul critère clinique correct pour déterminer si l’on est en
présence d’une pathogénie virale. Aucun scientifique n'a JAMAIS réussi à démontrer, au microscope
électronique, la moindre particule de rétrovirus directement dans le sang d'un patient étiqueté comme ayant
une "charge virale" élevée! (toujours pas isolé et multiplié en culture de manière purifiée à ce jour -
'purification par centrifugation de gradient de densité de saccharose').
Le virus latent et biochimiquement inactif 'VIH' n'est présent que dans moins d'un lymphocyte T-CD4 sur
500, il n'existe en biologie aucun précédent de gène dormant ayant jamais eu un effet quelconque ni, moins
encore, causé une maladie mortelle.
Le professeur émérite d'immunologie de l'université de Genève Alfred Hassïg explique pourquoi
les personnes diagnostiquées séropositives risquent entre autres choses de présenter une baisse de leur taux
de cellules T, en effet sous l'état de stress (cortisol ) ou d'administration de corticoïdes, les cellules T
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circulantes dans le sang (2%) se réfugient principalement dans la mœlle osseuse, elles reviennent dans la
circulation sanguine lorsque le stress s'estompe.
Les taux de lymphocytes T4 sont extrêmement variables même chez des individus en parfaite santé et ce
même à différents moments de la journée. Qui plus est, des taux inhabituellement élevés de lymphocytes T4
n'indiquent généralement pas la santé mais plutôt un processus inflammatoire dans le corps, telles que les
allergies ou une affection auto-immunitaire qui oblige la population de lymphocytes T-CD4 à rester en état
d'extrême alerte.
Le fait que les thérapies rétrovirales produisent un accroissement presque immédiat du nombre de
lymphocytes T-CD4+, n'est pas dû à l'efficacité de leur intervention contre le virus, mais plutôt à la
stimulation chimique artificielle occasionné par un effet nommé hystérésis, ce qui signifie que la réponse
immunitaire produite pour contrer l'envahisseur chimique se traduit au début par une augmentation des T4,
qui n'est pas nécessairement bénéfique ni significative au point de vue santé.
Le virus VIH ne respecte aucun des postulats de Koch qui servent à prouver qu'un microbe est la cause
d'une maladie. C'est la seule maladie vraiment virale qui ne se conforment pas parfaitement aux postulats de
Koch.
Hypothèse : 'Le VIH pénètre dans la cellule et la désintègre immédiatement!' - Ceci n'a jamais été observé et
est absolument contraire à la caractéristique spéciale enseignée à propos des rétrovirus, à savoir que les
rétrovirus ne tuent pas la cellule hôte.
Le 'SIDA' a toujours existé, c'est un nouveau nom qui sert à étiqueter d'anciennes maladies (tuberculose,
paludisme, immunodépression... environ 35 à ce jour), la liste dans laquelle on inclus ces maladies est de
plus en plus allongée, ce qui permet d'essayer de justifier la pandémie annoncée depuis les années 80'.
Si une personne est atteinte de la tuberculose et qu’elle est séropositive, on dira qu’elle a le SIDA. Mais si
elle est séronégative on dira qu’elle a la tuberculose. Même chose pour les autres maladies.
Plus de 30 ans et plus de 500.000.000.000 de dollars (selon l'université de Harvard) ont été investi dans la
recherche sans aboutir, alors que le premier virus a été isolé au 19ème siècle, en 1 semaine et sans moyens.
Devant autant d'échecs, abstraction faite des bénéfices mirobolants réalisés par les laboratoires
pharmaceutiques, il serait temps d'investiguer vers d'autres pistes plus prometteuses, car l'hypothèse VIH-
$IDA est restée improductive et non démontrée jusqu'à ce jour.
Par exemple, le "stress oxydatif" souligné par le Pr. Luc Montagnier (prix Nobel et découvreur du VIH) et
bien d'autres scientifiques (+/- 2000) dont plusieurs prix Nobel pourrait être une piste à exploiter
sérieusement, ce stress peut induire une immunodépression toxique grave comprenant un ou plusieurs
facteurs (malnutrition, carences, médicaments (+/- 2.000) dont 'ARV' (Antirétroviraux), produits chimiques,
drogues récréatives principalement "Poppers" et drogues injectables, transfusions sanguines et
infections à répétition, stress intense et prolongé etc.)
"Le problème ce n'est pas le virus sur la seringue, mais la drogue qui est dedans" (Pr. Peter Dusberg).
" Le stress est le vrai VIH" (Dr. Marc Deru).
De ce fait, le SIDA ne se transmet pas sexuellement, contrairement aux autres IST (gonorrhée, syphilis, etc.).
Plusieurs centaines de rapports médicaux ont été établis à propos de prostituées africaines, états-uniennes,
européennes et asiatiques, ainsi que sur des couples séro-différents, uniquement les personnes
consommatrices de drogues ont les syndromes du SIDA. L'homme a naturellement des relations sexuelles
depuis 2.000.000 d'années et les virus étaient là avant lui, il n'y a pas de 'nouveaux virus' depuis 1980...
Le Pr. Montagnier est très clair dans ce qu’il explique lors de l'interview avec le journaliste Brent Leung, le
répétant à plusieurs reprises de différentes manières. Pour l’essentiel, il dit que :
- On peut être exposé au VIH plusieurs fois sans être infecté de manière chronique, un bon système
immunitaire peut s'en débarrasser en quelques semaines.
- On peut combattre le Sida grâce à une alimentation correcte et en se préservant d'autres infections
affaiblissantes.
- L’importance d'un vaccin et de médicaments contre le SIDA est exagérée.
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- La médication ARV est toxique et ne peut être prise à vie comme par exemple l'insuline chez les
diabétiques.
- Le SIDA peut être traité autrement qu’avec un vaccin, avec des choses peu coûteuses et -hautement
efficaces.
- Pour se protéger du SIDA, ce dont les Africains ont réellement besoin, c’est d’une meilleure nutrition.
- Les faits concernant la nutrition et le SIDA sont négligés (par l’établissement médical et les administrations
locales).
6 points scientifiques simples pour prouver que le VIH cause le SIDA :
1. Isoler le VIH de manière purifiée.
2 . a) Prouver que le VIH détruit les lymphocytes TDC 4
b) Prouver que le VIH détruit les lymphocytes TDC 4 en présence d'anticorps et ce de manière plus
rapide que la réplication de nouveaux lymphocytes.
3. Trouver du VIH en grand nombre chez tous les séropositifs.
4. Exclure toutes autres causes de positivité.
5. Montrer les sources qui constituent la preuve que le VIH est la cause du SIDA.
6. Se conformer aux postulats de Koch.
Réf. : Dr. Robert Wilner, Bryan Ellison, Pr. Peter H. Duesberg, Dr Charles A. Thomas Jr., Dr. Kary Mullis,
Dr. Robert Root-Bernstein, Dr. Gordon Stewart, Dr. Joseph Sonnabend, Dr. Jim Humble, T.C. Fry, Celia
Farber, Claude Tracks, Dr. Etienne De Harven, Pr. Luc Montagnier, Pr. Henry H. Bauer, Dr. Eleni
Papadopulos, Pr. Alfred Hassïg, Rebecca Culshaw, Dr. Marc Deru, Dr. Jacques Gwinner ...
Documentaires : "House of Numbers" de Brent Leung (13 récompenses) ; "Sida, le doute" (Arte),
"Sida - analyse des preuves de l'existence du VIH" ; "Power to the people" (Tine Van der Maas).
Youtube : "Me. Jean-Pierre Joseph : Enigmes judiciaires - Vaccins - Sida".
Livres : "L'invention du virus du sida", "Les 10 plus gros mensonges sur le sida", "Sida supercherie
scientifique et arnaque humanitaire", "Sortez de l'hypnose collective", "Théorie VIH du sida, incohérence
scientifique !", "Enquête sur le sida, les vérités muselées",... et bien d'autres en anglais.
Magazines : Nexus n° 79, Néosanté n° 2, 15, 17 & 53, Biocontact n° 204.
Facebook : "V.I.H/SIDA" : virus virtuel ou provocation du siècle ?
Blog : www.sidasante.com
Sites : http://rethinkingaids.com/ ; http://www.virusmyth.com/aids/
Facteurs connus susceptibles de produire des résultats faussement positifs lors de tests anticorps au
«VIH »1 [1]
• Anticorps anti hydrates de carbone.
• Anticorps générés naturellement.
• Immunisation passive : réception de globuline gamma ou globuline. immune (en tant que prophylaxie
contre une infection contenant des anticorps).
• Lèpre.
• Tuberculose.
• Mycobacterium avium.
• Lupus érythémateux disséminé.
• Fonction rénale déficitaire.
• Hémodialyse (en cas de fonction rénale déficitaire).
• Thérapie par interféron alpha chez les patients en hémodialyse.
• Grippe.
• Vaccin antigrippal.
• Herpès simplex I.
• Herpès simplex II.
• Infection des voies respiratoires supérieures.
• Infection virale récente ou exposition à un vaccin antiviral.
• Grossesse chez les femmes multipares.
• Malaria.
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• Taux élevés de complexes immuns dans la circulation sanguine.
• Hypergamma globulinémie (taux élevés d’anticorps).
• Fausse positivité à d’autres tests, tels que le test RPR (réactif plasma rapide) pour la syphilis.
• Arthrite rhumatoïde.
• Vaccination contre l’hépatite B.
• Vaccination contre le tétanos.
• Transplantation d’organes.
• Transplantation rénale.
1[1] Christine Johnson, “Whose Antibodies Are They Anyway?” Sept./Oct. 1996, Continuum
• Anticorps anti-lymphocytaires.
• Anticorps anti-collagènes (que l’on trouve chez les homosexuels, les hémophiles, les Africains des deux
sexes ainsi que les personnes atteintes de la lèpre).
• Sérologies positives au facteur rhumatoïde, anticorps antinucléiques (trouvés l’un et l’autre en cas d’arthrite
rhumatoïde et d’autres problèmes auto-immunitaires).
• Maladies auto-immunitaires : lupus érythémateux disséminé, sclérodermie, maladie du tissu conjonctif,
dermatomyosites.
• Infections virales aiguës, Infections par virus ADN.
• Néoplasmes malins (cancers).
• Hépatite alcoolique ou cirrhose du foie d’origine alcoolique.
• Cholangite sclérosante primitive.
• Hépatite.
• « Sticky » blood, (chez les Africains). Ce syndrome est aussi appelé Hugues’syndrome ou syndrome
antiphospholipide.
• Anticorps présentant une grande affinité avec le polystyrène (utilisé dans le matériel des tests).
• Transfusions sanguines, transfusions multiples.
• Myélome multiple.
• Anticorps HLA (correspondant aux antigènes leucocytaires humains de classes I et II).
• Anticorps contre les muscles lisses.
• Anticorps contre les cellules pariétales.
• Anticorps IgM contre l’hépatite A.
• Anticorps IgM contre les hépatites B et C.
• Administration de préparations à base d’immunoglobuline humaine composée avant 1985.
• Hémophilie.
• Affections hématologiques malignes / lymphomes.
• Cirrhose biliaire primaire.
• Syndrome de Stevens Johnson.
• Fièvre Q associée à une hépatite.
• Echantillons traités à la chaleur.
• Sérum lipémique (sang contenant un taux élevé de graisse ou de lipide).
• Sérum hémolysé (sang dans lequel l’hémoglobine est séparée des globules rouges).
• Hyper bilirubinémie.
• Globulines produites lors des gammopathies polyclonales (que l’on trouve chez les groupes à risque de
« SIDA »).
• Réactions croisées mal expliquées chez des sujets sains.
• Protéines ribonucléiques humaines normales.
• Autres rétrovirus (que le « VIH »).
• Anticorps anti-mitochondriaux.
• Anticorps anti-nucléiques.
• Anticorps anti-microsomaux.
• Anticorps aux antigènes leucocytaires des lymphocytes T.
• Présence de protéine sur le papier du filtre.
• Virus Epstein-Barr.
• Leishmaniose vicérale.
• Sexualité anale réceptive.
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