
 
maintenant une réunion entre tous les acteurs possibles, politiques, 
économiques, syndicaux et surtout avec les représentants Japonais 
de TOKAÏ.  
Nous voulons leur rappeler leurs responsabilités, en premier vis-à-
vis de leurs salariés qui ne sont vraiment pour rien à ce qui arrive 
mais qui payent  très  cher des stratégies dont ils n’ont jamais eu 
connaissance. La CFDT demande au dirigeant de TOKAIÏ d’investir 
au-delà de ses obligations légales,  de s’engager sur un projet 
d’alternative interne qui ne soit pas nécessairement tourner vers 
l’automobile mais qui maintiennent les emplois, l’activité 
économique et le lien sociale des habitants de ce territoire. 
Non, nous refusons cette fatalité qui voudrait que  Pole Emploi soit 
la seule alternative aux PSE, nous refusons la résignation, nous 
refusons cette logique du moins disant qui conduit au dumping 
social. Mais ne nous trompons pas d’adversaire. Nous avons besoin 
de l’Europe, notre avenir est intimement lié à notre capacité à 
construire une entité qui fasse le poids face aux puissances 
mondiales. Mais pas n’importe quelle Europe, pas une Europe extra