lait

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« Les produits laitiers sont toxiques pour la santé ! »
Les produits laitiers ne sont pas nos amis, comme le lobby agro-alimentaire nous
l’a inculqué pendant des décennies. La nutritionniste Marion Kaplan,
bio-nutritionniste élève du Dr Kousmine, chercheuse et auteur d’une quinzaine
d’ouvrages, nous explique pourquoi.
La consommation du lait, très riche en sucre (le lactose), fait exploser l’index
glycémique du sang, un facteur causal important du diabète et de l’obésité.
Lien vidéo (52 mn) - Le lait mauvais pour la santé :
https://www.youtube.com/watch?v=ITxvcwafLo8
Les industriels promeuvent les produits laitiers en soulignant leur richesse en
calcium. Le problème, nous dit Marion Kaplan, est que le calcium du lait n’est pas
assimilable par l’organisme. Non seulement le lait ne contribue pas à combattre
l’ostéoporose, mais il l’intensifie, par un mécanisme que décrit précisément la
nutritionniste.
Le lait contient une protéine, la caséine, que nos enzymes digestifs ne peuvent
pas dégrader. Le système digestif étant particulièrement affecté par le
vieillissement, il devient de plus en plus difficile d’assimiler les produits laitiers à
mesure que l’on avance en âge.
Marion Kaplan nuance toutefois légèrement ses propos : Une personne en très
bonne santé peut se permettre une prise de fromage tous les 4 à 5 jours.
Par contre, si vous souffrez d’une maladie inflammatoire, d’une allergie ou d’une
maladie chronique, N’Y TOUCHEZ PAS ! Et d’insister sur l’importance de bannir
les produits laitiers en cas de polyarthrite rhumatoïde, de spondylarthrite ou de
maladie de Crohn… (Et n'oubliez pas que le beurre est également fait à base de
lait, car on en parle pas dans ces articles, alors je le rappel).
Polyarthrite rhumatoïde
Spondylarthrite
Marion Kaplan mentionne les implications de la découverte du prix Nobel français
Jean Dausset : Par une simple prise de sang, il est possible de détecter si l’on
est HLA B27 (1*) ou HLA DQ2 (2*). La présence de l’un ou l’autre de ces
antigènes indique une prédisposition à l’intolérance au gluten et aux dérivés du
lait favorable à la survenance des maladies mentionnées plus haut.
1*- HLA-B27 est un antigène de surface de classe I, codé par le locus B du complexe majeur
d'histocompatibilité, sur le chromosome 6. Sa fréquence dans la population générale varie de 8 % chez
les caucasiens à 0,5 à 1 % chez les japonais. Sa présence est associée à un certain nombre de maladies
auto-immunes, comme la spondylarthrite ankylosante, ce qui signifie qu'un individu porteur du HLA-B27 a
significativement plus de risque de développer ces maladies qu'un autre individu.
2*- HLA-DQ2 est un groupe de sérotype dans le système de sérotypage.
Le sérotype est déterminé par l'anticorps de sous-ensemble de β2 DQ β-chaînes. La β-chaîne de DQ est
codée par HLA-DQB1 locus DQ2 et sont codés par les molécules HLA-DQB1 * 02 de groupe d'allèles.
Cette répartition est en corrélation avec la fréquence de deux des maladies auto-immunes les plus
courantes. Cet haplotype HLA A1-B8-DR3-DQ2, est associée à des maladies dans lesquelles HLA-DQ2 a
implication suspecte. La participation directe de DQ2 est certaine dans la maladie coeliaque.
Enfin, comme le souligne de manière véhémente (qui s'exprime avec
emportement, fougue ; passionné, enflammé) Marion Kaplan, il est inutile de
demander à son généraliste si l’on doit renoncer aux produits laitiers :
Les médecins ne sont pas formés à la nutrition et sont donc généralement
incompétents pour répondre à cette question.
Les dangers du lait pour la santé, intolérances,
allergies et autres pathologies
Le lait de vache est un facteur de diabète, de cataracte, de risque cardiovasculaire et de cancer…
On nous bassine depuis plus de 60 ans avec le lait et les produits laitiers,
« buvez de lait » ou encore « les produits laitiers sont nos amis pour la vie »,
nombreuses sont les pub TV ou autres pour nous faire boire du lait de vache,
alors que l’organisme humain traite le lait de vache comme un poison dès le plus
jeune âge…
Pourquoi tous ces mensonges sur les bienfaits des produits laitiers ?
Comment le lobby laitier noyaute la communauté scientifique et médicale ?
Comment l’industrie laitière a fait croire que la santé des os dépendait du calcium
laitier ?
Pourquoi l’ostéoporose progresse au lieu de diminuer avec la consommation de
lait ?
Pourquoi les amateurs de laitages ont plus de cancers de la prostate ou du sein ?
Pourquoi les chercheurs soupçonnent le lait de favoriser le diabète chez
l’enfant ?
Comment l’industrie fait croire que le calcium laitier prévient l’obésité ?
Pourquoi les besoins en calcium ont été exagérés et quels sont vos besoins
réels ?
Autant de questions sur lesquelles il vous faut trouver des réponses au plus vite,
notre santé et celle de nos enfants est menacée.
L’Institut américain pour la recherche sur le cancer (AICR) a ainsi estimée en
2002 que les laitages devraient être consommés « en faible quantité ».
C’est aussi parce que les anglais rajoutent du lait dans leurs tasses qu’ils
bénéficieraient nettement moins des vertus anti-oxydantes des thés et auraient
l’un des plus fort taux de cancer en Occident…
Vous aimez le lait ? Et bien continuez donc à l’aimer !
Seuls 35 % des adultes européens ont du mal à digérer le lait de vache,
mais 75 % des Êtres humains sont intolérant aux lactose (sucre du lait).
De nombreuses recherches ont conduit les professionnels de la santé à
soupçonner la toxicité du lait de vache et à le considérer comme responsable de
beaucoup de pathologies. Un lait, qui rappelons-le est optimisé pour faire passer
en six mois un veau de 35 à 250 kilos…
Les hormones de croissance contenues dans le lait de vache sont destinées au
veau, pas à l’homme !
Tout le monde ne peut pas non plus remplacer le calcium du lait (assimilé à 32 %
seulement par l’organisme) par des légumes crucifères ou des amandes…
Tout le monde ne souhaite pas non plus remplacer son lait de vache par du lait
de brebis bio ou de chèvre dont le lait est beaucoup mieux adapté à la
physiologie de l’Être humain. Mais au fait, vous avez pensé au lait végétal ?
Une consommation raisonnable de lait et de beurre ne pose évidemment pas de
problème (ou alors vous le sentiriez sur l’estomac). De même, il ne faudrait pas
confondre le lait et tous les produits laitiers, comme par exemple les fromages a
pâte dure ou très dure qui sont dépourvus de lactose naturellement et demeurent
une source appréciable de calcium.
Enfin, pour les vrais amoureux, il y a toujours la solution du lait cru (bio).
Les travaux du docteur Maria Enig démontrent en effet que « c’est le fait de
pasteuriser les matières grasses du lait ou de solidifier les huiles végétales par
hydrogénation qui serait responsable des cancers du sein et du colon, mais aussi
des maladies cardio-vasculaires ! […] Ce sont les molécules d’acide gras
« trans » issus de l’industrialisation qu’il faut chasser ». Ces acides gras se
trouvent aussi en forte quantité dans les produits finis comme les gâteaux,
les céréales de petit-déjeuner enrichies en graisse ou les frites…
Intolérance au lactose ou allergie au lait ? Ne pas confondre allergie au lait et
intolérance au lactose.
La confusion règne entre intolérance et allergie au lait. Comme les deux
phénomènes sont complètement différents, il paraît utile d’évoquer brièvement
leurs caractéristiques :
- Le terme d’intolérance atteste de l’absence totale ou partielle de l’enzyme
(dans ce cas la lactase) assurant soit le processus de digestion d’un nutriment,
soit sa métabolisation (assimilation du lactose). L’intolérance ne suscite pas de
réaction du système immunitaire.
- L’allergie, par contre, est caractérisée par une réaction immunitaire face à un
allergène alimentaire ou « trophallergène », le plus souvent une protéine
(dans ce cas, les protéines du lait dont les plus importantes sont : Caséine,
alpha-lactalbumine, bêta-lactoglobuline). Une allergie au lait est bien plus grave
qu’une intolérance au lactose.
Le lait de vache n’est plus ce qu’il était.
Aujourd’hui, les vaches ne sont de plus nourries avec des aliments naturels tel
que du fourrage, mais avec des aliments trafiqués, bourrés d’additifs afin de
stimuler la lactation avec une bonne dose systématique d’antibiotiques et de
vaccins afin d’augmenter au maximum les profits. De plus, des œstrogènes
(hormones sexuelles féminines) sont retrouvés en grande quantité dans le lait de
vache.
Les hormones contrôlent de nombreux processus de notre organisme et ceci
grâce à un dosage infime et extrêmement bien réglé. L’exposition à l’action des
substances œstrogéniques est la cause principale des cancers des organes
génitaux. Des phyto-oestrogènes (oestrogènes d’origine végétale) sont
naturellement produits par les végétaux. Cependant, les fongicides (substance
(ex : produit phyto-sanitaire) conçue exclusivement pour éliminer ou limiter le
développement des champignons parasites des végétaux) répandus sur l’herbe
encouragent fortement leur production. Après ingestion, les œstrogènes
s’accumulent dans les tissus graisseux de l’animal et arrivent dans le lait.
Émission de radio sur le lait : Invité Thierry Souccar qui répond à la question :
"Que pensent les Français du lait de vache ?".
18 % craignent que la consommation de lait donne des effets négatifs sur
leur santé.
20 % n’ont pas confiance dans la qualité du lait.
30 % ont une opinion négative des conditions d’élevage des vaches
laitières.
35 % se méfient des industriels qui commercialisent des produits laitiers.
Le lait de vache c’est pour les veaux.
Les protéines spécifiques contenues dans le lait de vache ayant la fonction de
fabriquer des fibres osseuses (osséine) ne sont pas adaptées à notre espèce.
L’Être humain (bébé, enfant, ou adulte) nourris au lait de vache sera en carence
d’osséine entraînant une déminéralisation précurseur de l’ostéoporose.
De plus, ce « mauvais calcium » va se fixer sur certains tissus de l’organisme et
provoquer des durillons (callosité se formant sur les pieds ou dans la paume de
la main), kystes, becs de perroquet, calculs, etc..
Becs de perroquet
Vidéo de Pr Henri Joyeux-Lait, Santé et propagandes ! (5 mn)
https://www.youtube.com/watch?v=ly6ajdT4vkE
Le bon calcium se trouve dans d’autres familles d’aliments.
Les œufs à la coque, les légumes, surtout les verts, comme les épinards,
le cresson et les bettes, les légumes secs sont aussi des sources de calcium,
haricots blancs en tête de tout. C’est très facile de manger 100 g à 200 g de
légumes par repas. Tous ces légumes apportent aussi d’autres nutriments
essentiels comme le magnésium et le potassium, deux autres alliés du calcium,
sans oublier toutes les vitamines et les fibres. À mettre au menu tous les jours
pour les légumes verts, et au moins deux fois par semaine pour les œufs et les
légumes secs. N’oubliez pas de les choisir Bio bien évidemment. 100 g de pain
complet apporte 150 mg de calcium, à mettre également sur la table à chaque
repas (et surtout pas de pain de boulanger ou industriel qui sont eux plus remplis
de produits chimiques, comme le gluten, plutôt que remplis de nutriments bon
pour votre santé). Sans oublier les poissons gras, les épices et les herbes,
les fruits secs (figues séchées) les fruits à coque (amandes) et les graines.
Le lait de vache n’est bon que pour le veau
Le lait de vache n’est bon que pour le veau comme exprimé dans les deux autres
articles précédent. L’Homme est le seul mammifère à se nourrir du lait d’une
autre espèce.
Pourquoi continuons nous à boire du lait à l’âge adulte ?
Le lait de vache est-il vraiment adapté au bébé et à l’Homme ?
De nombreuses recherches ont conduit les médecins, les hygiénistes, et les
chercheurs, à soupçonner la nocivité du lait de vache et à le considérer
aujourd’hui comme responsable de nombreuses pathologies.
La glorieuse réputation du lait de vache comme boisson fortifiante et
reminéralisante par son calcium est en train de chuter de son piédestal ancestral.
J’espère qu’après la lecture de cet article, vous détiendrez des arguments solides
qui vous permettrons de ré-estimer la qualité de vos choix alimentaires.
Une information de croissance inadaptée
Les hormones de croissance contenues dans le lait de vache sont destinées au
veau. Imaginez une information de croissance spécifique au veau, par exemple,
peser 200 kg à six mois, reçue dans l’hypophyse d’un nourrisson qui, lui, dans le
même laps de temps, ne doit peser que 7 à 8 kg !
Il faut savoir que l'organisme doit faire la séparation des molécules de lait pour
leur permettre une bonne digestion dans l'estomac, mais le lait de vache ne
faisant pas partie du contingent spécifique dans la liste de traitement de
l'ordinateur de gestion de la digestion par la sécrétion, ces mêmes molécules ne
peuvent alors pas être scindées correctement, ce qui engendre explicitement une
indigestion et des malaises digestifs, abdominales, et cardiovasculaire pour les
personnes âgées ou trop sensible à des désordres digestifs.
Que va-t-il se passer ?
Cette information qui ne correspond en rien au développement normal d’un bébé
va dérégler le très sensible mécanisme du système hormonal. Quand bien même
l’organisme humain serait malgré tout capable de s’adapter à cette mauvaise
information, il le ferait au détriment d’autres fonctions s’étalant sur la vie entière
de l’individu et même sur des générations.
Des réactions sont souvent constatées lors du sevrage passant du lait maternel
au lait de vache ou au lait maternisés qui en sont composés.
La viande de bœuf ne pose pas ce problème car elle ne contient pas ces
hormones de croissance.
Le lait de vache vous apporte t-il vraiment du calcium ?
Nous trouvons dans le lait de vache, tout comme dans le lait maternel, du
calcium.
Le problème, c’est que non seulement les besoins du bébé ou de l’homme en
calcium sont différents de ceux du veau, mais surtout, le calcium contenu dans le
lait de vache ne pourra en aucun cas être disponible à l’organisme humain.
En effet, les protéines spécifiques contenues dans le lait animal ont pour fonction
de transmettre l’information nécessaire à l’élaboration de l’osséine (pour
simplifier, c’est un filet sur le cartilage qui retient les minéraux).
Le souci, c’est que ces protéines sont adaptées exclusivement au veau et sont
donc complètement inopérantes sur l’Être humain.
C’est pourquoi le bébé, l’enfant, ou l’adulte auront très peu d’osséine, et de ce fait
retiendront mal les minéraux, d’où une déminéralisation progressive.
D’après les constatations de nombreux médecins et chercheurs, ces minéraux
qui circulent dans le sang vont s’accumuler dans les tissus et les organes du
corps, ceci entraînant kystes, indurations (durcissement d'un tissu), becs de
perroquet, et calculs.
Les produits laitiers contiennent beaucoup trop de calcium et de phosphore.
Cet excès rend le magnésium quasi-inopérant, entraînant un appauvrissement
des cellules nerveuses et musculaires avec tous les problèmes qui s’en suivent.
L’excès de phosphore engendre une hyper-parathyroïdie responsable de
phénomènes de tétanie spasmophile.
Buvez du lait de vache, et faites le plein de mauvaises graisses !
Tandis que le lait maternel est essentiellement constitué d’acides gras polyinsaturés (omega-3 et omega-6), le lait de vache, lui, contient surtout des acides
gras saturés à grosses molécules lipidiques qui sont difficilement digérées par le
foie humain. Ainsi, le système biliaire se « fatigue » en essayant de dissoudre un
produit incompatible avec le système digestif humain.
Système biliaire
Les mauvaises graisses, qui ne seront donc pas correctement assimilées,
vont se retrouver dans l’intestin grêle et passer dans le sang.
Chez le bébé, ceci à une importance majeure.
Les graisses ont une importance capitale pour le développement du cerveau et
du système nerveux. Le cerveau de l’Être humain ayant une croissance plus
rapide que celui des autres mammifères, il est donc important de lui fournir des
graisses de bonne qualité, c’est à dire insaturées, de provenance maternelle ou
végétale.
Dans les faits, les bébés nourris au lait de vache présentent des foies plus gros
que ceux nourris au lait maternel.
Lait de vache VS Lait maternel :
Le lait maternel, biologiquement adapté au bébé, contient 50 % de plus de
lactose que le lait de vache.
Comme nous l’avons déjà vu dans l’article traitant de l’importance de l’allaitement
maternel, les fonctions du lait maternel sont multiples : énergétiques ;
assimilation des minéraux ; constitution de la flore intestinale ; protection contre
les germes pathogènes.
Aucun lait d’origine animale ne protège l’Homme contre les germes pathogènes
et autres parasites. Au contraire, ils en favorisent tous la prolifération par la
modification du milieu digestif et intestinal qu’entraîne véritablement leur
absorption.
L’Homme a t-il le même système digestif que le veau ?
Afin de dégrader les protéines contenues dans le lait, l’estomac doit sécrété une
« présure » (c’est une enzyme protéolytique).
Les chercheurs ont constatés que la présure du veau est cent fois plus puissante
et active que la présure du nourrisson, et cela en rapport avec les molécules
constituantes du lait de vache qui sont nettement plus grosses que celles du lait
maternel.
C’est donc un effort considérable que nous demandons à notre foie pour
dégrader une trop grosse molécule d’origine animale.
Le bébé fabrique sa présure (la rennine) jusqu’à l’âge de 3 ans. Au sevrage la
sécrétion cesse pour être remplacée par celle de la pepsine. Si nous forçons un
bébé à boire du lait de vache après cela, son organisme sera forcé de fabriquer
de la lactase pour digérer un aliment qui ne lui est donc plus nécessaire et cela
au détriment des autres fonctions organiques. La lactase permet de dédoubler le
lactose en glucose et galactose, en trop grande quantité, elle est responsable de
gazs et de ballonnements.
Et le fromage ?
Dans la fabrication de certains fromages, et plus spécialement les fromages de
Hollande (...), l’ajout de conservateurs (polyphosphates, nitrates), est très
dangereux pour la santé de l’Homme.
Les polyphosphates ont une action inhibitrice sur la fixation du calcium, d’où le
nombre croissant de personnes atteintes de spasmophilie chez les
consommateurs de fromage et de produits laitiers.
Il faut donc se méfier de la fausse information concernant l’apport en calcium des
laitages. Il faudra se tourner alors plus vers des produits en craie comme le
fromage de chèvre par exemple.
Le lait de vache n’est plus ce qu’il était (relate ce qu'on a lu plus avant) :
Aujourd’hui, les vaches sont de plus en plus nourries avec des aliments forcés,
trafiqués, bourrés d’additifs afin de stimuler la lactation et donc le profit, avec une
dose systématique d’antibiotiques et de vaccins.
De plus, des œstrogènes (hormones sexuelles féminines) sont retrouvés en
grande quantité dans le lait de vache. (Étude du Pr Brayan à Cambridge).
Les hormones contrôlent de nombreux processus de notre organisme et ceci
grâce à un dosage infime et extrêmement bien réglé.
Le Dr Regina Schoental souligne que l’exposition à l’action des substances
œstrogéniques est la cause principale des cancers des organes génitaux.
Des phyto-oestrogènes (oestrogènes d’origine végétale) sont naturellement
produits par les végétaux. Cependant, les fongicides répandus sur l’herbe
encouragent fortement leur production. Après ingestion, les œstrogènes
s’accumulent dans les tissus graisseux de l’animal et arrivent dans le lait.
L’équilibre acido-basique :
La consommation de lait de vache, comme le stress, est une des causes de
l’acidose tissulaire.
L’acidose tissulaire fragilise les tissus conjonctifs (peau, ligaments…) et est donc
fortement en relation avec de nombreux troubles comme les tendinites
récidivantes.
Finalement…
La consommation de lait de vache est une mauvaise habitude.
Bien que des individus ayant un fort potentiel vital ne développeront pas
précocement de troubles, je suis sûr que d’autres trouveront grâce à cet article
des réponses à leurs problèmes.
Acceptez de faire l’expérience pendant 2 ou 3 semaines, ou même quelques
jours. Voyez si vos symptômes se modifient et prenez ensuite votre décision.
Pour ma part, j’ai toujours souffert de tendinites chroniques, et lorsque j’ai appris
que le grand bol de lait de vache que je prenais chaque matin y était peut-être
pour quelque chose, j’ai tenté l’expérience.
Je ne bois plus de lait de vache depuis 5 ans car l’expérience a été plus que
convaincante.
J’ai remplacé le lait de vache par du lait d’avoine, d’amande, de soja, et de riz,
et j’ai diminué ma consommation de produits laitiers.
Savez-vous que l’eau minérale contient quasiment la même quantité de calcium
que le lait de vache ? La prochaine fois, regardez les étiquettes, vous serez
certainement surpris.
Les produits laitiers, fromages en tête, ne sont pas la seule source de calcium.
D’autres aliments en contiennent, comme le poisson, les oléagineuses
(tournesol, sésame…), les légumineuses (soja…), les noix, les légumes verts
(persil, épinard, fenouil, brocoli, haricot vert…), de nombreux fruits (cassis,
orange, groseille, mûre, etc.) et la majorité des eaux minérales.
Enfin, pour les nourrissons, bien que certains laits comme celui de soja soient
déconseillés avant l’âge de 4 mois, il existe maintenant des laits 100 %
biologiques adaptés à leur transite intestinale.
Starenkyj, Danièle, Le bébé et sa nutrition, Orion (1990).
Kushi, Michio, Le livre de la macrobiotique, Ed. Guy Trédaniel (1980).
Anne Laroche-de Rosa, Lait de vache: blancheur trompeuse, Ed Jouvence
(1998).
Le lait : De la colle, des hormones et du pus…
On ne peut aborder ce sujet sans parler de Robert Cohen, surnommé aux USA,
« l’homme anti-lait ».
Il a écrit l’un des livres les plus fascinants et les plus documentés sur ce sujet :
MILK, The deadly poison (Le lait, poison mortel), qui a fait grand bruit aux USA
(pas encore traduit en français). Dans sa dédicace, il s’adresse à « toutes les
personnes dans le monde qui souffrent de toutes sortes de troubles de santé,
sans être conscients de l’origine alimentaire de leurs maux. Puissent-elles
découvrir que la fontaine de jeunesse, pour elles, leurs enfants et les générations
futures, pourrait bien venir du simple fait d’éliminer le lait de leur vie ! ».
Une tachycardie (accélération du rythme cardiaque) en 20 minutes !
Je fais partie de ceux-là … avec une tachycardie à la clef dans les 20 minutes qui
suivent. Mais ces 10 % d’intolérants aux laits ne sont pas tous comme moi. Bien
souvent, ils ont la chance d’avoir un organisme encore vigilant, avec des alarmes
qui fonctionnent. Plus on est encrassé et moins ces alarmes réagissent, et le
problème de ces personnes est qu’elles n’ont plus aucun moyen pour faire le
rapport entre ce qu’elles absorbent et leurs paquets de misères physiques qui,
en outre, comme les fuites d’eau s’aggravent sans cesse avec le temps. Il suffit
de voyager et d’observer les gens pour constater que dans les pays où les
produits laitiers ne sont pas dans la coutume (il y en a de moins en moins), on ne
trouve pratiquement pas de cas de problèmes de calcium osseux, pas de
cancers du sein ni de la prostate.
Parlons un peu des bébés :
De nombreux bébés sont maintenant violemment allergiques aux laits en poudre
pour biberons, et les pédiatres font changer de marque ... et c’est pareil ;
le nourrisson se prend un bel eczéma que le médecin va s’appliquer à faire
rentrer avec … un corticoïde qui va transformer l’eczéma en asthme (beaucoup
plus grave) – et tout cela à partir d’un enfant qui était en parfaite santé et qui
avait simplement le tort d’essayer d’éliminer le poison avec lequel on le nourrit.
Mais alors, qu’en est-il des bébés qui réagissent aussi au lait du sein de leur
mère ? Peut-être leur faudrait-il changer de mère (je veux dire de nourrice) ;
car rappelez-vous que tout ce que la mère consomme passe dans le sein.
Si la mère consomme des épinards son lait est aux épinards, des carottes, du lait
à la carotte, et du lait de vache (pourri)… !
À noter que j’ai vu des bébés allergiques à tout produit laitier quel qu’il soit et qui
ont parfaitement poussé sans problèmes avec des purées de légumes.
Les vaches à lait sont des vaches malades !
La multinationale Monsanto a produit une hormone de croissance destinée à
augmenter la production de lait. Grâce à ses bénéfices colossaux, elle a pu
soudoyer les autorités sanitaires et politiques pour qu’elles laissent mettre sur le
marché ce produit sans avoir évalué sa toxicité !
Les éleveurs auxquels on a imposé cette hormone de croissance se sont
retrouvés avec des vaches qui produisaient 40 à 50 litres de lait par jour
(auparavant, elles en donnaient au plus 14 litres). Il a fallu traficoter
génétiquement un nouveau type de vaches, les Holstein, avec les pattes plus
longues afin qu’elles ne se marchent pas sur les pis ; les pauvres bêtes ne
pourraient pas suivre sur le plan alimentaire, même en broutant 24 h sur 24 si
l’on ne les complémentait pas avec des farines. À savoir qu’une vache normale
vit 25 à 30 ans, et celles-là sont usées à la corde en 7 à 8 ans...
Par ailleurs ces vaches sont sujettes à de nombreuses infections, si bien que l’on
a dû utiliser des antibiotiques en quantité. Les taux d’antibiotiques dans le lait
sont 100 fois plus élevés qu’il y a 25 ans, et les autorités sanitaires se sont
contentées d’élever les normes limites autorisées. Aux USA, sur les 23 000
tonnes d’antibiotiques fabriqués chaque année, près de la moitié ou plus est
utilisée pour le bétail. Il est hallucinant de constater qu’aux USA 80 % des vaches
souffrent de leucémie. Alors, comment le lait de ces vaches peut-il être sans
danger pour l’homme ?
Le cancer du lait...
Quand les études scientifiques ont montré que cette hormone de croissance
stimulait chez l’homme le développement de cancers lymphatiques, l’association
des médecins américains, l’O.M.S et les autorités sanitaires ont préféré fermer
les yeux car les intérêts économiques passent avant la santé des populations.
Depuis 1994, année où l’hormone de croissance obtenue par génie génétique fut
autorisée pour stimuler la production des vaches laitières, une véritable épidémie
de cancers lymphatiques a frappé les USA. Ce type de cancer, rare jusqu’alors,
tue plus que les cancers du sein, de la prostate, du pancréas et des organes
génitaux réunis. Les citoyens américains sont devenus, sans le savoir, des
cobayes qui absorbent de l’hormone de croissance à travers les produits laitiers
qu’ils consomment.
Hormones de croissance, on l’a échappé belle !
Pourtant l’Europe a résisté et, malgré la pression des multinationales américaines
(notamment le dossier fourni par Monsanto qui ne comptait pas moins de 23 000
pages) la commission du Marché Commun qui a étudié la question a refusé
l’utilisation de l’hormone de croissance car elle estimait que les preuves de son
innocuité* n’étaient pas suffisantes. Avec la passion d’un détective, Cohen,
« l’homme anti-lait », révèle ce qui nous attendait sinon : « Alors qu’aux USA,
du temps de nos parents, une femme sur 20 était atteinte de cancer du sein,
aujourd’hui une femme sur 3 est touchée ! Quand on pense aux milliers d’enfants
souffrant de leucémie et traités par des chimiothérapies hypertoxiques, on a le
cœur brisé devant tant de mépris de la santé publique.
*Innocuité : Caractère de ce qui n'est pas toxique, nocif, nuisible.
Tout bien pesé, la différence n’est pas si notable avec la France, une partie de ce
lait aux hormones serait-il arrivé chez nous par l’intermédiaire de produits
transformés ?
Nota : En cas de cancer, la première chose à supprimer TOTALEMENT,
ce sont les produits laitiers, puisqu’ils sont bourrés d’hormones de croissance.
Espérer une guérison sans cette suppression draconienne est une utopie qui
semble ignorée de la plupart des médecins.
Anémiques ou diabétiques à cause du lait !
La cause la plus fréquente de l’anémie est un manque de fer.
Or la consommation de lait entraîne souvent des saignements de la muqueuse
intestinale, par un phénomène de réaction allergique aux protéines du lait, ce qui
fait perdre beaucoup d’hémoglobine.
Et par conséquent, on remarque cette anémie par perte de fer chez un tiers des
enfants nourris au lait de vache, alors que ceux nourris au lait maternel n’en
souffrent pas.
On a pu aussi lire dans le New England Journal of Medicine, dès juillet 1992 :
« Des études ont suggéré que les protéines du lait pourraient jouer un rôle dans
l’apparition du diabète chez l’homme. Les patients diabétiques insulinodépendants produisent des anticorps contre les protéines du lait qui participent
au dysfonctionnement des îlots de Langerhans, dans le pancréas, centre de
fabrication de l’insuline. Il s’agit d’une réaction auto-immune ».
Le véritable problème à la base du développement du diabète est l’énorme
quantité de graisses contenue dans l’alimentation occidentale, à cause de la
viande, et des produits laitiers.
Des expériences faites avec des étudiants en médecine ont montré qu’en une
semaine à peine d’alimentation très riche en graisse, 50% des étudiants étaient
devenus diabétiques.
Tous collés à la caséine !
Près de 80 % des protéines du lait et du fromage sont constituées de caséine,
qui est une puissante colle, celle qui fait notamment tenir les étiquettes sur les
bouteilles de bière.
Essayez d’arracher une des ces étiquettes et vous verrez la force de cette colle !
On utilise aussi la caséine pour coller les meubles, et nos grands parents s’en
servaient pour coller les papiers peints ! Pensez à ce que cette colle peut
provoquer dans votre organisme. Comme la caséine est une protéine étrangère,
le corps crée des anticorps pour la neutraliser. Cette réaction antigène/anticorps
fait sécréter de l’histamine* et engendre une intense production de mucus,
voire de pus, et surtout d’inflammations (sinusites otites, bronchites, maladies en
ite…). De nombreux chercheurs pensent que la caséine est la principale
substance responsable des inflammations articulaires que l’on voit dans les
arthrites rhumatoïdes. Cela expliquerait pourquoi la suppression de tout produit
laitier permet la plupart du temps le soulagement rapide de ces affections.
*Histamine : C'est une molécule sécrétée par certaines cellules de l'organisme, majoritairement les
globules blancs, lorsque l'organisme est en contact avec une substance envers laquelle il est
hypersensible.
Depuis des années, je préconise, pour nettoyer le colloïde laitier* du système
lymphatique, du CALCAIRE DE VERSAILLES 8 DH (en pharmacie) – 1 ampoule
au lever.
*Colloïde laitier : Colle laitière ; Mélange d'un liquide et d'une suspension de particules solides de si
petites tailles qu'elles se répartissent de façon homogène. Le mélange peut rester liquide ou prendre la
consistance d'une pâte ou d'un gel.
Et le calcium ? Une croyance bien enracinée !
Le calcium du lait se métabolise mal chez les adultes, aussi a-t-il tendance à se
déposer d’une façon désordonnée un peu n’importe où dans les coins tranquilles,
plutôt que là où il faut – c’est ainsi que se développent des exostoses*, des becs
de perroquet, et même la maladie de Paget où le calcium de la colonne
vertébrale migre vers l’aorte par un phénomène électrolytique.
*Exostose : C'est une tumeur bénigne de l'os qui apparaît comme une néoformation à la surface d'un os
normal, qui peut être dommageable par la survenue de raccourcissements ou de déformations de certains
os.
Alors où donc trouver le précieux calcium ?
Mais dans tous les légumes !!! Il y en a partout !
Il y a près de 25 ans que je suis devenu intolérant aux produits laitiers et je n’ai
aucun problème de calcification et aucun problème arthrosique. Je ne connais
d’ailleurs pas de végétariens qui aient un problème de calcium.
En résumé : Arrêtez de croire aveuglément ce que vous dit la télé et ce que votre
médecin (1) vous répète comme un perroquet.
(1) petite remarque perso > Saviez vous que l’organisme OMS recommande
maximum un produit laitier par jour ?
Pourtant chez nos voisins français ils disent (les merdias) qu’il faut en
consommer 3 par jour et bien entendu, les moutons répètent ce gros mensonges.
Et savez-vous pourquoi ?
Le lobby du lait est le lobby le plus puissant de France, il dépense en fausses
propagandes et pots de vin plus de 500 millions d’Euros par an !!!
De plus, si vous lisez mes articles, vous savez certainement que le lait, ce sont
les américains qui ont lancé cette propagande à la fin de la seconde guerre
mondiale.
Tiens, ça me rappel que ce sont déjà les USA qui ont importé les boucherie
partout dans les campagnes européenne et le résultat a été super.
Enfin quand je dis super, c’est surtout pour les marchands de la mort > Les
médecins ! Et oui, ils ont vu leur clientèle augmenter de 80 % !
De ce fait, il n’est pas étonnant que ces vendus fassent de la pub pour le lait et la
viande, c’est leurs premières sources de maladies et donc de revenus !!!
Conclusion de ces articles :
Ne prenez jamais tout pour argent comptant, autant il peut y avoir de la
propagande (publicité en tout genre valorisant un produit ou une façon de
consommer) pour les produits laitiers, pour le bienfait de manger de la viande,
les 5 fruits et légumes par jours, autant il peut y en avoir sur le végétarisme et
végétalisme, il y a toujours tout et son contraire. Alors faites marcher votre
instinct du cœur et de votre estomac pour palier à votre psyché perturbante afin
de désigner ce qui est bon pour vous.
De même, il faut prendre en considération dans tout ceci que nous ne
fonctionnons pas du tout tous de la même manière, lorsque l'un ou l'une se verra
assailli par un phénomène contraire au bon fonctionnement de son organisme,
l'autre n'en subira aucune conséquence, car sont métabolisme saura y résister.
Et ainsi que le fait des émotions vives troublant le système immunitaire, il est de
l'ordre de stabiliser l'émotionnel vers un espace serein afin de palier à ce genre
de problématique, car la première venue de problèmes organiques viennent des
émotions basses, qui troublent l'atmosphère de votre immunité corporelle,
songez-y !
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