L’utopie des pseudo-djihadistes contemporains La plume et le verbe

La plume et le verbe
L’utopie
des pseudo-djihadistes
contemporains
La plume et le verbe
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La plume et le verbe
1
C’est à ause de l’loigeet des peptes du
Coran et de la Sounna authentique, que des
conceptions fausses naissent et habitent les
œus failes. L’appel à l’Uiit d’Allah pou
elui ui l’a opis doit te pioitaie su tous
les autres préceptes car nous sommes confrontés
à des peuples idolâtres.
Il faut prendre conscience que les terres
aueillet des gatios d’assoiateus depuis
des siècles et que nous ne trouvons aujoud’hui
auue tee où la Loi d’Allah est appliquée,
’e dplaise au pseudo-djihādistes, toutes
doctrines associatrices confondues, qui sévissent
actuellement (et pour certains depuis plusieurs
deies das le ode et ui ’ot de l’Isla
que lappellation u’ils se sot eu-mêmes
attribués ; de e ue les failes d’espit,
ignorants et leurs ânes qui les suivent, les
soutiennent (tant par la propagande que
atielleet, les ejoiget afi d’assoi
leurs rangs ou qui polémiquent en leur faveur
afi d’authetifi leus adħha impies.
Le djihād est l’u des aspects les plus mal compris
et les plus dfos de l’Isla. Ceu ui s’affilient
à l’Islam-dont leurs pseudo-djihādistes- exploitent
ce concept et en font un mauvais usage afin de
parvenir à leurs fins souvent politiques mais aussi
afin de commettre des exactions injustifiées
contre les populations civiles et se servent de
leurs iteptatios oopues du djihād
comme « d’ue liee » leurs donnant libre
court pour satisfaire leurs passions en
commettant un « un génocide » de masse, des
viols, des tortures et en exécutant ceux qui
s’opposet à leus doties ipies ou ui
dénoncent ouvertement leurs mécréances. Or
Allah a lgif le djihād dans Son sentier pour
élever sa parole, faire triompher Sa religion et
vaincre Ses ennemis.
L’appel au djihād est précédé de deux conditions
sine qua non à remplir qui sont la foi ainsi que
l’igatio es ue tee d’Isla, or ces deux
objectifs sont absents à notre époque.
Donc avant de déclarer un djihād, il faut
obligatoirement appeler la masse des gens au
Tahīd. E effet, à l’heue atuelle la ajoit
deeue das l’assoiatio ajeue et
l’igoae du essage de tous les essages
(que la bénédiction et la paix soient sur eux).
Les prétendants au Djihād, diset u’ils e juget
pas mécréant quiconque pratique les rites de
l'Islam à moins qu'ils ne voient une mécréance
évidente de sa part, mais la question qui se pose
aat ela, ’est : u’est-e l’Isla ? se trouve
l’Islam ? Ont-ils connaissance de la parole LA
ILAHA ILLA ALLAH, ainsi que ses piliers, ses
oditios de alidit et de e ui l’ialide ? Ils
donnent le statut de musulmans aux groupes les
plus égarés dans le seul but de proclamer un «
djihād » ! Or appeler des ignorants qui se
laet de l’Isla au oat, ’est les iite à
mourir sur la mécréance.
Le dsaeu de l’assoiateu ipliue
ilutaleet de le ede at. L’Isla
e peut te alide sas l’eouio des
associateurs et de leurs cultes. Ces pseudo-
djihādistes utilise de nombreuses paroles
déracinées de leur contexte ou manipulées pour
affirmer le contraire. En effet, ayant besoin
d’allis et d’ue ouaut à dfede pou
légitimer « leur soi-disant djihād » ui ’est e
vérité que la diffusion de la terreur, ils ont fait du
takfi de l’assoiateu ue hose vaine. Ce qui a
pour conséquence de rendre les peuples
coupables des pires idolâtries, musulmans !
Ces pseudo-djihādistes ont une conception
pervertie de l’Isla et étant ignorants des
fondements du Tahīd, donc mécréants, l’itt
u’ils potet à poouoi l’appel au Tahīd
s’e toue totalement absent.
Le Très-Haut a dit : « Certes, ceux qui ont cru,
igr et lutt das le setier d’Allah, ceux-là
espèrent la miséricorde d’Allah. Et Allah est
Pardonneur et Miséricordieux. » (Sourate 2,
verset 218)
Le djihād e peut s’aopli sas l’igatio,
l’igatio et le djihād e peuet s’aopli
que dans la foi. Ceux qui espèrent la miséricorde
d’Allah sot eu ui ot appliqué ces trois
obligations.
La plume et le verbe
2
Les deux conditions -qui pdet le djihād-
doiet se suie das l’ode :
Premièrement : que la population
acquière la foi, entre autres :
- u’elle oit au Tāghūt et déclare la
mécréance de ses adorateurs.
- u’elle croit en Allah Seul dans Sa Seigneurie,
Son Culte et Ses Noms et Attributs
Et tout Mouwahid, sais pertinemment que ces
conditions sont défaillantes voire absentes chez
les « Qātilīn » actuels.
Deuxièmement : u’elle émigre vers une
tee où la loi d’Allah est appliquée,
pou ue l’o puisse distigue le
musulman du mécréant.
Or la terre d'Islam (Dar al-Islam) n'existe plus
depuis plusieurs siècles, ce qui fait que le monde
entier est une terre de mécréance (Dar al-kufr),
et le statut de ses gens est la mécréance !
Le signe de l'Islam est le signe qui est
uniquement et exclusivement réservé aux
musulmans. Les rites cultuels comme la Salat, la
)akat, le Hajj e sot plus des siges d’Isla du
fait qu'ils sont pratiqués par les polythéistes. La
même chose pour les apparences (tenue comme
le port du voile, la barbe pour les hommes). Il faut
bien comprendre que même les adorateurs des
tombes et des morts, les Tawaghit et leurs soldats
font la Salat, le Hajj, portent la barbe, et
prétendent même faire le Djihād ! Ils conservent
ces rituels comme une partie du patrimoine
culturel de leurs ancêtres.
Et il est bien connue que l'ensemble du système
de vie de nos jours est bâti sur la soumission aux
lois humaines, et les gens ne savent même pas ce
ue ’est le Tahīd, ou la signification de "La
Ilaha Illa Allah" ou ce que cela implique, mais ne
font que de répéter certains rituels parce que
leurs parents les avaient faits avant eux. Ils
peuvent être jugés uniquement comme des
polythéistes et mécréants (Kāfi).
Et le seul moyen pour confirmer l'Islam de
uelu'u ’est e l’iteogeat
personnellement à propos de sa religion, ou
encore par le témoignage de deux musulmans
connus, ou un musulman et deux femmes
musulmanes comme l'exige la Shai’a d'Allah .
Les communautés mécréantes actuelles sont
das u tat pie ue la piode d’igoae
(Jāhiliyya) du début de la prophétie. Le Prophète
Mohammed nous avait averti de cela en nous
disant : « L’Isla a coecé coe uelque
chose d’étage et il edeieda uelue chose
d’étage coe il a coecé, alos aocez
la bonne nouvelle aux étrangers ». Nous devons
donc suivre le comportement du Prophète
sans brûler les étapes.
La première chose que lui a révélé son Seigneur,
u’Il soit gloifi et ealt, a t de lie au o de
son Seigneur qui a créé, et cela, au début de sa
prophétie. Puis Il lui a ordonné de lire pour lui-
même, sans encore lui commander de propager
[le Message]. Puis, Il fit descendre ce verset : «
Ô, toi Mohaad ! Le revtu d’u ateau !
Lève-toi et avertis. » (Sourate 74, verset 1-2). Il
l’aetit pa ette paole : « Lis ! » (Sourate 96,
verset 1) et Il en fit Son Messager en
l’itepellat pa : « Ô, toi (Mohammad) ! Le
revêtu d'un manteau ! » (Sourate 74, verset 1).
Puis Il lui oada d’aeti so etouage le
plus proche, ensuite son peuple, ensuite les tribus
aaes aoisiates, puis il aetit l’esele des
tius aaes et fialeet toute l’huait. Il
poursuivit pendant plus de dix ans après le début
de sa prophétie à se consacrer à la prédication
(Da’ah), sans combat ni imposer la jizya (impôt
de capitation) ; il a t odo de s’astei,
d’te patiet et idulget.
Esuite l’autoisatio d’ige lui a t doe,
puis de eoui au oat…
Puis Il lui commanda de combattre quiconque
le oattait et d’te let ees
uioue l’iteait sas hehe à le
combattre. Puis Il lui ordonna de combattre les
assoiateus jusu’à e que la religion soit
entièrement à Lui .
La plume et le verbe
3
Par la suite, après que le djihād lui a été enjoint,
les mécréants ont été classés en 3 catégories :
Ceux avec lesquels il y avait une trêve ou
un traité de paix.
Ceux avec lesquels il était en guerre.
Les Juifs et les Chrétiens vivant en terre
d’Isla Ahl al-Dhimma).
Das l’histoie de l’Isla, les usulas ot
toujours remporté la victoire face aux
associateurs, même quand ceux-ci étaient en
nombre supérieur. Les mécréants ont pris le
dessus sur les musulmans seulement une fois à la
ataille d’Uhud. Le Prophète avait préparé son
ae à l’attaue. Ciuate ahes taiet
flanqués entre deux collines d’Uhud afin de
eille su l’ae ote toute attaue pa
l’aie. Ils aaiet eçu l'ode stit de e pas
quitter leurs postes sous aucun prétexte, quel
que fût le dénouement et la disposition des
troupes.
Les Musulas otiuet à attaue l’eei
avec succès et les mecquois commencèrent à
perdre confiance. Après avoir perdu beaucoup
d'hommes, ils décidèrent de se retirer et prirent
la fuite.
Ce fut à ce moment-là que les musulmans
commirent une grossière erreur qui leur coûta
beauoup : au lieu d’oi au Pophte et de
pousuie l’eei e dehos du hap de
bataille, ils déposèrent les armes et se mirent à
ramasser le butin. Pensant que la bataille était
finie, la majorité des archers bloquant le passage
vers les collines quittèrent leurs postes pour
ramasser le butin, malgré les ordres de leur chef.
Un des commandants mecquois, Khalid ibn Walid
(Il se converti par la suite, et il fut dévoué à
l’Isla, il tait appel « l’pe d’Allah », fuait
losu’il saisit l’oppotuit d’attaue les
usulas pa l’aie. Il assela ses hoes
et laça ue fuieuse attaue pa l’aie.
Les musulmans furet telleet supis u’ils e
surent plus que faire. Dans la confusion, leurs
rangs furent désordonnés. Les mecquois qui
s’taiet etis se asselet à oueau pou
une attaque frontale. Et ils finirent par perdre
cette bataille à cause de cette désobéissance.
Réalisez la conséquence survenue à cause de
cette désobéissance de la part des compagnons
ui ’a poutat pas atteit le deg du Chirk et
du Kufr. Qu’e est-il alors de ceux qui demeurent
dans la mécréance et déclarent le djihād au nom
de l’Isla ? Qu’e est-il des failes d’espit, plus
gas u’eux eoe, ui ejoiget leus
rangs ? Jusu’à aujoud’hui ils ’ot jaais
rencontré de succès, et ça sera toujours le cas
jusu’à e u’ils puifiet leus oaes de
toute iniquité
Le dogme des pseudo-djihādistes est fondé sur la
ruse, le mensonge et la diffamation. Leurs imams
et savants contredisent les fondements mêmes
du Tahīd en matière de takfir et propagent ainsi
la mécréance. Leus itales souis ’tat pas
d’appele les gens au Tahīd comme la fait
notre Prophète . Leu statage d’gaeet
dissiul sous l’appaat de l’isla, leu peet
d’agi e toute ipuit pou popage le
désordre et la mécréance sur terre.
Combattre pour la vérité ne veut pas dire
systématiquement que le combat concerné est
celui avec les armes. Le combat peut être de
l’ode de la plue ou du ee, das le ut de
faire disparaître les ambiguïtés et faire
apparaître la vérité.
Aujoud’hui e ette poue de gade fitna,
’est pa e oat iese ue ous soes
oes et ’est pa lui ue ous deos
commencer. La disparition des gens du bien, la
propagation des savants gouvernementaux a
laiss au fil des teps, l’hitage du polthise
à cette communauté mécréante d’oigie. Nous
devons donc nous atteler à la tâche primordiale
d’eseige à la asse des ges le itale ses
du Tahīd, et non pas à prêcher un combat
armée illégitime qui ne sauvera personne de
l’assoiatio, ais ui diigea plutôt des
ignorants à oui das l’gaeet. D’ailleus
voilà la cause principale de leurs échecs !
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