La plume et le verbe
C’est à ause de l’loigeet des peptes du
Coran et de la Sounna authentique, que des
conceptions fausses naissent et habitent les
œus failes. L’appel à l’Uiit d’Allah pou
elui ui l’a opis doit te pioitaie su tous
les autres préceptes car nous sommes confrontés
à des peuples idolâtres.
Il faut prendre conscience que les terres
aueillet des gatios d’assoiateus depuis
des siècles et que nous ne trouvons aujoud’hui
auue tee où la Loi d’Allah ࣅ est appliquée,
’e dplaise au pseudo-djihādistes, toutes
doctrines associatrices confondues, qui sévissent
actuellement (et pour certains depuis plusieurs
deies das le ode et ui ’ot de l’Isla
que l’appellation u’ils se sot eu-mêmes
attribués ; de e ue les failes d’espit,
ignorants et leurs ânes qui les suivent, les
soutiennent (tant par la propagande que
atielleet, les ejoiget afi d’assoi
leurs rangs ou qui polémiquent en leur faveur
afi d’authetifi leus adħha impies.
Le djihād est l’u des aspects les plus mal compris
et les plus dfos de l’Isla. Ceu ui s’affilient
à l’Islam-dont leurs pseudo-djihādistes- exploitent
ce concept et en font un mauvais usage afin de
parvenir à leurs fins souvent politiques mais aussi
afin de commettre des exactions injustifiées
contre les populations civiles et se servent de
leurs iteptatios oopues du djihād
comme « d’ue liee » leurs donnant libre
court pour satisfaire leurs passions en
commettant un « un génocide » de masse, des
viols, des tortures et en exécutant ceux qui
s’opposet à leus doties ipies ou ui
dénoncent ouvertement leurs mécréances. Or
Allah ࣅ a lgif le djihād dans Son sentier pour
élever sa parole, faire triompher Sa religion et
vaincre Ses ennemis.
L’appel au djihād est précédé de deux conditions
sine qua non à remplir qui sont la foi ainsi que
l’igatio es ue tee d’Isla, or ces deux
objectifs sont absents à notre époque.
Donc avant de déclarer un djihād, il faut
obligatoirement appeler la masse des gens au
Tahīd. E effet, à l’heue atuelle la ajoit
deeue das l’assoiatio ajeue et
l’igoae du essage de tous les essages
(que la bénédiction et la paix soient sur eux).
Les prétendants au Djihād, diset u’ils e juget
pas mécréant quiconque pratique les rites de
l'Islam à moins qu'ils ne voient une mécréance
évidente de sa part, mais la question qui se pose
aat ela, ’est : u’est-e l’Isla ? où se trouve
l’Islam ? Ont-ils connaissance de la parole LA
ILAHA ILLA ALLAH, ainsi que ses piliers, ses
oditios de alidit et de e ui l’ialide ? Ils
donnent le statut de musulmans aux groupes les
plus égarés dans le seul but de proclamer un «
djihād » ! Or appeler des ignorants qui se
laet de l’Isla au oat, ’est les iite à
mourir sur la mécréance.
Le dsaeu de l’assoiateu ipliue
ilutaleet de le ede at. L’Isla
e peut te alide sas l’eouio des
associateurs et de leurs cultes. Ces pseudo-
djihādistes utilise de nombreuses paroles
déracinées de leur contexte ou manipulées pour
affirmer le contraire. En effet, ayant besoin
d’allis et d’ue ouaut à dfede pou
légitimer « leur soi-disant djihād » ui ’est e
vérité que la diffusion de la terreur, ils ont fait du
takfi de l’assoiateu ue hose vaine. Ce qui a
pour conséquence de rendre les peuples
coupables des pires idolâtries, musulmans !
Ces pseudo-djihādistes ont une conception
pervertie de l’Isla et étant ignorants des
fondements du Tahīd, donc mécréants, l’itt
u’ils potet à poouoi l’appel au Tahīd
s’e toue totalement absent.
Le Très-Haut a dit : « Certes, ceux qui ont cru,
igr et lutt das le setier d’Allah, ceux-là
espèrent la miséricorde d’Allah. Et Allah est
Pardonneur et Miséricordieux. » (Sourate 2,
verset 218)
Le djihād e peut s’aopli sas l’igatio,
l’igatio et le djihād e peuet s’aopli
que dans la foi. Ceux qui espèrent la miséricorde
d’Allah sot eu ui ot appliqué ces trois
obligations.