•Mise en place d’un arsenal répressif (amendes, surveillance,
etc.)
–Les journaux ne peuvent reproduire de quelconque débats –sauf
résumé officiel du gouvernement-
–Surveillance des débits de boissons, des lieux de plaisirs, des
gymnases dans la continuité de la Seconde république ;
•Les "propriétaires de cafés, estaminets et autres établissements
publics, situés dans le ressort de la Préfecture de Police" sont,
désormais, obligés :"1.D'interdire tout chant politique ou immoral »,
Ordonnance de Police du 17 novembre 1849, A.P.P.P., DB101.
•Absolue obligation de montrer que les assemblées de
gymnastes, de lutteurs et de boxeurs ne sont pas des
repères d'activistes politiques.
•Défiance étatique, contrôle étroit des associations et des
sociétés dont témoigne l’établissement de rapports de
police minutieux notifiant les atteintes aux bonnes moeurs.