des effets cumulés de basses T° (0-
15 °C) assurent la levée de dormance
(LD) et son homogénéité : satisfaction
d’un besoin de froid (BF) propre à
chaque génotype, mais complexe
(interférence avec les T° élevées, …)
Pouget (1972) distingue chez la
vigne durant la dormance: l’adaptation
à réagir aux basses T°, puis la levée
de dormance
des effets cumulés de T° tièdes à
élevées assurent la croissance en
post-dormance : satisfaction d’un
besoin de chaleur (BF) propre à
chaque génotype (complexe ?)
Pour un même génotype:
pas de lien entre l’importance de
l’intensité maximale de la dormance
et la facilité à satisfaire le BF, serait
souvent l’inverse sans être une loi
(dormance en climat tempéré / dormance
en climat doux)
pas de lien entre cette intensité ou
la facilité de satisfaction du BF, et la
précocité de débourrement (ou de
floraison)
Entre génotypes:
large gamme de BF, + réduite pour
BC; indépendance des BF et BC
différences de cinétique/ intensité
de dormance liées à des différences
de précocité (Pouget, 1972)
Influences majeures de la température durant la dormance
et relations physiologiques