65 SG/13/GT3
Original : anglais
septembre 1996
RAPPORT DE LA RÉUNION DU GROUPE DE TRAVAIL
DE L'OIE SUR LES MALADIES DES ANIMAUX SAUVAGES
Paris, 17 - 19 septembre 1996
_____
La quatrième réunion du Groupe s'est tenue du 17 au 19 septembre 1996, au Bureau central de l'OIE. Le
Docteur J. Blancou, Directeur général de l'OIE, a ouvert la séance en accueillant les participants (Annexe I). Le
Docteur V.F. Nettles a été excusé pour son absence. Le Docteur M.H. Woodford a été élu président de séance. L'ordre
du jour qui figure à l’Annexe II a été approuvé.
Les principaux objectifs du Groupe de travail lors de cette réunion étaient de recenser les progrès enregistrés au cours
de l'année écoulée en matière de centralisation et de diffusion des informations sur les maladies des animaux sauvages
préoccupantes pour certains Pays Membres, et de discuter des nouvelles maladies importantes pour ces animaux
(tuberculose, encéphalopathies spongiformes transmissibles et infection par le virus Ebola).
1. Bilan épidémiologique de certaines maladies des animaux sauvages en 1995-1996
Liste A
Peste bovine chez le buffle d'Afrique et d'autres animaux sauvages
Aucun nouveau cas de peste bovine n’a été enregistré chez les buffles (Syncerus caffer) dans l’écosystème du Tsavo
après juin 1995. Des cas suspects mais non confirmés ont cependant été enregistrés au Kenya en 1995, et plus
précisément dans la région de Meru, chez le petit coudou (Tragelaphus imberbis), le guib harnaché (T. Scriptus) et la
girafe (Giraffa camelopardalis). La sérosurveillance a montré que l’épidémie avait été plus étendue que présumé
initialement, des animaux porteurs d'anticorps ayant été trouvés au sud (Mkomazi, Tanzanie), à l’est (fleuve Tana) et à
l’ouest (Amboseli) du foyer initialement identifié à Tsavo ouest, au Kenya, en 1993/94.
Fièvre aphteuse chez l’impala
Un foyer de fièvre aphteuse dû à un virus de type SAT2 a été identifié en novembre 1995 chez des impalas (Aepyceros
melampus), dans le sud-est du Parc National Kruger (Afrique du Sud). Une surveillance intensive exercée dans les
environs a montré que le foyer avait en réalité éclaté en septembre 1995, légèrement à l’est du site où les premiers cas
avaient été confirmés. Le foyer s’est ensuite propagé vers le nord et le nord-ouest, d’un troupeau d’impalas à l’autre, le
long de deux cours d’eau importants, avant de toucher la région de Skukuza en mai/juin 1996. Des taux d'infection
compris entre 30 et 59% ont été enregistrés dans les différents troupeaux. La maladie s’est ensuite propagée à la réserve
de gibier de Sabi Sand, tout le long du fleuve Sand. Aucun cas nouveau n’a été observé après le mois de juillet.
L’épizootie s'est finalement étendue sur 3 200 km². Aucune lésion caractéristique de la maladie n’a été constatée dans
d’autres espèces sauvages et la maladie ne s’est pas propagée aux bovins vaccinés se trouvant aux alentours.
2 Maladies des animaux sauvages/sept. 96
Maladie de Newcastle
En Afrique, les foyers de maladie de Newcastle à virus vélogène pneumotrope, observés chez les volailles en
1994/1995, sont réapparus avec la même intensité en 1995/1996. Une mortalité importante a été rapportée au
Zimbabwe, en Namibie et en Afrique du Sud, chez les autruches d’élevage (Struthio camelus). Chez les jeunes
autruches, le virus est fréquemment neurotrope et provoque aussi des symptômes nerveux.
Un foyer de maladie de Newcastle à virus vélogène est survenu au Canada, chez des cormorans à aigrettes
(Phalacrocorax auritus), en été 1995.
La maladie de Newcastle a été observée chez 40 pigeons (Columba spp.) en Finlande.
Des cas isolés d’infection par la maladie de Newcastle ont été enregistrés chez la buse variable (Buteo buteo) en
Allemagne, l’outarde houbara (Chlamydotis undulata) en Arabie saoudite, des pigeons errants au Royaume-Uni,
différents oiseaux d’eau en Italie et le vanneau huppé (Vanellus vanellus) aux Pays-Bas.
Peste porcine classique
Depuis janvier 1996, deux foyers ont été rapportés en Autriche chez des sangliers (Sus scrofa). Lors du second épisode
survenu en Basse-Autriche, aux confins de la Slovaquie, deux animaux ont été trouvés morts sur environ 90 adultes
présents sur un territoire de chasse. Le diagnostic a été effectué par immunofluorescence et isolement du virus. La
directive 80/217/CEE de la Communauté européenne relative à la chasse des sangliers est en vigueur dans ce pays.
La peste porcine classique a été diagnostiquée chez 170 sangliers en Allemagne. L’infection avait été considérée
comme éradiquée en Rhénanie-Palatinat et en Basse-Saxe mais un nouveau foyer est apparu dans le Brandebourg. La
maladie a également été rapportée en France, en Italie, en Lithuanie et en Slovaquie.
Peste porcine africaine chez les sangliers
La peste porcine africaine est endémique dans les populations de sangliers vivant à l'état sauvage dans la province de
Nuoro, en Sardaigne (Italie).
Liste B
Rage
La rage est endémique dans de nombreux pays africains, aussi bien chez les animaux domestiques que dans la faune
sauvage. Dans la plupart des régions, les chiens domestiques paraissent être le principal réservoir et le maillon essentiel
de l’épidémiologie de la maladie, avec une propagation régulière du biotype des canidés à différentes espèces sauvages
et domestiques. Dans d’autres régions, les mangoustes (viverridés) interviennent comme hôtes pour entretenir le
biotype spécifique des viverridés, qui est parfois aussi à l’origine d’infections opportunistes dans d’autres espèces.
Au Kenya, la rage a été suspectée chez une hyène (Crocuta crocuta) à Nairobi, chez un babouin (Papio cynocephalus)
à Lamu et chez un otocyon (Otocyon megalotis) à Wamba.
Au Botswana, des cas sporadiques de rage sont survenus chez des chacals (Canis mesomelas) et des otocyons.
Au Turkménistan, la rage pose des problèmes chez les chiens domestiques, les chacals (Canis aureus) et les petits
carnivores sauvages.
Les transferts d’animaux sauvages, généralement dans un but cynégétique, continuent d’être un obstacle à la lutte
contre la rage aux Etats-Unis d’Amérique. Les renards (Vulpes spp), les coyotes (Canis latrans) et les ratons laveurs
(Procyon lotor) sont des espèces déplacées qui ont été impliquées dans la propagation de souches de virus adaptées à
l’hôte vers certaines parties des Etats-Unis d’Amérique où elles étaient antérieurement inconnues.
En Russie, la rage « arctique » a été rapportée chez des renards polaires (Alopex lagopus), des rennes (Rangifer
tarandus) et des chiens domestiques, dans les régions d’Arkhangelsk et de Magadan ainsi que dans les péninsules
d’Iamal et de Taïmir. La rage est également survenue en Russie centrale chez des renards roux et des chiens viverrins
(Nyctereutes procyonoides).
Dans les districts du nord-ouest du Groenland, la rage est considérée comme endémique chez les renards polaires.
Maladies des animaux sauvages/sept. 96 3
Grâce au succès de la vaccination orale des renards contre la rage en Europe, la prévalence est toujours en forte
régression en Allemagne, en Belgique, en France, au Luxembourg et en Suisse. La distribution manuelle
complémentaire de vaccins sous forme d’appâts, à proximité des terriers occupés au printemps, a permis de faire
progresser l’éradication de la rage dans les zones où les jeunes sont difficiles à immuniser par la méthode habituelle de
distribution aérienne.
En Ethiopie, le chien éthiopien (Canis simiensis), qui est le canidé le plus menacé du monde, a vu sa population
diminuer des deux tiers au cours des dix dernières années. Ce déclin est imputé à la présence simultanée d’épidémies de
rage et de maladie de Carré chez les chiens.
Rage de la chauve-souris
Différentes souches de lyssavirus ont été isolées dans les espèces suivantes de chauve-souris :
un lyssavirus de chauve-souris européen de type 2 chez le murin de Daubenton (Myotis daubentoni),
probablement en provenance du Sussex (Royaume-Uni), en juin 1996.
un lyssavirus européen de type 1, retrouvé pour la troisième fois chez une chauve-souris sérotine (Eptesicus
serotinus) dans le centre de la France ; ce virus avait déjà été isolé à plusieurs reprises dans d’autres pays
européens.
Brucellose
Des infections à Brucella suis ont été rapportées dans le nord de la Russie (péninsules d’Iamal, de Tidan et de Taïmir,
et Nord de l’Iakoutie), chez des rennes sauvages et domestiques.
Des cas sporadiques de brucellose bovine (B. abortus), avec hygroma carpien, ont été observés chez des buffles
d’Afrique, dans le Parc National Kruger, en Afrique du Sud.
Une espèce non précisée de Brucella a été isolée de plusieurs mammifères marins au large de la côte occidentale de
l’Ecosse. Aucun tableau clinique n’a été observé bien que certains animaux aient présenté des lésions cutanées
infectées.
Tuberculose bovine
La brucellose bovine chez les animaux sauvages est traitée au paragraphe 5.
Mycobactériose aviaire
La tuberculose aviaire (mycobactériose) a été observée chez deux cerfs élaphes (Cervus elaphus) en Suède ainsi que
chez deux buses pattues (Buteo lagopus) et une chouette hulotte (Strix aluco) en Norvège. Quelques cas sporadiques
ont été enregistrés chez des oiseaux et des mammifères sauvages au Royaume-Uni. Un cas a été suspecté chez une
grive (Turdus spp.) en France.
Une mortalité massive a été enregistrée chez les petits flamants (Phoeniconaias minor) dans certains lacs du système de
la vallée du Rift, dans l’est de l’Afrique. Des efflorescences algales non saisonnières sont apparues simultanément dans
les lacs. L’examen histopathologique a révélé des lésions compatibles avec la mycobactériose aviaire. On suppose que
la toxicité des algues avait atteint des oiseaux préalablement débilités par la mycobactériose.
Tularémie
La tularémie a été rapportée en cours d’année dans la région centrale de la Russie chez des lièvres (Lepus europaeus) et
des rats musqués (Ondatra zibethicus).
La tularémie a également été observée chez des lièvres (L. europaeus et L. timidus) en Autriche, en France, en
Finlande, en Italie et en Suède.
Trichinella spiralis
La trichinellose a été rapportée chez des ours bruns (Ursus arctos) et chez l’homme dans la péninsule du Kamtchatka,
en Russie, ainsi que chez des sangliers dans le centre de la Russie (régions de Riazan et de Koursk).
4 Maladies des animaux sauvages/sept. 96
La trichinellose a également été observée chez des renards roux (Vulpes vulpes) en Norvège et en Allemagne, ainsi que
chez des ours blancs (Ursus maritimus) à Spitzbergen (Norvège). Ce parasite est également présent dans le Groenland,
chez les ours blancs, les renards polaires, les morses (Odobenus rosmarus) et les chiens de traîneau.
Une étude spécialement conduite sur la trichinellose en Suède, en 1995, a révélé de nombreux cas chez les renards
roux. La trichinellose est très courante dans les populations de renards roux des régions montagneuses de toute
l’Europe.
Maladie d’Aujeszky
Une enquête sérologique a mis en évidence 67 cas positifs chez des sangliers en Allemagne et a confirmé que
l’infection est toujours prévalente en Espagne, en France et en Italie. On soupçonne que les élevages de sangliers en
captivité jouent un rôle dans l’entretien du virus.
Maladie hémorragique virale du lapin
La maladie hémorragique virale a été observée chez des lapins de garenne en Allemagne, en Espagne, en France, au
Royaume-Uni et en Suède. L’infection est apparue pour la première fois en Irlande.
En Australie, le calicivirus du lapin a été étudié pendant trois ans au Laboratoire australien de santé animale (AAHL)
avant d’être « libéré » pour des essais sur le terrain sur l’île de Wardang, en Australie-Méridionale, en mars 1995. En
octobre 1995, le virus s’est « échappé » des essais et a gagné Yunta et les monts Flinders en Australie-Méridionale ; il
se propage actuellement dans cette région et a atteint la Nouvelle-Galles du Sud, le Queensland, le Victoria et
l’Australie-occidentale. Le premier cas a été confirmé dans l’est du Victoria le mois dernier. En Australie-occidentale,
trois nouveaux sites d’infection ont été confirmés dans le sud-est de l'état. Aucun autre cas positif n’a été rapporté dans
le Territoire-du-nord et une surveillance est actuellement exercée dans le désert de Simpson. En Australie-occidentale,
des foyers ont été confirmés dans le mont Fraser, à l’est de Norseman et dans une station située à l’est de Kalgoorlie. Le
virus reste confiné à la zone sud-est du Queensland.
Les études de transmission portant sur certains marsupiaux indigènes dont les koalas (Phascolarctos cinereus) se sont
révélées négatives. En vertu d’une loi du Commonwealth, un dossier d’enregistrement du virus en tant que produit
agricole et agent de lutte biologique a été présenté au niveau national. Le Département de la faune sauvage et de
l’écologie de la CSIRO1 conduit actuellement des recherches sur différents aspects de l’épidémiologie du virus. Ces
travaux portent sur la propagation et la distribution du virus, sa pathogénie, sa persistance et ses conditions de survie,
les vecteurs, ainsi que les interactions entre les maladies à calicivirus du lapin et la myxomatose. Ces recherches
s’étaleront sur une période de deux ans et risquent de ne pas être achevées avant qu'un plan coordonné de diffusion du
virus n'ai été approuvé au niveau national.
Fièvre charbonneuse
En Afrique du Sud, les foyers suivants de fièvre charbonneuse ont été rapportés chez des animaux sauvages :
a) Dix-neuf cas au total concernant un éléphant (Loxodonta africana), dix grands coudous (Tragelaphus
strepsiceros), un lion (Panthera leo), deux zèbres de Burchell (Equus burchelli) et cinq impalas dans le grand
complexe du Parc National Kruger.
b) Neuf cas confirmés chez six coudous, une antilope rouanne (Hippotragus equinus), un gemsbok (Oryx gazella) et
un springbok (Antidorcas marsupialis), aux alentours de Kimberley, dans la province du Cap-Nord.
c) Quelques cas sporadiques chez des grands coudous aux alentours d’Ellisras, dans la province du Cap-Nord.
En Namibie, et plus particulièrement dans le Parc National d’Etosha, la fièvre charbonneuse a été confirmée chez ving-
sept gnous, un éland (Taurotragus spp.), trois éléphants, un bubale (Alcelaphus spp.), six gemsboks (Oryx gazella),
sept springboks et trente zèbres de Burchell. Un damalisque (Damaliscus dorcas) et deux antilopes des sables
(Hippotragus niger) ont également succombé à la fièvre charbonneuse dans d’autres parties du pays.
Au Kenya, des cas sporadiques de fièvre charbonneuse ont été rapportés chez des buffles, des impalas et des éléphants,
dans les parcs nationaux de Nairobi et de Tsavo (Chuluyu).
1 CSIRO (Commonwealth Scientific Industrial Research Organisation) : Organisation de recherche industrielle
scientifique du Commonwealth australien.
Maladies des animaux sauvages/sept. 96 5
Au Zimbabwe, deux lions, deux léopards (Panthera pardus) et sept guépards (Acinonyx jubatus) de la réserve des lions
de Norton ont succombé à la fièvre charbonneuse après avoir été nourris avec des carcasses de bovins infectés.
Chlamydiose
Des signes sérologiques d’infection ont été observés chez toute une série d’oiseaux et de mammifères, en Arabie
Saoudite, en Espagne, en France et au Royaume-Uni. Chlamydia psittaci a été cause de mortalité chez les tourterelles
turques (Streptopelia decaocto), dans la région de Nottingham (Royaume-Uni), en juin/septembre 1995.
Entérite virale du canard
Une mortalité a été observée chez les colverts (Anas platyrhynchos), dans le Gloucestershire (Royaume-Uni).
Échinococcose
La forme adulte d’Echinococcus granulosus a été retrouvée chez des loups (Canis lupus), dans un cas en Espagne et
dans trois cas sur huit examinés en Italie.
Salmonellose
Des cas de salmonellose, y compris de salmonellose bovine et d’infection à Salmonella typhimurium, ont été enregistrés
chez 5 lièvres (Lepus europaeus), en France, ainsi que chez des hérissons (Erinaceus erinaceus) (35 en Finlande et 17
au Royaume-Uni). L’infection a été diagnostiquée chez plusieurs oiseaux sauvages trouvés morts en France, en
Finlande et en Suède. Des cas mortels ont été enregistrés dans toute l’Angleterre en 1995 chez 130 oiseaux des jardins ;
les examens pratiqués dans 21 cas ont mis en évidence la présence de S. typhimurium (phages de types 1, 40, 129,
56A et 160) chez des verdiers (Carduelis chloris), des moineaux domestiques (Passer domesticus) et des mésanges
bleues (Parus caeruleus).
Plusieurs foyers de salmonellose ont été enregistrés aux États-Unis d’Amérique chez des hommes contaminés par des
reptiles en captivité, dans des parcs zoologiques. Salmonella spp. est aussi fréquemment retrouvé dans les excréments
des iguanes (Iguana iguana), dont le nombre s’élevait en 1993 à 796 000 parmi les animaux familiers recensés aux
États-Unis, ce qui donne fréquemment lieu à des contaminations chez l’homme.
Maladies ne figurant pas dans
la liste A ou B
Gale sarcoptique
La gale sarcoptique atteint de plus en plus souvent les populations montagnardes d’ongulés dans les pays
méditerranéens d’Europe : chamois (Rupicapra rupicapra et R. r. pyrenaica) et différentes espèces ou sous-espèces de
bouquetins (Capra sp.). Plusieurs petites populations isolées, parfois apparemment contaminées par du bétail
domestique, ont été décimées par un épisode de gale. Les gestionnaires de la chasse et les vétérinaires spécialistes des
animaux sauvages s’opposent sur l’utilité d’un traitement par l’ivermectine, qu'elle soit administrée oralement ou à
l’aide de seringues tirées à distance.
La gale a été observée chez des renards roux au Danemark, en Suède, en Norvège et en Finlande, ainsi que chez des
chiens viverrins (Nyctereutes procyonoides) et des lynx communs d’Europe (Lynx lynx) en Finlande.
Syndrome du lièvre brun
Le syndrome du lièvre brun est considéré comme endémique mais il est localement épidémique en Allemagne, en
Autriche, au Danemark, en Finlande, en France, en Italie, au Royaume-Uni et en Suède.
Conjonctivite du roselin du Mexique
Cette maladie qui affecte les petits passereaux continue de se propager. Des oiseaux atteints ont été trouvés dans
20 États américains et trois provinces canadiennes. L’impact sur les populations de roselins du Mexique est inconnu
mais la mortalité est élevée chez les oiseaux non traités, en captivité. La maladie est essentiellement confinée aux
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