© Pierre Aymard et ArchéoJuraSites© Pierre Aymard et ArchéoJuraSites
Pierre AYMARD
ALESIA…
LA VERITE CACHEE DANS LES TEXTES
Pierre AYMARD
ALESIA…
LA VERITE CACHEE DANS LES TEXTES
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172
TABLE DES MATIERES
Peut-on encore polémiquer sur la question d’Alésia ?
Déjà Bibracte, avant Alésia.
Avant-propos
INTRODUCTION
Passages étudiés du Bellum Gallicum, Livre VII, Ch 62 à 90 :
1) Regroupement de l’armée romaine à Sens. Dispositions pour le cantonnement des
légions
2) Recrutement des cavaliers germains
3) L’embuscade de Vercingétorix
4) La direction prise par la colonne romaine
5) Discours de Vercingétorix à ses cavaliers, la veille de l’embuscade préliminaire.
6) Serment des cavaliers gaulois avant l’embuscade.
7) L’instant « T » de l’embuscade.
8) Retrait des bagages.
9) César arrive sur une hauteur dominant le champ de bataille.
10) Première intervention décisive des cavaliers germains.
11) Victoire des Germains, qui capturent l’état-major éduen de la cavalerie gauloise.
12) La fin des combats de Montsogeon
13) Sur le retrait de la cavalerie gauloise.
14) Vercingétorix se retire vers Alesia.
15) César protège ses bagages.
16) César arrive devant Alesia.
17) Début des travaux d’investissement.
18) Description de l’oppidum.
19) Autres indications sur le relief de l’oppidum.
20) La plaine de 3 000 pas, en avant de l’oppidum.
21) Autre indication sur la géographie de l’oppidum.
22) Particularité du flanc Est de l’oppidum.
23) Sur la longueur de la circonvallation.
24) Première tentative pour briser l’encerclement.
25) La retraite des cavaliers gaulois trouble les défenseurs du rempart.
26) Deuxième victoire des Germains.
27) Renvoi des cavaliers par Vercingétorix. Appel de l’armée extérieure.
28) Sur les possibilités de départ des cavaliers gaulois.
29) Dispositions pour le siège.
30) Sur les travaux romains.
31) Sur l’encerclement romain au-dessus des falaises.
32) Sur l’encerclement romain en plaine.
33) Sur les difficultés des Romains.
34) Nouvelles tentatives gauloises de briser l’étau.
35) Sur le perfectionnement des défenses.
36) Etablissement de la circonvallation contre l’armée extérieure.
37) Levée de l’armée extérieure.
38) Inquiétude de l’armée gauloise d’Alesia.
39) Sur les fortifications romaines extérieures.
40) Les Romains craignaient l’arrivée de l’armée extérieure.
41) Sur la position d’Alesia par rapport aux nations gauloises.
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TABLE DES MATIERES
Peut-on encore polémiquer sur la question d’Alésia ?
Déjà Bibracte, avant Alésia.
Avant-propos
INTRODUCTION
Passages étudiés du Bellum Gallicum, Livre VII, Ch 62 à 90 :
1) Regroupement de l’armée romaine à Sens. Dispositions pour le cantonnement des
légions
2) Recrutement des cavaliers germains
3) L’embuscade de Vercingétorix
4) La direction prise par la colonne romaine
5) Discours de Vercingétorix à ses cavaliers, la veille de l’embuscade préliminaire.
6) Serment des cavaliers gaulois avant l’embuscade.
7) L’instant « T » de l’embuscade.
8) Retrait des bagages.
9) César arrive sur une hauteur dominant le champ de bataille.
10) Première intervention décisive des cavaliers germains.
11) Victoire des Germains, qui capturent l’état-major éduen de la cavalerie gauloise.
12) La fin des combats de Montsogeon
13) Sur le retrait de la cavalerie gauloise.
14) Vercingétorix se retire vers Alesia.
15) César protège ses bagages.
16) César arrive devant Alesia.
17) Début des travaux d’investissement.
18) Description de l’oppidum.
19) Autres indications sur le relief de l’oppidum.
20) La plaine de 3 000 pas, en avant de l’oppidum.
21) Autre indication sur la géographie de l’oppidum.
22) Particularité du flanc Est de l’oppidum.
23) Sur la longueur de la circonvallation.
24) Première tentative pour briser l’encerclement.
25) La retraite des cavaliers gaulois trouble les défenseurs du rempart.
26) Deuxième victoire des Germains.
27) Renvoi des cavaliers par Vercingétorix. Appel de l’armée extérieure.
28) Sur les possibilités de départ des cavaliers gaulois.
29) Dispositions pour le siège.
30) Sur les travaux romains.
31) Sur l’encerclement romain au-dessus des falaises.
32) Sur l’encerclement romain en plaine.
33) Sur les difficultés des Romains.
34) Nouvelles tentatives gauloises de briser l’étau.
35) Sur le perfectionnement des défenses.
36) Etablissement de la circonvallation contre l’armée extérieure.
37) Levée de l’armée extérieure.
38) Inquiétude de l’armée gauloise d’Alesia.
39) Sur les fortifications romaines extérieures.
40) Les Romains craignaient l’arrivée de l’armée extérieure.
41) Sur la position d’Alesia par rapport aux nations gauloises.
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42) L’armée extérieure arrive.
43) Attaque des cavaliers gaulois dans la plaine de 3 000 pas.
44) Nouveau positionnement de l’infanterie gauloise.
45) Les assiégés voyaient au bas les positions avancées de l’armée extérieure.
46) L’arène constituée par la plaine de 3 000 pas.
47) Attaque nocturne des fantassins gaulois dans la plaine de 3 000 pas.
48) Sur les camps romains de la plaine de 3 000 pas.
49) Sur les pièges de la plaine.
50) Fin de l’attaque nocturne.
51) L’armée gauloise intérieure fait une sortie pour aider l’armée extérieure.
52) Contournement des défenses romaines du Nord.
53) A propos de la colline Nord.
54) Description du (des) camp (s) Nord.
55) L’approche de Vercassivellaun.
56) L’attaque générale de la contrevallation par l’armée intérieure.
57) Les Romains sont sur le point d’être submergés.
58) César suit la situation de près.
59) Vercassivellaun est sur le point de vaincre sur les fortifications supérieures.
60) Le rôle des mouvements de terrain.
61) Les Romains n’ont plus d’armes aux fortifications supérieures.
62) Labiénus est envoyé en renfort aux fortifications Nord.
63) César monte lui-même auprès des combattants.
64) L’armée intérieure attaque les falaises de la contrevallation.
65) Percée de l’armée intérieure sur les falaises.
66) César envoie des renforts au-dessus des falaises.
67) César monte lui-même au combat.
68) César rétablit lui-même le front de la contrevallation.
69) César se prépare à contre-attaquer dans le secteur Nord.
70) Labiénus en arrive à la dernière extrémité.
71) Labiénus informe César de la manœuvre ultime.
72) César se hâte pour prendre part au combat.
73) La descente magistrale de César.
74) Une clameur générale s’élève de tous côtés.
75) Les Gaulois de Vercassivellaun sont arrivés sur les remparts romains.
76) La cavalerie de César surgit dans le dos des Gaulois.
77) Les troupes de Vercassivellaun, encerclées, perdent la partie.
78) Epilogue.
CONCLUSION
Annexe I) : Comparaison entre le site d’Alesia et celui de Besançon.
Annexe II) : Les explications confuses de Joël Le Gall sur la phase finale du siège d’Alesia.
Annexe III) : Le plan d’Alise avant Napoléon III .
Annexe IV) Les leçons de César.
Annexe V) La mise en place de l’embuscade et la bataille de cavalerie préliminaire au siège.
Annexe VI) A propos d’épigraphie.
Annexe VII) Les controverses entre historiens concernant la stratégie de la bataille d’Alesia.
Annexe VIII) Quelques remarques sur le site web du MuséoParc.
Annexe IX) Commentaires sur les « Mémoires » du général d’Empire Marbot.
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42) L’armée extérieure arrive.
43) Attaque des cavaliers gaulois dans la plaine de 3 000 pas.
44) Nouveau positionnement de l’infanterie gauloise.
45) Les assiégés voyaient au bas les positions avancées de l’armée extérieure.
46) L’arène constituée par la plaine de 3 000 pas.
47) Attaque nocturne des fantassins gaulois dans la plaine de 3 000 pas.
48) Sur les camps romains de la plaine de 3 000 pas.
49) Sur les pièges de la plaine.
50) Fin de l’attaque nocturne.
51) L’armée gauloise intérieure fait une sortie pour aider l’armée extérieure.
52) Contournement des défenses romaines du Nord.
53) A propos de la colline Nord.
54) Description du (des) camp (s) Nord.
55) L’approche de Vercassivellaun.
56) L’attaque générale de la contrevallation par l’armée intérieure.
57) Les Romains sont sur le point d’être submergés.
58) César suit la situation de près.
59) Vercassivellaun est sur le point de vaincre sur les fortifications supérieures.
60) Le rôle des mouvements de terrain.
61) Les Romains n’ont plus d’armes aux fortifications supérieures.
62) Labiénus est envoyé en renfort aux fortifications Nord.
63) César monte lui-même auprès des combattants.
64) L’armée intérieure attaque les falaises de la contrevallation.
65) Percée de l’armée intérieure sur les falaises.
66) César envoie des renforts au-dessus des falaises.
67) César monte lui-même au combat.
68) César rétablit lui-même le front de la contrevallation.
69) César se prépare à contre-attaquer dans le secteur Nord.
70) Labiénus en arrive à la dernière extrémité.
71) Labiénus informe César de la manœuvre ultime.
72) César se hâte pour prendre part au combat.
73) La descente magistrale de César.
74) Une clameur générale s’élève de tous côtés.
75) Les Gaulois de Vercassivellaun sont arrivés sur les remparts romains.
76) La cavalerie de César surgit dans le dos des Gaulois.
77) Les troupes de Vercassivellaun, encerclées, perdent la partie.
78) Epilogue.
CONCLUSION
Annexe I) : Comparaison entre le site d’Alesia et celui de Besançon.
Annexe II) : Les explications confuses de Joël Le Gall sur la phase finale du siège d’Alesia.
Annexe III) : Le plan d’Alise avant Napoléon III .
Annexe IV) Les leçons de César.
Annexe V) La mise en place de l’embuscade et la bataille de cavalerie préliminaire au siège.
Annexe VI) A propos d’épigraphie.
Annexe VII) Les controverses entre historiens concernant la stratégie de la bataille d’Alesia.
Annexe VIII) Quelques remarques sur le site web du MuséoParc.
Annexe IX) Commentaires sur les « Mémoires » du général d’Empire Marbot.
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PEUT-ON ENCORE POLEMIQUER
SUR LA LOCALISATION D’ALESIA ?
C’est le titre d’un article paru dans le journal de Côte-d’Or « Le Bien Public-Les Dépêches »
en date du 11 janvier 2009, publié par des professeurs universitaires et archéologues, en
réponse à l’émission produite par Frédéric Lusa sur la chaîne de TV Canal +, le 12 décembre
2008, qui rappelait qu’un certain André Berthier, ancien archiviste à Constantine, avait
proposé une thèse alternative. Il aurait découvert Alesia par la méthode du portrait-robot,
comme en investigation criminelle. Cette thèse aboutirait à Syam et à Chaux des Crotenay,
près de Champagnole, dans le Jura. Hérésie pour les tenants d’Alise- mont Auxois, site
pourtant controversé depuis que Napoléon III l’eût placé au rang de dogme officiel !
Toute « l’intelligentsia » (Université, CNRS, DRAC de Bourgogne et de Franche-Comté,
etc…) s’est liguée contre la découverte d’André Berthier et sa propagation. Malheur au média
qui ose la porter à la connaissance du public ! La réaction négative immédiate à l’émission de
Canal + en est la démonstration.
C’est ici que la petite phrase de J.G.Bulliot, à propos de Bibracte, nous revient à l’esprit, en
repensant à l’obstiné A.Berthier :
« Les savants les plus accrédités m’étaient opposés. Il me fallut entrer en lutte avec des
érudits dont l’autorité m’aurait effrayé si mon opinion ne m’eût semblé solidement fondée. »
Qu’y a-t-il donc dans cette hypothèse Berthier qui dérange tant ces doctes archéologues ou
historiens, au point qu’ils durent faire une déclaration commune pour rétablir leur
certitude dans l’opinion publique : la bataille d’Alésia est à Alise en Bourgogne…point final ?
D’où vient cette « fatwa » contre André Berthier et ceux qui regardent avec lui pour trouver
enfin une réponse adaptée au texte de César ?
Loin de calmer ma curiosité, cet « impressionnant faisceau de preuves » et ces milliers de
photographies aériennes de René Goguey annoncés dans l’article du Bien Public m’ont fait
remettre au jour cette étude des textes, à laquelle je réfléchissais depuis quelques années, sans
me décider à la publier…Né en Auvergne, près de Gergovie et de la statue clermontoise d’un
Vercingétorix vainqueur, je vis en Bourgogne depuis une quarantaine d’années, près de la
statue napoléonienne d’un Vercingétorix perdant et honteux, sur un mont Auxois il ne
pouvait effectivement que perdre et être ainsi traité de lâche par certains historiens. Rétablir
son honneur me tenait à cœur, et j’en voyais la possibilité.
Bien que ne me désintéressant pas de l’économie touristique de l’Auxois, devrais-je, au nom
de ce principe, laisser construire sans exprimer mon inquiétude, un nouvel « Archéodrome »,
comme celui de la société d’autoroutes APRR à Beaune,- maintenant arrêté par manque de
rentabilité- mais en beaucoup plus grand et coûteux, sur les sables mouvants historiques de la
plaine des Laumes ?
Depuis de nombreuses années je visite le site « officiel » des Laumes et le survole
périodiquement - chaque survol m’apportant, au contraire de René Goguey, un peu plus la
conviction de l’impossibilité que ce site soit en rapport avec celui de César. J’ai par contre
pris soin d’aller, en toute équité, étudier aussi en détail depuis près de vingt ans celui de
l’hypothèse d’André Berthier dans la région de Champagnole (Jura). Voici un demi-siècle
qu’elle est connue, mais on s’obstine à la négliger, en la rabaissant au même niveau que
d’autres alternatives plus ou moins fantaisistes au site des Laumes.
Jean-Paul Jacob, ancien conservateur régional d’archéologie en Franche-Comté entre 1981 et
1988, écrit dans l’article du Bien Public du 11 janvier 2009, que « le portrait-robot
d’A.Berthier est cohérent, mais ce n’est pas une preuve », …pas plus que le coup de compas
de J.G.Bulliot n’était une preuve pour trouver Bibracte. Il fallut des fouilles de longue durée,
5
PEUT-ON ENCORE POLEMIQUER
SUR LA LOCALISATION D’ALESIA ?
C’est le titre d’un article paru dans le journal de Côte-d’Or « Le Bien Public-Les Dépêches »
en date du 11 janvier 2009, publié par des professeurs universitaires et archéologues, en
réponse à l’émission produite par Frédéric Lusa sur la chaîne de TV Canal +, le 12 décembre
2008, qui rappelait qu’un certain André Berthier, ancien archiviste à Constantine, avait
proposé une thèse alternative. Il aurait découvert Alesia par la méthode du portrait-robot,
comme en investigation criminelle. Cette thèse aboutirait à Syam et à Chaux des Crotenay,
près de Champagnole, dans le Jura. Hérésie pour les tenants d’Alise- mont Auxois, site
pourtant controversé depuis que Napoléon III l’eût placé au rang de dogme officiel !
Toute « l’intelligentsia » (Université, CNRS, DRAC de Bourgogne et de Franche-Comté,
etc…) s’est liguée contre la découverte d’André Berthier et sa propagation. Malheur au média
qui ose la porter à la connaissance du public ! La réaction négative immédiate à l’émission de
Canal + en est la démonstration.
C’est ici que la petite phrase de J.G.Bulliot, à propos de Bibracte, nous revient à l’esprit, en
repensant à l’obstiné A.Berthier :
« Les savants les plus accrédités m’étaient opposés. Il me fallut entrer en lutte avec des
érudits dont l’autorité m’aurait effrayé si mon opinion ne m’eût semblé solidement fondée. »
Qu’y a-t-il donc dans cette hypothèse Berthier qui dérange tant ces doctes archéologues ou
historiens, au point qu’ils durent faire une déclaration commune pour rétablir leur
certitude dans l’opinion publique : la bataille d’Alésia est à Alise en Bourgogne…point final ?
D’où vient cette « fatwa » contre André Berthier et ceux qui regardent avec lui pour trouver
enfin une réponse adaptée au texte de César ?
Loin de calmer ma curiosité, cet « impressionnant faisceau de preuves » et ces milliers de
photographies aériennes de René Goguey annoncés dans l’article du Bien Public m’ont fait
remettre au jour cette étude des textes, à laquelle je réfléchissais depuis quelques années, sans
me décider à la publier…Né en Auvergne, près de Gergovie et de la statue clermontoise d’un
Vercingétorix vainqueur, je vis en Bourgogne depuis une quarantaine d’années, près de la
statue napoléonienne d’un Vercingétorix perdant et honteux, sur un mont Auxois il ne
pouvait effectivement que perdre et être ainsi traité de lâche par certains historiens. Rétablir
son honneur me tenait à cœur, et j’en voyais la possibilité.
Bien que ne me désintéressant pas de l’économie touristique de l’Auxois, devrais-je, au nom
de ce principe, laisser construire sans exprimer mon inquiétude, un nouvel « Archéodrome »,
comme celui de la société d’autoroutes APRR à Beaune,- maintenant arrêté par manque de
rentabilité- mais en beaucoup plus grand et coûteux, sur les sables mouvants historiques de la
plaine des Laumes ?
Depuis de nombreuses années je visite le site « officiel » des Laumes et le survole
périodiquement - chaque survol m’apportant, au contraire de René Goguey, un peu plus la
conviction de l’impossibilité que ce site soit en rapport avec celui de César. J’ai par contre
pris soin d’aller, en toute équité, étudier aussi en détail depuis près de vingt ans celui de
l’hypothèse d’André Berthier dans la région de Champagnole (Jura). Voici un demi-siècle
qu’elle est connue, mais on s’obstine à la négliger, en la rabaissant au même niveau que
d’autres alternatives plus ou moins fantaisistes au site des Laumes.
Jean-Paul Jacob, ancien conservateur régional d’archéologie en Franche-Comté entre 1981 et
1988, écrit dans l’article du Bien Public du 11 janvier 2009, que « le portrait-robot
d’A.Berthier est cohérent, mais ce n’est pas une preuve », …pas plus que le coup de compas
de J.G.Bulliot n’était une preuve pour trouver Bibracte. Il fallut des fouilles de longue durée,
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