R F et

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2017
NOTE DE PRÉSENTATION
Mission
« ÉCONOMIE »
et
Compte de concours financiers
« PRÊTS ET AVANCES À DES PARTICULIERS
OU À DES ORGANISMES PRIVÉS »
Examen par la commission des finances le mercredi 2 novembre 2016
Rapporteurs spéciaux :
MM. Jacques CHIRON et Bernard LALANDE
R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E
COMMISSION
DES
FINANCES

- 2 -

L ES PRINCIPALES OBSERVATIONS
DE VOS RAPPORTEURS SPÉCIAUX
- 3 -
LES PRINCIPALES OBSERVATIONS DE VOS RAPPORTEURS SPÉCIAUX ................. 6
PREMIÈRE PARTIE : LA MISSION « ÉCONOMIE » .......................................................... 10
I. LES GRANDS ENJEUX BUDGÉTAIRES DE LA MISSION ............................................ 10
1. Une mission au service de la croissance et de l’emploi .......................................................... 10
2. Au-delà des mesures de périmètre, des crédits très stables marqués par une réduction des
dispositifs de soutien ........................................................................................................... 13
3. La cohérence et la complémentarité des principales dépenses fiscales créées ces dernières
années ................................................................................................................................. 14
II. LE PROGRAMME 134 : DÉVELOPPEMENT DES ENTREPRISES ET DU
TOURISME .......................................................................................................................... 16
1. Un programme de soutien aux petites et moyennes entreprises ............................................. 16
2. Un effort budgétaire limité, qui traduit avant tout une volonté de rationalisation des
dispositifs d’intervention ..................................................................................................... 21
3. La rigidité persistante des dépenses de personnel et des dépenses de fonctionnement
courant ................................................................................................................................ 25
4. Les autorités administratives indépendantes restent épargnées par l’effort budgétaire ........... 26
5. Un effort particulier réalisé par les opérateurs ...................................................................... 27
6. Bpifrance et Business France : deux réussites qui renouvellent les modalités du soutien
de l’État aux entreprises ...................................................................................................... 28
III. LE PROGRAMME 220 : STATISTIQUES ET ÉTUDES ÉCONOMIQUES .................. 31
1. Un programme spécifique pour l’Insee ................................................................................. 31
2. Des crédits en hausse pour compenser l’entrée en vigueur de la gratuité des données
publiques ............................................................................................................................. 34
3. La persistance des incertitudes liées au déménagement à Metz ............................................. 35
IV. LE PROGRAMME 305 : STRATÉGIE ÉCONOMIQUE ET FISCALE .......................... 36
1. Les crédits du Trésor et de la direction de la législation fiscale, et la subvention à la
Banque de France ................................................................................................................ 36
2. Des marges de manœuvre plus limitées que précédemment, notamment dans la
rationalisation des services économiques .............................................................................. 37
3. La baisse des gains de productivité liés à la modernisation des procédures de la Banque
de France ............................................................................................................................. 39
V. LE PROGRAMME 343 : PLAN « FRANCE TRÈS HAUT DÉBIT » ................................ 40
1. Un plan pour réduire la fracture numérique ......................................................................... 40
2. Des crédits réévalués pour tenir compte de l’accélération du plan « France très haut
débit » et du financement public de la couverture mobile du territoire .................................. 41
3. L’accélération du déploiement du très haut débit sur tout le territoire : une nécessité… et
une réalité ........................................................................................................................... 42
DEUXIÈME PARTIE : LE COMPTE DE CONCOURS FINANCIERS « PRÊTS ET
AVANCES À DES PARTICULIERS OU À DES ORGANISMES PRIVÉS » ...................... 46
1. Présentation générale du compte .......................................................................................... 46
2. L’intervention de l’État en faveur des entreprises fragilisées : une mission nécessaire,
mais avec quels outils ? ....................................................................................................... 47

- 4 - PLF POUR 2017 : M ISSION « É CONOMIE »
TROISIÈME PARTIE : PERSPECTIVES POUR UN NOUVEL ÉTAT STRATÈGE ........... 50
I. LES TROIS PRINCIPES DU NOUVEL ÉTAT STRATÈGE .............................................. 50
1. Un État stratège agile, réactif et maître de ses choix ............................................................. 51
2. Un État stratège numérique et écologique ............................................................................ 52
3. Un État stratège ouvert à la mondialisation ......................................................................... 52
II. BPIFRANCE, UN ACTEUR PUBLIC DEVENU INCONTOURNABLE DANS LE
FINANCEMENT DES ENTREPRISES .............................................................................. 53
1. La création de Bpifrance, un acquis majeur du quinquennat ................................................. 53
2. Un succès dans le « déblocage » du capital-risque en France ................................................. 56
3. Le prochain défi : mobiliser des capitaux au-delà de l’amorçage pour soutenir les
champions français de demain .............................................................................................. 58
4. Bpifrance, une institution au service de l’État stratège ......................................................... 60
III. BUSINESS FRANCE, LE BRAS ARMÉ DE L’ÉTAT STRATÈGE À
L’EXPORTATION ............................................................................................................... 60
1. Business France, un acteur devenu très vite incontournable pour l’internationalisation
des PME et ETI françaises ................................................................................................... 60
2. Renforcer la présence territoriale de Business France ............................................................ 61
3. Clarifier la répartition des rôles avec Bpifrance et les autres partenaires de Business
France, sur le plan opérationnel comme sur le plan de la communication ............................. 63

L ES PRINCIPALES OBSERVATIONS
DE VOS RAPPORTEURS SPÉCIAUX
- 5 -