La glycémie
et sa régulation
Lycée Thiers
BARBI Clémentine
FERNANDEZ Laura
GUIBERT Isis
KREITMANN Laure
La glycémie est le taux de glucose présent dans le sang.
Il s’agit d’une valeur réglée comprise entre 0,80 et 1,30 g/L de sang.
Pourtant, au cours de la journée, la glycémie augmente ou diminue.
On parle d’hyperglycémie après un repas ou bien d’hypoglycémie en pério-
de de jeûne.
La régulation de la glycémie met en jeu deux hormones sécrétées par
deux types de cellules différentes situées dans les îlots de Langerhans du
pancréas.
- les cellules αsécrètent le glucagon en cas d’hypoglycémie.
Cette hormone hyperglycémiante va transmettre un message au foie
pour qu’il libère du glucose.
- les cellules βsécrètent l’insuline en cas d’hyperglycémie.
Cette hormone hypoglycémiante va transmettre un message au foie,
aux muscles et aux tissus adipeux pour qu’ils stockent le glucose.
Variations de l’insuline au cours de la journée.
Organes contrôlant la glycémie.
Ilots de Langerhans.Observations au microscope optique
Cellules Quelques actions de l'insuline
Cellules musculaires Absorption du glucose et son métabolisme.
Augmentation de la synthèse de glycogène.
Cellules hépatiques Absorption du glucose et son métabolisme.
Augmentation de la synthèse de glycogène,
de glycérols (pour synthèse de lipides). Arrêt de la glycogénolyse.
Cellules adipeuses Absorption du glucose et son métabolisme.
Augmentation de la synthèse de lipides.
Cellules Quelques actions du Glucagon
Cellules hépatiques Hydrolyse du glycogène et libération de glucose dans le sang
Métabolisme glucidique : Métabolisme lipidique : Métabolisme protidique :
-Stimule l’entrée du glucose -Stimule l’entrée cellulaire -Stimule l’entrée cellulaire
(GLUT 4) du glucose (AGL) des acides aminés (AA)
-Favorise son stockage dans le foie -Favorise le stockage AGL et du -Favorise le stockage dans
et le muscle (glycogénogenèse) glucose dans le tissus adipeux le muscle (protéosynthèse)
-S’oppose à sa libération sanguine (lipogenèse) -S’oppose à leur libération
(Glycogénolyse et néoglucogenèse) S’oppose à la libération sanguine (protéolyse)
sanguine des AG (Lipolyse)
diminution du glucose sanguin diminution des AGL sanguins
Régulation de la glycémie après un repas.
Régulation de la glycémie après un jeûne.
L’apport du glucose est indispensable à notre organisme à une
quantité spécifique. Une hyperglycémie ou une hypoglycémie
peuvent être mortelles c’est pourquoi, notre organisme a un
système pointu de régulation de ce taux de glucose.
Insuline
ATOUT ORGANISATION SCIENCE : 04 96 15 12 50
Quels sont les paramètres qui régu-
lent la glycémie durant une journée
d’un lycéen ?
Les phénotypes
diabétiques
Lycée Thiers
GOURILLON Didier
DUFAU Luc
LEGAL Arthur
SABEUR Celia
Introduction
Le diabète est une maladie caractérisée par une hyperglycémie chro-
nique, c'est à dire que le patient atteint de cette maladie a donc une gly-
cémie (taux de glucose dans le sang) trop élevée et ce, même après une
période de jeûne (on parle d'hyperglycémie quand le taux de glucose est
supérieur à 1.26 g/l de sang).
Il faut noter que cette maladie est très répandue dans le monde.
Ainsi l'étude du diabète est capitale. En effet, le nombre de personnes
touchées dans le monde est très important et encore croissant et les
complications de cette maladie peuvent se révéler très graves (comas).
• Mise en évidence des phénotypes
Néanmoins quand on étudie le diabète on constate que l'hyperglycémie
des personnes atteintes peut avoir différentes origines.
On note aussi des différences au point de vue macroscopique entre
les personnes diabétiques (certains sont obèses et d'autres non).
Ainsi ces différences mettent en valeur la présence de plusieurs
phénotypes diabétiques.
Régulation de
l’hyperglycémie
Nature de
l'anomalie
Age de
déclenchement
Fréquence
Individu sain
L’insuline catalyse
Des réactions de
Stockage de glucose
Schéma 1
Diabétique de type I
Hyperglycémie
non régulée
Cellules sécrétrices
D’insuline détruites
Par réaction immunitaire
Schéma 2
Adolescence ou enfance
Faible
Diabétique de type II
Hyperglycémie
non régulée
L’insuline n’a
Plus d’effet sur
les cellules sur
lesquelles elle devait
agir Schéma 3
Plus de 40 ans
Forte
Conclusion
Les diabètes sont donc des maladies caractérisées par une hyperglycémie constante que l'on peut classer parmi deux prin-
cipaux groupes : le type 1 (DID) et le type 2 (DNID). Le diabète de type 1 se caractérise par une destruction des cellules bêta
par le système immunitaire de l'organisme et une augmentation des cellules alpha et le diabète de type 2 se caractérise par
une déficience du système de reconnaissance du glucose, qui amène à un déficit progressif de l'insulinosécrétion, et par une
insulino-résistance des cellules cibles de l'insuline.
On a vu que dans les 2 cas du diabète de type 1 et de type 2 la maladie provoquait une hyperglycémie constante comme
dans le cas d'un autre type de diabète, le diabète gestationnel chez les femmes enceintes.
Cependant tous les diabètes ne provoquent pas des troubles de la glycémie. En effet, on note l'existence du diabète insi-
pide qui provoque des troubles de l'urine (abondance), le diabète rénal où l'on note l'existence de glucose dans les urines et
l'hémochromatose ou diabète bronzé qui provoque un excès de fer dans le sang. Ainsi le diabète est une maladie très com-
plexe car elle englobe beaucoup de maladies, mais les plus fréquentes restent tout de même les diabètes de type 1 et 2.
• Tableau comparatif des différents
phénotypes diabétiques
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1
23
Insuline et exercice
musculaire
Lycée Thiers
LUIS Doriane
SYLVESTRI Flore
GOUIRAND Victoire
QU Sheng
Exercice sportif et insuline
• Introduction
Pendant l’exercice musculaire et sportif, l’organisme nécessite une produc-
tion de l’ATP, une énergie dont l’hydrolyse permettra la contraction muscu-
laire. Un tel mécanisme dépend de la consommation du glucose et des
acides gras libres, substrats énergétiques.
Pour assurer cette régulation, des hormones comme l’insuline adapteront le
corps humain face à l’intensité et la durée de l’effort.
• Dans la loupe du pancréas
Les réactions hormonales pendant l’exercice se résument à une baisse de l’insuli-
ne et parallèlement une augmentation du glucagon, des catécholamines, du corti-
sol et des hormones de croissance GH (growth hormon).
• Actions métaboliques des diverses hormones impliquées
- Le glucagon est stimulé par le stress ou l’exercice physique (ß adrénergiques).
Son action, hyperglycémiante et favorisant la lipolyse, la glycogénolyse, néogluco-
genèse a principalement lieu dans le foie mais aussi dans le tissu adipeux.
- L’insuline, hypoglycémiante, est une hormone antagoniste au glucagon.
- Parmi les catécholamines,
* une dose d’adrénaline de 50 à 100 pm/ml dans le sang aura pour consé-
quence une augmentation de la fréquence cardiaque, de la pression artériel-
le systolique et de la lipolyse.
* une dose plus importante d’adrénaline (100 à 200 pm/ml) fera croître la gly-
cémie en augmentant la glycogénolyse et la pression artérielle diastolique.
* une concentration d’adrénaline supérieure à 400 pm/ml réduira l’insuli-
nosécrétion.
* dans la même famille, la noradrénaline aura des effets hémodyna-
miques et métaboliques à partir de 1000-1500 pg/ml.
• Individu diabétique
Prenons l’exemple d’un atteint du diabète de type 2
ayant une hyperglycémie.
• Pendant le sport
Lors d’un jogging à 10 km/h, le corps consomme plus
de 10 kcal/min et le volume nominal en dioxygène est
égal à 65%. Lors d’un exercice, le corps ayant besoin
de glucose.
Des changements auront alors lieu avec une baisse
progressive de l’insuline accompagnée d’une augmen-
tation de la production de glucagon et d’AGL (acides
gras libres) pour factoriser la glycogénogenèse. C’est
ce mécanisme qui va aboutir à l’élimination du gluco-
se contenu dans les cellules de stockage.
• Après le sport
Après l’effort, la reconstitution des stocks de glycogè-
ne musculaire et hépatique s’effectue avec une aug-
mentation de l’insuline et la stabilisation du glucagon.
Non seulement l’organisme se débarrassera des
réserves énergétiques en excès, mais en plus la glycé-
mie retrouvera une valeur proche de la valeur de
consigne c’est-à-dire 1g/l.
• Ces changements de paramètres s’expliquent
par diverses modifications physiologiques :
- La baisse de fabrication d'insuline avec l'augmenta-
tion du glucagon favorise la lipolyse ce qui a pour
conséquence une augmentation des acides gras
libres.
- De plus, ces modifications permettent une baisse de
glycémie puisque la consommation cellulaire en gluco-
se augmente.
Cependant un paramètre créant une discordance hor-
monale intervient, il s'agit de l'augmentation en Glu 4
qui reste néanmoins indépendant de l’insuline.
L’énergie que fournissent les différentes réserves
ci-dessous résulte de la transformation et de
l’élimination de ces derniers.
Circulation sanguine Energie (kcal)
Glucose 80
Acides gras libres 4
Triglycérides 40
Stocks tissulaires
Lipides
Graisse (triglycérides) 140 000
Muscles (triglycérides) 28 000
Protides (muscles) 41 000
Glycogène
Foie 350
Muscles 1450
L’organisme régulé par ces hormones utilisera en priorité le glycogène musculaire,
puis le glucose circulant et enfin les acides gras circulants.
• Dans la loupe du foie :
Glycogénèse et néoglucogenèse : Production endogène
Les conséquences directes chez le diabète de type 1 se manifestent par une baisse
de l’insuline ou de la glycémie selon les cas. Ces conséquences auront beaucoup plus
de succès chez un diabète de type 2 où l’ensemble des mécanismes permettra une
meilleure guérison de la maladie en baissant la glycémie.
• Pour conclure, gardez votre énergie d’enfant : courez, bougez, sautez.
L’effort physique constitue une stimulation de la sécrétion hormonale régulatrice de la
libération des réserves énergétiques du corps malade.
Cependant, il est clair que l’effort physique n’est qu’un facteur qui accélère la guéri-
son du diabète notamment du type 2.
La disparition de la maladie nécessite néanmoins un traitement médical approprié.
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Insuline et grossesse
Lycée Thiers
GAMBINO Déborah
ASSOULINE Golda
SELVE Noémie Introduction
Comment expliquer qu'il y ait un diabète gestationnel
qui apparaît lors de la grossesse bien qu'il y ait un sys-
tème autorégulé dans l'organisme ?
Un individu en bonne santé a une glycémie ( taux de glu-
cose dans le sang ) d'environ 1 g/l .
Un dépassement permanent à la valeur supèrieure
de la glycémie est un diabète.
Une femme pendant sa grossesse peut être diabétique :
- soit parce qu’elle était déjà atteinte de diabète avant la grossesse du fait que
le pancréas sécrétait mal ou pas assez d'insuline,
- soit parce qu'elle a été atteinte par un diabète gestationnel.
En effet, lors de la grossesse, les besoins en insuline augmentent. Si la pro-
duction en insuline reste insuffisante, le diabète apparaît. Il s'agit alors d'un
diabète gestationnel.
On peut dire qu'un individu normal a un système autorégulant, le pan-
créas est un organe secrétant l'insuline, hormone permettant la régula-
tion de la glycémie.
Pour la mère, la grossesse constitue un facteur de déséquilibre de la
glycémie en raison des modifications hormonales qui entraînent l'état
gravidique.
• Vérifications du déroulement
d’une grossesse normale
Il peut y avoir des anomalies de la glycorégulation ou d'un dia-
bète différent en fonction du trimestre de la grossesse. Il est
nécessaire de vérifier le déroulement de la grossesse tri-
mestre par trimestre.
Trimestre de la grossesse = stade de développement de
l'embryon et du foetus.
Le premier trimestre
Le gynécologue établit une recherche sur les anté-
cédents familiaux, fait un examen clinique : examen
cardiovasculaire; poids; pression artérielle; frottis et
dépistage .Il va dépister les anomalies du développe-
ment foetal et du liquide amniotique .
Il donne la date prévue du temps de grossesse en fai-
sant un interrogatoire : à partir du premier jour des der-
nières règles.
La conception se produit 14 jours plus tard avant les
hypothétiques règles suivantes , au moment de l'ovulation.
Il est important de savoir que lors du premier trimestre, la
croissance est la même pour tous les embryons (elle n'est
dépendante que de facteurs utérins, et pas de facteurs géné-
tiques ou hormonaux).
On établit la première échographie .
Le deuxième trimestre
Le gynécologue vérifie la croissance foetale (par l'étude de la biométrie foe-
tale); la morphologie foetale; la localisation du foetale .
Il va aussi pratiquer une étude sur la circulation sanguine des artères utérines .
La quatrième consultation se fait au bout du sixième mois .Le docteur établit :
- un bilan maternel (pouls, pression artérielle, bandelette urinaire, poids, toucher
vaginal);
- un bilan fœtal ( mouvements actifs fœtaux, hauteur utérine, bruits du cœur fœtal ),
- une sérologie de la toxoplasmose
- une recherche de l'antigène HBsAg (antigène de surface du virus de l'hépatite B) ;
• Recherche d'un diabète gestationnel par test de O'Sullivan : Glycémie une heure après
l'ingestion de 50 grammes de glucose.
Si la glycémie est supérieure à 1,4g.L-1 le test est dit positif et on pratique (idéalement dans la
semaine suivant le test) une hyperglycémie provoquée (HGPO).
Si la glycémie veineuse est supérieure à 2 grammes par litre, il est inutile de pratiquer HGPO on
peut parler de diabète gestationnel.
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Insuline et grossesse
Lycée Thiers
GAMBINO Déborah
ASSOULINE Golda
SELVE Noémie
• Evolution du profil hormonal et métabo-
lique au cours d’une grossesse normale
La grossesse nécessite une situation métabolique particulière.
Le profil hormonal et métabolique évolue au cours de la grosses-
se, directement influencé par le placenta. Celui-ci sécrète l’hor-
mone lacto-placentaire (HLP) dont le taux de sécrétion augmente
continuellement tout au long de la grossesse .Cette élévation de
l'HLP contribue au développement d'une insulino-résistance dont
le degré s'accroît pendant la grossesse.
Lorsque celle-ci survient chez une femme qui n’a pas de facteur associé d’insulino-résistance,
ou qui présente une fonction pancréatique tout à fait satisfaisante, la femme enceinte restera
normoglycémique tout au long de sa grossesse grâce à une insulino-sécrétion qui augmente de
façon régulière et adaptée à l’état d’insulino résistance. C’est ainsi qu’il a pu être montré qu’au
cours d’une grossesse normale l’insulinémie pouvait augmenter de 100 à 200%.
De ces notions particulières doivent être retenu que l’équilibre glycémique au cours d’une
grossesse évolue de façon physiologique tout au long de celle-ci, conduisant, s’il existe un
diabète, à l’augmentation régulière des besoins insuliniques.
(1) Répartition des femmes enceintes par tranches d'âge (On remarque que l'âge des
femmes enceintes s'élève de plus en plus).
• Le diabète gestationnel
Le diabète gestationnel est une augmentation du taux de
sucre dans le sang, survenant uniquement lors de la gros-
sesse .
On le retrouve dans 2/100 ou 4/100 des grossesses et il
peut affecter la mère et l'enfant. Dans 90/100 des cas, le
diabète disparaît après l'accouchement.
Durant la grossesse, le placenta produit des hormones
qui enrayent l'action de l'insuline.
Chez certaines femmes cela entraîne une hyperglycémie, puis un diabète.
Les femmes âgées de plus de 35 ans avec un superflus de poids et des cas de
diabète dans la famille sont plus à risque que les autres.
De plus, si la femme a accouché d'un bébé de plus de 4 kg et a déjà déve-
loppé un diabète lors d'une grossesse précédente, il y a davantage de risques
pour que ce type de diabète apparaisse lors de la grossesse suivante.
Les risques sont nombreux lorsque le taux de sucre n'est pas bien contrô-
lé lors de la grossesse.
* Les risques pour la mère sont une fatigue accrue, une augmentation
du risque d'infection ,un surplus de liquide amniotique augmentant le
risque d'accouchement prématuré ou encore le risque d'un accou-
chement par césarienne à cause du poids du bébé .
* Les risques pour le bébé sont qu'il soit plus gros que la norma-
le, une hyperglycémie à la naissance, la jaunisse, un manque de
calcium dans le sang ou encore des difficultés respiratoires.
Le diabète de grossesse disparaît après l'accouchement
dans la majorité des cas .
Toutefois, les risques de développer un diabète dans les
années qui suivent iront en augmentant surtout si un
excès de poids est maintenu .Pour éviter de déve-
lopper un diabète , la femme doit surveiller son
poids et faire des exercices physiques .
La grossesse chez un diabète
de type 1
Pour de nombreuses jeunes femmes diabétiques, la
grossesse est envisagée avec appréhension.
Le contrôle de cette maladie est capital durant cette
période, elle peut engendrer des avortements sponta-
nés et des malformations congénitales du foetus dès la
première semaine.
Il peut y avoir des complications notamment cardiaques
pour la maman, et pour le bébé il peut y avoir des mal-
formations cardiaques.
Aujourd'hui, grâce à un suivi renforcé, les femmes diabétiques
peuvent mener à bien une grossesse en toute sécurité.
On procède souvent à une installation de pompe à insuline
externe pour voir de plus près ce qui se passe dans le corps.
Celle-ci délivre un taux d'insuline en continu en fonction de
l'activité et du repas.
Ainsi elle permet une réduction de nombreuses complications
dues aux problèmes d'hyper ou d'hypoglycémie d'un diabète mal
contrôlé.
En conclusion, on peut dire que certaines femmes peuvent avoir un dia-
bète pendant la grossesse , on parle de diabète gestationnel.
Il y a dans la plupart des cas un taux trop important d'insuline (concentration
en glucose dans le sang), on parle d'hyperglycémie.
Lors de la grossesse les besoins en insuline sont plus importants, et si la
production en insuline reste insuffisante, il va y avoir une augmentation du
taux de sucre dans le sang, on se trouve alors on hyperglycémie, le diabète
gestationnel apparaîtra.
Pour la mère, la grossesse constitue un facteur de déséquilibre de la glycémie à
cause des modifications hormonales , qui entraînent l’état gravidique.
Le diabète peut affecter la mère et l'enfant, il disparaît normalement après la grosses-
se , cependant le bébé aura toujours un risque de développement de cette maladie, c'est
pourquoi il est vraiment nécessaire de contrôler son alimentation.
Moins on contrôle le taux de sucre dans le sang (lors du premier et deuxième trimestre) plus
il y aura un risque de développer un diabète gestationnel.
Les risques pour l'enfant sont qu'il soit plus gros dès la naissance et qu'il risque de développer un
diabète s'il n'y a pas de surveillance.
On peut parler de diabète de type un nécessitant l’installation de pompe à insuline externe pour mieux
visualiser ce qui se passe dans le corps. Cette pompe permettra de réduire les nombreuses complications
dues au problème d'hyperglycémie d'un diabète.
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