Numéro Titre Description 4

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Numéro
4
Titre
Description
Brassage chromosomique chez la drosophile
Compter les mouches avec Mesurim, montrer si équiprobabilité ou non, parler de la méiose et des
brassages intra/inter puis conclure sur le phénotype.
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Evolution de l’homme
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Organisation florale et mode de pollinisation
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Une plante sur un mur
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Etude des zircons
On dispose d'un fossile dont on veut connaître le degré de bipédie. Un tableau nous est présenté avec
le pourcentage d'utilisation de la bipédie de trois espèces, qui sont les homos, le chimpanzé et Lucy
(Australopithèque). On nous demande alors de réaliser un protocole pour déterminer à partir de ces
informations le degré de bipédie du fossile. Pour cela, il faut réaliser divers mesures sur le fossile, qui
peuvent être (Selon la partie du corps qui correspond à ce fossile) la position du trou occipital du
crâne, la dimension des os, la forme du bassin... Et comparer ces mesures avec celles connues de
différentes espèces On pourra alors ainsi dire avec laquelle le fossile semble avoir la plus proche
parenté (Ou même appartenir, selon le degré de similitude), et en déduire son utilisation de la
bipédie, par analogie à cette espèce voisine ou à laquelle il appartient. Ensuite la partie pratique est
vraiment simple, on vous donne toutes les informations de mesure dans les docs, et un règle graduée
ainsi que le fossile, qui est le bassin. Il faut d'abord identifier des zones du fossile avec des gommettes
(Détaillé dans les docs), puis réaliser divers mesures qui sont demandées, puis calculer à partir d'elles
des rapports également expliqués, et comparer ces rapports à ceux des trois autres espèces. On
remarque que ces rapports sont très proche de ceux du chimpanzé (J'ai trouvé 98% et 96% de
ressemblance avec le chimpanzé pour les deux rapports), on peut en conclure que le fossile est celui
d'un chimpanzé (Ou d'une espèce très proche), et donc d'après le premier document, on peut finir
par dire que sa bipédie n'est donc que partielle, comme celle du chimpanzé.
En fait des élèves veulent mettre une plante dans leurs jardins et comme il y a des murs le vent ne
passe pas, ils demandent si la plante qu'ils veulent planter dans être planter tous les ans ou pas. En
clair il faut étudier la plante pour savoir si elle est anémogame (reproduction par le vent) ou
entomogame (reproduction par les insectes). On conclut qu'elle est hermaphrodite car elle a du
pollen et des ovules et donc qu'elle est entomogame et que les élèves n'ont pas besoin de le
replanter tous les ans.
On se demandait si ces plantes avaient des modifications de leur métabolisme par rapport aux
plantes normales car dans les murs et les falaises la teneur en eau était très faible et ces plantes
pouvaient vivre sans puiser de l'eau dans leur milieu pendant plusieurs mois. Il s'agissait de : • faire
une coupe transversale sur la feuille de la plante • faire plusieurs bains (javel, acide éthanoïque,
colorant) • mettre la coupe sous lamelle • observer au microscope l'organisme cellulaire de la plante
vivant sur les murs • comparer avec l'organisme cellulaire de la plante normale (sachant que le
document 1 est une observation microscopique d'une plante normale). On pouvait notamment voir
que les chambres lacunaires étaient plus grandes pour stocker l'eau, la cuticule était plus épaisse
pour protéger les stomates, les stomates étaient fermés pour éviter que l'eau ne s'évapore...
D'abord, on vous dit que vous avez prélevé un échantillon d'un granite dans le massif central, et vous
devez trouver une démarche qui prouvera que cet échantillon a subi deux épisodes successifs de
fusion partielle. EN fait c'est une histoire de Zircon, ce zircon se trouve dans la roche étudiée, et c'est
un témoin de la fusion partielle. Donc en étudiant ce zircon, vous allez répondre à votre question.
L’idée c'est que l'on vous donne l’âge de la mise en place des granite du massif central (soit 385 Ma)
et que vous devez calculer l’âge de l’échantillon prélevé. Si les deux âges sont pas trop éloignes,
l’échantillon a bien subit deux épisodes successifs de fusion partielle. Premièrement :
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Croûte du Massif Central
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Etude de métagabbros
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Les roches de la lithosphère océanique dans le Chenaillet
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Conduction – Convection
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Plantes domestiquées
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Utilisation d’anticorps fluorescents
Vous devez analyser une lame mince de granite au microscope et identifier La biotite et le zircon (tout
est expliqué dans le protocole, on vous donne même une image du zircon à identifier).
Ensuite, vous allez sur Excel, on vous donne le tableau du rubidium strontium (87Sr/Sr, et Rb/Sr) un
truc comme ça. Avec ces valeur vous tracer un graphique = tracer une courbe de tendance, aussi
appeler courbe de régression et courbe d'isotope. Vous faite bien attention à afficher l’équation de la
droite (avec 4 décimales), et à cocher "linéaire". Puis, on vous donne une formule qui est
ln(a+1)/lambda. Avec cette formule, vous remplacez a par le coefficient directeur de la droite, et pour
lambda, NE RENTREZ PAS LA VALEUR A LA MAIN ! Elle est donnée dans le tableur, donc en rentrant
formule, vous SÉLECTIONNEZ la cellule dans laquelle est écrite lambda. Moi ça m’a donné ça :
ln(0.0043+1)/1.42E-11 A la fin vous vous retrouver avec 302Ma et des bananes. Donc vous concluez
en disant que 302 et 385 ne sont pas si éloignés (Oui ça parait pas comme ça, mais vous avez une
incertitude importante) et donc que l’échantillon a bien subit 2 épisodes successifs de fusion partielle
G1 et G2 sont deux massifs du Massif Central. 1° partie : Etablir une stratégie permettant de savoir si
G1 et G2 sont issus d'un ou de deux épisodes magmatiques. 2° partie : Observer la lame de granite au
microscope polarisant, mettre en évidence biotite et feldspath plagioclase. - Un fichier Excel est
donné contenant un tableau de valeur pour G1. Tracer le nuage de points puis la droite de régression.
Afficher l'équation de droite. 3° partie : Grâce à la formule donnée dans les documents
t=(ln(a+1))/lambda , calculer l'âge de l'échantillon 1. Penser à imprimer le graphique et les photos ! 4°
partie : - Conclure en comparant l'âge de G1 et G2. S’ils sont éloignés, ils ne proviennent pas du
même épisode.
Etape 1 : Il faut faire un protocole pour savoir comment trouver ces conditions P/T pour ces roches.
Pour cela, il faut étudier la structure et la composition minéralogique de chacune des roches, à l'aide
d'un microscope polarisant (composition minéralogique) et à l'œil nu avec une loupe (structure).
Etape 2 : deux roches sont présentées, il faut identifier à l'œil nu celle avec des amphiboles
(glaucophane) qui sont en auréole autour des pyroxènes ; et celle qui a des jadéites et des grenats.
(une fiche d'identification est donnée) Puis il faut trouver parmi les deux lames G1 et G2 celle qui a
des jadéites et des grenats, avec le microscope polarisant. J'ai trouvé que c'était G2. Etape 3 : Il faut
présenter ces résultats : dessin d'observation pour les roches observer à l'œil nu, et un schéma de la
lame de G2 vu au microscope. Etape 4 : il faut conclure en s'aidant du diagramme de P/T en disant
que G1 appartient au domaine n°2 et que G2 appartient au domaine n°6 en donnant
approximativement les valeurs de la pression et de la température pour chacune des roches.
Il fallait démontrer que les roches du Chenaillet correspondent à celles d'une lithosphère océanique:
il y avait 2 roches de chaque zone de prélèvement pour les observer au microscope polarisant et à la
loupe. On étudie leur structure et leurs minéraux ensuite on présente les résultats soit sur Word ou
sur papier, et après on conclut que les roches sont des péridotites et des gabbros et qu'ils
correspondent à une lithosphère océanique. La dernière roche de la zone 3 est donnée dans le
protocole, c'est un basalte.
Bous devez montrer que la convection dissipe plus efficacement la chaleur que la conduction, il te
donne la courbe de chauffage de la conduction, et toi tu dois faire la convection (en gros chauffé de
l'eau et mesurer la température pendant 5 minutes). Et donc comparé les deux courbes et montrer
que la conduction ça chauffe pas par rapport à la convection
Il fallait déterminer si la couleur de la tomate influait sur la teneur en glucide.
La problématique à répondre c'est si le fait d'ajouter des fluorochromes (trois différents) sur des
anticorps pour les voir au microscope change quelque chose dans sa spécificité vis à vis de
l'acétylcholine. La première partie, j'ai fait un protocole rapide que j'ai présenté à l'oral (n'oubliez pas
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Test d’immunodéficience
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La variété des récepteurs des lymphocytes T permet-elle
la sélection clonale ?
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Commande nerveuse et réflexe achilléen
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IRMf
d'y aller par étape, parlez d'abord de ce que signifie "spécificité" d'un anticorps (qu'il peut se lier à un
déterminant antigénique de l'antigène), puis proposez le protocole du test d'Ouchterlony en
précisant qu'on creuse un puits au milieu dans lequel on met la solution content des antigènes
acétylcholines, puis quatre autres trous autour où l'on placera les anticorps associés aux
fluorochromes "red texas", "pacific blue", "FITC" dans trois puits, et dans le dernier vous placez les
anticorps anti-acétylcholine témoins. Partie TP, assez simple, vous réalisez votre test d'Ouchterlony,
un modèle vous est donné pour creuser les puits au bon endroit, ensuite vous placez comme dit
précédemment chacun des bonnes solutions dans les bons trous en utilisant la micropipette et les
gants (rappel pour la micropipette: on appuie jusqu'à la première pression, on met dans le liquide, on
relache la pipette puis on la sort du tube à essai pour pouvoir mettre ensuite dans chacun des puits).
N'oubliez pas de changer l'embout de la micropipette à chaque fois que vous changez de produits
(jetez les embouts dans l'eau de Javel). Ensuite, il faut aller vite, n'attendez pas que les arcs de
précipitation se forment pour entamer le schéma et l'observation sinon vous n'aurez jamais le temps.
Bref, normalement, quatre arcs de précipitation se forment, un entre chaque puits, vous interprétez
en disant que des complexes immuns se sont formés et vous concluez en disant que la spécificité des
anticorps anti-acétylcholine n'a pas changé pour aucun des trois fluorochromes.
Il faut faire 3 test dont 2 témoins : - on les remplit tous d'une goutte de sang de mouton - on met une
goutte de sérum de lapin immunodéficient, une de lapin non immunodéficient, et enfin dans le
troisième trou le sérum du lapin à tester. Conclure ensuite en fonction des résultats.
Pour répondre on avait l'aide du logiciel Rastop et Anagene, et on étudiait les récepteurs des
Lymphocytes T pour un possédant l'antigène du virus HTVL-1 et l'autre possédant l'antigène du virus
de la grippe. On étudie avec Anagene leurs chaînes D et E. Ainsi que la molécule CMH.
----------------Il fallait expliquer en quoi la variété des récepteurs T des lymphocytes permettait la sélection clonale.
Pour le protocole c'est très simple, dites juste qu'il faut chercher expérimentalement les différences
entre les récepteurs (génétiquement ou spatialement) et en quoi cela montre que 2 lymphocytes
différents ne se fixeront pas sur la même molécule du CMH, et que donc cela entraîne une sélection
clonale par définition puisque ce ne sont pas tous les lymphocytes qui réagissent... Le vrai protocole
est sur Anagène et Rastop. La manip sur anagène est une simple comparaison différentielle, puis
montrer la partie constante / variante entre 2 chaînes. Celle sur Rastop est très difficile si on n’a pas
fait ça pendant l'année : il faut colorer la même partie des 2 chaînes de 2 molécules sur le même
intervalle et montrer que l'extrémité est différente. Personne n'a eu mieux que C sur la manip dans
mon lycée à cause de Rastop, mais si vous savez déjà quoi faire ça devrait aller. Le document
d'utilisation du logiciel est nullissime... faut savoir s'en servir."
C'est la mise en évidence de l'aller-retour du message nerveux entre le talon et le centre nerveux.
L'exercice consistait, avec les résultats obtenus avec le marteau et les électrodes, en déterminer où
pouvait se situer le centre nerveux entre le cerveau et la moelle épinière (c'est elle évidemment). La
vitesse était donnée, le temps se trouvait facilement avec les résultats, la distance se déduisait
aisément ensuite. Dans l'énoncé, les distances talon-cerveau et talon-moelle épinière étaient écrites.
Il s'agit d'un patient adulte qui souhaite jouer du piano. L'objectif est de savoir si à l’âge adulte
l'organisation du cortex moteur primaire peut être modifiée, par entrainement (ici au piano). Il faut
donc superposer les IRM fonctionnels et anatomiques d'avant et d'après l'entrainement, puis les
comparer, pour observer la taille et la localisation des régions du cortex moteur primaire en action.
On en déduit que l’entrainement augmenté le nombre de régions activées et leur superficie.
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