RÉUNION DU 27 NOVEMBRE 2008 MÉDECINE DE VILLE ACTIONS DE DÉPISTAGE É DES CANCERS DOCTEUR JEAN-LUC HERVOUET OMNIPRATIQUE ( PÉDIATRIE……GÉRONTOLOGIE ) CABINET MÉDICAL É ISOLÉ É OU GROUPE MÉDICAL É ACTIVITÉ É EN CABINET OU VISITES À DOMICILE CONNAISSANCE FAMILLE ET ENVIRONNEMENT SOCIAL DURÉE CONSULTATION MOYENNE 15 À 20 MIN CHARGE ADMINISTRATIVE : 5 À 10 MIN PAR CONSULTATION - ORDONNANCES - PRESCRIPTIONS D D’EXAMENS EXAMENS - CORRESPONDANCES - TENUE DU DOSSIER MÉDICAL CABINET - TENUE CARNET DE SANTÉ RÔLE DE COORDINATION-ORIENTATION VERS LES MÉDECINS SPÉCIALISTES MOTIFS DE CONSULTATIONS CROISSANTS IMMÉDIATETÉ É É THÉRAPEUTIQUE É AMBITION DE GUÉRISON SUR INFORMATION , REVUES MULTIPLES SOLLICITATIONS EXPONENTIELLES DES DIFFÉRENTS RÉSEAUX : EX: RCA, VIH, AGIR 33, OBÉSITÉ, BRONCHIOLITE, HANDICAP, SANTÉ LANGUAGE… GESTION DES CONFLITS FAMILIAUX ET SOCIAUX MISE EN RESPONSABILITÉ CROISSANTE, JUDICIARISATION DES PROBLÈMES DE SANTÉ PRESSION MÉDIATIQUE : MÉDECINS RESPONSABLES DES DÉPENSES DE SANTÉ CULPABILISATION… MÉLANOME Reconnaissance des profils à risque Reconnaissance du mélanome Intérêt du dépistage précoce Savoir orienter vers les dermatologues Déshabiller ……. le patient Conseils de prévention CANCER DU SEIN Dépistage individuel : Connaissance C i d des antécédents té éd t ffamiliaux ili Prépondérance du gynécologue Questionnements sur l’auto-palpation Signalement souvent tardif Réticences sur l’examen des seins et gynécologique Orientation vers consultation d’onco-génétique g q si suspicion p de cancers héréditaires CANCER DU SEIN Dépistage organisé : à Femmes de 50 à 74 ans à Incitation à la mamographie à double lecture CANCER DE L’UTÉRUS Encouragement pour la surveillance gynécologique régulière et la réalisation des frottis par gynécologue ou par généraliste Recherche des papillomavirus Encouragement g à la vaccination p préventive chez les jeunes filles Réticences à l’examen gynécologique … CANCER DE LA PROSTATE Recherche de signes cliniques Réticences au toucher rectal Encouragement au dosage annuel des PSA De 50 à 75 ans en général À partir de 45 ans pour africains, antillais, ou antécédents familiaux Orientation vers les Urologues si anomalies CANCER COLORECTAL Dépistage individuel à Connaissance des antécédents familiaux à Questionnements Q ti t sur lles signes i cliniques li i : Rectoragies douleurs abdominales à Pas de test hémocult à Orientation vers gastro-entérologues pour coloscopie CANCER COLORECTAL Dépistage organisé à Mise en place en Aquitaine récente à Déclinaison Dé li i d du plan l national ti l à Rôle prépondérant du médecin généraliste 85% de tests réalisés si remis par médecin traitant 15% si test reçu par la poste Importance de la réussite de la campagne CANCER COLORECTAL CAMPAGNE DE DÉPISTAGE ORGANISÉE EN GIRONDE : OCTOBRE 2008 Structure de gestion : AGIDECA Participation DRASS Coordination régionale favorisée par l’URMLA ( élaboration outils de formation du plan A ) Coordination de l’action avec Aquitaine-Gastro et le RCA Plan A : 40 séances de formation réparties sur le département à diffusion progressive à partir de Bordeaux assurées par les organismes i de d formation f ti officiels ffi i l des d MG Objectifs : Formation de 50% des généralistes du département Distribution après explications des tests hémocults aux patients par le MG CANCER COLORECTAL Actualités en Gironde : Résultats décevants du nombre de médecins formés : 15% à Bordeaux contre 50% espérés Ciblage territorial des médecins non totalement respecté par l OF les Relances insuffisantes des médecins par les OF Difficultés stratégiques AGIDECA : envois tests aux médecins non formés et patients demandeurs, demandeurs mise en place plan B (formation des médecins en cabinet) Solutions : formations supplémentaires, coordination de l’information des p patients et des p professionnels MOBILISATION POTENTIELLE DES GÉNÉRALISTES Revue 21 Novembre 2008 – Le Généraliste Sondage LH2 ligue contre le cancer du 16 au 30 Octobre 2008 sur 200 MG 95% des MG confrontés au cancer par les malades ou par la prise en charge des proches Un tiers veulent ss’impliquer impliquer d’avantage d avantage 8 MG sur 10 estiment jouer un rôle important Égalité aux soins pour tous Accent sur ll’accompagnement accompagnement psychologique des malades Accent sur l’accompagnement psycho-social des malades et de leur entourage Espoir d’une participation accrue des médecins généralistes é é li t au dépistage dé i t des d cancers par le l biais de la campagne actuelle concernant le cancer colorectal. colorectal Prise de conscience du rôle a jouer et de la reconnaissance potentielle de leur patients dépistés précocement. Intérêt création d’une d une consultation de prévention, séparée des consultations de soins et indemnisée.