Fragments d`Olympe

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Création jeune public à partir de 6 ans
Centre Chorégraphique
National de Nantes
Fragments d’Olympe
Fragments
d’Olympe
Claude Brumachon
Benjamin Lamarche
Création jeune public à partir de 6 ans
Dossier pédagogique
CENTRE CHORÉGRAPHIQUE NATIONAL DE NANTES
CLAUDE BRUMACHON - BENJAMIN LAMARCHE
Studio Jacques Garnier - 23 rue Noire - 44000 Nantes
Tél : +33 (0)2 40 93 30 97 - Fax : +33 (0)2 40 93 30 11
Email : [email protected]
Site : www.ccnn-brumachonlamarche.com
N° Licences entrepreneur de spectacles
cat. 1 : 141601 - cat. 2 : 141602 - cat. 3 : 141603
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Création jeune public à partir de 6 ans
Fragments d’Olympe
Création les 1er et 2 avril 2015 dans le cadre du Festival
“Petits et Grands”
Chorégraphie et scénographie : Claude Brumachon
Musique : Christophe Zurfluh
Assistant à la chorégraphie : Benjamin Lamarche
Geste collectif : Benjamin Lamarche, Steven Chotard,
Elisabetta Gareri, Barbara Sallier-Vasquez, Julien Grosvalet,
Martin Mauriès, Arthur Orblin, Valérie Soulard
Responsable pédagogique : Vincent Blanc
Création lumières : Olivier Tessier
Costumes : Jacqueline Brochet et Claude Brumachon
Masques : Francis Debeyre et Patrick Smith
Décor - réalisation : Jean-Jacques Brumachon et l’atelier
technique du Grand T (Théâtre de Loire-Atlantique)
Graphisme des rideaux : collectif des danseurs et
chorégraphe
Régie générale : Jean-Jacques Brumachon
Production : CCN de Nantes
Durée : 1h
Le Centre Chorégraphique National de Nantes est
subventionné par l’État - Préfet de la région Pays de la
Loire - Direction Régionale des Affaires Culturelles, la Ville
de Nantes, le Conseil Régional des Pays de La Loire et le
Conseil Général de Loire-Atlantique.
Il reçoit l’aide de l’Institut Français pour certaines tounées
à l’étranger.
Photos des masques de Pégase, Acteon (cerf), Tirésias, Soldats grecs,
Minotaure, Cyclope, Méduse : Benjamin Lamarche
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Création jeune public à partir de 6 ans
Fragments d’Olympe
Résumé du spectacle
“Fragments d’Olympe” est un voyage imaginaire dans la
Grèce antique.
Cette nouvelle création explore les grands mythes grecs. Ils
nous révèlent l’existence d’autres mondes et mettent en
scène des personnages merveilleux : dieux, animaux chimériques ou savants, créatures mi-homme/mi-animal...
A travers les grandes figures mythologiques (Ulysse, Jason,
Aphrodite, Zeus…) points de départ de cette création, Claude
Brumachon nous interroge sur les fondements de notre civilisation.
Construite sous forme de tableaux comme “ autant d’éclats,
d’instants, surgis de la boîte de Pandore ”, la danse se décline
en duos, trios, quatuors pour livrer des moments épiques,
héroïques et divins.
“Ni réinventer, ni raconter, suggérer dans l’alternance des
tableaux la jouissance des dieux, la colère des héros, la
hargne du destin, la souffrance et l’amour, la naissance des
uns la divination des autres, la course des chars et le combat
des centaures, les muses […]”
Les masques de Francis Debeyre soulignent les traits de
caractères de ces personnages fantastiques incarnés par les
huit danseurs.
Entre animalité et passion d’un côté, grâce, équilibre,
délicatesse de l’autre, la danse exprime des corps en proie à
de profondes aspirations.
En renouant avec ces sujets antiques “Fragments d’Olympe”
nous propose une conception de l’univers où l’instinct
primitif et la nature s’exprimeraient pour ne faire qu’un
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Création jeune public à partir de 6 ans
Fragments d’Olympe
Écrire la danse pour un public sans limite d’âge
Parce que la danse s’adresse à nous au-delà du langage,
en passant par l’image des danseurs qui dessinent
sur scène ce que l’œil interprète en chacun de nous.
Parce que le mythe porte une infinité de sens que l’enfant
a en lui : le sentiment du vivant, le sens de la divinité,
l’idée du héros porteur d’une destinée hors norme.
Écrire la danse pour les enfants, c’est mettre à leur
portée l’idée même que le corps est réservoir de
nos aspirations ; de nos désirs à nos peurs, de nos
amours à nos échecs, de nos luttes à nos succès.
C’est donner des éléments de réponse — non explicatifs —
aux questions intimes qu’ils n’osent poser qu’à eux-mêmes.
Le mythe est plus qu’un conte, il est fondamental
dans la construction de notre civilisation et donc de
notre mode de vie. L’enfant le réclame et le comprend
immédiatement ; il aime ce dépassement que les péripéties
d’une épopée infligent au groupe. Il frissonne à la vue de
ces créatures qu’il s’est déjà inventées dans ses rêves.
La création de “Fragments d’Olympe” n’est pas une
vulgarisation de la mythologie, elle est la mise en scène
— entre les corps, entre les masques et les costumes,
la musique et la danse — de ce que veut dire Humanité.
L’idée des sentiments incarnés par les dieux, l’idée du destin
vécu par le héros et de la fatalité prédite par l’oracle.
L’idée primordiale du social qui se construit dans une
quête, dans la recherche d’un trésor, d’une paternité
perdue, d’un combat entre le mal et le bien, d’une
maternité au sort incertain et néanmoins immense.
Chorégraphier pour les adultes et les enfants,
réunis dans un même public, c’est penser une pièce
rebondissante, un temps qui emporte l’esprit dans
un courant puissant et incessant d’images et de
personnages. Courant dans lequel l’enfant s’intègre,
se projette comme enjeu du défi ou porteur du secret.
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Fragments d’Olympe
Notes d’intention
Emporter le public dans le flot de ces mythes qui eux-mêmes
racontent explorations fantastiques et expéditions délirantes, voyages mêlés de luttes et de batailles, traversés
d’énigmes et d’oracles, bercés de rêves et de cauchemars.
La mythologie grecque nous accompagne depuis toujours.
Chaque épopée, chaque histoire, chaque tragédie ou
chaque voyage initiatique est connu, fait partie du paysage
imaginaire de notre enfance, et bien au-delà, il est un des
fondements de notre civilisation.
Un dieu nous accompagne, une déesse nous fait mille
douceurs. Enfant, nous avons suivi de très près les voyages
d’Ulysse, le déchirement d’Icare, les rivalités d’Athéna et
d’Héra, les navigations des Argonautes. L’énigme du Sphinx
nous a hantés, comme la tragédie des Atrides, les combats
d’Hercule, les péripéties d’Ulysse pour ne citer que les plus
fameuses.
Monstres mi-animaux mi-humains, animaux doués de
possibilités fabuleuses, dieux se métamorphosant à volonté
pour satisfaire leurs désirs, tout événement semblant
parfaitement intégré dans la course du temps, Chronos.
Ils concrétisent nos aspirations, nos questions, nos
sentiments, nos destins.
La naissance du monde, la création des animaux, des
montagnes, la séparation du Ciel et de la Terre, tout prend
sens et forme dans un conte qui nous semblait magique et qui
sous l’intitulé de mythologie nous racontait notre humanité,
le monde qui nous entoure, nos faiblesses humaines, notre
caractère d’hommes et de femmes amoureux, belliqueux,
suspicieux, honnête ou véreux. L’histoire devient l’Histoire,
brille de mille périls et fait des protagonistes des héros.
J’aimerais travailler sur des séries de tableaux comme
autant d’éclats d’instants surgis de la Boîte de Pandore.
Une Boîte de Pandore s’ouvrant sur des fils chorégraphiques
qui s’enchevêtrent de manière illogique : les faits et gestes
insensés des douze dieux de l’Olympe, les fameux Olympiens.
Leurs actes de bravoure et de lâchetés. Leurs pactes,
leurs amours, leurs préférences pour tel ou tel humain,
leurs petites et grandes histoires. Leurs métamorphoses
incessantes et hypnotiques.
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Fragments d’Olympe
La danse dans la pièce
Je l’imagine par trios, quatuors, duos qui constitueront autant
de scènes et scénettes épiques, héroïques et divines. Un
rythme assez soutenu maintient une tension, une attention,
autant de l’interprète que du spectateur.
Les entreprises aventureuses qui nous sont données dans la
mythologie grecque constituent à elles seules, déjà dans
leur intensité, un fil tendu et infrangible. Elles reflètent
et éclairent nos sentiments, nos émotions, nos traits de
caractères.
Le Destin des dieux est à l’image des hommes qui les ont
inventés : imprévisible, tragique, répétitif, glorieux, parsemé
de guerres fratricides et d’amours exceptionnels, de pages
blanches, d’hésitations, de décisions héroïques qui nous
semblent invraisemblables mais que nous croyons, parce que
justement, elles sont situées dans une époque, un temps,
un lieu, des êtres qui peuvent accéder à cette puissance.
La Grèce antique est aussi le berceau de la danse.
Danse lyrique, danse épique, danse sacrée, danse des
Mystères, danse initiatique, danse …
La scénographie de la pièce
Le décor
Un décor en alignements de draps suspendus qui creusent
et aplatissent le plateau, offrent ou voilent les volumes,
découvrent et recouvrent les scènes.
Définir avec exactitude six lignes de draps (voir croquis)
suspendus à des tringles de cuivre tenues par des anneaux
de cuivre. On est dans la simplicité, le plissé des draps laisse
la place à l’imagination. Métal et tissus.
Les hauteurs différenciées des draperies créent les volumes
des scènes suivant qu’elles sont tirées, tendues ou entassées.
On peut dès lors imaginer — un jardin, un labyrinthe, un
palais, un rocher, une prison, une muraille, un navire, une
chambre...
Tout en neutralité ; ils laissent la possibilité, toutes les
options de paysages : des nuages, des prairies, un habitacle,
des chemins, une source, une route, une montagne, l’océan,
la voie lactée, le sous terre.
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Fragments d’Olympe
Les masques
L’apport des masques est une évidence. Transformation,
transmutation et métamorphose sont présentes à chaque
instant.
Francis Debeyre est un compagnon de route de longue date,
nous avons travaillé ensemble pour Les Chemins Oubliés ou
le temps d’un songe et Une Aventure Extraordinaire. Le
symbolisme de l’animalité résonne dans l’alliage qu’il utilise
pour la confection de ces autres visages : cuir, métal, papier,
lainages, tissus …
Masque de :
Pégase
Acteon (cerf)
Arès
Tirésias
Nymphes orientales
Soldats grecs
Minotaure
Harpies
Cyclope
Méduse
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Fragments d’Olympe
Le costume
Dans le costume, la part belle est faite au masque, la robe
et le plissé en découle. Symbole de la toge et des vêtements
grecs, le tissu tombe sur la peau, en épouse les contours et
accompagne le geste. Il est la prolongation des membres.
Le costume habille la danse et ne la recouvre pas.
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Fragments d’Olympe
La thématique
Les hommes se sont toujours posé des questions sur les
origines du monde. Aujourd’hui, la science peut répondre
à certaines d’entre elles mais pas à toutes. Autrefois,
pour se rassurer et se guider dans la vie, les êtres humains ont inventé les mythes.
La mythologie grecque est l’ensemble des mythes provenant de la Grèce Antique (12ème au 4ème siècles avant Jésus-Christ). Elle est utilisée comme sujet d’inspiration par
les artistes, et continue à l’être de nos jours.
La mythologie grecque nous est parvenue grâce à un vaste
ensemble de textes dont les plus anciens sont les épopées
d’Homère et les poèmes d’Hésiode mais aussi par les arts
picturaux comme la céramique.
Qu’est-ce qu’un mythe ?
C’est une histoire fabuleuse que les hommes se racontent
pour expliquer à leur manière les origines du monde et ses
traditions. Ce qui est raconté n’est pas seulement imaginaire
: on y retrouve parfois les traces de faits réels prouvés aujourd’hui par l’archéologie ou la science : ainsi la Guerre
de Troie rappelle une guerre ancienne qui a vraiment existé. Cependant le mythe met en scène principalement des
Dieux immortels, et des êtres humains mortels, souvent
extraordinaires, qui sont confrontés à diverses créatures et
connaissent de nombreuses aventures. Il permet de donner
des réponses aux questions que se pose l’homme sur la création de l’univers et sa propre destinée. Il lui montre aussi
quels sont les principes à suivre pour rester en harmonie
avec le monde qui l’entoure, en lui donnant des règles de vie
à respecter. Il cherche à provoquer la terreur, l’admiration
ou la pitié face aux aventures des personnages évoqués. Et
pour que la « leçon » porte, le mythe se présente sous la
forme d’un récit agréable et distrayant qui marque la mémoire.
Le mot mythe vient du mot grec muthos qui signifie
“raconter une histoire”.
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Fragments d’Olympe
Pour les Grecs, les dieux n’avaient pas créé le monde, c’était
l’inverse : l’univers avait créé les dieux. Ouranos et Gaïa
étaient les premiers parents.
Les Titans étaient leurs enfants et les dieux leurs petitsenfants. Les douze grands Olympiens dominaient les dieux
qui avaient succédé aux Titans.
Les Dieux de l’Olympe
Le Mont Olympe est la plus haute montagne de Grèce où se
réunissaient les Dieux Grecs pour se divertir et discuter.
On y organisait des banquets où le nectar coulait à flot et où
on consommait l’ambroisie qui les rendait immortels.
Le sommet de l’Olympe entièrement caché par les nuages,
était invisible aux mortels, c’est pourquoi les Dieux s’y
étaient installés.
Les Dieux descendaient parfois sur Terre parmi les mortels,
afin de les aider, de les punir, mais aussi pour s’unir, engendrant ainsi des demi-dieux ou héros.
Aphrodite : est la déesse de l’amour et de la beauté. Elle est
l’épouse d’héphaïstos.
Attributs : Nudité, coquillages, colombe
Apollon : est le dieu du soleil, chant, de la musique et de la
poésie. Il est également dieu des purifications et de la guérison et de la prophétie.
Attributs : l’arc, lyre, flûte, laurier
Arès : est le dieu de la Guerre et de la Destruction dans la
mythologie grecque. Fils de Zeus et de Héra, il est assimilé à
Mars chez les Romains.
Attributs : casque, lance et épée
Artémis : est la déesse de la chasse et de la nature. Elle est
associée à la Lune par rapport à son frère jumeau Apollon qui
est lui, associé au Soleil).
Attributs : le cerf, l’arc en or, le carquois et les flèches
Athéna : est la déeese de la sagesse, de la guerre et de
la raison. Elle est protectrice de la ville d’Athènes. Sœur
d’Arès et la fille de Zeus.
Attributs : bouclier, lance, chouette et l’olivier
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Fragments d’Olympe
Déméter : est la déesse de l’agriculture et des moissons.
Elle est la soeur de sœur de Zeus, de Poséidon, d’Hadès,
d’Hestia.
Attributs : épi de blé
Dyonisos : Fils de Zeus et de la mortelle Sémélé. Dieu de la
vigne, du vin et de ses excès ainsi que du théâtre et de la
tragédie.
Attributs : la vigne et la grappe de raisin, un âne ou un bouc
ou une panthère
Hépaïstos : est le dieu du feu, du métal et des volcans. Fils
de Zeus et de Héra.
Attributs : Marteau, enclume, béquille, bouton d’or, âne.
Héra : est la fille des Titans Cronos et Rhéa, est la sœur et
la femme de Zeus. C’est aussi la sœur de Déméter, d’Hadès,
de Poséidon et d’Hestia. Elle est la protectrice de la femme
et la déesse du mariage, gardienne de la fécondité du couple
et des femmes en couche. Elle est très jalouse des infidélités
de son mari Zeus.
Attributs : le sceptre et le diadème, le paon
Hermès : Il est le messager des dieux, donneur de la chance,
l’inventeur des poids et des mesures, le gardien des routes et
des carrefours, des voyageurs et du commerce. Il est chargé
de conduire les âmes aux enfers.
Attributs : Sandales ailées et le caducée.
Poséidon : est le dieu de la mer, de la navigation, des tempêtes. Fils de Kronos et de Rhéa.
Détient l’empire des Eaux, habite au fond des mers, armé de
son trident sur son char.
Attributs : trident, cheval, taureau, dauphin.
Zeus : est le dieu suprême dans la mythologie grecque. Fils
de Cronos et de Rhéa, marié à sa sœur Héra, il a engendré, avec cette déesse et avec d’autres, plusieurs dieux et
déesses et, avec des mortelles, de nombreux héros.
Attributs: spectre, l’aigle et le foudre.
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Fragments d’Olympe
Exceptions
Hadès : c’est le frère aîné de Zeus et de Poséidon. Comme
Zeus gouverne le Ciel et Poséidon la Mer, Hadès règne sous la
terre et pour cette raison il est souvent considéré comme le
maître des Enfers et du royaume des morts
Attributs : Cerbère, la kunée, la corne d’abondance
Hestia : est la déesse du feu sacré et de la maison. Fille
aînée de Cronos et de Rhéa, sœur de Zeus, Poséidon, Hadès,
Héra et Déméter
Attributs : le feu, le foyer (endroit où l’on fait le feu)
Les héros dans la mythologie
Les Héros ne sont pas vraiment des Dieux; au départ, ce
sont des hommes, mais le fait qu’ils aient accompli des exploits extraordinaires leur confère une estime incomparable.
Les Grecs les honorent comme des dieux après leur mort.
Certains sont nés de l’union entre un dieu et une mortelle
(demi-dieu), comme Héraklès ou Dionysos (ils peuvent être
admis dans l’assemblée des dieux olympiens et deviennent
quasiment de véritables dieux), d’autres sont des humains à
part entière, comme Thésée et Oedipe.
Il y a deux sortes de héros :
- les héros d’origine poétique, communs à tous les Grecs :
par exemple les vaillants chefs guerriers de l’Iliade et de
l’Odyssée : Ulysse, Achille...
- les héros des cités qui ont accompli de grandes choses pour
leur ville : exemple Thésée pour Athènes.
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Fragments d’Olympe
Achille : Fils de Pélée, roi des Myrmidons, et de la Néréide
Thétis ; c’était le guerrier le plus grand, le plus courageux et
le plus beau de l’armée d’Agamemnon devant Troie.
Actéon : Par son père, Actéon descend d’Apollon. Élevé par
le centaure Chiron, il figure parmi les nombreux héros chasseurs auxquels la rencontre d’Artémis fut fatale. Il l’a aperçue alors qu’elle se baignait nue, et cette offense lui valut
d’être transformé en cerf et dévoré par ses propres chiens.
Anchise : Gardien de troupeaux sur le mont Ida où Aphrodite
le rencontra et s’éprit de lui. Ils eurent un fils, Énée. Pour
avoir révélé le nom de la mère de son enfant, Anchise fut
frappé par la foudre et resta boiteux ou perdit la vue, selon
les histoires.
Arachné : Douée dans l’art du tissage, elle eut l’audace de
lancer un défi à Athéna. Chacune tissa une tapisserie représentant les dieux et leurs aventures amoureuses. Athéna,
dépitée par la perfection de l’ouvrage de sa rivale, le déchira en morceaux ; de désespoir, Arachné se pendit. Mais
la déesse, prise de pitié, desserra la corde et transforma
Arachné en araignée.
Ariane : Fille de Minos et de Pasiphaé, Ariane remit à Thésée
un fil qui lui permit, après avoir vaincu le Minotaure, de retrouver la sortie du labyrinthe construit par Dédale.
Cassandre : Fille de Priam et d’Hécube. Apollon, épris d’elle,
lui promit le don de prophétie si elle accédait à ses désirs.
Cassandre accepta la proposition, mais, une fois instruite,
déroba ses faveurs. Le dieu, en lui crachant dans la bouche,
lui retira le pouvoir de ne jamais persuader.
Énée : Fils du mortel Anchise et de la déesse Aphrodite, c’est
un des héros de la guerre de Troie
Iule : Fils d’Énée et de Créuse, il incarne l’espoir des Troyens
survivants.
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Fragments d’Olympe
Jason : Chef des Argonautes et fils d’Aeson, roi d’Iolcos. Pélias, le demi-frère de son père, s’empara du trône d’Iolcos
et Jason fut mis en sûreté chez le centaure Chiron. Arrivé à
l’âge d’homme, Jason revint chez lui et réclama le pouvoir
à Pélias qui promit de le lui rendre s’il rapportait la Toison
d’or, exploit qui paraissait irréalisable. Après de nombreuses
aventures avec les Argonautes, Jason conquit la Toison, aidé
par la magicienne Médée, qu’il épousa.
Narcisse : Jeune homme d’une grande beauté. Dans “Les
Métamorphoses” d’Ovide, il est le fils du dieu-fleuve Céphise
et de la nymphe Liriopé. À sa naissance, sa mère apprit de
Tirésias qu’il vivrait longtemps, pourvu qu’il ne vît jamais
son propre visage. Cependant, arrivé à l’âge adulte, il s’attira la colère des dieux en repoussant l’amour de la nymphe
Écho. Poussé par la soif, Narcisse surprit son reflet dans l’eau
d’une source et en tomba amoureux ; il se laissa mourir de
langueur ; la fleur qui poussa sur le lieu de sa mort porte son
nom.
Persée : Fils de Danaé et de Zeus, il fut recueilli avec sa mère
par un pêcheur de l’île de Sériphos. Devenu adulte, Persée
se voit confier par Polydecte, le roi de l’île, la mission de
tuer la Gorgone Méduse, dont la chevelure est faite de serpents et dont le regard pétrifie ceux qu’il atteint. Vainqueur
grâce aux armes magiques remises par Hermès et Athéna, il
passe sur le chemin du retour par l’Éthiopie où il rencontre
la princesse Andromède, qui doit être livrée à un monstre
marin suite aux paroles imprudentes de sa mère Cassiopée.
Persée la délivre grâce à son épée magique et l’épouse.
Thésée : Fils d’Egée et d’Aethra – fille de Pitthée, roi de
Trézène. Egée avait déposé son épée et ses sandales sous un
énorme rocher. Si Aethra mettait au monde un fils, ce fils,
arrivé à l’âge d’homme, devait soulever la lourde pierre,
pour récupérer les sandales et l’épée, puis se rendre en Attique pour s’y faire reconnaître. A l’âge de seize ans, sa mère
lui révéla une partie du secret de sa naissance; il souleva
sans peine le rocher, s’empara de l’épée et des sandales,
et partit pour l’Attique en passant la côte et non par la mer
comme le lui avait recommandé Aethra. Thésée, avant de
se faire reconnaître comme l’héritier du trône d’Athènes,
décida de s’en rendre digne; la gloire et la vertu d’Héraclès
l’aiguillonnaient.
Chemin faisant, il effectua certains exploits en exterminant
des monstres et des brigands qui se trouvaient sur sa route.
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Fragments d’Olympe
Tirésias : Devin aveugle de Thèbes. Selon L’Odyssée, il garda
le don de prophétie jusqu’aux Enfers où Ulysse alla le consulter. Il joua un rôle dans le drame thébain dont le roi Laïos et
son fils Œdipe furent les héros.
Ulysse : C’est l’un des héros les plus célèbres de la mythologie grecque. Roi d’Ithaque, fils de Laërte et d’Anticlée,
il est marié à Pénélope dont il a un fils, Télémaque. Il est
renommé pour sa mètis, cette « intelligence rusée » qui rend
son conseil très apprécié dans la guerre de Troie à laquelle
il participe. C’est encore par la mètis qu’il se distingue dans
le long périple qu’il connaît au retour de Troie, chanté par
Homère dans son Odyssée.
La mythologie grecque compte autant de dieux que de héros.
Les créatures fantastiques dans la mythologie
La mythologie regorge de monstres terrifiants. Les héros en
ont besoin pour pouvoir les combattre - sinon, comment auraient-ils pu être des héros ?
Et les dieux s’en servent pour effrayer les hommes.
Ces monstres, parfois grotesques, finissent toujours par être
vaincus par les dieux ou les héros.
Beaucoup de ces monstres sont des êtres hybrides, résultant
de l’union entre un être humain et un animal.
Minotaure : Monstre fabuleux possédant le corps d’un homme
et la tête d’un taureau. Né des amours de Pasiphaé et d’un
taureau blanc envoyé par Poséidon, il fut enfermé par le roi
Minos dans le labyrinthe, situé au centre de la Crète, qui fut
construit spécialement par Dédale afin qu’il ne puisse s’en
échapper et que nul ne découvre son existence.
Harpies : Filles du dieu marin Thaumas et de l’Océanide
Électre (ne pas confondre avec la fille d’Agamemnon). On les
représentait comme des êtres monstrueux au corps d’oiseau
et à la tête de femme. Elles avaient les serres acérées et
répandaient une odeur infecte. Elles passaient pour enlever
les enfants et les âmes des morts.
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Fragments d’Olympe
Gorgones : Créatures fantastiques malfaisantes et d’une telle
laideur que quiconque ose regarder leur visage meurt pétrifié.
Pégase : Cheval ailé divin, généralement blanc, ayant pour
père Poséidon, qui naît avec son frère Chrysaor du sang de la
Gorgone Méduse lorsqu’elle est décapitée par le héros Persée.
Cyclope : Géant n’ayant qu’un œil au milieu du front. Il y a
plusieurs « types » de cyclopes. Les cyclopes ouraniens, au
nombre de 3, (enfants d’Ouranos et du Gaïa) sont synonymes
de force et de pouvoir, et enfermés dans le Tartare. Les
cyclopes forgerons, au nombre de 3, sont les assistants
d’Héphaïstos. Les cyclopes bâtisseurs construisent les murs
et les tours des cités. Les cyclopes pasteurs incarnent
une génération tardive, loin d’être aussi brillante que les
précédentes, et vivent de l’élevage en Sicile.
Dans la mythologie grecque, ces monstres sont associés à
une force de la nature (eau, feu, air et terre).
Pour l’eau
Triton
Les sirènes
Charybe et Scylla
...
Pour le feu
Chimére
Cerbère
Dragon de Cadmos
...
Pour l’air
Les chevaux d’Achille
Griffon
Oiseaux du Lac Stymphale
Harpyes
…
Pour la terre
Centaures
Cyclope
Géants
Lion de Némée
…
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Fragments d’Olympe
Identifiez les dieux de l’Olympe à partir de leurs attributs
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Identifiez les dieux de l’Olympe à partir de leurs attributs
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Identifiez les dieux de l’Olympe à partir de leurs attributs
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Fragments d’Olympe
Quelques références pour aller plus loin
LIVRES
> Maternelle
“La rue d’Ulysse”/ “Le Cheval de Troie” / “Le Cyclope”/
“Eole, Circé et les Sirènes” de Soledad BRAVI / Laur
Ecole des Loisirs – Loulou Et Compagnie
> Primaire
“Le feuilleton d’Hermès – La Mythologie grecque en cent
épisodes” de Murielle SZAC & Jean-Manuel DUVIVIER
Bayard Jeunesse
Collection “Légendes de la Mythologie”
Adapté par Nicolas CAUCHY – Illustrations de Morgan
Gautier Languereau
> Collège
“Odysée” - Livres I, II, III, IV et V de Michel HONAKER
Flammarion
FILMS
“Ulysse” de Mario Camerini (1953)
“Hélène de Troie” de Robert Wise (1956)
“Les Travaux d’Hercule” de Pietro Francisci (1958)
“Jason et les Argonautes” de Don Chaffey (1963)
“Le Choc des Titan” de Desmond Davis (1980) et de Louis
Leterrier (2010)
“Hercule” de John Musker et Ron Clements (1997)
“Troie” de Wolfgang Petersen (2004)
Opéras / œuvres lyriques
“L’Orféo” de Claudio Monteverdi (1607). Considéré comme
le premier opéra dans l’histoire de la musique. Basé sur
le mythe d’Orphée et Eurydice où le héros grec essaye de
sauver sa femme des Enfers
“Orphée et Eurydice” de Christoph Willibald Gluck (1762)
“Oedipe Roi”de Igor Stranvinsky (1927)
“Prélude à l’après-midi d’un faune” de Claude Debussy (1894)
Danse
Isadora Duncan (1877-1927)
“L’après-midi d’un faune” de Vaslav Nijinski (1912)
“Orphée et Eurydice”de Pina Bausch (1975)
“Icare” de Claude Brumachon (1996)
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Création jeune public à partir de 6 ans
Fragments d’Olympe
Claude Brumachon & Benjamin Lamarche
Après une formation aux cours du soir des Beaux-Arts de
Rouen, Claude Brumachon découvre la danse. Il trouve
son premier grand engagement aux Ballets de la Cité de
Rouen en 1978 où il reste pendant deux ans, puis travaille
avec plusieurs chorégraphes. En 1980, il commence ses
recherches avec Benjamin Lamarche qui deviendra son
interprète privilégié et complice de toutes ses créations.
Dès cette époque, il compose ses premières pièces
chorégraphiques, “Niverolles Duo du Col” (1982), “Il y a
engoulevents sur la branche d’à côté” (1983). Il participe
au concours de Bagnolet avec “Atterrissages de corneilles
sur l’autoroute du sud“ qui remporte trois prix.
La compagnie “Les Rixes” est fondée officiellement en
1984. En quatre ans, le chorégraphe crée dix pièces dont
deux majeures en 1988 : “Texane” (également primée
au concours de Bagnolet) et “Le Piédestal des Vierges”
qui imposent leur style à une gestuelle reconnaissable.
Elle enchaîne rapidement des séquences de mouvements
tranchés, acérés, découpant le corps et l’espace. La
réputation du chorégraphe s’installe. En 1989 émerge
“Folie”, de nouveau un très grand succès. Sa danse est
d’une étonnante virtuosité, poussant à son apogée les
prouesses techniques de chaque danseur pour mieux
exprimer une émotion, un état. Scènes de désirs ou de
souffrance, de violence et de sensualité, ses pièces sont
des récits de l’indicible, des miroirs de mondes intérieurs
déchaînés, poussés jusqu’au bout de leur loi.
Chaque jour, sans cesse à l‘écoute des différences, à
chaque moment alertes et vigilants, Claude Brumachon et
Benjamin Lamarche, se font chercheurs de mouvements
poétiques et énergiques. Ils créent une danse tour à tour
énergique et tourmentée, lyrique et passionnée, élevée
et romantique puis terrestre et lourde de sens.
Des errances de Molière, ils font avec “Histoire d’Argan le
visionnaire” (2007) un spectacle lumineux et facétieux en
hommage à l’artiste. De la société de consommation, ils
font un “Festin” (2004) charnel et sensuel où la proximité
éclate au visage du spectateur. Avec “Phobos” (2007), ils
s’aventurent dans les peurs irrationnelles et universelles.
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Création jeune public à partir de 6 ans
Fragments d’Olympe
En janvier 2012, ils créent “Ashbury St”, chorégraphie
pour 14 danseurs, inspirée du mouvement hippie et
qui rend compte de l’état de corps dans lequel l’être
est face aux injustices. La même année, ils continuent
leur travail de création, “La Traversée”, avec un groupe
d’adolescents en situation de handicap du collège de La
Durantière de Nantes. Un travail soutenu depuis 2009 par
l’APAJH 44 (Association Pour Adultes et Jeunes Handicapés
de Loire-Atlantique) lors de la création “Les Explorateurs
de Temps”.
En septembre 2012, ils créent au festival “Le Temps
d’Aimer la Danse” de Biarritz, “d’Indicibles Violences”,
pièce volcanique et tribale mettant en scène huit danseurs
dans l’instant, états de corps Nature.
Claude Brumachon et Benjamin Lamarche créent à partir
du corps pour le corps avec le corps. Leurs danses sont
autant d’histoires de groupes qui se partagent l’espace
de vie, que de solitude face au monde. Une recherche
autour d’un geste irrationnel qu’ils appellent le geste
juste, nécessaire et non gratuit. Un geste chargé d’une
histoire indicible qui devient l’instant-même et dans un
constat, parfois amer, offre une vision de l’homme dans
sa complexité.
Pionniers, chercheurs, guides, ambassadeurs, Claude
Brumachon et Benjamin Lamarche sont animés par une
volonté et un désir d’être — avec les danseurs — passeurs
d’une danse, pour éveiller la curiosité de tous et susciter
un questionnement à l’égard de l’art vivant. Ensemble,
ils développent de nombreuses collaborations avec des
compagnies de par le monde, comme au Nigeria (pour Les
Larmes des Dieux), au Chili avec la compagnie Compañía
Movimiento (pour Los Ruegos), à Prague (pour Le Témoin),
à Buenos Aires (pour La Consecuencia) et au Chili (pour
Destellos Volcanicos).
En juin 2014, ils créent au musée Zadkine à Paris, « Les
Exilés », fusion du corps vivant et de la matière où les 8
danseurs invitent le public à tourner autour des oeuvres,
à les détailler, à en extraire la poésie.
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Création jeune public à partir de 6 ans
Fragments d’Olympe
Le Centre Chorégraphique National de Nantes
Claude Brumachon et Benjamin Lamarche dirigent le
Centre Chorégraphique National de Nantes (CCNN) depuis
1992. Claude Brumachon a signé plus de quatre-vingtsdix chorégraphies originales avec ses propres danseurs,
avec des danseurs de ballets français ou étrangers et
aussi avec des enfants. Le plaisir de danser s’associe
au partage, aux rencontres avec un large publicdans les
théâtres ou parfois dans des lieux insolites (hangars,
bains romains, musées...). La vie de la compagnie est
rythmée par les créations et les tournées. La transmission
du répertoire est également importante pour Claude
Brumachon et Benjamin Lamarche. Ils animent des
ateliers chorégraphiques et des stages auprès de danseurs
professionnels ou amateurs et organisent régulièrement
au CCNN des répétitions publiques, des conférences ou
des rencontres autour de projections vidéos. Il s’agit de
sensibiliser un public à la danse en général et à la danse
contemporaine en particulier ; d’éveiller la curiosité de
tous et de susciter des questionnements à l’égard de cet
art vivant.
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Création jeune public à partir de 6 ans
Fragments d’Olympe
Pièces de Claude Brumachon depuis la création du CCN de
Nantes
1992
Alice au pays des Merveilles (avec une classe de CM2 d’une école de la Géraudière - Nantes)
Les Funambules du Désir (pour le JBF)
1993 Nina ou la voleuse d’esprit (créée au Musée des Beaux-Arts de Nantes)
Émigrants
Les Amants gris (pour le Conservatoire National
Supérieur de Musique et de Danse de Paris)
1994
Bohèmes Hommes
1995
Les Avalanches
1996
Les Larmes des Dieux (pièce franco-nigériane)
Una Vita (spectacle en extérieur) / Icare
1997
Bohèmes Femmes
Le Magicien d’Oz (avec des enfants de l’école de Malakoff - Nantes)
La Blessure (duo pour B. Lamarche et M.C. Pietragalla) Les Nuits perdues (Raatikoo Ballet d‘Helsinki)
Los Ruegos (Chili)
Une Aventure Extraordinaire (jeune public)
1998
Dandy / Humains dites-vous !
1999
La fracture de l’âme
Embrasés
Les murailles d’hermine (Ballet du Rhin)
La femme qui voulait parler avec le vent
Les voyageurs d’innocence (pour le Ballet de Marseille)
Absence (Cie Movimieto, Chili)
2000
Hôtel Central
Imprévus ou les porteurs de rêves
Pinocchio (avec la classe de CM2 de l’Ecole Jean-
Les Chemins oubliés ou le temps d’un songe Moulin/Malakoff - Nantes)
(Hommage à Jules Verne)
2001
Rebelles
Les Coquelicots Sauvages
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Création jeune public à partir de 6 ans
Fragments d’Olympe
Voyages de Gulliver (avec la classe de CM2 de l’Ecole Jean-Moulin/Malakoff - Nantes)
L’Ombre des Mots (avec la section art dramatique du CNR de Nantes)
Le Témoin (création franco-tchèque dans le cadre de Bohémia Magica)
2003
Boxeurs et Vagabondes
Écorchés Vifs (Musée Bourdelle à Paris)
L’héroïne ou la gloire imprudente (pour le Ballet 2004
Le Festin
2005
Orphée (opéra dansé - Grand Théâtre de Limoges) Les Petits Poètes (avec la classe de CM1 de l’Ecole La Mélancolie des Profondeurs (avec A Sei Voci)
2006
Ellipse
2007
Histoire d’Argan le Visionnaire
Silence
Phobos
2008
Le Labyrinthe / Androgynes
2009
Les Explorateurs de Temps (Festival Handiclap)
Les Fugues (avec 18 jeunes saint-quentinois)
Merveilleux (avec les classes de CM1 et CM2 de La Désobéissance
2010
Liberté (dans le cadre des BIS 2010)
Le Prince de Verre (Chaillot)
2011
Opulences Tragiques (Musée des Beaux-Arts de Nantes) Adrénaline (Cie Imperfect Dancers, Pise)
2002
2012
de Lorraine)
Maison Neuve - Nantes)
l’Ecole Maison Neuve - Nantes)
Ashbury St. (dans le cadre des BIS 2012)
Absalon l’Insurgé
La Traversée (Festival Handiclap) d’Indicibles Violences (Festival Le Temps d’Aimer la
Danse de Biarritz)
2013
Un Bruissement de Volupté
2014
Les Exilés (Musée Zadkine - Paris)
La Fulgurance du Vivant (Festival Le Temps d’Aimer
la Danse de Biarritz)
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Fragments d’Olympe
Informations pratiques
Communication
Anttar Tehami
Tél. +33 (0)2 40 93 31 77
Email : [email protected]
Administration
Francis Sastre
Email : [email protected]
Relations publiques
Pauline Talon
Tél. +33 (0)2 40 93 31 25
Email : [email protected]
Répétiteur et responsable pédagogique
Vincent Blanc
Email : [email protected]
Technique
Jean-Jacques Brumachon
Email : [email protected]
Comptabilité
Nicolas Chantebel
Secrétariat
Roxana Del Castillo
Tél. +33 (0)2 40 93 30 97
Email : [email protected]
Renseignements
Centre Chorégraphique National de Nantes
Claude Brumachon – Benjamin Lamarche
Studio Jacques Garnier - 23 rue Noire – 44000 Nantes
Tél. +33 (0)2 40 93 30 97 / Fax + 33 (0)2 40 93 30 11
www.ccnn-brumachonlamarche.com