Remerciements
Je souhaiterais témoigner ici de ma reconnaissance la plus profonde pour les
personnes qui m’ont guidé, aidé et encouragé tout au long de ce travail de thèse. Je
pense en premier lieu à mon directeur de thèse, Jean Gayon, dont les conseils avisés et
les encouragements toujours répétés ont été décisifs pour le bon déroulement de cette
entreprise. Pascal Acot, qui me suit depuis longtemps et avec toujours autant
d’enthousiasme, est devenu pour moi bien plus qu’un « mentor ». Je tiens aussi à
remercier vivement Anne Fagot-Largeault pour ses encouragements. Je suis aussi
infiniment redevable à Paul Mengal de m’avoir intégré comme doctorant à l’Université
Paris XII.
Toute ma gratitude va à Catherine et Raphaël Larrère pour leur gentillesse, leur
simplicité et leur considération à l’égard de mon travail. Ensuite, je tiens à assurer de
mon estime la plus sincère Denis Couvet pour m’avoir permis de prendre contact avec
le monde de la conservation de la nature, il y a plusieurs années déjà.
Que soient aussi remerciés ici tous les membres du Center for Environmental
Philosophy de l’University of North-Texas, Denton, et en particulier John Baird
Callicott, Eugene Hargrove, Irene Klaver, Becky Hughes et tous les étudiants pour leur
accueil formidable. Plus formellement, ma gratitude va au ministère de la recherche
grâce auquel j’ai pu bénéficier d’une bourse « Aire culturelle » pour ce voyage.
Je tiens aussi à remercier Philippe Bouchet, Robert Barbault et Éric Buffetaut
pour les entretiens qu’ils ont bien voulu m’accorder.
Je souhaiterais aussi profiter de cette page pour remercier, et surtout pour
encourager avec la plus grande vivacité, Jean-Paul Amman pour son dévouement au
fonctionnement du Groupe d’Ethique et de Philosophie des Sciences (GTEPS) au
Collège de France. Que soient aussi remerciés pour leurs conseils et leur enthousiasme,
Béatrice de Montera, Elodie Giroux et tous ceux que j’oublie.
Croutch, Buz, Marco merci pour le coup de main que vous m’avez filé. Aude,
Claire, merci pour votre présence réconfortante. Je remercie aussi ma famille, Christian
pour tes points de vue engagés et pour tes encouragements, et surtout Nicole, qui, aussi
loin que je me souvienne, m’a toujours donné l’envie d’aimer l’école (peut-être trop !)...
Je ne conclurai pas ces remerciements sans citer celle sans qui tout cela n’aurait
peut-être jamais existé, et qui sait déjà en quelle haute estime je la tiens : Hélène
Lamicq. J’aimerais également en profiter pour rendre hommage à son dévouement et à
ses engagements en faveur de l’éducation supérieure et de la recherche. Enfin, telle
mère, telle fille, Nathalie, mes dernières pensées sont pour toi, avec qui cette aventure
est née, et qui m’a donné confiance en mes capacités, et en la vie tout simplement.