histo

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Corrections annales d’HISTOLOGIE JUIN 2004 Pancréas endocrine : ultrastructure des principaux types cellulaires Le pancréas endocrine est représenté par les ilôts de langherans : -­‐disséminés entre les acini séreux -­‐nombre : 10^6 -­‐représente seulement 2% de la masse totale du pancréas -­‐surtout localisé dans la queue du pancréas -­‐nombre varie avec l’âge : ++ en néonatale puis subit l’apoptose. Un ilôt : -­‐100 à 200 μm de diamètre -­‐capillaires fenêtrés pour laisser passer les hormones -­‐2 à 300 cellules en cordons Présente 4 types cellulaires principaux -­‐cellule α synthétise le glucagon -­‐25% -­‐en périphérie de l’ilôt -­‐mise en évidence par immunofluorescence avec des Ac anti glucagon -­‐cellule β synthétise l’insuline -­‐70% -­‐au centre de l’ilôt -­‐mise en évidence par la fuschine paraldéhyde -­‐cellule δ synthétise la somatostatine -­‐5% -­‐plutôt au centre -­‐mise en évidence par une technique d’argentation -­‐cellule PP synthétise le polypeptide pancréatique Toutes ces cellulaires ont en commun : -­‐un pôle vasculaire -­‐REG, golgi, cytosquelette dvp ++ -­‐mitochondrie, lysosome, peroxysome, ribosome libre Chaque cellule possède des grains de sécrétion spécifique -­‐granulation α 300nm avec un cœur central dense -­‐granulation β 250-­‐400nm avec un cœur central pseudo cristallin -­‐granulation δ 375nm , finement granuleuse Libération de l’insuline : Sur la membrane des cellules β et des hépatocytes  transporteur de faible affinité au glucose = GLUT2 -­‐fait entrer le glc dans la cellule -­‐dégradé par la glucokinase -­‐➚ c° en ATP dans la cellule -­‐inhibe donc le canal K+ ATPdep -­‐donc ➚ K+ intracellulaire  dépolarisation -­‐ouverture des canaux Ca2+ voltage dep -­‐entrée ++ de Ca2+ dans la cellule=signal d’exocytose  granules contenant l’inslune mature sont libérés dans la circulation G. L’insuline va ensuite se fixer sur son R à activité tyrosine kinase des cellules cibles ce qui va entrainer la $ de transporteur GLUT4 sur les adipocytes+myocytes. QCM -­‐les méninges proviennent des somites + crêtes neurales  origine mésoblastique + ectoblastique -­‐LCR contenu dans un réseau formé par l’arachnoïde -­‐les cellules de l’arachnoïde sont reliées par des desmosomes + jonctions communicantes. -­‐dans le néocortex : -­‐moteur  couches pyramidales dvp ++ -­‐récepteur  couches granulaires dvp ++ -­‐au niveau du cortex cérébral -­‐aff se terminent dans les couches II et IV -­‐eff issues des couches III et V -­‐plexus choroïdes = invagination des vsx de la pie mère dans les cavités ventriculaires -­‐thalamus comporte des noyaux de relais des voies motrices, sensorielles (tout sauf olfactive) et sensitive -­‐cellule bipolaire de la rétine = équivalent de la cellule T du ganglion spinal -­‐fovéa  AV élevée car nombre important de cônes. -­‐circulation pulmonaire : -­‐basse P° -­‐artère pulmo issues du VD -­‐artères pulmo apportent aux poumons le sang de type veineux -­‐artères pulmo cheminent en // des bronches -­‐artères pulmo vont constituer les capillaires alvéolaires -­‐zone de métaplasie du col utérin : -­‐EPT cylindique  EPT malphigien (pavimenteux stratifié) NK -­‐liée à un pH acide -­‐siège préférentiel de cancers -­‐siège de kystes de Naboth -­‐se dvp au moment de la puberté PNEUMOCYTE DE TYPE 1 nombre 40% surface 93% forme Etalé Organites intracellulaires Peu Vésicules de pinocytose Abondantes Activité métabolique Absente Cellule progénitrice Non Participe à la barrière alvéolaire Oui mitoses non Follicule primordial Follicule primaire Follicule secondaire Follicule cavitaire = pré antral = tertiaire Follicule de De Graffe = follicule dominant 1 couche de cellules folliculeuses aplaties NON jointives autour de l’ovocyte 1 les + périphériques sous l’albuginé 25-­‐40μm de diamètre Idem mais jointives ZP commence à apparaître (entre ovocyte et cellules folliculaires) Mb de Slavjanski : entre granulosa (avasc) et la thèque (vasc++) 60-­‐80μm + gros avec 2 couches de cellules folliculeises apparition de la thèque interne 80-­‐150μm 2P s’épaissit Ovocyte 1 ZP Mb de Slavjanski Thèque interne : cellules cubiques stéroïdogènes Thèque externe : cellules stromales Corona radiata = couche de cellules folliculeuses à côté de la ZP Granulosa Antrum= cavité remplie de liquide folliculaire 200μm à 5mm Idem mais avec fusion des cavités en une cavité unique >2cm saillie à la surface de l’ovaire Figure 1  Le glomérule rénal Fonction : siège de l’ultrafiltration du sang pour donner l’urine primitive A son pôle vasculaire  système régulateur de la PA = appareil juxta glomérulaire composé de 3 éléments : -­‐cellule du Lacis -­‐macula densa du TCD -­‐cellules productrices de rénine (dans l’artériole afférente++) Une cause à l’origine d’un aspect anormal = syndrome néphrotique ( ?)( Septembre 2004 1) Histologie du système artériel De l’intérieur vers l’extérieur : -­‐intima : -­‐endothélium vasculaire : -­‐voisin++ de l’EDT capillaire mais peu de vésicules de transcytose -­‐association des cellules endothéliales par des jonctions serrées et communicantes+desmo -­‐corps de Weibel Palade contenant le facteur VIII -­‐glycocalyx chargé négativement -­‐lame basale -­‐couche sous endothéliale -­‐quelques fibres de collagène+élastiques -­‐lieu de dvp des plaques d’athéromes -­‐absent chez les nouveaux nés -­‐LEI -­‐structure continue -­‐association de lames élastiques fenêtrées -­‐média -­‐composé de cellules musculaires lisses et de fibres élastiques (synthétisées par les myocytes) -­‐c’est la proportion des myocytes et fibres élastiques qui déterminent le type d’artère. -­‐les myocytes= cellules musculaires lisses reliées par des jonctions communicantes et adhérentes, présence d’un REG et Golgi dvp ++ car $ les composants de la média. -­‐LEE -­‐discontinue -­‐plus fine que la LEI -­‐absente dans les artères musculaires de petit calibre -­‐adventice -­‐composé de collagène avec fibroblastes, adipocytes, mastocytes, macrophages -­‐comportent les éléments nourriciers : vasa vasorum et nervi vasorum 2) Citer et décrire brièvement les constituants de la barrière alvéolo-­‐capillaire =zone de jonction entre le système respiratoire et le système sanguin permettant l’hématose: d’un côté la lumière de l’alvéole et de l’autre un capillaire sanguin, les membranes des 2 éléments ayant fusionnées afin de permettre la diffusion des différents éléments (02 vers le GR er C02 vers l’alvéole). Elle est constituée du côté alvéolaire -­‐la lumière de l’alvéole -­‐cytoplasme du pneumocyte 1 qui fait partie intégrante de la barrière Elle est constituée du côté du capillaire -­‐cytoplasme d’une cellule endothéliale du capillaire (type continu) -­‐hématie dans la lumière du capillaire Autres : -­‐épaisseur de 0,1 à 0,5 μm -­‐fusion des 2 lames basales 3) Décrire les principales étapes de l’histogénèse du SNC A la 3e semaine, la plaque neurale mobilise 50% de l’ectoblaste. Elle va ensuite donnée la gouttière neurale qui va elle même donnée entre le 17e et le 28e, le tube neurale et les crêtes neurales. Le tube neurale est à l’origine du SNC. Il donnera les neurones et les cellules gliales pour le cerveau, le TC, le cervelet et la moelle épinière. Les différentes parties du SNC provenant du tube neural : -­‐les hémisphères cérébraux -­‐TC -­‐cervelet -­‐moelle L’histogène du SNC comporte 4 phases : -­‐multiplication aboutit à la formation de 3 couches cellulaire -­‐différenciation on obtient différents types de cellules -­‐migration  -­‐maturation aug° de taille des cellules, dvp des organites et des prolongements, chimiogénèse Le tube neural comporte une paroi et une cavité. La paroi est constitué d’un neuropéithélium, et se dvp dès ses premiers jours. Elle est d’abord constitué d’une seule couche de cellule (mais donne un aspect pseudo stratifié) avec un noyau à situation variable entouré de cytoplasme présentant 2 prolongements : -­‐l’un externe à la cavité épendymaire, repose sur la lame basale -­‐l’autre interne vers la cavité ventriculaire où il n’y a pas de LB. Stade de multiplication : -­‐épaississement de l’épaisseur de l’EPT du tube neural -­‐déplacement du noyau vers la lumière -­‐mitoses TOUJOURS au contact de la lumière  on parle de zone germinative -­‐du début de la phase au 25e jour, toutes les cellules participent au cycle de multiplication -­‐puis seulement 1 des 2 cellules provenant de la cellule mère participe, l’autre passe au dessus  on a alors la formation d’une nouvelle couche (de cellules post mitotiques) appelée couche intermédiaire ou manteau -­‐il y a également formation d’une 3 couche, la + externe = zone germinale (ou voile) située entre le manteau et la LB. Elle ne comporte ni noyau, ni corps cellulaire, ni cytoplasme mais uniquement des prolongements de -­‐cellules neuroépithéliales -­‐cellules post mitotiques du manteau -­‐cellules d’autres régions Stade de différenciation : -­‐en même temps, la phase de X° se poursuit -­‐dans le manteau, on a des cellules de + en + grosses = précurseurs de cellules neurales appelés neuroblastes qui sont les 1er à se différencier en de nb types de neurones -­‐les cellules gliales se différencient aussi en astrocytes, épendymocytes et oligodendrocytes  on parle de poussée spongioblastique et épendymoblastique Stade de migration : -­‐concerne les neuroblastes qui migrent le long « d’échelles » formées par les astrocytes radiaires -­‐elle est à l’origine du cortex Rq : les cellules du manteau formeront la SG tandis que la SB se forme à partir des cellules de la zone marginale. -­‐au fur et à mesure de la migration, le tube neurale se modifie et prend un aspect cylindrique creux aplati transversalement avec une paroi ventrale et dorsale moins épaisses que les parois latérales Stade de maturation cellulaire : -­‐augmentation de la taille duc corps cellulaire -­‐dvp des organites : surtout REG, golgi et mitochondries -­‐dvp des prolongements : -­‐axones se dvp avant la naissance -­‐synapses se dvp après la naissance -­‐dendrites se dvp bien au delà de la naissance -­‐chimiogénèse : $ de substance chimiques telles que les NT -­‐myélogénèse : -­‐dès le 4e mois de la vie fœtale et jusqu’à l’âge de 30 ans pour les systèmes complexes 4) Glandes prostatiques : topographie, structure, ultrastructure, modifications selon l’imprégnation hormonale. -­‐dans la région pelvienne -­‐forme d’une châtaigne dont la pointe est vers le bas -­‐en fait= ensemble de 30 à 50 glandes. -­‐on distingue 2 parties selon la position/ au sphincter lisse de l’urètre. -­‐glandes de la partie intrasphinctérienne se jettent directement dans l’urètre -­‐glandes de la partie extra. se collectent dans les canaux débouchant à l’ext de la crête urétrale -­‐on distingue également 2 parties selon la position/ au canal éjaculateur -­‐partie crâniale avec des récepteurs aux œstrogènes, peut donner des adénomes prostatiques -­‐partie caudale possèdent des récepteurs aux hormones androgènes et peut donner des cancers. -­‐les glandes sont de type alvéolaire contournée avec un EPT unistratifié composé de cellules cubiques ou cylindriques, cytoplasme clair, noyau basal et granules de sécrétion au pôle apical -­‐dans la lumière des glandes  structures calcifiées en bulbes d’oignons = sympexions. Elles sont caractérisitiques de la prostate et leur nb augmente avec l’âge -­‐l’EPT est sous la dépendance de la testostérone  en cas de diminution du taux de T, l’EPT s’amincit avec une réduction voire une perte de l’activité sécrétoire (dès l’âge moyen de la vie) -­‐elles produisent le liquide prostatique : acide et composé de : -­‐acide citrique -­‐phosphatases acides -­‐PSA : prostate specific antigen -­‐spermine -­‐zinc Juin 2005 1) Placode = épaississement d’origine ectodermique Ex : placode cristalinienne (ou optique) et placode otique 2) Glomérule = structure synaptique complexe 2 structures où l’on trouve des glomérules : thalamus et cervelet :couche granulaire du cortex cérébelleux 3) Système sensoriel où les cellules R = 1e neurone de la chaîne sensorielle  Système olfactif 4) 5) Feuillet embryologique à l’origne du rein définitif  Mésoblaste intermédiaire Structure embryonnaire à l’origine du rein définitif Métanéphros Le rein se dvp à partir de 5e semaine Le rein est formé par le dvp + rencontre de : Ebauche urétérale ou urètre primaire (1) et blastème métanéphrotique(2) (1) Vient du canal de Wolff et donne le système excréteur (2) Vient du mésenchyme et donne la partie sécrétrice Follicule primordial (FP) dans l’ovaire d’une jeune fille, juste pubère : -­‐localisation  sous l’albuginée, en périph ++ -­‐nombre  -­‐taille 25 à 40 μm -­‐contenu ovocyte 1, une couche de cellule folliculaire (3 à 5 cellules stromales) -­‐phénomène responsable de l’arrêt de la méiose du gamète inclus dans le FP : protéine OMI Modification fondamentale des cellules de la granulosa avant et après leur intégration dans le corps jaune -­‐du point de vue morphologique : les cellules augmentent de V -­‐du point de vue fonctionnel : les cellules se transforment en cellules lutéales  sécrètent la progestérone Type histologique de l’EPT -­‐de l’ovaire : EPT ovarien = EPR simple cubique -­‐de la trompe utérine : EPT unistratifié cylindrique (donc haut) -­‐du corps utérin : idem -­‐du vagin : EPT malphigien (pavimenteux pluristratifié) non kératinisé Dans quelle partie du tractus génital, l’EPT forme il des glandes  corps de l’utérus (endomètre) QCM 1) ABCD -­‐tube séminifère, canal efférent, canal épididymaire, canal défèrent  possèdent tous une lumière -­‐rete testis s’interpose entre : tube droit et canaux efférents 2) ABCD -­‐de la naissance à l’âge adulte -­‐le tube séminifère contient : cellules de Leydig + fibrocytes -­‐l’EPT du tube séminifère contient : cellules de Sertoli + cellules germinales -­‐tt les cellules souches sont dans l’EPT séminifère -­‐les spermatogonies sont dans l’EPT séminifère 3) ADE -­‐spermatogonies dans le compartiment cytoplasmique basal de la cellule de Sertoli 4) C -­‐chez un homme, les cristaux(cristalloïdes) de Reinke sont spécifiques des cellules de Leydig -­‐la cellule de Leydig est souvent au voisinage immédiat de capillaires sanguins, ce qui est en accord avec sa fct endocrine -­‐tissu interstitiel testiculaire comporte des cellules !! -­‐les cellules du rete testis présentent un long cil central  propulsion des spz qui sont encore immobiles 5) A -­‐le flagelle du spz est actif APRES passage dans l’épididyme -­‐les glandes de Cowper (ou bulbo urétral) produisent un liquide lubrifiant qui facilite le passage des spz dans l’urètre -­‐sperme  liquide alcalin -­‐prostate = ensemble de nb glandes EXOcrines 6) -­‐les macrophages alvéolaires : -­‐exercent une activité de phagocytose -­‐ne participent pas à la barrière alvéolaire Schéma de la double vascularisation pulmonaire : Septembre 2005 1) Mésonéphros : formation, siège, structure, devenir. Il s’agit de la 2e ébauche rénale faisant suite au pronéphros. Il se situe dans la région moyenne de l’embryon. Il se dvp au début de la 4e semaine jusuq’au 2e mois. -­‐il se dvp à partir de 3 structures : -­‐le cordon néphrogène -­‐le canal mésonéphrotique -­‐le réseau capillaire glomérulaire -­‐Il laissera place au métanéphros qui sera fonctionnel à partir de la 9e semaine (mais commence à se développer dès la 5e semaine) et donnera le rein définitif dans la région caudale de l’embryon. Il y aura ensuite une migration en position lombaire. -­‐C’est un élément non métamérisé -­‐contrairement au pronéphros, le mésonéphros sera fonctionnel et on a une urine primitive qui est sécrétée et va constituer 80% du liquide amniotique. Rq : Le pronéphros se différencie au cours de la 4e semaine à partir de l'extrémité crâniale du cordon néphrogène et régresse dès la 5e semaine. Trois structures participent à sa formation: • le canal pronéphrotique de la région cervicale • les tubules pronéphrotiques • les glomérules externes ou cœlomiques dont l'existence est contestée chez l'homme Le pronéphros se segmente, dès la quatrième semaine, selon un gradient céphalo-­‐caudal en amas indépendants appelés néphrotomes Chaque néphrotome se creuse en une vésicule néphrotomiale qui s'allonge vers la paroi latéro-­‐externe de l'embryon sous forme d'un tubule pronéphrotique. C'est la réunion des extrémités de ces tubules (dans le sens rostro-­‐caudal) qui formera l'ébauche du canal collecteur pronéphrotique. Chez l'homme le pronéphros correspond à la structure la plus primitive et la plus éphémère qui régresse totalement au cours de la 5e semaine et n'est jamais fonctionnelle. La conception classique fait persister la partie distale du canal collecteur (canal pronéphrotique) qui se poursuit au niveau des somites 13-­‐14 dans le canal mésonéphrotique (canal de Wolff) Le mésonéphros se différencie au cours de la 4e semaine et régresse dès la 8e semaine. Il succède au pronéphros et se développe à partir de trois structures: • le cordon néphrogène de la région dorsolombaire • le canal mésonéphrotique (futur canal de Wolff) • le réseau capillaire glomérulaire Le canal mésonéphrotique se développe sur le versant dorsal du cordon néphrogène, à la hauteur du 9e somite, sous la forme d'un cordon cellulaire mésenchymateux initialement solide. Il se dissocie du cordon néphrogène et se trouve alors sous l'ectoderme de surface qui joue probablement un rôle inducteur dans sa formation. Détaché du cordon néphrogène il progresse en direction caudale pour fusionner finalement avec la paroi du cloaque en même temps qu'il commence à se canaliser. C'est à partir de ce moment qu'il sera appelé canal de Wolff. Au cours de cette progression cranio-­‐caudale le canal mésonéphrotique de structure mésenchymateuse va subir une transition épithéliale avec formation d'une lumière centrale, seule la partie caudale restant mésenchymateuse. L'expérimentation animale a montré que cette dernière jouait un rôle particulier, son extirpation conduisant à une agénésie rénale. La région de la fusion du canal de Wolff avec le cloaque deviendra la paroi postérieure de la future vessie Le métanéphros se développe dans le mésoblaste intermédiaire de la région sacrée, à partir de trois structures: • le bourgeon urétéral 14 • le blastème métanéphrogène 13 • le réseau capillaire glomérulaire 13 Le bourgeon urétéral 14, est un diverticule épithélial dérivant de la partie caudale du canal de Wolff au niveau de la première vertèbre sacrée (S1) et dont l'extrémité élargie pénètre dans le blastème métanéphrogène. Il est à l'origine des voies excrétrices extra et intra-­rénales. Le blastème métanéphrogène 13 , correspond à la partie sacrée -­‐ caudale à L3 -­‐ du cordon néphrogène, c'est une masse de tissu mésenchymateux diffuse et mal délimitée qui donnera naissance aux vésicules métanéphrotiques. Ces dernières sont à l'origine de la formation des néphrons (unités fonctionnelles du rein). Il n'est toujours pas clair si le réseau capillaire glomérulaire se développe par vasculogénèse -­‐ différencié directement depuis le blastème métanéphrogène -­‐ ou par angiogénèse -­‐ formé à partir de vaisseaux préexistants dans le métanéphros. 2) Cellule de Sertoli : localisation, structure, ultrastructure. -­‐dans les tubes séminifères -­‐elles ne représentent que 10% des cellules bordants les tubes séminifères -­‐plus de mitose après la puberté -­‐MO : cellules cylindriques hautes ou pyramidales reposant sur une lame basale , gros noyau -­‐ME : contours irréguliers au niveau de l’apex + bords lat , REL et Golgi +++, nucléole bien visible au niveau des bords lat, elles émettent de nb expansions cytoplasmiques ramifiées qui permettent les contacts entre cellule de Sertoli formant un réseau cytoplasmique. Celui-­‐ci entoure les cellules germinales en développement et est divisé en 2 compartiments : -­‐1/3 basal (spermatogonies + spermatocytes 1) -­‐ 2/3 adluminal (spermatocytes 2 + spermatides) . Les 2 compartiments sont reliés par des jonctions serrées. L’ensemble de ces jonctions forme une barrière hémato testiculaire qui ne laisse rien passer excepté les cellules germinales. Rq : barrière hémato testiculaire composée de : -­‐cellules de Sertoli -­‐endothélium vasculaire -­‐structures de la gaine péritubulaire (cellules myoïdes+basales) La cellule de Sertoli est particulière car elle possède des cristaux de Charcot Au niveau de la base de la cellule : noyau ovalaire à grand axe perpendiculaire à la MB avce REG ++, mitochondries lamellaires, des gouttelettes lipidiques. Au niveau de la zone apicale : mitochondries en bâtonnets + microtubules orientés longitudinalement. La membrane plasmique est lisse et repose sur une lame basale. 3) Histogénèse de la moelle épinière La moelle épinière se différencie à partir de la partie caudale du tube neural qui fait suite au rhombencéphale. Elle fait suite au chordencéphale (qui correspond aux 2e, 3e vésicules primitives). Dès la 6e semaine, la paroi de la moelle épinière est composée de trois couches ou zones (ventriculaire, du manteau et marginale). Entre huit et dix semaines la moelle a atteint sa configuration définitive. Elle est alors entourée par les méninges et enclavée dans le canal vertébral qui se développe parallèlement au tube neural jusqu'au 4e mois. A partir de cette date la croissance du tube neural ralentit, alors que celle du canal vertébral se poursuit. La moelle, du point de vue de son organisation externe, est un organe segmentaire. A chaque segment correspondent l'émergence de deux racines (droite et gauche) motrices ventrales et deux racines (droite et gauche) sensitives dorsales avec leur ganglion rachidien. Chaque segment est en relation avec un somite issu de la fragmentation du mésoblaste para-­‐axial. Celui-­‐ci donnera naissance respectivement au sclérotome, au myotome et au dermatome correspondant. Ainsi la moelle est en relation avec la colonne vertébrale (sclérotome) qui l'entoure, les muscles striés (myotome) qu'elle innerve et la peau dont elle reçoit les afférences sensitives (dermatome). Cette métamérie est est reflétée notamment par le fait que chaque territoire cutané ou dermatome renferme du derme provenant d'un somite donné, innervé sur le plan sensitif par la racine postérieure du segment médullaire correspondant. La prolifération et la différenciation des cellules neuroépithéliales du tube neural va produire un épaississement de ses parois latérales à la faveur du toit, du plancher et du canal épendymaire dont il ne subsistera finalement qu'un étroit canal central au niveau de la moelle. Dès la fin de la 4e semaine, la croissance différentielle des parois latérales antérieure et postérieure du tube neural va former deux épaississements ventral et dorsal séparés par un sillon, le sillon limitant. Les épaississements dorsaux ou lames alaires forment les zones sensitives postérieures de la moelle, alors que les épaississements ventraux ou lames fondamentales forment les zones motrices antérieures. En outre, au niveau thoracique , une projection de substance grise appelée la corne intermédio-­latérale va apparaître entre les lames alaires et fondamentales, elle renferme les corps cellulaires des neurones du SNA. A huit semaines la longueur de la moelle et des ses trois couches de méninges en formation (pie-­‐mère arachnoïde et dure-­‐mère) est égale à celle du canal vertébral. A partir du 4e mois la croissance de la colonne vertébrale se poursuit, alors que celle de la moelle ralentit beaucoup. Cette croissance différentielle est à l'origine de la formation de la queue de cheval rassemblant les filets radiculaires ventraux et dorsaux situés en aval du cône médullaire. En effet, la colonne vertébrale et la dure-­‐mère s'allongeant plus rapidement que la moelle épinière, les nerfs rachidiens lombaires et sacrés initialement horizontaux, cheminent finalement obliquement en bas/dehors depuis leur segment médullaire d'origine vers l'étage vertébral correspondant. En dessous du cône médullaire la moelle se poursuit par la pie-­mère qui s'étire pour former un long filament, le filum terminal qui s'attache au niveau de la première vertèbre coccygienne. A la naissance le cône médullaire se situe au niveau L3 alors qu'à l'âge adulte ce dernier se situe au niveau de L1-­‐L2. A l'âge adulte la dure-­‐mère et l'arachnoïde s'étendent jusqu'à la S2) et le filum terminal va s'étendre au-­‐delà du cul de sac dural pour prendre la dénomination filum terminal externe. Rq : ME= tube cylindrique de 25cm de long et d’1cm d’épaisseur  elle occupe les 2/3 du canal rachidien Elle présente 2 renflements : -­‐cervical de C4 à T1 -­‐lombaire de L2 à S2 Elle se termine par le filum terminal qui ne contient pas de parenchyme nerveux, uniquement des prolongements. Elle se termine en L2. Juin 2006 1) Structure histologique de l’iléon. Sur quels critères histologiques pouvez-­‐vous différencier une coupe d’iléon d’une coupe de colon. On note une augmentation de la surface d’échanges grâce aux valvules conniventes (dont l’axe conjonctif = sous-­‐muqueuse), aux villosités (dont l’axe c. = chorion) et aux microvillosités. -­‐muqueuse = EPT+chorion On a une invagination de l’EPT pour former les glandes de Lieberkhün. -­‐EPT des villosités : prismatique simple cellules caliciformes + entérocyte + cellules endocrine + cellules M -­‐chorion = TC sous jacent avec des villosités (dont le nombre diminue) avec plaques de Peyer + vaisseaux -­‐cellules du collet (cellule mitotiques) ) la jonction villosité/glandes de L -­‐EPT des glandes L = entérocyte + cellules caliciformes + cellules endocrines + cellules de Paneth (au fond) -­‐muscularis mucosae -­‐circulaire interne -­‐longitudinale externe -­‐sous muqueuse -­‐forme l‘axe conjonctif des valvules conniventes (grand replis macroscopique ½ lunaire) -­‐plexus de Meissner -­‐tissu fibreux ++ -­‐vaisseaux -­‐musculeuse -­‐circulaire interne -­‐plexus d’Auerbach -­‐longitudinal externe -­‐séreuse Particularités de l’iléon (de l’IG) par rapport au colon : -­‐présence de villosités intestinales -­‐valvules conniventes de Kercring  disparaissent dans la moitié distale de l’iléon et sont donc absentes du côlon. Le côlon ne présente pas de : -­‐villosités -­‐de valvules conniventes -­‐de cellules de Paneth au fond des glandes Ses glandes de L possèdent un nombre considérable de cellules caliciformes sécrétant le mucus. Le chorion est dépourvu de plaques de Peyer. Sa couche longitudinale externe (de la musculeuse) est réduite à des bandelettes = taenia coli. 2) De la portion terminale des tubes séminifères aux canaux efférents : structures. La portion terminale des tubes séminifères se jette dans le rete testis par les tubes droits (entre 12 et 15). De là, vont émerger environ le même nombre de canaux efférents. Ils quittent le rete testis par sa partie supérieure ; traversent l’albuginée et pénètrent dans la tête de l’épididyme. Ils fusionnent ensuite formant le canal épididymaire qui prendra ensuite le nom de canal déférent. Portion terminale des tubes séminifères au rete testis : -­‐composées de cellules de Sertoli uniquement  ces cellules forment un EPT simple cubique avec des microvillosités à l’apex. Rete testis (RT) : -­‐EPT cubique -­‐dans le mediastinum testis = corps de Highmore -­‐les cellules du RT présentent 1 long cil central important pour la propuls° des spz qui sont encore immobiles Canaux efférents : -­‐appartiennent à l’épididyme -­‐au nombre de 12 -­‐mesure 20cm de long -­‐enroulé en spirale dont les spires s’élargissent : -­‐quittent le médiastinum testis par sa partie sup, traversent l’albuginée et pénètrent dans la tête de l’épididyme (Epi) -­‐ils fusionnent de façon progressive et donne un canal épididymaire unique. -­‐EPT prismatique simple avec 2 types de cellules : -­‐cellules cylindriques ciliées hautes dont les cellules permettent la propulsion des spz vers l’Epi -­‐cellules cylindro-­‐coniques non ciliées avec microvillosités apicales permettant la réabsorption du liq testiculaire. -­‐sous l’EPT  couche de cellules musculaires lisses associées à des fibres élastiques. Epididyme : -­‐tête, corps, queue -­‐EPT cylindrique pseudostratifié : cellules principales (cylindriques hautes) + cellules basales QCM 1) D EPT malphigien non kératinisé = EPT pavimenteux stratifié -­‐EPT ant de la cornée Epiderme : EPT malphigien kératinisé EPT de l’iris = EPT de l’uretère = urothélium = EPT pluristratifié EPT de l’uretère prostatique = idem ? EPT de la cornée = EPT unistratifié 2) E ? (métanéphros donne l’ensemble des éléments épithéliaux du néphron) A : Le rein se dvp à partir de l’induction entre 2 éléments : -­‐uretère pirmaire = diverticule dorsale wolfien  pour la partie excrétrice -­‐blastème néphorgène  pour la partie sécrétrice B et C: Le rein provient du mésoblaste intermédiaire (dans sa partie caudale) 3) B (les voies génitales mâles proviennent du canal mésonéphrotique) A : vessie vient du sinus uro génial (entoblaste) C : le mésonéphros participe à l’ébauche gonadique mâle !! 4) A (les gonades masculines sont le résultat de 2 poussées de cordons sexuels) B : les tubes séminifères se dvp à partir des cordons sexuels (pas à partir du métanéphros) C : les cellules germinales n’ont pas leur origine au niveau des crêtes génitales, elles vont y migrer (d’abord épiblaste puis VV puis crêtes) D : E : 5) ACE (déterminisme = mise en place du sexe géntique, pseudohermaphrodisme masculin : 46XY) B : hermaphrodisme vrai = mutation du gène SRY peut se caractériser par la coexistence dans une glande sexuelle de caractères masculins et féminins. D : Sexe phénotypique Gonade TURNER 45 X Femelle Ovaire atrophiée KLINEFELTER 47 XXY Mâle Testicules atrophiés 6) BE A propos de l’urothélium (EPT transitionnel) -­‐repose sur une membrane basale -­‐pluristratifié -­‐a des capacités d’étirement -­‐imperméable à l’urine car jct serrées -­‐présents (par ordre d’épaisseur) dans : calice, bassinet, uretère, vessie -­‐pseudo stratifié polymorphe 7) Aa, Bd, Cc, Db, Ed 8) ? 9) D A : l’unité fonctionnelle de l’ovaire = follicule ! B : ovocyte 2 différent de ovule (=ovocyte 2 fécondé) ? C : ovule = gamète féminin libéré de façon cyclique  FAUX, c’est l’ovocyte 2 D : ovaire entièrement recouvert d’un EPT cœlomique (=mésothélium) E : cellules hilaires de Berger ne sont pas des cellules tumorales 10) ? Rq : la granulosa sécrète et $ : -­‐le liquide antral -­‐l’aromatase qui permet la conversion des androgènes (des cellules théquales) en oestrogènes -­‐l’inhibine qui freine la sécrétion de FSH en agissant sur l’hypoP 11) ? A : follicule dominant : 2cm de diamètre 12) CD A : menstruation marque le DEBUT du cycle utérin B : spiralisation des artérioles entraine une constriction luminale + ralentissement du flux sanguin C : ischémie de la couche superf de l’endomètre entraine un infarctus de cette couche avec nécrose D : la suffusion hémorragique du chorion est due à la dilatation luminale des artérioles E : le sang menstruel ne coagule pas !! 13) AE A : le corps jaune est issu d’un follicule déhiscent B : le corps jaune GESTATIF $ l’oestradiol + progestérone jusqu’à la 12e semaine de grossesse C : les cellules lutéiniques issues de la granulosa $ de la PROGESTERONE D : ? E : la lutéolyse du corps jaune correspond à une fibrose collagénique 14) DE A : la surface externe du col est recouverte d’un EPT malphigien NON kératinisé B : cet EPT ne participe PAS au cycle génital  il reste constant quel que soit le stade C : ? D : les kystes de Naboth résultent de l’accumulation de mucines produites dans le fond des cryptes exocervicales E : la jonction exo-­‐endocervicale est le siège privilégié des dysplasies. 15) ? 16) ? 17) ABC A : index caryopycnotique : % de cellules superf à noyau pycnotique B : index acidophilique : % de cellules éosinophiles C : index oestrogénique : % de cellules éosinophiles à noyau pycnotique D : les cellules superf éosino n’ont pas forcément un noyau pycnotique E : l’index oestro est max au moment du pic d’oestradiol  de LH ?? 18) ? 19) B ?C ?DE A : les neurones sont caractérisés par une excitabilité ET une conductibilité importante B : les cellules de la paroi du tube neural initial comportent 2 prolongements, les prolongements épendymaires étant unis par des complexes jonctionnels C : au cours de l’histogénèse du SNC, tt les cellules du neurothélium se multiplient jusqu’au 3e mois de la vie intra utérine D : les 1e cellules à se différencier dans le tube neural = neuroblastes E : la couche marginale du tube neural ne comporte initialement pas de neurones 20) ? 21) E A,B : le TN au cours de son dvp DEBORDE de la chorde à son extrémité ANT C : l’acrancéphale est en AVANT de la chorde D : le TC n’est pas la partie du SNC où l’on observe le mieux le phénomène de métamérie  c’est la ME ? E : le max de croissance de corps cellulaire est observé en période anténatale 22) CD A : le 3e ventricule = cavité épendymaire du DIENCEPHALE B : ? C : l’aqueduc de S dérive de la 2e VCP D : le locus niger aussi E : ? Rq : corps cellulaire = soma = péricaryon Rq : myéline $ par oligodendrocytes (SNC), par cellules gliales+de Schwann (SNP) 23) B B : les cellules endothéliales sont unies par des complexes jonctionnels D : les cellules endothéliales ne possèdent PAS de vésicules de pinocytose E : les cellules endothéliales sont imperméables à la plupart des composants sanguins Rq : les dendrites ne sont jamais recouverts de myéline Rq : neurone bipolaire (rétine, oreille interne, aire olfative du cortex), neurone multipolaire (la + plupart des neurones de l’encéphale et de la ME) 24) BDE A : certains neurones ont une fonction glandulaire ? B : certains neurones ont une fonction sensorielle C : certains neurones n’ont ni dendrite ni axone  FAUX D : tt les neurones ont un influx dendritique centripète E : tt les neurone ont un influx axonal centrifuge 25) ACD Les cellules gliales sont : -­‐astrocytes -­‐oligodendrocytes -­‐cellules de Schwann 26) CE 27) BE A,B : car on a une corne latérale  donc niveau médullaire thoracique C : Sd spinothalamique = lésion des cordons antéro lat de la moelle D : Sd cordonal post = lésion des cordons post de la moelle D : Sd syringomyélique se caractérise par des troubles de la sensibilité EXTRA lemniscale 28) ? 29) E Les paires crâniennes innervant les territoires dérivés des arcs branchiaux : -­‐1e arc : V -­‐2e arc : VII -­‐3e arc : IX -­‐4e et 5e arc : X et XII 30) C A : locus niger  mésencéphale B : noyau accumbens  prosenséphale C : noyaux graciles et cunéiformes bulbe D : noyau rouge E : noyau amygdalien Rq : -­‐1e VCS télencéphale HC, ventricules lat, néostriatum (caudé, putamen), amygdale, noyaux cholinergiques de la base septum e
e
-­‐2 VCS diencéphale 3 ventricule, HH, thalamus, hypoT, épit, pallidum, corps de Luys e
-­‐3 VCS mésencéphale tubercules quadrijumeaux, aqueduc de S, pédoncules cérébraux, locus niger -­‐4e VCS métencéphale cervelet, 4e V, pont -­‐5e VCS myélencéphale cervelet, 4e V, bulbe, ç 31) E A : cortex cérébelleux : 3 couches B : nombre de couche homogène d’une zone à l’autre du cortex 32) B Les cellules du cortex cérébelleux dont l’axone est une EFFERENCE du cortex cérébelleux = cellules de Purkinje ! 33) AD A : ces noyaux (thalamus caudé, putamen) proviennent tous de la VCP ant 34) BC Noyaux appartenant au système cholinergique : -­‐noyaux du septum -­‐noyau de meynert 35) ABE A propos du cortex cérébral : A : il comporte l’ensemble des corps cellulaires des cellules neuronales observées au niveau des HC B : ll comporte des astrocytes de type protoplasmique C : il présente un agencement histo INHOMOGENE sur sa surface D : les cellules RECEPTRICES de ce cortex sont de type granulaire E : les cellules effectrices sont de type PYRAMIDAL 36) ABDE A : le paléocortex dérive du lobe olfactif primaire B : l’archicortex est observé au niveau de l’hippocampe (corne d’Ammon) + amygdale C : les astrocytes au niveau de la SB sont de type fibreux D,E : le trigone ou fornix = commissure interhémisphérique + fsx d’association du cerveau 37) ACD Dans la SB du SNC on trouve : -­‐vsx -­‐oligodendrocytes -­‐axones 38) C A propos des méninges : A ,B,C : dérivent des somites + crêtes neurales D : au niveau du RACHIS (et non du crâne), l’espace épidural comporte du tissu graisseux E : l’espace sous pial ne comporte PAS de LCR (c’est l’espace sous arachnoïdien) 39) ABC ?E A : le neurothélium est une couche située entre la dure mère et une mb basale sous jacente B : les cellules arachnoïdiennes sont unies par des jonctions com + desmosomes C : il existe des cellules comportant de la mélanine au niveau des méninges D,E : le LCR est produit par les plexus choroïdes et réabsorbé par les granulations de Pacchioni 40) B A propos des plexus choroïdes et du LCR : A : B : les cellules de revêtement portent à leur pôle apical des microvillosités C : ces cellules dérivent des CELLULES EPENDYMAIRES PRIMITIVES D : on les observe dans toutes les cavités ventriculaires (pas à la S de la dure mère) E : une hydrocéphalie peut être liée à une agénésie de l’aqueduc de Sylvius ? 41) B 42) BE A propos des gg nerveux : A,B : les ganglions rachidiens contiennent les corps cellulaires des neurones en T C : les gg de la chaine vertébrale sympathique contiennent les corps cellulaires des neurones en T ?? D : les cellules entourant le corps des neurones sont des cellules de s E : l’enveloppe fibreuse du gg comporte des cellules capsulaires 43) AD A propos d nerf périphérique A : tt les fibres nerveuses ont une enveloppe schwannienne B : a chaque fibre amyélinique correspond une seule cellule de S ?? C : a chaque cellule de S correspond une fibre myélinisée ?? D : les fibres myélinisées sont de + gros calibre E : la vitesse de conduction des fibres amyéliniques est MOINS élevée 44) B 45) D : Les neurones centraux du SN sympathique sont situés au niveau de la chaine latérale sympathique ? 46) ABCD 47) Les muscles lisses sont : érecteur des poils, m. innervé par le nerf trochléaire, m. constricteur + dilatateur de l’iris. Mais pas les muscles de la langue 48) BDE Les fuseaux neuromusculaires : A : sont des R sensoriels  FAUX = mécanoR B : contiennent des cellules muscu lisses  OUI C : contiennent des fibres nerveuses motrices  oui ?? D : contiennent des fibres nerveuses sensitives  oui ?? (fibres intrafusales) E : répondent à la vitesse d’étirement du muscle  OUI 49) CE ? A propos du système lymphoïde : A : ses organes centraux = MOELLE OSSEUSE + THYMUS B : ses organes périphériques = RATE + GG LYMPAHTIQUES C : les follicules lymphoïdes sont observés dans les organes centraux + périph D : les cellules sont toutes de types lymphoplasmocytaire  FAUX, il existe d’autres types de cellules E : il existe une trame de collagène de type 3  oui ? car type 3 entre dans la composition de fibres de réticuline 50) ? A : le thymus est le lieu de maturation des cellules lymphocytaires de type T (donc pas tous !!) B : toutes les cellules du thymus ne viennent pas de l’entoblaste !! (ex : cellules épithéliales, LT) 51) D La barrière thymique est faite de : -­‐cellule endothéliale -­‐cellules réticulaires 52) CE A propos des lymphocytes : A : ils présentent un rapport nucléo cytoplasmique FAIBLE  noyau prend presque toute la place B : leur noyau a une chromatine dense, sans nucléole visible  ?? C, D : le « T » vient de leur origine Thymique E : en sortant du thymus, un LT peut être CD4+ et CD8+ 53) ABE A : les LB possèdent des Ig de surface B : les LB possèdent des molécules de classe II du CMH à leur surface D : les plasmocytes ont un cytoplasme EOSINOPHILE E : les plasmocytes viennent de l’activation de LB 54) ? 55) AC ?DE ? A,B : la vésicule optique (vient du diencéphale) dérive de l’ectoblaste C : le pédicule optique (futur n. optique) dérive de l’ectoblaste ? D : le cristallin dérive de la placode optique (ectoblaste) E : la rétine vient de la paroi interne de la cupule optique (vient elle même de la vésicule optique) item E : l’ensemble de la rétine provient de la vésicule optique Rq : la rétine contient 5 types de neurones : -­‐photorécepteurs -­‐cellules bipolaires -­‐cellules ganglionnaires -­‐cellules horizontales -­‐cellules amacrines 56) ABC A : l’ensemble de la rétine comporte 10 couches cellulaires B : la cellule sensorielle de la rétine constitue le 1e neurone des voies visuelles = cellules en T C : la cellule ganglionnaire est le 2e neurone de la chaine des voies visuelles = cellule multipolaire D : les cellules à bâtonnets contiennent 3 pidemnts = RHODOPSINES (et pour les cônes  IODOPSINES) E : la fovéa est riche en CONES Rq : 2 types de cellules de soutien de la rétine : -­‐cellule de Müller -­‐astrocytes 58) D A propos de la zone de conduction : A : permet le TRANSPORT des gaz B : comporte des voies sanguines ?? C : COMPREND des bronchioles D : EPT de type respi = cylindrique pseudo stratifié cilié E : il y a du muscle lisse !! 59) BCDE A propos des bronches intra pulmonaires : A : appartiennent à la zone de CONDUCTION B : comportent des glandes séro muqueuses C : bordés par un EPT cylindrique D : comportent du muscle lisse E : comportent des îlots cartilagineux Zone de conduction  trachée, br souches, br intrapulmonaire, br terminales -­‐muq : EPT cylindrique pseudostratifié cilié + chorion -­‐gl séro muq -­‐BALT -­‐cartilage -­‐muscle de reissessen -­‐adventice Zone respiratoire = d’échange  br respi, canaux, sacs -­‐macrophages dans la lumière -­‐EPT alvéolaire : pavimenteux simple avec PI +++ et PII -­‐interstitium pulmonaire avec capillaires ++ -­‐surfactant Septembre 2006 1) Structure et ultrastructure du système capillaire Structure général : de l’intérieur vers l’extérieur -­‐endothélium vasculaire -­‐lame basale -­‐couche péricytaire (peu dvp chez l’Homme) Il existe 3 types de capillaires : -­‐capillaire à endothélium continu (1) -­‐capillaire à endothélium fenêtré (2) -­‐capillaire à endothélium sinusoïde (3) (1) -­‐Endothélium vasculaire formé de cellules endothéliales(de durée de vie de 120jours) réunis par des complexes de jonction de type desmosome. On note également la présence de myocytes au niveau des sphincters, de vésicules de transcytose et de cavéoles ainsi que de corps de Weibel Palade (support du facteur VIII de coagulation) -­‐L’endothélium repos sur une lame basale (sauf exception) -­‐La couche péricytaire : les péricytes ou cellules de Rouget sont des myocytes modifiées qui contrôlent la taille du capillaire. Ce type de capillaire est ubiquitaire sauf au niveau su SNC (sauf : épiphyse, hypophyse, plexus choroïdes, villosités arachnoïdiennes) : où il n’y a pas de vésicule de transcytose et présence de zonula occludens support de la barrière hémato encéphalique. (2) – Présentes dans les tissus des organes d’échanges (glomérule rénal et villosités intestinales) et dans les glandes endocrines. -­‐l’endothélium est perforé de pores (3) – Localisation : organes hématopoïétiques : rate, ganglion, moelle osseuse, thymus, foie. -­‐l’endothélium est perforé de larges pores mais on note tout de même la présence de jonctions adhésives. -­‐la lame basale est discontinue 2) Rôle de la trompe utérine en indiquant les modifications hito des élt constituant la paroi tubaire au cours du cycle. La trompe utérine possède divers rôles : -­‐transport des spermatozoïdes : arrivent dans le vagin et franchissent l’utérus pour arriver dans les trompes grâce au péristaltisme de l’utérus et de la trompe. Il y a alors battement des cils qui poussent les spz en distal. En 1er phase de cycle : mvt dans tt les sens des cils de la trompe donc permet à l’ovule d’être guidé en proximal et permet la monté des spz. Après ovulation les mvt se font dans un seul sens, vers la cavité utérine. Rq : les mvt ciliaires sont contrôlés par les hormones sexuelles et sous contrôle adrénergique. -­‐recueil de l’ovocyte de 2e ordre au niveau du pavillon (infundibulum). Des mouvements actifs de la trompe (grâce à la musculeuse qui crée un mvt du fluide péritonéale) permettent à l’ampoule (à leurs franges) de s’appliquer contre la paroi de l’ovaire et ainsi de récupérer l’ovule. -­‐lieu de la fécondation avec rencontre ovule/spz au 1/3 ext, 1/3 med : -­‐transport de l’œuf en cas de fécondation, celui-­‐ci voyage lors des 5 premiers jours avant qu’il ne s’implante dans l’endomètre de l’utérus (alors au stade de morula) -­‐rôle basale qui dure 4-­‐5 jours : les cellules sécrétrices vont sécrétées un liquide nutritif permettant la survie du zygote : enrichie en K+ et Cl-­‐ avec qq protéines sériques de type Ig. La muqueuse des trompes est formée d’un épithélium et d’un tissu conjonctif sous jacent appelé chorion. L’épithélium : -­‐cylindrique unistratifié -­‐comporte 3 types cellulaire : cellules ciliées, sécrétrices et basales. En 1e phase de cycle les cellule ciliées augmentent ++ en nb et composent 60% de l’EPT en période pré ovulatoire. Après ovulation, elles diminuent de taille et en nb. En 2e phase de cycle, sous l’influence de la progestérone, les cellules sécrétrices sont en qtt maximale. Rq : elle varie également en nb selon la géographie : + nb au niveau de la partie distale des trompes (pavillon) 3) L’interstitium testiculaire Il est situé entre les tubes séminifères. Il s’agit d’un tissu conjonctif lâche constitué de : -­‐fibrocytes (fibroblastes au repos) -­‐fibres de collagène entourant qq macrophages et mastocytes -­‐mastocyte et macrophage -­‐vaisseaux sanguins et lymphocytaires -­‐amas cellules de Leydig -­‐$ la testostérone -­‐elles sont proches de nerfs et des capillaires -­‐arrondie ou polygonale -­‐noyau rond avec 1 ou 2 nucléoles -­‐cytoplasme éosinophile. -­‐certaines contiennent des cristalloïdes de Reinke (à partir de la puberté puis en nb croissant) = corpuscule intra cytopkasmique. 4) Définition de la barrière alvéolo-­‐capillaire =zone de jonction entre le système respiratoire et le système sanguin permettant l’hématose: d’un côté la lumière de l’alvéole et de l’autre un capillaire sanguin, les membranes des 2 éléments ayant fusionnées afin de permettre la diffusion des différents éléments (02 vers le GR er C02 vers l’alvéole). QCM 1) Cortex cérébelleux : citer les différentes couches et les cellules les constituant De la superficie à la profondeur : -­‐couche moléculaire -­‐cellules en panier -­‐cellules étoilées : externes et profondes -­‐couche de Purkinje -­‐cellules de Purkinje -­‐couche des grains -­‐cellules à grains -­‐cellules de Golgi de type II 2) Néocortex cérébral homotypique : citer les différentes couches et les principales cellules les constituant. Rq : on a 2 types d’isocortex (=néocortex) cérébral : -­‐hétérotypique : -­‐type granulaire (pyramidale agranulaire) aire motrice 4 -­‐type frontal (pyramidale granulaire) -­‐type polaire -­‐type granuleux (koniocortex) aire 17 de Brodman -­‐homotypique -­‐6 couches harmonieuses : -­‐couche moléculaire -­‐couche granulaire externe -­‐couche des cellules pyramidales moyennes -­‐couche granulaire interne -­‐couche des grandes cellules pyramidales -­‐couche multiforme -­‐retrouvé dans le cortex associatif : -­‐zones préfrontales -­‐en occipito PARIETAL -­‐cortex temporal (la + grde partie) 3) Cellule effectrice du néocortex cérébral homotypique = cellule pyramidale 4) Cellule réceptrice du néocortex cérébral homotypique = cellule granulaire 5) Structure où l’on a le type histo de l’archicortex : Hippocampe + amygdale 6) du paléocortex : Rhinencéphale = lobe olfactif primaire 7) 4 constituants cellulaires du ganglion spinal= -­‐Corps neuronaux, -­‐cellules de Schwann -­‐neurones bipolaires -­‐cellules capsulaires 8) Dans les nerfs périph ; CHAQUE fibre nerveuse est entourée d’une enveloppe de cellules de Schwann 9) 2 principales fonctions de la cellule de Schwann -­‐production et maintien de la myéline -­‐rôle macrophagique 10) Quels sont les 2 élt supports histo de la barrière hémato encéphalique : -­‐Jonction serrée + absence de vésicule de pinocytose 11) schéma 12) Quels sont les 3 rôles du système lymphoïde : -­‐Formation et maturation des cellules immunitaires -­‐Lieu de la réaction immunitaire -­‐filtration du sang 13) Les 2 organes centraux du système lymphoïrde = Thymus et moelle osseuse 14) Structures a,atomiques où l’on retrouve des follicules lympoïde : Rate, thymus, ganglion, moelle osseuse, anneau de Waldeyer (végétation dénoïde, amygdale tubaire, palatine et linguale). 15) Citer 4 types cellulaires non lymphoïdes observés au niveau du système lymphoïde : -­‐Cellule nourricière, -­‐cellule réticulaire, -­‐cellule dendritique, -­‐macrophages, -­‐cellules M 16) Un coupe macro de la rate montre des « points blancs » de 1 à 2 mm de diamètre, représentant la « pulpe » blanche de la rate. A quelle structure histo cela correspond-­‐il ?  corpuscule de Malphigi = Follicule secondaire 17) Formation mésoblastique donnant le rein définitif : Le métanéphros et il se développe dans la portion caudale de l’embryon 18) A partir de quelle structure embryo se dvp les voies génitales masculines Canal de Wolff 19) …féminines ? Canal de Müller 20) ….la vessie ? Sinus urogénital 21) Différentes cellules observées au niveau du glomérule rénale ? Podocytes, cellules endothéliales, cellules du Lacis, cellules mésangiales, hématie, cellules productrices de rénine (dans l’a. aff ++) 22) Conséquence histo initiale d’une diminution nette du flux sanguin, conséquence sur la fonction rénale ? Insuffisance rénale  diminution de la fonction rénale avec acidose, hyperkaliémie, anurie Si cela se prolonge  nécrose tubulaire avec dégénérescence des cellules Mai 2007 1) Les voies aériennes de la zone de conduction : structure au microscope photonique. Les voies aériennes de la zone de conduction comprend : -­‐la trachée -­‐les 2 bronches souches -­‐les bronches intra pulmonaires -­‐les bronchioles terminales La structure est la suivante : -­‐lumière -­‐muqueuse qui comporte : -­‐EPT de type respiratoire : cylindrique pseudo stratifié, comporte différents types de cellules : -­‐cellules ciliées (cylindrique, noyau basal, microvillosités apicales) : de + en + abdondantes -­‐cellules caliciformes (à mucus) : de – en – nb des bronches souches aux bronches term -­‐cellules basales (pour le renouvellement cellulaire) -­‐cellules endocrines -­‐chorion : tissu conjonctif contenant des : -­‐glandes séro muqueuses : de – en – nb (disparaissent dans les bronchioles) -­‐capillaires, -­‐nerfs, -­‐MALT -­‐sous muqueuse : support de la vascularisation -­‐musculeuse : -­‐muscle trachéo dorsal pour la trachée, unit les 2 extrémités de l’anneau cartilagineux incomplet -­‐puis muscle lisse de Reissessen qui s’épaissit quand on avance dans les bronchioles -­‐cartilage hyalin : -­‐trachée : incomplet et formant 16 à 20 anneaux en fer à cheval ouvert en arrière -­‐de – en – présentes : forment ensuite des ilots cartilagineux et disparaît au niveau des bronchioles 2) Schéma légendé de la barrière alvéolo capillaire Questions de C.DEBOUT 1er page : -­‐il s’agit de coupes d’utérus -­‐stade  phase proliférative, elle dure de J4 à J14. Elle est précédée de la phase menstruelle et suivit de la phase ovulatoire. -­‐1= glande tubuleuse droite -­‐2= EPT cylindrique simple -­‐3= -­‐4= tissu conjonctif (chorion) « A » correspond à : 2e et 3e pages : Différentes étapes de mise en place de glande mammaire de la période fœtale jusqu’au stade fonctionnel (+ description histo de ces stades). -­‐à la 4e semaine : 2 crête mammaires (= invagination de l’ectoderme) s’installent, elles courent de la région inguinale à l’aisselle puis elles se fragmentent en 5 à 6 nodules épithéliaux = points mammaires qui évolueront pour n’en laisser que 2 en région pectoral -­‐l’ectoderme s’invagine pour former des bourgeons épidermiques puis des lumières s’y creusent = ébauche des futurs canaux lactifères (ou galactophores) (12e semaine)  ceux ci sont indifférenciés avant la puberté -­‐le dvp stagne ainsi jusqu’à la puberté où il reprend sous influence hormonales (oestrogènes) : prolifération par dichotomie des canaux + augm° de taille de glande mammaire (par dvp du tissu adipeux) -­‐mais la glande ne sera fonctionnelle seulement à la grossesse (glande tubulo alvéolaire) -­‐les ébauches des canaux galactophores sont constitués de progéniteurs se différenciant en : -­‐cellules myoépithéliales -­‐cellules luminales (au bord de la lumière des canaux) et donneront les cellules sécrétrices -­‐en cas de fécondation, le haut taux de progestérone va stimuler la sécrétion de prolactine permettant le dvp final de glande mammaire. -­‐la mammogénèse a lieu lors des 6 premiers mois de la grossesse : -­‐multiplication des lobules sous l’influence des oestrogènes + progestérone  donnent des acini -­‐les cellules luminales sécrètent : lactose + protéines + colostrum -­‐Rq : dans le lait on a : -­‐protéines IgA, IgG, lysosyme -­‐lipides +++ =TG -­‐glucide = lactose -­‐en période gestation on a aussi une prolifération des alvéoles à l’extrémité des canaux -­‐ce n’est qu’à partir de l’accouchement que la lactogénèse + galactopoïèse commencent -­‐la progestérone inhibe la lactation par stabilisation de la MEC -­‐en cas de grossesse : la progestérone inhibe tjr la sécrétion de prolactine mais il y a augm° des oestrogènes donc la MEC devient instable et donc les mitoses sont possibles. -­‐après l’accouchement, le taux d’oestro+prog chute donc la prolactine n’est plus inhibée -­‐la lactation est également stimulée par la tétée + par l’ocytocine (contraction des cellule myoépithéliales) sécrétée par la post hypophyse Rq sur les EPT : -­‐canal galactophore pavimenteux stratifié -­‐à la limite des lobules pavimenteux bistratifié -­‐canaux intra lobulaire cubique simple Rq : mode d’excrétion des canaux : mérocrine (protéines, lactose) + apocrine (lipides) 1) De la portion terminale des tubes séminifères au canal de l’épididyme (non compris) : structures Cf : juin 2006 2) Dessin du pôle vasculaire du glomérule de Malphigi (légendes : seulement les noms des structures) Question J.Alliet A=pôle muqueux fermé (de la muqueuse fundique) B=EPT de revêtement C=chorion D=cellules du collet E=infundibulum F=cellules bordantes G=cellules principales H=expansion musculaire I=capillaire ? J=infiltration lymphocytaire K=muscularis mucosae 1) Empreinte parentale 2) Bio$ des hormones thyroïdiennes. Préciser les sites d’action des ttt anti-­‐hyperthyroïdiens. Expliquer pk l’expression du symporteur de l’iode joue un rôle capital dans le traitement par l’iode radioactif des cancers de la glande thyroïde Les 2 hormones thyroïdiennes sont la tri et la tétra-­‐iodothyronine (T3 et T4). Elles dérivent de la tyrosine Ces hormones sont $ par les thyréocytes, de la façon suivant : -­‐captation des iodures (vient de l’iode alimentaire + iode obtenu par déshalogénation périphérique) au pôle basal via le couplage de la pompe Na+/K+ ATP ase et du symport Na+/I-­‐ -­‐cet iodure est transformé en iode actif -­‐puis incorporé à la thyroglobuline qui est alors excrétée dans la colloïde et ionisée = TG iodée -­‐la TG = forme de stockage de la thyroxine donc en cas de besoin, la TG est dégradée (sous l’influence de la TSH qui stimule la $ et la dégradation de la TG selon les besoins) -­‐la TG est alors réabsorbée au pôle apical du thyréocyte et subit une dégradation lysosomale pour donner les composées suivant : -­‐acides aminés (tyrosine)  formera la TG -­‐T3 et T4  rejoindront les tissus et une partie sera excrétée par les reins -­‐MiT, DiT, une partie de T4  subit une déshalogénation pour donner la tyrosine qui reformera la TG La thyroïde produit également la calcitonine au niveau des cellules C (ou parafolliculaires). -­‐pas de contrôle hypophysaire pais contrôle par la calcémie. Les hormones produites sont ensuite stockées au niveau de la colloïde. Septembre 2007 1) L’épididyme Il est constitué de 3 parties : -­‐tête -­‐corps -­‐queue On retrouve : le canal épididymaire, résultat de la fusion des canaux afférents qui mesure 5m de long, composé de plusieurs types de cellules : -­‐cellules principales : cylindriques pseudostratifiés  taille diminue du corps à la queue -­‐cellules basales de remplacement -­‐quelques lymphocytes Il a plusieurs rôles : -­‐stockage des spermatozoïdes -­‐résorption : des spz, des lobes résiduels, du liquide -­‐mobilité des spz : les spz deviennent mobiles dans l’épididyme -­‐décapacitation des spz : les spz sont enrobés par de protéines Cellules principales au ME : -­‐prolongements apicaux qui augmentent la surface membraneuse ce qui facilité la résorption. -­‐nb lysosomes car la phagocytose est importante -­‐golgi bien dvp -­‐PAS de granule de sécrétion, -­‐vésicules de pinocytose 2) Les glandes surrénales : structure et différents types cellulaires au MO -­‐glandes paires coiffant le pôle supérieur des reins D et G -­‐associent 2 systèmes endocriniens au sein d’un même organe : -­‐la corticosurrénale (externe) -­‐possède une capsule : TC + vsx + fibres élastiques + qq cellules muscu lisses -­‐on y trouve un REL dvp ++ et de nb lipides, des mitochondries (à crête tubulaire) -­‐divisée en 3 régions : -­‐zone glomérule -­‐sous capsulaire -­‐souvent incomplète et irrégulière -­‐représente 15% -­‐$ des minéralocorticoïdes : aldsotérone ++ (et désoxycorticostérone) -­‐zone fasciculée -­‐constituée de grandes cellules au cytoplasme clair -­‐représente 70% (occupe donc la + grande partie du cortex surrénalien) -­‐$ des glucocorticoïdes : cortisol -­‐zone réticulée -­‐constituée de cellule au cytoplasme éosinophile -­‐représente 15% -­‐$ des stéroïdes androgènes -­‐la médullosurrénale (interne) -­‐brune, centrale, entourée par le cortex -­‐les cellules sont + volumineuses, polyédriques avec de gros noyaux et cytoplasme granulaire -­‐on y trouve : -­‐des cellules chromaffines -­‐qq neurones -­‐fibres nerveuses -­‐une grosse veine centrale et des capillaires fenêtrés -­‐$ des catécholamines : -­‐les cellules A (80%) $ adrénaline -­‐les cellules AN (20%) $ noradrénaline 2) Corps jaunes : définition, formation, description histo du corps jaune progestatif (+ schéma) Corps jaune progestatif (cyclique) : Après l’ovulation, les restes du follicule se modifient sous l’influence de la LH. Celui-­‐ci devient progressivement fibreux. Les principales modifications intéressent : -­‐les cellules de la granulosa -­‐augmente ++ de volume : REL se charge en lipides -­‐la mb de S disparaît  les c. reçoivent la LH  se transforment en cellules lutéales = lutéinisation -­‐sécrètent la progestérone -­‐les cellules de la thèque interne -­‐augmente de taille -­‐appelées petites cellules paralutéiniques -­‐surtout en périph du corps jaune -­‐sécrétent tjr les oestrogènes Le corps jaune apparaît composé d’une zone centrale de caillot sangun (corpus haemorrhagicum) en voie de fibrose, entourée par une épaisse zone de cellules lutéiniques riches en lipides. Il atteint sa taille max (2cm de diamètre) au 20e jour du cycle menstruel (jusqu’à ce mmt il a continué à $ oestradiol+progestérone), il commence son ovulation sauf en cas de fécondation. Corps jaune gestatif (de grossesse) : Après l’ovulation, les restes du follicule se modifient et forment le corps jaune. Ce dernier sécrète de la progestérone. Si il y a fécondation et nidation, il ne régresse pas mais au contraire, il devient + volumineux (3-­‐4cm de diamètre) et prend le nom de corps jaune gestatif (ou cyclique) Il persiste alors le 1er trimètre de la grossesse (12e semaine) grâce ) la sécrétion de HCG placentaire (similaire à la LH) et sécrète la progestérone jusqu’à ce que le placenta prenne le relais. A ce moment, il involuera. Schéma : cf p 377 livre d’histo 3) Décrire brièvement les différents types cellulaires constituant l’EPT alvéolaire pulmonaire chez l’Homme. =EPT pavimenteux simple constitué de 2 types cellulaires : -­‐pneumocytes 1 représentant 40% des cellules et occupant 93% de la surface. Ils ont peu d’organite et donc un rôle métabolique très mineur. Ils sont très différenciées et forment la barrière alvéolo-­‐capillaire, très sensible aux agressions. -­‐pneumocytes 2 représentent 60% des cellules et occupant 7% de la surface. On les retrouve dans les angles des alvéoles. Ils ont un rôle métabolique important puisqu’ils sécrètent le surfactant et sont donc riches en organites. Ils sont non différenciés et sont capables de donner les pneumocytes de type 1 pour remplacer ce qui ont été lésé, resserrant ainsi l’EPT alvéolaire. Juin 2008 1) Dans 2 embryons de sexe génétique XX et XY, comparer les relations de la gonade avec les structures mésonéphrotiques au cours des 7e et 8e semaines du dvp intra-­‐embryonnaire. Chez l’embryon XY, les cordons primitifs formés entre la 4e et la 6e semaine par poussée de l’EPT périphérique cœlomique de la gonade dans le mésenchyme, se différencient en cordons testiculaires qui s’allongent et prolifèrent. Les cellules de Sertoli et les gonocytes y sont emprisonnés. A la 8e semaine, les cordons testiculaires : -­‐se séparent de l’EPT cœlomique qui devient inactif et fibreux = albuginée testiculaire -­‐se connectent avec la partie distale des tubules mésonéphrotiques , seule partie du mésonéphros qui n’involue pas et donnera les cônes eff qui relient les futurs tubes séminifères (cordons) à l’épididyme (canal de W) Cette liaison est sous contrôle de la protéine TDF, transcrit du gène SRY. Elle est $ par les 1er cellules de S. Chez l’embryon XX, il n’y a aucune connexion entre le mésonéphros et la gonade. ` 2) Coupe histologique sagittale du testicule humaine et de l’épididyme 3) Structure histologique du duodénum. Sur quel(s) critère (s) histo pouvez vous différenciez une coupe de duodénum d’une coupe d’iléon. -­‐la muqueuse : -­‐EPT d’absorption : prismatique unistratifié fait de plusieurs cellules : -­‐cellules caliciformes qui sécrètent un mucus chargé de lubrifier le tube digestif -­‐entérocytes qui sont responsables de la digestion. -­‐cellules neuro endocrines L’EPT s’invagine pour former les glandes de Lieberkhühn. -­‐au fond : cellules de Paneth qui ont un rôle anti infectieux e -­‐chorion : -­‐TC lâche + -­‐vsx -­‐muscle de Brücke -­‐la muscularis mucosa : -­‐couche circulaire interne -­‐ couche longitudinale externe. -­‐la sous muqueuse : formé d’un TC lâche et comporte le plexus sous muqueux de Meissner responsable de l’innervation intrinsèque et des plexus sanguins et lymphocytaires. Dans le D1 on y retrouve des glandes de Brunner (tubulo alvéolaire) dont les cellules sécrètent un mucus chargé de neutraliser l’acidité gastrique. Elles viennent déboucher dans les glandes de Lieberkhühn. Les valvules conniventes de Kerckring sont centrées sur cette sous-­‐muqueuse. -­‐la musculeuse -­‐circulaire interne -­‐longitudinal externe -­‐plexus myentérique d’Auerbach entre deux -­‐l’adventice n’est qu’un simple TC L’iléon est différent du fait de la présence de nombreux follicules lymphatiques regroupés en plaques de Peyer. Il n’y a plus de valvules de Kerckring ni de glandes de Brunner mais les cellules caliciformes sont plus nombreuses. Au fond des glandes de Lieberkhühn, on retrouve des cellules entérochromaffines en plus des cellules de Paneth. Comparer brièvement la structure d’une bronche à celle d’une bronchiole. BRONCHES BRONCHIOLES Taille + grandes + petites (Ø<5mm) Epithélium De type respiratoire Dès les bronchioles respiratoires : Prismatique pseudo stratifié De type alvéolaire avec pneumocytes 1 et 2 Prismatique simple cilié + lame basale continue Cartilage hyalin OUI (Incomplet : îlots cartilagineux) NON Glandes séro muqueuse OUI NON Muscle de Reissessen OUI moyennement dvp OUI dvp ++ Lumière arrondie irrégulière Cellules caliciformes OUI Très peu Trachée > Bronche souche > Bronche intra pulmo > Bronchiole > B. term > B. respi > canaux alv > sacs alvéolaires Rq : cylindrique = prismatique Le thymus : donnez 5 caractéristiques qui le distinguent des autres organes lymphoïdes. -­‐ organe lymphoïde épithélial : pas de trame de réticuline -­‐ croissance non due à des stimulations antigéniques -­‐ absence de lymphatique afférente -­‐ lieu de maturation des lymphocytes T synthétisés dans la moelle osseuse -­‐ absence de réaction inflammatoire dans le thymus -­‐ pas de fonction de filtration QCM A) Nombre de couches au niveau du cortex cérébral pariétal : 6 La couche plexiforme faite surtout de cellules à cylindraxe horizontal. La couche granuleuse externe faite surtout de grains, avec de rares cellules pyramidales (petites). La couche des cellules pyramidales constituée de cellules pyramidales de taille moyenne et de rares grains. La couche granuleuse interne caractérisée surtout par l’absence de grains. La couche des grandes cellules pyramidales. La couche multiforme qui contient toutes les catégories cellulaires B) Cortex des hémisphères cérébraux homogènes : NON C) Nombre de couches cellulaires au niveau du cortex cérébrelleux : 3 D) Cortex des hémisphères cérébelleux homogènes : Oui E) Cellules réceptrices du cortex hémisphérique cérébral : cellule granulaire (étoilées) ces cellules prédominent au niveau de l’aire 17 F) Cellules effectrices du cortex hémisphérique cérébral : cellule pyramidal ces cellules prédominent au niveau de l’aire motrice primaire = aire 4 de Brodman G) 4 commissures inter hémisphériques : -­‐Corps calleux, -­‐commissures blanche ant -­‐commissure blanche post -­‐fornix H) Une des fonctions principales du thalamus : Relaies sur les voies sensitivo sensorielles vers le cortex cérébral I) 2 noyaux télencéphaliques intervenant dans la mémoire : -­‐noyau amygdalien -­‐noyaux cholinergiques J) 2 noyaux d’origine télencéphalique intervenant dans l’inhibition motrice -­‐noyau caudé -­‐putamen K) De quelle structure provient la rétine  vésicule optique (Ectoblaste) L) De quelle structure provient l’oreille -­‐externe : ectoderme de surface (ectoblaste) -­‐moyenne : 1ere poche entobrachiale (Entoblaste) -­‐interne : place otique M) Combien y a t’il de types cellulaires neuronales au niveau de la rétine, les citer :  N) 2 types de cellules réceptrices au niveau de la rétine : cônes + bâtonnets O) Au niveau de la fovéa (macula) : cônes ++ P) 2 types principaux de cellules de soutien au niveau de l’organe de Corti : -­‐cellules de Deiters = cellules phallangées -­‐cellules des piliers (int et ext) Q) De quels Sd pathologiques particuliers est responsable l’organisation histologique du TC : -­‐seuls Sd vu en cours : Sd alterne + Sd de Wallenberg R) Evt embryologique commun au cerveau et aux HC : migration des neuroblastes S) 2 rôles des astrocytes au cours du dvp embryologique : -­‐fonction de soutien, protection et nutrition -­‐permet la migration des neuroblastes en formant des « échelles » T)
U)
A quelle niveau du SNC n’y a t’il pas de BHE et pourquoi ? -­‐Hypophyse  laisse passer les hormones -­‐épiphyse, -­‐plexus choroïde  circulation du LCR -­‐villosité arachnoïdienne Principales différences organisation entre SN sympathiques et parasympathiques -­‐le sympathique est généralisée, il est présent sur toute la hauteur du rachis via les chaines orthosympathiques para vertébrales alors que le parasympathique n’est pas généralisée, il est présente dans 2 centres : cervical et sacré. Septembre 2008 1) Structures des artères Cf : septembre 2004 2) La cellule de Leydig : aspect en microscopie photonique et ultrastructure. -­‐$ la testostérone -­‐elles sont regroupées en ams proches de nerfs et des capillaires -­‐arrondie ou polygonale -­‐noyau rond avec 1 ou 2 nucléoles -­‐cytoplasme éosinophile et granuleux -­‐certaines contiennent des cristalloïdes de Reinke (à partir de la puberté puis en nb croissant) = corpuscule intra cytoplasmique. 3) La zone marginale de la rate : indiquez ses caractéristiques histologiques et son rôle. Il s’agit d’un tissu lymphoïde particulier qui forme un halo entre la pulpe blanche et la pulpe rouge. Elle représente la zone de terminaison. Elle présente des populations uniques de cellules : -­‐macrophages qui neutralisent les endotoxines bactériennes -­‐macrophages « de la zone marginale » qui présentent les Ag aux LB de la zone marginale -­‐cellules dendritiques -­‐LB de la zone marginale qui répondent rapidement car sont thymo indépendant Cela veut dire que si cette zone disparaît, le sujet devient très sensible à certaines bactéries, notamment les bactéries encapsulées (pneumocoques, méningocoques…) Pas avant l’âge de 5-­‐6ans. 4) Embryologie des méninges Les méninges proviennent des somites + des crêtes neurales d’où leurs caractéristiques de cellules mésenchymateuses et de cellules épithéliales. On parle de -­‐pachyméninges = dure mère -­‐leptoméninges = arachnoïde + pie mère Jusqu’au 30e jour de la vie intra utérine, il n’y a pas de différence entre les deux. On a simplement l’os, le tube neurale et des méninges primitives indifférenciées. Puis à partir du 30e jour, il y a individualisation de 2 zones : -­‐zone dense : formation de la dure mère (pachyméninge). Celle ci est contre l’os et formée de cellules conjonctives + compactes. -­‐zone molle/lâche : formation des leptoméninges contenant le LCR dans les espaces sous arachnoïdiens Au 40e jour, il n’y a pas encore de LCR. Ceux-­‐ci pénétreront que plus tardivement avec l’apparition de LCR. 5) Définition de la barrière alvéolo-­‐capillaire Cf : septembre 2006 6) Organisation histologique d’un nerf périphérique mixte Les nerfs périphériques sont des faisceaux d’axones associés à un tissu de soutien. Un nerf périphérique est constitué de : -­‐axones -­‐cellules de Schwann qui élaborent la myéline -­‐cellules de soutien fusiformes, fibroblastiques qui élaborent les fibres de collagène -­‐vsx sanguins Les 3 types de soutien sont : -­‐endonèvre : -­‐entoure chaque axine et les cellules de S qui lui sont associées. -­‐composé de fibres de collagènes, d’une MEC, qq fibroblastes -­‐périnèvre -­‐entoure les fascicules (groupes d’axones) -­‐formé par l’empilement de 7 ou 8 couches de cellules aplaties évoquant un EPT -­‐épinèvre -­‐feuillet externe de TC lâche reliant différents fascicules au sein d’un même tronc nerveux -­‐peut comprendre du tissu adipeux et une artère de type muscu irriguant le tronc nerveux Un nerf périphérique comporte des axones myélinisés + non myélinisés, les DEUX types étant protégés par des cellules de S. Rq : chaque cellule de S élabore la myéline d’un seul axone à la différence des oligodendrocytes du SNC. Rq : ganglions = relais du SNP et sont constitués de : -­‐corps cellulaires des neurones périph -­‐cellules de soutien : cellules satellites (=cellule corpusculaire ?) , cellules de S -­‐axones -­‐TC lâche JUIN 2009 1) Structure histo des parathyroïdes : architecture G, description des types cellulaires au MO + variation au cours de la vie Les parathyroïdes sont des glandes : -­‐dérivant des 3e et 4e poches branchiales -­‐au nombre de 4 à 8 -­‐de petite taille (5*3*1 mm) -­‐brunes -­‐disposées à la face post du corps thyroïde -­‐elles élaborent la parathormone (hypercalcémiante) -­‐entourée d’une capsule fibreuse -­‐elles présentent différents types cellulaires : -­‐cellules principales  seules présentes chez le nouveau né -­‐les + nb -­‐petite taille : 8 μm -­‐rares grains de sécrétion porteur de la PH -­‐pôles vasculaire possède un R au Ca2+ (CaR) -­‐golgi ++ -­‐REL +/-­‐ -­‐cellules transitionnelles -­‐cellules oxyphiles peu nb avt la puberté et augmente progressivement chez le jeune adulte -­‐adipocytes apparaissent à la puberté et augmente progressivement jusqu’à 40 ans -­‐tissu de soutien -­‐où les cellules principales et oxyphiles se disposent en cordons -­‐on y trouve également des capillaires 2) Coupe histologique sagittale du testicule humain et de l’épipidyme Cf : juin 2008 Quels sont les 3 stades d’évolution de la glande mammaire pdt la vie génitale active de la femme ? Les décrire histologiquement et préciser les facteurs qui entrainent ces modifications. -­‐avant la puberté -­‐depuis a puberté -­‐depuis la grossesse cf : mai 20007 Schéma de l’organe de Corti -­‐1 : membrane basilaire -­‐2 : pillier externe -­‐3 : tunnel de Corti -­‐4 : pillier interne -­‐5 : membrane tectoria -­‐6 : -­‐7 : cellule sensorielle externe -­‐8 : cellule phalange Rq : au dessus du schéma = canal cochléaire, au dessous = rampe tympanique Fibres afférentes au cervelet : -­‐fibres grimpantes -­‐fibres mousues SEPTEMBRE 2009 1) Développement de la 1ere vésicule cérébrale secondaire : étapes principales permettant d’aboutir à la structure anatomique définitive (+schéma) La 1ere VCS aussi appelé télencéphale dérive de la vésicule cérébrale primitive antérieure. Au 36e jour, il y 2 inflexions (antérieur et nucale) qui fait que l’on va passer de 3 VC primitives à 4 VC secondaires. Le télencéphale -­‐est en avant du diencéphale -­‐donne 2 évaginations lat = vésicules hémisphériques qui deviendront les hémisphères cérébraux -­‐la vésicule médiane initiale est alors incorporée entre ces 2 H qui communiquent avec le diencéphale -­‐en avant d’elle, la membrane/lame terminale qui provient de la paroi ant de la VCP ant persiste et permet d’associer les 2 vésicules hémisphériques (VH) A la 7e semaine de la vie intra utérine : -­‐apparition de 2 lobes olfactifs à la face antéro inf de chacune des vésicules H -­‐la partie prox du lobe olfactif donne l’uncus de l’hippocampe (paléocortex) -­‐le reste du lobe régresse avec persistance de sa partie distale donnant le bulbe olfactif rattaché à l’HC par le pédoncule olfactif -­‐les zones adjacentes forment le rhinencéphale A la 10e semaine de la vie intra utérine : -­‐croissance rapide des VH avec épaississement de leur paroi -­‐d’abord médiane qui fait saillie dans le ventricule lat corne d’Ammon (correspond à l’archicortex) -­‐puis basale  futurs corps striés (noyau caudé + putamen) -­‐puis latérale  insula On note principalement 2 mvt de croissance des hémisphères: -­‐en latéral : de part et d’autre de l’insula (reste fixe) entraine la formation de la scissure de Sylvius (SS) -­‐en antéro post : entraine l’incurvation (en fer en cheval ouvert en avant/bas) de la VH autour de l’insula, de la SS et de la paroi ext du corps strié  entraine une modif de la position de l’hippocampe Rq : la cavité de chaque hémisphère cérébral  ventricules lat qui forment 3 cornes : frontale, temporale, occipitale Il y aura com° entre 3e V et V lat via le trou de Monro (foramen inter ventriculaire) Diencéphale  pallidum = thalamus + partie int du noyau lenticulaire Télencéphale putamen (=partie ext du noyau lenticulaire) 2) Coupe histologique d’un nerf périphérique de type nerf spinal (6 légendes mini) 3) Coupe histo du corpuscule de Malphigi passant par les 2 pôles Cf : Mai 2007 
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