Infos & Auteur Citation | Amis Aper€u PDF | Inpho... Thomas Kuhn

Infos & Auteur Citation | Amis Aper€u PDF | Inpho Recherche | PhilPapers Bibliographie
Thomas Kuhn
D'abord publi• ven. 13 ao‚t 2004; r•vision de fond jeu. 11 ao‚t 2011
Thomas Samuel Kuhn (1922-1996) est l'un des philosophes les plus influents de la science du XXe
siƒcle, peut-„tre la plus influente. Son livre de 1962 La Structure des r•volutions scientifiques est l'un
des livres les plus cit•s universitaires de tous les temps. La contribution de Kuhn la philosophie de la
science a marqu• non seulement une rupture avec plusieurs grands doctrines positivistes, mais a
•galement inaugur• un nouveau style de la philosophie de la science qui a rapproch• l'histoire des
sciences. Son compte de l'•volution de la science que la science b•n•ficie tenu des p•riodes de
croissance stable ponctu•e par les r•volutions r•visionnelle. Pour cette thƒse, Kuhn a ajout• thƒse
incommensurabilit• †de la controverse, que les th•ories de p•riodes diff•rentes souffrent de
certains types profondes de l'•chec de la comparabilit•.
1. Vie et carriƒre
2. Le d•veloppement de la science
3. Le concept d'un paradigme
4. Perception, World-Change, et Incommensurabilit•
4,1 incommensurabilit• m•thodologique
4.2 La perception, l'incommensurabilit• d'observation, et World-Change
4,3 Kuhn Thƒse Early incommensurabilit• s•mantique
4,4 Kuhn Thƒse Incommensurabilit• tard s•mantique
5. Histoire des sciences
6. La critique et l'influence
6.1 Changement scientifique
6,2 Incommensurabilit•
6,3 Kuhn et sciences sociales
6.4 ‡valuation
Bibliographie
Outils acad•miques
D'autres ressources Internet
Entr•es connexes
1. Vie et carriƒre
La vie acad•mique de Thomas Kuhn a commenc• en physique. Il a ensuite pass• l'histoire de la
science, et que sa carriƒre se d•veloppe il a d•m•nag• la philosophie de la science, tout en
conservant un fort int•r„t dans l'histoire de la physique. En 1943, il est diplˆm• de Harvard summa
cum laude . Par la suite, il passa le reste des ann•es de guerre dans la recherche li•e au radar
Harvard, puis en Europe. Il a acquis son diplˆme de ma‰trise en physique en 1946, et son doctorat en
1949, aussi en physique (concernant une demande de la m•canique quantique la physique du
solide). Kuhn a •t• •lu la prestigieuse Soci•t• des Fellows l'Universit• Harvard, une autre dont les
membres a •t• WV Quine. A cette •poque, et jusqu'en 1956, Kuhn a enseign• un cours dans la
science pour les •tudiants en sciences humaines, dans le cadre de l'enseignement g•n•ral dans le
programme Sciences, d•velopp• par James B. Conant, le Pr•sident de l'Universit• Harvard. Ce cours a
•t• centr•e autour d'•tudes de cas historiques, et cela a •t• une premiƒre occasion de Kuhn l'•tude
historique des textes scientifiques dans le d•tail. Sa stup•faction initiale la lecture des travaux
scientifiques d'Aristote a •t• une exp•rience formatrice, puis qu'il •tait par une capacit• plus ou
moins soudaine comprendre Aristote correctement, non fauss• par la connaissance de la science
ult•rieures.
Cette Kuhn a conduit se concentrer sur l'histoire de la science et en temps voulu, il est nomm• un
poste de professeur adjoint l'•ducation g•n•rale et l'histoire des sciences. Durant cette p•riode,
son travail ax• sur la th•orie de la matiƒre siƒcle, XVIIIe et au d•but de l'histoire de la
thermodynamique. Kuhn ensuite l'histoire de l'astronomie, et en 1957 il publie son premier livre, La
r•volution copernicienne .
En 1961, Kuhn est devenu professeur titulaire l'Universit• de Californie Berkeley, ayant d•m•nag•
en 1956 pour occuper un poste dans l'histoire de la science, mais dans le d•partement de
philosophie. Cela lui a permis de d•velopper son int•r„t pour la philosophie des sciences. A Berkeley
collƒgues Kuhn incluse Stanley Cavell, qui a pr•sent• Kuhn l'Šuvre de Wittgenstein, et Paul
Feyerabend. Avec Feyerabend Kuhn a discut• d'un projet de La Structure des r•volutions
scientifiques qui a •t• publi•e en 1962 dans la s•rie "Encyclop•die internationale des sciences
unifi•e", •dit• par Otto Neurath et Rudolf Carnap. L'id•e centrale de cet extraordinairement influent-
et controvers•-livre est que le d•veloppement de la science est entra‰n•, dans les p•riodes normales
de la science, par l'adh•sion ce que Kuhn appelle un ‹paradigme†. Les fonctions d'un paradigme
sont la fourniture d'•nigmes pour les scientifiques r•soudre et fournir des outils pour leur
solution. Une crise de la science se pose lorsque la confiance est perdue dans la capacit• du
paradigme de r•soudre des •nigmes inqui•tantes particulier appel• ‹anomalies†. La crise est suivie
par une r•volution scientifique, si le paradigme existant est remplac• par un rival. Kuhn a affirm• que
la science guid•e par un paradigme serait ‹incommensurables† avec la science d•velopp•e sous un
paradigme diff•rent, ce qui signifie qu'il n'ya pas de commune mesure pour •valuer les diff•rentes
th•ories scientifiques. Cette thƒse de l'incommensurabilit•, d•velopp• la fois par Feyerabend, les
rƒgles sur certains types de comparaison des deux th•ories et rejette par cons•quent, certaines vues
traditionnelles du d•veloppement scientifique, comme l'id•e que la science tard s'appuie sur les
connaissances contenues dans les th•ories ant•rieures, ou l'id•e que les th•ories plus tard, sont plus
proches des approximations de la v•rit• que les th•ories ant•rieures. La plupart des travaux
ult•rieurs de Kuhn en philosophie a •t• d•pens• dans l'articulation et le d•veloppement des id•es
dans La Structure des r•volutions scientifiques , bien que certains d'entre eux, tels que la thƒse de
l'incommensurabilit•, a subi une transformation dans le processus.
Selon Kuhn lui-m„me (2000, 307), La Structure des r•volutions scientifiques d'abord suscit• l'int•r„t
des chercheurs en sciences sociales, bien qu'il n'ait en temps opportun de cr•er de l'int•r„t chez les
philosophes que Kuhn avait l'intention (et aussi avant longtemps parmi un public beaucoup plus large
acad•miques et g•n•rales ). Tout en reconnaissant l'importance des id•es de Kuhn, la r•ception
philosophique •tait n•anmoins hostiles. Par exemple, l'examen Dudley Shapere (1964) a soulign• les
implications relativistes des id•es de Kuhn, et cela d•finir le contexte de beaucoup de discussions
philosophiques ult•rieures. Depuis la suivante de rƒgles (de la logique, de la m•thode scientifique,
etc) a •t• consid•r• comme le sine qua non de la rationalit•, pr•tendent que les scientifiques de
Kuhn n'emploient pas de rƒgles dans leurs d•cisions apparu •quivaut l'affirmation que la science
est irrationnel. Ceci a •t• soulign• par son rejet de la distinction entre d•couverte et justification
(peut nier que nous pouvons distinguer entre le processus psychologique de la pens•e une id•e et le
processus logique de justifier sa pr•tention la v•rit•) et son insistance sur l'incommensurabilit•
(l'affirmation selon laquelle certains types comparaison entre les th•ories sont impossibles). La
r•ponse n•gative chez les philosophes a•t• exacerb•e par une tendance importante naturaliste dans
La Structure des r•volutions scientifiques qui •tait alors inconnu. Un exemple particuliƒrement
significatif de cette insistance •tait de Kuhn sur l'importance de l'histoire des sciences la
philosophie de la science. La phrase d'ouverture du livre se lit: ‹L'histoire, si on la considƒre comme
un r•f•rentiel de plus de anecdote ou la chronologie, pourrait produire une transformation d•cisive
de l'image de la science par laquelle nous sommes actuellement poss•d•e† (1962/1970, 1). Aussi
importante et inconnue a •t• l'appel de Kuhn la litt•rature psychologique et des exemples (comme
liant la th•orie du changement avec l'apparition d'une image change Gestalt).
En 1964, Kuhn quitt• Berkeley pour prendre la position de M. Taylor Professeur Pyne en philosophie
et histoire des sciences l'Universit• de Princeton. Dans l'ann•e qui suit un •v•nement important a
eu lieu qui ont aid• promouvoir le profil de Kuhn encore parmi les philosophes. Un Colloque
international de philosophie des sciences a eu lieu au Bedford College, Londres. Un des •v•nements
principaux de ce colloque •tait destin• „tre un d•bat entre Kuhn et Feyerabend, avec Feyerabend
promouvoir le rationalisme critique qu'il partage avec Popper. Comme il a •t•, Feyerabend •tait
malade et incapable d'y assister, ainsi que les documents remis centr• sur le travail de Kuhn. John
Watkins a eu lieu Feyerabend dans une s•ance pr•sid•e par Popper. La discussion qui s'ensuit,
laquelle Popper et aussi Margaret Masterman et Stephen Toulmin ont contribu•, a compar• les
points de vue de Kuhn et Popper et ainsi contribu• •clairer la signification de l'approche de Kuhn.
Documents de ces intervenants ainsi que des contributions de Feyerabend et Lakatos, ont •t• publi•s
quelques ann•es plus tard, dans Critique et de la croissance du savoir , •dit• par Lakatos et Alan
Musgrave (1970) (le quatriƒme volume de la proc•dure partir de ce colloque). Dans la m„me ann•e
la deuxiƒme •dition de La Structure des r•volutions scientifiques a •t• publi•, y compris un post-
scriptum important dans lequel Kuhn clarifi• sa notion de paradigme. Ce fut en partie en r•ponse
Masterman (1970) critique que Kuhn avait utilis• ‹paradigme† dans une grande vari•t• de fa€ons; en
outre, Kuhn a estim• que les critiques avaient •chou• appr•cier l'importance qu'il posa sur l'id•e
d'un paradigme comme un modƒle ou un modƒle de r•solution d'•nigmes. Kuhn a •galement, pour
la premiƒre fois, explicitement donn• son travail un •l•ment anti-r•aliste en niant la coh•rence de
l'id•e que les th•ories pouvaient „tre consid•r•s comme plus ou moins proche de la v•rit•.
Un recueil d'essais de Kuhn dans la philosophie et histoire des sciences a •t• publi• en 1977, avec le
titre La tension essentielle prise par l'un des premiers essais de Kuhn dans lequel il souligne
l'importance de la tradition dans les sciences. L'ann•e suivante a vu la publication de sa monographie
historique seconde th•orie du corps noir et la discontinuit• quantique , concernant l'histoire des
d•buts de la m•canique quantique. En 1983, il a •t• nomm• Laurence S. Rockefeller Professeur de
philosophie au MIT. Kuhn a continu• dans les ann•es 1980 et 1990 pour travailler sur une vari•t• de
sujets en histoire et philosophie des sciences, y compris le d•veloppement de la notion
d'incommensurabilit•, et au moment de sa mort en 1996, il travaillait sur un deuxiƒme monographie
philosophiques traitant , entre autres choses, une conception •volutive du changement scientifique
et l'acquisition de concepts en psychologie du d•veloppement.
2. Le d•veloppement de la science
Dans La Structure des r•volutions scientifiques de Kuhn dresse un tableau du d•veloppement de la
science ressemble aucun qui l'avaient pr•c•d•. En effet, avant de Kuhn, il y avait peu d'•l•ments
d'un compte soigneusement examin•, th•oriquement s'expliquer du changement scientifique. Au
lieu de cela, il y avait une conception de la fa€on dont la science doit d•velopper ce fut un sous-
produit de la philosophie dominante de la science, ainsi que d'une populaire, vision h•roŒque du
progrƒs scientifique. Selon ces avis, la science se d•veloppe par l'ajout de nouvelles v•rit•s au stock
de vieilles v•rit•s, ou le rapprochement croissant des th•ories de la v•rit•, et dans le cas impair, la
correction des erreurs du pass•. Ces progrƒs pourraient s'acc•l•rer dans les mains d'un savant
particuliƒrement grande, mais les progrƒs lui-m„me est garanti par la m•thode scientifique.
Dans les ann•es 1950, quand Kuhn a commenc• ses •tudes historiques de la science, l'histoire de la
science est une discipline jeune universitaire. M„me ainsi, il devenait •vident que le changement
scientifique n'•tait pas toujours aussi simple que la norme, point de vue traditionnel aurait. Kuhn a
•t• le premier auteur et le plus important d'articuler un r•cit alternatif d•velopp•. Depuis l'affichage
standard en queue d'aronde avec la dominante, positiviste influenc• par la philosophie des sciences,
une vue non standard aurait des cons•quences importantes pour la philosophie des sciences. Kuhn
avait peu de formation officielle philosophique, mais a n•anmoins •t• pleinement conscient de
l'importance de son innovation pour la philosophie, et en effet il a appel• ‹l'histoire des fins
philosophiques† son travail (Kuhn 2000, 276).
Selon Kuhn le d•veloppement d'une science n'est pas uniforme, mais a en alternance ‹normales† et
‹r•volutionnaire† (ou ‹extraordinaire†) phases. Les phases r•volutionnaires ne sont pas simplement
des p•riodes d'acc•l•ration des progrƒs, mais ils diffƒrent qualitativement de la science normale. La
science normale ne ressembler la photo standard cumulatif du progrƒs scientifique, la surface au
moins. Kuhn d•crit la science normale comme ‹puzzle-solution† (1962/1970a, 35-42). Bien que ce
terme suggƒre que la science normale n'est pas dramatique, son but principal est de v•hiculer l'id•e
que, comme quelqu'un qui fait des mots crois•s ou un problƒme d'•checs ou d'un puzzle, le puzzle-
solver s'attend avoir une chance raisonnable de r•soudre le puzzle, que ses faisant d•pendra
principalement de sa propre capacit•, et que le puzzle lui-m„me et ses m•thodes de solution aura un
haut degr• de familiarit•. Un puzzle-solveur ne p•nƒtre pas dans tout territoire inexplor•. Parce que
ses •nigmes et leurs solutions sont connues et relativement simple, la science normale peut
s'attendre accumuler un stock croissant de puzzle-solutions. La science r•volutionnaire, cependant,
n'est pas cumulatif en ce que, selon Kuhn, les r•volutions scientifiques impliquent une r•vision la
croyance ou la pratique scientifique existante (1962/1970a, 92). Pas toutes les r•alisations de la
p•riode pr•c•dente de la science normale sont conserv•s dans une r•volution, et en effet une
p•riode ult•rieure de la science peuvent se retrouver sans une explication un ph•nomƒne que dans
une p•riode ant•rieure a •t• tenue avec succƒs s'expliquer. Cette caract•ristique des r•volutions
scientifiques est devenu connu comme ‹Kuhn-perte† (1962/1970a, 99-100).
Si, comme dans l'image standard, les r•volutions scientifiques sont comme la science normale mais
en mieux, alors la science r•volutionnaire tout moment „tre consid•r• comme quelque chose de
positif, d'„tre recherch•e, encourag•e et salu•e. Les r•volutions sont rechercher sur le point de vue
de Popper aussi, mais pas parce qu'ils ajoutent la connaissance positive de la v•rit• de th•ories,
mais parce qu'ils ajoutent la connaissance n•gative que les th•ories pertinentes sont fausses. Kuhn
a rejet• les deux les points de vue traditionnels et popp•rienne cet •gard. Il affirme que la science
normale peut r•ussir faire des progrƒs que s'il ya un engagement fort de la communaut•
scientifique pertinente leurs croyances partag•es th•oriques, les valeurs, les instruments et les
techniques, et m„me m•taphysique. Cette constellation d'engagements communs Kuhn un point
appelle une ‹matrice disciplinaire† (1970a, 182), bien que d'ailleurs il utilise souvent le terme de
‹paradigme†. Parce que l'engagement de la matrice disciplinaire est un pr•-requis pour la science
normale de succƒs, une inculcation de cet engagement est un •l•ment cl• dans la formation
scientifique et dans la formation de l'•tat d'esprit d'un scientifique r•ussie. Cette tension entre le
d•sir d'innovation et de la prudence n•cessaire de la plupart des scientifiques a fait l'objet d'un des
premiers essais de Kuhn dans la th•orie de la science †, la tension essentielle† (1959). L'accent
inhabituel sur une attitude conservatrice distingue Kuhn non seulement de l'•l•ment h•roŒque de
l'image standard, mais aussi de Popper et de sa description du scientifique jamais tenter de r•futer
ses th•ories les plus importantes.
Cette r•sistance conservatrice la tentative de r•futation des th•ories cl•s signifie que les
r•volutions ne sont pas recherch•, sauf dans des circonstances extr„mes. La philosophie de Popper
n•cessite qu'une seule reproductibles, ph•nomƒne anormal „tre suffisante pour entra‰ner le rejet
1 / 29 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !