
Selon Kuhn le d•veloppement d'une science n'est pas uniforme, mais a en alternance ‹normales† et 
‹r•volutionnaire† (ou ‹extraordinaire†) phases. Les phases r•volutionnaires ne sont pas simplement 
des p•riodes d'acc•l•ration des progrƒs, mais ils diffƒrent qualitativement de la science normale. La 
science normale ne ressembler … la photo standard cumulatif du progrƒs scientifique, … la surface au 
moins. Kuhn d•crit la science normale comme ‹puzzle-solution† (1962/1970a, 35-42). Bien que ce 
terme suggƒre que la science normale n'est pas dramatique, son but principal est de v•hiculer l'id•e 
que, comme quelqu'un qui fait des mots crois•s ou un problƒme d'•checs ou d'un puzzle, le puzzle-
solver s'attend … avoir une chance raisonnable de r•soudre le puzzle, que ses faisant d•pendra 
principalement de sa propre capacit•, et que le puzzle lui-m„me et ses m•thodes de solution aura un 
haut degr• de familiarit•. Un puzzle-solveur ne p•nƒtre pas dans tout territoire inexplor•. Parce que 
ses •nigmes et leurs solutions sont connues et relativement simple, la science normale peut 
s'attendre … accumuler un stock croissant de puzzle-solutions. La science r•volutionnaire, cependant, 
n'est pas cumulatif en ce que, selon Kuhn, les r•volutions scientifiques impliquent une r•vision … la 
croyance ou la pratique scientifique existante (1962/1970a, 92). Pas toutes les r•alisations de la 
p•riode pr•c•dente de la science normale sont conserv•s dans une r•volution, et en effet une 
p•riode ult•rieure de la science peuvent se retrouver sans une explication … un ph•nomƒne que dans 
une p•riode ant•rieure a •t• tenue avec succƒs … s'expliquer. Cette caract•ristique des r•volutions 
scientifiques est devenu connu comme ‹Kuhn-perte† (1962/1970a, 99-100).
Si, comme dans l'image standard, les r•volutions scientifiques sont comme la science normale mais 
en mieux, alors la science r•volutionnaire … tout moment „tre consid•r• comme quelque chose de 
positif, d'„tre recherch•e, encourag•e et salu•e. Les r•volutions sont … rechercher sur le point de vue 
de Popper aussi, mais pas parce qu'ils ajoutent … la connaissance positive de la v•rit• de th•ories, 
mais parce qu'ils ajoutent … la connaissance n•gative que les th•ories pertinentes sont fausses. Kuhn 
a rejet• les deux les points de vue traditionnels et popp•rienne … cet •gard. Il affirme que la science 
normale peut r•ussir … faire des progrƒs que s'il ya un engagement fort de la communaut• 
scientifique pertinente … leurs croyances partag•es th•oriques, les valeurs, les instruments et les 
techniques, et m„me m•taphysique. Cette constellation d'engagements communs Kuhn … un point 
appelle une ‹matrice disciplinaire† (1970a, 182), bien que d'ailleurs il utilise souvent le terme de 
‹paradigme†. Parce que l'engagement de la matrice disciplinaire est un pr•-requis pour la science 
normale de succƒs, une inculcation de cet engagement est un •l•ment cl• dans la formation 
scientifique et dans la formation de l'•tat d'esprit d'un scientifique r•ussie. Cette tension entre le 
d•sir d'innovation et de la prudence n•cessaire de la plupart des scientifiques a fait l'objet d'un des 
premiers essais de Kuhn dans la th•orie de la science †, la tension essentielle† (1959). L'accent 
inhabituel sur une attitude conservatrice distingue Kuhn non seulement de l'•l•ment h•roŒque de 
l'image standard, mais aussi de Popper et de sa description du scientifique jamais tenter de r•futer 
ses th•ories les plus importantes.
Cette r•sistance conservatrice … la tentative de r•futation des th•ories cl•s signifie que les 
r•volutions ne sont pas recherch•, sauf dans des circonstances extr„mes. La philosophie de Popper 
n•cessite qu'une seule reproductibles, ph•nomƒne anormal „tre suffisante pour entra‰ner le rejet