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Thomas Kuhn
D'abord publi• ven. 13 ao‚t 2004; r•vision de fond jeu. 11 ao‚t 2011
Thomas Samuel Kuhn (1922-1996) est l'un des philosophes les plus influents de la science du XXe
siƒcle, peut-„tre la plus influente. Son livre de 1962 La Structure des r•volutions scientifiques est l'un
des livres les plus cit•s universitaires de tous les temps. La contribution de Kuhn … la philosophie de la
science a marqu• non seulement une rupture avec plusieurs grands doctrines positivistes, mais a
•galement inaugur• un nouveau style de la philosophie de la science qui a rapproch• l'histoire des
sciences. Son compte de l'•volution de la science que la science b•n•ficie tenu des p•riodes de
croissance stable ponctu•e par les r•volutions r•visionnelle. Pour cette thƒse, Kuhn a ajout• thƒse
incommensurabilit• †de la controverse, que les th•ories de p•riodes diff•rentes souffrent de
certains types profondes de l'•chec de la comparabilit•.
1. Vie et carriƒre
2. Le d•veloppement de la science
3. Le concept d'un paradigme
4. Perception, World-Change, et Incommensurabilit•
4,1 incommensurabilit• m•thodologique
4.2 La perception, l'incommensurabilit• d'observation, et World-Change
4,3 Kuhn Thƒse Early incommensurabilit• s•mantique
4,4 Kuhn Thƒse Incommensurabilit• tard s•mantique
5. Histoire des sciences
6. La critique et l'influence
6.1 Changement scientifique
6,2 Incommensurabilit•
6,3 Kuhn et sciences sociales
6.4 ‡valuation
Bibliographie
Outils acad•miques
D'autres ressources Internet
Entr•es connexes
1. Vie et carriƒre
La vie acad•mique de Thomas Kuhn a commenc• en physique. Il a ensuite pass• … l'histoire de la
science, et que sa carriƒre se d•veloppe il a d•m•nag• … la philosophie de la science, tout en
conservant un fort int•r„t dans l'histoire de la physique. En 1943, il est diplˆm• de Harvard summa
cum laude . Par la suite, il passa le reste des ann•es de guerre dans la recherche li•e au radar …
Harvard, puis en Europe. Il a acquis son diplˆme de ma‰trise en physique en 1946, et son doctorat en
1949, aussi en physique (concernant une demande de la m•canique quantique … la physique du
solide). Kuhn a •t• •lu … la prestigieuse Soci•t• des Fellows … l'Universit• Harvard, une autre dont les
membres a •t• WV Quine. A cette •poque, et jusqu'en 1956, Kuhn a enseign• un cours dans la
science pour les •tudiants en sciences humaines, dans le cadre de l'enseignement g•n•ral dans le
programme Sciences, d•velopp• par James B. Conant, le Pr•sident de l'Universit• Harvard. Ce cours a
•t• centr•e autour d'•tudes de cas historiques, et cela a •t• une premiƒre occasion de Kuhn … l'•tude
historique des textes scientifiques dans le d•tail. Sa stup•faction initiale … la lecture des travaux
scientifiques d'Aristote a •t• une exp•rience formatrice, puis qu'il •tait par une capacit• plus ou
moins soudaine … comprendre Aristote correctement, non fauss• par la connaissance de la science
ult•rieures.
Cette Kuhn a conduit … se concentrer sur l'histoire de la science et en temps voulu, il est nomm• … un
poste de professeur adjoint … l'•ducation g•n•rale et l'histoire des sciences. Durant cette p•riode,
son travail ax• sur la th•orie de la matiƒre siƒcle, XVIIIe et au d•but de l'histoire de la
thermodynamique. Kuhn ensuite … l'histoire de l'astronomie, et en 1957 il publie son premier livre, La
r•volution copernicienne .
En 1961, Kuhn est devenu professeur titulaire … l'Universit• de Californie … Berkeley, ayant d•m•nag•
en 1956 pour occuper un poste dans l'histoire de la science, mais dans le d•partement de
philosophie. Cela lui a permis de d•velopper son int•r„t pour la philosophie des sciences. A Berkeley
collƒgues Kuhn incluse Stanley Cavell, qui a pr•sent• Kuhn … l'œuvre de Wittgenstein, et Paul
Feyerabend. Avec Feyerabend Kuhn a discut• d'un projet de La Structure des r•volutions
scientifiques qui a •t• publi•e en 1962 dans la s•rie "Encyclop•die internationale des sciences
unifi•e", •dit• par Otto Neurath et Rudolf Carnap. L'id•e centrale de cet extraordinairement influentet controvers•-livre est que le d•veloppement de la science est entra‰n•, dans les p•riodes normales
de la science, par l'adh•sion … ce que Kuhn appelle un ‹paradigme†. Les fonctions d'un paradigme
sont la fourniture d'•nigmes pour les scientifiques … r•soudre et … fournir des outils pour leur
solution. Une crise de la science se pose lorsque la confiance est perdue dans la capacit• du
paradigme de r•soudre des •nigmes inqui•tantes particulier appel• ‹anomalies†. La crise est suivie
par une r•volution scientifique, si le paradigme existant est remplac• par un rival. Kuhn a affirm• que
la science guid•e par un paradigme serait ‹incommensurables† avec la science d•velopp•e sous un
paradigme diff•rent, ce qui signifie qu'il n'ya pas de commune mesure pour •valuer les diff•rentes
th•ories scientifiques. Cette thƒse de l'incommensurabilit•, d•velopp• … la fois par Feyerabend, les
rƒgles sur certains types de comparaison des deux th•ories et rejette par cons•quent, certaines vues
traditionnelles du d•veloppement scientifique, comme l'id•e que la science tard s'appuie sur les
connaissances contenues dans les th•ories ant•rieures, ou l'id•e que les th•ories plus tard, sont plus
proches des approximations de la v•rit• que les th•ories ant•rieures. La plupart des travaux
ult•rieurs de Kuhn en philosophie a •t• d•pens• dans l'articulation et le d•veloppement des id•es
dans La Structure des r•volutions scientifiques , bien que certains d'entre eux, tels que la thƒse de
l'incommensurabilit•, a subi une transformation dans le processus.
Selon Kuhn lui-m„me (2000, 307), La Structure des r•volutions scientifiques d'abord suscit• l'int•r„t
des chercheurs en sciences sociales, bien qu'il n'ait en temps opportun de cr•er de l'int•r„t chez les
philosophes que Kuhn avait l'intention (et aussi avant longtemps parmi un public beaucoup plus large
acad•miques et g•n•rales ). Tout en reconnaissant l'importance des id•es de Kuhn, la r•ception
philosophique •tait n•anmoins hostiles. Par exemple, l'examen Dudley Shapere (1964) a soulign• les
implications relativistes des id•es de Kuhn, et cela d•finir le contexte de beaucoup de discussions
philosophiques ult•rieures. Depuis la suivante de rƒgles (de la logique, de la m•thode scientifique,
etc) a •t• consid•r• comme le sine qua non de la rationalit•, pr•tendent que les scientifiques de
Kuhn n'emploient pas de rƒgles dans leurs d•cisions apparu •quivaut … l'affirmation que la science
est irrationnel. Ceci a •t• soulign• par son rejet de la distinction entre d•couverte et justification
(peut nier que nous pouvons distinguer entre le processus psychologique de la pens•e une id•e et le
processus logique de justifier sa pr•tention … la v•rit•) et son insistance sur l'incommensurabilit•
(l'affirmation selon laquelle certains types comparaison entre les th•ories sont impossibles). La
r•ponse n•gative chez les philosophes a •t• exacerb•e par une tendance importante naturaliste dans
La Structure des r•volutions scientifiques qui •tait alors inconnu. Un exemple particuliƒrement
significatif de cette insistance •tait de Kuhn sur l'importance de l'histoire des sciences … la
philosophie de la science. La phrase d'ouverture du livre se lit: ‹L'histoire, si on la considƒre comme
un r•f•rentiel de plus de anecdote ou la chronologie, pourrait produire une transformation d•cisive
de l'image de la science par laquelle nous sommes actuellement poss•d•e† (1962/1970, 1). Aussi
importante et inconnue a •t• l'appel de Kuhn … la litt•rature psychologique et des exemples (comme
liant la th•orie du changement avec l'apparition d'une image change Gestalt).
En 1964, Kuhn quitt• Berkeley pour prendre la position de M. Taylor Professeur Pyne en philosophie
et histoire des sciences … l'Universit• de Princeton. Dans l'ann•e qui suit un •v•nement important a
eu lieu qui ont aid• … promouvoir le profil de Kuhn encore parmi les philosophes. Un Colloque
international de philosophie des sciences a eu lieu au Bedford College, Londres. Un des •v•nements
principaux de ce colloque •tait destin• … „tre un d•bat entre Kuhn et Feyerabend, avec Feyerabend
promouvoir le rationalisme critique qu'il partage avec Popper. Comme il a •t•, Feyerabend •tait
malade et incapable d'y assister, ainsi que les documents remis centr• sur le travail de Kuhn. John
Watkins a eu lieu Feyerabend dans une s•ance pr•sid•e par Popper. La discussion qui s'ensuit, …
laquelle Popper et aussi Margaret Masterman et Stephen Toulmin ont contribu•, a compar• les
points de vue de Kuhn et Popper et ainsi contribu• … •clairer la signification de l'approche de Kuhn.
Documents de ces intervenants ainsi que des contributions de Feyerabend et Lakatos, ont •t• publi•s
quelques ann•es plus tard, dans Critique et de la croissance du savoir , •dit• par Lakatos et Alan
Musgrave (1970) (le quatriƒme volume de la proc•dure … partir de ce colloque). Dans la m„me ann•e
la deuxiƒme •dition de La Structure des r•volutions scientifiques a •t• publi•, y compris un postscriptum important dans lequel Kuhn clarifi• sa notion de paradigme. Ce fut en partie en r•ponse …
Masterman (1970) critique que Kuhn avait utilis• ‹paradigme† dans une grande vari•t• de fa€ons; en
outre, Kuhn a estim• que les critiques avaient •chou• … appr•cier l'importance qu'il posa sur l'id•e
d'un paradigme comme un modƒle ou un modƒle de r•solution d'•nigmes. Kuhn a •galement, pour
la premiƒre fois, explicitement donn• … son travail un •l•ment anti-r•aliste en niant la coh•rence de
l'id•e que les th•ories pouvaient „tre consid•r•s comme plus ou moins proche de la v•rit•.
Un recueil d'essais de Kuhn dans la philosophie et histoire des sciences a •t• publi• en 1977, avec le
titre La tension essentielle prise par l'un des premiers essais de Kuhn dans lequel il souligne
l'importance de la tradition dans les sciences. L'ann•e suivante a vu la publication de sa monographie
historique seconde th•orie du corps noir et la discontinuit• quantique , concernant l'histoire des
d•buts de la m•canique quantique. En 1983, il a •t• nomm• Laurence S. Rockefeller Professeur de
philosophie au MIT. Kuhn a continu• dans les ann•es 1980 et 1990 pour travailler sur une vari•t• de
sujets en histoire et philosophie des sciences, y compris le d•veloppement de la notion
d'incommensurabilit•, et au moment de sa mort en 1996, il travaillait sur un deuxiƒme monographie
philosophiques traitant , entre autres choses, une conception •volutive du changement scientifique
et l'acquisition de concepts en psychologie du d•veloppement.
2. Le d•veloppement de la science
Dans La Structure des r•volutions scientifiques de Kuhn dresse un tableau du d•veloppement de la
science ressemble … aucun qui l'avaient pr•c•d•. En effet, avant de Kuhn, il y avait peu d'•l•ments
d'un compte soigneusement examin•, th•oriquement s'expliquer du changement scientifique. Au
lieu de cela, il y avait une conception de la fa€on dont la science doit d•velopper ce fut un sousproduit de la philosophie dominante de la science, ainsi que d'une populaire, vision h•roŒque du
progrƒs scientifique. Selon ces avis, la science se d•veloppe par l'ajout de nouvelles v•rit•s au stock
de vieilles v•rit•s, ou le rapprochement croissant des th•ories de la v•rit•, et dans le cas impair, la
correction des erreurs du pass•. Ces progrƒs pourraient s'acc•l•rer dans les mains d'un savant
particuliƒrement grande, mais les progrƒs lui-m„me est garanti par la m•thode scientifique.
Dans les ann•es 1950, quand Kuhn a commenc• ses •tudes historiques de la science, l'histoire de la
science est une discipline jeune universitaire. M„me ainsi, il devenait •vident que le changement
scientifique n'•tait pas toujours aussi simple que la norme, point de vue traditionnel aurait. Kuhn a
•t• le premier auteur et le plus important d'articuler un r•cit alternatif d•velopp•. Depuis l'affichage
standard en queue d'aronde avec la dominante, positiviste influenc• par la philosophie des sciences,
une vue non standard aurait des cons•quences importantes pour la philosophie des sciences. Kuhn
avait peu de formation officielle philosophique, mais a n•anmoins •t• pleinement conscient de
l'importance de son innovation pour la philosophie, et en effet il a appel• ‹l'histoire … des fins
philosophiques† son travail (Kuhn 2000, 276).
Selon Kuhn le d•veloppement d'une science n'est pas uniforme, mais a en alternance ‹normales† et
‹r•volutionnaire† (ou ‹extraordinaire†) phases. Les phases r•volutionnaires ne sont pas simplement
des p•riodes d'acc•l•ration des progrƒs, mais ils diffƒrent qualitativement de la science normale. La
science normale ne ressembler … la photo standard cumulatif du progrƒs scientifique, … la surface au
moins. Kuhn d•crit la science normale comme ‹puzzle-solution† (1962/1970a, 35-42). Bien que ce
terme suggƒre que la science normale n'est pas dramatique, son but principal est de v•hiculer l'id•e
que, comme quelqu'un qui fait des mots crois•s ou un problƒme d'•checs ou d'un puzzle, le puzzlesolver s'attend … avoir une chance raisonnable de r•soudre le puzzle, que ses faisant d•pendra
principalement de sa propre capacit•, et que le puzzle lui-m„me et ses m•thodes de solution aura un
haut degr• de familiarit•. Un puzzle-solveur ne p•nƒtre pas dans tout territoire inexplor•. Parce que
ses •nigmes et leurs solutions sont connues et relativement simple, la science normale peut
s'attendre … accumuler un stock croissant de puzzle-solutions. La science r•volutionnaire, cependant,
n'est pas cumulatif en ce que, selon Kuhn, les r•volutions scientifiques impliquent une r•vision … la
croyance ou la pratique scientifique existante (1962/1970a, 92). Pas toutes les r•alisations de la
p•riode pr•c•dente de la science normale sont conserv•s dans une r•volution, et en effet une
p•riode ult•rieure de la science peuvent se retrouver sans une explication … un ph•nomƒne que dans
une p•riode ant•rieure a •t• tenue avec succƒs … s'expliquer. Cette caract•ristique des r•volutions
scientifiques est devenu connu comme ‹Kuhn-perte† (1962/1970a, 99-100).
Si, comme dans l'image standard, les r•volutions scientifiques sont comme la science normale mais
en mieux, alors la science r•volutionnaire … tout moment „tre consid•r• comme quelque chose de
positif, d'„tre recherch•e, encourag•e et salu•e. Les r•volutions sont … rechercher sur le point de vue
de Popper aussi, mais pas parce qu'ils ajoutent … la connaissance positive de la v•rit• de th•ories,
mais parce qu'ils ajoutent … la connaissance n•gative que les th•ories pertinentes sont fausses. Kuhn
a rejet• les deux les points de vue traditionnels et popp•rienne … cet •gard. Il affirme que la science
normale peut r•ussir … faire des progrƒs que s'il ya un engagement fort de la communaut•
scientifique pertinente … leurs croyances partag•es th•oriques, les valeurs, les instruments et les
techniques, et m„me m•taphysique. Cette constellation d'engagements communs Kuhn … un point
appelle une ‹matrice disciplinaire† (1970a, 182), bien que d'ailleurs il utilise souvent le terme de
‹paradigme†. Parce que l'engagement de la matrice disciplinaire est un pr•-requis pour la science
normale de succƒs, une inculcation de cet engagement est un •l•ment cl• dans la formation
scientifique et dans la formation de l'•tat d'esprit d'un scientifique r•ussie. Cette tension entre le
d•sir d'innovation et de la prudence n•cessaire de la plupart des scientifiques a fait l'objet d'un des
premiers essais de Kuhn dans la th•orie de la science †, la tension essentielle† (1959). L'accent
inhabituel sur une attitude conservatrice distingue Kuhn non seulement de l'•l•ment h•roŒque de
l'image standard, mais aussi de Popper et de sa description du scientifique jamais tenter de r•futer
ses th•ories les plus importantes.
Cette r•sistance conservatrice … la tentative de r•futation des th•ories cl•s signifie que les
r•volutions ne sont pas recherch•, sauf dans des circonstances extr„mes. La philosophie de Popper
n•cessite qu'une seule reproductibles, ph•nomƒne anormal „tre suffisante pour entra‰ner le rejet
d'une th•orie (Popper 1959, 86-7). Vue de Kuhn est que pendant les scientifiques, ni la science
normale de test, ni chercher … confirmer les th•ories d'inspiration de leurs matrice disciplinaire. Pas
plus qu'ils ne concerne que la falsification des r•sultats anormaux de ces th•ories. (Ce n'est que
sp•culative puzzle des solutions qui peuvent „tre falsifi•s de fa€on popp•rienne cours science
normale (1970b, 19).) Plutˆt, les anomalies sont ignor•es ou expliqu•s, si possible. C'est seulement
l'accumulation d'anomalies particuliƒrement g„nant qui pose un s•rieux problƒme pour la matrice
disciplinaires existantes. Une anomalie particuliƒrement g„nant est celui qui porte atteinte … la
pratique de la science normale. Par exemple, une anomalie peut r•v•ler des insuffisances dans
certaines piƒces d'•quipement couramment utilis•, par exemple en jetant le doute sur la th•orie
sous-jacente. Si une grande partie de la science normale repose sur cette piƒce d'•quipement, la
science normale sera difficile de poursuivre avec confiance jusqu'… ce que cette anomalie est
adress•e. Une panne g•n•ralis•e dans une telle confiance Kuhn appelle une ‹crise† (1962/1970a, 6676).
La r•ponse la plus int•ressante de la crise sera la recherche d'une matrice r•vis•e disciplinaires, une
r•vision qui permettra l'•limination d'au moins les anomalies les plus pressants et optimale de la
solution de nombreux et remarquables, des •nigmes non r•solues. Une telle r•vision sera une
r•volution scientifique. Selon Popper le renversement r•volutionnaire de la th•orie est celle qui est
logiquement requis par une anomalie. Selon Kuhn cependant, il n'existe pas de rƒgles pour d•cider
de la signification d'un puzzle et pour la pes•e des •nigmes et leurs solutions contre l'autre. La
d•cision d'opter pour une r•vision d'une matrice disciplinaire n'est pas celui qui est rationnellement
contraint, ni est le choix particulier de la r•vision rationnelle contraint. Pour cette raison, la phase
r•volutionnaire est particuliƒrement ouvert … la concurrence entre les id•es divergentes et de
d•saccord rationnel sur leurs m•rites respectifs. Kuhn ne mentionner briƒvement que les facteurs
extra-scientifiques pourraient aider … d•cider de l'issue d'une r•volution scientifique-des nationalit•s
et des personnalit•s des principaux protagonistes, par exemple (1962/1970a, 152-3). Cette
suggestion a grandi dans les mains de certains sociologues et historiens de la science dans la thƒse
que le r•sultat d'une r•volution scientifique, voire de n'importe quelle •tape du d•veloppement de la
science, est toujours d•termin•e par des facteurs socio-politiques. Kuhn lui-m„me d•savou• ces
id•es et son travail, il est clair que les facteurs d•terminant l'issue d'un diff•rend scientifique, en
particulier dans la science moderne, sont presque toujours … „tre trouv• dans la science, plus
pr•cis•ment en rapport avec la puissance d'•nigmes des id•es concurrentes.
‡tats-Kuhn que la science ne le progrƒs, m„me … travers les r•volutions (1962/1970a, 160ff.). Le
ph•nomƒne de perte de Kuhn-ne, en vue de Kuhn, •carter l'image traditionnelle cumulatif du
progrƒs. La recherche r•volutionnaire pour un paradigme de rechange est motiv•e par l'•chec du
paradigme existant pour r•soudre certaines anomalies importantes. Tout paradigme de rechange
devaient mieux r•soudre la majorit• de ces •nigmes, ou il ne vaudra adoption … la place du
paradigme existant. Dans le m„me temps, m„me si il ya une certaine perte de Kuhn-, un rempla€ant
digne doit •galement conserver une grande partie de la puissance de r•solution de problƒmes de son
pr•d•cesseur (1962/1970a, 169). (Kuhn ne •claircir ce point en affirmant que la nouvelle th•orie doit
conserver assez bien tous ses pr•d•cesseurs le pouvoir de r•soudre des problƒmes quantitatifs. Il
peut cependant perdre un peu qualitative, le pouvoir explicatif (1970b, 20).) Ainsi, nous pouvons dire
que les r•volutions ne apportent avec entre eux une augmentation globale de la r•solution
d'•nigmes pouvoir, le nombre et l'importance des puzzles et des anomalies r•solu par le paradigme
r•vis• d•passant le nombre et l'importance des •nigmes-solutions qui ne sont plus disponibles en
raison de Kuhn-perte. Kuhn est prompt … nier qu'il ya une inf•rence … partir de telles augmentations
de proximit• am•lior•e … la v•rit• ((1962/1970a, 170-1). En effet, il refuse plus tard que tout sens
peut „tre faite de la notion de proximit• … la v•rit• (1970a , 206). Au contraire, il privil•gie une vision
•volutive du progrƒs scientifique (1962/1970a, 170-3). Le d•veloppement •volutionnaire d'un
organisme peut „tre consid•r• comme sa r•ponse … un d•fi lanc• par son environnement. Mais cela
ne signifie pas que il ya une certaine forme id•ale de l'organisme qu'elle •volue vers analogue, la
science am•liore en permettant … ses th•ories d'•voluer en r•ponse aux •nigmes et les progrƒs sont
mesur•s par son succƒs dans la r•solution de ces •nigmes;. il n'est pas mesur• par ses progrƒs vers
une id•ale th•orie vraie.
3. Le concept d'un paradigme
Une science mature, selon Kuhn, les exp•riences des phases altern•es de la science normale et les
r•volutions. En science normale les th•ories cl•s, les instruments, les valeurs et les hypothƒses
m•taphysiques qui constituent la matrice disciplinaire sont maintenus fixes, permettant la
g•n•ration cumulatif de puzzle-solutions, alors que dans une r•volution scientifique de la matrice
disciplinaire subit de r•vision, afin de permettre … la solution du plus graves •nigmes anormales qui
ont troubl• la p•riode pr•c•dente de la science normale.
Un •l•ment particuliƒrement important de la thƒse de Kuhn dans La Structure des r•volutions
scientifiques se concentre sur une composante sp•cifique de la matrice disciplinaire. C'est le
consensus sur les instances exemplaire de la recherche scientifique. Ces exemples de la bonne
science est ce que Kuhn se r•fƒre … quand il utilise le terme de ‹paradigme† dans un sens plus •troit.
Il cite l'analyse d'Aristote sur le mouvement, les calculs de Ptol•m•e de positions Plantery,
l'application de Lavoisier sur la balance, et la math•matisation de Maxwell du champ
•lectromagn•tique comme des paradigmes (1962/1970a, 23). Cas exemplaire de la science sont
g•n•ralement … trouver dans les livres et documents, et ainsi de Kuhn souvent d•crit •galement les
grands textes comme des paradigmes, Ptol•m•e Almageste , Lavoisier Trait• •l•mentaire de chimie ,
et Newton Principia Mathematica et des Opticks (1962/1970a, 12). Ces textes contiennent non
seulement les principales th•ories et les lois, mais aussi-et c'est ce qui les rend paradigmes les
applications de ces th•ories dans la solution des problƒmes importants, avec les nouvelles
techniques exp•rimentales ou math•matiques (tels que l'•quilibre chimique dans Trait• •l•mentaire
de chimie et le calcul dans les Principia Mathematica ) employ•es dans ces applications.
Dans la postface de la deuxiƒme •dition de La Structure des r•volutions scientifiques de Kuhn dit de
paradigmes dans ce sens qu'ils sont "l'aspect le plus nouveau et le moins compris de ce livre†
(1962/1970a, 187). La revendication que le consensus d'une matrice disciplinaire est essentiellement
un accord sur les paradigmes, comme exemples, est destin• … expliquer la nature de la science
normale et le processus de crise, la r•volution, et le renouvellement de la science normale. Il
explique aussi la naissance d'une science mature. Kuhn d•crit une science immature, dans ce qu'il
appelle parfois sa p•riode de ‹pr•-paradigme†, comme manquant de consensus. ‡coles de pens•e
concurrentes possƒdent des proc•dures diff•rentes, des th•ories, m„me pr•suppos•s
m•taphysiques. Par cons•quent il ya peu de possibilit•s de progrƒs collectif. M„me le progrƒs
localis•s par une •cole en particulier est rendu difficile, car une grande •nergie intellectuelle est mis
en arguant sur les fondamentaux avec d'autres •coles au lieu de d•velopper une tradition de
recherche. Cependant, le progrƒs n'est pas impossible, et une •cole peut faire une perc•e lequel les
problƒmes communs des •coles concurrentes sont r•solus d'une maniƒre particuliƒrement
impressionnante. Ce succƒs attire les adeptes de l'•cart d'autres •coles, et un large consensus se
forme autour du nouveau puzzle-solutions.
Ce large consensus permet maintenant d'accord sur les fondamentaux. Pour un problƒme-solution
incarnera th•ories particuliƒres, des proc•dures et l'instrumentation, la langue scientifique,
m•taphysique, etc. Consensus sur le puzzle-solution apportera ainsi un consensus sur ces autres
aspects d'une matrice disciplinaire aussi. Le succƒs de puzzle-solution, d•sormais un paradigme
puzzle-solution, ne va pas r•soudre tous les problƒmes. En effet, il sera sans doute soulever de
nouveaux puzzles. Par exemple, les th•ories qu'il emploie peut impliquer une constante dont la
valeur n'est pas connue avec pr•cision; le paradigme puzzle-solution peut employer des
approximations qui pourrait „tre am•lior•, il peut sugg•rer d'autres •nigmes du m„me genre, il peut
sugg•rer de nouveaux domaines d'investigation. G•n•rer de nouveaux puzzles est une chose que le
paradigme de puzzle-solution ne; les aidant … r•soudre est une autre. Dans le sc•nario le plus
favorable, les nouvelles •nigmes pos•es par le paradigme de puzzle-solution peut „tre pris en
compte et r•pondre en utilisant pr•cis•ment les techniques que le paradigme de puzzle-solution
utilise. Et puisque le paradigme puzzle-solution est accept•e comme une grande r•ussite, ces trƒs
similaire puzzle solutions seront accept•es comme des solutions efficaces aussi. C'est pourquoi Kuhn
utilise ‹exemplaire† et de ‹paradigme†. Pour le roman puzzle-solution qui cristallise le consensus est
consid•r• et utilis• comme un modƒle de la science exemplaire. Dans la tradition de recherche, il
inaugure, un paradigme remplit-as-exemplaire de trois fonctions: (i) il suggƒre de nouveaux puzzles,
(ii), il suggƒre des approches pour r•soudre ces •nigmes, (iii) il est la norme par laquelle la qualit•
d'un projet puzzle-solution peut „tre mesur•e (1962/1970a, 38-9). Dans chaque cas, il est similitude
avec le modƒle qui est le guide des scientifiques.
Cela procƒde science normale sur la base de la similarit• per€ue exemplaires est un •l•ment
important et distinctif de nouvelle image de Kuhn sur le d•veloppement scientifique. La vue standard
expliqu• l'addition cumul•e des nouvelles connaissances en matiƒre de l'application de la m•thode
scientifique. Pr•tendument, la m•thode scientifique encapsule les rƒgles de la rationalit•
scientifique. Il se peut que ces rƒgles ne pouvaient pas rendre compte de l'aspect cr•atif de la
science-la g•n•ration de nouvelles hypothƒses. Ce dernier a donc •t• d•sign• ‹le contexte de la
d•couverte", laissant les rƒgles de la rationalit• de d•cider, dans le ‹contexte de justification† si une
hypothƒse nouvelle, … la lumiƒre de la preuve, „tre ajout•s au stock de th•ories accept•es.
Kuhn a rejet• la distinction entre le contexte de la d•couverte et le contexte de la justification
(1962/1970a, 8), et en cons•quence rejet• le compte standard de chacun. En ce qui concerne le
contexte de la d•couverte, l'affichage standard a jug• que la philosophie de la science n'avait rien …
dire sur la question du fonctionnement de l'imagination cr•atrice. Mais paradigmes de Kuhn ne
fournissent une explication partielle, puisque la formation avec des exemplaires permet aux
scientifiques de voir de nouveaux casse-t„te en termes de situations familiƒres •nigmes et donc leur
permet de voir les solutions possibles … leurs nouveaux puzzles.
Plus important encore pour Kuhn a •t• la fa€on dont son compte du contexte de justification diverg•
de l'image standard. Le fonctionnement d'exemplaires est destin• explicitement pour contraster avec
le fonctionnement des rƒgles. Le facteur d•terminant de l'acceptabilit• d'un puzzle-solution
propos•e est sa similitude avec la paradigmatique puzzle-solutions. Perception de la similitude ne se
r•duit pas … des rƒgles, et a fortiori ne peuvent „tre r•duites … des rƒgles de la rationalit•. Ce rejet
des rƒgles de la rationalit• a •t• l'un des facteurs qui ont conduit les critiques de Kuhn pour l'accuser
d'irrationalisme, en matiƒre de science comme irrationnel. • cet •gard, au moins l'accusation est loin
de la v•rit•. Pour de nier que certains processus cognitif est le r•sultat de l'application des rƒgles de
la rationalit• ne veut pas dire que c'est un processus irrationnel: la perception de la ressemblance
entre les deux membres d'une m„me famille peuvent •galement pas „tre r•duite … l'application des
rƒgles de la rationalit• . L'innovation de Kuhn dans La Structure des r•volutions scientifiques a •t• de
sugg•rer qu'un •l•ment cl• de la cognition dans la science fonctionne de la m„me fa€on.
4. Incommensurabilit• et World-Change
La conception standard de la th•orie empiriste de l'•valuation concerne notre jugement sur la qualit•
•pist•mique d'une th•orie d'„tre une question de l'application des rƒgles de la m•thode … la th•orie
et les preuves. Vue contrast•es Kuhn est que l'on en juge la qualit• d'une th•orie (et de son
traitement de la preuve) en la comparant … une th•orie paradigmatique. Les normes d'•valuation ne
sont donc pas permanentes, la th•orie ind•pendante de rƒgles. Ils ne sont pas les rƒgles, parce
qu'elles impliquent des relations de similarit• per€ue (de puzzle-solution … un paradigme). Ils ne sont
pas une th•orie ind•pendante, car ils impliquent par rapport … une th•orie (paradigme). Ils ne sont
pas permanentes, puisque le paradigme peut changer dans une r•volution scientifique. Par exemple,
pour de nombreux au XVIIe siƒcle, le compte de gravitation de Newton, impliquant une action …
distance sans aucune explication sous-jacente, semblait un compte pauvres, … cet •gard au moins, en
comparaison, par exemple, … l'explication de Ptol•m•e sur le mouvement des planƒtes en termes de
sphƒres cristallines contigus ou … l'explication de Descartes en termes de tourbillons. Cependant, plus
tard, une fois la th•orie de Newton •tait devenu accept•e et le paradigme par lequel les th•ories plus
tard ont •t• jug•s, l'absence d'un m•canisme sous-jacent pour une force fondamentale a •t•
consid•r• comme non-objection, comme, par exemple, dans le cas de la loi de Coulomb sur
l'attraction •lectrostatique . En effet, dans ce dernier cas la trƒs grande similarit• de l'•quation de
Coulomb … Newton a •t• prise pour „tre en sa faveur.
Par cons•quent, la comparaison entre les th•ories ne sera pas aussi simple que l'image standard
empiristes aurait-il, puisque les normes d'•valuation sont eux-m„mes sujettes … changement. Ce
genre de difficult• en comparaison th•orie est un exemple de ce que Kuhn et Feyerabend appel•
‹incommensurabilit•†. Les th•ories sont incommensurables quand ils partagent pas de commune
mesure. Ainsi, si les paradigmes sont les mesures de la tentative de casse-t„te des solutions, puis
casse-solutions d•velopp•es dans les diff•rentes •poques de la science normale sera jug•e par
rapport aux paradigmes diff•rents et donc l'absence d'une mesure commune. ‹Incommensurables†
Le terme d•rive d'un usage math•matique, selon laquelle le cˆt• et en diagonale d'un carr• sont
incommensurables, en vertu de l'absence de l'unit• qui peut „tre utilis• pour mesurer … la fois
exactement. Kuhn a soulign• que l'incommensurabilit• ne signifie non-comparabilit• (tout comme le
cˆt• et en diagonale d'un carr• sont comparables … bien des •gards). M„me ainsi, il est clair que, … la
thƒse incommensurabilit• moins trƒs Kuhn ferait comparaison th•orie plutˆt plus difficile que ce qui
avait •t• commun•ment suppos•, et dans certains cas impossible.
On peut distinguer trois types d'incommensurabilit• dans les remarques de Kuhn: (1)
m•thodologique-il pas de commune mesure, car les m•thodes de comparaison et de changement de
l'•valuation; (2) des preuves de perception / observation-observation ne peut pas fournir une base
commune de comparaison th•orie, puisque la perception l'exp•rience est la th•orie … charge; (3) la
s•mantique du fait que les langues des th•ories de diff•rentes p•riodes de la science normale ne
peut „tre inter-traduisibles constitue un obstacle … la comparaison de ces th•ories. (Voir Sankey 1993
pour une discussion utile sur les comptes changer de Kuhn sur l'incommensurabilit•.)
4,1 incommensurabilit• m•thodologique
L'incommensurabilit• illustr• ci-dessus selon lequel des solutions de puzzle de diff•rentes •poques
de la science normale sont •valu•s par r•f•rence … des paradigmes diff•rents, est
incommensurabilit• m•thodologique. Une autre source d'incommensurabilit• m•thodologique est le
fait que les tenants de paradigmes concurrents ne peuvent pas s'entendre sur les problƒmes qui un
paradigme candidat doit r•soudre (1962/1970a, 148). En g•n•ral, les facteurs qui d•terminent nos
choix de la th•orie (qu'il s'agisse de casse-t„te des solutions ou des th•ories de paradigme potentiels)
ne sont pas fixes et neutre, mais varient et d•pendent en particulier de la matrice disciplinaire dans
lequel le scientifique travaille. En effet, depuis la prise de d•cision n'est pas soumise … des rƒgles ou
algorithmique, il n'ya aucune garantie que ceux qui travaillent dans la m„me matrice disciplinaire
doit mettre d'accord sur leur •valuation de la th•orie (1962/1970a, 200), bien que dans de tels cas la
salle de divergence sera moins que quand les parties au conflit opƒrent dans diff•rentes matrices
disciplinaires. Malgr• la possibilit• de divergence, il n'en est pas moins un large accord sur les
caract•ristiques souhaitables d'un puzzle-solution nouvelle ou la th•orie. Kuhn (1977, 321-2) identifie
cinq caract•ristiques qui assurent la base commune pour un choix de la th•orie: 1. la pr•cision; 2.
coh•rence (tant … l'interne et avec d'autres th•ories actuellement admises); 3. port•e (de ses
cons•quences devrait s'•tendre au-del… des donn•es, il est n•cessaire d'expliquer), 4. simplicit•
(organisation non confus et des ph•nomƒnes isol•s); 5. f•condit• (pour des recherches plus
pouss•es). M„me si elles sont, pour Kuhn, constitutive de la science (1977c, 331, 1993, p. 338) qu'ils
ne peuvent pas d•terminer le choix scientifiques. Tout d'abord, qui dispose d'une th•orie de
satisfaire … ces critƒres peuvent „tre discutables (par exemple, ne concernent les engagements
ontologiques la simplicit• d'une th•orie ou sa forme math•matique?). Deuxiƒmement, ces critƒres
sont impr•cis, et il ya donc place pour un d•saccord sur le degr• auquel ils tiennent. Troisiƒmement,
il peut y avoir d•saccord sur la fa€on dont ils doivent „tre pond•r•s par rapport … un autre, surtout
quand ils sont en conflit.
4.2 La perception, l'incommensurabilit• d'observation, et World-Change
Un objectif important de l'int•r„t de Kuhn dans La Structure des r•volutions scientifiques •tait sur la
nature de la perception et comment il se peut que ce qu'un chercheur observe peut changer … la
suite de la r•volution scientifique. Il a d•velopp• ce qui est devenu connu comme la thƒse de la
th•orie de la d•pendance de l'observation, s'appuyant sur les travaux de NR Hanson (1958), tout en
se r•f•rant aux •tudes psychologiques men•es par ses collƒgues de Harvard, Leo Postman et Jerome
Bruner (Bruner et Postman 1949 ). La vue standard positiviste •tait que l'observation fournit l'arbitre
neutre entre les th•ories concurrentes. La thƒse que Kuhn et Hanson promu ni•, soutenant que la
nature de l'observation peut „tre influenc•e par les croyances et les exp•riences ant•rieures. Par
cons•quent, il ne peut pas s'attendre … ce que deux scientifiques en observant la m„me scƒne va
faire les m„mes observations th•orie neutre. Kuhn affirme que Galileo et un aristot•licien, lorsque
les deux regardant un pendule allez voir des choses diff•rentes (voir passage cit• ci-dessous).
La th•orie de l'observation de la d•pendance, en rejetant le rˆle de l'observation comme un arbitre
neutre parmi th•orie des th•ories, fournit une autre source d'incommensurabilit•.
Incommensurabilit• m•thodologique (Ž 4.1 ci-dessus) nie qu'il existe des m•thodes universelles pour
faire des inf•rences … partir des donn•es. La th•orie de l'observation de la d•pendance signifie que
m„me s'il n'y avait accept• les m•thodes d'inf•rence et l'interpr•tation, l'incommensurabilit• peut
encore se poser depuis que les scientifiques pourraient „tre en d•saccord sur la nature des donn•es
d'observation eux-m„mes.
Kuhn exprime ou s'appuie sur l'id•e que les participants dans diff•rentes matrices disciplinaires voir
le monde diff•remment en affirmant que leurs mondes sont diff•rents:
Dans un sens, je suis incapable d'expliquer plus loin, les partisans de paradigmes concurrents exercer
leur m•tier dans des mondes diff•rents. Une contrainte qui contient des corps tombent lentement,
les autres pendules qui se r•pƒtent leurs mouvements encore et encore. Dans l'une, des solutions
sont compos•s, dans les autres m•langes. L'un est incorpor• dans un plat, l'autre dans une courbe, la
matrice de l'espace. Pratiquer dans des mondes diff•rents, les deux groupes de scientifiques voient
des choses diff•rentes quand ils regardent du m„me point dans la m„me direction (1962/1970a,
150).
Que toutes ces remarques ont donn• certains commentateurs l'impression que Kuhn •tait une sorte
de forte constructiviste, estimant que la fa€on dont le monde est litt•ralement d•pend de la th•orie
scientifique est actuellement accept•. Kuhn, cependant, a ni• toute importation constructiviste de
ses remarques sur le monde changer. (Le plus proche de Kuhn est venu au constructivisme •tait de
reconna‰tre un parallƒle avec l'id•alisme kantien, dont il est question ci-dessous dans la section 6.4.)
Kuhn a compar• le changement dans le monde ph•nom•nal de la Gestalt-switch qui survient quand
on voit le sch•ma de canard-lapin premiƒre (repr•sentant) un canard puis comme (repr•sentant) un
lapin, quoique lui-m„me a reconnu qu'il n'•tait pas s‚r que la Gestalt affaire a •t• simplement une
analogie ou si elle illustre une v•rit• plus g•n•rale sur la maniƒre dont fonctionne l'esprit qui englobe
les arguments scientifiques aussi.
4,3 Kuhn Thƒse Early incommensurabilit• s•mantique
Bien que la th•orie de l'observation de la d•pendance joue un rˆle important dans La Structure des
r•volutions scientifiques , ni lui ni incommensurabilit• m•thodologique pourrait expliquer tous les
ph•nomƒnes que Kuhn a voulu capturer avec la notion d'incommensurabilit•. Certains de ses
propres exemples sont plutˆt tendues, par exemple, il dit Lavoisier vu oxygƒne o• Priestley a vu l'air
d•phlogistiqu•, d•crivant cela comme une ‹transformation de la vision† (1962/1970a, 118). Par
ailleurs, si l'observation-con€ue comme une forme de perception-ne joue pas un rˆle significatif dans
toutes les sciences. Kuhn a voulu expliquer sa propre exp•rience de la lecture d'Aristote, dont la
premiƒre a laiss• avec l'impression qu'Aristote •tait un scientifique inexplicablement pauvres (Kuhn,
1987). Mais une •tude attentive conduit … un changement dans sa compr•hension qui lui a permis de
voir que d'Aristote •tait en effet un excellent scientifique. Cela ne pouvait pas „tre simplement une
question de choses litt•ralement percevoir diff•remment. Kuhn a pris l'incommensurabilit• qui
l'emp„chait de bien comprendre Aristote, au moins en partie linguistique, question s•mantique. En
effet, Kuhn a pass• beaucoup de sa carriƒre aprƒs La Structure des r•volutions scientifiques tentent
d'articuler une conception s•mantique de l'incommensurabilit•.
Dans La Structure des r•volutions scientifiques de Kuhn affirme qu'il ya des changements importants
dans le sens des termes cl•s comme une cons•quence d'une r•volution scientifique. Par exemple,
Kuhn dit:
... Les r•f•rents physiques de ces concepts d'Einstein ne sont nullement identiques … ceux des
concepts newtoniens qui portent le m„me nom. (Masse newtonienne est conserv•e;. Einstein est
convertible avec l'•nergie seulement … de faibles vitesses relatives des deux peut „tre mesur•e de la
m„me maniƒre, et m„me alors ils ne doivent pas „tre con€us pour „tre les m„mes.) (1962/1970a,
102)
Ceci est important, car une conception standard de la transition du classique … la physique relativiste,
c'est que bien que la th•orie d'Einstein de la th•orie de la relativit• remplace Newton, ce que nous
avons est une am•lioration ou une g•n•ralisation lequel la th•orie de Newton est un cas particulier
d'Einstein (… une approximation prƒs) . Nous pouvons donc dire que la th•orie ult•rieure est plus
proche de la v•rit• que l'ancienne th•orie. Vue de Kuhn que la "masse" utilis•e par Newton ne peut
pas „tre traduit par ‹masse† comme utilis• par Einstein rend pr•tendument ce genre de
comparaison impossible. Ainsi incommensurabilit• est cens• exclure le r•alisme convergente, l'id•e
que la science montre en constante am•lioration approximation de la v•rit•. (Kuhn pense aussi, pour
des raisons ind•pendantes, que les id•es m„mes de la v•rit• et correspondant … la v•rit• de
similarit• sont incoh•rentes (1970a, 206).)
Vue Kuhn exprim•e dans le passage cit• ci-dessus d•pend de sens holisme-l'affirmation selon
laquelle les significations des termes sont li•s de telle fa€on que la modification du sens de l'un des
r•sultats terme dans des changements dans la signification des termes connexes: "Pour faire la
transition vers l'univers d'Einstein, l'ensemble du Web dont les brins sont conceptuels espace, temps,
matiƒre, la force, et ainsi de suite, a d‚ „tre d•plac• et fix• … nouveau sur toute la nature †.
(1962/1970a, 149). L'hypothƒse de l'holisme le sens est un de longue date un dans le travail de Kuhn.
Une source pour cela est la philosophie de Wittgenstein tard. Une autre source est pas sans rapport
avec l'hypothƒse du holisme dans la philosophie des sciences qui est cons•cutive … la conception
positiviste de la signification th•orique. Selon ce dernier, ce n'est pas la fonction de la partie
th•orique du langage scientifique pour d•signer et d•crire des entit•s non observ•e. Seuls les
sentences observation directe d•crire le monde, ce qui explique qu'ils aient le sens qu'ils font.
Th•ories permettre la d•duction des phrases d'observation. C'est ce qui donne des expressions
th•oriques de leur signification. ‡nonc•s th•oriques ne peut toutefois „tre r•duit … celles
d'observation. C'est parce que, premiƒrement, les propositions th•oriques sont collectivement
impliqu•s dans la d•duction des d•clarations d'observation, plutˆt que s•par•ment. Deuxiƒmement,
les th•ories de g•n•rer des •tats dispositionnels (par exemple sur la solubilit• d'une substance, sur la
fa€on dont ils apparaissent si elles sont observ•es dans certaines circonstances, etc), et les •tats
dispositionnels, •tant modale, ne sont pas •quivalentes … une fonction de v•rit• de (non-modale
d•clarations d'observation). En cons•quence, la signification d'une phrase th•orique n'est pas
•quivalente … la signification de toute phrase d'observation ou combinaison de phrases
d'observation. La signification d'un terme th•orique est un produit de deux facteurs: la relation de la
th•orie ou des th•ories dont il est une partie de ses cons•quences observationnelles et le rˆle que
joue terme particulier au sein de ces th•ories. Ce modƒle est le double langage de la langue de la
science et a •t• l'image standard de la relation d'une th•orie scientifique au monde quand Kuhn a
•crit La Structure des r•volutions scientifiques . D•fi de Kuhn de la donner n'est pas en rejetant le
r•alisme anti-implicite dans l'id•e que les th•ories ne se r•fƒrent pas au monde, mais plutˆt … miner
l'hypothƒse que la relation de la peine d'observation au monde n'est pas probl•matique. En insistant
sur la th•orie de d•pendance de l'observation, Kuhn en effet soutenu que le holisme de la
signification th•orique est partag•e par l'observation des termes apparemment aussi, et pour cette
raison le problƒme de l'incommensurabilit• peut pas „tre r•solu par le recours … des peines
d'observation th•orie neutre.
(M„me s'il est vrai que Kuhn utilise ‹r•f•rent physique† de l'expression dans le passage cit• cidessus, cela ne devrait pas „tre interpr•t• comme signifiant une entit• qui existe ind•pendamment
du monde. Si tel •tait le cas, Kuhn serait engag•e … l'existence mondaine des deux newtonienne de
masse de masse et d'Einstein (qui sont n•anmoins pas les m„mes). Il est invraisemblable que Kuhn
destin• … ent•riner une telle vue. Une meilleure interpr•tation est de comprendre que la prise de
r•f•rence Kuhn, dans ce contexte, „tre une relation entre un terme et un hypoth•tique plutˆt que
l'entit• mondains. r•f•rence de quelque chose comme le freg•en, genre mondain ne joue aucun rˆle
dans la pens•e de Kuhn. Encore une fois cela peut „tre consid•r• comme un reflet de l'influence de
l'une ou l'autre ou les deux en minimisant (plus tard) wittgensteinienne de r•f•rence et de l' vision
positiviste que les th•ories ne sont pas des descriptions du monde, mais sont d'une maniƒre ou d'une
autre des outils pour l'organisation ou la pr•diction d'observations.)
4,4 Kuhn Thƒse Incommensurabilit• tard s•mantique
Bien que Kuhn a affirm• une thƒse incommensurabilit• s•mantique dans La Structure des r•volutions
scientifiques , il n'a pas articuler ou il y plaident pour la thƒse en d•tail. C'est ce qu'il a tent• dans les
travaux ult•rieurs, avec le r•sultat que la nature de la thƒse a chang• au fil du temps. Le cœur de la
thƒse de l'incommensurabilit•, aprƒs La Structure des r•volutions scientifiques est l'id•e que certains
types de traduction sont impossibles. Dƒs le d•but Kuhn a fait un parallƒle avec la thƒse de Quine de
l'ind•termination de la traduction (1970a, 202; 1970c, 268). Selon ce dernier, si nous traduisons une
langue … une autre, il ya in•vitablement une multitude de fa€ons de fournir une traduction qui est
suffisant pour le comportement des intervenants. Aucun des traductions est celui particuliƒrement
juste, et en vue de Quine il n'ya pas de telle chose comme le sens des mots … traduire. Il est
n•anmoins clair que la thƒse de Quine •tait assez loin de la thƒse de Kuhn, en effet qu'elles sont
incompatibles. Tout d'abord, Kuhn pens• que c'•tait une question incommensurabilit• de l'absence
de traduction totalement ad•quats alors la thƒse de Quine impliqu•s la disponibilit• des traductions
multiples. Deuxiƒmement, Kuhn ne croient que les expressions traduits ont un sens, alors que Quine
conteste. Troisiƒmement, Kuhn tard a continu• pour dire que contrairement Quine, il ne pense pas
que cette r•f•rence est inscrutable-il est juste trƒs difficile de r•cup•rer (1976, 191).
Par la suite, Kuhn d•velopp•e l'id•e que l'incommensurabilit• d•coule de diff•rences dans les
sch•mas de classification. C'est incommensurabilit• taxonomiques. Un champ de la science est r•gi
par une taxonomie, qui divise son sujet en sortes. Associ•e … une taxonomie est un r•seau lexical de
r•seau de termes connexes. Un changement significatif scientifique apportera avec elle une
modification du r•seau lexical qui … son tour conduire … un r•alignement de la taxonomie du
domaine. Les termes de la nouvelles taxonomies et les vieux ne sera pas inter-traduisibles.
Le caractƒre probl•matique de la traduction se pose … partir de deux hypothƒses. Premiƒrement,
comme nous l'avons vu, Kuhn suppose que le sens est (localement) holistique. Un changement dans
le sens d'une partie de la structure lexicale se traduira par un changement … toutes ses parties. Ce
serait exclure la pr•servation de la traductibilit• des taxonomies en red•finissant le rˆle a chang• en
termes de la partie inchang•e. Deuxiƒmement, Kuhn adopte le principe du ‹pas de chevauchement"
qui stipule que les cat•gories dans une taxonomie doit „tre hi•rarchis•es: si deux cat•gories ont des
membres communs, puis on doit „tre pleinement int•gr•es dans l'autre, sinon ils sont disjoints, ils ne
peuvent pas simplement se chevauchent. Cela exclut la possibilit• d'une taxinomie qui englobe tout
qui intƒgre … la fois l'original et les taxonomies chang•. (Ian Hacking (1993) rapporte cela … la thƒse
du monde change: aprƒs une r•volution dans le monde des individus reste tel qu'il •tait, mais les
scientifiques travaillent maintenant dans un monde de nouveaux types .)
Kuhn a continu• … d•velopper son approche conceptuelle de l'incommensurabilit•. Au moment de sa
mort, il avait fait des progrƒs consid•rables sur un livre dans lequel il li• aux questions de
l'incommensurabilit• en psychologie du d•veloppement et l'acquisition de concept.
5. Histoire des sciences
Travaux historiques Kuhn portait sur plusieurs domaines de l'histoire de la physique et l'astronomie.
Pendant les ann•es 1950, son accent •tait mis principalement sur la th•orie au d•but de la chaleur et
le travail de Sadie Carnot. Toutefois, son premier livre portait sur la r•volution copernicienne en
astronomie plan•taire (1957). Ce livre est n• de l'enseignement qu'il avait fait sur l'enseignement
g•n•ral James Conant dans le curriculum des sciences … Harvard, mais aussi pr•sageait quelquesunes des id•es de La Structure des r•volutions scientifiques . En d•taillant les problƒmes avec le
systƒme de Ptol•m•e et de Copernic solution "pour eux, Kuhn a montr• deux choses. D'abord, il a
d•montr• que la science aristot•licienne •tait la vraie science, et que ceux qui travaillent dans cette
tradition, en particulier ceux qui travaillent sur l'astronomie de Ptol•m•e, •taient engag•s dans un
projet tout … fait raisonnable et reconnue scientifique. Deuxiƒmement, Kuhn a montr• que Copernic
•tait lui-m„me beaucoup plus redevables … cette tradition que ce qui avait g•n•ralement •t•
reconnu. Ainsi, l'opinion populaire que Copernic •tait un savant moderne qui a renvers• un point de
vue non scientifique et … long d•mod•e se trompe … la fois en exag•rant la diff•rence entre Copernic
et les astronomes de Ptol•m•e et de sous-estimer les pouvoirs scientifique du travail effectu• avant
Copernic. Cette erreur de vue un produit de la distorsion caus•e par l'•tat actuel des connaissances
ne peut „tre rectifi•e que par la vue des activit•s de Copernic et de ses pr•d•cesseurs … la lumiƒre
des •nigmes qui leur sont pr•sent•s par la tradition qu'elles ont in•vitablement eu … travailler avec.
Alors que Kuhn ne reconnaissent l'influence de causes dehors de la science (comme une r•surgence
de l'adoration du Soleil (1962/70a, 152-3)), il souligne n•anmoins le fait que les astronomes ont r•agi
principalement aux problƒmes soulev•s dans la science. Que fait appel … eux dans le modƒle de
Copernic a •t• sa capacit• … faire dispara‰tre des dispositifs ad hoc dans le systƒme de Ptol•m•e
(comme le Equant), pour expliquer des ph•nomƒnes cl•s de fa€on agr•able (le mouvement observ•
r•trograde des planƒtes), et d'expliquer l'•cart coŒncidences inexplicables dans le systƒme de
Ptol•m•e (tels que l'alignement du Soleil et les centres des •picycles des planƒtes inf•rieures).
Dans les ann•es 1960 le travail historique de Kuhn tourn• vers l'histoire des d•buts de la th•orie
quantique, culminant dans son livre Th•orie du corps noir et la discontinuit• quantique . Selon la
physique classique d'une particule pourrait poss•der toute l'•nergie dans une gamme continue et si
elle change d'•nergie qu'il ne sorte en mode continu, poss•dant … un moment donn• dans le temps
toute l'•nergie entre les •tats d'•nergie initial et final. La th•orie moderne quantique nie ces deux
principes classiques. L'•nergie est quantifi•-une particule peut poss•der qu'une seule d'un ensemble
d'•nergies discrets. Par cons•quent, si elle change en •nergie d'une valeur … la prochaine valeur
permise elle le fait de fa€on discontinue, en sautant directement … partir d'une •nergie … l'autre sans
prendre de l'interm•diaire (‹interdites†) des valeurs. Afin d'expliquer la distribution de l'•nergie au
sein d'une cavit• (corps noir rayonnement), Planck utilis• le dispositif de diviser les •tats d'•nergie
dans les multiples de l'unit• ou de 'Quantum' h ν (o• ν est la fr•quence du rayonnement et h est ce
qui devint par la suite connu comme la constante de Planck). Planck fait cela afin d'employer une
technique statistique de Boltzmann o• l'•ventail des possibles en continu des •nergies est divis• en
‹cellules† d'•nergies similaires qui pourraient „tre trait•s ensemble … des fins de math•matiques.
Kuhn note que Planck a •t• surpris que dans l'exercice de sa d•rivation, seulement par la fixation de
la taille des cellules … h ν pourrait-il obtenir le r•sultat qu'il souhaitait-la technique doit avoir travaill•
pendant toute maniƒre de diviser les cellules, tant qu'ils •taient assez petits mais pas trop petites. Ce
travail de Planck a •t• r•alis•e dans la p•riode 1900-1, qui est la date la tradition a accord•e …
l'invention du concept quantique. Toutefois, a fait valoir Kuhn, Planck n'a pas eu … l'esprit une
discontinuit• r•elle physique des •nergies jusqu'en 1908, ce qui est aprƒs Albert Einstein et Paul
Ehrenfest avaient eux-m„mes soulign• dans 1905-6.
Beaucoup de lecteurs ont •t• surpris de ne pas trouver mention de paradigmes ou
incommensurabilit•. Kuhn a ensuite ajout• une postface, ‹Revisiting Planck†, expliquant qu'il n'avait
pas reni• ou ignor• ces id•es, mais qu'elles •taient implicites dans l'argument qu'il a donn•. En effet,
l'essai entier peut „tre vu comme une d•monstration d'un incommensurabilit• entre la th•orie
quantique et la maturit• de la th•orie quantique de Planck au d•but qui •tait encore enracin•e dans
la physique statistique classique. En particulier, le terme m„me de ‹quantique† a chang• son sens
entre son introduction par Planck et son utilisation ult•rieure. Kuhn affirme que le concept quantique
moderne a •t• introduit le premier pas, mais par Planck par Einstein. Par ailleurs, ce fait est cach• …
la fois par l'utilisation continue de la m„me dur•e et par la m„me distorsion de l'histoire qui a affect•
notre conception de Ptol•m•e et de Copernic. Comme dans le cas de Copernic, Planck a •t•
consid•r•e comme plus r•volutionnaire que en fait il •tait. En cas de Planck, cependant, cette id•e
fausse a •t• •galement partag•e par Planck lui-m„me plus tard dans la vie.
6. La critique et l'influence
Travaux de Kuhn a re€u un accueil largement critique chez les philosophes. Certaines de ces critiques
est devenu muet comme un travail de Kuhn est devenu mieux compris et que sa propre pens•e subi
une transformation. Dans le m„me temps d'autres d•veloppements dans la philosophie a ouvert de
nouvelles avenues pour la critique. Cette critique a largement port• sur deux domaines.
Premiƒrement, elle a fait valoir que compte Kuhn du d•veloppement de la science n'est pas
entiƒrement exacte. Deuxiƒmement, les critiques ont attaqu• la notion d'incommensurabilit• de
Kuhn, arguant que ce soit elle n'existe pas ou, si elle existe, elle n'est pas un problƒme important.
Malgr• cette critique, le travail de Kuhn a •t• trƒs influent, tant au sein de la philosophie et …
l'ext•rieur. La Structure des r•volutions scientifiques a •t• un stimulant important pour ce qui est
devenu connu comme ‹•tudes scientifiques†, en particulier la sociologie de la connaissance
scientifique (SSK).
6.1 Changement scientifique
Dans La Structure des r•volutions scientifiques des p•riodes de science normale et science
r•volutionnaire sont clairement distingu•s. En particulier, les paradigmes et leurs th•ories ne sont
pas interrog•s et ne change pas dans la science normale alors qu'ils sont interrog•s et sont modifi•s
dans la science r•volutionnaire. Ainsi, une r•volution est, par d•finition r•visionnelle, et de la science
normale n'est pas (comme des paradigmes qui concerne). Par ailleurs, la science normale ne souffre
pas de discontinuit•s conceptuelles qui conduisent … l'incommensurabilit• alors r•volutions faire.
Cela donne l'impression, confirm•e par des exemples de Kuhn, que les r•volutions sont
particuliƒrement significatifs et raisonnablement •pisodes rare dans l'histoire de la science.
Cette image a •t• remise en question de son exactitude. Stephen Toulmin (1970) soutient que une
image plus r•aliste montre que des changements r•visionnelle en science sont beaucoup plus
communs et donc moins dramatique que Kuhn suppose, et que parfaitement ‹normal† des
exp•riences scientifiques de ces changements aussi. Kuhn pourrait r•pondre que de telles r•visions
ne sont pas des r•visions au paradigme, mais … la non-paradigme puzzle des solutions fournies par la
science normale. Mais cela n•cessite … son tour une distinction claire entre les composants
paradigmatique et non paradigmatique de la science, une distinction qui, sans doute, Kuhn n'a pas
fourni dans le d•tail.
Dans le m„me temps, en faisant le changement r•visionnelle une condition n•cessaire de la science
r•volutionnaire, Kuhn ignore d'importantes d•couvertes et des d•veloppements qui sont largement
consid•r•s comme r•volutionnaires, telles que la d•couverte de la structure de l'ADN et la r•volution
de la biologie mol•culaire. Vue de Kuhn est que les d•couvertes et les r•volutions se produire
seulement comme une cons•quence de l'apparition d'anomalies. Pourtant, il est •galement clair que
la d•couverte pourrait se produire dans le courant de la science normale et de lancer une
‹r•volution† (dans un sens non-Kuhn) dans un domaine en raison de la perspicacit• inattendues qu'il
fournit et la fa€on dont elle ouvre des opportunit•s pour de nouveaux avenues de recherche. La
structure en double h•lice de l'ADN n'a pas •t• pr•vu, mais a imm•diatement sugg•r• un m•canisme
pour la duplication de l'information g•n•tique (par exemple lors de la mitose), qui a eu des
cons•quences •normes pour la recherche biologique ult•rieur.
6,2 Incommensurabilit•
Thƒse de l'incommensurabilit• de Kuhn a pr•sent• un d•fi non seulement aux conceptions
positivistes du changement scientifique, mais aussi … celles r•aliste. Pour une conception r•aliste du
progrƒs scientifique tient •galement … affirmer que, en gros, la science tard am•liore tˆt la science,
en particulier en vous rapprochant de la v•rit•. Une r•ponse standard r•aliste de la fin des ann•es
1960 a •t• de rejeter l'anti-r•alisme et anti-referentialism partag•e par les deux images de Kuhn et le
pr•c•dent double-langage de modƒle. Si nous prenons les th•ories … des descriptions possibles du
monde, impliquant r•f•rence aux entit•s du monde, genre, et des propri•t•s, puis les problƒmes
soulev•s par l'incommensurabilit• largement s'•vaporer. Comme nous l'avons vu, Kuhn pense que
nous ne pouvons bien dire que la th•orie d'Einstein est une am•lioration de Newton dans le sens o•
ce dernier que des offres avec une pr•cision raisonnable (seulement) avec un cas particulier de
l'ancien. Que ce soit ou non les termes cl•s (tels que la ‹masse†) dans les deux th•ories diffƒrent
dans le sens, une approche r•aliste et referentialist aux th•ories permet de dire que la th•orie
d'Einstein est plus proche de la v•rit• que Newton. Pour la v•rit• et la proximit• de la v•rit• ne
d•pendent que de r•f•rence et non pas sur le bon sens. Deux termes peuvent diff•rer dans le sens
encore partager la m„me r•f•rence, et en cons•quence deux phrases peuvent „tre li•es les unes aux
autres comme une v•rit• ce qui concerne leurs conditions, sans partage avec le m„me sens. Et m„me
si nous conservons un holisme sur le sens des termes th•oriques et permettre que les r•volutions
conduisent … des changements dans le sens, il n'ya pas d'inf•rence directe … partir de ce … un
changement de r•f•rence. Par cons•quent, il n'ya pas d'inf•rence … l'irrecevabilit• de la comparaison
des th•ories par rapport … leur v•rit• proximit•.
Alors que cette r•ponse … la thƒse referentialist incommensurabilit• a •t• initialement formul•e en
termes fr•g•enne (Scheffler 1967), il a re€u une nouvelle impulsion de l'œuvre de Kripke (1980) et
Putnam (1975b), qui a fait valoir que la r•f•rence pourrait „tre atteint sans que rien ne ressemble au
sentiment fr•g•enne et que les modalit•s espƒce naturelle de la science illustre cette r•f•rence sens
libre. En particulier, les th•ories causales de r•f•rence permettre la continuit• de r•f•rence m„me …
travers le changement th•orique assez radicale. (Elles ne garantissent pas la continuit• de r•f•rence,
et les changements de r•f•rence peut se produire sur certaines th•ories causales, par exemple,
Gareth Evans (1973). Arguant qu'ils ne se produisent, il faudrait plus, cependant, que la simple
pointant vers un changement dans la th•orie. Au contraire, il semble, les cas de changement de
r•f•rence doit „tre identifi• et a plaid• pour un cas par cas.) Par cons•quent, s'il est pris pour
englober ce qui concerne les quantit•s et les propri•t•s (comme la ‹masse†), les changements que
Kuhn identifi•s comme les changements de sens (par exemple ceux qui sont impliqu•s dans le
passage de la physique newtonienne … la relativit•) ne seraient pas n•cessairement des changements
qui portent sur la r•f•rence, ni, par cons•quent, sur la comparaison des la proximit• de la v•rit•. La
th•orie causale simple de r•f•rence a ses problƒmes, comme pour expliquer le m•canisme de
r•f•rence des vides termes th•oriques (egcaloric et phlogistique) (cf Enc 1976, Nola, 1980). Causal
descriptive th•ories (qui permettent un •l•ment descriptif) s'attaquer … ces problƒmes tout en
conservant l'id•e cl• de la continuit• r•f•rentielle est possible malgr• le changement th•orie radicale
(Kroon 1985, Sankey, 1994).
Bien s‚r, la r•ponse referentialist montre seulement que r•f•rence peut „tre retenu, non pas qu'il
doit „tre. Par cons•quent, il est seulement une d•fense partielle de r•alisme contre
l'incommensurabilit• s•mantique. Une autre composante de la d•fense de r•alisme contre
l'incommensurabilit• doit „tre une •pist•mique. Pour referentialism montre qu'un terme peut
retenir de r•f•rence et donc que les th•ories pertinentes peuvent „tre telles que la suite constitue
une meilleure approximation de la v•rit• que les pr•c•dentes. N•anmoins, il peut ne pas „tre
possible pour les philosophes ou les autres sachent qu'il ya eu de tels progrƒs. Incommensurabilit•
m•thodologique, en particulier semble menacer la possibilit• de cette connaissance. Kuhn pense que
pour „tre en mesure de comparer les th•ories de p•riodes plus anciennes et plus r•centes de la
science normale, il faut un point de vue ext•rieur … chacun et … toute •poque en effet de la sciencece qu'il appelle une ‹plateforme d'Archimƒde† (1992, 14). Cependant, nous ne sommes jamais en
mesure d'•chapper … notre point de vue actuel. Une r•ponse r•aliste pour ce genre
d'incommensurabilit• peut faire appel … l'•pist•mologie externaliste ou naturalis•es. Ces approches
(li•es) de rejeter l'id•e que pour une m•thode pour produire des connaissances qu'il doit „tre
ind•pendant de toute th•orie particuliƒre, la perspective, ou de circonstances historiques / cognitif.
Tant que la m•thode a une sorte de fiabilit• appropri•, il peut g•n•rer des connaissances.
Contrairement … la vue caract•ristique internaliste des positivistes (et, il semble partag• par Kuhn), la
fiabilit• d'une m•thode n'a pas besoin d'„tre celui qui doit „tre •valuables ind•pendamment de
toute perspective scientifique particuliƒre. Ce n'est pas le cas, par exemple, que la fiabilit• d'une
m•thode utilis•e dans la science doit „tre justifi•e par un moyen a priori. Ainsi, les m•thodes
d•velopp•es dans une •poque peut en effet g•n•rer des connaissances, y compris que certains ƒre
pr•c•dente a obtenu certaines questions mal, ou … droite, mais seulement jusqu'… un certain degr•.
Une •pist•mologie naturalis•e peut ajouter que la science elle-m„me est dans les affaires de
l'enqu„te et le d•veloppement de m•thodes. Comme la science se d•veloppe nous nous attendons …
ses m•thodes de changer et de d•velopper •galement.
6,3 Kuhn et sciences sociales
L'influence de Kuhn en dehors de la philosophie de la science professionnelle peut avoir •t• encore
plus grande qu'elle ne l'•tait en son sein. Les sciences sociales en particulier a pris Kuhn avec
enthousiasme. Il existe principalement deux raisons … cela. D'abord, l'image de Kuhn de la science
apparue pour permettre une conception plus lib•rale de ce qu'est la science que jusqu'ici, l'un qui
pourraient „tre prises pour inclure des disciplines comme la sociologie et la psychanalyse.
Deuxiƒmement, le rejet de Kuhn de rƒgles que la d•termination des r•sultats scientifiques apparu
pour permettre … l'appel … d'autres facteurs, ext•rieurs … la science, en expliquant pourquoi une
r•volution scientifique a pris le cours qu'il a fait.
Le statut des sciences authentiques de ce que nous appelons aujourd'hui les sciences sociales et
humaines a •t• largement tenu dans le doute. Ces disciplines n'ont pas la r•putation •tablie
remarquable de sciences naturelles et semblent diff•rer aussi dans les m•thodes qu'ils emploient.
Plus pr•cis•ment, ils •chouent en pr•-Kuhn critƒres philosophiques de sciencehood. D'un cˆt•, les
positivistes n•cessaire d'une science qu'il devrait „tre v•rifiable par r•f•rence … ses succƒs pr•dictif.
D'autre part, le critƒre de Popper •tait que la science devrait „tre potentiellement falsifiables par une
pr•diction de la th•orie. Pourtant, la psychanalyse, la sociologie et m„me l'•conomie ont de la
difficult• … faire des pr•dictions pr•cises … toutes, sans parler de ceux qui fournissent une
confirmation claire et non ambigu‘ r•futation. Image de Kuhn d'une science mature comme •tant
domin•e par un paradigme qui a g•n•r• sui generis des •nigmes et des critƒres pour •valuer des
solutions pour eux pourraient beaucoup plus facilement s'adapter … ces disciplines. Par exemple,
Popper c•lƒbre plaint de ce que la psychanalyse ne pouvait pas „tre scientifique, car elle r•siste … la
falsification. Compte de Kuhn soutient que la falsification r•sister c'est pr•cis•ment ce que chaque
matrice disciplinaire de la science. M„me les disciplines qui ne pouvait pas pr•tendre … „tre domin•e
par un paradigme r•gl•, mais ont •t• assaillis par les •coles en comp•tition avec diff•rentes id•es
fondamentales pourraient faire appel … la description de Kuhn sur l'•tat de pr•-paradigme d'une
science … ses d•buts. Par cons•quent l'analyse de Kuhn •tait populaire parmi ceux qui cherchent une
l•gitimit• en tant que science (et donc bravo et financement) pour leurs nouvelles disciplines. Kuhn
lui-m„me n'a pas particuliƒrement la promotion de telles extensions de ses vues, et m„me jeter un
doute sur eux. Il a ni• que la psychanalyse est une science et soutenu qu'il ya des raisons pour
lesquelles certains champs dans les sciences sociales ne pouvait pas soutenir de longues p•riodes de
casse-t„te science normale (1991b). Bien que, dit-il, les sciences naturelles impliquent une
interpr•tation tout comme les sciences humaines et sociales ne, une diff•rence est que
herm•neutique r•-interpr•tation, la recherche de intepretations nouvelle et plus profonde, est
l'essence de nombreuses entreprises sociales scientifique. Cela contraste avec les sciences naturelles,
o• une interpr•tation •tablie et immuable (par exemple des cieux) est une condition pr•alable de la
science normale. Re-intepretation est le r•sultat d'une r•volution scientifique et est g•n•ralement
r•sist• plutˆt activement recherch•. Une autre raison pour laquelle r•interpr•tation r•guliƒrement
fait partie des sciences humaines et non les sciences naturelles est que les systƒmes sociaux et
politiques sont eux-m„mes changer de maniƒres qui font appel … de nouvelles interpr•tations, alors
que l'objet des sciences naturelles est constante dans les points pertinents, permettant une •nigmes
… r•soudre la tradition ainsi que d'une source sur pied de la r•volution g•n•ratrices anomalies.
Une influence assez diff•rente sur les sciences sociales a •t• l'influence de Kuhn sur le
d•veloppement des •tudes sociales de la science elle-m„me, en particulier la ‹sociologie de la
connaissance scientifique†. Une revendication centrale du travail de Kuhn est que les scientifiques ne
font pas leurs jugements … la suite d'consciemment ou inconsciemment les rƒgles suivantes. Leurs
jugements sont n•anmoins fortement contraint lors de la science normale par l'exemple du
paradigme de guidage. Lors d'une r•volution qu'ils sont lib•r•s de ces contraintes (mais pas
complƒtement). Par cons•quent il ya un vide laiss• par d'autres facteurs pour expliquer les
jugements scientifiques. Kuhn lui-m„me suggƒre dans La Structure des r•volutions scientifiques que
le culte solaire peut avoir fait une Kepler copernicienne et que dans d'autres cas, des faits sur
l'histoire de la vie d'un individu, sa personnalit• ou m„me la nationalit• et la r•putation peuvent
jouer un rˆle (1962/70a, 152-3) . Plus tard, Kuhn r•p•t• le point, avec les exemples suppl•mentaires
du romantisme allemand, qui a dispos• de certains scientifiques … reconna‰tre et accepter la
conservation d'•nergie, et la pens•e sociale britannique qui a permis l'acceptation du darwinisme
(1977c, 325). Ces suggestions ont •t• reprises en fournissant l'occasion d'un nouveau type d'•tude
de la science, en montrant comment les facteurs sociaux et politiques ext•rieurs … la science
influencer l'issue des d•bats scientifiques. Dans ce qui est devenu connu comme le constructivisme
social / constructionnisme (par exemple, de Pickering 1984) cette influence est consid•r•e comme
centrale, et non pas marginal, et d'•tendre le contenu m„me des th•ories accept•es. R•clamation de
Kuhn et son exploitation peut „tre consid•r•e comme analogue … une instance ou m„me de
l'exploitation de la sous-d•termination (suppos•e) de la th•orie par des preuves (cf. Kuhn 1992, 7).
Les f•ministes et les th•oriciens de la soci•t• (par exemple Nelson, 1993) ont soutenu que le fait que
la preuve, ou, en cas de Kuhn, les valeurs partag•es de la science, ne fixent pas un choix unique de la
th•orie, permet de facteurs externes afin de d•terminer le r•sultat final (voir Martin 1991 et 1999
pour Schiebinger constructivisme social f•ministe). Par ailleurs, le fait que Kuhn identifi• les valeurs
que ce orienter le jugement ouvre la possibilit• que les scientifiques devraient employer des valeurs
diff•rentes, comme cela a •t• soutenu par des •crivains f•ministes et post-coloniale (par exemple
Longino 1994).
Kuhn lui-m„me, cependant, a montr• que la sympathie limit•e pour de tels d•veloppements. Dans
son "The Trouble with La philosophie historique de la science" (1992) Kuhn se moque de ceux qui
considƒrent que dans les ‹n•gociations† qui d•terminent le r•sultat a accept• d'une exp•rience ou
sa signification th•orique, tous les comptes qui sont les int•r„ts et les relations de pouvoir parmi les
participants. Kuhn cibl• les partisans du programme fort dans la sociologie du savoir scientifique avec
des commentaires tels, et m„me si ce n'est pas tout … fait juste au Programme Strong, il reflƒte
propre point de vue de Kuhn que les principaux d•terminants de l'issue d'un •pisode scientifiques
doivent „tre trouv• dans la science. L'histoire externe de la science cherche les causes du
changement scientifique en d•veloppements sociaux, politiques, religieux et autres de la science.
Kuhn con€oit son travail comme ‹internaliste assez simple" (2000: 287). Tout d'abord, les cinq
valeurs Kuhn attribue … toutes les sciences sont dans sa constitutive vue de la science. Une entreprise
peut avoir des valeurs diff•rentes, mais il ne serait pas la science (1977c, 331, 1993, 338).
Deuxiƒmement, quand un scientifique est influenc•e par des facteurs individuels ou d'autres dans
l'application de ces valeurs ou … venir … un jugement lorsque ces valeurs ne sont pas d•cisifs, ceux qui
seront les facteurs qui influencent g•n•ralement eux-m„mes viennent de l'int•rieur la science (en
particulier dans la science moderne professionnalis•). La personnalit• peut jouer un rˆle dans
l'acceptation d'une th•orie, car, par exemple, un scientifique est plus frileux que l'autre (1977c, 325),
mais qui est toujours une relation … la preuve scientifique. M„me quand la r•putation joue un rˆle, il
est typiquement scientifiques r•putation qui encourage la communaut• … dos l'opinion d'un •minent
scientifique. Troisiƒmement, dans une grande communaut• tels facteurs variables auront tendance …
s'annuler. Kuhn suppose que les diff•rences individuelles sont distribu•es normalement et que le
jugement correspondant … la moyenne de la distribution correspondra •galement au jugement qui,
hypoth•tiquement, „tre exig• par les rƒgles de la m•thode scientifique, comme traditionnellement
con€ue (1977c, 333). Par ailleurs, l'existence de diff•rences de r•ponse dans la marge de manœuvre
fournies par des valeurs communes est essentielle … la science, car il permet ‹hommes rationnels en
d•saccord† (1977c, 332) et donc … s'engager … des th•ories rivales. Ainsi, le rel’chement des valeurs
et les diff•rences qu'ils permettent ‹peut. . . appara‰tre comme un moyen indispensable de r•partir
les risques dont l'introduction ou le soutien de la nouveaut• implique toujours †(Ibid.).
6.4 D•veloppements r•cents
M„me si les travaux de Kuhn n'est pas rest• au centre de la philosophie des sciences, un certain
nombre de philosophes ont continu• … trouver fructueux et ont cherch• … le d•velopper dans un
certain nombre de directions. Paul Hoyningen-Huene (1989/1993), … la suite de travailler avec Kuhn,
a d•velopp• une importante n•o-kantienne interpr•tation de sa discussion de la perception et le
monde changer. On peut distinguer entre le monde en-soi et le ‹monde† de nos exp•riences
perceptives et connexes (le monde ph•nom•nal). Cela correspond … la distinction kantienne entre
noumƒnes et les ph•nomƒnes. La diff•rence importante entre Kant et Kuhn est que Kuhn prend la
forme g•n•rale des ph•nomƒnes de ne pas „tre fixe, mais variable. Un changement de paradigme
peut conduire, via la th•orie de d•pendance de l'observation, … une diff•rence de ses exp•riences de
choses et donc … un changement dans son monde ph•nom•nal. Ce changement de monde
ph•nom•nal articule le sens dans lequel le monde change … la suite d'une r•volution scientifique,
tout en capturant demandes de Kuhn sur la th•orie de d•pendance de l'observation et
l'incommensurabilit• cons•quente (Hoyningen-Huene, 1990).
Une direction assez diff•rente dans laquelle la pens•e de Kuhn a •t• d•velopp•e propose que ses
id•es pourrait „tre •clair•e par les progrƒs de la psychologie cognitive. Un travail d'une part sur les
structures conceptuelles peuvent aider … comprendre ce qui pourrait „tre correct dans la thƒse de
l'incommensurabilit• (Nersessian 1987, 2003). Plusieurs auteurs ont cherch• de diff•rentes maniƒres
… souligner ce qu'ils considƒrent „tre l'•l•ment dans la pens•e wittgensteinienne Kuhn (par exemple
Kindi 1995, Sharrock et Lire 2002). Andersen, Barker, et Chen (1996, 1998, 2006) en particulier
s'appuyer sur la version de Kuhn sur la notion wittgensteinienne de la ressemblance familiale. Kuhn
articule une vision selon laquelle l'extension d'un concept est d•termin• par similitude … un
ensemble de cas exemplaires, plutˆt que par une intension. Andersen, Barker, et Chen soutiennent
ce point de vue de Kuhn est soutenue par les travaux de Rosch (1972; Rosch et Mervis 1975) sur des
prototypes; par ailleurs, cette approche peut „tre d•velopp•e dans le contexte de la dynamique de
ch’ssis (Barsalou 1992), qui peut alors expliquer le ph•nomƒne de l'(s•mantique)
incommensurabilit•.
D'autre part, la psychologie de la pens•e analogique et les habitudes cognitives peuvent aussi
•clairer notre compr•hension de la notion d'un paradigme. Kuhn lui-m„me nous dit que ‹Le
paradigme comme par exemple partag• est l'•l•ment central de ce que j'ai maintenant … l'aspect le
plus nouveau et le moins compris de [ La Structure des r•volutions scientifiques ] †(1970a, 187).
Kuhn, toutefois, pas r•ussi … d•velopper le concept de paradigme dans ses travaux ult•rieurs del…
d'une application anticip•e de ses aspects s•mantiques … l'explication de l'incommensurabilit•.
N•anmoins, d'autres philosophes, principalement Howard Margolis (1987, 1993) ont d•velopp•
l'id•e que les habitudes d'esprit form• par la formation avec les paradigmes, comme exemples, sont
une composante importante dans la compr•hension de la nature du d•veloppement scientifique.
Comme l'a expliqu• Nickles (2003b) et Bird (2005), cela est confirm• par les r•cents travaux de
psychologues sur la pens•e bas•e sur un modƒle et analogique.
6.5 ‡valuation
‡valuer l'importance de Kuhn pr•sente une •nigme. Incontestablement, il a •t• l'un des philosophes
les plus influents et les historiens de la science du XXe siƒcle. Sa r•alisation la plus •vidente est
d'avoir •t• une force majeure dans la r•alisation de la disparition finale du positivisme logique.
N•anmoins, il n'ya pas d'•cole caract•ristiquement Kuhn qui porte sur son travail positif. C'est
comme si lui-m„me provoqu• une r•volution, mais n'a pas fourni le paradigme de rechange. Pour
une p•riode dans les ann•es 1960 et 1970, il semblait que s'il y avait ‹philosophie historique de la
science" un paradigme de Kuhn, florissante surtout dans les d•partements nouvellement form• de
l'histoire et philosophie des sciences. Mais aussi loin que l'histoire des •tudes scientifiques et la
science, plus g•n•ralement, sont concern•s, Kuhn r•pudi•e au moins les •volutions plus radicales
faites en son nom. En effet une partie de la renomm•e de Kuhn doit „tre d‚ au fait que les deux ses
partisans et ses d•tracteurs a pris son travail … plus r•volutionnaires (anti-rationaliste, relativiste) que
c'•tait vraiment.
Quant … la philosophie des sciences, il •tait clair … la fin des ann•es 1980 que le centreground •tait
maintenant occup• par un nouveau r•alisme, celui qui a pris des le€ons du conseil de la philosophie
g•n•rale du langage et de l'•pist•mologie, en s•mantique referentialist particulier et une croyance
dans le possibilit• de la connaissance objective et de la justification. Il ya une certaine ironie, donc
dans le fait qu'elle a •t• la disparition du positivisme logique / l'empirisme qui a conduit … la
renaissance du r•alisme scientifique ainsi que la s•mantique causale et externaliste et de
l'•pist•mologie, les positions que Kuhn rejet•e.
Une fa€on de comprendre ce r•sultat est de voir que la relation de Kuhn d'une part au positivisme et
d'autre part au r•alisme le place dans une position int•ressante. La thƒse de Kuhn de la th•orie de la
d•pendance de l'observation des parallƒles r•clamations li•es par les r•alistes. Dans les mains de la
thƒse r•alistes sont prises pour saper la dichotomie th•orie-observation qui a permis positivistes …
prendre une attitude anti-r•aliste aux th•ories. Dans les mains de Kuhn cependant, la thƒse est prise,
en effet, d'•tendre l'anti-r•alisme de la th•orie … l'observation aussi. Ce. Stimule … son tour la thƒse
de l'incommensurabilit• Le fait que l'incommensurabilit• est fond• sur une r•ponse au positivisme
diam•tralement oppos•e … la r•ponse r•aliste qui explique pourquoi beaucoup de travail plus tard
philosophiques de Kuhn, qui a d•velopp• la thƒse incommensurabilit•, a eu peu d'impact sur la
majorit• des philosophes de la science.
L'explication du d•veloppement scientifique en termes de paradigmes a •t• non seulement nouvelle
mais trop radicale, dans la mesure o• il donne une explication naturaliste de la croyance au
changement. Le naturalisme n'est pas dans le d•but des ann•es 1960 la partie familiƒre du paysage
philosophique qu'il a ult•rieurement devenir. Explication de Kuhn en contraste avec des explications
en termes de rƒgles de la m•thode (ou une confirmation, la falsification etc) que la plupart des
philosophes des sciences ont pris pour „tre constitutif de la rationalit•. Par ailleurs, les disciplines
concern•es (psychologie, sciences cognitives, intelligence artificielle) n'•taient pas alors assez avanc•
pour soutenir assertions de Kuhn concernant paradigmes, ou ces disciplines •taient l'antithƒse de
vue de Kuhn (dans le cas des classiques AI). Maintenant que le naturalisme est devenue une
composante accept•e de la philosophie, il a •t• r•cemment l'int•r„t pour r••valuer le travail de Kuhn
… la lumiƒre des d•veloppements dans les sciences pertinentes, dont beaucoup corroborer
l'all•gation de Kuhn que la science est entra‰n• par des relations de similarit• per€ue et l'analogie. Il
peut encore „tre qu'une thƒse caract•ristique Kuhn jouera un rˆle important dans notre
compr•hension de la science.
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