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« Ptolémée II, qui aima
extraordinaire des animaux les plus vigoureux, distribuait de grandes récompenses, dépensa des sommes
s de guerre et fit connaître aux
» (trad. B. Bommelaer, éd. CUF, Paris, 1989).
3. Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, III, 37, 8 (éd. Bommelaer)
()
« Quant à Ptolémée, (
qui abordaient dans son royaume comme le spectacle le plus considérable et le plus extraordinaire » (trad. B.
Bommelaer, éd. CUF, Paris, 1989).
4. Philon , De aeternitate mundi, 128-129
« - ils montent sur les plus gros
;
frappent les flancs avec leur trompe pour atteindre les serpents ; ensuite, vidés sans relâche de leur force vitale,
ils ne peuvent plus bondir, mais tout agités de tremblements restent encore debout ; puis, peu après, leurs
en tombant ils entrainent aussi la perte de ceux qui sont cause de leur mort, de la façon que voici : ne trouvant
prise, mais, accablés sous le poids des éléphants, ils sont écrasés, et bien plus encore quand le sol au-dessous se
trouve ferme et rocheux. Dans leurs contorsions, ils cherchent tous les moyens de se déprendre, mais retenus par
t
redresser et périssent étouffés. Si donc chacune des parties du monde est sujette à la corruption, il est clair que le
monde aussi, formé de leur réunion, ne sera pas incorruptible » (trad. J. Pouilloux, Paris, Cerf, 1969)
5. Pline, Histoire naturelle, VIII, 32-33 (éd. Ernout)
Elephantos fert Africa ultra Syrticas solitudines et in Mauretania, ferunt Aethiopes et
Trogodytae, ut dictum est, sed maximos India bellantesque cum iis perpetua discordia dracones
tantae magnitudinis et ipsos, ut circumplexu facili ambiant nexuque nodi praestringant.
Conmoritur ea dimicatio, uictusque conruens conplexum elidit pondere. (…) Quam quis aliam
tantae discordiae causam attulerit nisi naturam spectaculum sibi paria conponentem? Est et
alia dimicationis huius fama. Elephantis frigidissimum esse sanguinem; ob id aestu torrente