Développement du plan d’action pour la mise en œuvre de la stratégie régionale changement climatique de la Commission de l’océan Indien Livrable 2 MÉTHODOLOGIE ET DES OUTILS POUR L’INTÉGRATION 1 LIVRABLE 2: METHODOLOGIE ET OUTILS POUR INTÉGRATION Méthodologie pour l’intégration des différents documents Ce document décrit la méthodologie utilisée par l’équipe d’experts pour l’intégration dans le Plan d’action de la stratégie régionale sur le changement climatique (PACC_2020) des autres plans d’action en vigueur à la COI, comme par exemple le cadre de réduction des Risques de Catastrophes, la stratégie de gestion côtière et marine de la COI.1 Le PACC-2020 de la COI est surtout un plan d’action pour la mise en œuvre de sa stratégie régionale d’adaptation au changement climatique de la COI, de façon à donner à cette institution un outil opérationnel pour contribuer au niveau régional à la lutte contre les effets néfastes du changement climatique dans les territoires insulaires du sud-ouest de l’océan Indien. Le PACC-2020 a comme principal but d’identifier les vulnérabilités des États membres de la COI, les soutenir dans leur adaptation aux effets du changement climatique et dans la mise en œuvre de leur contribution déterminée au niveau national (CPDN). Le changement climatique se caractérisant par son caractère transversal, il est traité dans plusieurs programmes ou projets thématiques de la COI. C’est le cas notamment du projet «Agro-écologie et Changements climatiques», du projet «Risques naturels», et surtout du projet ISLANDS, destiné à la mise en œuvre de la Stratégie de Maurice pour les petits États insulaires en développement (PEID) dans le sud-ouest de l’Océan Indien ou plus particulièrement les «Modalités d’action accélérées des petits États insulaires en développement (S.A .M.O.A., la Voie à suivre) », depuis la 3ème Conférence internationale sur les PEID de Samoa tenue en Septembre 2014). Les différents projets ont produits des documents et rapports qui ont été consultés pour situer le contexte en vue de formuler le Plan d’Action pour le Changement Climatique de la Commission de l’océan Indien (PACC_2020). Les documents consultés sont listés et résumés dans le tableau de l’annexe I. Programmes et projets de la COI En ce qui concerne le changement climatique, la COI est en train de mettre en œuvre les projets suivants : Programme ISLANDS Programme SMARTFISH Projet Biodiversité Programme COI-ENERGIES Projet Gestion durable des zones côtières Programme ISLANDS Le programme ISLANDS a pour objectif de contribuer au développement durable des Petits États Insulaires en Développement (PEID) de la région Afrique orientale, australe et océan Indien (AfOA-OI) en traitant les contraintes spécifiques de développement des pays bénéficiaires. Le programme ISLANDS a plusieurs volets : 1 TdR du travail “Développement du plan d’action pour la mise en œuvre de la stratégie régional changement climatique de la Commission de l’océan Indien. 2 1. Protéger les populations et l’économie da la région de la COI contre les risques de catastrophe et le changement climatique 2. Renforcer les capacités à accéder au financement des actions de développement durable 3. Promouvoir la planification intégrée pour le développement durable 4. Éduquer au développement durable 5. Améliorer le suivi régional des récifs coralliens 6. Assurer l’appui opérationnel Programme SMARTFISH L’objectif global du programme est de contribuer à élever le niveau de développement social, économique et environnemental et d’accroître l’intégration régionale dans la région de l’Afrique-orientale et australe et l’océan Indien (AOA-OI) grâce à l’exploitation durable des ressources halieutiques. Le programme vise à atteindre cinq résultats principaux : 1. 2. 3. 4. 5. Le développement et la gestion des pêches La gouvernance des pêches L’efficacité du Suivi-Contrôle-Surveillance Le commerce régional de la pêche La sécurité alimentaire Projet Biodiversité L’objectif du projet Biodiversité est de renforcer les capacités nationales et régionales à tous les niveaux, dans la gestion de la biodiversité et des écosystèmes côtiers, marins et insulaires afin de contribuer à la préservation et l’utilisation durable des ressources pour le bénéfice de la population. Les résultats suivants sont attendus de ce projet : 1. Renforcement et harmonisation des politiques et des cadres juridiques et institutionnels 2. Education, sensibilisation et communication en appui aux décideurs à tous les niveaux 3. Des systèmes améliorés de réseautage et d’échange de données, de statistiques et d’informations se rapportant à la biodiversité 4. Appui aux centres thématiques sur la biodiversité 5. La contribution de la biodiversité au développement économique durable et aux moyens d’existence durable est soutenue au travers d'un mécanisme d’appels à proposition et d’un programme de subventions Programme COI-ENERGIES Le programme de développement des énergies renouvelables et d’amélioration de l’efficacité énergétique (COI-ENERGIES) a pour but de soutenir les pays bénéficiaires afin d’améliorer l’accès aux énergies renouvelables à un coût acceptable pour les usagers et de contribuer au développement durable de l’Indianocéanie. Le programme vise à atteindre les résultats suivants : 3 1. Élaborer et mettre en œuvre une stratégie régionale focalisée sur le développement des compétences et des institutions 2. Accroître la sensibilisation en faveur des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique et promouvoir leur utilisation 3. Améliorer la réglementation et l’environnement des affaires pour la production d’électricité à partir de ressources renouvelables, et développer les bases de données sur les ressources solaire et éolienne 4. Améliorer la capacité de conception, d’ingénierie, de construction et de gestion des systèmes de production électrique et d’énergie basés sur des ressources renouvelables des organismes gouvernementaux et des investisseurs privés 5. Développer des normes d’efficience et des labels pour toutes les catégories de bâtiments et les appareils et équipements électroménagers Projet Gestion durable des zones côtières L’objectif du projet GDZCOI est de consolider, capitaliser et diffuser les démarches validées par l’expérience de terrain, dans les domaines de la Gestion intégrée des Zones côtières (GIZC) et de la protection de la biodiversité marine et côtière, en s’appuyant sur des partenariats actifs d’acteurs locaux et régionaux. Les logiques du projet sont : 1. Appuyer le développement et la réplication des bonnes pratiques de GIZC 2. Mettre en commun les compétences, les expériences, les connaissances et les outils développés dans la région 3. Développer les liens, mettre les acteurs en réseau et renforcer la coopération entre les partenaires régionaux 4. Soutenir une gestion intégrée, articulant une approche terre-mer Sur ces bases, le projet s’articule autour de deux composantes : 1. Capitaliser et diffuser les expériences et les outils de la GIZC, à l’échelle régionale. 2. Développer des bonnes pratiques de GIZC sur les sites pilotes : Mohéli (Union des Comores), Sainte Marie (Madagascar) et Rodrigues (République de Maurice). Le projet ACCLIMATE Le projet ACCLIMATE - Adaptation au Changement Climatique, a été mis en œuvre par la COI de 2008 à 2012. Ce projet a eu pour principal objectif de poser les bases de l’adaptation au changement climatique à l’échelle régionale, en particulier à travers l’élaboration de la Stratégie régionale d’adaptation au changement climatique (SRACC). La SRACC et ses propositions ont été présentés aux représentants des États membres de la COI et a été validé par les plus hautes autorités de la COI et a marqué l’engagement effectif de la COI dans la prise en compte du changement climatique. 4 Documents produits par les pays membres de la COI Différents rapports nationaux ont été aussi consultés. Communications nationales pour la CCNUCC Les pays membres de la COI ont tous soumis leurs 2ème ´Communication Nationale à la CCNUCC. Ces documents ont été utilisés pour identifier les priorités et les actions de mise en œuvre du PACC_2020. Contributions Prévues Déterminées au niveau National (CPDN) Les CPDN et les Rapports de Synthèse produits pour leur élaboration sont les documents les plus récents concernant les positions des pays sur le changement climatique, puisqu’ils ont fait partie du processus de préparation de la CdP21. Ces documents ont été très utiles pour identifier les besoins et priorités nationales. Documents des conventions et autres initiatives de coopération et d’intégration régionale Les documents et rapports de plusieurs conventions et initiatives ont aussi été consultés pour identifier la pertinence de leur fonctionnement pour la région de la COI et pour l’encadrement des possibilités de coopération inter-régionale dans le domaine du changement climatique. Réunions de travail et échanges avec les différentes parties prenantes Pendant la préparation des documents du PACC-2020, des consultations ont eu lieu avec les coordonnateurs et équipes des projets de la COI, ainsi qu’avec les parties prenantes externes, telles que l’Union Européenne, l’AFD, le PNUD. C’est un processus consultatif et compréhensif élaboré qui a débouché sur l’identification des actions réalistes et réalisables par la COI, ainsi que les priorités pour le PACC_2020. Plusieurs des actions identifiées sont en lien avec les projets de la COI qui sont en cours ou complétés. En effet, la liste des actions proposées reprend les recommandations du SRACC, élaborées on 2012 et qui n’ont pas été mis en œuvre à ce jour. De ce fait, le PCC_2020 assure une intégration avec les actions passées ou en cours de la COI. Actions prioritaires pour la mise en œuvre du PACC_2020 La liste des actions prioritaires a été élaborée en tenant compte des priorités exprimées par les différents pays dans leur CPDN soumis à la UNFCCC quelques mois de cela. Il a donc été assuré que cette liste reflète les priorités nationales, et que la COI est habilité à les mettre en œuvre. Les vues des principales parties prenantes externes sont aussi généralement concordantes sur la pertinence des actions proposées. Pour l’élaboration des actions prioritaires de mise en œuvre du PACC_2020 les priorités et actions déjà identifiées dans la SRACC ont aussi servi de base. Dix actions prioritaires ont été identifiées : Action 1 : Création d’un centre de ressources/équipe d’experts à la COI L’objectif de cette action est de créer/renforcer à la COI une capacité multidisciplinaire avec le profil nécessaire dans des domaines variés pour répondre aux besoins identifiés pour la mise en œuvre du PACC_2020. L’expertise à rechercher dans le cadre de cette action servira à 5 soutenir la mobilisation des ressources financières, la rédaction des documents des projets, la gestion des projets et le renforcement des capacités dans les domaines prioritaires et appuyer la mise en œuvre des autres actions identifiées dans le cadre du PACC_2020. Action 2 : Appui à la mise en œuvre des mesures identifiées dans les CPDN L’objectif de cette action est d’appuyer les pays membres pour la mise en œuvre de leur CPDN, et pour se conformer à l’accord de Paris. L’exécution de cette action est sujette à la mise en œuvre de l’action concernant le centre de ressources et le recrutement d’une équipe d’experts. Cette équipe sera responsable de mettre en œuvre les taches planifiées dans cette action. Action 3 : Appui à la création des entités nationales de mise en œuvre (ENM)Cette action servira à appuyer les pays membres pour la mobilisation des finances climat, pour la mise en œuvre de leur CPDN. De même l’exécution de cette action est sujette à la mise en œuvre de l’action concernant le centre de ressources et le recrutement d’une équipe d’experts. Action 4 : Renforcement des capacités de négociation des pays de la COI dans le processus de la CCNUCC L'objectif de cette action est de renforcer la capacité des États membres de la COI à jouer un rôle plus actif dans les processus de négociations au sein du système de la CCNUCC dans la perspective des sessions de Organes Subsidiaires de la convention et de la CdP22. Action 5 : Programme Régional pour l’efficacité énergétique (PREE) L’objectif de cette action est de contribuer à l’effort global de la lutte contre le changement climatique en réduisant les émissions des GES à travers l’amélioration de l’efficacité énergétique dans les entreprises et les industries, et, à terme, de considérer la possibilité d’étendre la promotion de l’efficacité énergétique dans d’autres secteurs tels que le transport. Action 6 : Stimulation de la coopération sud-sud : plateforme régionale des institutions de la société civile Une action pour contribuer à la création d’un « lien » afin que les institutions et les sociétés civiles des différents pays membres de la COI puissent partager leur expériences et apprendre les uns des autres dans le domaine du changement climatique. Cette action va aussi stimuler la coopération entre les différents acteurs concernés à la lutte contre le changement climatique, au niveau national et au niveau régional. Action 7 : Appui de la COI pour des initiatives régionales et internationales dans le domaine du changement climatique Promouvoir la coopération régionale dans l’océan Indien et la coopération inter-régionale avec d’autres régions ayant des enjeux et défis similaires en ce qui concerne le changement climatique Action 8 : Une économie verte à la région de la COI EN 2020 En 2020 les activités du PACC_2020 doivent aboutir au renforcement de la résilience des sociétés de la région de la COI face aux impacts du changement climatique et lancer les bases pour une transition vers une économie verte, prospère et durable. Cette action a comme objectif la création des conditions pour aboutir à des économies à faible intensité de carbone en 2020 dans les îles de la COI. 6 Action 9 : Une bonne qualité de vie et de santé pour les populations de la COI L’objectif de l’action est de promouvoir l’adaptation et la résilience des populations de la région de la COI au changement climatique. Le but est de créer des sociétés adaptés et résilientes aux conséquences du changement climatique en ce qui concerne la qualité de l’environnement, la qualité de l’air, la santé publique, la disponibilité et qualité des ressources en eau, et la sécurité alimentaire, dans l’espace de la région de la COI. Action 10 : Renforcement de la capacité technique et opérationnelle des services météorologiques nationaux L’objectif de l’action est de mettre en œuvre des mesures visant à renforcer la prestation et la qualité des services météorologiques, hydrologiques et climatologiques, qui sont essentiels à la sécurité du public, à l’efficience économique et à la durabilité de l’environnement. 7 ANNEXES Tableau 1 – Rapports & Autres Documents consultés Document Acclimate 1. Rapport Thème 2: Faisabilité et coûts d'une base régionale de métadonnées et données climatologiques Description étudier l’opportunité et la faisabilité de mise en commun de données et métadonnées climatologiques dans une base de données régionale. Méthodologie : inventaire des données disponibles et réflexion sur l’utilité et le contenu possible d’une BDR, séminaire et bilan / recommandation concept du « Cadre Mondial des Services Climatique » et le rôle des Centres Climatiques Régionaux l’OMM défini la notion de Services Climatologiques. Pays Concernes Comores, Madagascar, Maurice, France (Réunion) & Seychelles Les fonctions souhaitables de la plateforme régionale d’échange et de partage de données climatologiques Inventaire des données disponibles dans les pays de la COI et les centre mondiaux du climat Contenu de la BDR les solutions techniques et une estimation des couts Acclimate 2. Rapport Différents laboratoires de recherches travaillent bien sur des sujets Thème 4: Définition connexes; mais aucun ne travaille réellement sur le climat. des conditions de un certain nombre de questions, essentielles pour évaluer l’impact du mise en œuvre d'un changement climatique dans la région, reste encore sans réponses. projet de recherche Pour définir une stratégie d’adaptation pertinente dans les pays de la COI, régionale impératif de caractériser les changements attendus dans cette région les axes de recherches qui méritent d’être approfondis pour une meilleure compréhension des mécanismes en jeux dans le système climatique de l’océan Indien Pour les archipels équatoriaux de l’Océan Indien (Maldives, Seychelles) une bonne prévision de l’OMJ, surtout de l’initiation d’un évènement convectif permettrait d’améliorer les prévisions météorologiques à court et moyen terme. Influence de l’OMJ sur l’activité cyclonique tropicale dans l’océan indien l’impact du couplage océan-atmosphère sur l’activité cyclonique et sa réponse au réchauffement climatique ont été étudié Descente d’échelle des Precipitations Température de Surface de la Mer et Acidité Mise en place d’un programme de recherche régional Mise en place d’un programme multi-laboratoires Islands 1. Booklet la priorité pour les PEID est la planification et le financement des actions Climate Resilient pour faire face aux impacts du changement climatique efficace. Islands Partnership: Que peut faire les PEID pour se préparer contre le changement an inter-regional climatique? partnership on institutions régionales jouent un rôle vital dans le partage des approches climate change pertinentes des PEID & des connaissances, et dans la prestation de planning and finance compétences / connaissances pour soutenir les efforts nationaux in SIDS spécialisés mettre en évidence le travail de la CRYPTE Le rôle des organisations régionales Focus / priorités du partenariat Comores, Madagascar, Maurice, France (Réunion) & Seychelles COI, CCCCC et SPREP Comores, Madagascar, Maurice, France (Réunion) & Seychelles Influence de l’OMJ sur l’activité cyclonique tropicale dans l’océan indien Islands 2. CRIP LogFrame 2015-2020 Goal : Renforcer l’Appui à la planification du changement climatique et de la finance au niveau national des petits États insulaires en développement dans les Caraïbes, l'océan Indien et du Pacifique Objectif : Renforcer la Capacité et la connaissance des cadres institutionnels régionaux dans les Caraïbes, l'océan Indien et du Pacifique. la priorité pour les PEID est la planification et le financement des actions pour faire face aux impacts du changement climatique efficace. Que peut faire les PEID pour se préparer contre le changement COI, CCCCC et SPREP Comores, Madagascar, Maurice, France (Réunion) & Seychelles 8 climatique? Un aperçu du Fonds vert GCF pour le climat. Décrit les principales caractéristiques du Fonds Fournit des informations sur la façon d'engager et à accéder au financement du Fonds Le processus à suivre pour devenir une Institution nationale de mise en œuvre (NIE) ou une Institution régionale de mise en œuvre (RIE) Info sur la préparation et soutien aux pays pour accéder au GCF Islands 7. Rapport Un état des lieux des sources existantes internes, externes et innovantes final: État des lieux de financement du changement climatique dans les pays de la COI et de l'accessibilité et Zanzibar de l'utilisation des une analyse du cadre institutionnel, politique et juridique financements liés au ont permis d’identifier les principaux obstacles à la mobilisation des changement ressources pour le changement climatique : climatique dans manque de mécanisme de coordination pour le changement climatique au l'espace COI et niveau régional, manque d’une stratégie COI d’atténuation, manque de Zanzibar - Février plans d’actions et de plans d’investissements pour la stratégie COI 2012 d’adaptation, Une connaissance limitée des mécanismes de financement, etc. éléments clés d’une feuille de route pour améliorer l’utilisation et l’accessibilité des financements changement climatique dans les pays de COI Amélioration d’un environnement régional propice à la mobilisation des ressources, Mobilisation renforcée des sources internes, sources externes et sources innovantes Islands 6. Le Fond Vert pour le Climat: les essentiels - Note d'information, 3 juillet 2015 Islands 8. Report Reflecting on past experience under Adaptation Fund: key lessons learned for direct access to Adaptation finance in the Indian Ocean region - brief note, avril 2013 Avantages: fourni des institutions nationales avec une plus grande responsabilité et la responsabilité dans le décaissement et la mise en œuvre du financement climatique publique, ainsi que l'appropriation nationale des projets d'adaptation. Islands 12. Note d'information - Sur la route de la COP21 à Paris: Inventaire après la session de négociation à Bonn – juin 2015 un aperçu actualisé des négociations de la (CCNUCC) lors de la 21e Conférence des parties (CdP21), à Paris, à la fin de l'année 2015. négociation du Groupe de travail ADP de Durban pour une action renforcée, à Bonn, en Allemagne, juin 2015, en vue de rationaliser le projet de texte de négociation principales discussions qui ont eu lieu à Bonn et les positions des principales coalitions de pays en ce qui concerne les éléments clés contenus dans le texte de Genève. Comores, Madagascar, Maurice & Seychelles Comores, Madagascar, Maurice, Seychelles, & Zanzibar Comores, Madagascar, Maurice & Seychelles Fonds pour le climat nouveau Green (GCF) est appelé à devenir le principal instrument financier de la CCNUCC et offrira également un accès direct à la modalité de l'expérience accumulée par l'AF. Probable que les organisations actuellement admises en tant que NIE seront automatiquement considérées comme entités d'exécution dans le cadre du GCF. Cependant, les NIE accrédités dans le cadre du AF seront bien placés pour accéder aux nouvelles ressources mises à disposition besoin d'approcher un accès direct au climat et financement de l'adaptation d'une manière informée sensibiliser sur les avantages et les défis liés à l'accès direct et guider la COI et les pays membres à travers le processus d'accréditation en fournissant des principaux enseignements en obtenant l'accréditation, la COI et / ou de ses pays membres peuvent améliorer leur visibilité et leur expertise, ainsi que leur capacité à attirer d'autres sources de financement. La Réunion qui, comme un département français, pas admissible à ces sources de financement. Les principaux défis auxquels sont confrontés les demandeurs dans le processus d'accréditation et de l'exécution du projet NIE ont également été identifiés Comores, Madagascar, Maurice & Seychelles 9 processus officiel convenu en vue de la prochaine série de pourparlers qui aura lieu à la fin d'août 2015. Une vue d'ensemble du texte de négociation, objectif, Atténuation, Adaptation et pertes et dommages, Financement, Technologie et Renforcement des capacités aide-mémoire destine aux pays, pour être prête à participer aux prochaines sessions de négociation Islands 18. Construire une base solide pour les politiques et action de réduction des risques de catastrophes climatiques et naturelles dans la région du sud-ouest de l'océan Indien Un rapport synthétique de la COI Programme d'ISLANDS pour la Protection Financière (IFPP) lancée en 2013 concept d'une évaluation des risques basée sur des données scientifiques Islands 20. WIOCC Regional National commitments Comores, Madagascar, Maurice, Seychelles quantifiées et mesurables, et utilisant de nouvelles technologies issues de la révolution numérique. bénéficie de l'assistance technique et financière de UNISDR et de la Banque mondiale/GFDRR, et financement assuré par l 'Union européenne objectifs renforcer les capacités techniques locales, accent sur l'intégration nécessaire de la réduction des risques de catastrophes (RRC) et l'adaptation au changement climatique (ACC) dans la gestion des risques de catastrophes (GRC) première phase de l'IFPP (2013-2015), trois principales réalisations. mise en place de bases de données nationales fiables sur les pertes économiques, selon la méthodologie DESINVENTAR d'une évaluation probabiliste globale des risques pour chaque pays. méthodologie CAPRA, l'élaboration d'un ensemble de méthodes et de procédures pour intégrer la gestion les risques dans le plan d'investissement national et la prise de décision principaux éléments qui expliquent la réussite de la première phase de l'IFPP, ainsi que les contraintes surmontées Le travail sur le financement des risques et le transfert des risques sera utilisé par l'UNISDR comme exemple pour d'autres régions bases solides pour la réduction efficace des risques existent maintenant deuxième phase du programme (2015-2017), que la Banque mondiale commencé à mettre en œuvre, nécessité d'une stratégie à long terme pour une mise en œuvre régionale du Cadre d'action de Sendai Page 24 : Tableau 2: perte moyenne annuelle absolue et relative dans la COI Page 33, Encadré 1: les constatations UNISDR/COI en chiffres pour les pays SWIO participants WIO-C recognizes the critical importance of the conservation of biodiversity and the sustainable use of natural resources to enhance the livelihood and the economy of the region. Seychelles will conserve 30% of Exclusive Economic Zone (EEZ) as a MPA by 2020 IOC supports the implementation of the Mauritius strategy for the sustainable development of SIDS through the ISLANDS project, Other commitments mentioned in fields such as RE, EE, Ecosystembased Adaptation, Sustainable Livelihoods, food security, sustainable livelihoods & water – by countries Mauritius, Seychelles, Zanzibar. Comores, Madagascar, Maurice, France (Réunion) & Seychelles document a été élaboré selon un processus largement participatif avec les Str Adapt 1 : cinq pays membres, en 4 étapes Document cadre pour le contexte commun aux territoires insulaires l'adaptation au Particularités et disparités entre les états de l’OIO changement Quelles sont les freins pour atteindre une dimension régionale. climatique des pays L’architecture de la stratégie régionale – 5 composantes membres de la principes et valeurs, enjeux prioritaires, orientations pour la mise en Commission de œuvre, axes d’actions sectoriels et transversaux et les dispositifs de mise l'océan Indien en œuvre Comores, Madagascar, Maurice, France (Réunion) & Seychelles 10 ORACC - Pays référents Réunion et Madagascar CRACC - Pays / structure référents - Les pays référents de chaque pôle de services ainsi que la COI pour la coordination. PoSACC – Axes d’actions prioritaires / pays Coordination et gouvernance régionale : la Commission de l’Océan Indien mise en œuvre opérationnelle de la stratégie, devra être accompagnée d’un dispositif de suivi et d’évaluation dès son lancement. Feuille de route proposée Str Adapt 2 la synthèse de ces quatre années de travail Synthèse des travaux Les chantiers engagés dans le cadre d’Acclimate - L’amélioration des du projet Acclimate connaissances, et la vulnérabilité et les marges de manœuvres des (COI) territoires L’intégration de l’adaptation au changement climatique dans les politiques régionales de développement Comores, Madagascar, Maurice, France (Réunion) & Seychelles Des territoires fragiles nécessitant un renforcement de capacité à l’échelle régionale La diversité de contextes socio-économiques justifie une approche régionale adaptée aux contextes locaux contexte d’émergence des politiques environnementales et climatiques La coopération et l’intégration régionale de la COI intègre progressivement l’adaptation au changement climatique mis en œuvre au même moment d’une série de projets environnementaux gérés par la COI 1. L’Atelier ETCCDI-COI et l’Etude SIM-CLIM : étude des tendances climatiques actuelles et futures 2. La vulnérabilité des îles au changement climatique 6 priorités régionales pour l’adaptation à l’échelle régionale – Eau , Environnement terrestre et marin, Planification, gestion des risques, infrastructures et urbanisme, Agriculture et sécurité alimentaire, Pêche, Santé publique et maladies vectorielles. Ébauche d’une stratégie régionale d’adaptation 3. La gestion des catastrophes et des risques naturels 16 actions génériques ont été formulées, 4. La gestion intégrée des zones côtières RECOMMANDATIONS : VERS UNE SUITE A ACCLIMATE? 20 grandes recommandations stratégiques une feuille de route pour une suite à de l’adaptation au changement climatique dans le Sud-Ouest OI PRN 1. Elaboration de procédures exceptionnelles en cas de crise dans les pays membres de la COI Partie 1. Synthèse des propositions pour une action régionale concertée Face aux risques naturels majeurs - la solidarité existant entre pays membres doit devenir une coopération organisée Une action régionale coopérée - permettre de mieux affronter les crises naturelles majeures en tenant compte des singularités nationales. Construire et mettre en opération une équipe régionale d'intervention et de soutien coordonné (ERISC) Collaboration avec la PIROI Budget estimative Organiser et opérer un Pôle régional pour le renforcement de l'analyse climatologique et météorologique Organiser et opérer un Pôle régional pour le renforcement de la prévention des risques d'aléas majeurs d'ordre sismique, de tsunami ou de vagues cycloniques Un centre de ressources régionales appuyé sur la communauté scientifique et sur l'amélioration de la portée prévisionniste Comores, Madagascar, Maurice, France (Réunion) & Seychelles Partie 2. Les procédures pour faire face aux évènements extrêmes Evènements catastrophiques extrêmes Les procédures Les options possibles de coopération régionale en GRD Renforcer les conditions d’une coopération régionale en cas d’évènements 11 extrêmes : quelques prérequis PRN 2. Renforcement L’étude des politiques publiques en matière de gestion des risques des politiques naturels et des catastrophes publiques (i) les axes d’amélioration retenus, et appui aux (ii) les « réponses, bonnes pratiques, outils » structures nationales des politiques de réduction des risques identifiés dans les autres pays de coordination, de (iii) les améliorations proposées et les contributions possibles au niveau de prévention et de la coopération régionale. gestion des risques Dispositif de pilotage conduit par la cellule de coordination nationale naturels et des feuille de route pour le passage à l’action ainsi catastrophes indicateurs de suivi-évaluation de la performance des réponses apportées dans les pays Recommandations - hiérarchisation structuration des enjeux, vision membres de la COI programmatique en cadre logique, feuille de route et dimensionnement, du spécifique au transversal pour tous les pays membres, a court terme, moyen terme et long terme une meilleure intégration de l’analyse des « risques » dans les plans d’aménagement et de développement des territoires, renforcement des capacités des personnes à résister ou s’adapter au travers des options retenues notion de risque comme résultat d’un hasard naturel et des composantes naturelles, vers une notion de risques résultant directement du niveau de vulnérabilité des personnes et des biens et donc comme le résultat direct des politiques de territoire Les risques doit être géré au titre des priorités nationales une permanence du cadre institutionnel, des missions, du budget, et de leur mécanismes d’intervention, pour être en capacité de conduire des programmes pluri annuels la politique de réduction des risques et catastrophes naturelles doit s’harmoniser avec les politiques de réduction de la pauvreté et de préservation de l’environnement, dans une optique de développement durable La Digue (Seychelles), a été désignée comme la capitale Eco du monde COI_EN 1. A dans le cadre de Vision 2020 en raison de sa beauté naturelle sustainable Pour obtenir ce statut, les politiques et la stratégie pour l'énergie, le energy strategy transport terrestre, l'utilisation des terres, de l'environnement et des for La Digue 2015 déchets appropriés devront être conçus et mis en œuvre. -2030 stratégie entre la Commission de l'énergie Seychelles (SEC), et le programme «ENERGIES» du CIO, financé par l'Union l’UE. facteurs de changement autour de trois grands thèmes; Comores, Madagascar, Maurice, France (Réunion) & Seychelles Seychelles 1. Les coûts élevés de l'électricité en raison de la dépendance sur les combustibles fossiles - coûts élevés de transport à faible volume 2. Habitants concernés par les impacts futurs du changement climatique et d'autres problèmes environnementaux tels que les risques de déversements - donc il y a une bonne volonté de prendre des mesures et réduire les émissions de carbone, 3. De nombreuses communautés insulaires du monde entier sont bénies avec des ressources locales abondantes. Certaines de ces sources d'énergie renouvelables sont maintenant moins chères à utiliser que les combustibles fossiles Ces défis applicable à La Digue, car il n'y a pas de station d'alimentation sur l'île, il reçoit l'électricité de l'île voisine de Praslin via des câbles sousmarins L’île est aussi vulnérable aux impacts du changement climatique, la plupart de la population vit autour du plateau, et avec la récente augmentation des précipitations intenses, ce domaine a été également soumis à des inondations Les objectifs de la stratégie sont les suivants: Remplacer toute l'électricité produite à partir de combustibles fossiles par des sources plus durables 12 COI_EN 2. Synthèse et Relevé de Décisions du 2nd Comité de Pilotage – COI Energies (4-5 fev 2016) COI_EN 3. A Sustainable Energy Strategy 2015 – 2025 for Rodrigues – Workshop Report COI_EN 4. Stratégie de développement de l’Energie Renouvelable et de l’Efficacité Energétique pour l’île de Mohéli en Union des Comores Promouvoir la conception de bâtiments durables pour un meilleur confort Augmenter l'adoption de technologies et de pratiques d'efficacité énergétique Remplacer tous les systèmes à combustion interne de transport terrestre avec celles qui sont libres de carbone Les objectifs de ce second comité de pilotage: • présenter le bilan de la première année du programme • présenter la nouvelle équipe d’assistance technique aux membres du comité de pilotage • partager sur les besoins et attentes des pays membres de la COI présenter et discuter des orientations stratégiques, des propositions d’activités et du budget prévisionnel pour la période du prochain Devis programme Résultat 1 : Réalisation des études dans les quatre petites îles Résultat 2 : Organisation de la “fête de l’énergie verte” Organisation le 29 novembre 2015 de plusieurs “Marches pour le climat” dans les Etats membres de la COI Résultat 3: études diagnostics du cadre réglementaire des pays de la COI ont été lancées et sont en cours de finalisation Résultat 4 : Lignes directrices et guide du demandeur validés et publiés Résultat 5 : études sur le cadre juridique concernant les normes et labels eE pour les bâtiments et les appareils Planification des activités du Devis Programme 2 Proposition d’appui du programme COI-ENERGIES sur la continuité du PNEE en le faisant évoluer vers un Programme Régional d’efficacité énergétique Atelier de lancement 21 Juillet ici à 2015 Les résultats de l'atelier de lancement Comores, Madagascar, Maurice, France (Réunion) & Seychelles Rodrigues - Maurice Les données de base et les tendances, le cadre réglementaire, les rôles et les mandats, les obstacles, les possibilités de projets et les besoins financiers discutés pour: 1. L'électricité et l'efficacité énergétique 2. L'énergie pour la cuisson et les déchets 3. Transport Chaque Ile de l’Union des Comores a son propre réseau électrique. Grande Comores et Anjouan sont les seules à avoir bouclées le réseau électrique Moyenne Tension (MT) et Basse Tension (BT) à hauteur de 90 %. Mohéli reste la seule Ile à ne pas avoir atteindre l’objectif de bouclage de réseau. Ce projet permettra de mieux connaitre les sources énergétiques renouvelables disponibles dans l’Ile dans un objectif d’améliorer les conditions de vie de la population en zone rurale tout en favorisant les ENR La puissance de production opérationnelle disponible à Mohéli est de 5.000 KVA, largement suffisante pour les besoins de l’ensemble de l’Ile de Mohéli pour les 10 prochaines années L’énergie à Mohéli est principalement basée par la production thermique et solaire : THERMIQUE, SOLAIRE PHOTOVOLTAIQUE et AUTRE SOURCES D’ENERGIES :(Bois, Le pétrole lampant) Madagascar Un atelier s’est tenu à Mohéli le 21 octobre 2015 Thèmes: Transport et Biomasse, Gestion et valorisation énergétique des déchets et Electricité et efficacité énergétique Principales RECOMMANDATION ET THEMES A DEVELOPPER 1°) - Etude sur les Energies Renouvelable à Mohéli. 2°) - Créer une structure indépendante sous forme de Partenariat Public 13 COI_EN 5. ELABORATION DE STRATEGIE DE DEVELOPPEMENT DES ENERGIES RENOUVELABLES ET EFFICACITE ENERGETIQUE POUR SAINTE MARIE (Madagascar) Privé 3°) - Mettre en place une loi sur les EnR en particulier sur les consommateurs des énergies fossiles. 4°) - Création d’un centre de recharges batteries pour l’éclairage ou autre usage. 5°) - Favoriser l’utilisation de l’eau chaude solaire dans les hôtels 7°) - Créer un système de micros crédit solaire. 8°) - Favoriser l’implantation de centrales solaires l’injection d’énergie dans le réseau La mission consiste à l’élaboration de la stratégie de développement des énergies renouvelables et efficacité énergétique pour Sainte Marie Ste Marie est dotée d’un large potentiel en énergies renouvelables l’énergie solaire, une force de vagues assez importante, et des sources potentielles en énergie hydraulique la population, actuellement de l’ordre de 25 000 habitants avec une estimation à 46 000 habitants en 2025. Défis - les déchets ménagers et les besoins énergétiques. Le Plan National de Développement et la Politique générale de l’Etat convergent à la mise en application de la Nouvelle Politique Energétique. Priorité- pallier la consommation en énergie fossile en énergie alternative pour assurer la quantité d’électricité produite et veiller à la préservation de l’environnement. l’ambition d’atteindre l’accès à l’électricité à 70% des ménages d’ici 2025, l’île se distinguera par sa performance en matière d’efficacité énergétique résultats attendus: plantation de bambou par 2500 ménages sur une superficie d’au moins 75Ha l’utilisation des foyers économes pour charbon de bois par 70% de ménages l’équipement de 10% de ménages d’un système de combustion de l’éthanol domestique issus d’une plantation de 300 – 400 Ha de canne à sucre par 4 000 ménages paysans la mise en place d’un système de collecte, de stockage, de valorisation énergétique de déchets Autres objectifs : améliorer le système de transport dans l’île, notamment avec les véhicules à moteur électrique. l’aménagement de l’infrastructure routière et l’amélioration du système d’assainissement doivent être réalisés Le diagnostic a pour objectif d’appuyer les deux projets de la COI ENERGIES et GDZCOI et leur assistance technique pour : asseoir la concertation, le développement du plan d’action GIZC et sélection des projets pilotes GIZC sur des bases solides faciliter l´élaboration participative d´une stratégie ER pour l´île de Sainte Marie 1.. l’état des lieux de la connaissance sur Sainte Marie 2.. enjeux sociaux, patrimoniaux, environnementaux, ainsi que la situation énergétique et la gestion des déchets. 3.. replace les éléments du diagnostic dans la perspective plus large de développement des énergies renouvelables et de la gestion durable des zones côtières à Sainte Marie. collecte de données existantes : statistiques, rapports, documents de projet, littérature grise, minutes de réunion, ateliers, articles divers. COI-EN 6. Diagnostic initial pour l’identification des enjeux sociaux, patrimoniaux et économiques et la situation énergétique et la gestion des déchets à l’île de Sainte Marie, Madagascar d’interviews semi structurées ou ISS avec les acteurs de développement Madagascar Madagascar de Sainte Marie Ce diagnostic est réalisé au travers de quatre études préliminaires : -étude du contexte social et anthropologique (analyse sociétale), - étude du patrimoine naturel et culturel (synthèse des enjeux environnementaux), - étude de la situation énergétique (génération et consommation de l´énergie, pour l´éclairage, la cuisson, le transport) et de la gestion des déchets; et 14 - étude des pressions et des menaces (synthèse des pratiques actuelles) SS 1. Climate Change in the Western Indian Ocean A Situation Assessment and Policy Considerations Les pays de l'Ouest de l'océan Indien sont composés des Comores, du Kenya, Madagascar, Maurice, le Mozambique, les Seychelles et la Tanzanie. Ceuxci sont soit île ou de longues côtes Unis. superficie totale de 2,76 millions de km2 et une population de plus de 135 millions Communauté de ces pays, les moyens de subsistance sont fortement tributaires des ressources naturelles, en particulier sur les biens et services fournis par les écosystèmes marins et côtiers: PNUD sur le changement climatique - Profils des pays de la région prédisent que dans le futur (horizon 2090), la région connaîtra plus sévère augmentation de la température (entre 2.8oC et 3.9oC et une élévation du niveau de la mer jusqu'à 56 cm. Comores, Madagascar, Maurice, France (Réunion) & Seychelles Les écosystèmes côtiers et marins de ces pays occidentaux de l'océan Indien sont particulièrement vulnérables aux changements climatiques: les récifs coralliens sont très exposés au blanchiment, mangroves exposés à la sédimentation et l'élévation du niveau de la mer, et les terres côtières face aux inondations et à l'érosion. pays de l'OIO ont élaboré des plans d'action nationaux d'adaptation (Comores, Madagascar, Mozambique, Tanzanie), et les stratégies nationales de réponse aux changements climatiques (Kenya, Maurice, Seychelles). le potentiel marine et des écosystèmes côtiers pour soutenir les adaptations communautaires sont rarement formalisés dans les politiques nationales d'adaptation, et les questions climatiques ne sont pas intégrées aux zones côtières des approches de gestion Créé en 2007, le WIO-Consortium vise à répondre à la gestion durable des ressources marines et côtières dans la région. Le WIO-C est formé par des institutions intergouvernementales (Convention de Nairobi et la Commission de l'océan Indien) et des ONG travaillant dans la région. Dans une large mesure, les activités WIO-C sont axées sur la conservation de la biodiversité, et il y a peu de changements climatiques activités ciblées. un changement de paradigme est nécessaire, pour déplacer la conservation de la biodiversité à la résilience des écosystèmes. l'adaptation fondée sur les écosystèmes (EbA) doit être adopté comme un problème commun. activités et interventions WIO-C actuels peuvent être considérées comme les premiers pas vers une fondée sur les écosystèmes d'approche d'adaptation. Upstreaming et upscaling EbA sont nécessaires à la résilience des écosystèmes, et de soutenir la résilience des communautés aux changements climatiques. Enfin, la résilience de ces écosystèmes (en particulier les mangroves) peut être considérée comme une option d'atténuation du réchauffement climatique à long terme par la séquestration bleu du carbone. FFEM / Projet Gestion Durable Zones Côtières des pays de la COI Objectifs, organisation et résultats attendus L’objectif du projet GDZCOI est de consolider, capitaliser et diffuser les démarches validées par l’expérience de terrain, dans les domaines de la Gestion intégrée des Zones côtières (GIZC) et de la protection de la biodiversité marine et côtière, en s’appuyant sur des partenariats actifs d’acteurs locaux et régionaux. Logiques du projet : • Appuyer le développement et la réplication des bonnes pratiques de GIZC • Mettre en commun les compétences, les expériences, les connaissances Comores, Madagascar, Maurice, France (Réunion) & Seychelles 15 et les outils développés dans la région; • Développer les liens, mettre les acteurs en réseau et renforcer la coopération entre les partenaires régionaux ; • Soutenir une gestion intégrée, articulant une approche terre-mer. Composantes du projet : Composante 1 : Capitaliser et diffuser les expériences et les outils de la GIZC, à l’échelle régionale. Composante 2 : Développer des bonnes pratiques de GIZC sur les sites pilotes : Mohéli (Union des Comores), Sainte Marie (Madagascar) et Rodrigues (République de Maurice). Les pressions sur les milieux marins, côtiers et terrestres de la région sudouest de l’océan Indien sont nombreuses: changements climatiques globaux, effet de serre, impacts des activités humaines, etc. Elles provoquent des déséquilibres qui menacent les écosystèmes et la biodiversité remarquables de la région. Les initiatives passées ont montré la nécessité d’une approche et d’une gestion intégrée terre/mer, ainsi qu’une considération globale et décloisonnée de l’ensemble des facteurs de dégradation. le projet entend contribuer à la gestion durable des zones côtières de la région, en synergie avec les interventions et projets actifs dans le secteur (en cours, récents ou en instruction). Premier comité de pilotage sous a Présidence de la Commission de l’océan Indien (COI) le 1er and 2nd avril 2015. s’articule étroitement avec les projets « BIODIVERSITE » et « ISLANDS » identification et diffusion des bonnes pratiques de GIZC Echanges d’expertise et partenariats régionaux / internationaux Développement de base de données des bonnes pratiques de GIZC Projet de compléter les activités en lien avec les récifs coralliens prévues sous le projet « BIODIVERSITE » Mise en œuvre de la composante 2 à Moheli, Rodrigues et Ste Marie Projet financé par l’Union européenne et mis en œuvre par la Commission de l’océan Indien (COI), Avril 2014 – Fév. 2018 GESTION DE LA Pays concernes Comores, Madagascar, Maurice, Seychelles, Kenya et BIODIVERSITE Tanzanie MARINE, COTERIE ET INSULAIRE Objectif du projet : Renforcer les capacités nationales et régionales à tous DANS LES PAYS les niveaux, dans la gestion de la biodiversité et des écosystèmes côtiers, COTIERS ET marins et insulaires afin de contribuer à la préservation et l'utilisation INSULAIRE DE LA durable des ressources pour le bénéfice de la population REGION AFRIQUE Résultats attendus : ORIENTALE-OCEAN Améliorer et harmoniser les cadres juridiques et institutionnels en vue de INDIEN l’utilisation durable de la biodiversité à travers la région Appuyer l’éducation et la sensibilisation, relative à gestion de la biodiversité ainsi que les outils de communication à l’attention des décideurs Etablir et améliorer des systèmes de réseautage et d’échange de données, de statistiques et des bonnes pratiques sur la gestion de la biodiversité. Créer ou améliorer des centres thématiques sur la biodiversité, afin de permettre l’échange d’informations, d’expériences et des bonnes pratiques relatives à l’utilisation durable de la biodiversité .Soutenir la contribution de la biodiversité au développement économique et aux moyens de subsistance durables à travers un programme d’appel à propositions Comores, Madagascar, Maurice & Seychelles Eligibilité des projets : promotion de la gestion durable de la biodiversité dans la région de l’Afrique orientale et de l’océan Indien et doit être en rapport avec au moins un des thèmes suivants : Les écosystèmes marins et côtiers, Les aires protégées terrestres et 16 marines, L’agriculture et la gestion durable des ressources de la biodiversité, La lutte contre les espèces exotiques envahissantes et Les espèces migratrices et marines. Le projet Biodiversité va aussi travailler en étroite collaboration avec d'autres initiatives se déroulant dans la région de l'océan Indien comme le projet ISLANDS, SmartFish, le projet Gestion des Zones Côtières et aussi le FEDER pour la biodiversité implémenté par l'Université de La Réunion Smart Fish Objectif : contribuer à élever le niveau de développement social, économique et environnemental et d’accroître l’intégration régionale dans la région de l’Afrique-orientale et australe et l’océan Indien (AOA-OI) grâce à l’exploitation durable des ressources halieutiques Bénéficiaires ultimes du programme : les pêcheurs, les communautés côtières et les populations plus larges des Etats ACP de la région de l’AOA-OI couverte par le 10e programme régional indicatif du FED. On peut s’attendre à ce que divers groupes de parties prenantes spécifiques profitent des avantages directs et indirects du programme SmartFish Principaux résultats attendus : 1. Le développement et la gestion des pêches (FAO); 2. La gouvernance des pêches ; 3. L’efficacité du Suivi-Contrôle-Surveillance ; 4. Le commerce régional de la pêche ; 5. La sécurité alimentaire (FAO). La COI et l’UE reconnaissent l’importance des défis et menaces crées par le Déclaration Commune COI-UE CC. Des conséquences préoccupantes pour l’océan Indien a CdP 21 Reconnaissance de l’UE des défis des membres de la COI sur le pan économique, environnemental et social L’atténuation des émissions GES est un objectif commun Nécessite de parvenir a un cadre de réglementation multilatérale Partenariats importants établis entre les deux institutions Partenraits renforce peut accélérer la réalisation des objectifs mutuels en matière d’énergie renouvelables Faible impacte des activités humaines des pays de la COI sur l’accroissement des GES Souci que la CdP 21 débouche sur un cadre permettant d’accroitre la résilience des iles de l’OI et la capacité d’adaptation de leurs économies au CC Conviennent a un traitement différencie pour les PIED et la mise en œuvre des recommandations énoncés a SAMOA en Sept 2014. Importants que les états de la COI puissent accéder aux financements multilatérales des NU, en particulier le Fond d’Adaptation et fonds Vert. Déterminer a contribuer aux succès final de la CdP 21 pour un développent durable. Post-2015 Global Framework on Disaster Risk Reduction - Re: Hyogo Framework For Action Environnement et catastrophes interagissent de multiples façons; • dégradation de l'environnement peut conduire à des catastrophes, et aggrave d'autres catastrophes. • Les catastrophes nuisent à l'environnement; • dégradation de l'environnement liée aux catastrophes Impacts des moyens de subsistance, et de réduire leur résilience Les écosystèmes ont des fonctions importantes qui aident à prévenir, atténuer, ou réglementer les dangers. Ils agissent comme des tampons et la réduction de l'exposition des personnes aux risques naturels et en réduisant la vulnérabilité aux risques naturels. HFA a identifié cinq priorités distinctes pour l'action: 1. Veiller à ce que la réduction des risques de catastrophes (RRC) est une 17 Sendai Framework for Disaster Risk Reduction 2015 - 2030 priorité nationale et locale avec une base institutionnelle solide pour la mise en œuvre; 2. Identifier, évaluer et surveiller les risques de catastrophe et renforcer l'alerte précoce; 3. Utiliser les connaissances, l'innovation et l'éducation pour instaurer une culture de la sécurité et de la résilience à tous les niveaux; 4. Réduire les facteurs de risque sous-jacents; 5. Renforcer la préparation aux catastrophes pour une réponse efficace à tous les niveaux. L’Environnement n'a pas reçu une attention suffisante à la mise en œuvre HFA qui doit être abordée dans tout cadre post-2015 sur la RRC. • Environnement comme un thème transversal dans HFA priorités. • Renforcer les liens entre la réduction des risques de catastrophe et adaptation au changement climatique • écosystèmes --- base approches de réduction des risques de catastrophes et adaptation au changement climatique • L'avancement des connaissances scientifiques sur le rôle des écosystèmes dans la prévention des catastrophes • Utilisation de SEA et EIA comme un véhicule pour câbler DRR Adoptée à la troisième Conférence mondiale des Nations Unies sur la réduction des risques de catastrophes, tenue du 14 au 18 Mars 2015 Sendai, Japon • Résultats attendus et l'objectif Réduction importante des risques et des pertes catastrophe dans la vie, les moyens de subsistance et la santé et dans les actifs économiques, physiques, sociaux, culturels et environnementaux des personnes, des entreprises, des collectivités et des pays. Des principes directeurs: intérêt commun pour tous les États, responsabilités partagées par les gouvernements centraux et les autorités nationales compétentes, protéger les personnes et leurs biens, la santé, les moyens de subsistance et des actifs productifs, engagement de la toute la société et partenariat, mécanismes de coordination au sein et entre les secteurs et avec les parties prenantes à tous les niveaux, habiliter les autorités locales et les communautés locales afin de réduire les risques de catastrophe, , Échange ouvert et diffusion de données désagrégées, essentielles pour parvenir à un développement durable, informer une population des risques de catastrophe est plus rentable que la dépendance primaire sur la réponse post-catastrophes et la reconstruction. • Les priorités d'action: Priorité 1: Comprendre les risques de catastrophe Priorité 2: Renforcement la gouvernance pour gérer les risques de catastrophe. Priorité 3: Investir dans la réduction des risques pour améliorer la résilience. Priorité 4: Amélioration de la préparation aux catastrophes pour une intervention efficace et à «reconstruire en mieux» dans la récupération, la réhabilitation et la reconstruction. • Rôle des acteurs Alors que les États ont la responsabilité globale de la réduction des risques de catastrophe, il y a une responsabilité partagée entre les gouvernements et les parties prenantes concernées. Les acteurs non étatiques jouent un rôle important en tant que facilitateurs de fournir un appui aux États; Leur engagement, bonne volonté, connaissances, expérience et ressources seront nécessaires. • La coopération internationale et le partenariat mondial La coopération internationale pour la réduction des risques de catastrophe comprend une variété de sources et est un élément essentiel dans le soutien aux efforts des pays en voie de développement pour réduire les risques de catastrophe. • Les pays en développement ont besoin d’un soutien international coordonné, soutenu et adéquat pour la réduction des risques de 18 SUPPORTING IOC CLIMATE NEGOCIATOR GROUP IN ITS PREPARATION TO THE UNFCCC COP21 WIO_CC Climate Change and the Caribbean: A Regional catastrophe. Il faut aussi le suivi et l'examen du présent Cadre par la préparation périodique des avis sur les progrès accomplis, en particulier pour la Plate-forme mondiale pour la réduction des risques de catastrophe le développement d'un ensemble d'indicateurs possibles pour mesurer les progrès mondiaux dans la mise en œuvre du présent Cadre • En Avril 2014, les représentants des Etats membres de la COI et Zanzibar ont clairement indiqué la nécessité d'un plus grand soutien à la négociation dans la perspective de la 21e Conférence des Parties (COP21) à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC). • Reconnu que la crédibilité et la présence renforcées du CIO aux niveaux régional et international entre les donateurs et les pairs est essentiel afin de promouvoir les intérêts de la région de l'océan Indien et de ses pays. • 2015 est une année cruciale pour le processus de négociation sur le climat de la CCNUCC avec 5 séances de négociation officielles (février, juin, août, octobre et décembre) qui se tiendront en vue d'adopter l'accord de 2015 sur le climat à Paris. • l’objectif principal de ce service conseil est de renforcer la capacité des États membres de la COI pour jouer un rôle plus actif dans les processus de négociations au sein du système de la CCNUCC dans la perspective de COP21. • L’Objectif spécifique est de soutenir les négociateurs des membres de l'Etat du CIO et Zanzibar de Tanzanie dans la préparation des cycles de négociations d'Octobre 2015, vue de COP21 à la fin de l'année. Résultats attendus: • Le mentorat et le soutien en temps réel aux délégués et aux fonctionnaires des membres de l'Etat du COI et Zanzibar de Tanzanie, en se concentrant sur l'état et l'avancement des négociations sur le climat jusqu'à la CdP21. • Un atelier de formation régional de deux jours visant à renforcer les capacités des délégués et négociateurs du Secrétariat de la COI, ses pays membres, ainsi que OASIS pour participer avec succès au COP21 à Paris. • Un atelier de formation régional de deux jours visant à renforcer les capacités des délégués et négociateurs du Secrétariat de la COI, ses pays membres, ainsi que OASIS pour participer avec succès au COP21 à Paris. . Résultat attendu: Le CIO et ses pays membres, ainsi que Zanzibar et Tanzanie, ont développé des capacités internes et de l'expertise dans le domaine des négociations sur le climat. • WIOCC reconnaît l'importance critique de la conservation de la biodiversité et l'utilisation durable des ressources naturelles pour améliorer les moyens de subsistance et l'économie de la région. • Seychelles conserver 30% de la zone économique exclusive (ZEE) comme une région protégée d'ici 2020 • WIOCC reconnaît l'importance critique de la conservation de la biodiversité et l'utilisation durable des ressources naturelles pour améliorer les moyens de subsistance et l'économie de la région. • WIOCC reconnaît l'importance critique de la conservation de la biodiversité et l'utilisation durable des ressources naturelles pour améliorer les moyens de subsistance et l'économie de la région. •• Seychelles conserver 30% de la zone économique exclusive (ZEE) comme une AMP d'ici 2020. • Le CIO soutient la mise en œuvre de la stratégie de Maurice pour le développement durable des PEIDs à travers le projet ISLANDS. • D’autres engagements sont mentionnés dans des domaines tels que les ER, l’EE, l’adaptation basée sur les écosystèmes, les moyens de subsistance durables, la sécurité alimentaire, les moyens de subsistance durables et de l'eau - par Maurice, Seychelles, Zanzibar. • La vision stratégique régissant cette stratégie régionale - jeter les bases d'une «société régionale et de l'économie qui est résiliente au changement climatique." • Au cours des trois dernières décennies, la région des Caraïbes a subi des 19 Framework for Achieving Development Resilient to Climate Change (2009-2015) pertes directes et indirectes estimées entre 700 millions $ US et 3,3 milliards $ US en raison de catastrophes naturelles associées aux phénomènes météorologiques extrêmes. • Le changement climatique mondial est la plus grave menace pour le développement durable que les États de la CARICOM font face. • La vulnérabilité des pays de la CARICOM aux événements climatiques est attestée par l'impact des ouragans, les tempêtes tropicales et les inondations dans la région. • Pour les deux prochaines décennies, une tendance au réchauffement d'environ 0,2 ° C est prévue pour une série de scénarios de gaz (GES) de serre. • Les estimations qu’un retardé des mesures pour atténuer le changement climatique entraînera des coûts globaux des dommages équivalents à la perte d'au moins 5 pour cent du produit intérieur brut (PIB) mondial chaque année, avec des pertes plus élevées dans la plupart des pays en développement. • Ce cadre régional fournit une feuille de route pour l'action sur la période 2009-2015, quatre stratégies clés et les objectifs associés visant à augmenter de manière significative la résilience des économies de la CARICOM: 1. Intégration des stratégies de changement climatique d'adaptation dans les programmes de développement durable des États de la CARICOM. 2. Promouvoir des actions visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre grâce à l'efficacité énergétique, la conservation, et le passage à des sources d'énergie renouvelables. 3. Encourager des mesures pour réduire la vulnérabilité des systèmes naturels et humains dans les pays de la CARICOM aux impacts du changement climatique. 4. Promouvoir l'action de tirer des avantages sociaux, économiques et environnementaux grâce à la gestion prudente des forêts debout dans les pays de la CARICOM •. les organisations régionales ont un rôle essentiel à jouer pour soutenir les activités de gestion des risques de catastrophes climatiques à travers le partage de l'information entre les principaux organismes et individus •.La participation des pays de la CARICOM dans la mise en œuvre, le suivi et l'examen du cadre sera facilitée à trois niveaux: 1. Mise en place d'un comité de surveillance sur les changements climatiques, 2. Le Conseil de développement économique et commercial établira un comité sur le changement climatique afin de superviser la mise en œuvre du cadre 3. Mise en place d'une Commission régionale sur les changements climatiques, d'assurer une surveillance concernant la conception •. Promouvoir l'action pour en tirer des avantages sociaux, économiques et environnementaux grâce à la gestion prudente des forêts intactes dans les pays de la CARICOM. • La mise en œuvre de la stratégie-cadre nécessitera des ressources financières pour soutenir les actions et les responsabilités des agences d'exécution. • une étude récente suggère que dans un scénario «non-adaptation», ces pertes pourraient être de l'ordre de 5 à plus de 30 pour cent du PIB en moyenne (valeurs annualisées), avec une gamme encore plus large pour certains pays spécifiques. • Le cadre vise à intégrer le changement climatique dans le cadre du processus de planification nationale pour le développement social et économique. 20 CLIMATE CHANGE Ce document de stratégie fournit une feuille de route pour l'action, sur la période 2009-2015, et se fonde sur les bases jetées par les travaux du & THE Centre sur le changement climatique de la Communauté des Caraïbes CARIBBEAN: (CCCCC). A DRAFT quatre stratégies clés et les objectifs associés à augmenter de manière REGIONAL significative la résilience des économies dans les États de la CARICOM: STRATEGY FOR 1. Intégration des stratégies de changement climatique d'adaptation dans ACHIEVING les programmes de développement durable des États de la CARICOM. DEVELOPMENT 2. Promouvoir des actions visant à réduire les émissions de gaz à effet de RESILIENT TO serre grâce à l'efficacité énergétique et la conservation et le passage à des CLIMATE CHANGE sources d'énergie renouvelables. 3. Promouvoir des actions visant à réduire la vulnérabilité des systèmes - 2008-2015 naturels et humains dans les États de la CARICOM aux impacts du changement climatique. 4. Promouvoir des actions visant à tirer des avantages sociaux, économiques et environnementaux de la gestion prudente des forêts debout dans les États de la CARICOM. Ce projet de stratégie a évolué dans le cadre tel que décrit dans l'article précédent Delivering transformational change 2011-21 Implementing the CARICOM ‘Regional Framework for Achieving Development Resilient to Climate Change’ • construire des économies résilientes au climat et à faible teneur en carbone nécessite un changement transformationnel par les gouvernements, les organisations régionales, les ONG, le secteur privé et la société civile • Les chefs de gouvernement ont exprimé leur vive préoccupation que les efforts de la région pour promouvoir le développement durable et atteindre les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) sont gravement menacés par les effets dévastateurs des changements climatiques et l'élévation du niveau de la mer • éléments stratégiques du Cadre régional sont: 1. Intégration des stratégies d’adaptation au changement climatique dans les programmes de développement durable des États de la CARICOM. 2. Promouvoir la mise en œuvre des mesures d'adaptation spécifiques 3. Promouvoir des actions visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre 4. Encourager des mesures pour réduire la vulnérabilité des systèmes naturels et humains 5 Promouvoir l'action pour en tirer des avantages sociaux, économiques et environnementaux • Plan de mise en œuvre - un changement transformationnel dans la mentalité, les arrangements institutionnels, les systèmes d'exploitation, des approches collaboratives et des mécanismes de planification intégrée sont essentiels pour fournir les éléments stratégiques et les objectifs du cadre régional. • L'approche des «trois uns» est une caractéristique essentielle du processus de plan d'exécution et a été utilisé avec succès dans les Caraïbes: Un mécanisme de coordination pour gérer le processus Un plan qui fournit le cadre d'une action coordonnée par tous les partenaires. Un cadre de suivi et d'évaluation pour mesurer les progrès, la transparence et la valeur pour l'argent. Défis pour la formulation des actions; 1. Bâtir des solutions de résilience exige un changement transformationnel et une mobilisation efficace des ressources rares. 2. Construire une économie résiliente au changement climatique faible teneur en carbone est un élément intégral de l'ordre du jour plus large de développement durable. 3. Les Caraïbes ne peut pas livrer la résilience et de créer des économies faible teneur en carbone sans aide financière et technique. 4. Le secteur privé a un rôle fondamental dans la fourniture et le financement de solutions. 5. Agir au niveau régional pour délivrer à l'échelle nationale. 6. Les Etats des Caraïbes doivent devenir des économies à faible carbone. 21 7. Nécessité de développer une éthique de gestion des risques dans la prise de décision. 8. L'incertitude n’est pas une raison pour l'inaction. 9. Les données et l'information sont des biens publics. 10: miser sur l'information, les connaissances et l'expertise déjà disponible, accroître la compréhension et de la connaissance et de développer les capacités. 11. réduction des risques en cas de catastrophe et le changement climatique sont inextricablement liés. 12. Les défis à venir peut être beaucoup plus grande que nous sommes en train de planifier pour. Outils d'intégration de la réduction des risques de catastrophes - Notes d'orientation à l'intention des organisations de development Les Outils d'intégration de la réduction des risques de catastrophes sont une série de 14 notes d’orientation destinées aux organisations de développement pour leur permettre d'adapter leurs outils de programmation et d’évaluation prospective et rétrospective de projets afin d’intégrer la réduction des risques dans les activités de développement des pays exposés aux aléas naturels. Notes d’orientations : 1 : Introduction. souligne les facteurs essentiels d’une intégration fructueuse de la réduction des risques de catastrophes dans les principes et la pratique du développement. 2 : Collecte et exploitation de données sur les aléas naturels. permet aux organisations de développement de déterminer la gravité des phénomènes qui menacent une région ou un pays donné et de décider si la gestion des risques doit être envisagée. 3 : Stratégies de réduction de la pauvreté. L’intégration des questions se rapportant aux aléas naturels dans la préparation des stratégies de réduction de la pauvreté, et dans d’autres mesures de réduction de la pauvreté dans les pays exposés à ces aléas. 4 : Établissement de programmes par pays. Comment évaluer et traiter les risques de catastrophes dans les programmes destinés aux pays exposés à celles-ci 5 : Gestion du cycle des projets. Questions générales d’intégration de la gestion des risques de catastrophes dans l’ensemble du cycle des projets, en particulier à l’étape de la planification. 6 : Cadres logiques et axés sur les résultats. cadre logique et des outils de gestion axés sur les résultats pour la conception et la gestion globales des projets 7 : Évaluation environnementale des projets. Orientation en vue d’analyser l’influence des projets sur la vulnérabilité de par leurs incidences sur le milieu et la menace que les aléas risquent de faire peser sur les projets. 8 : Analyse économique des projets. Comment analyser les risques de catastrophes et les possibilités de réduire la vulnérabilité des pays exposés et comment veiller à ce que ces risques soient correctement et systématiquement étudiés en cas de besoin 9 : Analyse de vulnérabilité et de capacités. Dans quelle mesure on peut tenir compte respectivement des aléas naturels et des catastrophes dans l’analyse de la vulnérabilité et des capacités. 10 : Démarches axées sur des moyens de subsistance viables. un deuxième outil d’analyse sociale permettant l’intégration des aléas naturels et des risques de catastrophes dans la planification des projets de développement. 11 : Evaluation d’impact social. Mieux comprendre les collectivités et leurs processus sociaux, facilitant ainsi l’identification des conséquences sociales directes et indirectes des risques de catastrophes et la mise en place de mécanismes d’atténuation appropriés et efficaces faisant appel aux ressources des collectivités. 12 : Conception d’ouvrages, normes de construction et sélection de sites. La conception d’ouvrages, les normes de construction, la sélection de sites et leur rôle dans la réduction des risques. 22 13 : Évaluation des activités de réduction des risques de catastrophes. Les grandes étapes de la planification d’une l’évaluation rétrospective des activités de réduction des risques de catastrophes. 14 : Aide budgétaire. L’assistance axée sur les projets abandonnée en faveur d’une aide budgétaire générale et sectorielle. Programme National d’Efficacité Energétique (PNEE) Le Programme National d’Efficacité Energétique propose aux entreprises mauriciennes une assistance technique et financière pour mettre en œuvre une démarche visant à réduire leur consommation d’énergie, maîtriser leurs coûts, gagner en compétitivité et être plus écoresponsable. Au-delà de la réalisation d’audits énergétiques, le PNEE vise l’émergence progressive d’un marché de l’efficacité énergétique Le PNEE pose l’audit énergétique comme première étape de la démarche d’efficacité énergétique. Cet outil d’aide à la décision pour le chef d’entreprise est cofinancé à 60% et réalisé par des professionnels encadrés par une assistance technique garant de la qualité des prestations. Une aide à l’investissement est possible pour certaines solutions d’économies d’énergies à travers une ligne de crédit. L’impact au niveau national est considérable avec un potentiel de réduction de 40 MW de la production d’électricité Un audit énergétique donne à l’entreprise une information détaillée sur les actions permettant de réduire la facture d’énergie et une évaluation de leur retour économique. Il repose sur des investigations détaillées réalisées sur site par des spécialistes du secteur ou du système étudié, équipés d’instrumentation adéquate Les audits sont réalisés par groupes d’audits, qui sont formés soit selon un secteur d’activité, (secteur Textile, secteur Hôtelier, secteur Grande Distribution), soit selon un usage de l’énergie à fort potentiel d’économies d’énergie et présent dans un grand nombre d’entreprises (Usage Vapeur, Usage Froid, Usage Air Comprimé, Usage Pompes et Ventilateurs, Usage Eau Chaude) Une fois qu’un groupe d’audits est constitué (8 à 15 entreprises selon les thèmes), l’Assistance Technique réalise une visite de chaque site participant. Les objectifs de cette visite sont d’identifier les besoins spécifiques et de rédiger un cahier des charges d’audit adapté à chacun des sites. La réalisation d’audits énergie de qualité demande de faire appel à des spécialistes, que le Programme permet de mobiliser. Pour chaque groupe d’audits, un consultant – auditeur est recruté, présentant des références internationales spécifiques au secteur ou aux usages ciblés par le groupe d’audits. Pour chaque groupe d’audits, les entreprises recevront une formation ciblée sur leurs priorités en matière de consommations d’énergie et orientée vers la mise en œuvre des actions identifiées dans le rapport d’audit Les audits réalisés dans le cadre du Programme National d’Efficacité Energétique sont financés à 60% par une subvention de l’Union Européenne. Maurice, Réunion En parallèle au PNEE, l’Agence Française de Développement a mis en place en 2014 une ligne de crédit « verte », dans le cadre du programme SUNREF Océan Indien, permettant de financer des projets environnementaux dans les entreprises à travers des banques mauriciennes. Sous certaines conditions, les projets identifiés dans les audits du PNEE pourront être éligibles à une subvention de 8% du montant emprunté. Accord de Paris 13. Invite à nouveau toutes les Parties qui ne l’ont pas encore fait à faire part au secrétariat de leurs contributions prévues déterminées au niveau national en vue d’atteindre l’objectif de la Convention tel qu’il est énoncé en son article 2 dès que possible et bien avant la vingt-deuxième session de la Conférence des Parties (novembre 2016) et d’une manière propre à améliorer la clarté, la transparence et la compréhension des contributions 23 prévues déterminées au niveau national; Atténuation 24. Demande aux Parties dont la contribution prévue déterminée au niveau national soumise en application de la décision 1/CP.20 comporte un calendrier jusqu’à 2030 de communiquer ou d’actualiser d’ici à 2020 cette contribution et de le faire ensuite tous les cinq ans conformément au paragraphe 9 de l’article 4 de l’Accord; Adaptation 45. Demande aux Parties de renforcer la coopération régionale en matière d’adaptation s’il y a lieu et de créer, si besoin est, des centres et réseaux régionaux, en particulier dans les pays en développement, compte tenu du paragraphe 13 de la décision 1/CP.16; 47. Demande en outre au Fonds vert pour le climat d’accélérer la fourniture de l’appui destiné aux pays les moins avancés et aux autres pays en développement parties pour la formulation des plans nationaux d’adaptation, conformément aux décisions 1/CP.16 et 5/CP.17, ainsi que la mise en oeuvre ultérieure des politiques, projets et programmes qu’ils auront définis; Pertes et prejudices 50. Demande également au Comité exécutif du Mécanisme international de Varsovie, agissant conformément à ses procédures et à son mandat, de créer une équipe spéciale pour compléter et mettre à profit les travaux des organes et groupes d’experts existant au titre de la Convention, dont le Comité de l’adaptation et le Groupe d’experts des pays les moins avancés, ainsi que ceux des organisations et organes d’experts compétents extérieurs à la Convention, en les mobilisant selon qu’il convient, en vue d’élaborer des recommandations relatives à des démarches intégrées propres à prévenir et réduire les déplacements de population liés aux effets néfastes des changements climatiques et à y faire face; Financement 53. Décide que, dans la mise en oeuvre de l’Accord, les ressources financières fournies aux pays en développement devraient renforcer l’application de leurs politiques, stratégies, règlements, plans d’action et mesures de lutte contre les changements climatiques tant en matière d’atténuation que d’adaptation de façon à contribuer à la réalisation de l’objet de l’Accord tel que défini à l’article 2; Renforcement des capacités 72. Décide de créer le Comité de Paris sur le renforcement des capacités, qui sera chargé de remédier aux lacunes et de répondre aux besoins, actuels et nouveaux, liés à l’exécution d’activités de renforcement des capacités dans les pays en développement parties et d’intensifier encore les efforts de renforcement des capacités, notamment la cohérence et la coordination des activités menées dans ce domaine au titre de la Convention; 74. Décide en outre de lancer un plan de travail pour la période 2016-2020 prévoyant les activités suivantes : d) Favoriser la coopération mondiale, régionale, nationale et infranationale; Transparence des mesures et de l’appui 90. Décide que conformément au paragraphe 2 de l’article 13 de l’Accord, les pays en développement disposeront d’une certaine flexibilité pour la mise en oeuvre des dispositions de cet article, s’agissant notamment de la portée, de la fréquence et du niveau de détail à prévoir en matière de notification et du champ d’application de l’examen, et que celui-ci pourrait prévoir des examens dans le pays de caractère facultatif, tandis la flexibilité en question sera prise en compte dans l’élaboration des modalités, procédures et lignes directrices visées au paragraphe 92 cidessous; 91. Décide également que toutes les Parties, à l’exception des pays les moins avancés parties et des petits États insulaires en développement, soumettent les informations mentionnées aux paragraphes 7, 8, 9 et 10 de l’article 13 selon qu’il convient mais au minimum tous les deux ans, et que 24 les pays les moins avancés parties et les petits États insulaires en développement pourront soumettre ces informations comme ils le jugent bon; Action renforcée avant 2020 108. Demande instamment aux Parties, qu’elles soient hôtes ou acheteuses, de rendre compte de manière transparente des résultats en matière d’atténuation transférés au niveau international, y compris les résultats qui servent à respecter les engagements internationaux, et les unités d’émissions délivrées au titre du Protocole de Kyoto, afin de promouvoir l’intégrité environnementale et d’éviter un double comptage; 110. Décide de renforcer, au cours de la période 2016-2020, le processus actuel d’examen technique des mesures d’atténuation tel que défini à l’alinéa a) du paragraphe 5 de la décision 1/CP.19 et au paragraphe 19 de la décision 1/CP.20, en tenant compte des données scientifiques les plus récentes, notamment en : a) Encourageant les Parties, les organes de la Convention et les organisations internationales à participer à ce processus, le cas échéant en coopération avec les parties prenantes compétentes non parties à la Convention, afin d’échanger leurs expériences et leurs suggestions, notamment celles issues d’événements régionaux, et à collaborer pour faciliter la mise en oeuvre de politiques, pratiques et mesures recensées au cours du processus en conformité avec les priorités nationales en matière de développement durable; 125. Décide de lancer, pendant la période 2016-2020, un processus d’examen technique des mesures d’adaptation; Sources : Extraits rapports concernes Analyse des CPDNs Tableau 2 – CPDNs – Atténuation CPDN - Principaux Projets Atenuation des iles Etats de l'Ocean Indien Comores Madagascar 84% en 2030, par rapport au scénario de référence 14% en 2030, par rapport au scenario de reference (BAU) Maurice 30% d'ici 2030, par rapport au scénario de reference (BAU) USD 375 millions USD 6.4 milliard USD 1.5 milliard Energie Réduire pertes sur réseau de distribution et rehabiliter les centrales electriques Faciliter l’accès à l’énergie et electrification rurale. Réhabilitation du réseau et des centrales electriques. 50% des menages adoptent des foyers ameliores. ` moderniser le réseau national d'électricité grâce à l'utilisation de technologies intelligentes Energie Renouvelable Adoption du solaire; Augmenter le potentiel hydro, et Geothermie Développement de l’énergie renouvelable et alternatives. Augmentation de la contribution de Expansion de l'énergie solaire, éolienne, de la l’hydraulique et du solaire de 35% actuellement à production de biomasse et d'autres ressources 79%. Production de biogaz à partir des eaux renouvelables usées Energie moins polluant Promouvoir l’utilisation du GPL à la place du pétrole et du bois Efficacité énergétique Efficience énergétique Objectif de reduction de GES Es tima ted Cos ts for a ttenua tion Amélioration de l’efficience énergétique; Diffusion des foyers améliorés (50% ménages adoptant les foyers améliorés en 2030). Transport Seychelles 29% en 2030, par rapport aux émissions de référence USD 309 million. mettre en œuvre la politique énergétique de 2010, et de réduire l'intensité énergétique d'au moins 10% d'ici 2020 15% - 20% d'énergie renouvelable en 2030; provenant principalement de l'énergie éolienne et solaire photovoltaïque. Objectif de 90 MW d'énergie solaire photovoltaïque et chauffage solaire de l'eau dans 80% des ménages passage progressif vers l'utilisation de technologies énergétiques plus propres (par exemple. GNL) cibler des combustibles efficients et des biocarburants dans la réglementation des importations Efficacité énergétique et conservation de l'énergie Programme national d'efficacité énergétique, nouvelles réglementations pour les climatiseurs, Nouveau Code de construction pour maisons et promouvoir la cogénération. systeme de transport durable 30% véhicules privés électriques d'ici 2030, et 15,8 MW d'énergie solaire PV pour les alimenter. Haute pénétration des transports en commun; promouvoir véhicules électriques et deux-roues. Agriculture Promouvoir l’agriculture de conservation; Reboisement, Arboriculture et Afforestation des prairies ou autres terres en friche Promouvoir l’agriculture de conservation et climato-intelligente. Systèmes de Riziculture Intensive / Améliorée, arboriculture, Reboisement, agroforesterie, contrôle des feux de forêts et des prairies. Intégration mécanisme REDD-plus agriculture climat -intelligente et bioagriculture; programme de plantation d'arbres soutenue dans le cadre de l'initiative plus propre, plus verte et plus sûre initiative; agriculture intelligente climatique, y compris la bio-agriculture; Dechets Compostage et Biogaz Compostage des déchets organiques ménagers la gestion durable des déchets et intégrée, y compris les déchets à l'énergie la politique des déchets pleinement mis en œuvre; Modernisation l'ancienne décharge avec captage du gaz et des équipements de torchage 25 Tableau 3 – CPDNs – Adaptation CPDN - Principaux Projets Adaptation des iles Etats de l'Ocean Indien Coûts estimés pour l'adaptation Infrastructure & Gestion des Risques Comores Madagascar Maurice Seychelles USD 300 millions USD 28.7 bn USD 4 billion USD 295 million. Protection des populations en zone vulnérable contre aléas climatiques. Normes de construction liés au risques du changement climatique. Système alerte précoce concernant les événements extrêmes Normes de construction contre les inondations. Construction d’infrastructures « assainissement et eau potable » résistantes aux aléas climatiques. Systèmes d’Alertes Précoces multirisques. Améliorer la protection contre les calamites lies au Integrer l'adaptation au changement climatique. changement climatique. Mettre en œuvre la stratégie L'amélioration et l'application dans les codes du de gestion des risques de catastrophe et investir dans bâtiment la résilience. Renforcement des protections naturelles et Améliorer la sensibilisation, et renforcer le cadre réduction de la vulnérabilité des zones littorales, réglementaire pour la protection des plages, des dunes marines et côtières concernées par l’érosion côtière et la végétation. Gestion des Zones Côtières Resources en Eau Améliorer la gestion et la qualité des ressources en système de gestion de l’eau adaptée à l’évolution Formulation et application de la Stratégie Nationale eau et réduire les pertes dans le système de du changement climatique. 100% de la population en Gestion Intégrée des Ressources en Eau; Gestion distribution. Promouvoir la recolte d'eau de pluie. ayant accès à l’eau potable. durable et intégrée des ressources en eau, Investir dans l'infrastructure de l'eau pour soutenir les projets d'irrigation. Approche entièrement intégrée de la sécurité de l'eau Agriculture, Elevage & Securite Alimentaire Utilisation des techniques et des variétés adaptées a l’évolution du changement climatique ; système d’alerte précoce et d’intervention efficace en cas de nouvelle maladie bovine ou caprine. Modèles Intégrés d’Agricultures Résilientes ou « agriculture climato-intelligente »Promotion du Système de Riziculture Intensive, Améliorée et pluviale stratégie et politique intégrée visant à favoriser l'adoption de pratiques de gestion intégrée de la maladie et des vecteurs . Promouvoir l'agriculture intelligente climatique L'agriculture durable moderne, des technologies nouvelles et novatrices, et ressources humaines qualifiées et intégrées à l'économie bleue Biodiversité terrestre et marine Restauration des habitats naturels (forêts et mangroves : 45 000 ha, lacs et cours d’eau, Identification et aménagement des zones de refuge climatique; Adaptation basée sur les écosystèmes pour lutter contre l’avancement des dunes. Restauration de forêts naturelles et renforcement de la connectivité des habitats Améliorer la gestion et l'expansion des aires protégées marines et terrestres, la réhabilitation des zones humides, des plantation des mangroves. Augmentation des zones couvert d'arbres et rehabilitation des récifs coralliens. Le Seychelles Stratégie et Plan d'Action Entièrement mis en œuvre, et loi sur la biodiversité appliquée. Frontière entièrement biosécurisé. Sante Évaluation des liens entre les changements Eradiquer le paludisme. Système d’alerte précoce climatiques et la migration des maladies et d’intervention efficace vectorielles, du paludisme et autres maladies en cas de nouvelle maladie vectorielle. émergentes, Integrer adaptation au changement climatique dans secteur santé. Communication, éducation et stratégie de sensibilisation. Améliorer la surveillance et alerte décentralisée Répondre à l'augmentation de la population et le fardeau supplémentaire pour la santé liés au climat. Recherche innovations technologiques Acquisition des moyens de transport de masse hybrides et électriques Energie de base resilient. Transport terrestre à base de combustible efficiente et les véhicules électriques. Transport et Sécurité énergétique Divers Secteurs Mobilisation financements internationaux; populations vulnérable sensibilisées aux impacts du changement climatique et renforcement de capacité ciblé Sensibilisation sur les effets néfastes des Développement et mise en œuvre des plans de gestion changements climatiques. Intégration changements Déchets gérés strictement selon la hiérarchie et la de la pêche durable, et renforcement des capacités climatiques dans tous les documents cadres de politique des déchets pleinement mis en œuvre institutionnelles développement 26 Tableau 4 – Conventions & Initiatives Conventions Description & Initiatives Commission de l’Océan Indien (COI) organisation intergouvernementale créée en 1984, elle est basée à l’île Maurice. Sa mission est de renforcer les liens entre les peuples de ses États membres et améliorer leur niveau de vie, favorisant la coopération dans de nombreux domaines. défend les intérêts des États insulaires dans des forums régionaux et internationaux Pays Concernes Comores, Madagascar, Maurice, France (Réunion) & Seychelles gère un portefeuille de dix programmes de coopération et de développement régionaux procède actuellement à la mise en oeuvre de cinq projets régionaux relatifs au changement climatique et à la gestion durable des terres : Adaptation au changement climatique (ACClimate) Initiative Régionale Agroécologie Changement Climatique (IRACC) ISLANDS : Petits États Insulaires en Développement (PEID) Gestion de la biodiversité dans les îles, les zones marines et côtières dans les États côtiers de l’Afrique australe et l’océan Indien Le développement des énergies renouvelables et les améliorations de l’efficacité des énergies dans les États membres de la Commission de l’Océan Indien Le projet ACClimate a entrepris une étude de vulnérabilité au changement climatique pour le compte des pays de la COI et a élaboré un cadre de travail pour une stratégie régionale d’adaptation au changement climatique dans les pays de la COI pour la période 2012 – 2020. Le cadre de travail pour une stratégie régionale d’adaptation au changement climatique dans les pays de la COI pour la période 2012 à 2020 a été approuvé par le Conseil des Ministres de la COI en janvier 2013. l’Union européenne est le principal organisme de financement de la COI. La COI a également développé des partenariats avec des organisations internationales et régionales telles que l’Agence Française de Développement (AFD), la Banque Africaine de Développement, la Banque Mondiale, La Réunion, ainsi qu’avec de nombreuses agences des Nations Unies la COI est en train d'améliorer ses procédures administratives et financières pour répondre aux normes internationales afin d'améliorer la gestion et le suivi de ses projets. La COI joue un rôle clé dans les fora internationaux et régionaux (COMESA, SADC, etc.), afin de créer un environnement propice à des investissements accrus dans la région La COI a récemment obtenu le statut d'observateur au sein de la CCNUCC deux protocoles d'entente ont été signés lors Rio+20 en 2012 entre la COI, le centre (CCCCC), le (SPREP); l'un de leurs principaux objectifs étant l'amélioration de l'accès des PEID à la finance internationale pour le climat). Convention de Nairobi Orientation Stratégique pour les Une convention de partenariat, qui fournit un cadre juridique et un mécanisme pour la coopération régionale, la coordination et les actions de collaboration, exploiter les ressources et l'expertise pour résoudre les problèmes interdépendants de l'environnement côtier et marin. endiguer toute nouvelle dégradation de l'environnement marin et inverser la dégradation et la destruction des habitats critiques. Une plate-forme importante pour le dialogue entre les gouvernements et la société civile au niveau régional et national Comores, France, Kenya, Madagascar, Maurice, Mozambique, Seychelles, Somalie, Tanzanie et la République du Sud Afrique Objectifs Promouvoir des collaborations sur des problématiques communes, complémenter des programmes et stratégies nationaux et régionaux Comores, Madagascar, Maurice, 27 Ecosystèmes Marins de la région COI (Stratégie WIOMER) Western Indian Ocean Coastal Challenge (WIO-CC) Common Market for East and Southern Africa (COMESA) Southern African Development Community (SADC) parler d’une seule voix sur la scène internationale, d’une stratégie régionale des iles de l’OIO pour la gestion durable des écosystèmes et ressources marins permettre pays de la COI de gérer leurs écosystèmes marins de façon durable, en s’appuyant en autres sur la stratégie régionale d’adaptation au changement climatique et la stratégie régionale des pêches et de l’aquaculture. créer des outils et mécanismes qui permettront de protéger l’ensemble du patrimoine marin et de veiller à la viabilité écologique des activités humaines Le WIO-CC est un mécanisme qui favorise l’échange d’expériences pour une meilleure coordination des projets régionaux des économies côtières face au changement climatique. La vision de WIO-CC est qu’en 2032, face aux menaces du changement climatique, Le Défi pour les zones côtières de l’Océan Indien Occidental sera un partenariat solide et vocal de des îles et les pays côtiers de l’ouest de l’océan Indien et les parties prenantes. Ils travailleront ensemble pour construire et mettre en œuvre des options de développement résilience climatique. Le WIO-CC a d'abord été proposé par le Président des Seychelles en 2007 comme une "plate-forme pour galvaniser les engagements et les actions politiques, financières et techniques aux niveaux national et régional sur le changement climatique et l'adaptation, la promotion de la résilience des écosystèmes (ressources marines et côtières), durable les moyens de subsistance et la sécurité humaine " L'EEOC a été initialement inspiré du Défi de la Micronésie et l'initiative Caribbean Challenge qui sont promus à travers le Partenariat insulaire mondial (GLISPA). WIOCC a reçu un financement de l'Union européenne et avec le soutien du projet ISLAND de la Commission de l'Océan Indien pour soutenir la mobilisation de l’engagement.au niveau national des pays de l’ouest de l’océan Indien. Traité créé en 1981, «comme une organisation d'Etats souverains indépendants libres qui ont accepté de coopérer dans le développement de leurs ressources naturelles et humaines pour le bien de tout leur peuple». approche globale et de l'initiative de programme visant à lutter contre le changement climatique pour la promotion du programme de développement de l'agriculture africaine (PDDAA) - un objectif clé est d'étendre la zone sous gestion durable des terres et des systèmes de contrôle de l'eau fiables COMESA, a développé des accords de partenariat et lancé de nouvelles initiatives pour résoudre les problèmes de perte de biodiversité, la déforestation, la dégradation des terres, la productivité agricole, et le changement climatique. Climate Initiative COMESA contribue à la création de paysages et de moyens de subsistance durables, y compris l'adaptation et l'atténuation au changement climatique. La Communauté économique régionale comprenant 15 États membres; Fondée en 1992, la SADC est engagée à l'intégration régionale et à l'éradication de la pauvreté en Afrique australe par le développement économique et assurer la paix et la sécurité. Parmi les 10 thèmes sont inclus RRC, l'agriculture et la sécurité alimentaire, les ressources naturelles, de la météorologie et le climat, l'éradication de la santé et de la pauvreté et de dialogue politique. Tous les États membres de la SADC ont des structures de gestion des catastrophes qui entreprennent des activités nationales, parfois avec l'aide des organisations internationales et des partenaires coopérants. SADC a créé une unité de réduction des risques de catastrophe responsable de la coordination des programmes de préparation et d'intervention régionaux pour les risques et les catastrophes transfrontalières. Réunion (France) et Seychelles Comores, Madagascar, Maurice, et Seychelles Comores, Madagascar, Maurice, Seychelles & 15 autres pays d’Afrique Madagascar, Maurice, Seychelles et 12 autres pays de l’Afrique Un objectif stratégique pour la SADC est d'améliorer l'efficacité agricole, en se concentrant spécifiquement sur les petits agriculteurs et leur accès aux facteurs de marchés de production et d'entrée et de sortie. Des initiatives dans ce sens seraient fournir de multiples avantages, y compris une plus grande disponibilité de la nourriture, et l'amélioration de la sécurité alimentaire, tout en libérant la main-d'œuvre à participer à des secteurs plus rentables de l'économie. L'importance cruciale de la sécurité alimentaire a été soulignée en 2004, fixer des objectifs qui sont en ligne avec les objectifs du Millénaire pour le développement des Nations Unies et la Déclaration du Sommet mondial de l'alimentation de 2002. La contribution importants que joue la pêche dans la sécurité alimentaire régionale est 28 guidée par le Protocole 2001 sur les pêche.. Agriculture et sécurité alimentaire sont également en évidence dans le Plan indicatif régional de développement stratégique ClimateResilient Islands Partnership (CRIP) Secretariat of the Pacific Regional Environment Program (SPREP) Le changement climatique représente une menace importante pour la région de la SADC comme il est prévu d'augmenter la fréquence et l'intensité des événements climatiques. Les températures prédites plus élevées, les modèles de précipitations modifiés, et une diminution globale des précipitations auront des conséquences graves pour la région. La capacité de prévoir les conditions météorologiques peuvent aider les gouvernements et les collectivités à se préparer à, et réduire ces impacts négatifs potentiels, des phénomènes météorologiques défavorables. Par conséquent, les États membres de la SADC collaborent pour trouver des moyens d'adapter et d'atténuer, les effets du changement climatique dans la région. Le partenariat a été formé en 2011. représente un mécanisme pour aider les PEID pour préparer et adapter aux changements climatiques rassemble les régions à apprendre les uns des autres expériences soutien aux PEIDs face aux changements climatiques, en partageant des installations et de l'expertise, favoriser le dialogue entre les pays de l'hémisphère Sud qui partagent des expériences similaires Les cinq priorités: développer propre portail d'information, l'accès à des modèles d'impact climatique, l'intégration de l'adaptation et de la prévention des catastrophes, accélérer le processus national d'accréditation pour les PEID et les organisations régionales, et développer rapidement les capacités dans la région de l'océan Indien pour les services de planification et financement des changements climatiques. SPREP est l'organisation environnementale intergouvernementale primaire travaillant dans le Pacifique, et compte 25 membres ayant des intérêts directs dans la région. Mandat: promouvoir la coopération dans la région du Pacifique et de fournir une assistance en vue de protéger et d'améliorer son environnement et d'assurer un développement durable pour les générations actuelles et futures Vision: L'environnement du Pacifique, le maintien de nos moyens de subsistance et le patrimoine naturel en harmonie avec nos cultures 4 priorités stratégiques identifiées dans le processus de planification 2010: Changement climatique; Biodiversité et gestion des écosystèmes; Gestion des déchets et de lutte contre la pollution; et la surveillance et la gouvernance environnementale • L'objectif dans le cadre du Changement de la priorité stratégique pour le climat est que «D'ici à 2015, tous les Membres ont renforcé la capacité de répondre aux changements climatiques grâce à l'amélioration des politiques, la mise en œuvre de mesures concrètes d'adaptation, l'amélioration de la résilience des écosystèmes aux impacts des changements climatiques, et les initiatives de mise en œuvre visant à réaliser un développement à faible émission de carbone ». • Le changement climatique affecte déjà de manière disproportionnée les îles du Pacifique. La plupart des îles connaissent les impacts du changement climatique sur les communautés, les infrastructures, l'approvisionnement en eau, les écosystèmes côtiers et forestiers, de la pêche, l'agriculture et la santé humaine. • Caribbean Community Climate Change Centre (CCCCC) • Secretariat of the Pacific Regional Environment Programme (SPREP) • Indian Ocean Commission (IOC) Un groupe de 21 îles et pays de la région du Pacifique, et inclue aussi l’Australie, les Etats Unis, France, Grande Bretagne et Nouvelle Zélande. Secrétariat appuiera les Membres • la planification et la mise en œuvre des stratégies nationales d'adaptation (projets pilotes inclus), et l'intégration des considérations liées aux changements climatiques dans les processus de planification et de développement national. • Fournir des lignes directrices pour les pratiques les plus appropriées et les meilleures dans l'élaboration des politiques et de l'adaptation. • dirigera la coordination des politiques et des programmes sur les changements climatiques régionaux à travers le changement climatique Table ronde du Pacifique et du Cadre océanien d'intervention sur les changements climatiques 29 Caribbean Community Climate Change Centre (CCCCC) • développer des partenariats avec les donateurs pour la mise en œuvre des politiques et programmes d'adaptation et d'atténuation dans la région. Le Centre soutien le peuple des Caraïbes car ils traitent de l'impact de la variabilité et des changements climatiques sur tous les aspects du développement économique, la fourniture de prévisions en temps opportun et l'analyse des impacts potentiellement dangereux des changements climatiques sur l'environnement, et le développement de programmes spéciaux va créer des opportunités pour le développement durable. Un groupe de 20 îles et pays de la région des Caraïbes. En raison de sa sensibilité aux changements climatiques, la Communauté des Caraïbes a toujours été un partisan principal des initiatives liées au climat. Le CCCCC coordonne la réponse de la région des Caraïbes au changement climatique, en travaillant sur des solutions et des projets efficaces pour lutter contre les impacts environnementaux du changement climatique et le réchauffement planétaire. fournit des conseils sur la politique climatique lié au changement et des lignes directrices pour la Communauté des Caraïbes (CARICOM) États membres Le but principal est d'améliorer la capacité des gens des Caraïbes vivant dans des communautés menacées par le changement climatique à adopter des modes de vie plus durables. Il fournit des services visant à améliorer la connaissance du changement climatique et de favoriser l'adaptation aux effets du changement climatique. Ces services comprennent : AHLOA+ Challenge Micronesia Challenge • Sa base de données est le premier référentiel de la région concernant l'information et des données sur les changements climatiques spécifiques à la région • Le Centre a accès à l'information et de l'expertise nécessaire pour identifier les menaces liées au climat, et utilise cette information pour aider ses parties prenantes • L'expertise du Centre est utilisée pour faciliter les projets pour les collectivités à risque et d'accélérer la communauté «buy-in» et des mesures d'adaptation. Conceptualiser, développer et mettre en œuvre des projets qui aboutissent à un changement de comportement à travers un processus participatif impliquant les communautés en tant que partenaires • Le Centre est un partenaire prêt et réceptif pour les projets de changement climatique, car il dispose d'un réseau d'experts qui sont disponibles pour toutes les étapes de conception et de gestion de projet. • élaborer des cours de formation appropriés pour les différents organismes et niveaux de gestion dans les questions liées au climat Change- incluant les domaines techniques, tels que la rédaction de propositions et de négociations. • Il peut conceptualiser, planifier, élaborer, mettre en œuvre, suivre et évaluer les projets et programmes dans les domaines liés au changement climatique. équilibrer et intégrer les besoins et les aspirations humaines avec la capacité des systèmes naturels à être réapprovisionné Engage à construire un avenir plus sûr, durable et résiliente pour Hawaii Engagement à atteindre six objectifs d'ici à 2030, portant sur: l'énergie propre, la production alimentaire locale, naturelle Gestion des ressources naturelles, réduction des déchets, collectivités intelligents et durables et augmentation de la main-d'œuvre verte et de l'éducation. Le Micronesia Challenge est un engagement pris par les États fédérés de Micronésie, la République des Îles Marshall, la République de Palau, Guam et le Commonwealth des îles Mariannes du Nord pour préserver les ressources naturelles qui sont essentielles à la survie des traditions du Pacifique, les cultures et les moyens de subsistance. L'objectif global du défi est de conserver efficacement au moins 30% des ressources marines proches du rivage et 20% des ressources terrestres à travers la Micronésie d'ici 2020. Le défi communautaire Micronésie est un réseau mondial, à la fois en ligne et sur le terrain, des insulaires et des dirigeants qui travaillent avec les gouvernements et les organisations internationales, les entreprises, les écoles et les éducateurs. Ce sens de la communauté est notre force. Hawaii États fédérés de Micronésie, République des Îles Marshall, République de Palau, Guam et le Commonwealth des îles Mariannes du Nord 30 Sur le plan gouvernemental, le Micronesia Challenge est un engagement multicompétence entre les États fédérés de Micronésie, la République des Îles Marshall, la République de Palau, Guam et le Commonwealth de l'île Mariannes du Nord. L'effort est soutenu par le ministère américain de l'Intérieur, le National Oceanographic and Atmospheric Administration (NOAA), et le Ministère fédéral de l'Environnement, Conservation de la nature et de la sûreté nucléaire. La partie d'extension d'éducation de notre communauté est ancrée par nos platesformes de sensibilisation de l'éducation qui atteignent des niveaux primaire et secondaire, et postsecondaire, ainsi que les communautés d'insulaires. 31