ordres de grandeur,graphiques ).og,dB Ordres de grandeurprésente quelques aspects L'Electronique -la précision des éléments utilisés-1'étendue des ordres de grandeurAIors qu'en mécanique on originaux des facilement trouve quant à éléments où n'en est rien les tolérances usuelles vont de 1o-3 à 1o-4,iI de en éIectronique.Une résistance au vo est une résistance parfois précision; la capacité est d'une valeur réelIe éIoignée de L5 % de sa valeur nominaleprofondément méthodes Ce.tte constatation marque les que }a valeur de certains d'Èi.tude,à un point tel é]éments pourra dans un montage n'est pas toujours spécifiée-Ainsi,on une capacité de décaupfage de 1OO l.tF-Unecapacité de utiliser aussi. bien I'affaire. 2OO PF ou de 50 ltF lerait des montages où I'on utilise transistors en Dans les résistances peut varier au saturation ,la valeur de certaines 1OO sans que Ie fonctionnement du moins dans un rapport montage soit affecté- présentent Les ordres de grandeur techniques: inconnu des autres puissance,les en du signal Ie cas de Les a échelles s'étendent à de 10-14 s'étendent de reçu par une antenne la commande électronique fréquences quant quant eux un hJ dans radio à quelque de locomotives- à elles 10- Hz (ondes millimétriques utilisées télécommunicaÈions par satellite) . du continu dans les éventail ro6 Ie cas W dans à quelques radars et les présentant On trouvera en annexe un tableau spectre Ie éIectromagnétique utilisé couramment en électronique ainsi qui leur sont associéesgue les principales activités I ' 1 l ordres de grandeur,graphigues log,dB Les ondes ëlectromagnétiques Désignation l0 kHz 100 kHz I MHz 1 0 0k m l0 km Ikm 200 m Mesures, téléphone, acoustique ) Ondes longues Communicationssous-marines ) ) l0m -! g _ lOs GHz I Ondes très courtes (Very High Frequency) Navigation aérienne - Télécommuni,. "".. cations - Télévision - Guidage engins ) Ondes ultra-courtes ( Ultra High Frequency) l c m ) Infra-rougelointain ) 0,75 1t 9'1 r' I Radiodiffusion,téléconrmunications I l - Télécommunications I *"0", I Guidaseeneins J l m m 3 p II Détection passive - Chauffage Infra-rouge proche Guidage engins -. Vision nocturne Lumière visible Eclairage l r!0_4_ ) IG-l A I Rayons X Cristallographie - Bioiogre ) ) Rayons 1 Rayorrscosmiques Contrôle des matériaux I quelquesprécautions Transistors et tubes spéciaux, circuits à lignes Guides d'ondes, cavités résonantes Magnétrons, klystrons, masers, carcinotrons ) Technologie peu développée Sources incohérentes (thermigues) Lasers- Systèmesoptiques(dioptres, miroirs) Plaque photo Sourcesincohérentes- Miroirs - Plaques photo uttra-niotet l0-2 A Tubes, transistors, circuits à constanteslocalisées Ondes moyennes Ondes intermédiaires Ondes courtes ( High Frequency) r 0 cLr l0 GHz J00 GHz oues I I Ondes à bassefréquence t 100 MHz I GHz menls i 50m I0 MHz Composants caractérist iques de la technologie lypique Réseaux de distribution industriels, I Ondesà très bassefréquence Commandes de puissance,asservisse- machines tournantes,amplis magnéti- 0 '50H2 I kHz Application 2 Sourcesradioactives DétecleursGeiger - Plaques photo - ordres de grandeur,graphiques log,dB étudier est particulièrement marqué quand on désire Le fait Ie cas d'un amplificateur un amplificateur.Par exemple,dans d'approximativement spectre de fréquence s'étend Hi Fi,le 50 étudier la courbe de Hz à une vingtaine de KHz-Si on désire détaillée aux basses de I'amplificateur de manière réponse que le graphique rep'résentant Ie gain f réquences,on constate puissance s'étend sur fréquence de Ia fonction en en plusieurs rédhibitoire,et est on situation mètres-Cette porte sur I'axe des où I'on alors un graphique utilise plus la valeur de Ia fréquence,mais la valeur abscisses,non " gr'aest dit tel graphique du logarithme de la fréquence-Un " " graphique phique log semi log -ou gain de eertains amplificateurs Dans un même ordre d'idée,Ie I'utilisation d'une échelle s'étend de 1 à 106 et nécessite g r a phiques t e l s sont a u s s i , l o g a r i t h m i q u e D e verticale,elle " graphiques log - Iog dits classique courbe d'hystérésis B = pfl De la même manière,la peu à échelles Iinéaires est fort axes tracée dans des q u i p e n t e . D a n s pour apprécier pratique s ' a p p a r e n t e à u n e le l.t perméabilité relative d e à très forte des aciers cas I préfère utiliser une souvent de 600-OOO l,on I'ordre perméabilités sont différentes représentation log-log-Les par des droites à représentées inclinées alors bien entendu 45'représentant }og-1og On trouvera en annexe deux graphiques pour gain en fonction de la d'un amplificateur I'un,le la fonction de transfert B = lfl d'un f réquence ,pour I'autre également deux trouvera haute perméabilité-On acier à très p o r t a n t à c a r r o y a g e l o g e t l o g 1 o g u n standard feuilles utiliser lors des exercices7277980 +5 9;49 Po (dB) 3,w 0 or94 -5 Il] + + -1 oF: 102 lo3 3 f (Hzl to4 ordres graphique de grandeur,graphiques B= l.tl T-h 4 log,dB È o o (D o q @ N .o .o |r) È T u1 t ô{ .o an c 3 ca o o g o x i . r r t i r . ' ! - - . - r - - - - _ - - : - . . - 1 . . - . . . . . l. . - - - . . . . - 1 . . . - - - '-1 "';""1"'-'-'-' _-__l_--" " -'t -"-_-'-r-'-"'_' O 1 . . . . i . . . . l . z 6 o o e E 0 I a z ordres graphique ? r ?1 5 log de grandeur,graphiques log,dB log ,( 6 7 8 ? 5 6 78910 t0 9 8. 7' l0 9. 8- 6. 6. 5. 5. ,t 1. 3. : 2 t. t0 ? o 6 1 2 6 ordres de grandeur,graphiques log,dB Les décibels peut être déjà vu supra,il intéressant Comme on I'a de Ia fonction d'un anrplificateur représenter de transfert dans peut manière de procéder log log-Cette un carroyage procurer d'autres avantages ,notamment pour ce qui touche les ou visuelle où d'amplification auditive le techniques de gain non humain présente une caractéristique récepteur d'une puissance sonore deux fois linéaire-Ainsi,I'émission plus grande ne provoque pas une sensation auditive deux fois plus importante.Il existe un phénomène de feedback I rétrès sensibles troaction I qui rend les capteurs biologiques peu et sensibles faibles stimuli aux stimuli aux dilatation de la trupil1e est importants- La contraction de ce phénomèneI'archétype raisons ,oh mesure les gains €rn Bel I g ] Pour ces diverses ou en décibel I d B ] - C o m m eo n l e v e r r a , o h p e u t m e s u r e r d e s gains en puissance et dans ce cas,on parlera de dB trlatt ou en tension,et dans ce cas,on parlera de dB VoIt ,tout en sachant que les niveaux de ré1érence peuvent être en fonction du un sous-multiple domaine d'application du hlatt ou du VoItAspect théorique Supposons que nous disposions d'un amplificateur de puissance puissance 'd'entrée où Pin est Ia disponible sur une p u i s s a n c e résistance i m p é d a n c e d ' e n t r é e R i n e t de P o u t I a I ] sortie dissipée sur une résistance i m p é d a n c e O e s o r t i e I ] Rout - I G RI N- P I Dans ces conditions,on Rout dit que le gain +out en Bel vaut : Pout 1-1 Gte*l= log P. 1n on préfère utiliser Ie décibel p l u s pratique p l u s p e t i t e fois Pout t-2 Gtoanl= 10-Iog P. Ln 7 I Ca I qui Bst une unité , € ' t , e n conséquence , dix ordres de grandeur,graphiques log,dB que Ies AIors puissances sont relativement difficiles à mesurer, iI est très aisé de mesurer une tension- En conséquence,on exprime les puissance en fonction des tensions appliquées aux bornes des résistances ,êt : U2 OUE l-5 "[or] = lo-rog + H *gut = lo-Ios IN U? ln R. 1n si on veut apprécier res puissances disponibtes à r,entrée et à Ia sortie dans les mêmes conditions expérimentales,iL faut,bien entendu,que Rin = Rout,et,dans ces conditions, L-4 ctael Dans ces l-s ctO'ul U2 ouE = 10-Iog conditions,on = 2e-Iog 10-,osl#]" U? ln parle de dBU ,êt : U O U-T ul -n - On peut se Livrer à Ia fabrication rapide d'une table de dB puissance,en = O,3O1O3.On arrondira sachant que log(2) par opportunité cette valeur à O,S- Gain o,25 or5 1 2 4 5 8 10 20 100 gain en dB.. -6 -3 w o 3 6 7 9 10 13 20 - - a -etc - ordres de grandeur,graphiques 1og,dB E x er c i c e D é v e l o p p e r u n p e t i t p r o g r a m m ed ' o r d i n a t e u r liste des dB puissance et tension. qui fournisse une Certains multimèLres sont munis d'une échelle de dB.S'agit-i1 de dB puissance ou de dB tension .Pourguoi ?plus . on que p rovenance m u1 t i m è t r e s de De remarque l-es références O dB placées différente ont des à des endroits dif f érent,s du cadran- . . . Pourquoi ? Justif ier. - . R e m ar q u e Dans les graphiques faisant intervenir la fréquence.on appelle décade une zone de fréquence où Le rapport entre la fréquence La pl-us é1evée et 1a f réquence 1a pLus basse est de lO , €t octave.une zone de fréquence où ce rapport est de 2. 9 l' and P ratios DecibelequivalentsE' Voltage ot Cuftent Ratio Voltage or Current Power Rabo HaltA dB 1.ooo0 0.9886 0.9772 0.9661 0.9550 1.0000 0.9772 0 9550 0 9333 0 9120 0.9441 0.9æ3 0.9226 0.9120 0.9016 0.8913 0 8710 0.851'l 0 8318 0.8128 0.8913 0.8810 0.8710 0.8610 0.8511 0.7943 07762 0.7586 0.7413 0'7244 0.8414 o.æ18 0.8222 0.8128 0.8035 0.7079 0 6918 0 6761 0.6607 0.6457 0.7943 0,7852 0.7762 0.7674 0.7586 0.6310 0.6166 0'6026 0.5888 0'5754 0.749t) 0.7413 0.7328 0.7244 0.7161 0.5623 0.5495 0'5370 0'5248 0-5129 0.7079 0.6998 0.691I 0.6839 0.6761 0.6683 0.6æ7 0.6531 0.ô457 0,6383 0_5012 0.4898 0.4786 o-4677 0.4571 0.4467 0.4365 0.4266 0.4169 0.4074 0.ô310 0.6237 0.6166 0.6095 0.6026 0.3981 0-38æ 0.3802 0.3715 0.3631 0.5957 0.s888 0.5821 0.5754 0.sô89 0.3548 0.3467 0 3388 uJJr I 0.3236 0.5623 0.5559 0.5495 0.54æ 0-5370 0.3162 0.3090 0.3020 0.2951 0 2884 0.5309 0.5248 0.5188 0.51æ 0.5070 0.5012 0-4955 0.2818 0.2754 0.2692 0.2630 0.2570 0-2512 0'2455 Voltage OT Current Ratto f attage al Power Ratio Curren! Powet âatio Ratio dB o a 0 0.1 0.2 0.3 04 1.000 1.012 1.023 1.035 1.047 1.000 1.023 1.047 1.072 1.096 0 4898 0.4842 0 4786 0.4732 0.4671 0 2399 0 23/.4 02291 0.2239 0.2188 u.5 06 0-7 0.8 0.9 1.059 1_072 '1.084 1.096 1 . 10 9 1j22 1.148 1.175 1.202 1.230 0,4624 0.4571 o 4519 0.4467 0.4416 0.2138 0.2089 02cA2 0.1995 0 1950 1.0 1.1 1.2 1,3 '1.4 1.259 1.288 1.318 1.349 1.380 0.4365 0.4315 0.4266 0.4217 0.4169 0.1905 0 1862 0.1820 0.1778 0 1738 7.2 1-122 1.135 1 , 14 8 1.161 1 . 17 5 1.5 1,6 1.7 '1.8 1.189 1.202 '1.216 1. 4 1 3 1,445 1.479 1-514 1.549 0.4121 0.4074 0.4027 0.3981 0.3936 0'16S 0.1660 0j622 0.1585 0'1549 1-7 7.8 0.3890 0.3M6 0.3802 0.3758 0.3715 0-1514 0.1479 0'1445 0.1413 0.1380 1.9 1.230 1.245 2.O 1.259 '1.274 1.585 z.J 1.288 1.303 1.318 1.660 1.698 1.334 1.349 1.365 1.380 1.396 1.778 1.820 1.862 1.905 1.950 0.3673 0.3631 0.3589 0.3548 0,3s08 0.1349 0 1318 0.1288 0.1259 0-1230 1-413 1.429 1.445 1.462 1.479 1.496 .1.514 r.995 0.3467 0.3428 0.3388 2,7 2.8 3.0 ? 1 3.2 J.J 3.5 3.6 3.7 3.8 3.9 1.531 1.549 1.567 1 ^)) r 7âq t 6L) 2.098 2.138 2 . 18 8 2.239 2.291 2.344 2.399 2.455 f,-Y o.u o-l 6.607 b.fol o 1os6 0.3273 0.3236 0.3199 ^ î142 01072 0 1047 0 1023 0.1000 8.4 8.5 d.o ô.t 9.7 9.8 9,9 10.0 10.5 Z.bJU , oA6 3.020 3,05s 3.090 3 . 12 6 3 . 16 2 I ?qn i122 ;;àG oogsr3 0 07943 0 07079 0.06310 0 05623 o.iàss o oso12 11 . 0 11.5 12.0 12.5 13,0 3.548 0 2818 0.2661 ^t\1) ;;;;; 0 04467 0 03981 0 03548 0 03162 002512 13.5 14.0 14,5 15.0 16-0 4.732 5.012 5.309 17.0 18.0 1 90 200 30.0 7.079 7.943 8.913 10.000 31.620 5 0 . 12 6 3 . 10 79.43 100-00 1,000.00 100.00 316.20 1.000.00 3,162.00 10.000.00 31,620.00 10,000.00 105 1ff 10/ 1s 10Ê 10,0 5.0 5,8 2.570 2.600 ; â;i 0.1413 o 1259 ^ 11t) 5-/ 6.J v.o 3 . 16 2 5-O 8.0 8.1 8.2 Yf, 1.774 5_f, 7 Q 0j122 4.6 4.7 4.8 4.9 3.548 3.631 3.715 3.802 3.890 39.31 4.074 s.888 6.025 6.166 6.310 6.457 ^ 2lcJl 0.2113 o 1995 0.1884 0 . 17 7 8 0.1585 1.884 1.905 1,928 1.950 1-972 1.995 2.018 2.427 2.455 2.483 2.512 2.541 8,318 8.511 8 . 7 10 8.913 9.120 9.333 9.550 9.772 10.000 2.818 2.8U 2.951 3.020 3.090 3.æ8 3.461 7.4 7-5 7.6 2.884 2.917 2.951 1-679. 1.698 1.718 1.738 1. 7 5 8 "11 I 5.244 5.370 5,495 5.623 5.79 9.2 9.3 9.4 4.4 5.2 5.3 54 2.317 zU4 2.371 2.399 z,zJ I 0 1201 0.1175 0'1 148 2.692 2.754 L1A 7.0 4.677 4.786 4.898 5.012 5 . 12 9 7.413 7.586 7.762 7.943 8.128 1.&1 1.660 1.820 1.841 1.862 b.Y 2 - 16 3 2 . 18 8 2.213 2.239 2.265 2.723 2.754 2.786 2.818 2.851 Z.DJV r 7oQ 6.8 8.8 8.9 9.0 9.1 1 ^t) ( l o./ 4 169 4.266 4.365 4.467 4.571 6.918 7.079 7 -244 2.512 2.570 A A b.o 2.042 2.065 2.089 2 . 11 3 2 . 13 8 2.661 2.692 1.585 1.603 4.0 4.1 6.3 6-4 Power Ratio ;,iooo 0.03162 0.01 0.003162 0-001 0.0003162 0.0001 0.00003162 1G5 0.01æ5 0'01585 0.01259 o olooo 0-00100 0 00010 0 00001 1tr6 10-7 10-3 10{ 1O-to 40.0 50-0 60.0 70.0 80.0 90.0 100.00 I 7qA 3.981 4.217 4.467 b.Jlu 1s .12.59 14 . 1 3 15 . 8 5 17.78 io oq 22.39 25.12 28.18 31.62 39.81 osc'lI I oscooe : 9énéral i tés osc i 'l 'l osc(>Pe catl-iod i que ' effectuer une tmpose que I'on puisse c o m p l e x e s i g n a l d , u n L,étUde du temps'soit en .'i'àntt,'soit en- fonction d u i t u d e 1 , a m p l à un d e étude fa-ire'on fa'it appel'soit f r é q u e n c t ' b Ë ' i ' t " l a q u i d e c a l cule fonction oe spectre rn-tnuiv.eur moyen osciIloscope cathodique,roiiâ i'-: ti-gnai 'on verra'comment'au de Fourie'r" et transformée ia à fréquence variable o s c ' il l a t e u i f Cle a n a ' l y s e u r u n d,une sér.ie de il!res,.d,'un de construire d,un oscilloscope,'i I est oo""iort ; ffi: " n t.r.''^ t " "n"." ï ït ::".itt1t'Ëi' 0"' nou:- nï' ^^.'-" i :: : : " "i .'rT: l 1? "1r v i s u a . l i s a t i o n a n a ] o g i q u e ' màa iésc h . ialnet is It lbo o n nnedr e lsea vs 'oi gi nr aq l u' 'ài l ree xt ei ns' lt e =tà ies visualiser une seconde voie qu'i consi dans une momoiie'et à d i g ' i t a'l Ia valeur des échantiIIons s y s t è m e d'un d u s . i g n a l s o u r c e a u t ; t ; ; que ' échantiltons système i nf ormat'r re I ati vement pià"r't à' 'n Le tube cat,hodique --lgz1 c odm L , é l é m e n t d e b a s e d e ' l , o s c i l l o. Lsec o p ' ipqour tee d ol e n st t uebee s t cl ea t huobdei qcuaet h o de d a t e l,.introductron éléments suivants: -le canon électronique -'l e sYstème de dév i atr on - ' l ' é c r a n I u m in e s c e n f ' Àncdc rtc gostuâlirltio câtfto&t'€ Asp€ct htern€ drn ttrbg crassi:Ft€' Page oscilioscope : g é n é r a ' li t é s L'ensemble se trouve monté dans une ampoule de verre où règne un que possible,de I'ordre de 10-o mm de Hg.Sans vide aussi parfait d'électrons p rimordia'le,'la émissive p r é c a u t ' i o n matière cette p o s i t i f s ' i s s u s du gaz p a r i o n s d e s c o n t a m i n é e r a p i d e m e n t sera1t 'la p i nceau concentrati on du de p'lus, dans I e tube, et restant 'le ' é c r a n r e n d' luees d i f f i c i I de proiecti on serai t él ectroni que sur atomes du sur du pinceau é]ectronique de d'iffract'ion I effet gaz l. p a s o b t e n u e x c l u s i v e m e n t p a r p o m p a g e .L e s a t o m e s te viOe n'est en électrodes . élim'inés par le biais de petites s o n t rés.iduels 'Al d a ns e t q u i I d e c o n t i e n n e n t r e g o u t t i è r e r c u ' l a i c i d e forme 'la p a s s e r u n f a i t o n t u b e , d u o n c a t i a b r i f d e e s , I o r s I I esquel :les atomes de v a p o r i s e n t , e t s e d ' A l a t o m e s i m p o r t a n t . L e s courant g a z s ' a d s o r b e n t s u r l e s a t o m e s d ' A l . C e s é l e c t r o' l de e s p o r t e n t l e n o m "getter",et verre du tube par leur présence est attestée sur àe un dépôt bri I I ant d'atomes d'Al . 'loger dans le co'l de 1'ampoule,'il Le canon é'lectronique vient se cathode ém'iss'ive entouré d'une comprend un f i'lament chauffant ' i o n i 1a source d'un sati on se trouve être qui , à j a sui te d'une dans une électrode confiné nuage est nuage électronique.Ce émerge donc du c y l i n d r i q u e a p' p e ' l é e W e h n e ' l t m u n i e d ' u n o p e r c u l e . I l .On conçoit divergent pi nceau électronique un Wehnelt 'l'on porte 'le p o t e n t i é r i eur à e l i n f W à un i mméda i tement que s'i j a c o n f iné à t r o u v e r cathode,'le nuage électronique va se c' le l u i d e ' i n t é r i e u r d u 9 J . O n p e u t d o n c u t i I i s e r ' l e f . / e h n e tl p o u r r é g l e r I a ' l' i n t e n s i t é 'luminosité du de la trace qu'i est proport'ionnel le à . C e t te p i n c e a u électronique le interrompre fa.isceau ou pour Z m o d u l a t i o n . d e modu'lation de'luminosité est connue sous'le terme le gl,on trouve une succession d'électrodes portées à un Derrrjère est but par rapport pos'itif à l a c a t h o d e d o n t ' l el e potentie'l 'les s c e au f a i f ocai i ser de et é'lectrons d'accél érer él ectroni que. des plaques encadrant le comprend soit Le système de déviation 'le col extéri eur du tube, des bob'ines. rayon cathodi gue,soi t, sur dévi at'i on, soi t de types deux devant trouve se On é l e c t r o' ls t a t i Q U ê ,s o i t m a g n é t i q u e . 'l a d é v i a t r 'o n é I e c t r o s t a t i q u e , e s c h a r g e s e n m o u v e m e n t s o n t Dans 'acti on d'un champ é'lectrique E créé par une tensi on s o u m is e s à j injectée sur les plaques de déviation,tandis que d.an.s'ladéviation ines qui crée c o u r a n t q u ' i c i r c u ' l e d a n s l e s b' l oe b maénétigUê,c'est'le s e' lna charges de dévier suscept'ible champ d'induction un à d e ' l ad é v i a t i o n type ce réserve mouvement,En général ,on moduler p a r suite o n v i e n t d o n t t r a m e d ' u n e fabrication précis c a s j bien entendu,dans ce s'agit l, intens.ité lumineuse.I d'un moniteur de té1évision. Page 2 - L'écran et sa osc rl ioscope rémanence. 'l f ond de t 'sé pour le tap i sser même ou malerl aLl utl nature La "beam "trace" p o t t t t d'rrnoact du ob-servée.Le rnf luence la l'écran 'spot aoparai t crversemetri coloré selon le appe ie électronique" g é n é r al .on cnorsrt ufre trace vert-jaune recherché.En v1sueI but q u t c o r r e s p o n d a u m a x r m u md e s e n s t b i I i t é d e I ' o e t I n u m a r n . C e c h o r x pas généra1 i se, et f réquemment des on trouve t o r - r t e fo r s n'est "bleues" p h o t o g r a p h i e s'impose, l'orange la là ou couleurs persrstant esr retenu en électron'ioue médrcale a'rnsi que dans'les écrans radar. TABLEAU I - Exemples'dematériaux luminescents Codes Matériaux Couleur U.S.A. Philips Pl GJ O r t h o s i l i c a t ed e Vert-jaune zinc et tracesde manganèse Longueur d'onde dominante ek) (cm/ps) -s25 20 rl 25 (voirlig.2 A) 50à90 30à60 Tubes cathodiquescourants 0.060 50 75 Télévision industrielle GM Deux couchesde Bleu puis jau- 440et 460 phosphoressuper- n e v e r d â t r e (phosphorèsposées cent) Prr BE Tungstatede cal- B l e u cium Dérivésde tungs- Violet tatesde cadmium Prz ou P-r: LD de zinc Rouge-orangé Phosphate + divers (dont le vanadated'Yttrium) Usage (ms) P7 P. Vitesse d'écriture (nm) Tungstatede cad- Blanc-bleuté mium * oxydes PJ Persistance Rendement lumineux à10% Oscilloscopesrémanents 500à r 000 (voir fig. 2 B) 440à 448 0.080 (80ps) 25 460 0.005à 0,02 (5 à 20ps) 6 581 à 614 100à 400 (voirlig.2 C) 5à90 100 E n r e gi s tr e m e nt photographique des phénomènes rapides Photographiedes phénomènesrapides ?à3 Oscilloà mémoire Radar, instrumenls de bord d'avion plan physroue fonoamentale.l'émr-sston lunrneuse la de le Sur s'expl t que Dar I e phénomene o'emr sston seconoatre. Lorsgu'un pol ni fai-cceau o'élecirons.'l es âi.otïlês le f rappe par I'ecran est Ce é lectron-q passenr-.sLlr une couche l e u r s e r c t t é s . s o n t , constttuants rl'lveau de couche pér'ipfrérique la sur e n s u rt.e r e t o m b e r Dour p f r o t o n s de r e s o o r l s a b l es o e s e n é m e t l a t : t mrnrmal énergéttque ê t r ^e l n c l d e n t s C i > , i v e n t é l e c t . r o n s l u n t . l s 6 f g : r d u . l e s n e u t > : . B 1 e n I'effet . _ ) S C tI l o : , i c o p e , : qenera I r 1,es e\ aatles- scus i l r l rI f t e d e v c )I i _ ' l ' é c r a n devenrr negat: t et de créer etn,st un ciianrpelectrtoue cul emoecheratt les électrons pinceau c i u de parventr à l,écran.pour ce farre.on recoL.ivre rntéri"r..màÀt I ' é c r a n c j' L i n e m i n c e p e I I r c u . le d ' A l o u ' l e s t oor-tée à un pot.enttel cie quelques milliers de Volts. La focalisation Plus du faisceau. communément s'effectue lenti I le au moyen appe I ée concentratIon", Ia focaI.isation d e l 'équivalent électrostatiqr. d,une Potentiel relatif Grrlie ou arode Vers Wehoelt Spot concentré vG2 vÂt VA2 + 400 V - 800V + a50 V ll l a æ t h o de s t à - l O 0 0 V - Schéma d'un canon électronique simple. L'ensomble focalisateur électrostatique. \ J à trois ano<t6s lonctionne Eremptesde poreoriels absolus cor4me une lentille Y1 L Tn >-€ P l o q u e sd : dirirtron Y2 L---_--J C a n o l i l e c t r o n i q u rc o n p l t t Trns'on d-r:cilira:,or s u rl - É c r a a l u m i l s i Anodesde dâflrrion - Schérrn d'un tube cathodique complet au niveau du canon à électrons. G1 est re ÉiÊnne rt.er A . - 1u n e é r e c t r c d e d , a c c é r é r a i r o n porfée à un i;or,ent.iel Do-srtrf Dar raDport à ra cathode.L-rn interca-re entre les cieux une érectrode G2 00riée aJ mérne pct,entrel gue l , a n o de prrncipare A2.lur e - q r -c n a r g e e o e j , a c r _ e r é r a t r o n d e s e r e c t r o n s . o n Deut' mcnirer Qr'ie ia réqressiolr d e r a v a . le u r d u c h a r n c e r e c t r r q u e entre Gz e1' A1 tndutt oàns le farsceàu ufre corrtrarnte as-sr:lrirable a u n D 1 1ç1r : p . g n t c u . 1 f o c a l r s e ie far,.ceau.les e l e c t f _ O f t s q u l Serateni l trcp djvergents s o n t . t . e c u e : - l r s i ) a r c e _ qa n o C e s . Page - 4 - osc'iI I oscope : qénéral 'ités Bien que v'rsuellement ces électrodes aient lla'i r d"être un organe simpliste,leur calcul est très compliqué Le pius fréquemment,on trouve dans ja partie évasée de 1'ampoule une anode supp'lémentai re d i te de post-accél érati on qu i af f ecte I a forme d'une piste spiraiée réalisée par un dépôt graphité sur la face interne du verre.Cette anode est portée à des potentiels pouvant atteindre 4.000V par biais d'un téton extérieur le a l ' i m e n t é e n T H T .C e t t e a n o d e d e p o s t a c c é l é r a t i o n p e r m e t d ' a v o i r u n e t r a c e t r è s I u m in e u s e s u r I ' é c r a n . L e s o s c i I I o s c o p e s t r a v a i I I a n t à très haute fréquence sont tous mun'is d'une post accélératjon qui permet d'avoi r I 'écran une trace acceptabl enent I um'ineuse sur malgré la brièveté du passage du beam sur un point de l'écran. Dévi ati on él ectrostati que. des en osci I loscooie et dans Employée presqu'exc I usi vement quantique,.la physique déviation fondament,ales de expériences électrostatique permet d'obteni r sur l'écran une déviation du spot proportionnel le à la diff érence de potent'iel appl iquée sur les plaques de dév'iation entourant le faisceau.Formel lement,,lors de leur passage entre les p'laques de dév'iation formant capacité,les au sont soumis à une force constante proportionnelle électrons p a r a b o ' l e u n a r c d e d é v e l o p p é e t d é c r r v e n t champ électrique Icrf le problème du trr de projectile dans le champ de oesanteurl qui se pro'longe en l'igne droite hors des plaques de dév'iation.On trouvera électrostaique et une étude exhaustive des problèmes de lentille de déviation d a n s C H P O L S K I: P h y s i q u e A t o n i q u e t o m e 1 E d i t i o n s M I R On retiendra que dans un tube standard,la déviation sur 1'écran présente une "sensjbilité" de I'ordre du mm/Vtil faut entre 10 et 50V pour provoquer une déviatjon de 1 cml, Le tube esL muni de deux paires de plaques,une patre horizontale plupart qui cju temps verticale la la déviation affecte proportionnelle à i'amplitude du stgnal à étudier I voie Y ],et du temps à bal ayer sert I a pl upart une pai re verti cal e qui ' é c r a n p r o p o r t i o n n e l à I 'écoulement du l e m e n t I hori zonLalement temps I voie X ]. dans I e pl an beaucoup pl us vi te Comme on bal aye en général p l a n q u e à placer les a a v a n t a g e h o r i z o n u a l , o n d a n s l e vertical " dans I e tube. Bien pl agues de dévi ati on vertr cal e I e pl us tôt" "sensr'bi sont alors verticale et horizontale I ités" entendu,les d i ffé rentes . 800 l41z ],le élevées [ 400 D a n s l e d o m a ' i n ed e s f r é q u e n c e s t r è s 'él ectron f ai sceau I e e t i n t , e r v i e n t , t d e I t r a n s i tennps de v a riations l e s p a s s u i v r e t e r n p s d e l e t o u j o u r s n ' a électronique p olarité p l a q u e s L a p o t e n t i e l h o r i z o n t a l e s . l e s i q u é e s s u r a p p l de q u e é l e ctrons l e s p l a q u e s c h a n g e a v a n t a u x appl'jqué du signal et I a E , c h a m p q u i c j u d ' i n f I u e n c e z o n e t t é I a concernés n'a'ient m o d ifiée' t r o u v e s ' e n s u r l ' é c r a n r e p r é s e n t é morphologie du signal 'les une e n p I a q u e s v e r L i c a l e d e d é v i a t i o n On fractionne alors p a r le l e m e n t p e t i t e s s é o u e n t ' i e l r m e n t é e s a l é l e c t r o d e s de série 'l j p e r m e t p r o c é d é r e t a r d e r d e g n e . C e r à r e t a r d d'une b ar s q u i p l a q u e s s u i v e n t d e s e d i f f é r e n t e s du signal aux I'application Page 5 -------:- osci I loscope : 9énéralités I manière tel le que la présence des électrons concernés et sur le morceau de plaque de déviation soient synchrones. T u b c3 R P 1 A BF 258 +7,7Y :'l 680t0 220Q +150V 560n llo à 1509F B l20a Pz 470io FOCUS 319lQ G1 +7,7Y BF258 Ârtrc i lirign 3t0ra K I l---, itrgc V1 dirrctt i i,'+| v 1 6 À Z B YI 8 4 H X rM0 l00tQ P4 1 0 0t n TUMIER E 1 0 0t Q ln---r-l*-r- :1 .,1.';ïî, =lllE---i-'*îI iii" o az,r ----9 lll€, *vr I $. itu illF*,,# - . - Sc'hérrn dun pont dalirreritâtim THT rdatif à un tubo de 7O rrrn de dbnÈtrs (extrait d'r.n æcillgscope FLamegtype HM2O7). Plrqtr frrrtirlnirr Ligrcr i retrrJ j - Tubes à o+rk progressiv€s pour sigraux de fréS:errces rrès élevées (iuscp.r'à8OO MHz). D a a r , - C du signa'l - osci I loscope : général'ités du tube Alimentation 'le 'les plus souvent rencontrées,extrayons solutions Parmi les par Hamegqui consiste à alimenter la cathode en système utilisé l O O OV , d e s o r t e q u e l e s p l a q u e s d e d é f l e x i o n e t I ' a n o d e d u t u b e proche de celui de la masse.On peut ainsi restent à un potentiel d e s a m p li f i c a t e u r s coupler di rectement les plaques aux sorties d'attaque qui sont montée en push-pull.Le cadrage de la trace Sur l ' é c r a n e s t a s s u r é e p a r l e b i a i s d ' u n p o t e n t i o m è t r e q u i m o d ' i fi e les conditions de repos des transrstors. Voie verticale Y nécess'ite dans le plan vertical Un balayage complet de l'écran d'un signal d'une centaine de volts ptp sur les I'application plaques hori zontales. Les signaux à visual iser peuvent s'étendre du continu à une dizaine ou une vingtaine de MHz ,du moins pour les qu'i o c c u p e n t . L ' a m p li f i c a t e u r nous classique-q oscilloscopes fonct'ionnera donc en couplage continu Ipas de capac'ité d'attaque s é r i e s u r l e c h e m i n e m e n td u s i g n a l à I ' i n t é r ' i e u r d e I ' a m p l i l . 2 0 l o' q , À i! -z 0,1 0,2 t0 15 20 I (UH4 30 Bi#14 MH? -3 Bp #MHz -6 Etrgc Etrgr s r r c o mrpm i conprn:'i normtlanant 6 d B/ octrrr -tt { ?o '" !" Afhi!li::rnat (dB) - Exemple d'une bande passante verticale d'un oscilloscope < 1O MHz l. Ia vari abl e, et d'ampl 'itude très Les si gnaux à exam'iner sont à p l u p a r t c o n s i s t e I l o s des osci phi losophie retenue dans la p a r b i a i s d ' u n l e p a r t i e du signal d'entrée sélectionner tout ou d i v i s e u r p o t e n t i o m é t r i q u e , e t à p r o c é d e r à u n e a m p li f i c a t i o n à g a i n c o n s t a n t .tl i I e x ' i s t e n é a n m o r n s u n e p o s s i b i I i t é d e m o d i f i c a t i o n d u 'ampli d'un facteur 5 ou 1O par le biais d'un bouton gain de général,dans les poussoir I A T T E N T I O N à L A C A L I B R A T I O' N ] l . E n est qu'l i ntéressent, I i mpédance d'entrée nous osci I I oscopes standardisée à 1MQ Page 7 o s c i 1i o s c o p e : général ités > r€ .= 6 '= € -= È e !w < É @ +\tsË \ r :o € e o é é Ê Éa E e o @ r € é e = = t r = F Fl F+ =| =éç î ï i - + + + E 1 l a € > ç t- -, r || --é )- - -E g @ r :o -1ê = r =s .Êi € E e fl=T É E ' = < . @ Ët-- È l E . o e -l-J I I o 4 I6 P @ l l e o ::i ê é È è - # '€ : € @ 5 It 5 l I =l- !@ g 4 Ë J: ê r =â € '6 ë € == o Ê È t o ë Ëg = * E gE 4 @ , ËE t; :t -a C) I @ o s --Ë fr= 1l e = Ë Ë <-F3 ILl-*- E E ;É E o ê : Q * - o é é e: s Ê l - Ê = A Ê.6 L E d 4 @ re È v +.b r @ x g o Page € ê l: E _ = lI Ë E Ê @ a @ : 4 B oscilloscope : généralités est constitué d'un transistor L'étage d'entrée à effet de champ jusqu'à 500V ,lâ suite de prot,égé contre des surtensions allant se fait au moyende circuits intégrés. I'amplification peut éliminer c o m p o s a n t e c ontinue au niveau de O n u n e é v e n t u e l l e 'le 'l'atténuateur par bi ai s d'une d'entrée capaci té séri e. On d i s p o s e é g a l e m e n t d ' u n e p o s s ' i b i ' li t é d e m i s e à ] a m a s s e d e l ' e n t r é e de l'amp'l 'if icateur Idétermination du n'iveau de référence OV]. Un test de sonde peut se faire au moyen d'un petit signal calibré disponible sur un petit ergot présent sur la face avant. 'los La p'lupart des osci I du marché sont au mo'ins bi courbes. Si on él'imine ia possib'i I ité du doub'le canon qu'i est fort onéreuse, i l 'les f aut commuter I es deux voi es verti ca1es avant de appl i quer au derni er étage de I 'ampl i f i cateur verti ca'l . On procède à un nultiplexage,Ce dernier peut se faire de deux façons : on commute ba'layage hori zontal après bal ayage hori zontal 'la C'est 1e système dit ALTERNATE Bien que base de temps s o i t t o u j o u r s s o u s l e c o n t r ô l e d u m ê m es i g n a l , i l e x i s t e d a n s certa'ins cas un risque de perte de relation de phase entre les signaux visualisés sur les voies A et 8.. I o r s d u m ê m e b a ' l a y a g e ,o n c o m m u t e d ' u n e t r a c e à I ' a u t r e . C ' e s t le système dit CHOPPED.In I ' y a j a m a i s d e ' lp e r t e d e r e l a t i o n 'autre,on injecte de phase. DuranL le passage d'une trace à u n e i m p u l s ' i o n t r è' sl a c o u r t e e n l a n c é e n é g a t i v e s u r l e W e h n e l t présence sur I 'écran af i n d' évi ter d'un arri ère pl an coloré dû à la commutation. C o m m eo n l e c o n s t a t e r a p a r l a s u i t e , l a voie verticale est moins visualisera un signal conpTiquée que la voie horizontale.Lorsqu'on sur l'écran,on donnera à 1a voie horjzontale I'ordre de commencer un njveau de rêférence fixé à b a l a y e r q u a n d l e s 'i lgen a l Y a t t e i n t par I'ut'i l'isateur.Si signal Y varie très vite, i I est impossible d'exam'iner les trans'itoi res éventuels qui accompagnent le f lanc de rai son, on retardera d'une f racti on de d é c ' l e n c h e m e n t .P o u r c e t t e Y avant de I'appl iquer aux plaques de microseconde le signal opération peut se faire par le biais d'un morceau déviation,Cette peti t i mpri mé de ci rcui t de I i gne coaxi al e ou au moyen d'un quelques centimètres carrés en forme de grecque qui présente les mêmes caracLér i st'iques de retard que I a I i gne coaxi al e Ion trouve quelques déclenchée de est osci I los où 1a base temps systématiquement à I'avance d'une fraction de cycle à étudier par le biais d'un petit circuit appelé monostablel. Page I osci Voie horizontale 'l i oscope : général j tés X qui est chargée du balayage hori zontal C'est la vo'ie horizontale p r o p o r t ' i o n n e l ' lement à de l'écran l'écoulement du temps.on appliguera donc sur entre les plaques verticales une différence de potent'ieI qui évolue de manière linéaire appe'lée dent de scie.La période attachée à la dent de scie est déterminée par un ensemble de circu'its qui appartiennent à la base de temps Théori quement la de base temps devrait TOUJOURS être calibrée,eL,en fonction de la position du commutateur de vitesse de balayage, à un certain nombre de carrés sur l'écran devrait t o u j o ur s correspondre UN même nombre de secondes, de millisecondes,ou de microsecondes.Pour des raisons qui sont toutes "f mauvaises,la base de temps est mun'ie de deux réglages dits in" ' u n pour I q u i d é c a l i b r e c o m p lè t e m e n t I a v i t e s s e d e b a l a y a g e e t "expander" pour I 'autre qui permet de ba'layer S ou 1O fo.is pl us ' i n d i q u é . A T T E N T I O NA U C A L I B R A G E . vi te gu' Si on veut voir apparaître sur l'écran une trace qui ne défile pas,ii que cette dernière commencetoujours faut au même niveau d'amplitude à gauche de l'écran.La sélection de ce niveau se fait par 1e biais q u ' i, p o u r u n n i v e a u d ' u' n l ' u t im o n t a g e a p p e l é t r i g g e r par sélectionné I isateur t r i g g e r l e v e l le I ] ,transforme signal d'entrée de forme quelconque en un signai r e c t a n g u l a i r e susceptible de commanderle décienchement de 'la dent de scie. pouvoir déclencher en mode AC , DC,sur flanc montant , On doit d e s c e n d a n t , s y n c h r o n i s és u r l e s i g n a l A , s u r l e s i g n a l B , s u r ' l e quand un des signaux est par réseau ou sur un signa'l extérieur exempie modulé en amplitude ou en fréquence. C o m m e I e m u lt i p ' l e x a g e d e s v o ' i e s v e r t ' i c a l e s e s t s o u s c o n t r ô l e d u pouvoi r b a ' l a y a g e ,o n d o i t sé'lecti onner au ni veau des ci rcui ts 'la annexes à base de temps, mono ou doubl e trace, chopped ou a'lternate. Lors du retour du spot de la droite vers la gauche de l'écran,qui est synchrone du retour bref de la dent de scie de balayage à O,on envo'ie sur le W une impuls'ion négative qui efface la trace de retou r . possibi I ité de balayage sans intervention E de ' l an f i n , i I e x ' i s t e u n e base de temps, au moyen d'un appl i qué à si gna'l extéri eur l'amplificateur X.On dit fonctionner dans le modeXY. 'ampl i fi cateur que performant C o m m e 1 X est souvent m o in s 'l'amplificateur Y Ipar ex.,on n'a pas d'atténuateur d'entrée ]; quand on passe en mode XY,on utilise pour une des voies verticales at,taguer les plaques de dév'iation horizonta'le. Page'- 10 ('i t t( 'ii (iir iii; 1 ) | i l 1.. t | I a \ 1 . ^ | ( tl t I ( t s ; t t ../ .7l l t ' l r ' t Jt , i,ifrl,k '} T'lll I llto I E rrrc.l l50 t l = i ll'1 l.\ âfn tr./xri I {LÆ VOLTS/DÎV. VOLTS/DTV. Y-POS,II INVERT /n ' otj VERTIHP. lH{) - t0 pF /---\.@b - D i - lnterrupteur lvlarche - Arrêt Réglagede la luminositéde Ia hacc JRéglagcde finessede Ia tace 4 - Réglagede I'horizontalité de la tace 5 - Y(>0 : X en voie 2 (CH II) (il faut un signal en X et Y) 6- Cadragehorizontal de la trace 1 Règle le temps entre deur rampesdu signal de basede temps pour synchroniser 8- LED alluméesi Ie signa-lestsyrclronisé 9- OIT: positicnnonnale TV :FI fréquencehorizontale TV:V verticale(en vidéo) i0- Sélectionde Ia slmchronisation A C ( 1 0 H z à 2 0 M H z ) D C : j u s q u ' à2 0 M H z FIF (l,5kHz à 40 N,tFIz)LF : jusqu'à lkFIz I1- Synchronisation sur frontmontantou dcscendant 12- Vitessede balayage l3- Réglagefin de la basede temps 14-I 5-Synchronisation par un signalextérieursi le bouton estenfoncéet le signalestmis en l5 I 6- AT:Synchronisation automaûque NORM: Synchronisation (traceinr.isiblc déclenchée sanssignald'enbée)Bouton 17 . a l7- Réglagedu niveau de Ia rynchronisation 1B-Multiplie par l0 le signalen X i 9- Calibragede la sonde 20- Testeurde composantpa-rrapport à Ia masse 2l- Contrôlede la positionverticalede la voie I 22- Inversionde Ia voie I 23- Entréede la voie I 24- Masse 25- DC : Toutesles composantes du signalsont transnrises AC : On supprimela composante continuedu signal GD : Signalsupprimé voie à la masse 26- Calibresde la voie I 27- Réglagefin (mesuresconrparatives) 28- Choix de la voie i ou II et syncfuonisation. 29- Touchcenfoncée:Iet II en rnodealterné touchesortie:voicI ou II . Dual+Add:choppé. 3 0- Add enfoncéefDual sortie:addition'algébrique dessignauxen cornbinaison avecInvert 3 i - Calibresde la voie Ii 32- Réglagefin(voir27) 33-Voir 25 34- Masse 35- Entreede la voie II 36- Inversionde la voie II 37- Contrôlede la positionverticalede la voie II génératités sur les grandeurs alternatives ALTERNATIVES. GÉNÉnnIITÉSSURLES GRANDEURS d'un phénomène on peut montrer que I'on peut ramener L'étude to où 1'amplitude du périodique varie en fonction de pulsation et de cosinusoÏdes d'une somme de sinusoÏdes temps à I'étude n-o de pulsation ] munies d'un coefficient I avec n entier pas de pondéiateur iI n'existe formellement adéquat-Si s i n u s e t c o u r b e l a e n t r e I a c o u r b e de morphologie différence d a n s u n e s o m m e d e e n s i n u s d ' u n t e r m e cosinus,l'inclusion c o s i n u s a v e c u n e n t e r m e u n à i n t r o d u i r e r e v i e n t cosinus graphique trouvera en annexe un exemple déphasage de n/2-On de La qui à partir d'une dent de,scie montre I'obtention recherche :pondé-rées-Cette sinusoïdales somme de L6 courbes " analyse de FourierslappelLe des composantes d'un signal de des problèmes se préoccuper trop Les éIectroniciens,sans ou des des séries utilisateurs sont de grands convergence, aisé en effet extrêmement est -I1 de Fourier transformées par Ie signal composantes d'un différentes les d'extraire peut déduire remarque de cette adéquats-On de filt,res biais que 1'étude organe à une sollicitation réponse d'un de la 'du soit harmonique so-l]. icitation dit I sinusoïdale [on premier intérêt- oaçle généralités les grandeurs alternatives sur EounrtoND'uN sIcNÀLALTERNATIF. A-1 1 r , l . t + ,p I x = X-sin T avec x - : instantannée élongation immédiate amplitude minuscule ] I caractère : X : éIongation amplitude lcaractère graphisme maximale ou de crête majuscule I éIectronique (ù : en pulsation ou ^ : X- rad/s tP : déPhasage en rad ou en degré si spécifié,mais Pour Ie calcuI,I' être homogènedoit équation de l'appréciation dont Ia majeure partie Les éIectroniciens pour des raisons u t i l i s e n t I ' o s c i l l o à f a i t s e du signal to oeak : à c r ê t e c r ê t e l : p a a k v a l e u r l a p r a t i q u e s é v i d e n t e s .ptp qui ,J"n=-G cas de A-1 vaut 2'x! ) du signal ^ ^ D'oNDE. LoNGUEUR FRÉouENcE. PÉntolr période La secondes.on est aura cycle-EIIe d'un durée Ia angulaire donc pour une vitesse en al-T = 2 T( A-2 - f = 1 + par décrits Le nombre de cycLes phénomène-On aura: A-3 s'exprime (, : f s'exprime 2 seconde en Hertz est [Hz] Ia fréquence du LHz = 1s-1 : on tire (, : A-4 ' zn-f de dit se propage dans un milieu Si Ie phénomène oscillant dans 1e même points du milieu successifs propagation,deux à d'onde Tongueur d'une distanLs sont vibratoire ébat grecque I [lambda] la lettre en général on associe laquelle i de propagation la 'vitesse v 'est I se mesure en mètres-Si - I A-5 v.T Vnlsun EFFICACE. par caractérisée qu'une alLernaLive source sqpposons r é s i s t a n c e ' o u d e I a la masse ul OéUite sur une résistance.Si d e Ia g r a n d e s , I a t e m p é r a L u r e sont suffisamment la fréquence d e I ' i n e r t i e c a u s e à s e s t a b i l i s e r résisltance va augmenLer et thermique de R valeu r ef f icace de U noLée Uef f ou U.n.,= la valeu r On appelle qui,dans de la tension continue JouIeIes mêmes effets Dans Ie A-6 cas d'un signal r + , iÉ " o, Y =i n2t,tt 2TR A-7 que ueff - d(ilL : u!2 2ÎR : U_ = Y ^T rT A 2 l U - ' - - s ' i n - ?r l t I 2R implique auraif sinusoida]'on u-- qui mêmes conditions,créerait -dt R-T I "o J"" u !2 les Z 7 - ( ' . ) t I ' t - 2 I U12 = RJ 4 sin2 (')t 'dt' Jo 2r sin 2t.'tL I O généraIités sur les grandeurs alternatives ------- VrcrnunsDEFnesNgt,. à pas aux çonditions s'intéresse ne on si p h é n o m è n e d ' u n 1'évolution décrivant I'originê,1'équation I a q u i d é c r i t 1'équation à peut ramener périoàique se dont o ,€t à Ia pulsation tournant projection d'un vecteur q u e l c o n que' 5 , u r u n a x e c r ê t e de ; La valeur serait l'amplitude p é r i o d i q u e s p h é n o m è n e s I e s fréquemment donc On représente m a m i ère d e o r i e n t é v e c t e u r par simple un sinusoidaux de v a l e u r e s t l a m o d u l e I e d o n t quelconque dans l'espace o ' d e s e n s Ie indique crête du signal-On seront déphasés, à Ia même pulsation,mais ,Plusieurs signaux ' : c o n c o u munis r r a n t s r s p l u s i e u v e c t e u rs donc représentés -praerl a t i f crête d e . . a m p l i t u d e s des et s déphasages des ''respecte règle I a g r a p h i q u e . composition corrects-;eui p a r a l I é l o g r a m m e ' d u d i t e vectorielle d' addition classique 4 - imoedance R. L. C ; resonance Noriou o' tttpÉr,q,Hcr que of f re une capacité d'une diélect,rique Ie On sait passage r a nL g r a n d e c o u du au très résis tance g a l v a n i q u e p a s y de contact n' a continu,Théoriquement,il e t s e u l le capacité, Ia de deux él-ectrodes entre Ies e s t important électrique d'un champ développement c o n d u c t e u r c o n s t i t u a n t les atomes du d'ioniser susceptible ainsi plaques délectrique ou I'éventuel les ,donnant à un arc électriquenaissance est tout autre-Un apporL cyclique situation En alternatif.la une exerce de la capacité d'éIectrons sur une des armatures 'autre ces arrnatu re et déplace de I s , ur l e s é l e c t r o n s f orce q u ' en semble donc cyclique.II derniers égalemenE de manière t u r e à y ait de charges d'une arma transfert alternatif if p e r m e t t e q u ' u n e I e peut donc suspecter capacité I'autre-On très différente passage du courant d'une manière alternatif part,lors pour d'un Ie continu.D'autre fait de ce qu'elle que : transistoire,on sait A-t1 tc - CI iidr d'évolution La loi morphologiquement cou rant. tension de la de différente aux Ia bornes de C est d'évo}u tion loi donc du qui gue la tension sait Si on prend le cas d'une bobine,oD du d é r i v é e p r o p o r t i o n n e l l e l a à est bornes à ses règne q u i d u c o u r a n t qui circule forme dans les spires,La courant d e 1 a l a f o r m e de est donc différente dans une self circule qui règne à ses bornestension A_L2 e = - L di dt qui Ie coefficient Tout commeen continu Ia résistance était est i m p é d a n c e Ia tension au courant,en alternatif'l' reLiait t e n s i on d e I a qui I'évolution relie le coefficient à 1 ' é v o l u t i o n qui règne aux bornes d'un éIément alternative e st qui le traverse.Ce coefficient du courant alternatif la q u e I'est ne plus sens ]ittéral I complexe [au e s ,t tension le cas de la self,la effet,dans résistance.En q u e 1 e dans proportionnelle à 1a dérivée du courant.tandis à proportionnelle est tension capacité. Ia Ia de cas - fmpedance R.L.C :résonance I'intégrale du couranE. qui circule dans C. Si les couranÈs i les tensi o ns sont I sinusord a u x peut [cosinusoidaux suspecter ],on un déphasage courant Lension.Ies morphologies globales de ces derniers étant res rnêmes. La notion d'imoédance soutend donc une not,ion de ,ciéphasage. A- l3 u Si on adopte a u e - l i u n e A-14 = Z - i une representation oar Fresnel grandeur eff icace,on écrira ,ou si on associe U = Z-I où U et I représenteronL au valeur efficace que selon I'élecLronique ou de opporrunité à exprimer Z en choix une vaieur de crête ou une 'on I t ravai I Ie d a n s le cacire de 'électrici I ce - CIn conrinue r>ar tf,hms - - Imoedance F :. L . ( - : resonance IxpÉoaxciD'UNEaÉslsrANCE. d'un que nous disposions Supposons de sinusordal I .feneraÈeu r TBF q u i u n e attaque du Hz ou < I I'ordre e L t e n s i o n On mesure Ia résistancer é s i s t a n c e qui traverse Ia le courant m9!ile à cadre au rnoyen d'appareils CC- On mode en qui câbles sont de évoIue que courant Ie remarque p h é n o m è ne le pair avec 1a tension-Si l e s p e u t apprécier ient.on très est l a en déduire et 1un de crête valeurs valeur de R^ U- = R-I- On aura 2re ne se Aucun déphasage couranE-tension manifesteon augmente Ia fréquence' l'équiSi jouer de rôIe Ie ve page mobile bas ' eE mécanique Passe fi I tre son n'aLteincira Plus I'aiguilIe alors est maximale -on élongation 1es aDPareils en d'utiliser contraint U la loi toujours mode AC.On vérifie de n'a on PIus = R-I.mais 'éventuel I SUT rense ignernen t - tension' déPhasage courant dans un montage un oscilloscope rln est aLors amené à utiliser à 1a p a r rapport p e L i t e p i e ' d . t i ^ è s de résistance 1a ou e n c o u r a n t I e t r a n s f o r m e r p e r m e r d e tête de résistance o b s t a c l e u n o a s n ' e s t o i e d d e résistance tension -ceLte interne résistance de la I'equivalent est redhibitoire.elle m esures d e s é r i e u n e r e f a i t supra-on utilisé de I'ampèremètre pas de g u ' i I a n ' y c o n s t a t e o n fréquences'et à différentes toujours d'ohm est eL que la Ioi t:nsion déohasage courantconséquence : vérifiée-En A- 15 zp. - R Imoec:nce R.L.C ---- :regonance D'uNEsELF IxpÉnr,NcE ,L I, L I, des .pour Ia même méthode de mesure que supra,mais On adopte plutôt plus qui seronÈ expliquées travaille Ioin,on raisons qu'i1 déphasage un existe -On constate IoKHz] BF en [= esL que Ia tension aux bornes de ia self courant-tension.et COUrant Is':r I'oscilloscope Ie ciéOhasée de î/-.' en av.ant Sur , : - î1. i t ' r é pouvo t r apprécier at-t-eint-e plus on cons.tate que I o'attaque.et On douOIe Ia frequenc= deux f ois plus pet,i t deux bobines icjentiques en série. et on consLate On clace fois plus Petitd e u x I est p e u t aoprécier L au moyen 'le : Comme on esL tôt- (pius valeur l à gauche -7 A- I6 pour a,déquate nan-rere rle It/2,lt,..,L i_ : 4n. iO Ce ) crét-e L ' l r - l el a veler:r tension Ia de de 2 N--S crêtÈ avec r est- clu couranr- N : S : i : ] que nombre de spires ciroi Le t''lKS secEion MKS 1o n g u e u r un implique qu'un doublement du nombre de spires on constate de Ldoublement de Ia valeur à la donc proportionnel de L est Le module de l'impédance cie L et à ia f réquence. valeur une loi du type Zt = f - L On a donc en principe qui ]a aux bornes de L eL Ie courant Si on mesure Ia tension q u e = Z . o n I ' o n c o n s t a t e U / I r a p p o r t I e si on f ait Eraverse.et : p r è s E n c o n s é q u e n c e Z escompté à 21( obtient A_I7 Z, = (J.L L ûn comoren<J <Ces iors en 8F et non en TBF pourouoi on avait avanra(Je à travailler imoeoance R.L.C:résonance ----- A-r7 rend comote du rapoort entre les valeurs'de la tension pas le déphasage existant et ou courant mais ne decrir entre u e,L r- A-L7 représente le module de r'impédance-pour décrire re comportement de Ia self,ir faut également décrire re fait que 7a Eension esÈ cieohasée de n/2 en avant sur Le courant rfn oeuE inciure ceLte considération dans la formule en passant dans re plan des complexes-En effet,dans qe le plan Gauss, j corresponcj 7(i2 dans à une rotation de le sens trigonométrique. A-18 Zt = j (')L rend cornote de la E.otalité du ohénomène physiqueOn se posera ia guesLion de savoir s'i1 est bien licite représenter un-_ph.enornene physique au rnoyen d'un complexe ' ? I'on utilise / -t 5 de où - R. L . Ll : regorlânce impecance IupÉoaxcgD'UNEcAPAcirÉ 1uc 2rc \ , .r9:a+ ,t 0 av€lc C une en série mêrne f acon - trn place de ia ûn procède Ia mes'ure en a priori valeui -On faira de faible resi5,tance de Hz ] TBF I quelques centaines - tension et un dephasage courant existe On remareue Ou'iI que IC est.en avance oe n/2 sur- 1)C- ûn rjouble La valeur parallèIe ârm3r-ures. e1- ia SUr c.rmme i:. q'o u e( I . ,- d o u b l e . o n On mesure UC eL escomptee ' A- r.9 tc On la Si G a A-2O 7 d'atLaque frequence la On double C en p).acant de prernière -- r: .=itl. a rJonc une IC - ZC = reorésente I I ,'-tc Z - conséquence comprend à Postériori mesure en TBFIe introduire on veut u s s , e t : a une capacité clouble rl doutrle Ion o n Ie pou rguoi I J i : "t on I iden6ique en 5r'rrface des la J de avait passe Cons,tate :On zr..= on:rouve module déphasage, on r,r.C type du imcedanca -On calcuie a zTt près-En , IC dourle- remarque oue ,on *E f impedance I'impédance avantage dans Ie à de C faire PIan de Irroa(:-?rlce F'. l-, a : re:.onance D'uNclRcuir RLCsÉn;r IupÉre'.icr Urc l / \ .tl â I x I I j (,.c Par Soit les trois elements R-,L.C placés en set ie eL attacues à Ia pulsat,ion tJfonctionnant un generateur eiements sonL places en série.on trois Etanc donné que Ies de déphasage comme reference intensiLe Ie vecteur utitisera nul On aura en Fresnel ê A - 2 I - + -t t J = U o + U , soit,en A-22 â u passant = R.I * + U^ dans ie j.(,{--I 1 plan r -:---= J (.U des compiexes - I : l. I : R + .j i trrt- r r*t C ) r - f a i .r e On oeu t I = à-23 irrroe.:ance le R. L. C graphique : resenânce à I iecnel ie vectoriel -/" ^= * [ ,.x- - # I et : ,t I r : / L - r . r C A-24 tb = tg cos tl= E 7 ou: qu'il On remarque ,,t = / une pulsaLion existe r f o telle que I (rL = * u ) u (J A-25 o soit : = r f - o zn / t-c ,r tî cetLe pulsation ou ceLle fréquence sont diLes de resonance, A 1a f requence de résonance, Ie rnodule de I'impédance est minimai et se ramene à sa composante resistive. En conséguence . c'es t à rés.onance que 1e ci rcu i c es t la tnaversé par Ie courant maximal. En dessous de f réquence de résonance . Ie es t Ia ci rcu i t capaci tif - Au dessus de f réquence de resonance . i l- est 1a selfique A la résonance,on peut définir ou de un facLeur de surtension qualité qui est le rapport r é g n a n t a u x borI a t e n s i o n entre d e d ' a l i m e n t a t i o n O n a u r a : nes de L ou C et de la tension A-26 a = 3U = ' I ûJLI U. -* g R] I^ =- JR ' = = 1 .Y/ ' T - R ô r' L-C Dans de peut sur très bons circuits atteindre des quartz plusi.eurs peuvent accordés.le 1O3.Les facilement B coefficient acc,ordés centrés circuits atteindre de qualité 0 = tO6- Impeiance R.L.L. : re';onance l R e m ar q u e La caract,éristique principale d'un ci rcui r série esL que la tension d'atlague esE placee en série avec les éLéments RLC. Les circuits parfois serie affectent la forme d'un circuit parall-eIe.Ainsi, le circuit accordé d'antenne d'un récepLeur de radio est conscitué d'un bobinage sur barreau de ferrite nanti c'une capacite d'accord parallèle-Le circuit semole à première vue être un circuit parallèie-En réalité,La tension indui Le par Le champ éIectr-omagnetique est indui ta dans le bobinage et est donc ,Je facto en série avec les éLement,s LC e t R I e d u b o b i n a g e] - caLcui d'un bobinage- A-16 permet de calculer Ia valeur d'une incjuctance monocouche qui tient sur air-I1 existe un coefficient correctif compte de Ia morphologie de 1a bobine-On consulcera Les Laoles en annexe. poE ferrite,on urilisera 9obfnée dans un A-27 formule N = q - y ' L a v e c L e x o r i m é e n m H .r . r e s t d o n n é p a r c o n s t r u c t e u r E E d é o e n d d e s d i m e n s i o n s o u p o L . V o t r a n n e . x eSi Ia self l"lodif ication est de Ia valeur d'une 1a le self ûn peut modifier noyau cje ferrite la valeur c'une self à air en déplacant un ou Ie laiton dans ie support de bobinagepot Dans cas d'un ferrite, le le larrite ,,.Pot p a r r é g l a g e o b c e n u v i s d e r é g l a g e e n , v o q u : e l q u e s f e r r i t e e s t t r è s o e t i t I -=Chens megnétiquc ] dr l'cnroutemant qui I I existe un rnoyen très élégant rccordg consisLe à saturer Ie pot au moyen .--zEnroulemrnt da commrnd3 d'un courant continu extérieur injecté dans une bobine de comrnande qui est bobinée orËhogonalernent à 1a booi ne du ci rcui t osci I lant I o., ( l EôrouIchcôt lc€or aa Tcnsroô de commlndc Ch:mp mrgnètrqu€ 3i ccmmtnle I désire qu'iI n'y ait pas de couplage] Exe rcice qu'un .accordé soit r e s o n a n t s u r o O K H z- C t n On desire circuit r é s o n a n l s u r L 2 O K H z- O n d é c i d e d e f ait un t,esr- II est de f ait quelles i.'accord en augmentant Ia self .Dans mo,iif ier prooortions est faut - if mooifier le nombre de spires-Guelle sur Ie facteur de qualité. I'influence I m r ' e , : an c e coefficienf morphologie R . i- . C: : r e: o na nce de correction de Ia self. à apporter en fonction La formulg mentionnée ci-dessous ssn à dér6min.r la solf-induction da bobinôs à âir ns componant qu'unô soulo éoucho de spires. Oans cotte fomul€ on ratrouv6 l€s foctaurs suivants: I N - la nombra da sgir€s, I d - ta diâmètre lmê3uré 6nrr6 lês canùes d6s conduct6ursl | / = la longuâur de tâ bobino, I k1 = lô tactaur d€ corracùon. Ce lactaur dô con€ction est lonction du raDgon d: / Consull6z l€ grâghiqus ôu v€rso dà cene câna tbuf détarminef l€ facteur da cor€ction adéqust. L t - L J O / 9 ' . - . r V X t La s€lt'induction d'unô bobino de grsnda tsilla, compo3ée do plusi€urs couch€s de spires, sst détominé. tormule suiv6nte: L. = Lr - t,Og.tO-6. d'h.'N2. à l'aide de la a Oêns csttê tomul€: I L, = 16 self-indôction (voir prsmièro formula). I / = la longuour da ta bobina, I N - la nombfa ds sgiras, I d = le dismètra lmesuré enrre l€s cantr€a d6s bobinâg€s), I h = l'épsissôur propr€ du bobinage = 16 facteur de cofrÊction. I tt1tn Le fôctsur de correction ast fonction du rapgon 94/ 1 d On consultara égal€m€n! lô grsphiquE Êu wrco ij cane câns pour détsrminer ls factour ds corroction convan6blè en henrys) a K , - . i ,\ . . . L r , - k1,km i I ! . .t . . . . I I I ôn L u.b _l____t___ I I t... I -lI tI ' I II t- 0.4 i -I it . .- - jI l I I TI I I +II I I II I I -!- l l .l 5 r.o 1 0 a / * - æ 7'Ê ' _ de la Caractéristiques : retonance F . L,C I,npeqance des pots i provenance ferrite PhiLiPs-MBLE l I POUR POTS.. P ,, EN FERROXCUBE FILTRES I FERROXCUBEcPn POIKERNEN YOOR FILTERS I I Numéro de commande Bestelnummer .,,i:'"ii' 2 pots P 2 P-potkenen .s de réglage regelstift 2 mandrins (') 2 kokers (') BFP 26/16 BFP 36122 4322 022 262æ 4322022 2829n 4322 V22 322sÉ 4322021 31080 43220213llæ 4322021 31090 4322 021 31120 4322021 æ270 4322 021 30300 4:122021 30330 4:122021 30390 P 26/16 P æ1z.2 BFP 1418 BFP 18/11 492 t22 224æ 43?2 022 2270 4322022 242æ 432. Vzt W4 4322021 31070 4!2. V21 3f'2fi 432?.C21g2æ HFP 14/8 BFP 22113 P r4l8 P 1418 P r8/ll P 22113 1 ô ? 3 H f \ 3 H l 3 H 1 Q,2 à 2 MHZ 1 à 700 KHz I à 700 KHz | à 700 KHz 96,1 &l 3300 nrq 64,4 150 4350 abillage ækleding I I Caractéristiques : arakteristleken : I I I ferroxcube ferroxcube de. fréquence g''el{'/tentieberetR ".-" I o U l p e t B m"r à/bii 25'c (Gs) re (cmz) (cm) I le (cm3) V e II Ac (mm3) ; (cm) ('l " II o,ass I z.g 46,5 7n 4350 0,rB 2,58 1,12 18 ntç 2 0,5 o 7 a.1 I mandrin de réserve l resene spoelkoker 't N = a V T : 42.4 2æ 4350 0,63 3,r5 z ta 4,4 â H I là7@KHz at 330 4350 0,94 3.76 3.53 39 5,3 3 H 1 là7æKHz zJ,z 3æ 4350 2 5,æ 10,7 7,4 Ae, le, Ve = section, Iongueur et volume erreurrrù uv rrv'ss de Rern àit'ecuève ioorsnede, lengte en volume van Ac section du bobinage wikkelingsdoo(snede lc longueur moyenne d'une .sPire geàia- tengtê van een winding nombre de tours aantal windingen [-=mH M 26/16 M 14/8 :=:i*= : r\.l::i:-.r_ æ ffi :::tSÊi:: rl r:l j : --:.-. . . - - : ; \À )tlt1. J- -|}-v"* :*.{:j:;-r: - Irnoécance R.L.C :resonance ---- IupÉoauciD'uNcrRCUirRLCpARALLÈLE. f c Dans parallele.on un prend circuit la tension commune appriquée aux éléments RLC cornrne reférence de déphasage nul-comme dans le graphique présenté supra,on peut faire une etude basée sur r _ -7 A-28 i . _ 7R I - 7L I -7C En -qénérar , on cherche oaraLIè]e et : l : L A-?9 l -:---------:(')L ) - On rerna roue o A-5O o = 'r- à éliminer _ iû r c : Ia présence r _ ,Ic résistance ( J L eL lzI (,)L j de ra r - nr2LC qu 'à I o LC 2n-/ tc ).'impédance du circuit est infinie et que le courant absorbé est nul-En réalité,il circule un courant dans L et un courant dans C,mais Ies deux courants sont en opposition de phase,et pour le générateur,il semble gue Ie courant absorbé soit nulEn dessous de fréquence la de résonance. Le circuit est selfique-Au dessus de la fréquence de résonance.Ie circuit présence est capacitif - La d'une résistance éventuelle parallèLe Limite Ia vaLeur de I'imoédance du circuit à 1a résonance et impose à Ia source de fournir un courant io qui n'est plus nul . La fonction I rnaximum diminuer L" = -f , - , LlJ voi t sa pente et son - Inductance l i i i i i 1 t, I i | i ! l l i | résistive- < ' - ) I C v-- i -= it :resonance \ L t--. v Imoe'Jance R.L,C .i - r : i R : - S - pres.ante tou _iours une cerLaine Ën réalite.la seif résistance R^-si è-E de sa resisLance on apperre z, l'impédance d ? r a s e r f S : 'imoeoance sér j.e. et ZZ I de l.a capaci té. on au ra : -t â-3r 7 L ! ; t = ' L , R t o L I R A- 32 l + j r . r R C - , , t 2 u c = ' + S .i- ic,tl_ + jrLtl = R + a l.ll -ir,ll S 2 I r r . r - L C l - i(,R . S C R3 fzf = /' A-33 Comme en général r - f On oeut faire rt*3c2+tr-,r2Lc12 R= l z l -- A-34 2 2 + ( , ) L i / ,,2, 2 /' ,.;t*3 c2 + [ r - r.r2LC]" aooaraiLre I'imoédance r ? serie au dénominateur: I m o e , : - a n c eF . L . r - : rasonence .=. ,) t ,G,))- lt-r- - ' f r =l / ' f f i Z r - A - . 35 r / {,)c - ,/ Rt + i -;+; S ' r . t C rl -z rl = Lc A-3ô Transformation r 1 ( , ) Ll ' 1 Zsérie du circuit. ri est particulieremant mala:.sé de manipuler deux impédances en paral lele dont une est un ci rcui t série -La résist,ance en que ce n'esÈ pas une inducLance pure qui série avec L fait esL mise en pararrere sur 1a capacité à la resonance- Le phénomène se trouve de ce fait dégrade-rr est plus facire de paral lèIe rlui creerai t Ie même ef f et. manipuier une résistance t r'A-37 ,?tc I + j(Rsc R= * jr.tt = ; r+ l iJ ; .r +jcr; ''o j o l + R - p - u , 2 pn L C j c.r RoL _ - l + *o-t L - ,uzLC I jr^r ROL + i,oL Impédance R.L.r- : resonance ', I A-34 i A-39 R " -,IZLC I + j,fr=c i P = CL Facteur Rp- - t de R t I - o'Lc I + jcl- s qual i té I. rln appel ie facteur ce cual i té Ie rapport +" t-( Dn prouve facilement circuit série qu'iL vaut, tout po c o m f i r e dans Ie cas du A- 40 mais i1 lorsgue facteur dB du peut plus cj'une surtension.On montrer gue ne s'agit du f iltre .I'on reIève Ia f onction de transf ert , le f de qualité avec Af mesuré à moins 3 correspond à -Âh pic de résonance - r5 Impécjance R,L,C ;résonance ___;__ RnrrvÉssuRciRcurrssÉRrEET crRCUirs pARALLÈLES. f 8_ I r-'2c n : d - { ; ; , r a -ro 3 +'O P:ac:\_1-:F:.ia: rPcM eESCNi\: ae:CuENCy ê -2C trrg 5i C u r r 9 1 1 , 6 a S e f r e S - . A S O n a nal i r C u i l w r t h v a n O u Sy a l u e s C i S e r r e S, 9 S , S t â n C e The "atues are aforlrary and.dcu,c not aoc::/ al ati c r r C u r l S .b u t r e p r e s e n t a l r . . C r C aCt a S e il rS that tne reaciances iâr ihs rs56n361 r: -r:et -q"u" de n c y ) a r e 1 0 O O ohms. Notp ihat at t19. quencres more ihan plus or nrnus 10 percent awaY lrcm the resonanî freeuercy. lhe cu.renl 's SuOstantrallv unaifg6igg b./ ihe resrstance,n Ihe circurt. PERCENT CHANGE FROM RESONÂ.\1 FREOIJENCY Frg 55 - Currenttn Serres.resonanl Crrc!rls lavrng dillerentOs, In thrsgraph the current al tesonance rsassumeC iObe lhe sarne rn att C a S e S T h e l O w e rt h e O . l h e m O r e S t O w t vl h e c u r r e n t d e C ' e a S e sa S t h e a p p l r e d l r e q u e n C y rS Tcveo away from resonance z . - C -2o -'ô C *: PÊe cEtT cxÀNGa ÉecM eESCtÀ{, -- -j: F.ECu€\iy =,9 58.- Relatrve,mpeoaice or oaratre,f e S O n a n l C j r C u r t sw : ! à C r l fg 1 9 6 l Os ïre5g;.1ug5 are srmrlar lo Inose ,n Frg 55 icr:rfrenl ,n a SefleS-resonantcr.curl Tne efiec: ol C cn r m p e O a n c er s m c s t : n a r k e d n e a r Ile fesola4i lreeuencv I6 t -----Etude de Ia ceLIule Etude de Ia cellule Charge d'une R C.Notion de filtre RC C au travers d'une R génération La de chronorogies fondamenÈales que doit effectuer essentiellement deux méthodes,une La méthode digitale consiste à qui sont équidistantes impulsions anarogique consiste à charger une courant et à mesurer Ie temps charge préfixée. i l + r | -"----f"" I est une des opérations l'électronicien-rI existe digitale et une analogique. générer ou à compter des dans le temps-La méthode capacité par le biais d,un pour atteindre requis une IN ê -olt "î v l u OI.JT l + t valeur de régime On peut prévoir ' I'allure i valeur transitoire I I générale de la valeur de régime courbe: au temps t = o,on soumet la cerlure Rc à un écheron de tension-Pour tous res temps antérieurs = o,ra à t tension aux bornes de c est nulle que c ,à condition ait êté complètement déchargée avant I'expériencerr s'agit 1à d'une des conditions initiales rr s'étabrit au travers be R ,aux bornes de raquerre ir existe une différence de potentier,un qui courant charge C [fait varier Ie potentiel à ses bornes]. Au fur et à mesure que c se charge,la différence de potentier aux bornes de R diminue-Le courant de charge diminue donc-La capacité se charge donc moins vite,d'autant moins que vite d'ailleurs Ie temps peut donc suspecter qu'ir s'éeoule-on fairre un temps grand pour très atteindre la valeur de régime correspondant à ra vareur de r'écheron de tension d'attaque Le probrème qui se pose est de connaître l'arrure de ra courbe représentative du transitoire-Concavité vers Ie bas ? vers le haut ? possibilité de dépassement ? ra cerrure ;:ï::":: E est u est i est I'amplitude du signal échelon d,attaquela tension aux bornes de C Ie eourant gui traverse R,donc,le courant 2 - L E u : R . i 2 - z : = R - i 2-'- -E - E-c Q E ' C - ac L à 1 2-s r *}_ q Ef que I'on = f t - i - ? æ d a v e c i = d tq I R-" à variables dans un même e--ooq peut intégrer .l fdt t .t = ;.oE l =f IJ ;;* È'u - q oa on remarque que,au signe près,le dénominaÈeur-En conséquence : 2-6 de € t -- o^ - d c T-= de charge o ù C = 9 v Il s'agit d'une équation différentielle séparées-Pour ra résoudre,on regroupe donc membre Ia variable et ses accroissements- 2-+ -<------ de f ilhe ;;" c_ ' R c'Norion = - ln [E-c - q ]-r numérateur est qui est la une sorution dérivée du générare Parmi la famille peut sélectionner de courbes proposées,on qui est représentative celle du phénomène qui nous intéresse €tn qu'elle exprimanÈ doit satisfaire aux conditions initiales-Ces dernières sont les suivantes : pour t = O, e = O -En conséquence = o = In te-c - ol-K + E-c-K = t 2 + K È. \,. -----Etude 2-7 2-8 = - rn t r $.t 1 R-C de 1 = - In t Ia celIuIe q E.C . R C.Notion l J r-Ë.r "r"" $ et,si 2-9 e ---- = u on passe à I'exponentielle t ro\ rr v\ de filtre t = 1 - Ë soi t = | - è 9 E R'c on préfère souvent garder eette forme d,expression dite en ampritude réduite où I'on ét-u-oiele rapporÈ entre I'amplitude de sortie et I'amplitude d ' e n t r é e - L a m ê m es o r u t i o n e s t a i n s i varabr.e,quelre que soit l'amptituae d,entrée- , sur plan re physique, ra formure doit être h o m o g è n e -r r s'ensuit donc que R.c doit avoir les dimensions d , u n temps_ En effet,R s'exprime en Volt,/Ampère et C en C o u l o m b/ V o L t ; I e produit R-c est donc assimirabre à un temps et s,exprime en ="condes-Le produit R-c s'apperre constante de temps :l on r€rmarque que re franc montant de r'écher.on d'attaque n,a pas êté transmis-ce flanc r a- i d e contient deg n.rroniques élevés qui n, ont pas é:ué .Ë=ti Ëg= on dira qu'une terre celrure ""n=titr" un filtre passe bas- L'alrure générare de r.a tonctiàn à e t r a n s f e r t d , u n ter. filtre est ra suivante -l -p - -o ' u . ; ; i l vï vé" rrl Ë v 4n e rt' rsç ,r rcL rè fr r r l I tLhI I é E Lo r i e d es CifCUitSl : 3 -----Etude de Ia cellule R C-Notion de fittre --_--- En théorie des circuits,on examinera Ie prôblème sous un angle complémentaire,en attaquant Ie circuit au moy€rn d'un signal sinusoidal,d'une rampe,ou d'une impulsion de Dirac-Si I'attaque par un signal sinusoldal,on se fait voit que -c E Z ^ + Z ^ t- t( et si Ia fréquence est élevée, alors Zc â. O et les composantes HF sont courtci rcuitées Signification _ Ë = I de Ia constant,e de temps- t R-C carcurons }a dérivée à r'origine qui nous permettra,par le biais du coefficient anguraire ,d'avoir accès à I'équation de Ia tangente à I'origine: 2-LO [ o , u ' ] t = o = - ( LætE _ on a done yx = cette tangente 1 F= 1 R-C )-e _ t R-C a v e c t = Q 1 _ tgq R.C 'r = t au bout d'un Ë temps t = R-G-La constante de temps G est donc Ie temps au bout duquel la tangente à L'origine intersecte Ia vareur de régime intercepte I'horizontale j y * 4 -----Etude Calcul de Ia ceIIuIe de Ia _ valeur t q = 1 - â R . C E - R C.Notion u/E au bout - - = I u- e È de t 1 = t La constante de temps est donc duquel Ia valeur de Ia tension valeur de régime- de filtre = T L e c o,632 c 2 _ 3 également de sortie Ie temps au bout vaut 63% de la Exereice qui vient De l'étude d'être q u i tension apparaîtra aux conditions expérimentales- faite,déduire bornes de R la forme dans Ies de Ia mêmes Suggestion: fI s'agit exactement du même peut circuit-On déduire de manière triviale Ia valeur de U^ en remarquant que E = UR * UC El- quel De s'agit-il ? OUT type de filtre point Mettre petit au un programme qui permette graphiquement de simuler Ie comportement d'une cellule RC -Plusieurs t possibles. 5 i.ntroduction Introduction à la à ra théorie théorie --__ des semiconducteurs- Pour les rappers de mécanique I'annexe en fin d'ouvragePour alrer naturaliste des semiconducteurs quantique,on à I'essentiel,on peut des couches éleetroniques s€t réfèrera à dànner une description d,un atome : on peut caractériser un étectron à trois moyen de trois nombres quantiques. degrés de riberté au re nombre guantique principal n qui vaut n=l,n=2,n=S ---- avec rimité , êD pratique,n à 7 crui définit , conventionnellement une couche K associée à n = I L n = l M n = s -à chaque nombre n est attaché un nombre I variant de I=O à I = n-l I est appelé nombre quantique secondaire,azimutal ou orbital et définit des sous-couches -Fratiquement ce nombre est limité à la valeur S-On attache au nombre I des Iettres eode héritées de Ia spectroscopie. -pour I = O,on dit I : l ] = 3 ] . = 4 avoir affaire à un électron S p d f -chaque sous-couche,en présence d'un champ d'induction peut donner naissance à zr + 1 possibirités d'orientation par un nombre m entier caractérisées tel que -I avec m le nombre quantique magnétique -sur chaque sous-couche peuvent cohabiter au maximum deux électrons par un spin différent caractérisés valant * ou L/2 représentant quatrième un degré de iiuerté de l'électronprincipe d'exclusion de pauli que implique les :le électrons d'un atome ne peuvent cohabiter que pour aut,ant qu'irs soient différents par au moins un nombre quantique. -on peut s p d f faeilement (r=o) peuvent (1=1) (l=2) (l=3) constater prendre place que sur une sous-couche au maximum z éLeci.rons e to u introduction -et que quantique à la théorie des semiconducteurs ____ sur une principal placer couche caractérisée par Ie nombre n,entièrement remplie,on ne Peut que 2n2 éIectrons,soit 2 e 8 e 1 8 e pou r n = 1 , s o i t , s u r l a couche K p o u r n = 1 , s o i t , s u r l a couche L pou r n = 9 , s o i t , s u r l a c o u c h e 1'l Courant dans les solides La_vision gue nous venons de donner n'est en principe valable qu'à o'K-Quand ra température croît,apparaît un phénomène d'agitation thermique- En f onction oe- i;é.,".gi"--communiquée aux érectrons,ceux ci peuvent se déplacer sur un niveau prus énergétique,toujours quantifié [ atome excité passer ],ou dans re continuum énergétique où ils ne sont prus attachés au noyau-Dans ce cas précis,l'atome est ioniséTous }es conducteurs et ra prupart des isorants utirisés en électricité sont constitués de microcristaux dont les dimensions linéaires sont de Iordre du micron-En électronique,on utilise des monocristaux dont les dimensions peuvent atteindre plusieurs centimètres.Les distances entre atomes voisins est de r'ordre de o,1 nm,et,Four res matériaux purs, ces derniers sont répartis dans Iespace avec une tripre périodicité-si I'on développe aux bornes de 1'échantirron un champ étectrique,on "bn=t"t" un déplacement d'érectrons en quantité plus ou moins grande seron ra nature de r'érément-ces érectrons sont appelés érectrons de conductivité-Ce comportement est: fondamentalemenÈ différent de cerui des g,az qui,pour devenir conducteurs,ont besoin d'être ionisés I dans res coriaitions normares,res distances intra-atomiques sont de I'ordre de mille plus fois fois grandes que dans un solide l Alors que dans un gaz,I'interaction entre deux atomes voisjns peut être négligée,dans joue un solide,erle un rôle prépondérant-on peut s'en faire une idée approximative en faisant un raisonnemenÈ quaritatif où,pour simprifier,nous utiriserons Ie langage de ra théorie de Bohr-si nous imaginons qu'on forme un eristar en rapprochant res uns des autres des atomes initialement peut penser que éroignés,on res érectrons des couches profondeJ sont voisins [qui des noyaux auxquels ils appartiennent pas ne seront I sensibrement perturbés par res charges électriques extérieures-L'effet qu'irs exercent sur une charge éroignée est sensiblement le même que s'ils pracéà au centre étaient du noyau-Par contre,pour un électron de v"ience sur ,situé une périphérique, ra couche situation est tout autre- La distance fg o,1 nm I qui re sépare de son noyau est du même ordre de grandeur que la distance qui le sépare d'un autre introduction à la théorie des semiconducteurs ---- noyau-Il subit donc de très fortes sollicitations de Ia part des autres noyaux qui sont répartis de manière isotrope bàni le cristar,et on peut concevoir que sa trajectoire [la suiiÀ de s€ts appartenances à un noyau I s'étende à tout le volume du cristal-Dans cette optique,les électrons de valence sont répartis uniformément dans le cristal où ,les atomes sont associés par Ie biais de liaisons covalentesLa statistique de Fermi-Dirac- Quand Ia température augmente,les électrons se répartissent sur les différents niveaux en obéissant à Ia st,atistique de qu' peut se résumer commesuit : rmi-dirac si dN est ]e nombre de places disponibles dans un intervalle d'énergie compris entre W et W + dW I ce nombre vaut éventuellement o si ra bande est interdite I ,alors,dans 1'état Ie plus probable du système,le nombre an d'éIecirons qui occupent effectivement ces places à la température T est par la fonction défini 3-1 - d n dN H - H r + dans cette expression, L,38O42-tO-23 hl,' est e l/ k'T k est la constante de Bortzmann,soit K- une constante appelée niveau de Fermi qui dépend de ra température et de la distribution des niveaux énergétiques possibles - on la détermine dans chaque cas par:ticulier en que la somme des électrons . exprimant présents aux divers niveaux a pour vareur re nombre total préients d'érectrons dans le cristal. La fonction f w = k.T est appelée fonction de Fermi-Dirac_ Pour l,f - Hr = s-kT ,l'exponentielle vaut Pour lf - Hp = -$kT ,I'exponentielle v a u t O , O 5 , € t r â ro , 9 5 3 20 ,et f â, o , 0 5 introduction à Ia théorie des semiconducteurs T=O' on constate que pour des valeurs de l.l Hr supérieures à 3kT,f tend rapidement vers O-Par contre,pour des valeurs inférieurs à -skT,elle est voisine de lLa fonction f passe pratiquement de I à O dans I'intervalle SkT,tlF + 3 kT ] -Pour les faibles I Hf valeurs de T,cette variation est très rapide-Pour T présente même une o,erle discontinuité : f - 1 si W . WF et f = O si t4 t Wf Dans tous les cas,re point de coordonnées t^l = HF ,f = r/? est centre de symétrie de Ia courbeLe nombre de places vides est fonction 3-2 f' = | évidemment par fourni la f qui est tracée en pointillés On remarquera que à O K,tous entièrement, occupés,tandis complèt,ement vides La fonction de Fermi-Dirac sur les gue le graphiqueniveaux inférieurs Ies appliquée niveaux à td, sont supérieurs sont aux conducteurs. peut Sans entrer dans de longues considérations théoriques,on qu'une bande saturée pas au phénomène rappeler ne participe de conductivité-Un isolant est donc un corps dont toutes les bandes sont saturées-Si iI existe une bande incomplète,Ie matériau est conducteurSi cette bande contient un petit nombre d'électrons,ceux-ci placés sont naturellement sur les niveaux d'énergie inférieu rs plus facilement L'obtention d'une bande saturée se fait en quelques p é r i p h é riques qu'en Iibérant les électrons en attachant d'autres sur I'orbite.On retrouve ici les notions chimiques d'éIectropositivité et électronégativité-La mise en par conduction se fait donc le biais d'électrons.Ces éIectrons sont dits de valencêr- introduction à la théorie des semiconducteurs -:-- Si,au contraire,Ia bande est presque saturée,et si iI existe quelques praces vacantes aux niveaux plus les élevés peut imaginer que ces places seront occupées par d'énergie,on qui se dépracent des électrons dans le réseau ou par des qui participent éleetrons aux liaisons covalentes du réseau qui laisseront donc de facto à un autre'endroit de ce dernier un manque d'érectrons-on parle de conduction par trouLa bande qui d'énergie est incomprète chez res corps conducteurs est diXe bande de conductionAu Zéro absolu,les électrons de cette bande en occupent Ies niveaux les'plus bas-II en résulte que Ie niveau de Fermi corncide alors avec le niveau le plus éIevé effectivement occupé. N i v e a u xv i d e s E N i v e a ud e F e r - m i o c 0i (o A -ra température T,res bandes inférieures restent pratiquement saturées,du moins pour que autant r'écart qui res sépare du bas de la bande de conduction énergétique reste petit devant kr-on remarquera utirement qu'à o"c ,kT vaut approximativement O,OZ4 eyPour être bien crair,on a représenté en annexe les énergétigues d'un atome isoté et du même atomé geré réseau cristaLlin- w -l I I II lgs f-Niveoude volence l2.f l-?'l l-!- | (o) Alome isolé ;f Niveou 'l J Bonde outoriée (u) Cri5tol nÉlollique dN dw Environ 2kT t (w,r) 5 de niveaux dans un introduction à ra théorie des semiconducteurs ---- Dans le cas de r'atome isoré,res niveaux énergétiques sont parfaitement quantifiés.Tous res niveaux sont, remplis ,sauf éventuelrement le niveau supérieur -Exempre de Na :l électron de valence au niveau 3s de capacité 2 Dans le cas d'un cristal ,Ies érectrons de valence occupent une bande d'énergie et sont mis en commun par res atomes du réseau La fonction de Fermi Dirac appliquée aux isolants_ Dans re cas des isolants,apperons Bl,bande de varence, prus érevée des bandes saturées à oK-Apperons 82.bande conduction,la bande vide située immédiatement au dessus- Ia de A une température T,un certain nombre d'électrons vont passer de ra bande saturée 81 à ra bande vide B2-Le nombre de praces occupées dans B2 est évidemment égar au nombre de places vacantes justifie raissées dans 81-sans qu'on le ici,on admettra que l'échange se fasse entre ra partie supérieure de 81 et ra partie inférieure de BZ-Le niveau de Fermi est situé au milieu du gap qui sépare 81 de B2-rl résurte de ceci qu'un isorant devient quand conducteur on augmente sa température-La mise en conduction présente deux modarités,une par trous dans 81 et une conduction conduction éIectronique dans 82-Dans re cas des isorants,r'écart entre 1es deux bandes est de prusieurs ev I e a 7 dans re cas du diamant ] Application intrinsèques de Ia fonction - de Fermi-Dirac aux semiconducteurs La situation gui est modifiée lorsque Ie gap énergétique sépare la bande de varence de Ia bande de conduction est de I'ordre de I'eV-Alors,à quantité température ordinaire,une non nég).igeable d'érectrons passe de ra bande de varence à ra bande peu de conduction,et le matériau devient un eonducteur-On parlera de semiconducteurs.Un semiconducteur ne 6 introduction à ra théorie des semiconduc.teurs ---- présente pas de différence essentielle avec un isolant-fl s'agit simplement d'ordres de grandeur différents-Ainsi,pour Ie Germanium,I'écart entre la bande de conduction et la bande de valence est de O,76 eYSa résistivité à 2o'C qui est de O,47 Q.m esÈ bien inférieure à celle des isolants [o to13 Q-m ] et bien des conducteurs [quelques 1o-8 Q-m ] Le semiconducteur est dit intrinsèque pas d'impuretés- sûpérieure Iorsqu'iI Du point de vue quantique,I'interprétation donnée : Soit Ie cas du Silicium- à celle ne contient suivante peut être --- Le rapprochement des atomes de Si dans Ie réseau cristallin produit Ia dégénérescence des niveaux 3p [2 étectrons,4 états vacantsl et 3s lZ électrons et O état vacantl en deux bandes autorisées prus et non plus une comme dans le cas des métaux-Ces bandes sont -Ia bande de valence -ra bande de conduction Les électrons sont et liés étroitement [4 électrons et [o é]ectrons O état et vacant] 4 états vacantsl normalement situés sur Ia bande de valence au noyau correspondant,- L'énergie de Ia bande de conduction est tetle qu'eIIe permet qui y accéderaient aux' éIectrons de circuler librenent à travers Ie réseau-En réalité,ces électrons sont excessivement rares puisque Ies seuls éleetrons présents dans Ia bande de conduction sont ceux qui ont acquis une énergie thermique suppérieure à ra valeur qui du gap énergétique sépare la bande de valence de Ia bande de conduction-Cette énergie est . de I'ordre de O,72 eV pour Ie Ge et de L,LZ eV pour le Si à 300 K- 3P a, _ - l I- I | | 2él..tron, +4élotsvoconls ., élot |Aucun | voconl ;L B.de condtrclion B.interdite B.de volence ) (b) Cristol semi-conducleur (si ) a,on,,jT]"re Bonde conduction I *, ,,ïlii" I I Bonde de volence f (w.T) introduction à ra théorie des semiconducteurs ---- on remarque sur la figure présentée en annexe que Ie niveau de Fermi se trouve au mirieu du gap ;càd que dans ra bande de valence f(t^t,T) - 1et que la presque totalité de tous l;; possibles états est que dans la occupée,tandis bande de conduction f(l.l,T)... o et que pratiquement aucun état n'est occupé On peut écrire que _ "-= t*a'' : t,c- wr e avec Wg I a m i n i m a l e de O n a H C t H F lâ, g 2kï are 1O-8 à 10-11 et I, énergie k.T hauteu r de la bande interdite Ia bande de conduction- + aJ hlc t^l g 2 c'est donc une fraction infime [mais non négligeabre] du nombre totar des électrons de valence qui est paJsée dans ra bande de conduction-Néanmoins,ces érectrons libres,bien que peu nombreux ,sê comportent de Ia même manière que les érectrons libres dans un métar-sous I'action d'un champ provoquent électrique, irs un courant, de conduction très petit. un électron qui se déplace à r'intérieur ribre du cristaL semiconducteur a quelque chancé a'être capturé par un atome à qui justement ir manque un érectron de valence-En fait,Iorsqu'un électron est arraché de sa Iiaison atomique,il raisse une vacance dans la structure qui a perdu un éIect,ron de valence est cristalrine.L'atome réellement devenu un ion-cependant,au niveau macroscopique du cristal,la charge électrique totale est t,oujours nulle-par re biais de I'agitation thermique,res atomes ionisés cherchent à remplacer 1'électron manquant en I'empruntant à un atome par voisin re biais des liaisons covarentes.Les trous présentent donc une mobilité différenÈe de cerle des éIectrons on peut montrer que la concentration des érectrons et donc des trous dans un semiconducÈeur intrinsèque est donné par ra formule a introduction _ 3-4 = Ç-TS-e "? t hl g KT à la théorie ! 2 , 5 - t o 1 3 , l c m 3 o o t r . Ge : âi pour Si z-tolo/c;r3 Le temps de v i e moyen d'un électron I'ordre d e I a nano à La microseconde- Fonction de extrinsèques ---- des semiconducteurs Fermi-Dirac appliquée de aux conduction est de semiconducteurs un semiconducteur extrinsèque est qui un semiconducteur contient un dopant c e s a t o m e s q ui [impuretés] de dopant présentent approximativement que res res mêmes dimensions atomes du réseau cristallin du semiconducteur sont introduits dans par re réseau,soit gazeuse,soit diffusion par imprantation ionique. Les dimensions quasi identiques du substrat et du dopant évitent les dislocations locales dans re réseau-Les quantités de dopant introduites sont de I'ordre - 5- a' , b i e n de 10 que dans certains à 10 cas particuliers,re nombre d'atomes de dopant ,inférieur parfaitement à dix,soit déterminé Les. dopants introduits sont : soit des atomes pentavalents semiconducteur est dit de type N soit des atomes trivalent,s. semiconducteur est dit de type (As,Sb,p) -Dans ce cas,Ie (Ga,AI,B,In) P- -Dans ce cas,Le PIaçoDs nous par plus opportunité dans le cas aisé à comprendre d'un semiconducteur de type N-Le dopant [phospore] occup€r une plaee dans Ie réseau cristallin et met <luatre de ses cinq é]ectrons en covarence avec les atomes voisins de Si->Le dernier électron de P,non impliqué dans une liaison peu Iié est que son niveau à son noyau-On peut montrer énergétique est de très peu inférieur au niveau de Ia bande de conduction de Si eV ].Dans c€rs conditions,cet I O,ot éIectron,pâtr Ie biais de I'agitation thermique va passer dans Ia bande de conduction du réseau,devenir libre et un électron participer à Ia conduction-IL PAS N'Y A CREATfON CONCOT'IMITANTE D'UN TROU.PUISSUE LA CHARGEPOSITTVE COMPENSANT CET ELECTRON LIBRE EST L'ION P+ LAISSE EN PLACE DANS LE RESEAU-La quasi superposition de Ia bande de conduction du substrat et du niveau énergétique de I'éIectron non impliqué dans une Iiaison covalente du dopant joue ainsi littéralement le rôle de ponpe à éTectronsqu'un dopage dans les proportions On peut montrer de 10-6 introduction diminue la à ra théorie des semiconducteurs résistivité d'un rapport 1OO_ ---_ Dans re cas des semiconducteurs de type p,on ajoute un dopant trivarent-rl manque donc dans res riaison=-"àrr"rLntes du cristal un élect_ron par atome d' impu reté présent - ceci s e par traduit 1'apparition de niveaux, supprémentaires complètement vides à OK très peu distants (= O,'O'f-ËV) de la bande de valence du substrat-rr en résurte-qu'â température ambiante,ces niveaux sont presgu'entièrement saturés par des érectrons venus du haut de la bande de valence-cerle-ci devient donc incomplète,et Le cristal devient conducteur par trous Eleclronlibre Bonde de conduciion Niveou de Fermi intrinsèque --Nrveou de Fermi P Bonde de volence (o) Dopoge N 3-5 n-p représente re produit qui égar reste pour = n? = I _ c-T3-e du nombre d'électrons tout re cristar tl| g kT ribres par trous à r,f.o"n= re cas des semiconducteurs de type N,D ,pratiquement égal au nombre d'atomes d'impuretés introduité peut être cÀoisi beaucoup prus grand que nr-on que res électrons dit sont porteurs majoritaires-Dans le eas d'un dopage p,ce sont les trous qui sont majoritaires êpplication : Thermistances- Des eonsidérations théoriques fort comprexes permettent de montrer que dans le cas d'un conducteur une augmentation de la température diminue la mobilité des érectrons ribres et donc augmente ra résistance par le matériau.Dans offerte res semiconducteurs,ce phénomène intervient pas aussi,mais n'est prépondérant-c'est au contraire r'augmentaLion du nombre 10 introduction à ra théorie des semicondueteurs ---- qui apparaissent d'électrons dans la bande de conduction et de trous qui apparaissent dans la bande de valence qui est prépondérante-C'est pourquoi la résistivité des une fonction rapidement décroissanÈe de température,du la moinsraux températures basses -Ainsi,dans Ie cas du Si on a: températu re Résistivité o'c en .Q:m o,4 100 300 700 o12 o, 07 o,oo1 Cette propriété,très caractéristique des semiconducteurs esË exproitée dans res thermistances apperées crN qui sont en général constituées perre d'une petite semiconductrice et dont c,n trouvera en annex€t quelques courbes caractéristiques. non-linearresistors B NTC thermistors \ R 627 31 - miniature bead R63422 - miniature bead R 627 31 Resistance range at 25'C Dissipation max BaSleS Operating temperalure at zero oower al max oower Rzs !20% 100 ko 220 470 1MO 1O0kO lo 1 MQ 1 00 mW 3800 to 4200 K -55 to +3O0"C O fo +55"C Besrgs câtalogue no. i5% K 2322 627 31 . .. 3800 3920 4030 1200 104 224 174 105 Marking:none R63422 Resistanæ range at 25"C md Dissioatim Dissipation lactoq Thermal time ænstant Opêrating lempereture ei zero power at max oower 1 kQ to 100 kQ 60 mW o,4 nWfC I s -25 to +200'C O to +55'C 11 A" E rg*) jonction Jonction Supposons P-N et diode P - N.Diode. que nous de disposions deux barreaux N et de type P,que semiconducteurs, respectivement I'on à celle de Ia rapproche à une distance comparable maille du plan de contact réseau cristallin-La zone voisine de leur j o n c t i o n D e pour nombreuses méthodes sont utilisées forme une p l u s dont obtenir Ia connue est Ia méthode de ce résultat accepteurs diffusion de dopants et donneurs dans deux zones gype de jointives transition d'un unique monocristal-La d'un à I'autre se fait sur une distance semiconducteur très du faible,de I'ordre micron dans certains cas I particuliers,on réalise des jonctions dont l'épaisseur est de quelques nm l-L'éIément réalisé s'appelle une diode- P (o) N IËEæ o.'o.ël . o * oï | lo -:o- é.oiôI (+) /--\ (b) -.*o* o*io !o-P.oi o e+o €)+io - @ô 9 ChorgesI Accepteur o fixes @ I Donn"r, C h o r g e s El e c t r o n I mobiles I Trou + -@ô9 M o u v e m e n t sd u s à lo diffusion lBonde de (.) I conduclion Jrl Niveou de M o u v e m e n t sd u s ou chomp é lectrique - - - - .> t- J Bonde de neutre ,mais est électriquement Chaque type de semiconducteur N type et Ie de trous une maiorité P eontient le type peut montrer Iibres-On d'électrons QUê,statistiquement,on peut associer et les trous à un gaz qui libres 1es électrons pour occuper de la jonction au travers va tendre à diffuser du monocristalIa totalité et s'aventurer Ia ionction vont traverser Ainsi,Ies électrons jonction P-N et diode en zone P à trous que res trous majoritaires,tandis vont tendre à diffuser dans la région N où les électrons sont majoritaires.cette peut diffusion ne se faire très profondément d'un côté ou de l'autre jonetion de'la pour prusieurs plus évidente étant que si un électron raisons,la diffuse en zone P où les trous sont majoritaires,ir doit y avoir recombinaison électron-trou d'autant prus fréquente que l'électron s'aventure loin en zone pD'autre part,les érectrons libres qui diffusent vers la zone P laissent dans ra zone N un excès de charges positives fixes , tandis que res trous qui diffusent vers la zone N laissent en place dans re réseau P des ions négatifs-rr se crée donc dans la zone de ra jonction une différence de potentier due aux charges fixes laissés en prace Iions] lors de ]a migration des charges mobires-La zone N de ra jonction est riche en ions +,et la zone p de ra jonction est riche en ions négatifs Le champ éIectrique ainsi créé a un sens tel au I semiconducteur N vers re semiconducteur p I qu'il développe sur res charges mobiles qui proviendraient de r'arrière une force qui s'oppose au franchissement de Ia jonctionon peut concevoir qu'un équilibre quand le frux soit atteint de porteurs dû à la diffuson équiribre statistiquement le frux inverse de porteurs dû au rapper exercé par re champ électrique sur res charges mobires-r1 suffit pour ce faire que la différence de potentiel s'étabtisse à une vareur qui est fonction correcte des caractéristiques de dopage des régions N et P.on peut montrer que cette valeur correspond à I'égalisation des niveaux de Fermi des deux régionsDans ces conditions,ra zone de jonction apperée barrière ne pratiquement prus de porteurs majoritaires,et eontient seule I'agitation thermique est susceptibre de faire apparaître dans cette zone des paires éLectron-troususceptibre de créer des paires électron-trou peut Ir'énergie être de nature érectromagnétique et appartenir au domaine optique, visible ou non ;dans ce cas,la diode joue Ie rôle d'une photacetlute-l p de la si ra paire électron trou est créée dans ra partie jonction, I'éIectron I'action du champ éIee,sous trique,traversera Ia jonction pour de potentiel] [barrière aboutir dans Ia zone N de la jonction où iI se recombineraLa valeur de Ia différence de potentiel jonction p est d'environ O,3 V our le Ge et 2 d'équilibre d'una O,5 V pour Si- jonction P-N et diode Diode On peut soumettre qui va interférer la jonction à un champ éIectrique extérieur avec Ie champ développé dans Ia jonction- I Il' "l# IT si re champ extérieur est opposé au champ électrique de jonction,res porteurs passeront en plus grand majoritaires nombre ra barrière de potentiel développée dans ra jonctionsi re champ extérieur renforce re champ de jonction,re passage des porteurs libres sera inhibéLe champ extérieur est créê au moyen d'une source électrique de polarisation-On constaÈe que si Ia borne + de Ia source est reliée à Ia zone p de la jonction appelée ANODE I n I,et Ia borne à Ia zone Nappelée CATHODE t f champ I,le électrique externe va en soustraction du champ de jonction-La qui fixe barrière de potentiet l'énergie des porteurs libres qui traversent la jonction diminue donc. La répartition du nombre d' érectrons en fonction de qui l'énergie leur est attachée étant une exponentielre peut suspecter eu'en abaissant ra barrière décroissante,on de potentier de ra jonction,l'augmentation du nombre de charges qui va franchir libres Ia barrière eroîtra exponentiellementsi re champ extérieur est ,êD sens opposé,éga} ou prus grand que le champ développé dans Ia jonction,cette dernière ne joue plus qu'un rôIe minime,et le comportement de Ia diode par qui est régi des lois dépendent largement de Ia polarisation externe et d'autres éréments pracés €rn série dans Ie circuit. Si le champ extérieur renforce Légèrenent le champ éIectrique de jonction relie la borne + de ]a source [pour ce faire,on à Ia partie N de Ia jonction,et la borne P de à la partie jonction qui ]a de la barrière de potentiel l,I'effet phénomène de s'oppose au diffusion des libres charges majoritaires est accentué.Par contre,il favorise le mouvement qui apparaltraient des porteurs minoritaires dans Ia jonction Iors de créations de paires éIectron-trou dues à un apport jonction.pour énergétique paire au niveau de Ia une jonction P-N et diode créée dans la zone N de ra jonction, re t'rou f ranchit ra jonction vers la l'électron zone P et se recombine sur place,tandis que pour une paire créée dans Ia zone p de Ia jonction,l'érectron passe en zone N et re trou se recombine sur place-Le courant de jonction dépend donc entièrement du taux de création éIectron-trou locale de paires et non du potentiel appliqué-On conçoit donc que I'oâ puisse utiliser polarisées pour des diodes en sens inverse mesurer des terrrpératu res ou des éclai rements par Ie biais du cou rant dans la jonction. inverse qui circule Pour des valeurs de Ia tension de polarisation supérieures à quelques polarisation de volts dixièmes inverse I ] , Ie courant conserve une faible valeur négative -IS qui est de I'ordre du ou des ltà- peut déduire permet de calculer IS dont La caractéristique i = f(v) de Fermi-Dirac La statistique par Ia suite on _ E - A-T3-e 3-6 Is s-7 | = r*.1 T f' o qk T v- t l L ^ II J Lorsque v devient très négatif,Ie champ agissant sur les porteurs augmente-Pour une tension donnée Vz qui dépend du type de dopage,on note une forÈe croissance du courant quasi constante-cette inverse à tension tension est appelée tension Zêner,et le coude de Ia caractéristique,coude gue Ia grande valeur croissance est due au fait . Zéner-Cette communique aux porteurs minoritaires de du champ éIectrique cinétique accéIérations-L'énergie ainsi acquise peut fortes être transmise aux atomes du réseau par collision-L'énergie qu'elle peut provoquer Ia rupture d'une échangée est telle concommitante du réseau et la création Iiaison covalente d'un s'agit trou-on peut montrer qu'iI d'une paire éIectron phénomène d'avalanche de conduction est et Ia caractéristique = f que ii.,rr".=" à r'axe des une paralrère telle (rrinverse)est cou rants - jonction P-N et diode DGRCICE La caractéristique i = f(u) d'une diode est redevable de q u i l'équation 3-7 contient une exponentielleLa fonction exponentielle qui s'admet comme est une fonction partir sa'propre dérivée-A de cette r€lmargue,on peut la développer sous forme de série que dans le l'lontrer voisinage immédiat de I'origine,Ia caraetéristique de Ia diode est une droite I u < que]ques dizaines de mv l,qu'au de}à [ u 'deux une parabole ,-Examiner quadrants les conducteur et bToqué vl: 5 ÀgrandissenenÈ des zones voiéines de I'origine. jonction P-N et diode -------' ;;;;:;;;r";. ùé|.erminer diode -au d'une la position moyen d'une résistance -idem au inversion Faire un relevé type BAlOO de Ia cathode et de de polarisation source de courant de limitation 1'anode d'une extérieure direct- et fhrètre-Attention à une éventuelle moyen d'un p o l a r i t é d e I'Qnètreb o r n e s d e s de la statique de Ia un Faire à I'oscilloscope m ê m e d i odede la caractéristique courant Mesurer 1e la bloquante-Augmenter inverse température inverse l,lesurer le courant verre - Eclairer Ia diode caractéristique relevé d'une diode d'une dynamique de Ia polarisée diode .Constatation- au d'une diode . - -Constatation- Ge en encapsulage BEF-Ne petite de O,5 est de 1'ordre diode Le prix d'une de Ia que son fonctionnement est redevable JAMAIS oublier prix qu'au sont Nobel quantique cinq moins et mécanique de son fonctionnement attachés à Ia description 6 2. et vérifier éventuellement Prévoir si vous n'en d e s si€lnaux de sortie.Le formes signal d'entrée d'une amplitude crête de fV. êtes est pas sûr,1es symétrique eù R ( .-'. sv= I ''/ ! i l i | io,t t_ i _ __l__ , * .------j--l-+- i - + t * ("1tv" 'l-- : i ,out *lu -l- i : R r---æ !'') sv' ---'/ __ -l- I l ! I tv !ou' -]i I ._-:_ -.,:- R --Cl i i ' I ' 5V3 out I 2vï D r*t>J-_I_ A V 5v'(-) lL + - 1 'l - - . ! iout -i A quoi Quelle sert la résistanee? valeur lui donner ? Circuits à diodes À orooes Crncurrs l a l Les utilisations variées: des diodes sont excessivement nombreuses et -dans la zone linéaire (O,O) bloquante qui voisine Ie point de i f(u),on utilise Ia diode comme générateur de bruit-Dans cette optique,on utilise également des Zéners juste dans Ie coude Zêner polarisées -Ia zone parabolique [donc non linéaire ] située dans Ie premier quadrant est utilisée pour la modulation,Ia détection et le changement de fréquence -La zone quasi linéaire correspondant aux grands courants située dans le premier quadrant sert au redressement-dans certains cas [logique],on considère la diode comme un parfait,soit interrupteur ouvert confondue Icaractéristique avec les xc0 Lsoit fermé [caractéristique confondue avec les v>oI, Etude graphique des circuits Soit un dipôle non linéaire polarisant de'tension la diode et d'une résistance- résistifs à diode. éIémentaire constitué d'un source diode dans Ie sens passant,d'une La caractéristique statique peut dipôle être obtenue graphiquement traduisant relâtion du €rn Ia V. + R-i = v o o I I i' quement la v 4-L i= o solution v d où v Cette construction consiste à pour chaque valeur additionner de 1'ordonnée,les abscisses de Ia de courbe représentant Ia fonction transfert à celles de Ia diode aux représentatives de Ia tension bornes de Rgénéral,on à cherehe Comme en quelle valeur calculer à Ie dans Ie courant s'établira peut trouver graphiquecircuit,on à partir de : est Ia tension de Ia source- Circuits L'intersection caractéristique fonctionnement à diodes de cette droite,dite de Ia diode droit,e de charge ,avec point fournit, Ie Ia de L'effet d'une variation de ra tension d'alimentation et celui d'une variation de la charge sont représentés en b et eLa différence points d'abscisse entre les ro et Mo représente la vareur ro - vo,soit la vareur de ra tension aux que r'ordonnée bornes de R tandis vareur tracé du courant traversant Ia caractéristique graphiquement son diode u = f(i)- du point le circuit-si ro R- i,et intersection 2 avec Ia Mo représente Ia r'on préfère,on a on a calculé caractéristique de La Circuits à diodes Résistance interne dynamique.On peut idéaliser et Iinéariser passante Ia caractéristique d e Ia di:ode aU moyen de deux segments de droite.Dans gomme Ia partie cette optique,on parabolique de Ia courbe,et on définit un point de seuil pratique VSp- 1 -F' - v.. !' La r é s i s t a n c e interne dynamique est I a caract,éristique di recte- Âr, 4-2 tgcx = avr I'inverse de la pente de 1 R. InE. Oyn- Lturrns DEFoNcrIoNNEr'tENT Courant direct, I, II s'agit de Ia valeur du courant auquel continu direct correspond Ia tension continue directe aux. bornes de Ia que Ia tension aux bornes de la diode diode-On se souviendra passante peut est de I'ordre du VoIt-On donc facilement par Ia diode en conductioncalculer la puissance dissipée Circuits Le constructeur sous risque fixe à diodes une vareur de rFr"* â ne pas dépasser de destruction- Courant direct moyen If(nV) par une diode peut affecter Le courant redressé une forme autre que }a sinusoïde-Dans ces eonditions,on ne parle plus de courant efficace,mais de vareur moyenne,La vareur moyenne ne peut dépasser ce}le prescrite par Ie fabricantCourant direct de pointe répétitif IfRN En fonctionnement alternatif,ra diode peut être traversée de par un courant façon régurière érevé de courte durée qui que la vareur moyenne du courant risque de la détruire,bien reste inférieure à rr(ev) -c" couranù est en général produit par phénomènes de des commutation ou de capacités-La par Ie constructeur vareur fournie dépassée Courant de pointe non répétitif décharge de ne peut être ffSft Toujours en fonctionnement alternatif,la diode est traversée par un courant de façon sporadique érevé pendant un temps très bref-ce courant risque de détériorer ra diode si il est supérieur aux normes du fabricant-La plupart du temps ce courant est généré à ra mise sous tension d'un système de redressement av€rc filtrage où Ia capacité de firtrage est trop importanteTension inverse de crête c'est la tension inverse sans qu'iI apparaisse claquage l Tension inverse de pointe de travail-VRWtl de crête que peut supporter ra diode aucun courant inverse de I début répétitir" VRR' En fonctionnement alternatif,la tension anode-cathode,lors des alternaces par une valeur négatives ,passe périodiquement pointe produite par par phénomène de de exemple un commutation-A cette tension VRRN corr€lspond un IRRl,t Tension inverse de pointe non répétitir" VRStt La tension inverse de pointe non répétitive ne q u e appliquée sporadiquement à Ia diode-Etle est mises sous tension ou à des coupures de Ia charge. 4 peut être due à des Circuits Temps de recouvrement inverse- à diodes -------- [reverse recovery time] Lorsqu'une diode est traversée par un courant direct,et gue r'on inverse brusquement ra porarité de la source pracée à ses bornes,la diode ne se broque pas instantanément-ElIe continue à raisser passer le courant dans Ie sens inverse pendant un bref instant. En effet,pendant période ra de conduction,)-a zone de jonction renferme des porteurs qui,rors de porarité, inversent I'inversion de leur mouvement et donnent ainsi naissance pendant un court instant [r: lo us] appelé temps de recouvrement à un courant inverse-La diode ne retrouve donc pas immédiatement ses caractéristiques de diode broquée-rr existe des diodes spéciales dites schottky dont le temps de recouvrement est de lordre de la picoseconde_ - Temps de recouvrement direct [direct recovery time] Lorsque la diode est en porarisation inverse, la zone de jonction est occupée excrusivement par porteurs des minoritaires-Quand on applique une polarisation directe,un certain pour que les porteurs est nécessaire minoritaires disparaissent de ra jonction et que eette dernière devienne conductriee-Le courant direct ne passe donc pas immédiatement de zéro à sa vareur de régime-L'effet est insignifiant aux basses fréquences,encore que ra protection d'un régulateur intégré trois bornes au moyen d'une simpre diode qui évite la naissance occasionnelre d'une tension inverse aux bornes du régulateur tienne du miracle-on qu'ir retiendra faut placer systématiquement une Schottky à cet endroit- - 5 Etude succincte du redressement Eruog DU REDRESSEMENT i . l RgonrssEMENT sANSFILTRAcE Le circuit présenté de base est celui en annexe. par opportunité,nous avons identifié la caractérist,ique de Ia diode à deux segments de droite VSp [point de Seuil pratique = OV I - l-a diode est considérée placé en série avec sa résistance La.tension aux bornes I 5 - l v = f t - i de R + p la charge comme un redresseur dynamique p- , R esÈ telle idéal que: s i e > O e t i = o d'où les formes d'onde indiquées de Ia tension redressée vaut s i e < O en annexe.La valeur moyenne Etude succincte 5 - 2 v = R - i = du redressement +r" E-sing.d0 = R + p E.R . ^-'n pi 2tr' L-cosulo + ÏR E.R + pj- ,r-F E n-[r * fl r on voit qu'on ne saurait dépasser Ie rapport L I o o,sr Redressement avec filtrage Le iaible rendemenù du montage précédent re rend impropre aux besoins de systèmes d'alimentation qui constituent continue Ia principale application industrielle du redressement-On l'amériore considérablement au moyen d'une capacité c placée en pararlèle sur la charge-on adopte re schéma présenté en annexe - o p c e =E c os ot I t RI ' I 2 Etude succincte du redressement peut supposer que la capacité de départ,on Comme point est peut supposer que I'impédance ces conditions,on infinie-Dans du fondamental et de la capacité est nulle pour les parties q u i I a d i o d e franchironÈ de ses harmoniques , êt que seule la donné que C est d a n s c h a r g e , E t a n t composante i circulera Ia placée e! parallèIe I a e s t c h argée sous une sur charge,C = n e s e ra conductrice d i t , I a d i o d e tension v ft-i-Autrement que pour une tension à la tension d'anode supérieure de q u i r è g n e a u x b o r n e s à I a t e n s i o n m o y e n n e de cathode égale d'introduire un angle de conduction C-On est donc contraint eo (b) I o= , tI 3 Etude succincte un Dans carroyage = i du redressement f(vd) on trace tl caractéristique B de Ia diode dans le quadrant simplifiée 1-On positionne Ia que Ia cou rbe A_ : e = f - cos( ott) de manière telle tension (o,o) moyenne v corresponde au point de Ia caractéristique de peut Ia diode.On ainsi déterminer I'angle d'ouverture pulsé Den déeoule la courbe en courant [- - e _o, -+ 0 _o] -- f t A Ia tension moyenne d'attaque de Ia courbe A [qui par correspond Ie biais de la courbe C de representative de Ia caractéristique du récepteur moyen i qui circule dans la chargePendant 5-5 périodes les de conduction,on E.cos9 = v. + ù = P.i o Par définition ,i . E r = p - [cos0 s-s i: - écrire + R-i = O pour € = 0_ et R-i o en conséquence,en substituant 5-4 peut est nulle] pente t/R un courant = E-cos0_ o dans 5-3 cosOo) ,. f*to E z T t- J _ , T - -[ c o s O - o c o s e _ -] d 0 # -[sinoo - oo-cosgoJ o on en déduit n =E - c o s 5-6 tg9o que eo 0 = f r 9 R o La tension redressée esÈ proportionnelle ne dépend que de f; o"t "t ; .. 1 et Ë Ie sYstème Ie biais fonctionne 4 de go-Si à E ,et le rapport p << R,alors en détecteur de crête- 0oo o v E Etude succincte En éliminant [ l I entre = E - cosO " _ p-i L e o - E on obtient E 5-5 et 5-6,soit, entre o fr-tsi.oo t = frp.i) . du redressement E e .cosO I o o - t 0 ,0 1 6 On constate moyen débité gue i- v chute modérément en 5 fonction du courant Etude succincte calcul du taux d'onduration du redressement "standard" avec une capacité i , vd I t e = E s i no t . lIl 't . I oo -E En réalité,la capacité c nfest pas infinie,et la tension v qui pas constante-pendant règne à ses bornes n'est les périodes pas passante,le où Ia diode n'est courant dans la charge sè fait à partir de la capacité réservoir et la tension aux bornes de cette dernière diminue doncOn supposera par opportunisme que p = O Au temps t = O,on connecte la source e = f -sin(alt) - Ua diode pendant Ie premier quart pour charger conduit de cycle la capacité C à une tension E2.. E-C'est d'ailleurs durant ce par courant laps de t,emps que Ia diode risque d'être détruite partir direct de pointe non répétitif-A de cet instant,la tension sinusoïdale d'entrée diminue et Ia. diode devient bloquante-La capacité se décharge alors de la au travers jusqu'à charge une certaine valeur El atteinte un temps ô passage par La valeur avant le de crête est suivante.fI Etude succincte du redressement que Ia chute évident de tension aux bornes de C durant par Ia de non conduction de Ia diode,est I'épisode fixé valeur de Ia résistance de charge ô dépend donc également de Ia résistance de charge-Si la charge est importante,ou si C est petite,ô est grand et El "petiËe",Ia est tension de sortie est alors très éloignée d'une tension continue-Le taux d'ondulation est grandPendant le temps ô,Ia diode conduit à nouveau,et recharge Ia capacité à Ia valeur de crête E2Soit 2-Av Ia , valeur crête à crête de l'ondulation- En régime,la quantité de charges fournies à C pendant I'épisode de conduction de Ia diode doit équilibrer la perte de charges à la résistance fournies R durant la non conduction de Ia diode-On aura donc: s-7 c-2Âv= J .tr - ôl = Ë -rt avec T Ia période du signal En négligeant ô petit taux d'ondulation 5-8 d'attaque. devant avec v ôl f T,on une évaluation la par excès du fréquence- 2RC-f Redressement æiii deux a l t e r n a n c e s - e = Ecosll que Ie taux On peut chercher à améIiorer Ie rendement ainsi d'ondulation en pratiquant un redressement double alternance qui permet,en Ie d'isoler outre,grâce au transformateur sans peine que réseau de Ia charge-on vérifiera 7 Etude succincte 5-9 Âv du redressement I 4 R C .f AméIioration du filtrage- Fil-trage capacité en têtePour diminuer l'ondulation,on est tenté d'augmenter C,mais on par I'importante pointe qui vite très limité de courant p r e m i e r apparaît d u lors cycle la suivant mise sous par p et tension limitée I bien que la pointe de courant soit par Ia résistance des enroulements du transfo I, On pourrait adopter une solution très simple qui consiste à de manière temporaire une résistance insérer à Ia sortie du pont redresseur.La résistance serait court-circuitée automatiquement par le biais de I'interrupteur de mise sous qui est un double inverseur positions-Cette tension trois y a une idée est reprise dans une série de montages où iI p r o g r e s s i v e montée en régimeplus Il existe d'autres solution éIectronfgues -L'une d'entre-elles consiste à ne pas utiliser de capacité de trop grande valeur et à limiter par Ia suite le taux d'ondulation au moyen d'un filtre LC'-La capacité réservoir C est située immédiatement derrière Ie redresseur le système , ê t "capacité est, dit, en têËe". I stabilisation au moyen d'une diode Zéner GÉrqÉnelirÉs suRLA srABILrsATroN que Une fois I'on dispose d'une tension redressée et plupart filtrée,on désire Ia temps du obÈenir une stabilisation de tension, La valeur de Ia tension de sortie constante est indépendante,dans des limites fixées,du courant débité résistance de I'a]imentation interne [ faible l a s o u r c e d o i t d é b i t e r u n J-Lorsque courant plus grand que celui pour requel elre a éLé conçu€r,plusieurs modalités de limi tation de courant peuvent se présenter-Ia régulation est inopérante,et la tension de sortie proportionnellement à I'excédent de courant à fournir t a r é s i s t a n c e g rande ] i n t e r n e d e v i e n t I -la tension de sortie est amenée à OV ,Bt Ie courant reste constant et égat à Ia valeur maximumprévueinterne devient infinie I ta résistance ] chute débité -dès que 1e courant maximum prévu est dépassé,un système tout ou rien coupe lalimentation qui doit être réarmée manuellement.Ce priori peut présystème à très sûr parfois senter de sérieux inconvénientsAi.nsi,après une panne de réseau,Ie pas système ne se remet en fonctionnement automatiquement- - - t peut ce comportement cependant être un avantage :c'est selon- - - -] Deux voies essentielles permettent Ia régulation de tension : -Ies sytèmes dits â découpage où I'on génère des créneaux de rapport cyclique variable.La valeur moyenne du signal fixe Ia valeur de Ia tension de sortie-Attention,ces sytèmes tout ou rien génèrent un bruit radio-électrique important-A éviter dans certaines applieations-la voie parallèle proportionnelle où I'on place en série sur Ia charge une résfstance variable- ou en stabi Régulateurs I isation moyen proportionnels série d'une diode Zêner et parallèle- Dans les deux cas,on part d'une source qui doit débiter d'une tension Ie courant demandé à partir plus grande que la tension de sortie désirée- pouvoir filtrée Dans le cas du régulateur série,Ie courant utiTe traverse le qui régulateur est assimilable une résistance série à puissance dissipée par le régulateur variable,La série vaut d o n c t- u _ U-._= *. . I -.-= -. . Plus la charge est ] source oes1re oebLEe importante,plus Ie système de régulation doit dissiper-On n'a pas avantage à ce que U=o,r."" régulateurs à faible chute sont relativement difficiles de tension [entre à réaliser, - - - O,5 et 1,5 V ] paraLIèle,Ie Dans le cas du régulateur courant débité par Ia source est le courant maximum demandé -Ce courant passe dans une résistance série fixe qui crée une chute de tension pour amener la de tension sortie à Ia valeur demandée-Le parallèIe régulateur absorbe Ia partie du courant non utilisé par Ia charge pour créer la chute de tension correcte dans la résistance série-On constate donc que moins Ia charge est par importante, plus le cou rant absorbé le régu).ateu r parallèle est grandpuissance dissipée par ce type En première approximation,Ia de régulateur vaut donc UJé=i.g- [ rr"* - Iabsorbé ] R é g u- S é r i e 2 stabil Alimentation isation stabilisée moyen d'une par diode On trouvera en annexe quelques diodes Zéner-On quatre paramètres : diode Zêner Zéner les caractéristiques caractérise une Zéner inverses de a u m o y e n de -Ia tension du coude zéner -le courant maximal inverse qui peut traverser Ia diode maximale ] I ou sa dissipation -la résistance dynamique de Ia diode gui traduit la verticalité de Ia caractéristigue -Ie coefficient de température de la ZénerOn remarquera que les plus faibles résistances dynamiques se pour des Zéners dont Ie coude est situé rencontrent entre 6 et 8V-Ce sont donc ces diodes qui présentent Ie coude Ie plus pour un abrupt et qui atteignent leur Èension de référence que les toutes petites courant inverse minimal-On retiendra Zéner peuvent dissiper au maximum O,3 W et que la dissipation peut atteindre des grosses Zéner montées sur radiateur 5okf- v2 (Vl 12.5 tyiricql volucl Ioml: 25 cC (J Ë,ÉH Ë,1# -LOY ' *c6v3 :c3v9 -c3v6 -c3v3 ,J l2 (mA) 3 stabilisation Soit le au schéma suivant moyen d'une diode Zéner -------- : où ENR est la tension filtrée non régulée,R la résistance fixe série et i gue peut Ie courant consommer la charge. i étant le courant maximal que peut absorber la charge,il que le qui faut nécessairement courant traverse R soit pour que supérieur à i Ia Zéner fonctionne toujours placé correctement faut être nettement en dessous du tiI coude I II faudra donc ,pour déterminer Ia valeur de R t,enir compte des conditions extrèmes de fonctionnement Ie ,càd envisager cas où ENR est minimale et i débité maximal -Dans ces conditions,Ie courant dans Ia Zéner ne devra pas descendre au dessous d'un minimum gue la puidsance dissipée par Ia D'un autre côté,on sait Zéner est maximale quand Ie courant absorbé par Ia charge est par Ia Zêner à ENR nul-On fixera donc Ia puissance dissipée maximale et i nul Soit un stabilisateur à Zêner de tension nominale aV supportant une dissipation maximale de O,6W alimenté par une tension filtrée non régulée de 24 V qui peut varier de + LO% La résistance interne dynamiquê ae Ia Zéner est de 5Q Dans Ie cas où Ia tension filtrée absorbé par la charge nul, 5 - f 7 U - = 2 6 , 4 r( est maximale et le courant 8 = 1 8 , 4 V puisque Ia dissipation maximale de la Zéner est de 0,6 W pour 8V de tension nominale,le eourant Zéner ne peut dépasser T z = o I- 6 s-18 ce qui rR\ 5- 19 permet -- 75 mA de déterminer L8'4 - z- R = 245 0 75-10 Si Ia tension filtrée ne vaut plus que 21,6 V (-10%) stabilisation la tension au aux bornes moyen d'une de R ne vaut plus diode Zéner que , UR = 2L,6 - A = 13,6 V- 5-2O Dans ces conditions,il IR = '# s-zL eircule dans R un courant de = 55 mA. Admettons que nous fixions un courant minimal inverse de 5 mA dans La Zéner-Dans ces conditions.le courant maximal qui peut circuler dans Ia charge est de 50 mAQuel est le dégré de stabilisation obtenu ? Les variations de ENR sont répercutées à la sortie dans le r - Le rapport de stabilisation sera donc de r + R r'ordre de 2% .Ainsi,des variations de + z,4v sur la tension firtrée donneront naissance à des variations de r'ordre de 50 mV à ra sortie régulée-Le coefficient de régulation est donc d e : rapport s-22 , Âv Vnominal - 50 ' 1o-3 ; a 6,25 - to-J Exercices on utilise des régurateurs de type BzyaS où la puissance maximale dissipable est de +oo mtrt.on désire obtenir une tension régulée de 6,2V et débiter un courant de 40 mA-La source de tension est une batterie au Cadmium-Nickel réalisée par empirement de I éréments de 1,3v nominaux dont, la tension peut chuter en fin de cycle à lV-Calculer Ia résistance série peut dissiper. et la puissance qu'elIe Pendant des temps très brefs I f ms ] non répétitifs,on désire débiter un courant de tOO mA -eue faire ? On dispose d'un signal strictement positif triangulaire dont Ia tension minimale vaut O,5V et la tension maximale L2 V-On désire réaliser un écrêtage par Zéner à 5,6V et 1OV .Comment procéder ? parallèle On fait débiter à un système de régulation à Zêner un courant plus grand que Ie courant pour lequel le montage a été calculé-Que se passe-t-iI-Tracer Ia fonctipn de transfert du régulateur dans ces conditions hors limites-Le système protégé est-il contre les courts-circuits ?Dans cette optique,quel élément faut-il surdimentionner ,et de combien ? 5 - -.J . .J. D- - - - - - - ----Lat_'r_, cl i od e Z é.rter - - - 1. :Z EhIER 1 Faire d'une Ie reLevé cliode Zéner. dyrramique de ( atttomatique) 1a caractéristique 2 Si la tension de forme Ia 1 Kn _5-j______r--5v: s!!'.>c à la l. itn V î:rv 'if) est d'attaque tension strictement sortie du montagie. ./, \ positive, déterminer 1a ouL I - - . - t _ _ . '--T'-- 1 K Q _---:---. -;\ )i- ' .L' L\ . s i:" >O t-- r l + '?r v ^ I ouL -.--.-...'+L ---J'- Dans ce derni-er cas, qll'avez-vous réalisé? de 15 V, que Ia d'attaque soit fixe et Admettons que la tension que un courant qui consonme charge ]a une Zéner 5V et Zéner soit est la puisse varier c e s c o n d i t i o n s , q u e l l e m A . D a n s e t 1 O O entre O p u i s s e q u e rôIe ? S o n Z é n e r L a de R Pour valeur maximale iouer p u i s s a n c e ? de La Zéner Quelle est Ia régulation de tension.La Vous vous trouvez devant un régulateur p a r a l } è l e p u i s q u e I ' u t i l i s a t ion. sur mise en est dite para}lè1e Réfléchir à un avantage un inconvénient vérif ier exlrérimentalement. 2. Donner les formes des tensions que et 10 V peak to peak ) V - ) Y - )Y- l-- / zzvL de sortie ;U d'attaque : symétri_ introduction au fonctionnement du transistor ----____ TnenstsroR.Eruor soMI'iAIRE DUFoNcTIoNNEI'IENT un transistor semiconducteurs par est constitué un de natures différentes NpN ou L'élément central BASE-ft est relié à qui porte Ie même autres éléments topologiquement ques-On les C O L L E C T E U R- I I sandwich de pNpest appelé une éIectrode nom-Les deux jouent des appelle rôles identiEMETTEUR et existe des s transistors où aucune différence n'existe entre Collecteur et c ( c E E c, Emetteur,mais en général iIs sont géométriquement différenciés pour améIiorer -f' Ie fonctionnement du \, transistor B B c E: '\./ E-C Historiquement,les chercheurs ont \/ d'abord développé les transistors au Ge qui sont prêlérentiellement I I I B du type PNP - Les transistors au Si sont apparus ensuite-Ces derniers sont habituerrement du type NpN-par opportunisme,nous donnerons les explications de base relatives aux transistors NPN. "plus En effeÈ dans cette grand" signifie " p r u s p o s i t i f " - Dceo n f i g u r a t i o n plus,res porteurs majoritaires Çgalement de r'Emetteur sont des éreetrons-L'explication s'en trouve aIIégée )e' Effet )Q)' transistor Essentiellement,un transistor est constitué d'une diode Collecteur Base,polarisée €rn sens bloquant que I'on fait fuirSoit polarisation le système de jonction représenté en annexe.La Base-Collecteur est bloquante,et le qui la traverse seul courant est un ' courant de fuite-Il exisÈe un moyen d'augmenter le courant de fuite II suffit d'injecter dans Ia jonction l Base-Collecteur,côté base,donc P des porteurs qui minoritaires sont des : éIectrons. que nous ayons par En effet,supposons un moyen guelconque injecté dans la base des e En principe,ces derniers que très ne peuvent rester ribres peu de temps-Ils qu'une ne peuvent éga).ement parcourir distance très faible avant de se recombiner avec un trou introduction au fonctionnement du transistor -------- majo ri tai re . dans une zone P Cependant,si ces éIectrons ont été injectés extrêmement mince,dont 1'épaisseur est inférieure à celle de dissémineront facilement dans Ia la zone de diffusion,ils jonction dans ces conditions,Ia PN Base-Collecteur,et diode ne pourra plus jouer son rôIe-Un courant de fuite important va alors naître Pour injecter les e dans Ia zone de diffusion B-C,on utilise Ia diode Emetteur-Base où Ia base est très peu épaisse-On polarise Ia _jonction E-B dans Ie sens passant-La majeure partie des e injectés atteindra Ie collecteur N-Dans quelle proportion peut montrer Ie courant de fuite augmente-t-il?On que dans une technologie classique où Ia zone P est très mince et où le collecteur déborde assez largement de quasi totalité I'émetteur,Ia des porteurs émis par I'émetteur par sont collectés Ie Collecteur-Pour un transistor peut estimer que,par exemple,gEZ des porteurs standard,on par injectés l'émetteur dans la base_ atteindront Ie qui collecteur-Les 2% restants sont les e se seront recombinés dans }a base avec les trous majoritaires-On dit que le coefficient c xd u t r a n s i s t o r de transmission vaut O,98La jonction E-B peut être polarisée dans le sens passant par p e t i t e le biais d'une tension très de I'ordre de O,3 à O,sVjonction Par contre,la B-C est pslarisée au moyen de Ia source extérieure E dans le sens bloquant,Tant que }a tension Base-Collecteur reste petite devant la tension Zêner de Ia jonction pas ,de risque de voir passer dans B-C,iI n'existe cette jonction de courant de fuite important.On constate donc que pour commander un courant qui circule dans une jonction p o l a r i s é e B-C en inverse au moyen d'une haute tension [de quelques Volts à parfois une centaine de volts suffit LiI d'injecter un courant sensiblement égal sous une différence de potentiel dans une jonction faible en sens E-B polarisée passant- [ Attention,ce courant ne passe pas dans I'éIectrode que de base--l-.Dans le montage présenté supra,on constate p o l a r i s a t i o n s p o i n t l'électrode de base sert de commun aux E-B et B-C-On parlera de montage Base commun€'les On peut bien enÈendu placer p o l a r isation sources de manière de montage différente. Dans Ie ci-joint,Ie système de polarisation est dit en Emetteur commun-Dans ce que Ia montage,on constate positive par base, rendue légèrement . rapport assure la à I'Emetteur polarisation passante_ de la jonction E-B-Une partie des e se recombinera dans la base,donnant naissance à un que la maieure courant de base,tandis jonction partie atteindra Ia B-C-donnant naissance à un introduction au fonctionnement du transistor ----____ courant éIectronique Emetteur-CollecteurOn a Les relations extérieures suivantes: 6-t 1 I e = f B + I C I IC = o-fE 6-2 ) rc ra I c ( 1 - = B [6-3] Le rapport entre re courant de collecteur et le courant de gain base est appelé en courant B-Dans re cas qui nous o c c c c u p e , c cgea i n e s t d e o , 9 8 / o , o 2 s o i t 4 9 - r l s ' a g i t d'un très mauvais transistor-En effet,on atteint couramment des p de 5oo,ce qui signifie que le coefficient de transmission est de r'ordre de o,998-A I'opposé, il existe des transistors vraiment exécrabLes qui suffisent cependant pour remplir des fonctions tout ou rien-rr n'est pas rare de rencontrer dans les circuits intégrés logiques des transistors dont le gain en courant est de l'ordre de 2 à S !!! Etant donné que le coefficient cx est en générar très proche de 1,de nombreux auteurs donnent à juste pour titre ra formule t6-31 Ia valeur suivante: B = 6-4 1 - c r et assimilent 6-5 It Ie courant de Collecteur au courant fondamentares suivantes d'Emetteur o IC s u on retiendra res règres i pour faire par rapport conduire un NPN,it à son Emetteur faut rendre sa Base positive pour faire par rapport conduire un PNP,il à son Emetteur faut rendre sa Base négative si on veut néeessairement obtenir faire Dans un transistor un courant de correcteur rî,ir d a n s r a b a s e u n c o .u, r- -a:n* E y. B = circuler conducteur,I,^ 3 = IE faut rc - rntroduction au fonctionnement Les phénomènes parasistes dans les du transistor transistors- Base-Collecteur Nous avons supposé que Ia tension n'avait jonetion sur fonctionnement de la aucune influence le Base-Emetteur-Ce point de vue est approximatif-En effet,si on fait varier la tension Base-Collecteur ,tout en maintenant Ie courant de base,on constate une variation du courant de part,Ia colLecteur-D'autre variation de tension de collecteur éga).ement . sur la résistance dynamique de la agit diode Emetteu r-Base D'autre part,Ie transistor est constitué d'un empilement de semiconducteurs qui présentent tous une résistance propreque si On peut également citer Ie fait Ie transistor est essentiellement une diode que I'on faiÈ fuir,il ne faut pas jonction que oublier Ia fuite de la Base-Collecteur existe,même en I'absence de courant de Base-Ces grandeurs parasites que dans doivent être connues,encor€' certains domaines d'applications,on n'en tienne aucun compteOn appelle courant de fuite collecteur-Base ICB. Ie courant de fuite de Ia diode Base-Collecteur mesuré en laissant I'Emetteur en L'airglobal On peut également mesurer un courant de fuite entre ensemble noté ICSCollecteur et Base - Emetteur reliés Le courant de fuite ICE. est celui que I'on mesure entre collecteur et Emetteur en laissant la base en I'airEnfin,lors de I'étude de Ia jonction PN,nous avons montré que la propagation des charges dans Ies semiconducteurs était moins_ rapide,surtout en ce qui concerne les trous,eu€ celle des e dans les métaux et dans Ie vide-On peut donc suspecter une Iimitation en fréquence des transistorsEtude pratique du fonctionnement du transistor- d'un transistor NPN dans On relèvera les caractéristiques 1e montage Emetteur commun par Ie biais du montage suivant: introduction au fonctionnement du t r a n s i s t o r : par On considère opportunité noeud-Dans ces conditions : 6-5 I C * f A + I f = Q 6-6 Vae+Vca=vcE Ie -------- . transistor comme un o ù I e < O L'étude expérimentare du transistor consiste à relever pratiquement res rerations qui rient res grandeurs VcE,vBE,rc puisque la connaissance de quatre variabres et re suffit à Ies déterminer toutesEn réarité,6-5 et 6-6 ne nous donnent gue des renseignements extérieurs sur Ie transistor,et il est évident qu'il existe dans ces équations des fonctions cachées qui décrivent re fonctionnement intime des jonctions. on procèdera de la manière suivante:on gardera une variabre fixe,on en considèrera une autre comme paramètre que r'on modifiera en suivant une progression arithmétique,et on relèvera qui ra fonction relie les deux dernières variabres-on obtient ainsi un réseau de courbes qui sont la prôjection sur un plan d'une fonction à trois dimensionsDe fait,on sortie I déterminera les caractéristiques = rc f (v^-) avec ra comme t 'cE' du réseau paramètre indépendamment deVr, Ie t(urr) I du réseau d'entrée I et celles I avec Vce eomme paramètre et indépendamment de Ic de et = et on les aménagera en un système de représentation graphique à quatre quadrants-On par gue peut verra la suite I'on considérer quadripôIe peut Ie transistor qui comme un par Ie biais d'une représentation s'étudier matricielle dont Ies coefficients sont susceptibles d'avoir une [paramètres] physique simplesignification Couronl d'entrée de sortie Tension d'enlrée 5 introduction on trouvera ci-ioint au fonctionnement les du transistor caractéristiques F i g .4 . F i s .5 . 6 d'un -------- BFY55 introduction au fonctionnement du transistor Soit un transistor les caractéristigues NPN XXXX donÈ on a représenté en annexe pour un montage émetteur commun: Examinons Ie fc réseau = f(VCe) avec rB comme paramètre- Il s'agit bien de la représentation dans Ie plan d'une fonction à 3 dimensionsSi on s'intéresse à la eourbe qui correspond au courant de que pour une tension base de 1OO gA,nous constatons de collecteur très basse, Ie courant de collecteur varie rapidement-Au delà du point A,Ia tension Vce étant de I'ordre pente de la caractéristique de o,l5v,ra rc = f(vc") diminue qu'au fortement.On remarquera fur et à mesure que Ie paramètre Ib croît,la pente des caractéristiques Ie fait également. Comme on Ie verra,il est loisible à I'utilisateur de se placer où if Ie désire dans Ie de réseau positions caractéristiques.Deux sont très particulières,Ies positions de type S et de type B- introduction au fonctionnement du transistor Dans re cas de ra position passe un courant important s,il dans que ra re transisÈor,arors tension Vce est très petite-Le transistor est donc parfaitement conducteur-On dit qu'il est saturé-on voit que pour saturer re transistor ir a farlu injecter dans sa base un courant rb qui vaut au moins 4oo uA-si on n'avait injecté dans ra base qu'un eourant de 3oo uA,oD n'aurait JAMATS pu dépasser 15 mA de courant de coI Iecteu r Dans re cas de la position B,ir existe une différence de potentiel entre colrecteur et Emetteur alors que Ie courant qui eircure dans re transistor est petit-ceci est normar,le courant injecté dans la base est très petit,le transistor est donc bloqué. comme on re verra par la suite,res logiciens assimirent re transistor saturé à un interrupteur fermé et pracent donc abusivement le point s sur r'axe des ordonnées,tandis qu'irs assimilent Ie transistor bloqué à un interrupteur ouvert et en conséquence placent Ie point B sur I'axe des abscisses -blocage ] _ : le transistor I voir infra en saturation Le second quadrant est un doublon des informations portées par,le quadrant l-on a en effet représenté rc = f(ru) pour Vce constant-on pu extraire aurait cette information en q u a d r a n t traçant dans re 1 une pararrèle à r'axe des ordonnées et en mesurant les coordonnées des inÈersections avec chaque courbe rc = f(vce).à rb constant-Etant donné gue pentes les des caractéristiques à rb eonstant vont en augmentant avec rb,ir est rogique que ra caractéristique rc = t(rO; une légère concavité Présente vers Ie bas-La = caractéristique rc f(ro) représente le gain en courant du transistor-on constate qu'en première approximation,le gain en courant est constant [ ]a caractéristique n'est pas très éloignée d'une droite le cas qui nous préoccupe,on l.Dans q u e p o u r u n I c d e 1 a m A , f b v a u t 2 . 5 , Og A , l e voit gain en courant du transistor est donc de 72quadrant Le troisième puisqu'il d'entrée décrit porte re fonctionnement = rb f(VO") du à réseau Vce constant-L'influence de Ia tension vce est tellement faible qu'en général,on ne dessine qu'une caractéristique-rr serait pourtant Grn principe très intéressant de disposer de Ia courbe Ib = t(UO"1 pour Vce = O qui est Ia courbe décrivant Ie fonctionnement de Ia diode seule Base-Emetteur-l'lalgré eette réticence,on remarquera sur le plan mnémonique que ra présente caractéristique générale I'allure de }a caractéristique p o uvoir d'une diode-On doit extraire du quadrant 3 une information qui est proche de ra résistance a r.ntroduction au fonctionnement du transistor -------- ', dynamique de la diode Base-Emetteur du transistor. quatrième de caractéristiques fourni, le le réseau Sur quadrant n'est pas représenté-On peut cependant s'en faire les caractéristiques facilement une idée générale-Puisque q u a s i m e n t q u a d r a n t confondues pour t r o i s s o n t t o u t e s l e dans peut conclure que Vbe ne dépend pas de des Vce différents,on principalement de caractéristiques Vce,mais Ib. Les du quadrant 4 seront donc des quasi horizontales se décalant vers le bas pour Ib croissantRemarque technologique fI possible qu'au laboratoire on ne dispose pas d'ampèremètre interne faible-Dans cette dont Ia résistance soit très placera des voltmètres optique,on à très grande résistance électroniques interne sur les [voltmètres ] en parallèle éIectrodes des transistorsLes grandeurs caractéristiques h y b r i des ] [paramètres du transistor En émetteur de représenter commun,on a I'habitude Ie par le biais fonctionnement de deux équations du transistor qui relient Vbe et Ic à fb et Vce-Les coefficients qui relient accampagnateurs une tension à un courant et une tension,et un courant à un courant et une tension sont dits qu'iI hybrides ou en h-Cet aspect fait un peu illogique paramètres existe d'autres dits en r ou résistants et des paramètres en y ou en admittance.Sur faut Ie plan pratique,il que les paramètres en h sont les plus cependant reconnaître utilisés Dans Ia plupart des ouvrages,on note vb"=hrl"-rb*htz"-v"" 6-7 = h 2 1 " 'rb * hzz.- v"" paramètres hybrides n'ont de en réalit.'ê,comme on Ie verra,les p e t i t q u e le point vaLeur constante dans un domaine entourant p r éférons de fonctionnement où 1'on effectue les mesures-Nous de loin I'écriture 9 introduction au fonctionnement aVb" = hlr"'ato 6-a  r" du transistor -------- + ht2"' Âu"" = h 2 1 " ' rb + hzz.' Âu"" hrr : Arc t9 h, (**),,=.,. h',:(PJ,,=",. tr _>J___ Arc tg ht x=-Arc hzr : (*),=",., hzz : (*),, rg hl2 l-,2 ="," pour éviter tout pédantisme,nous nous ralierons à I'écriture générarement utilisée en sachant que res formules portent en réalité sur de petits accroissementscomme nous d'entrée sortie le verrons,hll du transisto.,hlz sur r'entrée,hzL n-'est autre Le coefficient Ie gain que la résistance de réaction de ra en courant F,et hzz Iinverse de la résistance interne du collecteur,toutes choses que r'on peut suspecter en examinant les équations 6-8_ Si on reprend Ie NPN XXXX,et si on choisit un point de f onctionnement = sur ra caract,éristique rb l5o uA dans le voisinage de Vce = 1,5V ,IG = L2 mA,on va pouvoir dans le voisinaga immédiat de ce point étudier l'évolution de fc = f1V""; I b c o n s t a n t , e t e n s u i t e m o d i f i e r légèrement Ib- - -. Pour que On remarquera un carreau élémentaire du earroyage équivaut à O,5 mA verticalement et O,1 V horizontalement= 15O UA est La caractéristique fb située les entre carcatéristiques 1OO et, 2OO UAPour Vce = 1,5V,Ia caractéristique fb = 15O UA est située 3,4 mA au-dessus de Ia caractéristique fb = lOO UA et 9,1 mA au-dessous de la caractéristique Ib = 2OO pA-Les écarts sont en première approximation les mêmes,ce qui laisse supposer que dans Ie voisinage immédiat du point de référence,Ie décalage des courbes pour de petites modifications de fb sera 10 introduction au fonctionnement du transistor -------- '' linéai re - Si on augmente Ib de 10 gA,Ia courbe va se déplacer vers Ie 5 I haut de | 6,2 / ,O,5 mA,soit O,62 mA-La variation de par rapport courant de collecteur à la variation de courant de base qui lui a donné naissance vaut donc 62-C'est ce terme que nous appellerons F ou hzr. part,si D'autre on maintient Ib constant,et si on provoque un accroissement de O,2 V de Vce,on constate une modification de quotient de Ic mA soit O,33 m A -L e de cette 12/3) -O,5 par augmentation de courant collecteur I'accroissement de qui tension Collecteur-émetteur lui a donné naissance est nomenclaturé hZZ.-". coefficient est assimilable à une conductance et s'exprime en mho ou en Siemens-Dans notre cas,elle vaut L,65 mu I'inverse de 6o.6 Q.Ce ,soit coefficient représente Ia pente locale de la caractéristique pour fb = Ç Iégèrement croissante de Ic = f 1v.r""y Si on s'intéresse à présent au quadrant 5 représentatif des prendra Ie voisinage immédiat du caractéristiques d'entrée,oD = 15O gA.Dans ce point pour de Ia caractéristique Ib carroyage, on r€rmarqu€rra qu'un carré élémentai re f ait 50 UA horizontalement et 50 mV verticalement-On appréciera sur Ia caractéristique fb = f(Vb") I" point de rêiérence à Ib = 15O juste dans le = O,72O V-On voit qu'on est situé UA;Vbe gauche du point coude de Ia caractéristique-A de référence '.Vbe qu'à droite est constant, tandis le coude se termine- La petits méthode des tout accroissements est donc délicate à mettre en oeuvre-On choisira en conséquence un accroissement de loo UA centré sur Ib = 15o pA-On apprécie AVbe à l2/5f de 20 mV-Nous définirons divisison,soitle coefficient hff comme étant Ie quotient de Ia variation de la tension Vbe par La d e I b D a n s l e c a s n u mérique variation envisagé ,cette Q I I v a u d r a s ' a g i t dynamique résistance 2oO de Ia résistance qu'iI de Précisons s'agit Ia d'entrée du transistorp o u r résistance d'entrée la sortie €rn court-circuit-En remarque que effet,si on reprend Ie groupe de formule 6-8,oî p a r p e u t I'on ne ht, Ia méthode des accroissemenÈs apprécier qui que pour autant que Ie terme en ÂVce disparaisse,ce présente une que Ia sortia signifie est ern CC ,càd qu'elle ÂVce-Physiquement,il impédance faible excessivement aux par une que le collecteur suffit alimenté simplement soit présente qui source de tension impédance faible donc une ] I 11 introduction Âub" = hll"-alo + htz"-4v"" = hzt"'arb + h22"'Âv"" 6-A Âr" fl au fonctionnement en est de même pour doit être annuléQuant à h-- ,oD voit zz Ia du détermination que pour Ie -------- transistor de déterminer B = par h^. ZL la où ÂVce méthode que Ib soit des accroissements,il faut que Afb soit nul,soit constant-On parle de circuit d'entrée ouvert bien que Ia base soit bien entendu polariséeOn peut comprendre pourguoi le groupe de formule 6-A est de loin préférable au groupe 6-7 II reste le cas de htZ qui doit lui aussi êt,re relevé à circuit f(V"") d'entrée ouvert-On a vu que la caractéristique Vbe = q u a s i p a r a l l è I e s à des correspondait à I'axe des abscisses-Etant caractéristiques,Ia que donné dans fonction Ib = f(Vb", pour une seule valeur les caractéristiques le n'est réseau déterminée de que de Vce,et que dans Ie premier quadrant = fV"") pas appréciées Ic sont ." au-dessous de Vce = 2V,iI est entendu illusoire de bien quatrième quadrant-Sachons vouloir tracer le réseau âu simplement que htZ. est une grandeur sans dimension qui est de 1o-4 à 1o-5 ] qui excessivement petite [de I'ordre de la tension de sortie I'influence de Ia variation tension d'entrée- chiffre sur la Remarque '1e'' un Formellement, nous au rions dû placer .systématiquement que Ies paramètres étaient pour signaler calculés en indice le utilisent nombre d'auteurs en émetteur commun-Un certain " ' " signe hi" oour hrz. ,etc ,soit Autres paramètras une toujours le cas de I'EC,on peut définir En envisageant qui est implicitement grandeur supplémentaire contenue dans "pente" du de la s'agit la valeur des paramètres en h,iI quotient de AIc par AVbe transistor,ou,si I'on préfère,le pour Vce constant.On extrait immédiatement du groupe 6-8 : L2 introduction au fonctionnement du transistor h zt. 6 - 9 s : htt" Dans Ie cas qui nous préoccupe,cette pente serait 62 = cre ' zoo 31O ne/V qui signif ie q'une modif ication de lO ,mV de Ia tension injectée sur ra base induirait une modification de courant de collecteur de 3,1O mA à Vce constant e'est à dire parfaitement dans Ie cas d'un transistor conducteur. comme on l'a vu supra,on peut porariser res jonctions selon trois méthodes,Emetteur commun,Base commune et collecteur commun-on peut rapidement déterminer les paramètres en h de Bc et cc à partir des paramètres en h" au moyen de formules approchées - 15 paramètres 6- lo du transistor -------- en BC- hybrides : A V . eo fonctionnement au introduction h r rb - a t* hrro'Âv.b h ztb -  r= hrro'aV.b base commune,on montage Dans le sur transistor Ie attaque le collecteur utilise I'émetteur,on sens des de sortie-Le comme électrode Ie sens des courants i'ndique fLèches transistor le pénétrant dans cette comme un noeud-Dans considéré Ie représentation, < Ore une mise en conduction,Veb Soit à détermr ner IID échapper en faisant lourde mesure est une extrêmement suivantthll= formelle physique peut -on h--, à une démonstration Ie de la raisonnement résistance en EC ou en 1'on soit du transistorrPhysiquement,clUê d'entrée qu'i.l é m e t teur b a s e d i o d e l a m ê m e d e t o u j o u r s BC,c'est q u i était b a s e d e q u ' e n c o u r a n t l e E C , c ' e 5 t a l o r s s'agit-Hais qui d ' é m e t t e u r c o u r a n t l e B C , c ' e 5 , t c o m m e r é f é r e n c e , e n utilisé r é s i s t a n c e I b L a f o i s a p p r o x i m a t i v e m e n t v a u t F I'est,Or,Ie d o n c : d ' a u t a n t , e t d i m i n u é e t r o u v e s ' e n d ' e n t r é e apparente htlb 6- 1l Le = paramètre F., hZtO htt" h2L. nous extrêmement est familier-C'est le de €'n parlant que nous avons introduit paramètre premier le entre du rapport en effet s'agit transistor,puisqu'il p l u s c ( ou d'émetteur et Ie courant de colleeteur courant -cx étant donné que nous considérons exactement dans notre ca5 sont courants les comme un noeud où tous transistor le convergents-On aura donc 6- 12 h z r o = - c - p - 1 + F L4 paramètres ner sont des deux autres Les valeurs que par le biais excessivement de démonstrations l-es ordres de grandeursimplement retiendrons h- ^. )-'lD qui est le quotient de la sortie néaction la que ce paramètre montrer de -------- du transistor au fonctionnement introduction AVeb du montage est beaucoup par calculab}es lourdes-Nous ÂVcb chiffre peut sur son entrée-On que hr.= plus petit -on que la sortie n'a signifie Zêro-Ce qui la vaLeur adoptera donc utilisera aucune inf luence sur L'entrée-ûn virtuell-ement qui de susceptibles sont réactions Le montage BC quand les inopportunes-Le sont générer oscillations en des mises aux techniques réservé excl-usivement montage BC est presque U H Fhr-ro - 6-13 Le o même type de se démonstration de la résistance est I'inverse au moyen de : I'apprécier de pour représente sortie du hZrO montage,ûn qui peut L 6-14 hrro = + que l-a base commune,alors montage le dit,dans autrement par F par rapport du montage est divisée d'entrée résistance par F-On est multipli.ée de'sortie au montage EC,la résistance par physiquement Ie pu Le résultat approcher aurait j o n c t i o n s en EC bien des mâmes s'agit raisonnernent suivant,Il donc est du transistor fonctionnement en BC-Le et différentes-La de mesure sont les modalités identique-Seuls de Ic qui. modificati.on à Ie constant-Les mesurer en BC se fait sont donc de de Vcb une modification à la sortie induisent première q u ' en on considère de ^Ib-Si de grandeur L'ordre que Vce g r a n d e u r de du même ordre Vcb est approximation égaux en EC et BC de ÂVc- - - pratiquement la production ,alors plus en BC soit que Ia résistance de sortie F fois imposent grande qu'en Ecqui que le montage BC présente deux caract-éristiques ûn voit est d'entrée résistance peuvent inconvénients:sa des être g r a n d e Ë t a n t donné que est de sortie et s,a résistance faible q u i dans circule même courant le approximativement c'est que Les résistances d'entrée et le collecteur,et l'érneLteur différentes fort sont I Rort et de sortie d'autre notera appréciable-on en tension 5u5,pecterr un gain partque1'appIicationdumontageBCauXUHFavecRin<< Rout et qu'il accordés sont des circuits et de sortie d'entrée a c c o r d é g r e f f e r c i r c u i t I e [ au moy€]n s u r s e d'aller suffit 15 i nt roduction i ntermédiai re circuit prise d'un I'impédance transistor hybrides Paramètres - AI. ô hr z" - ov*. ^r - h.^Z _ L C - aro hrr.- av*. IIC E on compare à 6-a hrr---atb + hr2*-ou"= AI h 2 1 *-A rb + hzz*- Âv.* 6-A c immédiatement on constate h r r . - 1 + h ' r = = l + F - 6-17 hrz. = hzz* ce qui hrr" quant à constant,la facilement 6-L9 hrz. ou du soit=hzL.=h21* est de htt.,iI faire faut,pour la Âu", mesure'que que Ie transistor soit dit O,autrement vaille peut quasiment ces conditi,on5,,on conducteur-Dans et C,et donc : 6-14 fa I cel-le que: 6-L6 pour capacitive à égale : AV. DE ou est transistor en CC- = ft-- 6- 15 si selfique accordé ^V. DC du au fonctionnement parfaitement E confondre = h11" hr'",étant que donné Ia mesure jonction étant base émetteur que vb. * o 'et dans ces montrer = t L6 se fait passante,on : conditions à IO peut l"léthodes de pol-arisation transistor d'un ----- . FoNDAMENTALES MenTPULATioNS en I'oscilloscope avec Se font manips les Toutes Ia même Ligne de base OV pour les CONTINU,en utilisant identiques sur les deux voiestraces ,et des calibres le montage suivant Réaliser : quand conducteu est-il I socoe so"l" ' t v a ": 'L;-- ^ < quand \ , ,.uot ;1 - -i,t o K1fi J \:l}/ i in 3V syn. ; r? saturé ? Ie transistor est-iI sonde 2 5,ur Ia base si on supprime cette Ia Réaliser ? -Conclusion ? résistance suiva-nte manipulation ::i::"t"t? est-iL , J___+12v ! tl -)' ----1I j Bc54e L ) \T1./ --tn 3v sYD' Â-* I l3'3Ko T I ? résistance Ia la base ? Que risque-t-il : - _ bloqué signal quelIe du est Ia Phase p a r de a u s i g nal rapport collecteur p h y s i q u e m e n t base ?Justifier Ie rôle de Justifier placée avec en série Ia Placer d'arriver est-iI transistor Ie t o't \. mode deux saturê quand est-il *ansistor est -iI du au signal signal ? bloqué ? Ia Déterminer Phase par rapport d'émetteur sur la base injecté de n'est-on Pas obligé Pourquo i a v e c en série placer une résistance la base ? l"léthodes Réaliser run I i de polarisation la manipulation suivante d'un transistor ----- : ft n'y a pas de résistance de I imi tation, ni dans I ' Emetteur , ni dans le Collecteur.Le transistor ne pas d'être risque-t-iI détruit ? En déduire qui une manipulation permette d'afficher Ia valeur de p sur un multimètre digital- )., q; , t ^ ,(U I : On trouvera en annexe un schéma de régulation de température d'enceinte à quartz selon Ie mode tout ou rien-Le capteur est un thermomètre à contact,et l'élément chauffant est qui Ie transistor T2 est fixé directement sur I'encein:ue-T2 n'est accompagné d'aucune résistance de limitation.Le montage peut dissiper lOW-Justifier le fonctionnement,et calculer la valeur de R- +12V ]--4 tTKA tsc54 9 Cat"uter Ia valeur permette d'amener le satu ration - de Rb transistor qui à --r | | 2,zKn L-- -fL---d\-'r,ÏY t ----L- que Sachant Ie transistor est par alimenté u n ' dcer é n e a u dont 1 'amplitude s'étend O, 2 V à 5 V , justifier Ia présence de la diode pu la placer Aurait-on à un autre endroit ? - Méthodes de polarisation Réaliser le montage _ -_ a __-_ _ rl2v i -._____ /':^ rJ tBC549 \5/ i l r sÈrlcteEent D o s1 l i f - ' - i ? 'ô- U : d'un transistor -____ su i vant . Le signal d'attaque est une sinusoïde stricùement positive dont l'amplitude de crête vaut SV-euelle est la relation phase de entre entrée et sortie ? Suef est Le rapport d,amplitude entre Uout et Uin ?Faire varier Uin en Ie maintenant strictement positif .Que devient Uout ? Que vaut gain le en tension du montage ? Dans ces conditions,quel est ]'intérêt du montage ? En suivant un raisonnement simple,déterminer Ia valeur approximative de I'impédance d'entrée du montage- RéaLiser re montage suivant-L'attaque de ra base se fait au moyen d'une sinusoide strictement positive dont on fait croî.te ra vareur crête à crête-f,artir d'une sinusoTde qui fait Zy 0 Visualiser Out I et o,ut Z Conclusions ? Justifier particulièrement tout la - -__, valeur de I'amplitude +lzv de Out 1Que vaut Vce ? i 3, 3 K n Y N 'est-ce pas F o u t l bizarre,puisqu'on ^ "que - ---\t'/T Y \ Bc54 e s t i m e l o r s q u ' u n e transjstor est -l--> out 2 ^ ^,, ^ conducteur, il se comporte idéalenent " I ip .o s"i rt l f. t " * ' . t J t ' ' * n comme un interrupteur fermé ? i l Faire croître --l - ----.r_= Ia valeur de Ia sinusolde.A partir de quelle valeur de cette dernière le transistor est-il saturé ?Que se passe-t-il à partir de cet instant si on fait encore croître L'amplitude du signal d'attaque - Justif ier grand avcrc soin.. Donner une application particulièrement intéressante de ce montage - 3 de polarisation Méthodes d'un transistor ----- DnotrE DE cHARGE Soit Ie montage émetteur commun suivant: peut son fonctionnement se ramener à la considération suivante :on injecte un courant variabl-e dans -la jonction que R ne sojt BE-Pour autant pas trop grande,il circuLe dans -le collecteur un courant Ic : F-lO, Toute modification de Ib induit une nodification de Ic qui se traduit aux bornes de R par une modification de Le fonctionnement donc satisfaire -Ies lois traduites tensiontransistor + résistance de fonct,ionnement du transistor par un réseau de caractéristiques -la loi d'Ohm qui règle le et qui peut s'exprimer par L'éùorution quadrant fc de collecteur fonctionnement de Ia :E = V_" + R-Ic- du courant dans la charge se traduit = f(Vce) par une droite passant par poi nts sont charge dans re les deux V c e = E p o u r I c = Q r c = à Cette droite s'appelle fonctionnement du montage sur cette droite en un collecteur du transistor- qui doit pour Vce = Q point droite de charge-Le de + résist,ance est situé transisÈor point qui dépend du courant de Soit comme exemple,le cas d'un transistor alimenté 12V avec une résistance de charge de I KQ- 4 sous E = - Méthodes de polarisation d'un transistor ---_- SysrÈHssDEpoLARrsATroN La première idée,est qu'en faisant re choix d'un rb, on détermine point le moyen de fonctionnement du transistor-c'est autour de cette valeur que rbo l,on modifiera Ib,donc Ic et en conséquence VceOn fixe Ibo en reliant de I'alimentation au résistance R, t = t * , be t Ia base moyen on injecte au +E d'une sur Ia base,pât^ le biais d'une capacité, Ia composante alternative qui permettra de faire excursionner fb autour de Ibo-Cette manière de procéder conduit invariablement à des catastrophes En effet,si on impose le courant de base,on peut avoir d'importantes variations de courant de collecteur en fonction de ra température,ou surtout en fonction des variations de F du transistor-Ainsi,poUr le BC549,le gain varie entre zoo et AOO - - - -ce qui laisse supposer gue le montage ne fonctionnerait qu'avec uN 8c549 dont on aurait correctement mesuré F et pas avec un autre Comme on Ie verra infra, iI faut Iaisser ce type de porarisation aux montages qui travairrent en saturation La sorution idéale consiste à fixer ra vareur moyenne du courant de coLreeteur pouÉ que point re moyen de fonctionnement se.trouve exactement à r'endroit désiré sur ra droite de charge. En réarité,on va' fixer re courant moyen d'Emetteur-rI existe pour ce faire plusieurs méthodesSoit le montage présenté en annexe où e est la source dont Ia résistance interne vaut que si r- [rappelons r est de courant,tandis que si r est <<,il s'agit d'une source de tension l Afin d'assurer Ia conduction du transistor,il faut que son potentiel d'émetteur soit inférieur à son potentiel de base-Comme en général la source n'est pas munie d'une tension d'offset variable,oD. alimente au travers d'une résistance R1 r'émetteur du transistor au moyen d'une source négative -E'.En admettant que e n'ait pas une amplitude crête à crête trop grande lde I'ordre d'une f raction de vort], orr peut 5 Méthodes de p o l a r i s a t i o n ----- transistor d'un ', toujours maintenir un courant d'émetteur fI faut bien entendu que la souree e travers de r un courant de base approprié que la tension aux bornes de r soit Io si Rl = E' Io puisse fournir au qui vaut fo / F et Exemple Soit un 8C549 où g = 5OO alimenté en 12 V par le biais d'une résistance de charge de lKO.On désire au moyen d'une source annexe de -6v,fixer le courant fo à 6 mA,ce qui va f j.xer la tension moyenne de collecteur à 6V. On placera donc en série avec I'émetteur une résistance proche de OV de lKQ -Le potentiel d'émetteur est ainsi en ayant un transistor conducteur-Dans ces , tout peut espérer amplifier conditions,on un signal de base pas trop ]oin symétricue qui n'excursionne du potentiel pas pu faire de 1a masse [ce qu'on n'aurait avec un transistor où 1'émetteur est relié à la masse l Le courant de base vaut donc Io / B = 6-LO-3/ 5oo = L2 pAgénérateur Comme la relié à Ia base débite sur 1'émetteur,càd sur Ia source de tension annexe -E',iI faut que Ur qu'une résistance On constate de 47 KQ ,beaucoup plus grande que plupart Ia des résistances internes de générateurs,placée en série avec la base n'induit qu'une pârfaitement chute de tension dans r de O,56 V , compatible avec Ie fonctionnement du montageprésente Ce montage toutéfois un inconvénient -Les modifications de tension de base se répercutent en valeur puisque Vbe .J O,provoquant d'amplitude sur l'émetteur une <rprès,ces modifications modification c o e f f i c i e nt de Ie-Au se retrouvent sur fc -Or,Ia résistance de collecteur est égale à que I'amplificateur la résistance d'émetteur- Il s'ensuit p a s , S i n'amplifie faut ce n'est dans le rapport cx âr 1-Il q u e toutefois en noter si a pas amplification if n'y y a bel et bien une amplification tension,il en puissance puisque fc est F fois plus grand que Ibde Ia vient Le manque d'amplification en tension l r q u i c o n s t a t e contre-réaction maintient Veb O-On d'émetteur p r e n a n t qu'on devrait pouvoir améliorer u n e la situation en p e , t i t e p T u t ô t d e résistance d'émetteur et une résistance plutôt grande,mais va collecteur cette manière de procéder à I'encontre de la stabilité du montage-En effet,si,sous a I'effet d'une dérive thermique,Ie courant Io du transistor p o t e n t i e l a tendance à augmenter,le d'émetteur du transistor tendanee à se rapprocher de son potentiel de base,rendant la ainsi le transistor moins conducteur-Bien entendu,plus de Io résistance d'émetteur est faibLe,plus Ia modification doit être importante pour corriger la dérive thermique. - -. Méthodes de p o l a r i s a t i o n d'un transistor ----- introduisant une en ia situation améIiorera On et non pas en d'émetteur 5,eulement en continu contre-réaction parallèle place sur en Ia faire,on ce alternatif - Pour q u i p r ésente une faible une capacité d'émetteur résistance présent sur I'émetteuralternatif impédance pour Ie signal Enpremièreapproximation,onpourraitcroireQueZ"<< Comme on plus Ie verra restrictives plus _ 'zc loin,les h . lre conditions sont beaucoup entre de potentiel la différence Bien entendu,on peut assurer p o l a r i s a t i on source de au moyen d'une et émetteur base plus qui,placée d e r n i è r e dans Ia base,rend cette en série que g é n é r a l , c ' e s t q u e positive d'ailleurs ainsi I'émetteur-En g é n é r a t e u r s p r o c è d e m u nis sont au laboratoire où les l'on variabled'une tension d'offset de conditions Dans ces d'émetteur tension fonctionnement,Ia proehe de +p,êt très est toujours de Ia à crête I'excursion crête p e u t v a l o i r ne tension de collecteur au maximum gue E - p -On peut donc en que montage Ie si déduire amplificateur est un montage d'entrée pourra fixer sans problème où e ((,oh que +p à approximativement E/2,tandis de un montage est montage si le g é n é r a l , sortie,il faudra euê,en t'e I p . 3 E symétrique signal un Pou r peut générer quelconque,on I'offset d'un moyen au localement Pont à R3-R4 -On va superposer diviseur t e n s i o n la continu I'offset au moyen d'une capacité alternative faible présente qui une impédance pour Le signal alternatifdifférents des détermination La d'un compromis-Dans relève éléments ce type de schéma,Ia base constitue gue tension la un noeud-On sait est quasiment égale à Ia d'émetteur " Ie de base,avec tension F.fb'on que Ia résistance peut donc déduire est proche de du transistor d'entrée F .n I. - tléthodes de polarisation d'un transistor ----- avec résistance se groupe en parallèle Vu de La base,cette former Rin vue du R4 pour du pont R3 et Ies résistances géné rateu r . par rapport que Z^. doit être négligeable à donc On constate u r I r + R i n ] dans général, Ia reportée Ia résistance d'émetteur En pour éventuellement de base est fort éIevée connexion ,sauf faible-On de puissance où F est relativement les transistors peut par opportunisme la négliger. problème R4-Leur de R3 et de détermination donc Ie Reste de base de la de polarisation est fonction tension rapport part que le courant de base absorbé faut d'autre désirée.fI pas de modification de polarisation du point ne provoque gênéral,on R4-RJ un dans Ie pont fait circuler calculé-En qui vaut entre fixe les valeurs 5 et 10 fois lb-Ceci courant ? minimales des valeurs maximales de R3-R4-Qu'en est-il qui est fixée présente d'entrée une résistance Le transistor par Ie report d'émett€tur-Cette sur Ia base de la résistance de ne pas la essayer éIevée.II faut valeur est relativement par Ia de R3 et de R4 sur dégrader Ia mise en parallèle grands donc Rg et R4 aussi connexion de base.On maintiendra que IpoI que possible pour autant > 5 à lO-Ib- 8 impédances d'entrée et de sortie EC,CC,BC ---- en IupÉnerucns o'nurRÉE Er DEsoRrrgENEC.CC.BC. que paramètres On a vu supra les en h permettaient de calculer Ies résistances d'entrée et de sortie Iimpédances] d'un transistor nu )-orsqu'une des grandeurs d'entrée ou de part,Ie sortie était maintenue constante.D'autre transistor pas chargé et l'impédance n'était de la source n'a pas été prise en compteComme on le verra,I'étude des impédances d'entrée et de sortie d'un transistor fonctionner est indépendante du type de montage- En conséquence, nous grandeurs indicerons res "a" "attaque" d'entrée en comme et les grandeurs de sortie en "s" .. Puisque Ie transistor est étudié en fonctionnement réel, ir faudra adjoindre paramètres aux équations avec hybrides une relation décrivant le fonctionnement de ra sortie ou de I'entrée, groupe au"=hlr-ai"+htz-au= t1l oi==h21-Ai"+hZr-Lu= l2l 6-20 ^V = S ^V = a que selon I'on R-^i r.Âi étudie ou tsl S [3'] a I'entrée o u I a sortie Calcul de I'impédance d'éntréeInfluence de Ia résistance de charge sur on joint I'impédance à tll tsl du montage. et d'entrée Lz) Àu"=htr.ai"+hrz.au= t1l Ai= = h2L- Âi" l2l AV S = - R-Ai + hrr- A, = S par substitution de.[5] dans l2l de [Zbis] dans [1],on trouve: Âv 6-2L Z a = AT R- h 1 2 . h 2 1 = hll 1 + R-hzz t3l et impédances d'entrée on vérifie paramètres et en E C , C C , B C - - - - de sortie que si R - o,comme dans.re = ht1 hvbrides,Z" cas de r'étude des l.lontage EC. Dans le cas de r'émetteur commun,tous res paramètres hybrides positifssont Il en que résulte si R augmente,Z" diminuera Iégèrement-En effet : z^ = hll h - tz' hz, Ê + h z , où le qui numérateur amène la I'infini à e x t r è m e s ,-h , , ll proche est modification une de de z^ pour centaine peut être LO-z divisé et hZZ.i 50 gS,ce R passant d'ohms-Dans de o à les cas par Z- Hontage BCdans Ie montage BC,si on prend re montage Ec comme référence: htt est divisé par F,h2r= -t ,n* o O et hZ, par F-gn conséquence,Z" augmente légèrement est divisé si R passe de O à l'infinil"lontage CC si on prend toujours hff restent identiques I'Ec .r _g,hz z et comme référenc",h2, tandis eue hr, 3. l,ce qui amene pR z^ = hrr + - + 1 R.hzz on constate que pour où 1o-5 , des hzz < to-4 valeurs de R proches de 1 0 -,l e se co n d ter me r este pr oche de fr qui es t b e a u co u p p l u s gr and que hr r - on peut donc associer l a valeur ÊR à I'impédance d'entrée en CC,ce que l,on pouvait d'airleurs supecter-En effet,en cc,ra tension d.'émetteu r est approximativement ia même que la tension de base.or,il passe dans l'émetteur un courant p l u s g rand que celui de base- L' im péd.n". P fo i s en sé ri e a ve c l a base est donc appr oxim ativement p foi s plus grande que celle d'émetteur- 2 Calcul d'un amplificateur classe A en montage E-C ---- Typical behaviourof collectorcurrent versuscollector'emittervoltage I6 (mA VçE(V) vcE(v) F i s .3 . Fis.2. Ig (mA) Typical behaviourof collector current versuscollector-emittervoltage 3 Calcul d'un amplificateur classe A en montage E-C ---- 7208556.1 102 Iç (mA1 10 '' qrc2L- ro-' 1 o 3r g ( p A ) 1 o ô Bose current versus collector current =svi+-r TTlli VcE ri :2sl9llilI iriit _lljtI Ig (FA) lOe CaIcuI d'un amplificateur classe A en montage E.C ---- Iç (mA) D2 Iç (mA) F i g .1 1 . 5 Calcul d'un amplificateur classe A en montage E-C ---- l03 Tj = 25oc hie rBc107B 2J BCToEB L B C ' r 0B9 (krI) 102 IC (mA) 1000 hfu Tj =25"c f = lk{z tvoicol volues 500 300 108C 109C 200 r07B 1088 i09B l8tâl 100- 10-z Fis.19. 6 calcul 103 hre 0o-4) d'un amprificateur r' t B c l 0 8c 1 B C l 0 9C classe A en montage E.c Tj= 25oC B r Bcr07 B 2 { BCr 08 L B C 1 O 9B lo2 103 ho" Vçg=5to10V f =lkHz (po-r) lo2 B C r 0A 7 B C t 0A 8 ---- Calcul d'un amplificateur classe A en montage E-C ---- que Admettons placer nous désirions nous au mirieu des q u e caractéristiques,et donc I max vaille 4 mA. On aura donc: Rl + Rc = sKQ On va séIectionner le courant de repos de collecteur I ou d'émetteur résistance de lKQ.La résistance I au moyen d'une de collecteur sera donc plus La valeur standard la proche,soit 2,2 KQque la on vérifie au passage résistance de collecteur ne pas ]e courant puisque limite d'émetteur 22OO - Z.LO-s= 4,4V y a aux bornes de l'émetteur .Comme il que le 2V,on constate jamais à saturationtransistor n'arrive On peut potentiel dès lors fixer qui permet le de base d'avoirlco=2mâRz C o m m e V b e ! O , V b = 2 Y , B t - 2= = o,166 L2 Rz*Rs on vérifie dans Ia soit dans fonction deuxième = f(t") hf" = Ic En conséquance,fb Donc, f pol r: 66U4. t2 Rz * Rg = re : / quadrant que pour F = d,6 181 KQ = rc f(ro) ,soit = Z mA,F o JOo Io UA- on standardise à 18O KQ 66 - LO-6 Rz = 1 8 o - l o g - 0 , 1 6 6 = z 9 , 8 soit de 2LO KQ qui un total KQ- qu'on standardise permet un IpoI = à 30 KQ L? = 5 7 u 4 21O:1O5 la pente du transistor on apprécie sur est donc de s _ graphique Ie hi" p htt = t(t") la valeur de hr, à 4500 On en déduit que s = 0,066. G=0,066.2200=L46Ve étant fixé à 2Vec,on ne dispose que de 10 V d'excursion crête à crête pour Ie signal de sortie-L'amplitude crête à crête du signal d'entrée ne pourra donc dépasser 68 mVVérification Sur Ia fonction le courant Ic = f(v"") de repos pour Vbe = Ç ,oh remarque que : de colleeteur de 2 mA,il étant CaIcuI d'un amplificateur classe A en montage E-C ---- au moins une différence de potentiel existe de 620 mV droite de entre B et E-On positionne la charge-On qu'une excursion pour constate de 1O V de Vce se produit de la tension de base de .J 585 mV à â' 650 une excursion pour 65 mVmV soit arque pas Dans Ia réalité,le montage fonctionne ne seul - Il qui présente attaque un montage qui Ie suit une eertaine que Ie montage suivant impédance d'entrée -Admettons soit identique au montage que l'on vient d'ét.udier au point de vue polarisation choix et du courant de repos-Admettons que la que I'on également capacité de Ii.aison calculera infra ait une impédance à nulle Ia fréquence de travail-Dans ces conditions,il en paralLèle viendra sur la résistance de collecteur de 3,3 KQ ,les deux résistances de polarisation,soit que respectivement 18O KQ et 30 KQ,ainsi Ie h.. du transistor suivant,Ia résistance de l'émetteur du I-I. pas reportée transistor suivant n'étant à I'entrée avec le p u i s q u ' e l l e coefficient est totalement découplée.Calcul F fait,on trouve une nouvelle résistance de charge de L,7 KOquasiment perdu gain On a 6dB sur Ie en tension du princioalement transistor ! ! ! ! La perte vient du hf, du qui suit transistor et qui est du même ordre de grandeur que gue Ia résistanee de eollecteur - Etant donné le présente transistor. un F important,il suffit de fractionner Ia résistance d'émetteur du transistor suivanÈ,et de n'en que Ia partie partie découpler de pied-La de tête se trouve dans Ia base avec le facteur multiplicatif ainsi reportée q u e f r a c t i o n n e e n v o i t s i I ' o n } e s 2 , 2 K Q 2KQ découplée F-on placée en augmente I'impédance et 2?o 0 non découplée,on maintenant série avec la base de 22O-3OO = 66 KQ-Ce sont qui limitent on le gain,et les résistances de polarisation de transisÈors,de une famille comprend tout l'intérêt,dans qui a Ie plus grand B,donc qui nécessite Ie choisir celui plus petit de polarisation. courant 9 Calcul d'un amplificateur classe A en montage E-C Etant donné que la capacité de Iiaison est placée entre Ia résistance de collecteur et Ia base du montage gui suit,il faut qu'à la fréquence de travail, I ? plus impédance de la capacité soit petite gue Ia somme de I'impédance de sortie du montage précédent et de I'impédance d'entrée du montage suivant. Calcul de Ia capacité de découplageplacée Si r est I'impédance en série avec la base dans un montage CC,alors, I'impédance de sortie 1'émetteur] [sur par vaut r/F-C'est donc rapport que à cette valeur I; f impédance de la capacité de découplage doit être faible 10 problème du couplage continu en classe A PnonrÈmrDUcouPLÂcE coNTINU Dans I'industrie i1 faut fréquemment amplifier des signaux en provenance dont Ie spectre de fréquence de capteurs. s'étend quasi une du continu à fraction de existe Hz -Il pour traiter essentiellement deux philosophies ces signaux- pour moduler un des paramètres on les utilise d'un porteur, f réquence,amplitude,phasesignal Le traitement 'ef porLeu r - Cette s f ect,ue alors su r Ie signal manière procéder permet qui de d'amplifier des signaux émergenL difficilement du bruit ambiant et d'éLiminer notamment les dérives de type thermique des organes de traitement existe - II ainsi des amplificateurs "choppers" qui spécialisés dits hachent le signal à etudier- Les amplificateurs étant accordés su r Ia peut presgue fréquence de découpage,on éliminer Ia Lotalité du bruit ambiant,sauf dans la bande passante de l'ampli traitement du signal,détection [voir synchrone,types de modulations- - -l -Cette manière de procéder permet accessoirement d'avoir accès à un puissanL traitement informatique du signalquasi on ampLifie directement Ie signal continu au moyen de montages dits à couplage très continu élaborés sur le plan technologique -L'archétype de ce type de circuit est I'amplificateur opérationnel- montage syméÈrique de type LTP [long Ce montage tailed sera pair] étudié en détaiI le cours d'Electronique dans s'agit de deux Opérationnellle-I1 Ia transistors identiques,montés plupart le même du temps sur de la à partir substrat,alimentés E ' p our aménagée même source R2 une former avec Ia résistance source de courant constantconstant courant Si e : Q, le en deux dans R2 se divise circulant parties de chutes égales,et les e devient de Rl et R3 sont identiques.Si tension aux bornes gue plus peu positif,Tl un conduit Iégèrement donc de T1 vient de collecteur de courant Tz-L'augmentation que de TZ-On constate de collecteur du courant en déduction pendant que Vc1 diminue,Vc2 augmente- problème mise du couplage en cascade de continu en classe A ------ NPN-PNP- on joue sur Ie gain en courant des .transistors successifs.Un petit courant de base ib1 commande un plus grand courant de collecteur qui icl est lui-même le courant de base i-b2 d'un transistor Z-ce courant de base ib.z commande re courant de colrecteur ic2 qui est l-ui-même le courant de base ibg d'un transistor TJ muni d'une résistance de charge dans 1e colrecteur-Etant donné 1a petitesse de vbe,on que constate l-es transistors Tl et 12 travailrent avec la totarité de la tension d'alimentation sur leurs collecteurs respectifs-Les sens des modifications de courant de base qui assurent la mise en conduction des transistors impose une utilisation alternative NPN-PNP-on a présenté une version simplifiée où Ies transistors ne sont pas tout à fait bLocables à cause des courants de fuite rceo qui qu'irs faibres soient ,pour tout pour fournir sont suffisants uR courant de base au transistor qui suit- En générar,on rerie,pâr^ Ie biai.s d'une résistance, ra base de TJ à une tension qui négative assure ainsi le blocage effectif du transistor. Montage DARLINGTON Dans ce cas précis,on place €rn cascade deux NPN ou deux PNP Les sens des modifications de courant qui permettent Ia mise en conduction impose que ce soit l'émetteur d'un transistor qui attaque base du la qui suit-T1 est donc transistor monté en collecteur commun,et sa charge est d'émetteur par Ia jonet,ion B-E constituée de T2-Etant donné que dans un C C ,I a tension de collecteur pas Ie fonctionnement n'affecte peut ,indifféremment,relier du transistor,on de le collecteur T1 à I'alimentation,ou au collecteur de T2-Dans ce cas problème du couplage continu en classe A l préciS,r'ensembre T1 + Tz ne possède gue trois élecËrodes et est donc assimirable,de f'extérieur,à un transistor unigue dont re B peuL atteindre très facirement los pour un rc non négI igeable ATTENTToN: les tensions de seuil Vbe des deux transistois s'ajoutenL-on calculera la porarisation en conséquence- Couplage apériodique i _ * r ll I ;- par résistance - On rencontr,e c€,type de,couplage dans quelques .montages _logiques,notamment dans le montage c omp a ra teu r dit "trigger de Schmitt"-On en étudiera 1e fonctionnement détaillé dans le ,:ours de logique. 3 Etude du transistor en saturation Eruon DUTRANSTsToR EN sATURATioN. Multivibrateur d'Abraham Bloch Un multivibrateur [ également appelé astable est un L oscillateur travaillant en classe C-On reconnaît le schéma d'un amplificateun à deux étages à couplage capacitif,avec une boucle de réaction peut capacitive.On faire une étude du montage en pas ne faisant appel à la générale théorie des oscillateu rs - Bien que re montage soit complètement suranné,il offre un moyen didactiqqe très puissant pour étudier le fonctionnement du transistor en tout ou rienSupposons qu'au départ,à la suite d'une légère dissymétrie dans te montage,un des transistors tendance à t ff I ait conduire un peu plus que I'autreDans ces conditions,re potentier de collecteur plus vite que celui de de T1 décroît T2-Cette décroissance est transmise sur Ia base de T2 par le biais du circuit dérivateur constitué de C et de Rb2.Le potentiel de base de T2 a donc tendance à décroître,et Ie transistor à se bloquer-La tension de collecteur de 12 a donc tendance à augmenter puisque la chute de tension dans Rc2 diminue-Cette augmentation de tension est transmise,via Ie dérivateur C-Rb1 sur Ia base de T1-Tl devient donc un peu plus potentiel conducteur,et son de collecteur a donc que Ie tendance à décroître un peu plus vite- - - -On voit phénomène est cumulatif et que très vite Tl va être saturé et TZ bloquépar prendra opportunité,on capacités sont identiques- Rcl = RcZ ,Rb1 = Rbz, Les Phase 1 que : Si T1 est conducteur et T2 bloqué,on peut affirmer Vcl .r O Vbl est légèrement positif ,sa tension corr€rspond à la tension de seuil qui existe aux bornes d'une jonction conduetrice VcZ !. Vcc - vb2 < O [on ne sait pas encore de combien- - - -] Etude du transistor en saturation Phase 2 Puisque T1 est conducteur,re potentiel correspond à ra tension aux bornes de c de +Vcc par le biais de Rb2 va évoluer-On Yoz de base de T2,qui ,arimentée à partir aura : Rb2 Ç æ = r - e où RbZ-C est la constante de temps r du phénomène. Phase 3 jusqu'au La croissance de vbZ se poursuit moment où vb2 positif devient que pour rendre suffisamment Tz conducteur-A précis,YcZ cet instant s'effondre-si on examine ra tension aux bornes de ra capacité de riaison entre le correcteur de T2 et Ia base de T1 : quand T2 était B rs Vcc bloqué et Tl conducteur, A .. O et v,donc T2 devient brusquement conducteur,Vc2 potentiel de B passe brusquement de Vcc à OIe potentiel effondre de de A varie de }a valeur Vcc en conséquence,Ie et la transistor son potentiel phase 4 pour T1 Ia il se produit phase l-On sait cependant fait à partir de - Vcc tension Ia même manière Tl de collecteur même chose maintenant que que se et Ie s' bloque â Vcc- pour f? durant la Ia charge de C se de base de T2 croît Si le montage est symét,rique,Ies constantes de temps qui règlent les mises en conduction de Tl et T2 sont identiquespériode En conséquence,Ia du phénomène vaut deux fois le p o u r passer de temps qu'iI faut à C Vec à O-Autrement dit,il faut appréeier le temps qu'il faut à une cellule p o u r intégratrice RC atteindre Ia moitié de sa valeur de régime,soit: 2 ! ( d 1$ s IJO $ (Y) I _ l-- i ; ôl F Etude du transistor o,5 : période et' la e t f = l e R b T du signal ' en saturation c e t de sortie vaut t = T = o . 7 - R o _ c L,4-RO-C l,4.Ro-C Exercices Calculer Ia fréquence pas identiques- du phénomène quand les Rb et C ne sont que polarisation résistances de Rb ne Admettons les pas au +Vcc,mais annexe ZVcc obtenue à une tension reviennent par une batterie mise en série avec +Vcc-Quid de la fréquence ? de fonctionnement annexe par un si on remplace cette tension Que se passe-t-it qui est générateur avec flottante mis en série BF à sortie +vcc ? Calcul Soit des éIéments du montage un montage symétrique rapport cyclique signal de sortie s i g n a l symétrique on on on DE où Ie rapport cyclique vaille I 1 = rapport Ie lesquels les temps durant entre bas-Un au niveau haut et au niveau est de 1 cyclique a donc un rapport de f , donc de T dispose le transistorfixe Vcc et on choisit COURANT de collecteur-ATTENTfON:CE fixe le courant COLLECTEUR N, EST PAS LE COURANT MAXIMUI'I PREVU POUR LE TRANSISTOR. on calcule Rc = g rc donc Ia on connaÎt valeur de Ib , -TFr : p u i s q u ' i l à saturation amener le transistor }e choix autrement dit : Rb < F-Rc -on fait Ia valeur de C pour obÈenir T . on calcule faut de Rb. Exercice: L/L à carrê de rapport cyclique un signal on désire obtenir sont des utilisés de 1 KHz - Les transistors une fréquence BC1O7 BVcc = LZY 3 Electronique Questionnaire de 1ère bachelier 1 - Ordre de grandeurs : le spectre électromagnétique - Définissez le logarithme et justifiez son utilisation en électronique - Le décibel (dBV et dBW) 2 Grandeurs alternatives : - définissez : période, fréquence, longueur d'onde, valeur efficace - les vecteurs de Fresnel : définition + aspect pratique - Pourquoi, dans le cours, ne parle-t-on que des sinusoïdes lors de la présentation des grandeurs périodiques ? Expliquez. 3 Notion d'impédance : - définition - impédance d'une résistance - impédance d'une self - impédance d'une capacité 4 Impédance d'un RLC série (schéma + graphique) : - Phénomène de résonance - Pulsation ω0 - Facteur de qualité Q 5 Impédance d'un RLC parallèle (schéma + graphique) : - Phénomène de résonance - Pulsation ω0 - Inductance résistive ==> transformation du circuit - Facteur de qualité Q 6 Etude de la cellule RC : - Charge d'une capacité à travers une résistance (schéma + graphique) - Dimension et signification du produit R.C - Interprétation fréquentielle du graphique U/E = f(t) : En quoi la tension aux bornes de la capacité est un « filtre » ? Et lequel ? 7 Théorie des semi-conducteurs : - Les 4 nombres quantiques - Le niveau de Fermi – le « gap » - Le dopage (type P et type N) F. Dumont 1/2 8 La diode : - La jonction P – N - Interprêtez la caractéristique i = f(u) d'une diode 9 Circuits à diodes : - Circuits résistifs à diode - Résistance interne dynamique - Limites de fonctionnement : IF, IF(AV), IFRM, IFSM, VRWM, VRRM, VRSM, temps de recouvrement inverse et temps de recouvrement direct. 10 - Redressement monoalternance sans filtrage (schéma + graphique + rapport ū/E) - Redressement monoalternance avec filtrage (schéma + graphique + rapport ū/E) 11 - Redressement monoalternance avec une capacité « standart » (non infinie) - Redressement « deux alternances » -Amélioration du filtrage 12 Stabilisation au moyen d'une diode zéner : - Régulation de tension – limitation du courant (3 modes) - Les deux voies essentielles de régulation de tension - Régulateurs propotionnels série et parallèle - La diode Zéner : les 4 paramètres, rôle de la Zéner dans la stabilisation (schéma + graphique) F. Dumont 2/2 Electronique QuestionnaireI ère Buchelier 2èmePartie 1 L'oscilloscopecathodique: - Principe de fonctionnement(le tube, l'écranet sa rémanence,la focalisation du faisceau,la déviationélectrostatique,...) - La voie X et la voie Y 2 Le transistor : - L'effet transistor - Emetteur,base,collecteur - Que sont cret B ? Expliquez - NPN ? PNP ? Comment les faire conduire ? 3 Le transistor : - Les caractéristiquesd'entréeet de sortie + explications (les 4 quadrants) - Le transistoren saturation-blocage - Que sont les paramètreshybrides? Expliquez. 4 Quellessont les méthodesde polarisationdestransistors? La droite de charge en émetterucommun Les systèmesde polarisation. 5 Impédancesd'entréeet de sortieen EC, CC et BC 6 Les amplificateurs : - Fonction de tranfert - Les classesd'amplifications 7 Calcul d'un amplificateur en émetteurcommun 8 Problèmedu couplagecontinu Montage symétriquede type LTP Montage Darlington 9 Les oscillateurs: - Astable,monostable,bistable(à 1 et 2 entrées) - Systèmeen boucle fermée, résonnance - Critère de Barkhausen F. Dumont U2 10 Le pont de Wien et I'oscillateur à pont de Wien (shéma+ graphique+ principe de fonctionnement) i1 Le montageen double T - Schéma+ Explication - La fonction de transfert - EtablissezI'expressionde la fréquencede coupure L2 Le multivibrateur d'Abraham Bloch (shéma+ graphique* principe de fonctionnement) F. Dumont 212 Electronique fiuestionnsire I èreBachelicr Laborstoires Ière psrtie 1. Déphasagetension-courant dans un circuit RC série 2.FlltreRC série 3. La diode 4. La diode Zénet 2ème oartie l. Mesure de la caractéristiqued'une diode Si et Ge, y compris laméthode dynamique à I'oscillo 2- Systèmes décrêtages à diodes 3. Relevé delacanctenstique I(C): f(VCE) d'un 8C549 4. Expériences fondamentales de mise en conduction d'un transistor 5. Calcul et réalisation d'un oscillateur à pont de Wien 6. Relevé de la fonction de transfert d'un filtre double T 7. Transisnor en saturation : astable d'Abraham Bloch p. pnmont ul Les Oscillateurs 1 Les Oscillateurs A. Oumnad Sommaire I Les Oscillateurs....................................................................................................................................................... 2 I.1 Condition d'oscillation .................................................................................................................................. 2 I.2 Oscillateur à pont de Wien.......................................................................................................................... 5 I.3 Oscillateur à déphasage (phase shift)...................................................................................................... 6 I.4 Oscillateur à circuit accordé (LC) ............................................................................................................. 8 Les Oscillateurs I 2 LES OSCILLATEURS Un oscillateur est un amplificateur qui s'auto-alimente grâce à un 2ème amplificateur (atténuateur) qui réinjecte la tension de sortie vers l'entrée. ⎧A AC ⎨ ⎩ϕ A • Ac : Gain complexe de la chaîne directe B ⎧B • Bc : Gain complexe de la chaîne de retour BC ⎨ ⎩ϕ B I.1 Sortie A Fig. 7.1: principe d'un oscillateur Condition d'oscillation Supposons qu'à un instant donné, nous avons la tension Ve à l'entrée de la chaîne directe, nous auront en sortie une tension d'amplitude AVe déphasée de ϕA par rapport à Ve. Pour qu'il y ait oscillation, c.a.d. pour que le signal de sortie se maintienne, il faut que l'amplificateur de retour soit tel que le signal ramené vers l'entrée soit identique à Ve (en amplitude et en phase). Pour cela il faut qu'il vérifie la condition suivante : A.B = 1 , ϕB + ϕA = 0 = ± 2π = ± 360° Il faut faire un peut attention avec les phases, car un retard de ϕ peut aussi être considéré comme une avance de 2π • • • ϕ. Si on considère les deux déphasages comme : Des retards, ϕA < o et ϕB < 0, ==> ϕA + ϕB = -360°. Des avances, ϕA > 0 et ϕB > 0, ==> ϕA + ϕB = +360°. Un retard et un avance ==> ϕA + ϕB = 0 L'exemple de la figure 7.2 montre les signaux d'un oscillateur tel que : A=2, ϕA = -π/2 , B = 1/2, ϕB = -3π/2 2 Ve 0 π/2 -2 0 π 2π 0 π 2π 2 A.Ve 0 -2 2 B(A.Ve) 0 3π/2 -2 0 π 2π Fig. 7.2 : Exemples de signaux d'un oscillateur Les Oscillateurs 3 Dans la pratique, il est difficile de réaliser avec exactitude la relation A . B = 1. Ceci à cause de la dérive des caractéristiques des composants avec la température et le vieillissement. Même si on arrive à réaliser l'égalité, deux cas peuvent se présenter à cause de la dérive, • Au bout d'un certain temps, on se retrouve avec A . B < 1, soit B < 1/A, le signal ramené par B à l'entrée est légèrement inférieur à Ve (qui l'a généré), donc Vs sera un peut plus faible que précédemment et ainsi de suite jusqu'à extinction du signal. Ce phénomène est illustré sur la figure 7.3. Vs B B<1/A A Vso 0 Vs1 Vs2 Vs3 Ve Ve3 Ve2 Ve1 Veo Fig. 7.3 : Extinction du signal d'un oscillateur, A.B < 1 • Au bout d'un certain temps, on se retrouve avec A . B > 1, soit B > 1/A, le signal ramené par B à l'entrée est légèrement supérieur à Ve (qui l'a généré), donc Vs sera un peut plus grand que précédemment et ainsi de suite jusqu'à ce que le signal atteigne l'amplitude maximale qu'il peut prendre, au-delà de cet état on dit qu'il y a saturation ou écrêtage du signal. Ce phénomène est illustré sur la figure 7.4. Vs A A<1/B Vsmax B Vs1 0 Vso Ve Veo Ve1 Ve2 Fig. 7.4 Ecrêtage du signal d'un oscillateur , A.B > 1 Pour remédier à ce problème, on introduit une non linéarité dans le gain de la chaîne directe afin d'avoir A < B1 pour les faible amplitudes, et A > B1 pour les grandes amplitudes. Le point d'intersection des caractéristiques de transfert A et B est un point d'amplitude stable (figure 7.5). Les composants sont calculés pour qu'il y ait toujours un point d'intersection malgré la dérive des caractéristiques des composants. Une non linéarité peut être obtenue en introduisant à fonctionnement non linéaire comme une lampe à incandescence, une thermistance ou un composant actif comme une diode ou un amplificateur à effet de champ. Les Oscillateurs 4 Vs B A Amplitude d'oscillation Vs Quand l'amplitude du signal est égale à Ao = amplitude d'oscillation ou amplitude stable, les éléments non linéaires de L'ampli A sont tels que A = B1 , point de fonctionnement Q. A droite du point Q, A < Ve Ve Fig. 7.5 : Stabilisation de l'amplitude d'un oscillateur . R2 R1 en diminuant jusqu'à ce qu'elle arrive à Ao. De la même façon, si pour une raison quelconque on se trouve à gauche de Q, l'amplitude va en augmentant jusqu'à ce qu'elle arrive à Ao. A la mise sous tension, c'est l'amplitude du bruit (≅0) qui fait démarrer l'oscillateur. Comme exemple de thermistances on peut citer la CTN qui est une résistance à Coefficient de Température Négatif. Quand la température augmente, sa résistance Rth diminue. Si on considère l'amplificateur de la figure 7.6, quand Vs augmente, le courant dans la CTN augmente provoquant son échauffement et par la suite la diminution de Rth qui provoque la diminution du gain : Rth CTN + Vs Ve G = 1+ Fig. 7.6 : amplificateur à gain non linéaire Il arrive qu'on utilise des techniques plus sophistiquées pour agir sur le gain de l'amplificateur en fonction de l'amplitude de sa tension de sortie. On dit qu'on fait un contrôle automatique du gain CAG. La techniques de CAG se compose généralement en deux parties, d'abord un circuit qui permet de déterminer l'amplitude du signal de sortie, il s'agit généralement d'un détecteur de crête qui fournit une tension continue proportionnelle à l'amplitude du signal. Puis d'un composant dont la valeur peut varier en fonction d'une tension de commande. Cette dernière n'est rien d'autre que la tension délivrée par le détecteur de crête. Un exemple est illustré sur la figure 7.8, Le JFET est utilisé comme résistance variable commandée par VGS à condition que VDS soit faible (figure 7.9). R DS = R2 + Rth R1 CAG B Fig. 7.7 Stabilisation par CAG R2 R1 RDSON et Vp sont fournit par le constructeur. Id Vgs=0 + Ve Fig. 7.8 Amplificateur avec CAG -0.5 1 Rdson Av = 1 + -1 1 Rds -1.5 Vp Sortie A Détecteur de crête R DSON 1 + VVGSp Idss , donc l'amplitude va 1 B Vds Fig. 7.9 Caractéristiques de transfert d'un JFET R2 R1 + RDS Vs Les Oscillateurs 5 Un exemple de détecteur de crête simple est illustré sur la figure 7.10. Il faut que la constante de temps R.C soit la plus grande possible pur ne pas avoir d'ondulation Ve Vs R τ = Vs Vo Δν C Δν = Vo 1 4CRf Ve = Ondulation Fig. 7.10 : détecteur de crête simple I.2 Oscillateur à pont de Wien C'est un oscillateur qui utilise un pont de Wien dans la chaîne de retour. Pour déterminer la fonction de transfert Bc=Vs/Ve, R 1 jCω R = 1 R + jCω 1 + jRC ω 1 + jRC ω Z s = RserieC = R + 1 jCω = jCω Z p = R / /C = Bc ( ω ) = Zp Z p + Zs = R 1+ jRC ω 1+ jRC ω R 1+ jRC ω jCω + C R R Ve Vs C Fig. 7.11 : Pont de Wien R = = jRC ω jRC ω + 1 − R 2 C 2 ω 2 + 2 jRC ω R + 1− R C ωjCω+ 2 jRC ω jRC ω Bc (ω ) = 2 2 2 (1 − R C ω ) + 3 jRC ω 2 ω = ωo = 2 2 1 1 ⇒ B = et ϕ B = 0 RC 3 Pour Obtenir une oscillation il suffit de prendre un amplificateur non-inverseur de gain 3 dans la chaîne directe : A=3 et ϕA = 0, (figure 7.12). Cd R2 R2=2R1 3.6k R1 Vs + R1 1.5k Vs + 15nF 10k C C R R Fig. 7.12 : Oscillateur à pont de Wien C 15nF C R R 10k Fig. 7.13 : Oscillateur à pont de Wien stabilisé par CAG Les Oscillateurs 6 Calculons les composants du montage de la figure 7.13 pour avoir un signal de sortie d'amplitude 6 Vcc (crête à crête) et de fréquence fo = 1000 Hz. Pour le détecteur de crête on prendra un taux d'ondulation τ = 1 ‰. On prend un JFET t.q. Vp=3V, RDSON=200 Ω . fo = 1/2πRC , si on prend R=10 kΩ et C=15 nF on obtient fo=1060 Hz. Pour l'amplitude, il faut avoir A.B = 1 soit A=3 quand Vs = 6 Vcc. Comme on a utilisé un JFET canal n sur le CAG , le détecteur de crête doit détecter la crête négative car ce transistor se commande par VGS < 0. Quand Vs= 6 Vcc, Vmin = -3V, le détecteur de crête délivre une tension Vc=-2.4 V car il y a un chute de 0.6 V dans la diode. Le JFET doit fonctionner avec VGS comprise entre 0 et VGSOFF = -3V, choisissons VGS= -1V, il faut donc choisi RD1 et RD2 de sorte à avoir RD2 RD2 + RD1 Vc = −1 . Calculons RD = RD1 + RD2 à partir du taux d'ondulation du détecteur de crête soit faible : RDCD = 1/(4 τ fo) = ¼ = 0.25 Si on prend CD = 1µF, on obtient RD = 250 kΩ A partir de RD2 RD2 + RD1 Vc = −1 , on sort RD2=110 kΩ et RD1 = 140 kΩ . R DSON 1 + VVGSp Avec VGS = -1 V, la résistance du JFET est R DS = R1 et R2 sont calculées à partir de Av = 1 + R2 = 3, R1 + RDS = 200/(1-1/3)=300 Ω Si on prend R1 = 1.5 kΩ on obtient R2 = 3.6 kΩ La figure 7.14 montre un autre oscillateur à pont de Wien. Ici on a utilisé une stabilisation d'amplitude avec deux diodes têtes bêches, chacune conduisant pendant une alternance du signal. Quand le signal de sortie devient important, les diodes conduisent, mettant en parallèle les résistance R1 et R2 ce qui diminue le gain. Pour un signal de sortie faible les diodes sont bloquées, le gain doit être légèrement supérieur à 3. 1K 10K 1.5K 3.3K - Vs + C R R C 47nF 47nF Fig. 7.14 : Oscillateur à pont de Wien à stabilisation par diode I.3 Oscillateur à déphasage (phase shift) Cet oscillateur utilise un circuit déphaseur Ve C RC (figure 7.15) dans la chaîne de retour C R C R Vs R Fig. 7.15 : Déphaseur à base de cellules R-C en série Les Oscillateurs Bc(p)= 7 R3C 3 p3 R3C 3 p3 +6R2C 2 p2 +5RCp+1 Bc ( ω ) = Bc ( ω ) = R 3C 3 ω 3 ( R 3C 3 ω 3 − 5 RCω ) + j ( 1 − 6R 2 C 2 ω 2 ) R 3C 3 ω 3 ⎛ 1 − 6R 2 C 2 ω 2 ⎞ ⎟⎟ ϕ B = −Arctg ⎜⎜ 3 3 3 ⎝ R C ω − 5 RCω ⎠ ( R 3C 3 ω 3 − 5 RCω ) 2 + ( 1 − 6R 2 C 2 ω 2 ) 2 La figure 7.16 illustre la variation de ϕB en fonction de la fréquence, on constate qu'il lui arrive d'être égale -180° (opposition de phase) donc on va utiliser un amplificateur inverseur dans la chaîne directe, et la fréquence d'oscillation sera la fréquence pour laquelle ϕB = -π = -180°. La résolution de l'équation ϕB = -π , donne ω 0 = 1 RC 6 Fréquence d'oscillation = Si on injecte f0 = 1 2 πRC 6 ωo dans l'expression du module de Bc, on obtient B(ωo) = 1/29 0.08 0.06 0.04 1/29 0.02 0 0 2000 4000 6000 8000 10000 Fig. 7.15 : module du gain du circuit déphaseur (R=1093 Ω , C = 10 nF) -90 -135 -180 -225 0 2000 4000 6000 8000 Fig. 7.16 : déphasage en degré du circuit déphaseur 10000 (R=1093 Ω , C = 10 nF) Pour obtenir une oscillation avec l'oscillateur à déphasage de la figure 7.17, il faut que le gain de l'amplificateur inverseur soit égal à -29, A=-R2/R = -29. Les courbes des figures 7.15 et 7.16 sont celles d'un oscillateur dont fo=6kHz. (R=10.8k, C=1nF). On remarquera que la 3ème résistance du déphaseur sert comme 1ère résistance de l'inverseur. R2 R C + Vs C R Fig. 7.17 : Oscillateur à déphasage C R Les Oscillateurs 8 On peut aussi utiliser des amplificateurs à transistor bipolaire ou à effet de champ. Pour le transistor bipolaire il faut réaliser un gain en tension A=− βRC' = −29 avec R'c=Rc//Ri(ωo), Ri(ωo) étant h11 l'impédance d'entrée pour ω = ωo du circuit déphaseur. De la même façon, dans le cas de l'amplificateur à JFET, il faut réaliser un gain A=-gm R'd =29. On remarquera que la 3ème résistance du déphaseur sert aussi pour polariser les transistors. Vcc Vdd Rc Rd RB C RE C R C R C R RS C R C R R Fig. 7.18 Oscillateur à déphasage utilisant des amplificateurs à transistor dans la chaîne directe I.4 Oscillateur à circuit accordé (LC) Les oscillateurs R-C ne permettent pas d'obtenir des fréquences Circuit accordé d'oscillation élevées. Leur fréquence d'oscillation peut difficilement excéder le Mhz. Quand on a besoin de fréquences plus élevées, comme A dans les émetteurs récepteurs AM et FM par exemple, on utilise des oscillateurs LC ou oscillateur à circuit accordé. Z2 Le principe de fonctionnement de ces oscillateurs est illustré sur la Z3 figure 7.19. Une fraction de la tension aux bornes du circuit accordé est réinventée à l'entrée d'un amplificateur inverseur constituant la Z1 chaîne directe. Les calculs montrent que pour qu'il y est oscillation, il faut que les réactances Z1 et Z2 soient du même type. Deux types de circuit d'accord sont alors possibles, Fig. 7.19 : Principe d'un oscillateur LC - Z1 et Z2 sont des capacités et Z3 une inductance, on obtient un oscillateur Colpitts. - Z1 et Z2 sont des inductances et Z3 une capacité, on obtient un oscillateur de Hartley. Vcc Vcc L C1 Rc RB1 C2 C' RB2 C1 RB1 L C2 CB RE C' Fig. 7.20 : Oscillateur Colpitts / Emetteur commun RB2 RE Fig. 7.21 Oscillateur Colpitts / base commune Les Oscillateurs 9 Vcc Rc C' R B1 C' R B2 RE Vcc C RB1 L1 L2 C' RB2 Fig. 7.22 : Oscillateur Hartley/ Emetteur commun Vcc Rs L1 Fig. 7.23 : Oscillateur Hartley / base commune Vdd C C' C RE L Rd Rg L2 C' C Rd C Rs Rg C' Fig. 7.24 Oscillateur Colpitts / Source Commun L L C' C' C' Fig. 7.25 Oscillateur Hartley/ Source Commune L'analyse des oscillateurs LC est compliquée, d'abord parce que l'impédance d'entrée de l'amplificateur à transistor est assez faible est vient shunter le circuit accordé et complique l'expression du gain de boucle AxB. D'un autre coté, puisque ces oscillateurs sont utilisés pour des fréquences élevées, le schéma équivalent du transistor en basses fréquences n'est plus utilisable, il faut le remplacer par le schéma équivalent hybride en π dit schéma de Giacoletto. En règle générale, on peut utiliser les résultats groupés dans le tableau suivant : Pour les oscillateurs à transistor Bipolaire, C = ωo2 Type d' Oscillateur Colpitts / EC Colpitts / BC Hartley / EC Hartley / SC Condition d'Oscillation ⎛ LChoe ⎜1 + ⎜ C 1 C 2 hie ⎝ 1 ≈ LC 1 ≈ LC + ( L1 L2 − M 2 ) ≈ 1 LC Hartley / BC Colpitts / SC C1C2 , L=L1+L2+2M, (M: inductance mutuelle) C1 + C2 ≈ 1 LC ≈ 2 1 + LC RD RG C 2 ≈ 1 2 LC + 2 L RD RG ⎞ ⎟ ⎟ ⎠ β > h fb > hoe hie C2 C1 − C2 C1 + C2 1 + KN M L2 , K= , N = 1 + KN L1 L1 L2 N2 N fb > − 1 , N1 et N2 = nb de spires de L1 et L2 N2 h fe > gm ≥ RD + RG RD RG ⎛ L ⎜1 + ⎜ RD RG C ⎝ ⎞ ⎟ ⎟ ⎠ gm ≥ RD + RG RD RG ⎛ L ⎜1 + ⎜ RD RG C ⎝ ⎞ ⎟ ⎟ ⎠