Ch.3 : La tectonique des plaques, un modèle qui s’enrichit A la fin des 1960s, le modèle de la tectonique des plaques a été admis. Comment va-t-il s’enrichir ? I.Une confirmation de l’expansion du placnher océanique : TP6, p.136-137, ex 7p.153 Vers 60s, des forages marins profonds permettent d’avoir accès aux sédiments et basaltes du plancher océaq. Qd on s’éloigne de l’axe de la dorsale, la colonne de sédiments est de + en + épaisse et les sédiments au contact du basalte de + en + agés : cela confirme l’hyp de l’expansion des fonds océaq au niveau de la dorsale émise par Hess. On peut calculer les vitesses d’expansion du plancher océq, de 2 à 17 cm/an selon les dorsales, et les comparer à celles déduites des anomalies paléomagneq. II.Une mesure directe par GPS des mouvements des plaques :TP6, pages Ds 80s, le géopositiont par satellite ou GPS permet de suivre les mvts instantanés des plaques grâce à un suivi continu de la position en latitude, longitude et altitude de balises par un ensemble de satellites. On mesure ainsi des vitesses instantanées de déplacet des plaques. Cela permet de préciser les caractéristiques des déplacements des plaques. De nouvelles plaques plus petites sont découvertes permettant d’enrichir le modèle initial à 6 plaques à 14 plaques. A partir des 90s, la multitude des données géodésiques recueillies permet de construire des modèles de cinématique global des plaques, confirmant les modèles établis à partir de l’étude des anomalies paléomagnétiques ou des points chauds. Ils ont des applica° dans la surveillance tectoq des régions à risque. III. La dynamique de la lithosphère océanique : p.142-143 A partir de 1970, la tomographie sismq permet d’osculter l’inétrieur du globe. Cette techq est fondée sur la détec° d’anomalies de vitesse de propaga° des ondes sismq par rapport à la vitesse théoriq. On sait que qd les vitesses de propaga° des ondes sont + rapides que le modèle théoq, cela correspond à des zones qui sont froides. Qd les vitesses de prpagat° des ondes sont + lentes, cela correspond à des zones qui sont chaudes. Ces données permettent de cartographier le globe (doc23p.142) en profondeur. Les anomalies + au niveau des zones de subduc° permettent de visualiser l’enfoncet de la lithosphère ds le manteau et de savoir la profondeur de cette enfoncet . Les anomalies – à l’aplomb des dorsales témoignent de la remontée de matériel mantellq (=du manteau) chaud à l’origine de la nlle lithosphère océq. Cf.TP7 Sous les dorsales des mvts ascendants du manteau asthénosphèreq provoquent la remontée des péridotites provoquent leur décompression (= baisse de pression) et leur fusion partielle et la product° de magma est collectée ds une chambre magmaq. Une partie du magma cristallise lentt le long des parois et forme les gabbros tandis qu’une autre s’infiltre ds les failles et parvient en surface où il cristallise rapidet formant les basaltes (p.149). En permanence de la lithosphère océq est détruite ds les zones de subduc° et produite au niveau des dorsales (=renouvellt) La divergence des plaques de part et d’autre de la dorsale permet la mise en place d’une lthosphère océaq nelle à partir du matériau d’origine mantellq. Ds les zones de subduc°, matériaux de la « vieille » lithosphère océq s’incorpore au manteau. Solidus : Ensemble des conditions de pression et de température pour lesquelles une roche subit un début de fusion partielle. Liquidus : Ensemble des conditions de pression et de température pour lesquelles une roche subit un début de fusion totale. Géotherme : Courbe traduisant l’augmentation de la température des roches en fonction de la profondeur