LA' CENTRE CENTRE D'ETUDES NATIONAL RECHERCHE DES TELECOMMUNICATIONS DE LA NATIONAL SCIENTIFIQUE Département SDU CentreParisB CENTRE DE EN RECHERCHES NOTE ET TERRESTRE L'ENVIRONNEMENT PHYSIQUE DE PLANETAIRE CRPE/196 TECHNIQUE mars 1992 CîtLOE LOGICIEL LES ONDES DE CALCUL DES INTERACTIONS ET LES ELECTROMAGNETIQUES ENTRE HYDROMETEORES par C. GLOAGUEN, M. RAFIZADEH, J. LAVERGNAT CRPE, 38-40 rue du Général Leclerc,92131 ISSY LES MOULINEAUX �Directeur g/sommeria Le Chef de Département LISTE DE DIFFUSION SYSTEMATIQUE LISTE COMPLEMENTAIRE CNET MM. MME MM. MME MM. MEREUR BLOCH THUE HENAFF Directeur du CNET Directeur du CNET Adjoint AdjointMilitaire au Directeur du CNET Directeur desProgrammes DICET DICET DICET PAB/RPE PAB/RPE PAB/RPE PAB/RPE PAB/RPE PAB/SHM SYLVAIN DELAHAYE ROSSI KHATCHADOURIAN MON VEINIERE PAA/RGE FROMENT PIGNAL RAMAT ZYLBERSZTEJN MALOBERTI HOCQUET THEBAULT SOMMERIA BERTHEUER GENDRIN PARIS BAUDIN BIC CERISIER LAVERGNAT ROBERT ROUX VIDAL-MADJAR TESTUD PAB PAB PAB-BAG PAB-SHM PAB-STC PAB-STS PAB-RPE PAB-RPE PAB-RPE PAB-RPE PAB-RPE PAB-RPE PAB-RPE PAB-RPE PAB-RPE PAB-RPE PAB-RPE PAB-RPE LAB/IFE LAB/SMR ROCHARD RENAN LAA/ELB LAA/ELR LAA/SLC VAUTER ZEDDAM HERVE FENEYROL THABARD FUERXER CCETT DOCUMENTATION EXTERIEUR Documentation CELAR Documentation METEO FRANCE Documentation ENST BREST BECKER GSTS/ STRASBOURG C N R S M. MM. MME MME M. C N E S MMES MM. BERROIR CHARPENTIER CADET COUTURIER SAHAL MEGIE AMMAR DEBOUZY BAUDOIN FELLOUS HERNANDEZ TOAE SPI INSU INSU TOAE MEN (Toulouse) EERM M. ANDRE Bibliothèques CNET-SDI (2) CNET-EDB CNET-RPE (Issy) (5) CNET-RPE (StMaur)(2) Observatoire de Meudon CNRS-SA CNRS-INIST CNRS-LPCE -RENNES (C fi lolè de calculdes Logiciel entreles interactions ondes électromagnétiques et les hydrométéores Table des Matières Présentation Les menus file 3 Microphysique3 (Hydrométéores 3 Options 3 Utilisation de Cfdoé Comment entrerlesvariables, SOS 4 la fenêtre une variable: 4 n(A.,To) une valeur: ......................................................... n(X(),To) deux variables: n(l,T)...................................................... la fenêtre SOS.............................................................. Où etcomment sont lesrésultats ?. 6 6 Important ...................................................................... 'Explique Les 7 alertes Microphvsique: descriptiondu milieudiffusant Infraction ParamètresCentrée 9 Grandeur calculée 9 fonctionsimplémentées9 Eau-Manabe9 Eau-Ray9 Glace 10 Neige 10 VuparChloé 11 12 Ojielquesrésultats Densité Paramètresd'entrée 13 Paramètres de sortie 13 fonctions implémentées 13 Marshall-Palmer 3 Joss convective........................................................... 3 Joss stratiforme 3 TabkdesMatières page1 Sekhon 3 4 14 Srivastava Ajayi-Olsen Moupfouma Weibull Ihara1 14 4 14 14 14 4 Neige Grêle Douglas Grêle faible Smith Grêle forte Smith 1 VuparChîoé 15 Quelques résultats 16 'Bibliographie desection la Microphysique:diffusionpar un hydrométéore et notations Généralités La diffusion 20 20 Çéométrie Indice deréfraction 20 'Diffuseur sphéroîdal 20 Théories21 Rayleigh 2 2 Mie.................................................................... Tmatrice2 2 Diffusionlatérale Paramètresd entrée 25 Grandeurs calculées 25 VuparChloé 25 Quelques résultats 26 avant 'Diffusion Paramètresd entrée 27 Grandeurscalculées 27 Théories27 Rayleigh 27 Mie 28 Tmatrice28 Approximation(pourle sphéroïde aplaticomposé d'eau) 28 29 (Remarques 0 Qui peut être utile..................................................... des notations avec celles d autres auteurs 30 Comparaison VuparChloé 33 Quelques résultats 34 labiédesMatières page 2 Diffusionarrière Paramètresd entrée 35 Paramètres desortie 35 Théories 35 Rayleigh................................................................. 6 Mie...................................................................... 3 Tmatrice 6 Approximation (pourle sphéroïde aplaticomposé d'eau) 3 (Remarque 36 d autresauteurs37 Comparaison des notationsavec celles VuparChloé 37 Quelques résultats 38 section Bibliographie de [a Effetintégrédes hvdrométéores Çénéralités Affaiblissement linéique Paramètresdentrée 42 Çrandeurs calculées 42 Théorie42 Pluieou grêle 4 2 Neige.................................................................... L'approximation .............................................................. latérale 'Diffusion intégrée Paramètresdentrée 46 Grandeurs calculées Lumière naturelle 46 46 VuparChloé 46 Quelques résultats 47 Validation Diffusionlatérale (Morgan 50 Diffusion Figure 4: Polarisation H Figure 5: Polarisation V avant Zlzunoglu (Morrison Tabk desMatières 50 51 53 54 page 3 Diffusionarrière Zlzunoglu56 Commentaires sur lescalculsde diffusion Affaiblissement linéique Oguchi 58 Setzer. 58 Commentaires sur lescalculsd affaiblissement Bibliographiede la section Conclusion TabledesMatières page 4 Résumé Une averse de pluie affaiblit-elle plus une onde électromagnétiquequ'une chute de neige sèche? Est-ce que la températurede l'eaujoue un rôleimportant?Comment une goutted'eaude forme sphéroïdalediffuse-t-elle l'énergie qu'elle estégaleà son grand axe? Et sison orientation reçoitlorsquelalongueurd'ondeincidente change? Chloé permet de répondreà toutesces questionsque vous luiposereztrèssimplement Cette note technique contientun descriptif du logicielet son mode d'emploi ainsique les définitions physiques des Chloé estutilisable sur lesmacintosh possédantun coprocesseurarithmétique, et grandeurs concernéeset des références. serafounià tousceux qui en ferontlademande. Présentation 1 'Hapitre page1 de des ondes millimétriques, des fréquencesélevées,en particulier L'utilisation pour lestélécommunicationsnécessite de calculnumérique deviennent connaîtreavec précisionleseffetsdes hydrométéoressur lapropagation.Les difficultés Il fautalorsrecourirà des des particules. plus importanteslorsquela longueur d'onde devientcomparable à la taille méthodes plus élaborées que la simple diffusionde Rayleigh. En outre,la variétédes situationsmétéorologiques de taille des gouttesd'eaupar exemple),ainsique lesnombreuses méthodes utilisables rencontrées(distribution pour les sur micro-ordinateur. d'un la mise au et l'utilisation calculsde diffusion souple logiciel point justifient estde rendreconviviauxlesprogrammes de calculde Le but de CHLOE (CHarmant LOgicield'Electromagnétisme) Ce progicielest écritpour le Macintosh en l'effet des hydrométéores sur la propagationdes ondes électromagnétiques. mémoire mieux C afin de utiliser au l'espace disponible.Nous nous sommes servisde l'interfac language pouvoir de Macintosh comme interface utilisateur en faisant appelà sa boîteà outils. graphique Guidé par une présentation sous forme de fenêtresde dialogue,l'utilisateur peut calculerdiversesgrandeursutilisée dans le domaine de la propagationdes ondes. Le logiciel est composé de modules emboîtés et peut êtrecomplété par En partantdu plus simple au plus de nouvellesfonctionsou définitions dans la mesure de la mémoire disponible. l'ajout on a accèsà: élaboré, Microphysique: 0 l'indice de réfraction de l'eauliquide(modèlesde Ray ou Manabé), de laglace(Ray) etde laneige(Ozawa). 0 la loide répartition des hydrométéoresen fonctionde leurtaille pour lapluie(8 modèles),lagrêle(3 modèles ),la de définir une loiexpérimentale. neige (1 modèle),avec lapossibilité 0 la diffusionlatérale avec les théoriesde Rayleigh, Mie et Tmatrice pour les (amplitudecomplexe ou intensité) diffuseurssphériqueset Tmatrice pour les diffusueurssphéroïdaux.Dans ce dernier,on peut choisirla géométrie du sphéroïde. 0 ladiffusion avantavec en pluslecalculdes sections efficaces et lesfacteurs d'efficacité. 0 ladiffusion arrière avec en pluslasectionefficace radar. Hydrométéores: 0 l'affaiblisement de réfraction etde répartitio de forme de diffuseurs, d'indice linéique pour toutecombinaisonréaliste de précipitation que nous venons de mentionner. 0 lesintensités de diffusionintégréessur la distribution des hydrométéores,de façon à définirun diffuseur de taille etperpendicualire ainsique pour la lumièrenaturelle. "moyen", pour des anglesquelconques,ou dans lesplansparallèle A chaque niveau du logiciel, l'utilisateur n'aaccès directementqu'aux paramètresconcernés:par exemple, lesangles d'incidenceet de diffusionpour la diffusionlatérale. Des valeurssont affectéespar défaut aux autresvariablesqui interviennent de façon pluscachée,etcorrespondentà des niveaux inférieurs. Toujours dans lecas de ladiffusionlatérale l'indice de réfraction est celuide l'eauà 20°C, calculépar la théoriede Manabé. Bien entendu, ces valeurssont très simplement modifiables. Ce premierchapitrecontientune présentation généraledu logiciel. Les troischapitressuivantssont tousconçus sur le même plan:pour chaque menu, on décritsuccessivement: 0 lesvariables d'entrée 0 lesvariables de sortie 0 lesdiversesthéories programmées 0 un aperçu de lafenêtrecorrespondante du logiciel 0 quelquesexemples de résultats En finde chaque chapitre, se trouve une bibliographie. Les deux modules de base,qui sontappeléspar tous lesautres, à savoir"Réfraction"et Densité" font l'objet du chapitreIl.Le chapitreIIIestconsacré au calculde la diffusionpar un diffuseurunique.Le chapitreIV donne des éléments sur l'effet d'un ensemble d'hydrométéores. Dans lechapitreVintitulé tirés de lalittérature à ceux de Chloé. Validation,on compare des résultats Macintosh doitposséderun coprocesseurarithmétique. On entredans l'application en cliquantdeux foissur l'icône. Chapitre page Les menus devient: à l'écran Lorsqu'onentredans Chloé,labarrede menu principale ^ File Microphysique Options Hgdrométéores estactivéepar lasouris. Les menus ci-dessousn'apparaissent que lorsquelacasecorrespondante Chloé. La fonction"Trace"n'estpas impléméntée. Ce menu permet de quitter Trace cuit Microphysique Les menus Réfractionet Densité sont décritsdans le chapitrell: Micro-physique:descriptiondu milieu diffusant.Les troissous-menus de Diffusionsont dans le chapitreIII:Microphysique: diffusionpar un hydromitiort. Réfraction Arrière Hydrométéores Voir le chapitreIV: Effet dun ensemble d hydrométéores.L'affaiblissement linéiquefaitappel aux progreammes de diffusionvers l'avant; le second menu estplus général. Affaiblissement linéïque DiffusionLatérale Intégrée Options Ce menu està ouvrir à tout calcul. "Préférences" fait lafenêtre ci-dessous: préalablement apparaître Tracés Fréquences ®\�mm) OFreq(GHZ) [3 échelle LOG Pas 0 Nbs de pis (Np) Rngle Préférences Degré d'unegrandeur en fonctiond'une ou deux variables. Comme nous le verrons plus loin,Chloé calculel'évolution Dans le cas où une des variables décritl'ondeincidente, l'utilisateur choisitune représentation en longueur d'onde ou en fréquence. Dans ce cas,ilfaudra entrerdans lestableauxle Cette même variablepeut également suivreune échellelogarithmique. en des est soit le leradian,plusprécisémentdans lederniercas, base 10 de la variable. L'unité soit logaritme angles degré, le7Cradian.Enfin,l'incrémentation d'une variableentredes valeursMin et Max se faiten précisantlePas ou le nombre de points . "Chapitre page3 Utilisation de Chloé lafenêtreSOS Comment entrerlesvariables, variables. Prenons l'exemplede l'indice de Les grandeursphysiquescalculables par Chloé dépendenten généralde plusieurs etde latempératuredu milieun(^,T).Nous pouvons réfraction de l'eauqui dépend de lalongueurd'ondede l'ondeincidente suivants: évaluersimplement lestroistypesde résultats T varieentreTmin etTmax. en fonctionde T pour une longueurd'ondedonnée n(À.Q,1). 0 lesvariations de l'indice 0 lavaleurde l'indice n(Xo,Trj) pour une longueurd'ondeet une températuredonnées 0 lesvariations de l'indice n(X,T)pourune longueurd'ondecomprise entreXmin et^-max et une températurecomprise entreTmin et Tmax. une variable: n(X,Tn) Cette fenêtrecalculel'indice de réfraction de l'eauen utilisant la théoriede Manabé, à la températurede 15°C et pour une longueur d'onde variantde 10mm à 30mm par pas de 2mm. La ligne du tableau intitulée 'Lambda" està remplircomplètement,et seulelapremière case de la ligne"Température"està rempliravec lavaleurde ce paramètre.Les casesà ne pas remplirsontdésactivées (en grisé). On obtientun seulrésultat en faisant calculerune courbe entredes valeursminimale et maximale égales 1 Chapitre page4 de laglaceà la températurede -6°C.pour une longueurd'onde de réfraction Cette fenêtrecalculel'indice égale à 0.5mm. deux variables: n(X.T) Pour chaque valeurde la seconde variable, en fonctionde lapremièrevariable. on évaluel'indice Lorsque le problème n'a que deux paramètres,comme icidans le cas de la glace ou de l'eau,le choix de la de l'eaupar première variablemodifieautomatiquement celuide laseconde.Cettefenêtrecalculel'indice la théoriede Manabé, lorsque la températurede l'eauvarie de 0 à 20°C par pas de 5°C. A chaque température,lalongueurd'ondevariede 0.5 à 10.5mm par pas de Imm. Ce sont lesvaleurspar défautde la fenêtre. la fenêtre SOS Toutes lescases"SOS" du logiciel affichent lafenêtre ci-dessous qui résume ce qui précède: 1 "Chapitre page5 Où et comment sont lesrésuftats ? ilapparaît lafenêtre suivante lecalcul estlancé parlacase"Run", Lorsque le déroulement.Tous les calculsfaitavant l'interruption par "Cancel" sont conservés.Les qui permet d'en surveiller avec des noms résultatssont stockés dans des documents Macintosh dans le même dossier que l'application, de la fenêtre nouvel ils sont réécrits à leurmultiplication, correspondante: appel chaque mnémotechniques. Afin d'éviter ledésire. l'utilisateur doitdonc prendresoinde lesrenommer ou de lessauvegarders'il Etant donné le nombre et la qualitédes logiciels des traitementsde texte,de dessin et d'analysede données existant il nous a de ne ce type de programme dans Chloé. L'utilisateur actuellement, disposedonc de paru préférable pas intégrer résultats brutsqu'illitou représentepar lelogiciel de son choix.Par exemple, lesgraphes que l'ontrouveraplus loindans les§ Quelques résultats ont été tracésavec "Igor"de WaveMetrics. Les fichiers contiennentune en-têtequi rassemble tous lesparamètresdu calcul.Voici par exemple le début du fichier REFRACTION créepar le troisièmeexemple cidessus,et ouvertsous l'application "Word" de Microsoft: Indicede réfraction Ind milieu=Eau_Man echelle=LINTglace=O Teau=0 var2=Teau(°C)var=Lambda(mm) Re(Ind)Im(Ind) 0 2.118 0.5 0 2.473 1.5 2.703 0 2.5 2.933 0 3.5 3.166 0 4.5 0 3.396 5.5 0 3.622 6.5 3.842 0 7.5 4.056 0 8.5 4.262 0 9.5 4.462 0 10.5 2.145 0.5 5 2.529 5 1.5 -0.513 -0.8954 -1.225 -1.517 -1.766 -1.978 -2.158 -2.313 -2.445 -2.557 -2.653 -0.5586 -0.9912 théoriede Manabé, échellelinéaire du calcul, laseconde sesconditions: La premièrelignerapellel'objet pour lesvariables La troisièmelignecontientlesnoms des colonnesde résultats et valeursdes paramètresinutilisés. qui suivent. Important Le programme de calculde la diffusionpar la Tmatrice ne donne pas de bon résultats lorsquele diffuseurestgrand estprévenu par une fenêtred'alerte Dans ce cas,l'utilisateur devant la longueur d'onde incidente. qui se superpose aux aussien cas d'erreurlorsde l'entrée Des fenêtresde ce type apparaissent des données (N.B. dans les autressur l'écran. Voir ci dessous. tableaux,le pointou lavirgulesont indifférents). de faireun calculdès que les conditions Néanmoins, nous n'avons pas empêché systématiquement l'utilisateur Par la théorie de Rayleigh ne s'applique ne sont valides. de la théorie choisie exemple, plus qu'à ladiffusion d'application Chapitre page6 ilfaututiliser la sphériquesde taille supérieure, par des objetstrèspetitsdevant la longueur d'onde.Pour des diffuseurs de grandeurde l'erreur de savoirquel estl'ordre théoriede Mie. Mais ilpeut êtreintéressant que l'onfaitlorsquel'onutilise faitun calculqu'ilest dans le doit donc être vigilantet bien vérifier lorsqu'il Rayleigh au lieude Mie. L'utilisateur de lathéoriechoisie. domaine de validité 'E^pCique Les fenêtres"Explique"diffèrent selon lesmenus. Ellescontiennentlesdéfinitions et dimensions des variablesd'entrée et des résultats mentionnés dans la fenêtre, et des référencesdans certainscas.Voir les § Vu par Cfdoé relatifs à chaque menu. Les aiertes Plusieursfenêtresd'alertene contiennentqu'une information du type: "ATTENTION, LE MODELE DE GRELEDOUGLAS EST INDEPENDANT DE LA VARIABLE PLUIE qui apparaîtdans le menu densitélorsquel'onchoisitta Dans ce cas l'utilisateur n'apluslapossibilité de choisirle taux précipitant comme variable. répartition "Grèle-Douglas".. Toujours dans ce même menu, mais avec la répartition "Expérimentale",des informationstelles que "UNBALANCED PARENTHESIS" en cas d'erreur dans laformule. apparaissent Le calculde la diffusionavec la Tmatrice pour une sphère ou un sphéroïdedont le rayon estégal à la longueur d'onde * RMAX incidentefaitapparaître l'alerte "ATTENTION POUR CE MODELE LA VALEUR DE K (NOMBRE D'ONDE) DOIT ETRE INFERIEURE A 5" (Rmax estleplusgrand demi-axe du diffuseur). (RAYON MAXIMUM) L'alerte similaire LA VALEUR POUR CE MODELE pour l'approximation appliquéeà un sphéroïdeest "ATTENTION * RMAX DE K (NOMBRE MAXIMUM DOIT ETRE INFERIEURE A 3" D'ONDE) (RAYON 1 Chapitre page7 Microphysique: description du II Chapitre page8 milieu diffusant Infraction Paramètres d'entrée T / À grandeur températuredu milieu:eau et/ouglacesuivantlecas dans levide fréquencede l'ondeincidente dans levide longueurd'ondeincidente [] indicecomplexe du milieu.Im(/i)�0 car leschamps sont en eicot. calculée n fonctions [8] [T-l] [L] impCémentées sans dimensions estlaconstantediélectrique Dans ce qui suit, du milieu e=/j2, Eau-Manabel de Debye) (modèleavec deux fréquences Actuellement,cet indiceest valablepour À2:3001lm(f:91000GHz), et une températurecomprise entre -4°C et 30°C. Les deux bandes d'absorptionprésentesentre 1 THz et 30 THz, seront introduites ultérieurement. e = 252 273.15 + r(°C) 1 Constantediélectrique statique fo = 77.66 + 103.3 6 de Debye Fréquence principale = ep = 5.48 fp 20.09 - 1420+ 29402 GHz es = 3.51 f, = 590 - 15000 GHz Seconde fréquencede Debye GHz E [0,1000] f = fo - fo - fpf - ep - C., s x Jfen E [- 4, 30] lTen°Ce f-ifs f - i fp Eau-Rayl (modèle avec une fréquencede Debye etajustéen température) Actuellement,cetindiceestvalablepour A�3mm (f:9100GHz). Les bandes d'absorption correspondant aux longueursd'ondeinférieures dans le futur. THz) serontintroduites jusqu'à3jim (f= 100 0 = T - 25 a- +0.0609265 0 �7=12.56641010 (m-I) Longueur d'onde de relaxation Constante diélectrique statistique {Ten°C 2:310-3 50] (m) A, = 3.383610-6 e2513.98/9 + U9HT* co = 78.54(l -4.75910-3 (J 62 - 2.8Kr803) Constantediélectrique hautefréquence f- = 5.27137 + 0.02164747 -0.00131 1987"2 ^apitrt II page9 Glace 2 On utilise également le modèle de Ray, actuellementpour A�800|im. Le spectrede la glace dans dans lefutur. seraintroduit l'infrarouge 0 = 7 + 273 a = 0.288 + 0.00527 + 0.0002372 jj en m kE 810-4 L [- 20, f *4000 GHz 0] [Ten cr =1. 26e 1-9169 13200 Longueur d'onde de relaxation 1, = 9.99028810' e 1.9869(m)3 Constantediélectrique statique e0 = 203.168 + 2.57 + 0.1 572 hautefréquence f- = 3.168 Constantediélectrique crA (e, - r-) Neige et de glace. Les floconsde neigesontconsidéréscomme un mélange d'eau,d'air du mélange s'exprimepar: Suivantlathéoriede Wiener, laconstantediélectrique fN 1 £ N +u CG - 1 £ G +U 1 fA £ A +U PE CE £ E +U avec lesnotations = constantediélectrique de laneige eN = constantediélectrique et fraction £ g�Pg volumique de laglace = constante et fraction (= eA diélectrique volumique de l'air l),pA = constantediélectrique et fraction £ e�Pe volumique de l'eau = paramètrede forme u = pN + PA + PE Les fractionsvolumiques et le paramètre de forme peuvent êtrechoisispar l'utilisateur qui se voit des valeurspar défaut^: proposerpour plusde convivialité Neige sèche INF u = Neige sèche SUP (rayon fondu pA=0.9 (rayon fondu u = 2 PA = 0-98 Neige pE = 0 pc = 0.1 �0.5mm) PE =0 pc = 0.02 humide u = 20 pA=0.14 Chapitre II �0.5mm) page 10 pE = 0.26 Pc = 0 Vu par Chloé Il SHapitrc se présentecomme suit: La fenêtrede dialoguequi apparaîtaprèsavoiractivélemenu réfraction Dans ce cas,l'utilisateur varierlatempératurede -4°C à calculel'indice de réfraction de laglaceen faisant 0°C par pas de 0.5°C. La fréquence est égale à 10 GHz, les résultatsseront dans le fichier 'REFRACTION'. Dans le cas où on a sélectionné"Neige sèche SUP" par exemple, ilapparaîtune fenêtre du type dans laquelleon doitdécrireplus précisémentlescaractéristiques de la neige.Les valeursindiquéespar défautsont des valeursextrêmes qui permettentde se faireune idée de l'ordre de grandeur des indices. Enfin,la fenêtre"EXPLIQUE" contientlesinformationssuivantes: page11 Quelques résultats Chapitre Il page 12 (Densité d'entrée Paramètres rayon r [L] lerayon équivalent c'est du diffuseur. Dans lecas d'un sphéroïde, rayon équivalent (rayonde lasphèrede même volume).Pour lagrêleet la neige,r estlerayon du grêlon ou du floconfondus. pluieR [LT1] leplus souvent en mm/h. Dans le cas de lagrêle intensité de pluieou taux précipitant, en eau liquidede laprécipitation. ou de laneige,R estl'équivalent Paramètres de sortie densitéN [L"4] nombre de diffuseurs dont lerayon estdans l'intervalle [r,r +dr ] par unitéde volume du milieu,le plus souvent en m-4. fonctions impCementées de gouttes qui suivent Dans toutce qui suit,r est en m. R en mm/h. et N en m-4. Les distributions Ilfautnoter sont représentatives de lapluieet non des nuages,et nous ne prétendonspas êtreexhaustif. nombre de trèspetites que dans de nombreuses expériencesde mesure, le gouttes« 100pm ) n'est pas très bien connu. D'autrepart,on a souvent utilisé calme la vitesseterminalede chute des gouttesdans l'air convertir une de des incertitudes distribution surface en distribution ce introduit pour volumique, qui supplémentairesà cause des courantsascendantsou descendantsqui peuvent modifierconsidérablement cettevitesseidéale(peut-être même en fonctiondu rayon de l'hydrométéore). Ceci est encore plus importantdans lecas de laneige. Les relations de Laws et Parsons6 et Marshall-Palmer7 bien que relativementanciennes sont souvent ont utilisées, que ce soitpour des pluiesstratiformes (R faible)ou convectives(R élevé).Ces relations été établies à partirde comptage de gouttessur des surfacesexposées à lapluie,ce qui sous estime peut être le nombre de trèspetitesgouttes.Ilexisteégalement d'autresméthodes tellesque l'utilisation de ou de manière plus indirecte, lesmesures d'atténuation sur de longues périodes,qui spectropluviomètres, dans permettentde remonter à la fonctionN. Les données de Laws et Parsons ne sont pas introduites sous laforme d'un tableaudiscret. Chloé, car ellesse présentent Marshall-Palmer Les mesures ont étéfaites à Ottawa à l'aide de papierfiltre coloré.Les résultats sont en accord avec ceux de Laws etParsons pour des rayons supérieurs à 0.75mm. 0.8210" r 7v" = 0.16108e *02' Joss convective Pluiesd'"orages,, avec une relativement de grossesgouttes grande concentration 0.6104r W = 0.2810V *0Ï1 Joss stratiforme-a Pluielégèrecomposée de petites gouttes. O.lHlO'r N = 0.6108e Sekhon RO.21 Srivastava2 0.76 104r 7V = 0.14108/?°V *°M �page "êapitrt 13 Ajayi-Olsen-l0Elle représentebeaucoup mieux la pluiedans lesrégionstropicales que les loisclassiquesde Laws et Parsons ou Marshall-Palmer.Celles surestimentle nobre de petitesgouttes,et donc l'atténuati distribution tend vers0 avec r. spécifique pour des longueursd'ondemillimétriques.Cette 0.3709109 r2.6 RO.432 .273310" rLV R:g 15 mm N = 0.121610 V """ .218610nr143e Moupfoumall Il s'agitd'une distribution moyenne d'atténuation faites aux Congo R � 15 mm pour les climats équatoriaux et tropicaux,dérivée de mesures 0.704 104r N = 0.52 107 Ro.23 WeibullI2. b = 0.26R044 c = 0.95R 0.14 N = 0.2 107 c 2000r b IharaU La fonctionde répartition de taille sur un trajet de 1.3km des gouttesestdéduitede mesures d'atténuation aux environs de Tokyo, sur une durée de 3 ans et aux fréquences 11.5,34.5 et 81.8 GHz. D'après les auteurs,lesappareilsde mesure au soltendentà sous estimerle nombre de petites gouttes.Ilsemblerai de Laws et Parsons (valeursdiscrètes que le loide répartition pour quelques taux de pluie)sous-estim notablement l'atténuation spécifiquepar lapluiepour des fréquencessupérieuresà 100 GHz. Dans leur lesauteursn'ontconsidéréque des gouttessphériques. travail, 10!r 0.1022 Rom N = 0.346108/T°16e~ R en mm h E [10,70] Neigea sèche) (plutôt 0.458 104r RO..S N = 0.5 1()7 R --0-94 e Grêle DouizlasM N = 4960e -618r Grêle faible Smithl6N = 1.110V1000r R = 10 mm / h Grêle forte Smith 16 N = 5.8104e-S40r R = 100 mm Il Chapitre page14 /h Vu par Chloé II Chapitre seprésente comme suit: avoir activé lemenu réfraction dedialogue La fenêtre quiapparaît après Ellecorrespond au calculde la distribution de Weibull,pour un rayon de goutteégal à 0.25mm, et une intensité de pluievariantde 20 à 100 mm/h par pas de lOmm/h. La fenêtre"EXPLIQUE" définitles dimensionsdes grandeursconcernées. ladistribution ilapparaîtlafenêtresuivante Lorsque l'onsélectionne "Expérimentale", de définir sa propredistribution de diffuseurs qui permet à l'utilisateur par une formule analytiquede son choix. page15 QjuÚJues résultats Lescourbes ci-dessous sont calculées d'eau à 20°C. pourdesgouttes présentées Chapitre il page 16 la section �Bi6Cio £ rapfiie de 1 Manabe T.,Liebe HJ. et Hufford G.A. of water between 0 and 30 THz" "Complex permittivity 12th Int. Conf.Infraredand millimeterWaves (Lake Buena Vista,FL, dec 1987) Conf.Dig. IEEE Catalog n°87CH2490-l pp.229-230 2 Ray P.S. indicesof iceand water" "Broadband complex refractive Appl. Opt. (1972) 11n°8 pp.1836-1844 3 Oguchi T. inrainand otherhydrometeores" wave propagationand scattering "Electromagnetic Proc. IEEE (1983)21n°9p.l032 4 Ozawa Y. et Kuroiwa D. "Dielectric of ice,snow and supercooledwater" properties Microwave propagation in snowy districts (1958) Hokkaido Univ.,Sapporo,Japan) n°6 Y.Asami Ed. (Monograph Ser.of the Res. Inst.of Applied Electricity, pp.31-71 5 NishitsujiA. "Method of calculation in snowfall" of radiowave atténuation Electronicsand Communications inJapan (1971)54-B n°l pp.74-81 6 Laws J.0. et Parsons D.A. "The relation -sizeto intensity" of raindrop Trans.Amer. Geoph. Union 24 (1943) pp.452-460 7 MarshallJ.S.et Palmer W. McK. "The distribution with size" of raindrops J. Meteo. (1948) � pp.165-166 8 Joss J.,Thams J.C.et Waldvogel A. "The variation of raindropsizedistributions atLocamo" Proc. Int.Conf. on Cloud Physics (Toronto,Ont.,Canada, 1968) pp.369-373 9 Sekhon R.S. et SrivastaveR.C. in a thunderstorm" of drop-sizedistribution "Doppler radarobservations J. Atmos. Sci.(1971) 21 pp.983-994 10 Ajayi G.O. et Olsen Ri. formicrowave and millimeterwave applications" "Modeling of a tropical raindropsizedistribution Radio Sci. (1985) 20 n02 pp. 193-202 1 Moupfouma F. et Tiffon J. from microwave scattering measurements inequatorial and tropical climates" "Raindrop sizedistribution Electron.Letters(1982) M n°23 pp. 1012-1014 12 Sekine M. et Lind G. radiowaves" "Rain attenuation millimeterand submillimeter of centimeter, Proc. 12th European Microwave Conf. (Helsinki, Finland,Sept.1982) pp.584-589 13 IharaT.,Furuhama Y. et Manabe T. "Inferenceof raindropsizedistribution from rainatténuation statistics at 12, 35, and 82 GHz" Trans.IECE Japan (1984) F,67n4 pp.211-217 14 Sekhon R.S. et SrivastavaR.C. "Snow sizespectraand radarreflectivity" J. Atmos. Sci. 26 (1970) pp.299-307 £ hapitrtll page17 15 Douglas R.H. "Hailsizedistributions" 11 thWeather Radar Conf. World Conf.on radiometeorology. (Boulder,Colorado,Sept.1964) pp. 146-149 16 Smith P.L.,Musil D.J.,Weber S.F.,Spahn J.F.,Johnson G.N. et Sand W.R. sizedistributions insidehailstones" "Raindrop and hailstone Proc. Cloud Phys. Conf (Boulder,Colorado,Aout 1976) Amer. Meteor. Soc. Boston, Mass. pp. 252-257 II Chapitre page18 III Zhapitre Microphvsique: diffusionpar un hydrométéore page19 La diffusion de diffusion Les propriétés par un hydrométéore isolésontà labase simpledes ondes électromagnétiques Nous avons réuni l'atténuation de ladépolarisation, telsl'estimation de nombreux calculs, spécifique.... dans Chloé lesmoyens d'évaluercettediffusionpour des objetssphériques,sphéroïdauxd'orientati diversesthéories. quelconque,etce en utilisant géométrie des résultats ses notationset sa propregéométrie,l'utilisation que l'ontrouve Chaque auteurintroduisant Nous avons choiside prendrecomme référenc dans lalittérature quelquefoisà un cassetête. s'apparente du diffuseur à partirduquel nous décrivonsla directionde diffusionet l'orientation le champ incident, d'orientation des gouttes.La Ceci nous permettra d'introduire facilement une loi de distribution comparaison entre les résultatsdes diverses théoriesintroduitesdans Chloé est immédiate. Nous indiqueronségalement dans la chapitrede la diffusionavant comment passeraux notationsde certain auteurs. A seral'axede révolution etnous prendrons: du sphéroïde, £ sur:! de module 1 Onde incidente: ! sur z iy = z A x ' indiqueque l'ondediffuséeen champ lointainse comporte On aura soin de ne pas confondre le 'r qui comme une onde sphérique,du 'r relié ' Le premier n'intervient à la taille du diffuseur. que peu dans le et toujourssous la forme t(-ikr)/ikr . texte, L'onde diffuséeestobservéedans ladirection 0,0:K =� soitE = e^ + F2 eQ ÏE,I F[ Indicede réfraction Ilestpossible dechoisir unevaleur constante del'indice deréfraction, cequipermet d'évaluer ladiffusi d'autres matériaux laglace ou laneige. pardesdiffuseurs composés quel'eau, DiffuseursphéroîdaC Le sphéroïde estengendré degrandaxea etdepetit axeb,enrévolution autour del'axe paruneellipse, Ilpeutêtre r estlerayondu diffuseur ou oblong. s'il estsphérique, ou lerayonde lasphère de aplati ell est même volumequele sphéroïde, l'ellipticité. et III Chapitre page20 Il apparaîtque les gouttesde pluie sont d'autantplus déformées qu'ellessont grosses.Nous avons la possibilité de fixerla valeurdu rapportpetitaxe/grand axe, ou bien de le fairevarieren introduit D'où au choix de l'utilisateur. ou laissées des loisprédéfinies, en utilisant fonctiondu rayon équivalent, suivantes: lesquatrepossibilités . bla = constante . bla= 1 - r (cm) bla f(r) 2 ba 1 - 32 dpd�0.1cm 1. 03 - 0.62d = saturéen vapeur d'eau = densitéde l'air 1. 193710-3 g cm-3 p de l'eau = tensionsuperficielle y = 72.75 ergscm'2 cm s-i = vitesse terminalede chute des gouttes v = 965 - 1030e"6'' lavitesseterminalede chute des gouttesestdonnée par 3 . b/a expérimentaleà définir par l'utilisateur La fenêtrecorrespondantedu logiciel se présentecomme "Tmatrice"et"sphéroïde": suit,et apparaîtlorsquel'onestdans l'option 'ineories WhapitrelII Trois possibilités existentpour les diffuseurssphériques:Rayleigh, Mie, et Tmatrice. La théoriede ne devant la longueurd'onde,mais l'utilisateur Rayleigh s'applique qu'auxsphèrestrèspetites peut y faire appel quel que soitla valeur du rayon, afinde pouvoir établirdes comparaisons. De même, Mie et Tmatrice donnent dans ce cas un résultat mais lasphèrepeur êtreconsidéréecomme cas limite identique, d'un sphéroïdedont l'ellipticité tendvers 1. ilne resteque laTmatrice,et dans lecas particulier de la diffusion Lorsque le diffuseurestsphéroïdal, dans leparagraphecorrespondant. Notons que la théoriede avant,une approximationque nous détaillons dans le Rayleigh peut êtreétendue aux diffuseurs sphéroïdaux,mais que nous ne l'avonspas introduite logiciel. 6) Rayleig (ch. La polarisabilité d'une sphère homogène de rayon r et d'indicede réfraction n est indépendantede la etvaut d'aprèsLorentz: direction, n2 +2r e 0 estalors: L'expressiondu champ diffusédans ladirection ( y 3 page21 ( + cc*(e)c�((|�)çe|| £ ,.| � � d'où avec k = 1= + k 31AI2 (sin(O)2cos(�b)2cos(Q)2) Mie lespotentiel Le problème de la diffusion par une sphèrehomogène estsolubleexactement.En utilisant les Les scalaires en problème scalaire. de Debye, on transformele problème vectoriel qui définissent en sont à la diffusé et transmis harmoniques sphériques (intérieur sphère) développés champs incident, inconnusétantdéterminéspar lesconditionsaux limitessur la surfacedu diffuseur. lescoefficients se stabilise avec une Pratiquement,on calculela somme sur lesharmoniques jusqu'àce que le résultat donnée au départ. tolérance de Van De Hulst4(ch.9),leplan de référenceestdéfinipar lesvecteursd'ondediffusé Avec lesnotations et incident.La polarisation parallélenotée par T est la projectiondu champ E dans ce plan, et la perpendiculaire'r'est la composante de E perpendiculaireà ce plan. Les champs sont polarisation également en eiox. Pour une sphère,on a alorspour lechamp diffusé(en champ lointain par rapportà lasphère): 0 KEr)-{ Si(0)J ikr Ero Avec = = = + xcos(0)cos(6) + ysin(0)cos(0) -zsin(0) f /0 jçcos(0) y sin(tf�) \l Zo jro=:rsin(0)-2;cos(0) £ / = £ �/ Er = Er Il 10 El = £ � � /Q = cos(�p) Er. gi - Lo = sin(0) Ilfautdonc relier F2 à E] ,et Fj à -Er. iF2 ="s^)9sW Le programme 'DIFPART a comme r,X, n (Im(n)�0),cos(6)et calculeSj et S2 arguments d'entrée Tmatrice On trouverades renseignementssur cetteméthode de calculde la diffusiondans Barber5 etWaterman6. Cette méthode estaussiappeléeEBCM (Extended Boundary Condition Method). Elle estfondée sur le d'une principed'équivalencede Schelkunoffqui stipuleque le champ électromagnétiqueà l'extérieur surfacerégulièreS, estéquivalentà celuiqui serait de courantssuperficiel produitpar une distribution de la surfaceS, lessourcesproduisentun et magnétique portéepar la surfaceS. A l'intérieur électrique à l'extérieur de S sous la forme plusdiffusé) champ nul.On peut ainsiexprimer lechamp total(incident de surface: d'intégrales E = E; + Va Ua( £ ; +Es) � ; -45-VaVa n*(Hi + Hs)- dS r1 41tlr - J S i'coeo 41tlr r1 Les champs incidentset la fonction de Green sont développés en harmoniques sphériques.Ce à l'intérieur d'une sphère inscrite dans développement parfaitementconnu n'estpas valablesur S; ill'est Chapitre III page 22 III ûapitre à S. On faitalors l'approximationd'écrireles courants d'une sphère circonscrite S, ou à l'extérieur comme lasomme des N premièresharmoniques sphériquesavec des coefficients superficiels équivalents E=0 se transformeen un système linéaire de lasphèreinscrite, inconnus.A l'intérieur qui relie l'équation On obtientd'autres connus des champs incidents. lescoefficients inconnus des courantsau coefficients des champs). des composantes tangentielles relations en utilisant lesconditionsaux limites(continuité sont des combinaisons de T-matrice)résultant du système matriciel Les coefficients (d'oùl'appelletion d'harmoniques sphériques sur S. Une fois ce système résolu,on connaît les courants d'intégrales et de l'indice et Le nombre N à utiliser dépend de laforme,de lataille superficiels donc lechamp diffusé. de systèmesraisonnables de réfraction du diffuseur. La méthode fonctionnecorrectementpour des tailles assezmolles. (N�10)dans larégionde résonnanceetpour des formes de diffuseurs dans Chloé a été écritpar Peterson7.Dans ce cas,c'estl'axede Le programme que nous avons introduit et l'axe A. Le du est symétrie sphéroïdequi priviligié. plande référencecontientle vecteurd'onde incident La géométrieestla suivante: Ilnous faut,en fonctiondes données d'entrée de Chloé déterminerlagéométrie correspondanteavec les notationsde laTmatrice,fairelecalculde diffusion, et exprimer lerésultat avec lesnotationsde Chloé. * Géométrie du problème vue par la Tmatrice On passede (x,y,z) à (X,Y,Z) par latransformation = -en = -xcos$cosa- ycos$sina + zsinfi Z = er = -x sinp cos a + y sinP sin a + z cos P Les noms utilisées ci-dessoussontceux du programme en language C, afinde faciliter sa relecture et sa compréhension. L'indice1 représentele repère (x,y,z)de Chloé, 2 celui(X,Y,Z) de la Tmatrice; "r" coordonnées rectangulaires et "s"coordonnées sphériques. signifie Ainsi,Mlr2r estla matricede passage du repèrede Chloé en coordonnées rectangulaires au repèrede la Tmatrice également en coordonnées soit rectangulaires, M\r2r = sina -cosa 0 sinfisina cosp M2,1, est la matrice transposée.MiT]s est la matrice de passage dans la notation de Chloé des coordonnéesrectangulaires en coordonnéessphériquesreliées à ladirection de diffusion, soit -sinficosa Mlrls = cosQsinty -sinQ cos �|� 0 et M2rir estsa matricetransposée. Le vecteurd'ondediffusés'écrit dans lerepère(x,y,z): = 0 cos sin 8 sin cos ty 0 KI, (sin 0) cosQcosty - sin 0 et devient dans le repère (X,Y,Z) K2r = Mlr2, KIr. On en déduit lesangles 02 et 02 qui définissent l'orientation de K dans lerepèrede laTmatrice. - Calcul de la diffusion Peterson utilise lespolarisations T et perpendiculaire 'r' parallèle pour leschamp incidentet le champ diffusé. Ellessont construites comme suit, de propagationdans ladirection pour une direction gj Pour lesdirections incidentes etdiffusées, on a ainsi: page23 = xsina-ycosa 1 10 = = 1 e 02 ne se mélangent pas. Le programme ces deux polarisations Si le diffuseurest à symétriede rotation, de réfraction n TMAT' a comme arguments d'entrée lerayon équivalentr,lalongueurd'onde X, l'indice ellet calculela Tmatrice pour le diélectrique homogène de ( à partieimaginairepositive), l'ellipticité révolution. Le programme 'DIFF a comme arguments d'entréeP, 02, 02 et calculelesamplitudes de diffusionPr etpl ,en utilisant laTmatrice qui vientd'êtredéfinie.Ennotant Pret Pllesamplitudesde diffusionsurchacune des polarisations.calculées par laTmatrice pour lesanglesp, 02 et 02,on a: D'où l'expression du champ diffusé E = ~2s ( p, sin ue 02pl- cos ae 02 kr kr est de le coordonnées diffusion dans de la en Tmatrice, A2s l'amplitude repère sphériques.On en déduit immédiatement son expressionen coordonnéesrectangulaires: cos a cos02 cos 02 - Pr sina sin 02 - Pl + pr sina cos �1�2 /42r = -pi cos a cos02 sin02 Pi cos a sin02 Retour aux notations de Chloé Ilsuffit de l'exprimer dans notrerepèresur lescomposantes sphériquesliéesau vecteurd'ondediffuséK. Successivement AIr = M2rir A2r et AI. = Mlrls Air ,soit E. e= ikr-icu Ais = eikr-iom (,40f, + AOÊ,,) et de tenircompte des conventionsdifférentes quand à la fonctionde Green utilisée(les champs sont en en déduire e-il )pour que: 1F2 = (V) * Remarques La durée du calculvarieselonlesparamètres,mais ilfautenviron 3 minutes pour évaluerlesamplitudes de diffusiondans une directiondonnée. Comme la méthode devient trèssensibl beaucoup d'autres, sur laprécisiondes résultats: lenombre lorsquelerayon des gouttesaugmente. Deux paramètresinfluent A d'indicesazimutaux sur lesquelson développe la solution, et le nombre 1 d'intervalles d'intégrati utilisés de faireun compromis entrelaprécisionfinaleet ladurée du par leprogramme. Ilestnécessaire calcul.Nous avons choisile couple de valeursA=8, 1=96. Le calculest inhibépar le logiciel dès que k.rmax estsupérieurà 5. Chapitre III page 24 Diffusion latérale Paramètres d'entrée T rayon r 101 [T-l] [L] [L] a, P e, l/J [] [] / À températuredu milieu:eau et/ouglacesuivantlecas dans levide fréquencede l'ondeincidente levide d'onde incidente dans longueur c'est le du diffuseur , plus souvent en mm. Dans lecas d'un sphéroïde, équivalent rayon lerayon équivalent(rayonde lasphèrede même volume).Pour lagrêleet laneige,r est lerayon du grêlonou du floconfondus. du sphéroïdepar rapportà l'ondeincidente de l'axede révolution orientation de diffusion direction de réfraction de l'indice Sur la fenêtrede calcul,la températurequi n'intervient que par l'intermédiaire de réfraction. la fenêtre n'est modifiable dans les variables mais qu'enappelant apparaît potentielles, grandeurs calculées F j F2 [] amplitudesde diffusion complexes / [] de intensité diffusion 1 = Il fi If + IIF2 If Vu par Chloé La fenêtre dedialogue a l'allure suivante Dans ce cas,l'utilisateur calculel'intensité de diffusioncréée par une sphère de rayon 2mm, composée d'eau à 20°C (Manabé), en utilisant la théoriede Mie. La fréquencede l'ondeincidenteest40GHz, soit une longueurd'onde de 7.5 mm. On obtiendradeux indicatrices de diffusion: l'unepour 0=0 degréset un angle 0 variantde 0 à 360 degrés par pas de 1 degré,et l'autre pour 0 =90 degrés,0 variantde même. Les angles a et/3ne sontpas importantsicipuisqu'il d'une sphère. s'agit III Chapitre page25 La fenêtre"EXPLIQUE" résume lesnotations adoptées Quelques résultats La figureci-dessousreprésente lesindicatrices de diffusion calculées avant (0= 0) plus haut.La direction se trouve vers la droitedu dessin,où l'intensité diffuséeestla plus forte. Le plan 0 =0 estquelquefoi et le plan 0 =90 'planperpendiculaire', à cause de l'orientation des champs appelé 'planparallèle', incident etdiffusé. électriques III Chapitre page26 Diffusion avant Paramètres d'entrée T 101 rayon r [T"'] [L] [L] a, P [] / A températuredu milieu:eau et/ouglacesuivantlecas dans levide fréquencede l'ondeincidente dans levide longueurd'ondeincidente c'est , plussouvent en mm. Dans lecas d'un sphéroïde, rayon équivalentdu diffuseur le lerayon équivalent(rayonde lasphèrede même volume).Pour lagrêleet laneige,r est lerayon du grêlonou du floconfondus. du sphéroïde par rapportà l'ondeincidente de l'axede révolution orientation Les angles 6, 0 sont choisiségaux à 0 (voirle § ^marques). même direction K. Donc que l'ondeincidente: =/s.. E = L' onde diffuséeest observée dans la + (Fly_ F2x)lEi\\�]-- Grandeurs caCcuUes [] F] F2 �[ amplitudesde diffusion complexes intensité de diffusion 1 = IIF¡ 1112 + IIF2112 Oex, [L2] sectionefficace d'extinction = X2Rt(F2)/n Qext 11 facteur d'efficacité pour l'extinction = (Fexi /nr2 Odiff P- sectionefficace de diffusion I sinQdQdy = k 12f Qdiff 11 facteur d'efficacité pour ladiffusion = Gabs P- sectionefficace d'absorption Qabs [] facteur d'efficacité pour l'absorption = (Yee Gdiff = Qe xi Qdijf Odiff/nr Théories fuspitrtlll Les diversesrelations exposées plushautprennentdes formes simplifiées qu'ilpeut êtreutilede décrire. Rayleigh Le champ diffuséen avantest: £ = _/2 - - ikr d'où page27 FI =0 F2 = -ik3A J = élAI2 k4\A\2 aext -4 nk Im (A) + 8n =-4nklm(A) (Jabs Mie En diffusion avant, 51(e =0) = 52(6 = 0) Donc F2 = S2 I = IS2 12 = (Jext Re(S2) 21r2 Y (2/i + \)Re(an + bn) 2n2 n=l taabs(yexi - Gdiff Les coefficients icisontobtenus lorsdu calculde la solutionde Mie. a,,et bn qui apparaissent Tmatrice On peut maintenant mener le calculjusqu'aubout et donner l'expression complète des amplitudes de diffusion en fonctiondes amplitudesen polarisation horizontale et verticale: FI = -isinacosa(-pi + pr) Pi fy = i\Pr = n évalué Gdiff pas cabs pas évalué Approximation(pourlesphéroïde aplati composé d'eau) Ilestpossible,d'aprèsUpton et Holt8 d'avoirune bonne estimationde la sectionefficaced'extinctio d'un sphéroïdeaplatien utilisant la théoriede Mie qui estplus rapideau pointde vue du temps de calcul Pour des diffuseursde kr �3,l'erreur horizontalen'estjamais supérieureà 4%, et pour la polarisation la elle ne 6%. verticale, pour polarisation dépassepas deux faits. Le premier est une relation entrelesamplitudesde L'approximationutilisée par Chloé utilise et verticale diffusionvers l'avant horizontale pour un angle d'incidence quelconque,et lesamplitudesde diffusion avantpour lesincidencesparticulières 0 et 90°: (v) (h) = ir, P) = = F2(a Ir@ p 0)cos203) + F2 (a =ir, ir/2) sin 2 = 7r/2,p)= F2(a ir / 2,p = 0)cos2(P) + F2(a = n/2,p = n/2)sin2(P) F2(a F2(a immédiatement en termes de sectionefficaced'extinctio Puisque oexl= A2 Re(F2) / n, ceci se réécrit de diffusion ne dépend plusde (X.En notant Remarquons que lorsqueP=0, l'amplitude ilvient 111 Chapitre page28 = Lcos2(/3) = 2 Tt) sin2 (fJ) Z COS2 � £ , (/?) = (P) + (j;", sin2 = f ) Considérons maintenant l'amplitudede diffusiondans une directionquelconque. Les notationsde la établie larelation nous allonsutiliser Tmatrice mettantbien en évidencelesdépendances angulaires, plus haut: = p, (0) sin2 (a) + ;�,Q3)cos2(a) F2 aux sontà relier et I=parallèle Les grandeursp sontindépendantesde a. r=perpendiculaire respectivement relation se réécrit cette théorème v=verticale. Grâce au h=horizontale et optique , polarisations COS2(a) a,xl(a,P)= c^,03)sin2(a) + (j;", ({J) avec = �lm(p,(P)) A2 rn (p, n n Au total, on obtientpour une direction quelconque = Tt/2)+ cos2(a)sin203)�T;x, (-a= Tt/2) = cos2 (fJ) lsin2(a)sin2(/3)^,(^ + Iciintervient l'approximationde Upton et Holt qui relieces sectionsefficacesà cellesque donne la théoriede Mie de lafaçon suivante: 7 7 La forme finalede l'approximation est �r^(r,X,ell,a,P)= = cos203)cC'(r, \,ell,a quelc.,0= 0) + sin2(a)sin 2 (r ell-'I',.I) + cos2(a)sin 2 Cette formule permet de gagner beaucoup de temps calcullorsquel'onétudielesvariations de la section efficaceen fonctiondes angles a et p :ilsuffira de faireun appel au calculde diffusionpar laTmatrice et deux appelsà la théoriede Mie pour engendrertouteslesvaleursde a désirées. Elle serautilisée en lorsdu calculde l'affaiblissement linéique. particulier Remarques Ilpeut arriverqu'un calculde diffusionavant soità effectuer comme cas limitede la diffusionlatérale. Les quatreparamètresqui décriventlagéométriedu problème sontalors: 6=0 �p, a. Pquelconques On disposedonc d'un angle supplémentaire0. Les valeursde Flet F2 fourniespar la fenêtre'diffusion DIFLAT et par la fenêtre'diffusion latérale' dans le fichier avant'dans le fichier DIFAVA ne serontpas lesmêmes. En effet, dans lepremier cas ellesreprésentent lesprojections du champ diffusésur lesaxes sur lesaxes x.ety .Ceci n'affecte pas bien sûr les fa et4 ' alorsque dans le second cas,on projette Ilsuffit de remarquerque: valeursde l'intensité. fil Çfutpitrt page29 *z = + /--il=0^ sin F!=O co,î Ces relations de passage sont valablespour les composantes du champ diffusé,mais ne s'applique auteurs. Cellecidoitêtremodifiéeen utilisée pas aux composantes de la matricede diffusion par certains tenantcompte de transformations à la foissur le champ incidentet sur le champ diffusé. On trouver ces relations de symétriedans Van De Hulstp48. Oui peutêtreutile On peut montrer 7,9qu'enpolarisation lapartieréellede l'amplitude de diffusion, et donc la horizontale, sectionefficace ne dépend que du produitkr : d'extinction, Re(F2«x = j,$= a0)) = tykr) avec: tyx) = x 8 + 12 A"4'89* + e-2.17x cos(2nx)}{tanh2x}* Ceci est valablepour des fréquencesallantde 30 GHz à 210 GHz.11 existeune relationdu même type pour lapartieimaginairede F2, mais avec une autrefonctionpluscompliquée.Les erreurssontbeaucoup verticale. plus importantespour lapolarisation 0.79411 Comparaison des notationsavec ceCCesd'autresauteurs iciquelques "formules de Chaque auteur ayant sa notationpropre, ilnous a semblé utiled'établir passage". Dans toutle texte, on notera: A: axe de révolution du sphéroïde k: nombre d'ondepour l'ondeincidente etdiffusée Morrison10 Les amplitudesde diffusionsont motées SI(0)et S/j(0) ,et sont sans dimensions. Z X Dans cettegéométrie,leschamps incident et diffuséont comme expression: Pour passerdes notationsde Morrison à cellesde Chloé, ilfautreprendrelechamp E comme III Chapitre page30 référence Morgan11 La géométrieestexactement cellede Morrison,lespolarisations 1 et IIsontrespectivementnotéesv et h. Le champ diffusés'écrit -ikr+im ES=fi - - kr Oguchi12 Oguchi note lesamplitudes fvet/h avec ladimension d'une longueur. 7 Les champs sont Einc e(X,Z) v polarisation -� Es = §.incfv(k,k) ginc 1 IY h polarisation -� r D'où lacomparaison Chloé-Oguchi: III Chapitre page31 Es = Eincfh(k.k) Oguchi-Morrison Ilestintéressant d'établir lepassageentrelesdeux notations Iv(m)103 =- ^Eïl^O) //,(m)103 =-^^liS*n(0) Uzunoglu13 Les amplitudes sont également fvet/h avec lesdimensions d'une longueur,mais la géométrie est un peu différente ainsique lesconventionssur lesfonctionsde Grecn: Çinc-Çv -» ^ = Evfv(0)�� r Êinc-Ç.* � ^=Ehfh(0)�� En comparant avec lesnotationsde Morrison,on voitimmédiatement que: III Chapitre page32 =-ikfv(0) Si (0) {SnW^-ikfhiO) etdonc: Van De Hulst4 de lasphère,avec lesamplitudes SI S2 sans dimensions,et lagéométrie Ils'agit icidu cas particulier -ikr+i�ùt = avec en diffusion avantet �$� Es = [Er + Elf] e ik, 0 (r = r_mc =-y, . [ = /(nc= x\ ikr me -ikr+iutt ikrElinc Donc, pour une sphère,lepassageà nos notationsest: S2 (0)= F2(a et P quelconques) SI (0) S2 (0) ;FI = 0 Vu par ChCoé 111 Chapitre Si l'utilisateur remplitla fenêtrede dialoguede la manière suivante, d'efficacité d'extinction ilcalculera lessectionefficace et facteur pour un diffuseur sphéroïdal(saforme est de l'axedu sphéroïdevariepar l'intermédiaire L'orientation cellequi estdéfiniepar défaut). de l'angle beta, ladeuxième variableest la estdéfinien activantlacase "Indice longueurd'onde.Le matériaudu diffuseur de réfraction": i page33 L'indicea lavaleur2.118-i0.513,indépendantede lalongueurd'ondeet de latempérature. Comme dans lesautrescas,lafenêtre"EXPLIQUE" reprendlesnotationsutiles: QjieCquesrésultats A titre la courbe ci-dessousprésente,pour une goutted'eau sphérique,les variations du d'illustration, faceurd'efficacité en fonctiondu rayon.On a utilisé la théoriede Mie. La grandeur A pour l'extinction de représentéeen abscisseest définiepar x =2nr / A . Pour une longueur d'onde de 3mm, l'indice réfraction a la valeur3,368 -i 1,945.Cette courbe se place entrecellesde la figure60 de l'ouvragede Van de Hulst. III Chapitre page 34 Diffusion arrière Paramètres d'entrée T [0] / A rayon r rr*] [L] [L] a, P [] températuredu milieu:eau et/ouglacesuivantlecas dans levide fréquencede l'ondeincidente d'onde incidente dans levide longueur c'est rayon équivalentdu diffuseur,leplussouvent en mm. Dans lecas d'un sphéroïde, lerayon équivalent(rayonde lasphèrede même volume).Pour lagrêleet laneige,r est lerayon du grêlonou du floconfondus. de l'axede révolution du sphéroïde par rapportà l'ondeincidente orientation L'onde diffuséeestobservéedans la direction 6=n, 0=0 :K.= k. -ikr+i(ùt Paramètres de sortie de diffusion complexes F 1 F [] amplitudes 1 l intensité de diffusion Grad [L2] section efficace radar = ÀZI Qrad [ facteur d'efficacité radar =(J �/nr2 1 Théories Ravleigh Le champ diffuséen arrière est: À - -1 d'où 1 = = 0 Grad=4nkA\A\2 111 Chapitre page35 ikr + = IIFl112 ll/rjl2 L Mie En diffusion arrière, 'F\ =0 F2 S2 1 = IS212 Grad = X2 l^l* Tmatrice de laTmatrice: Les anglesde diffusion sont,avec lesnotations 62 = n- P 02 = 7r d'où + pr) Fi = i sin acosa[pi = F2 i(prsin a- pi cos a) �i=n2+\F2\2 Grad = � / 7t Approximation (pour le sphéroïde aplati composé d'eau) Les approximationsne sontplus valablesque pour kr �1.5et des fréquencescomprises entre57 GHz et et de 6% pour lapolarisati 210 GHz. Les erreurssontde l'ordre de 3% pour lapolarisation horizontale, être verticale. Si kr estplus grand,leserreurspour certaines beaucoup tropimportantes gouttespeuvent de gouttes, celene conduitqu'àune mais d'aprèslesauteurs,lorsqueoracjestintégrésur une distribution erreurde 0.2 dBz sur laréflectivité. L'approximation porte icidirectement sur la sectionefficaceradar,et non plus sur l'amplitudede comme dans lecas de ladiffusion avant. diffusion, 7 Z iln'estpas possibleic rétrodiffusée, Puisque la sectionefficaceradarestdéfinieà partirde l'intensité d'étendrel'approximation à une orientation quelconque du champ par rapportà l'axeA. Ce module n'es pas implantépour le moment. ^marque Comme on a choisile plan 0=0. Le calculdes pour la diffusionavant (s'yreporterpour les détails), arrière de lafenêtrede diffusion à partir latérale etde lafenêtrede diffusion arrièr amplitudesde diffusion don' des résultats eton passedes uns aux autrespar: différents, F-i O=o . 1 ,-6=0 .. FO 2 fil Chapitre page36 d'autresauteurs Comparaison des notationsavec celles On peut se reporter au § "Diffusion avant"pour lagéométrie,l'axedu sphéroïdeet l'ondeincidenteétant disposésde lamême façon. Oguchi Cas v (vertical): , _ F2(a = 0,p = n-qo) Cas h (horizontal): fh = F2(q = 37t/2,p= Tt - ao) Uzunoglu Cas v (vertical): r '2(ct = n,P = Uo) Pl Cas h (horizontal): fh (n) F2«x= n/2,p= (x,) _» Morrison SI(7i)= -(F2(q n-5 = a0))* = -i Pl = i pr Sn(n) = -[F2(a = 7t/2,p = qe))* Vu par Chloé La fenêtrede dialogueestpresquesemblableà cellesque nous avons présentées plushaut: et la fenêtre"EXPLIQUE" III 'hapitre est: page37 Quelques résultats du A titre la courbe ci-dessousprésente,pour une goutted'eau sphérique,lesvariations d'illustration, en lathéoriede Mie. La grandeurx représentée faceurd'efficacité radaren fonctiondu rayon.On a utilisé a la valeur de réfraction abscisseestdéfiniepar x=2m / A Pour une longueurd'onde de 3mm, l'indice . 3,368 -i 1,945.On comparera cettecourbe à cellede lafigure61 de l'ouvragede Van de Hulst. III Chapitre page38 (BiSCio^raphie � section £ i ta 1 Morrison J.A. et Cross MJ. wave by axisymmetricraindrops" of a planeelectromagnetic "Scattering B. S. T. J. (1974) 52 n°6 pp.955-1019 2 Pruppacher H.R. et Beard K.V. at terminalvelocityin air" and shape of water drops falling circulation of theinternai "A wind tunnelinvestigation Quart. J. Roy. Meteor. Soc. (1970) 22 pp.247-256 3 Gun R. et Kinzer G.D. "The terminalvelocityof fallforwater dropletsin stagnantair" J.Meteorol.(1940)2 pp.243-248 4 Van De Hulst H. C. "Lightscattering by small particles" John Wiley � Sons, New York(1957) 5 Barber P. et Yeh C. bodies" waves by arbitrarily of electromagnetic shaped dielectric "Scattering Applied optics (1975) H n°2 pp.2864-2872 6 Waterman P.C. "Matrixformulationof electromagnetic scattering" Proc. IEEE (1965) 52n°8 pp.805-812 7 PetersonB. "Numerical computationof electromagnetic from rotational symmetric configurations" scattering Institute of Theoretical Report TMF 75-1 (1975) physics Internai 8 Upton S.A.J.et Holt A.R. "Calculation of scattering wave frequencies" parametersat millimètre Fourth International Conférence on Antennas and Propagation(/CAP 1985) Coventry England pp. 184-188 9 Oguchi T. from hydrometeors:a survey" "Scattering Radio Science (1981) 16.n05 p. 715 10 Morrison J.A. et Cross M.-J. of a plane electromagnetic wave by axisymmetricraindrops" "Scattering B. S. T. J. (1974) 53 n°6 pp. 955-1019 Il Morgan M.A. "Finiteélément computationof microwave scattering by raindrops" Radio Science (1980)15_n°6pp. 1109-1119 12 Oguchi T. et Hosoya Y. of oblateraindropsand crosspolarization of radiowaves due to rain(PartII): "Scattering properties calculations wave régions" at microwave and millimeter J.Radio Res. Labs (1974)21 n°105 pp. 191-259 13 Uzunoglu N.K., Evans B.G. et Holt A.R. of electromagnetic radiation and propagationcharacteristics of terrestrial and by precipitation "Scattering particles space communication Systems" Proc IEE (1977) 124 n°5 pp.417-424 III �chapitre page39 Effetintégrédes hvdrométéores l'll Chapitre page40 (jénéralités ilnous fautdéfinirleur Les hydrométéores étanten généraltrèsnombreux sur letrajet d'uneonde électromagnétique, ce soit en ce qui concerne leur effetglobal.Le problème est trèscomplexe, car lesdiffuseurssont tous différents, que se ferasentir leurforme, leurorientation et leurvitesse, taille, pour ne citerque quelques uns des paramètresdont l'effet sur lapropagationde l'onde. Le menu "Hydrométéores"intègreleproduitdes amplitudesde diffusion définiesau chapitreprécédentpar la fonction de répartition de taille des gouttes.Les grandeursobtenues dépendent donc encore de l'orientation du diffuseuret de la direction de diffusion, avec lesmêmes notationset conventionsque dans lescalculsde diffusionsimple.Puisque c'estle le logiciel estprêtpour y introduire éventuellementune intégration sur l'orientation champ incidentqui sertde référence, des gouttes.Le menu "Affaiblissement de la diffusionvers l'avant, donne un ordre de lesrésultats linéique", qui utilise Le menu "DiffusionLatéraleIntégrée"permet de se faire grandeurde l'affaiblissement moyen induitpar lemilieutraversé. une idéedes diagrammes de diffusion à un petitvolume du milieu . moyens équivalents Les résultats de cettesectionsontà utiliser Ilesten effetfaux de multiplier avec précaution. l'affaiblissement linéique du milieu traversépour en déduire l'affaiblissement effectif du signal.Ceci n'est (exprimé en dB/km) par l'épaisseur possibleque sile milieuesthomogène. De même lesgrandeursde diffusionlatérale intégréeperdenttoutleursens sion lesappliqueà de grands volumes. Les principales difficultés dans l'élaboration d'un logiciel telque Chloé sont dues toutd'abordà la qui apparaissent nécessitéde faireun compromis entre la vitessedu calculet la précisiondu résultat, mais aussi au faitqu'un même en est un bon exemple: un programme programme doit s'adapterà des cas de figuretrèsdifférents. L'intégration sur toutl'intervalle donnera de moins bons résultats sur des parfaitementadapté à des fonctionsrégulières d'intégration fonctionsdont le supportn'occupequ'une faiblepartiede ce même intervalle. Nous avons essayé de fairepour le mieux dans Chloé. PU Wiapitre page41 Affaiblissementlinéique Paramètres d'entrée f A a, �[ pluie(R ) [T" ]* [L] ] [LT-1] T [8] dans levide fréquencede l'ondeincidente dans levide longueurd'ondeincidente du sphéroïde par rapportà l'ondeincidente orientation de l'axede révolution leplus souvent en mm/h. Dans le cas de lagrêle intensité de pluieou taux précipitant, en eau liquidede laprécipitation. ou de laneige,R est l'équivalent températuredu milieu:eau et/ouglacesuivantlecas Grandeurs calculées Total [L"'] Horizontal.Vertical [L"1] affaiblissement linéique total affaiblissement linéiqueselonlesdeux polarisations (cf. le chapitre!!!: Comparaison... Morrison) : horizontale: P peut varierdans leplan o=tx12 verticale:peut P varierdans leplan a=n Théorie On peut obtenirune valeurassezprécisede l'affaiblissement de diffusion sur letrajet en utilisant multiple l'approximation entre au premier ordre.Ceci consisteà direque lesphases des ondes diffuséespar leshydrométéores ne sont pas reliées et que seuleslesénergieset non pas lesamplitudess'ajoutent. elles, Dans ce cas,on peut écrire : -JA�,z)d2 0 i = v dans laquelle / estl'intensité émise.A(z) d'uneépaisseurL du milieu.10 estl'intensité moyenne de l'ondeaprèslatraversée estl'affaiblissement estappeléprofondeuroptique.On montre que: linéique. L'opposéde l'intégrale A(z) j~N(r,z)GtJr)dr N la densitéet Oext la sectionefficacede diffusion Si N esten m -4 et Oext en m2, A Ici,r est le rayon du diffuseur, est en m1. On l'exprimecouramment en dB/m en multipliantpar 10/Ln(10)=0.4343. On pourraittraiter de façon des autresparamètrestelsque l'orientation. identiquel'influence Pluie ou grêle On appliquela définition r estlerayon équivalentlorsquelesdiffuseurs dans laquelle ne sont ci-dessus, pas sphériques : AdBim = ��\lH{r,R)otxl{r,X,n,ell,o.,P)dr Neige Le cas de laneige demande quelques explications. Du pointde vue météorologique,on classelesdivers types de neige d'après le contenu en eau des flocons après fusion,alors que du point de vue réellequi compte. On est donc amené à distinguerle rayon "réel"du électromagnétiquec'estla taille lesfloconssontsupposés sphériques; flocon:r et lerayon du floconfondu: a .Dans ce qui suit, ce sont Nous noterons: des mélanges d'eau,de glaceetd'air. PE, PE, VE PG, PG,Va PA, ,PA'VA masse volumique, fraction volumique et volume de lapartieeau masse volumique, fraction volumique et volume de lapartieglace masse volumique, fraction volumique et volume de lapartieair Pf,Vj masse volumique et volume du flocon et PU Chapitre page42 W Piapitre + des masses donne larelation: L'égalité pfvf = PAVA + PE VE pGVc En négligeantlechangement de volume entrelaglaceet l'eauliquide(p E "Pc ),on peut écrire r3pf=a3pE + (r3 -a3 )p ce qui donne On peut icinégligerlefacteurcontenantla massse volumique de l'air, PE r où d est la densitédu flocon de neige.Les approximationsque nous venons de fairenous permettent d'établir une relation entred et lesfractions volumiques d'eauetde glace.On peut en effetconsidérerque lamasse d'eaudans lefloconfondu estsensiblementégaleà lamasse de glaceetd'eaudans le floconnon fondu, soit - ttt3 VGpc + VEpE =pE{pc + pE)Vf = d . Lescas "neigemouillée"et "neigesèche" proposés à l'utilisateur sont des d'où pE + pc =(a/r) cas extrêmes.Dans lecas de laneige mouillée,la fraction volumique occupée par laglaceestconsidérée comme nulle,et l'ona pE - d ;dans lacas de laneigesèche,c'estla fraction volumique de l'eauqui est de fonte que nous avons négligéeet pG = d (de façon un peu moins exacte à cause du coefficient négligé). D'autrepart,c'estle rayon fondu qui intervient dans la distribution de taille des gouttestelleque nous l'avonsdéfiniedans lechapitre'Densité'. Nous noteronsN (a )lenombre des floconspar unitéde volume du milieu,dont de rayon fondu estdans l'intervalle il [a,a+da]. Pour calculerl'affaiblissement linéique, faut exprimer cette densité en fonction du rayon non fondu r qui intervientdu point de vue SoitD (r )le nombre de floconsdont lerayon non fondu estdans [r,r+dr].Puisque électromagnétique. D (r )dr = N (a )da, en utilisant larelation que nous avons déterminéeentred, a etr,on obtient D(r) = N{à)rT=N (r$d)yd dr d'où AjBim = 4.343W fiN{rVd,R)OtII(r,X,n)dr A noterque le taux de précipitation R qui intervient dans la fonction/Vestl'équivalent en eau liquidede lachute de neige. Nous avons sélectionné la neige mouilléee et la neige parmi lestypesde neige présentéspar Nishitsuji sèche. On trouveraci-dessouslesparamètresutilisés Bien par défautdans lecalculde l'affaiblissement. lorsdu calculdes indicesde réfraction. entendu,ce sontlesmêmes que nous avons déjàutilisés neiiie mouillée �= 4.343Wj,50/^/V(rW,y?)a�,(/-,A,W)dr lesbornes de l'intégrale sonten mm. L'indicede réfraction n estcalculéavec u = 20 pA=0.14 pE=0.26 pc = 0 * neige sèche sur lesrayons se sépareen deux parties L'intégration page43 = AdJJlm ^^^\°J^^{r^dXtR)atxl{r^nx)dr + 4.343^ \^^N{rlfd~2,R)oexl{r,X,n2)dr avec de réfraction Les indices respectivement n] etn2 sontcalculés m = pc=0.1 PE = pA. = 0.90 n,: u=2 PG=0.02 pA:=0.98 PE=O n2: rayon non fondu L'approXimation Le calculde l'affaiblissement dans le cas d'un sphéroïde avec la Tmatrice est extrêmement long: chaque appel à ce Le travail de 2 ou et ily a autantd'appelsque nécessités 3 minutes, par le programme d'intégration. proogramme prend nuit est fortement conseillédans ce cas. Comme nous l'avonssignaléau chapitreprécédent (§(Diffusion Avant), de la section de Upton et Holt fournitun résultat en beaucoup moins de temps. Reprenons l'expression l'approximation efficace de diffusion qu'ils proposent: + sin2(a) sin2 (,6 ) a,'. r e 11 Puisque nous n'intégrons que sur lesrayons,ellese transformesimplement en A f N (r) G(W'(r.X,ell,a,$)dr = quelc.p = 0)dr Gt £ fu(r,X,ell,a = cos2($) J N(r) + sin2(a) sin2 N (r)c�f(r ell- 1/9, X)dr (P) J + cos 2 (cc) sin 2 (P)f N (r) cim'e exi (r ell'/3, X)dr Elle permet de gagner énormément de temps uniquement dans le cas où les angles a et/ouB sont choisiscomme avec laTmatrice,et on intègredeux foisla théoriede Mie, qui est variables. On ne calculequ'une seule foisl'intégrale et les valeurs de l'affaiblissement s'en déduisent pour touslesangles. plus rapide, L'intégration sur lesrayons est faitepar la méthode de Gauss-Legendre sur un intervalle d'un rayon minimum fini, L'intégration utilisées est32. 0.001mm à un rayon maximum égal à 8mm. Le nombre d'abscisses PU Chapitre page44 égal à Vu par Chloé de dialoguesuivantes Les fenêtres de 24mm/h suivantlaloide Marshall-Palmer, permettentde calculerl'affaiblissement linéiqueinduitpar une précipitation vaut 8.032 -i 2.059.On peut aussientrercette pour une onde incidentede fréquenceégaleà 10 GHz. L'indicede réfraction valeuren choisissantla théoriede Ray à 20°C. Le milieuestsupposé composé de sphéroïdes,dont lesaxes ont tous la même inclinaison définiepar lesanglesa =2 degrésetP = 10 degrés,et on utilise laT matrice.L'ellipticité des diffuseurs variesuivantleurtaille en suivantla loide Pruppacher. La fenêtre"EXPLIQUE" associéeest PU Chapitre page45 (Diffusionlatéraleintégrée Paramètres d'entrée f A a, �[ 010 pluie(R ) irli [L] ] [] [LT-1] T 101 dans levide fréquencede l'ondeincidente d'onde incidente dans levide longueur du sphéroïdepar rapportà l'ondeincidente orientation de l'axede révolution de diffusion direction intensité de pluieou taux précipitant, leplus souvent en mm/h. Dans lecas de lagrêle en eau liquidede laprécipitation. ou de laneige, Restl'équivalent températuredu milieu:eau et/ouglacesuivantlecas Grandeurs calculées I (6, 0 ) [L"3] de taille des diffuseurs sur lesrayonsdu produitde lafonctionde répartition Intégrale : de diffusion telle estdéfinieau chapitreIII Microphysique. par l'intensité qu'elle diffusion par un hvdrométéore:diffusionlatérale Il,12,Inat [L-3] du produitde lafonctionde répartiton calculéedans des plans Intégration par l'intensité = = de polarisation 1 1 (8,0=0) et/2 (0,0=71/2) particuliers: Il Inat= Il+ 12 estl'intensité intégréepour la lumièrenaturelle. Lumière naturelle Ce menu est une généralisation immédiate du menu d'affaiblissement linéique. Simplement, ilfautremplacer dans les lasectionefficace d'extinction diffusée: intégrales par l'intensité hnt = ^N(r,R)I(rXn,ell,a.,%Q,(Sf)dr Avec lesnotations de lathéoriede Mie pour des diffuseurs III Microphysiqucdiffusion : classiques sphériques(chapitre par un hvdrométéore: généralitéset notations)nous allonsexpliciter ci-dessouslesdiversesgrandeurscalculées. Rappelons / dans ladirection diffusée que l'intensité B, 0s'exprime = Jfz = S2(*)coS(0) 2 2 2 2 Nous aurons donc 12= I(o@ 2 ISJ (0)12 /1=/(e,�t)=0)=|s2(e)|2 et pour la lumièrenaturelle dont lesplansde polarisation sontrépartis aléatoirement = 'i+/2 = |W|2 + IS2(0)12 lnar Vu par Chloé La fenêtrede dialogueestsemblableà cellede l'affaiblissement, avec deux variables supplémentaires indiquantladirection de diffusion: lafenêtre"EXPLIQUE" PU Chapitre est page46 Quelques résultats Les courbes présentéesicicorrespondentà lafenêtre Les valeursde l'indice de donnée en exemple au paragrapheprécédent. réfraction etde ladensitéont étémodifiéesen ouvrantlesfenêtres concernées.Le calculdes 181 pointsa nécessité environ 3 minutes. La diffusionintégréereprésentela moyenne d'indicatrices de diffusiondont lesextrêmes correspondentaux gouttestrès on retrouvelescaractéristiques de la diffusionde Rayleigh,et aux grosses petites(figurede gauche), pour lesquelles gouttes qui diffusentprincipalementvers l'avant(figurede droite).Dans les deux figuresqui suivent,l'intensité de diffusiond'une goutteunique esttracéeen polaire, la direction avant étantvers la droitedu dessin.On constateque dans notrecas,lespetites diffusent total. gouttes,bien qu'elles beaucoup moins, l'emportent par le nombre dans l'effet "fapitrtl'V page47 Validation Chapitre V page 48 Dans ce chapitre,nous comparons lesrésultats de Chloé à ceux obtenus par d'autresméthodes, et que nous avons trouvésdans lalittérature. Si lesrésultats en diffusion sontrelativement avant etarrière d'en nombreux, ilesttrèsdifficile trouveren diffusion latérale. V Zhapitrt page49 (Diffusionlatérale Morganl La diffusionpar des gouttesde la forme de Pruppacher et Pitterestcalculéeen faisantappel à la méthode des éléments latérale etprésentedes courbes de diffusion l'auteur considèreégalement des gouttessphéroïdales, finis. Dans l'article, que nous avons essayéde reproduire. dans leparagrapheDiffusion avant: comparaison des notations...Les quatre Les notationsemployées sontexplicitées etpour chacune à un champ diffusédans le V et H du champ incident, sériesde courbes correspondentaux polarisations est de réfraction Les sont ou du du vecteur H. vecteur F, composées d'eauà 10°C, l'indice (planH). gouttes (planE) plan d'incidenceOMorgan donné par la formule de Ray. Le rayon équivalentestde 3.5mm, la fréquencede 30GHz, et l'angle à 90°. égal Figure 4: Polarisation H L'orientation de l'axede symétrieetdu champ incident correspondaux anglesa = n / 2 = aM = Ir/2. L'angle0 varieentre0 etn. Plan E: ilestdéfinipar 0=0: lechamp diffuséestobservé dans leplan (x , z). et l'ona: L'amplitudeF] estnulle,lechamp diffuséestalignéavec levecteur codans leplan (E., k.) fh = -i F}=°(a = tu/2 .p = aM = n/2) laphase estdonc opposée fourniecorrespondà un champ dans la direction 9=n, -�; Lorsque l'amplitude à celleque l'onobtientdans le plan H pour 0 =n. L'auteur utiliseles mêmes conventions,car s'i de diffusionpour des angles 19intermédiaires i sur la direction du champ incident, projetait l'amplitude obtiendrait une valeurnullepour 0 =n/2,ce qui n'estpas lecas. Plan H: ilestdéfinipar 0=3n/2 :lechamp diffuséestobservé dans leplan (-y z). , L'amplitude F2 est nulle,le champ diffuséest donc alignéavec le vecteurcrp,donc toujoursavec It et l'ona: champ incident, = fh = -i F*=3K/2(a = rc/2 .p aM = n/2) Afin de comparer facilementnos résultats La représentation: avec ceux de Morgan, nous utiliserons la même représentation de visualiser le module et la qui permet phase du champ diffusésimultanémentdan� lesdeux plans de polarisation. On obtientla même direction de diffusiondans lesdeux planspour 0 =00 c'estladiffusion avant Sur lapartiegauche du graphique,ladirection de diffusionvariedans leplan ( £ ellevariedans leplan ( £,A).Pour 0 =iz,on retrouvela directionde diffusio i );dans lapartiedroite, arrière. Le calculestfaitpour une sphèreet un sphéroïde. L'intensité estreprésentée par une lignecontinue,et l des ou des carrés. phase par points Les résultats tirésde Morgan concernentladiffusionpar un sphéroïdeaplati"Oblate Spheroid drop" q une goutteayant laforme de PruppacheretPitter"PP drop". V Chapitre page50 iapitrel/ V Figure5:Polarisation L'orientation de l'axede symétrieetdu champ incident correspondaux angles a = n fi = aM = n/2. Etant donnée la symétrie de nos gouttes, nous obtenons les mêmes résultats avec a = 0 f$= ciM = n/2. L'angleavarie entre0 et7t. Plan E: ilestdéfinipar 0 =n. L'amplitudeF] estnulle,le champ diffuséestdonc alignéavec le vecteurtQ et l'ona {\oir.THffusion avant, remarques): fv = -' F2= �a = K.P = «M = *P) = i F*"* ( a = *.P = «M = k/2) page 51 Plan H: ilestdéfinipar 0 =3rr/2 . 1 L'amplitude F2 est nulle,le champ diffuséest donc alignéavec le vecteurgjptdonc avec le champ et l'ona: incident, f, = -/ F*=3n/2(a = n, 5= cxM = n/2) Afin d'obtenir lamême courbe que l'auteur, nous avons représentédans ce plan lagrandeur -f, ce , qui se traduit par un sautde 180° de laphase pour 0 =0. V Chapitre page52 Diffusion avant ZlzunqgCu2 XhapitreV de Fredholm (FIM). L'amplitudede diffusion est la méthode de l'équation Les auteursutilisent intégrale Le champ F, lui-même est dans le volume du diffuseur. donnée par une intégrale du champ électrique dans l'espacede Fourier.On trouveraci solutiond'une équation intégralerésoluepar discrétisation avec lesvaleurscalculées dessous une comparaison de certains de l'article résultats par Chloé. Table5p.419 A 20 GHz, elledonne les amplitudes diffuséespar des gouttescomposées d'eau à 20°C. Elles ont la forme de sphéroïdesaplatis, bla = 1 -r (ou lerayon équivalentr esten cm), (cf§ et vérifient larelation L'indicede réfraction est calculépar la théoriede et notations: Généralités diffuseursphéroïdaC). Ray; l'auteurprend la valeurN =6.614+ i 2.780. Chloé utilisela valeur quelque peu différentede N= 6.613- i 2.781 (ceciestun arrondi,la valeureffectivementutilisée esten double précision). Le signe le Avec de la de la convention différente concernant k=2n/X, temps. opposé partieimaginaireprovient valantici4.19169 cm-1, on passe d'unenotationà l'autre par (0, (xo = 0, a)= = = = 0) = 0, a) fh (0, (xo = |f2* (a rc.p a0 soit Pour un angled'incidence de n/2,lesamplitudesv et h sontdifférentes, et l'ona: = = = /vCO.ao = ir/2, -= a) - 1. F2 *Tt.p (ct 0.0 n/2) k th(O,aO = n/2, a)= jF*(a = n/2, = 0.0 = n/2) Ces tableauxillustrent bien le faitque touteslesdécimalesde Chloé ne sont pas significatives. Ilesttrès difficile de donner automatiquementlenombre de chiffres à conserverdans un résultat. Une méthode pour le connaîtreest de calculerla diffusionavec la même méthode, en utilisant des résolutions de plus en plus grandes et en conservantlesdécimales communes. Ceci étaitimposible sans nuiregravement à la vitessedu logiciel. page 53 Table 7 p.420 à la ci-dessousconcernent toujoursdes gouttesd'eau en forme de sphéroïdes aplatis, Les résultats 11 l'auteur utilise la valeur 2mm. A la de est de de 20°C. Le GHz, fréquence rayon équivalent température une valeur en double précisiondont N = 7.884 + i2.184 donnée par la théoriede Ray. Chloé utilise est la même que plus haut,mais la goutte l'arrondi est N = 7.883 + i 2.185. La relationtaille-forme Le nombre d'onde k vautici2.30543 cm-1. Nous estmaintenantinclinée par rapportau champ incident. avons donc: (0, (xo = 300 ,a) k F2 (a = rc.p= oc0= 30°) /^0, a0 = 30^ â) = | F2* (a = ru/2 . p = a0 = 30° j k La comparaison entrelesrésultats de Chloé par laTmatrice etde Uzonoglu par laméthode FIM donne Morrison3 La diffusionest calculée par une méthode de collocation(point matching). Les solutionsson développées en harmoniques sphériques, puis tronquées.Ellessont ensuiteraccordéessur la surfacedt en un plusgrand nombre de pointsque d'inconnues, avec un ajustementaux moindres carrés. diffuseur, Table IV P.980 Avec un longueurd'onde de 16,575 mm, soitenviron 18.1Ghz, on y trouvelesamplitudesdiffusées pai des gouttescomposée d'eau à 20°C. Ellesont la forme de sphéroïdesaplatis, et vérifient la relatio bla = 1 - r (ou le rayon équivalent r est en cm), (cf § Généralités et notations: diffuseu L'indicede réfraction estcalculépar la théoriede Ray; l'auteur spfiéroïdat). prend la même vaelurque Chloé, N=6,859+ i 2,716.Le signe opposé de la partieimaginaireprovientde la convention différent concernantletemps.On passed'unenotationà l'autre par SI(O) = F2 (a= n,$= a0) = si, (0) F2* (cc n/2, = ao) Dans ce cas,l'angleao estégalà 90°. V Chapitre page54 Chapitre �V Table Vnp.981 estN=5,581+ i La longueur d'onde est 10mm, et l'angle l'angleapest égal à 50°.L'indicede réfraction 2,848 pour Chloé et Morrison. page 55 Diffusion arrière Uzunogtu2 arrière se trouventdans les avant.Les amplitudesde diffusion Voir leparagrapheconcernantla diffusion mêmes tables. Table5p.419 Les conditionssont lesmêmes que pour la diffusionavant:la fréquenceest20 GHz, lesgouttesd'eau est donné par la théoriede Ray à 20°C. Les sont sphéroïdalesavec bla=l- r. L'indicede réfraction un d'incidence de 0°: formulesde passagesontmaintenant, pour angle 0, à) = fh(n,aQ = 0, à)= k F2* (a = Tt.p= a0 = 0) tv(1t,0.0 soit d'incidence et l'ona: vauttc/2, lesamplitudesv et h sontdifférentes, Lorsque l'angle = = tv(1t,ao= 7t/2.a;= - - 1. F2= rc.p * (ct 0.0 n/2) k fhCn.ao = 7c/2,â;= -ffoVa k Chapitre V page 56 = ir/2, =p ao = nft) calculsdiffusion de sur Ces Commentaires Le problème de diffusion Ilnous semble utilede préciser simple quel lespointsconcernantle calculde ladiffusion. de Maxwell dans le les satisfasse trouverun champ électroinagnétique dans toutl'espace se présenteainsi: équations qui à latraversée de la diffuseur età l'extérieur de celui-ci, etvérifie des conditions de rayonnement ainsique de continuité "solution vraie". et nous l'appellerons surfacede l'objet. Nous supposeronsqu'une tellesolutionexiste, on a donc recoursà des Toute ladifficulté vientde ce que l'onne saitpas résoudreanalytiquementces équations; méthodes numériques.Sans rentrer on peut décomposer lechamp électromagnétique dans ledétail d'aucunmodèle précis, surdes fonctionsde base (dontlechoix resteà faire) etimposer lerespectdes conditionsaux limitesen un certainnombre relative de points. Ceci expliquepourquoilaprécision du diffuseur du calculdiminue lorsqueleparamètrekr (taille par étant on ne peut à la la mémoire le de calcul ainsi limités, rapport longueurd'onde)augmente: temps disponible que place De manière générale, et suffisammentde pointspour décrirelediffuseur, et laméthode finit plus utiliser par diverger. de 0.5, 2pour kr de simplement pour préciserlesidées,lesauteursdonnent 3 chiffres pour kr de l'ordre significatifs l'ordre de 1,etun seulchiffre de 1.5à 2. Ceci dépend également un peu de lapolarisation. pour kr de l'ordre De plus,la convergence estloind'être établie pour touteslesméthodes. Par convergence,nous entendonstoutd'abordconvergencenumérique:l'algorithme de calculfournitun résultat "raisonnable" dans lalimitedes erreursdemandées. Des travauxsurce sujetconcernantlaTmatrice ont étéfaits par exemple par Kristensson4 L'autreaspectde la convergence,aussiimportant, sinonplusestlaconvergence mathématique.L'algorithme, lorsqu'il verslavraiesolution?Ilserait trèsennuyeux, mais malheureusement pas impossible, converge numériquement le fait-il d'obtenir un résultat ilfaut: mais sans rapportavec lasolutioncherchée!Pour validerlerésultat, ayant une "bonne allure", soitdémontrer la convergence,ce qui estdifficile, soitlecomparer avec lavraiesolution, ce qui estimpossiblepuisque nous ne laconnaissonspas.Bendali5a montré que la méthode des élémentsfinisdéveloppéesur des fonctionsconvenables conduità une solutionapprochée unique qui converge vers lasolutionvraie. On s'arrête donc au compromis suivant: lesdiversesméthodes donnent des résultats qui finalementne sontpas trop de plus,lesgrandeursphysiquesque l'onpeut en déduirereprésentent assezbien laréalité éloignéslesuns des autres; une seule physique.(IIfautnotericique l'onde disposepas de mesures pécisesde ladiffusion par goutted'eau par contientbeaucoup d'hypothèsessimplificatrices.) On exemple, et que lecalculd'unegrandeurtelle que l'affaiblissement admet donc que lesrésultats que l'onobtientsontlasolutionde notreproblème. L'utilisateur ne doitpas s'attendre à obtenirlechamp diffuséavec 15 chiffres comprendra maintenantqu'il et que lesrésultats serontpeut-être un peu différents de ceux des autresauteurs.Signalonsenfinqu'une même significatifs, méthode programmée sur deux machines distinctes Si néanmoins leschamps peutaussidonner des valeursdifférentes. diffusés calculéspar Chloé sonttrèsdifférents, ilpeut s'agir d'uneerreurque nous seronsheureux de corrigerlorsquenous en aurons connaissance. Ihapitre'U page57 Affaiblissementfineïque Ogucfâ� de diffusionsimple, des résultats Dans cet articlede revue, l'auteur présente,en plus de résultats de nombreuses références.A titre trouvera et la On la d'atténuation également y neige. par pluie l'article 32 de la nous avons retracé avec Chloé d'Oguchi (que lui-même a tiréede figure d'exemple, Ragers7: Les courbes ci-dessusreprésentent lesvariations en fonctionde lafréquencede l'affaiblissement linéique calculépour une répartition de Marshall-Palmer,à une températurede 20°C (formule de Ray) et pour la diversesvaleursde l'intensité de pluie.Les gouttessont supposées sphériques,et nous avons utilisé de à une théoriede Mie. Sur la figure32, on trouveen plus l'affaiblissement correspondant répartition Laws et Parsons.Les courbes sonttrèssemblables,mais on peut remarquer que Chloé donne un résulta un peu plus faiblelorsqueR=150 mm/h pour leshautesfréquences. SttZtl6 L'auteurcalculele coefficient d'extinction dû à lapluie,ce que nous nommons affaiblissement linéique en supposantdes gouttessphériqueset en utilisant une distribution de Laws et Parsons.La diffusionest calculéepar la théoriede Mie. Nous avons évalué l'affaiblissement linéiqueavec Chloé, dans les conditionslesplus proches possibles, c'està direavec une distribution de Marshall-Palmer.L'indicede réfraction estdans un cas identiqueà celuidonné par Setzer,dans l'autre cas,ilestcalculépar la formule de Manabe à 20°C. En haut età gauche de chaque tableause trouventlalongueurd'onde ainsique l'ordr de grandeurde lafréquencecorrespondante. en multipliant la valeurA (dB/km) par Ln(10)/10 soitenviron0.2303. Le coefficient de l'article s'obtient Table IV 1 V Chapitre 100 1 37,56 | 8,i page58 Les résultats ci-dessusserontcommentés dans leparagraphesuivant Wiapitre V page59 Commentaires sur lescalculsd affaiblissement lescauses de la étudieen particulier de synthèsede Waldteufel9,où l'auteur L'utilisateur pourra se référerà l'article de l'atténuation. Nous ne reprendrons ici que quelques-unes de ses conclusions,qui nous permettront variabilité lesrésultats présentésplushaut. d'interpréter c'està direconstituée de gouttesde L'auteurconsidèretoutd'abordlecas imaginaired'uneprécipitation isométrique, est trèssensibleà la température.Ceci diamètre identique. Dans la zone de Rayleigh,on constateque l'affaiblissement traduit de l'expression simplement lavariabilité -s Im U2 + 2j n estl'indice de T de Rayleigh,etdans laquelle de réfraction. Une variation qui apparaîtdans lecalculde lasectionefficace de 0°C à 40°C se traduit d'unfacteur 3 de l'affaiblissement. par une décroissance Dans lazone de Mie, lesvariations varierlediamètre sontpluscomplexes etdépendent de la taille de lagoutte.En faisant des gouttesentre0.5 et4mm et latempératureentre0 et 18°C, on peut calculer pour une fréquencedonnée lerapportentre lesplus grande et plus petitevaleursobtenuespour l'affaiblissement. ilestde l'ordre de 5 à Ce rapportesttrèsfluctuant: 10 GHz, 2 à 30 GHz, et atteind10 à 100 GHz. Cette importante variabilité est tempérée dans la réalitépar le faitque les distributions de gouttes ne sont pas Si la températurevarieentre0 et40°C, ilapparaîtque: isométriques. ' à 35 GHz, lesvariations restent inférieures à 5% lorsquelafréquenceestsupérieure ' 10% de variation intensités de lorsquelafréquenceestcomprise entre18 et 35 GHz, on peutatteindre pour de faibles précipitation. - au dessous de 18 GHz, on un facteur3 à 5 GHz; lorsquelesfréquencessontplus basses,on retombe peut atteindre dans ledomaine de Rayleigh,etlesdistributions de gouttespeuventêtreconsidéréescomme isométriques. Ceci estillustré de Chloé obtenus pour divers par lestableauxdu paragrapheprécédentoù l'onpeut comparer lesrésultats indicesde réfraction à des variations de température). Les différences sont d'autantplus importantesque la (assimilables de précipitation estfaible. fréquenceestbasse,etpour une même fréquence, que l'intensité Le choix de la distribution aussiestimportant.Waldteufelcompare lesaffaiblissements obtenus avec lesdistributions de Laws-Parsons et Marshall-Palmer,et trouvedes différences rarement plus grandes que 10% entre5 et 60 MHz. Cette différencea tendance à augmenter avec la fréquence.En effetlesdeux relations diffèrent surtoutau niveau des petites gouttesque Marshall-Palmerestime en nombre supérieur. Lorsque la fréquenceaugmente, ce sont ces gouttesqui vont devenirprépondérantes,et ceciserad'autantplus vraipour des pluiescontenantune majoritéde ces gouttes,c'està dire valeursde R. On levérifiera sur lestableauxprécédents. pour de faibles V Chapitre page60 V ëapitrt la section (Bibliographie de 1 Morgan M. A. "Finiteélément computation of microwave scattering by raindrops" Radio Science (1980) 11n°6 pp.l109-1119 2 Uzunoglu N.K., Evans B.G. et Holt A.R. of terrestrial and and propagationcharacteristics radiation of electromagnetic particles by précipitation "Scattering communication space Systems" Proc IEE (1977) 124 n°5pp.4 17-424 3 Morrison J.A. et Cross MJ. wave by axisymmetricraindrops" of a plane electromagnetic "Scattering B. S. T. J. (1974) 5J.n°6 pp.955-1019 4 KristenssonG., Ramm A.G. et Strom S. theory.II" "Convergence of the T-matrixapproach in scattering /. Math. Phys. (1983) 24 n°ll pp.2619-2631 5 BendaliA. de surfacede problèmesde diffraction des ondes électromagnétiques" "Approximationpar élémentsfinis Thèse de Doctorat d'Efaf.Université de ParisVI (1984) 6 Oguchi T. wave propagationand scattering in rainand otherhydrometeors" "Electromagnetic Proc. IEEE (1983) 71 n°9 pp.1029-1078 7 Rogers D.V. et Olsen RJL. "Calculation of radiowave atténuation due to rainay frequencies up to 1000 GHz" Rep. 1299 (Nov. 1976) Communications Res. Cen., DepL of Commun. Ottawa Canada 8 SetzerD. E. "Computed transmissionthroughrainatmicrowave and visible frequencies" B. S. T. J. (1970) octobre pp.1873-1892 9 WaldteufelP. "Atténuationdes ondes hyperfréquencespar lapluie:une mise au point" Ann. Télécomm. (1973) 28 n°5-6 pp.255-272 page 61 Conclusion Conclusion page62 Nous espéronsque l'utilisateur Chloé dans sa forme actuelle, et seraconvaincu par trouverautileetagréabled'utiliser sa convivialité. A partir de cetteexpérience,on pourraitimaginerde compléterle logiciel en y incluantpour ne citerque horizontale et verticale des hydrométéores, quelques exemples immédiats:l'absorption par lesgaz,la répartition spatiale leurvitesse de chute,une répartition d'orientation de leursaxes... Une dernièreremarque: le logiciel étantencorejeune,ilpeut toujoursexisterdes erreursen exécution.Le moyen le estde letester. trèssimple! plus sûrde lesdétecter Allez-y,c'est Conciusion page 63