Plus avant dans la mé mémoire sémantique, Mémoire sé sémantique et mé mémoire épisodique Cette distinction a été proposé proposée initialement par Tulving (1972), observations de dissociations dans les atteintes de syndrome amné amnésique; initialement la mémoire sé sémantique faisait ré référence à la compré compréhension et à l’l’utilisation du langage (Eustache, Desgranges 2003) Actuellement, Actuellement, la mé mémoire sé sémantique est la mé mémoire des faits et des concepts, elle concerne toutes nos connaissances gé générales sur le monde communes à une culture , c’ c’est le « savoir », elle correspond à une mémoire didactique, « décontextualisé contextualisée ». Rennes, 25 et2000) 26 septembre 2004 ( Coyette 1993, Pluchon Nos connaissances sont utilisé utilisées pour communiquer, réflé fléchir et agir sur le monde exté extérieur et sont stocké stockées en mé mémoire dans un systè système fonctionnellement indé indépendant (Samson 2003) Cette dé définition peut être divisé divisée en trois sous parties : - l’ensemble de nos connaissances sur le monde, - Leur utilisation pour communiquer, ré réflé fléchir, agir sur le monde exté extérieur, - Un systè système fonctionnellement indé indépendant dans la mémoire Rennes, 25 et 26 septembre 2004 Un systè système fonctionnellement indé indépendant en mé mémoire du stockage phonologique et orthographique des mots Les troubles sé sémantiques Diffé Différent du stockage des connaissances structurales Consé Consécutifs à un A.V.C, à un T.C. Diffé Différent Diffé Différent Maladies dé dégénératives : dé démence sémantique de la mé mémoire épisodique Rennes, 25 et 26 septembre 2004 Si atteinte isolé isolée, langage fluent (pas de trouble phonologique ou syntaxique) Manque du mot en expression et en compré compréhension accompagné accompagné de paraphasies Possibles dissociations entre entité entités biologiques et manufacturé manufacturées, concrè concrètes et abstraites, entre la dé définition de l’l’objet et son utilisation Pré Préservation de la mé mémoire épisodique dans la limite de l’l’atteinte sé sémantique (ré (récent>ancien Agnosie asé asémantique Rennes, 25 et 26 septembre 2004 Dyslexie et dysgraphie de surface Rennes, 25 et 26 septembre 2004 Dichotomie mé mémoire sé sémantique et mé mémoire épisodique au sein de la mé mémoire autobiographique La mé mémoire épisodique est la mé mémoire des événements personnellement vé vécus situé situé dans leur contexte temporo-spatial temporo-spatial d’acquisition. La mé mémoire épisodique permet le souvenir conscient d’ d’une expé expérience anté vénement lui-mê antérieure, l’é l’év lui-même mais aussi où et quand celui-ci s’ s’est produit. ( Eustache, Rennes, 25 et 26 septembre 2004 Desgranges 2003 ) 1 Pour Ribot, les souvenirs ne sont pas une copie de la ré réalité alité et subissent un « énorme raccourcissement ». Pour Halbwachs, la mé mémoire est une reconstruction du passé passé « nous ne revivons pas le passé… passé…,, nous nous bornons à le reconstruire… reconstruire…il faut donc renoncer à l’l’idé idée que le passé passé se conserve tel quel dans les mé mémoires individuelles ». On y trouve une notion de subjectivité é. subjectivit Rennes, 25 et 26 septembre 2004 (Piolino, Desgranges, Eustache, 2000) définition Etat de conscience Point de vue Effet de la durée de rétention Amnésie (Piolino, Desgranges, Eustache, 2000) Forte Faible Spéécificit Sp cificitéé personnelle du contenu sémantique Faible Mémoire explicite et mé mémoire implicite Ce ne sont pas des systè systèmes mné mnésiques à part entiè entière, ces termes renvoient au processus d’ d’encodage et de ré récupé cupération de l’information. La mé mémoire implicite est impliqué impliquée quand des expé expériences pré préalables modifient la performance dans une tâ tâche qui ne requiert pas le rappel conscient de ces expé expériences (conditionnement,effet de priming) La mé mémoire explicite : situations dans lesquelles un sujet rappelle volontairement et consciemment des informations stocké stockées Rennes, 25 et 26 septembre 2004 en mé mémoire (Graf et Schacter, Schacter, 1985) Informations générales sur sa propre vie et événements généraux ( répétés et étendus) indépendants d’un contexte spatio-temporel particulier d’acquisition Autonoétique Noétique Spectateur Réponse « savoir » Mécanisme de sémantisation des traces épisodiques au cours du temps et des répétitions Préservation Oubli au cours du temps (pic de réminiscence) Rennes, 25 et 26 septembre 2004 Fragile Résistance Études longitudinales : Linton a montré montré que, dans un temps trè très long, le souvenir autobiographique peut être oublié oublié, conservé conservé dans les dé détails ou être inté intégré gré dans des structures de connaissances générales. Pics de ré réminiscence : accroissement des souvenirs vécus entre l’â ge de 10 et 30 ans chez les sujets l’âge de plus de 40 ans. ( Piolino, Piolino, Desgranges, Desgranges, Eustache 2000) La mé mémoire autobiographique est la capacité capacité à récupé cupérer des expé expériences vé vécues dont le soi est Rennes, 25 et 26 septembre 2004 l’objet de connaissance ( Baddeley,1992) Baddeley,1992) 3 Souvenirs 4 Connaissances narratifs Sur le monde Spéécificit Sp cificitéé personnelle du contexte Événements spécifiques personnellement vécus situés dans le temps et l’espace et récupérés avec des détails phénoménologiques (pensées, perceptions, sensation…) - influence de la ré répétition, distinction entre répétition interne et ré répétition externe (Brewer) Brewer) 1 Souvenirs 2 Faits AutobioAutobioAutobioAutobiographiques graphiques Forte Mémoire sémantique La mé mémoire autobiographique Mémoire épisodique Mémoire épisodique Acteur Expérience subjective Réponse « se souvenir » Emotion,importance Formation et maintien personnelle,imagerie mentale Réactualisation Perturbation Effet de l’âge (Piolino, Piolino, Desgranges, Desgranges, Eustache, 2000) 2000) Le modèle de Larsen (1992) Mémoire autobiographique Mémoire dé déclarative et mé mémoire procé procédurale Les informations stocké stockées en mé mémoire dé déclarative sont facilement verbalisables et accessibles à la conscience. Les repré représentations peuvent être de connaissances générales (de type sé sémantique) ou spé spécifiques (de type épisodique). La mé mémoire procé procédurale permet d’ d’acqué acquérir des habileté habiletés progressivement. Cette mé mémoire est automatique et difficilement accessible à la conscience, en cela, elle est en partie implicite, mais cependant l’apprentissage né nécessite, au dé départ le concours de processus conscients . C’ C’est la mé mémoire du « faire ». Rennes, 25 et 26 septembre 2004 (faire du vé vélo, conduire une voiture, jouer du piano).ré piano).réf 2 Mémoire ré rétrospective, mé mémoire prospective Mémoire ré rétrograde, mé mémoire anté antérograde Classiquement, en clinique la mé mémoire rétrograde est la mé mémoire anté antérieure à l’é vénement morbide. l’év La mé mémoire ré rétrospective est la mé mémoire du passé passé (de 5 minutes à plusieurs anné années) La mé mémoire prospective est la mé mémoire du futur, elle nous permet de nous souvenir d’ d’effectuer une action à un moment approprié approprié dans le futur. - il faut se rappeler qu’ qu’il y a quelque chose à faire à un moment donné donné - il faut pouvoir se rappeler du contenu de l’information lui-mê lui-même. La mé mémoire anté antérograde est la mémoire des informations depuis l’accident jusqu’à jusqu’à aujourd’ aujourd’hui. Nécessité cessité d’ d’utilisation d’ d’indices de rappel pour chacun des deux points. ( le premier point semble être le plus difficile à rappeler chez le sujet sain comme chez le sujet cé cér ébrolé brolésé) ( Coyette, Coyette, 1993) Rennes, 25 et 26 septembre 2004 La mé métamé tamémoire La mé métamé tamémoire est la connaissance que nous avons de notre propre mé mémoire, à savoir, son fonctionnement, son contenu, ses capacité capacités et ses limites mais aussi sur le type de maté matériel qui peut amé améliorer nos performances, les straté stratégies à mettre en place afin d’ d’optimiser nos capacité capacités mné mnésiques. Il y a une atteinte de cette métamé tamémoire lors de l’l’anosognosie et lors Rennes, 25 et 26 septembre 2004 d’un dysfonctionnement frontal. Les processus d’ d’encodage, stockage et ré récupé cupération L’encodage est le processus par lequel les caracté caractéristiques d’ d’un stimulus ou d’un événement sont traité traitées et converties en une trace mné mnésique. La repré représentation d’ d’un épisode est conç conçu comme un pattern de traits. Lors de l’encodage, les traits constitutifs d’ d’un événement doivent être lié liés afin de former une repré représentation cohé cohérente mais aussi un processus de sé séparation 25 etde 26 septembre 2004 de patternsRennes, afin pouvoir sé séparer deux épisodes. La mé mémoire source / la mé mémoire factuelle La mé mémoire source est la mé mémoire qui permet de se resituer dans un axe spatio-temporel lors du rappel d’ d’informations. Elle diffé différencie la mémoire épisodique de la mé mémoire sé sémantique, notamment. En cas d’ d’atteinte, le sujet est capable de récupé cupérer des fragments d’ d’un épisode mais ni quand et comment ils ont été encodé encodés, ce qui donne lieu à des illusions et distorsions mné éficit peut se situer au niveau de mnésiques. Ce dé dRennes, 25 et 26 septembre 2004 l’encodage ou au niveau de la ré récupé cupération. Le codage acoustique est pré prépondé pondérant en mé mémoire à court terme alors que le codage sé sémantique est pré prépondé pondérant en mémoire à long terme. Selon Craik et Lockhart, Lockhart, plus l’l’information est traité traitée de maniè manière profonde (sé (sémantique),plus la trace mné mnésique sera forte et durable, de faç façon gé générale mais aussi du type de récupé cupération exigé exigé.(Van der Linden, Linden, Meulemans… ,2000). Meulemans…Rennes, 25 et 26 septembre 2004 3 Les facteurs qui contribuent à la fixation en mé mémoire à long terme La ré répétition du maté matériel à apprendre La compatibilité compatibilité avec les relations et associations existant en mé mémoire La ré répétition mentale L’organisation Les du maté matériel à apprendre activité activités de traitement La ré répétition du maté matériel à apprendre Expé Expérience de Peterson et Peterson sur des trigrammes de consonnes. Le nombre de ré répétitions amé améliore le rappel d’ d’autant plus que le dé délai de ce rappel est long. Rennes, 25 et 26 septembre 2004 Rennes, 25 et 26 septembre 2004 La compatibilité compatibilité avec les relations et associations existant en mé mémoire La ré rétention est d’ d’autant meilleure que les stimulus à mé mémoriser sont plus familiers. Ainsi par exemple, des mots fré fréquents de la langue seront mieux retenus que des mots plus rares qui eux seront mieux restitué restitués que des pseudo-mots ( selon leur valeur associative avec la langue) Rennes, 25 et 26 septembre 2004 L’organisation du maté matériel à apprendre Les associations en mé mémoire peuvent intervenir de faç façon implicite. (cf (cf:: compatibilité compatibilité) Le sujet peut organiser le maté matériel à encoder de faç façon dé délibé libérée afin d’ d’obtenir une meilleure restitution. Exemples des apprentissages de listes: Plus les ré réponses sont regroupé regroupées, caté catégorisé gorisées, meilleur est le rappel. La performance au rappel dé dépend du degré degré de structuration des ré réponses. (critè (critères rythmiques, phoné phonétiques, sé sémantiques, productions d’images mentales..) Rennes, 25 et 26 septembre 2004 La ré répétition mentale Atkinson et Shiffrin (1968) considè considèrent « que la probabilité probabilité qu’ qu’un item soit transfé transféré en mé mémoire à long terme dépend du temps pendant lequel il a été maintenu en mé mémoire de travail et a pu faire l’l’objet de ré révision mentale » (Richard et Richard, 1999) Exemple du meilleur rappel des premiers Rennes, 25 et 26 septembre 2004 mots de la liste. Les activité activités de traitement Craik et Lockart et la notion de profondeur de traitement: - Niveau phoné phonétique - Niveau grammatical - Niveau sé sémantique Expé Expérience de Hyde et Jenkins (1973) Conditions de Évaluation de Détection de mémorisation l’attrait lettres incidente 68 39 intentionnelle 69 43 Rennes, 25 et 26 septembre 2004 4 Le stockage Les traces mné mnésiques subissent diffé différentes transformations, l’l’information restitué restituée peut être diffé différente de l’l’information pré présenté sentée. Les traces mné mnésiques sont ré réactivé activées , de nouveau mémorisé morisées lors de l’l’inté intégration de nouvelles informations, ce qui peut expliquer ces transformations. Si le sujet ne peut rappeler une information, on parle d’ d’oubli: perte ré réelle ou difficulté difficulté de récupé cupération? (effet du contexte) Trois types de facteurs peuvent expliquer ces transformations: - les phé phénomè nomènes d’ d’interfé interférence Rennes, 25 et 26 septembre 2004 - les phé phénomè nomènes de gé généralisation - les structures cognitives Il est important de noter que les phases d’ d’encodage et de ré récupé cupération sont tributaires de processus cognitifs sous jacents. Ainsi ces deux phases sont en étroite relation avec les ressources attentionnelles ( et donc peuvent être entaché entachées par un ralentissement neurologique, des difficulté difficultés d’inhibition, des troubles de la Rennes, 25 et 26 septembre 2004 mémoire de travail). La ré récupé cupération Les opé opérations de ré récupé cupération doivent permettre d’ d’avoir accè accès à la trace mné mnésique mais aussi se servir de celle-ci pour obtenir d’ d’autres informations. Selon Tulving, Tulving, l’l’accè accès, lors de la ré récupé cupération, à une trace mné mnésique serait tributaire de la ré réinstallation des mê mêmes opé opérations que celles qui ont pré prévalu lors de l’l’encodage. La ré récupé cupération d’ d’un épisode sous tend un processus de complè complètement de pattern ( trait spé spécifique conduit à un ensemble de traits) Deux sortes de processus de ré récupé cupération: - Les processus associatifs: activent automatiquement une trace en mé mémoire, - Les processus straté stratégiques: selon Shallice, Shallice, ils dé dépendent du S.A.S., S.A.S., et mettent en place une recherche active (Van Der Linden, , Belleville, Collette,2000). Linden, Meulemans, Meulemans Rennes, 25 et 26 septembre 2004 Approche des diffé différents syndromes amné amnésiques Les syndromes amné amnésiques organiques sont à inté intégrer dans un champs plus large d’amné amnésies (psychiques, dé démentielles). D’autre part, il existe des syndromes amné é siques durables par lé amn lésions généralement bilaté bilatérales du circuit de Papez et les syndromes amné amnésiques posttraumatiques. Enfin, il existe Rennes, des25syndromes amné amnésiques et 26 septembre 2004 transitoires (ictus amné é sique). amn sémiologie L’amné amnésie anté antérograde: impossibilité impossibilité d’encoder les événements ré récents, elle est donc responsable d’ d’un oubli à mesure. Aprè Après un dé délai de 1 à 2 minutes avec une tâ tâche interfé interférente, le patient est dans l’incapacité incapacité de restituer une information quelque soit la modalité modalité d’ d’entré entrée, alors que la restitution immé immédiate est relativement pré préservé servée. Cette amné amnésie est souvent accompagné accompagnée d’ d’une dé désorientation spatiotemporelle, de questions ité itératives, et Rennes, 25 et 26 septembre 2004 d’une trè très grande anxié anxiété. L’amné amnésie ré rétrograde est l’l’incapacité incapacité à évoquer des événements pré prémorbides. . morbides L’effacement des souvenirs peut concerner une pé tendant de période s’é s’étendant quelques jours à plusieurs anné années. Les souvenirs les plus anciens sont en général les mieux pré préservé servés. La mé sé est pré mémoireRennes, sémantique préservé servée 25 et 26 septembre 2004 5 L’amné amnésie hippocampique: hippocampique: Les fabulations: Elles « ré résultent de la reconstruction anarchique d’un vé vécu où où souvenirs anciens et ré récents se télescopent et sont parfois mê même intriqué intriqués à des événements imaginaires . » ( Pluchon,2000) Pluchon,2000) En gé général, elles sont provoqué provoquées par des questions. Les confabulations s’ s’appuient sur une ré réalité alité ou en sont voisines. Les fabulations sont une consé conséquence de l’l’oubli rétro et anté antérograde et de l’l’anosognosie. Les fausses reconnaissances sont à rapprocher des 25 et 26 septembre 2004 mécanismes de Rennes, fabulation. étiologie: interventions neurochirurgicales, infarctus bilaté bilaté ral, encé encéphalite herpé herpétique, sé séquelles d’ d’anoxie. Amné Amnésie anté antérorograde sé sév ère avec effacement des informations aprè après 30 secondes avec tâ tâche interfé interférente. Empan normal avec une mé mémoire de travail pré préservé servée. Une amné amnésie ré rétrograde peu étendue ( cas HM (Milner et al, al, 1968), dé déficit ré rétrograde couvrant les deux derniè dernières anné années) Mémoire sé sémantique ainsi que la mé mémoire implicite pré préservé servées. Absence de fabulation Conservation des ressources attentionnelles et absence de Rennes, 25 et 26 septembre 2004 déficit des fonctions exé exécutives. ( Pluchon 2000) Le syndrome de Korsakoff L’amné amnésie hippocampique: hippocampique: Traitement RRF aide par NOTE et Alarme Donner ré réponses et ré répétitions Rennes, 25 et 26 septembre 2004 Le syndrome de Korsakoff TTT RRF Acompagnement Et donner ré réponses et estomper progressivement les ré réponses. Rennes, 25 et 26 septembre 2004 Étiologie principale: carence en vitamine B1 qui est à l’l’origine d’une encé encéphalopathie. Amné Amnésie anté antérograde massive correspondant à un oubli à mesure (de quelques minutes à une dizaine de secondes). Mais contrairement à l’l’amné amnésie hippocampique, hippocampique, le stockage de l’l’information semble partiellement pré préservé servé. Ce sont surtout les processus d’ d’encodage et la ré récupé cupération qui sont touché touchés. Désorientation temporo-spatiale. temporo-spatiale. Pré Préservation de la mé mémoire immé immédiate Amné tend sur plusieurs dizaines Amnésie ré rétrograde qui s’é s’étend d’anné années mais elle ne touche pas la mé mémoire sé sémantique. Anosognosie qui ne ré régresse pas. Fausses reconnaissances et fabulations. Des capacité relativement « pré capacités de raisonnement préservé servées », Rennes, 25 et 26 septembre 2004 même si l’l’on observe des signes frontaux. Les mé mémoires implicites et procé procédurales sont pré préservé servées. (Pluchon 2000) Syndrome amné amnésique consé consécutif à une rupture d’ d’ané anévrysme de l’l’artè artère communicante anté antérieure (RACAoA (RACAoA)) Étude portant sur huit patients Confabulations possibles (dé (défaut de supervision, de contrô contrôle de la ré réalité alité) Anosognosie Dysfonctionnement frontal Absence de dé déficit de la mé mémoire à court terme Rappel libre explicite dé déficitaire en mé mémoire à long terme (incapacité (incapacité à utiliser les processus straté stratégiques de ré récupé cupération) Rappel indicé indicé non pré préservé servé mê même si opé opérant Reconnaissance iné inégalement pré préservé servé e selon les cas Mémoire implicite pré préservé servée Rennes, 25 et 26 septembre 2004 ( Van der Linden et al., 1992) 1992) 6 Syndrome amné amnésique consé consécutif à une rupture d’ d’ané anévrysme de l’l’artè artère communicante anté antérieure (RACAoA (RACAoA)) TTT RRF Renforcer les éléments exé exécutifs comme Sd Frontal Indiç Indiçage et complé compléter leur encodage et diminuer progressivement les indices de rappel et Aide externe par Agenda Rennes, 25 et 26 septembre 2004 7