Je tiens à remercier Christophe Créminon qui m’a accueillie dans son laboratoire puis
son service. Lorsque je suis arrivée au SPI, j’appréhendais les moments où, en pleine manip,
tu allais te mettre derrière mon dos en attendant que la bêtise arrive... et elle arrivait
souvent (pour ne pas dire toujours). Mais grâce à cela, j’ai pris confiance en moi. Merci
encore mille fois pour tes encouragements et tes discussions scientifiques toujours très
fructueuses.
Un grand merci à Jacques Grassi pour m’avoir accueillie dans son service. Merci
d’avoir soutenue ma candidature pour ma bourse de thèse et de m’avoir initiée au monde du
prion.
Je souhaite exprimer toute ma gratitude envers Bioméreieux, notamment à Michel
Jolivet, pour avoir financé ce travail de thèse ainsi qu’envers tous les membres du Jury qui
m’ont fait l’honneur de participer à l’évaluation de ce travail.
Je remercie bien évidemment tous les habitants du 136, qui de près ou de loin, m’ont
encouragé tout au long de ces années passées et qui ont rendu, par leur présence, ce séjour
très agréable. Une pensée toute particulière pour Séverine Maillet qui au fur et à mesure
de nos discussions et devenue une amie. Bon courage pour la suite. Merci à Hervé Volland
pour ses nombreux conseils notamment en immuno-analyse. Mille mercis à Stéphanie Simon
pour ses nombreuses discussions tant scientifiques que personnelles. Je garde un excellent
souvenir de notre escapade à Dusseldorf. Je remercie également Nathalie Morel et Cécile
Féraudet pour leurs nombreux éclaircissements dans le domaine du prion. Je n’oublie pas
toute l’équipe des « monoclonettes » : Patricia Lamourette qui m’a encouragée pendant
toutes ces années, Karine Moreau et Marc Plaisance. Tous mes remerciements vont
également à toute l’équipe d’immuno-analyse : Marie-Claire Nevers qui m’a toujours
soutenue et qui m’a initiée à la confection des traceurs, Hervé Boutal toujours partant pour
la production de ce fameux SAF83-G4. Un grand merci à toute l’équipe INRA qui a montré
un intérêt constant à mon travail de doctorat. Mes remerciements les plus sincères vont
donc à Karine Adel-Patient. Tes conseils tant scientifiques que personnelles m’ont toujours
été d’un grand soutien. Mille mercis à Jean-Marc Chatel, un de mes compagnons de bureau,
à Stéphane Hazebrouck, à Marie-Françoise Drumare, à Sandrine Ah-Leung, Laëtitia