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Exercice 8 p.247 :
1. Le système étant le livre, j’appelle Rv le référentiel lié à la voiture. Pour un observateur à
l’immobile dans la voiture, le livre ne bouge pas, donc
J’appelle RT le référentiel terrestre. Pour un observateur à l’immobile sur le bord de la route,
il voit le livre allant à la même vitesse que la voiture, donc
2. a. Avant le freinage, dans le référentiel terrestre, le livre va à une vitesse de 100 km.h-1.
Après conversion de la vitesse en m.s-1, on trouve une énergie cinétique initiale
b. L’énergie cinétique se conservant, on peut écrire Ec,i = Ec,f. Le livre aura donc la même
vitesse tout au long du freinage, d’où le danger en voiture de laisser des objets libres. N’étant
pas freiné, ils conservent leur vitesse alors que la voiture et les passagers ralentissent.
c. Le conducteur va initialement à la même vitesse que le livre, d’où une énergie cinétique
initiale qui vaut Ec,i = 2,51.104 J. A l’état final, le conducteur est à l’arrêt, donc Ec,f = 0. La
variation d’énergie cinétique vaut alors .
d. L’énergie cinétique perdue par le conducteur a été transférée à la ceinture de sécurité.
Exercice 10 p.247 :
1. On convertit la vitesse au point d’impact en m.s-1, et on trouve
2. a. Oui, la planche pourra être cassée. Lors de l’impact, une partie de l’énergie cinétique va
être transférée à la planche pour casser les liaisons entre molécules et ainsi briser la planche.
Pour casser les liaisons, il faut fournir 5 J. La main pouvant en transférer jusqu’à 15 J, la
planche sera brisée.
b. Le pratiquant de kung-fu peut casser jusqu’à 3 planches.
3. a. Par un raisonnement similaire à celui fait à la question précédente, le sportif ne peut pas
casser la brique, car il ne peut transférer 50 J pour briser les liaisons dans la briques.
b. Le sportif doit au moins avoir une énergie cinétique Ec’ = 50 J. Il a rajouté une masse m’, et
a une nouvelle vitesse v’. On a donc
, d’où
. Il doit donc
rajouter une masse
.
Exercice 15 p.249
1. a. On prend le système {vélo+cycliste}, et on considère l’origine des altitudes au niveau de la
mer. On a donc un trajet entre une altitude z1 = 130 m et une altitude z2 = 35m. Par
définition, une variation d’énergie potentielle de pesanteur peut s’exprimer de la manière
suivante : .
b. De la même manière, en partant de z2 = 35 m, pour arriver à z3 = 61 m, on trouve :
2. On peut calcule cette variation de deux manières :
i) On part d’une altitude de 130 m pour arriver à 61 m, donc