Mes remerciements vont en premier lieu au Professeur Georges-Henri Soutou, dont
l’exigence et les conseils ont guidé ce travail et qui a toujours fait preuve d’une grande
disponibilité. Sans son aide, cette thèse n’aurait pu être réalisée.
Je tiens aussi à remercier ceux qui, par leurs remarques, leurs conseils ou tout
simplement leurs réponses à mes questions, m’ont permis d’approfondir certaines pistes de
recherches : le Professeur Dominique Barjot et Mme Michèle Merger ont dissipé mon
ignorance sur bien des points concernant les compagnies ferroviaires, tandis que les
Professeurs Antonio Varsori et Luciano Segreto ne se sont jamais montrés avares
d’indications précieuses.
Un doctorant est aussi redevable aux institutions qui ont accueilli ses recherches. A ce
titre, je tiens à exprimer ma gratitude à l’Université de Paris-Sorbonne, au sein de laquelle j’ai
pu travailler dans d’excellentes conditions, ainsi qu’à l’Ecole Française de Rome, qui m’a
permis d’effectuer les séjours de recherche indispensables en Italie.
Le personnel des archives et des bibliothèques françaises et italiennes m’a apporté une
aide considérable. Je pense ici tout particulièrement aux conservateurs des archives du Quai
d’Orsay, ainsi qu’à Mme Anne-Sophie Cras, du Centre des archives diplomatiques de Nantes,
et au personnel de la Bibliothèque de Documentation Internationale Contemporaine, jamais
lassé par mes multiples demandes. Quant à l’Italie, j’y ai trouvé un accueil chaleureux et une
mine d’informations en la personne de la Dott. Stefania Ruggeri, conservatrice responsable de
la salle de lecture des archives du Ministère des Affaires Etrangères. Je remercie aussi la
disponibilité et l’efficacité de la Dott. Margherita Martelli, conservatrice à l’Archivio centrale
dello Stato, et de la Dott. Valeria Giaquinto, conservatrice des archives de la Banque d’Italie,
qui m’ont guidée dans la complexité des archives dont elles avaient la charge.
J’ai sollicité au fil du temps de nombreux amis et collègues : Isabelle Dasque, Diane
Grillère, Stanislas Jeannesson et Fabrice Jesné peuvent être assurés de ma reconnaissance
pour avoir pris la peine de relire avec rigueur et minutie les différents chapitres de ma thèse et
m’avoir fait bénéficier de plusieurs remarques éclairantes. Quant à Isabelle L’Hostis-Filiol et
à Stéphane Malgrand, ce travail doit beaucoup à leurs vérifications et aux compétences
informatiques qu’ils m’ont fait partager, quand ils ne m’ont pas apporté une aide directe pour
la réalisation de plusieurs documents. Stéphane Malgrand, ainsi qu’Evelyne et Marcel
Nardelli, savent par ailleurs combien ce travail doit à leur indéfectible soutien.