CAP INNOV`EST : un nouveau fonds d`amorçage de 36 millions d

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Paris, le 4 février 2015
Communiqué de presse
CAP INNOV’EST :
un nouveau fonds d’amorçage de 36 millions d’euros
dédié aux entreprises innovantes d’Alsace, de Bourgogne
et de Franche-Comté
Philippe Richert, président du Conseil régional d’Alsace, François Patriat, président du
Conseil régional de Bourgogne, Marie-Guite Dufay, présidente du Conseil régional de FrancheComté, Pascal Werner, directeur du programme Financement, investissements et amorçage du
Commissariat général à l’investissement (CGI), et Marie Adeline-Peix, directrice exécutive en
charge des partenariats régionaux et de l’action territoriale de Bpifrance, ont présenté les
premiers projets retenus dans le cadre du nouveau fonds d’amorçage interrégional CAP
INNOV’EST, en présence des partenaires, des financeurs, des gestionnaires et des dirigeants
des premières entreprises bénéficiaires de ce nouvel outil financier, BioNext, société de bioinformatique, Inoviem Scientific, société de service pour l’industrie pharmaceutique, et DTA
Médical, spécialisée dans les dispositifs médicaux de traitement des plaies.
CAP INNOV’EST est un nouveau fonds d’amorçage, d’un montant global de 36 M€, créé par le
Fonds national d’amorçage (FNA), géré par Bpifrance pour le compte de l’État, dans le cadre du
Programme d’investissements d’avenir (PIA). Les trois Régions, Alsace, Bourgogne, FrancheComté, et le Groupe EDF, accompagnés par BNP Paribas, les Caisses d’Épargne d’Alsace et
de Bourgogne-Franche-Comté et Capital Investissement Franche-Comté (CIFC), sont
également souscripteurs du fonds.
CAP INNOV’EST permet le financement en capital de jeunes sociétés innovantes dans les
secteurs des sciences de la vie, de la santé, des nanotechnologies, du numérique, du
développement durable, de l’énergie, des nouvelles mobilités et des sciences de l’ingénieur,
dans leur phase de création, « l’amorçage ».
Les bénéficiaires sont des entreprises de moins de huit ans d’existence, exerçant une activité
économique en Alsace, en Bourgogne ou en Franche-Comté, qui présentent de réelles
perspectives de marché ainsi qu’un grand potentiel de croissance.
Avec ces moyens mis en commun, CAP INNOV’EST prévoit ainsi d’accompagner, au total, le
développement de 25 à 30 entreprises en amorçage, pour un montant moyen unitaire de
1 M€. Le fonds a été créé pour une durée de 13 ans, renouvelable par deux périodes
successives d’un an chacune.
Souscripteurs du fonds CAP INNOV’EST :
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le Fonds national d’amorçage, FNA : 20 M€,
la Région Alsace : 4,5 M€,
la Région Bourgogne : 3 M€,
la Région Franche-Comté : 3 M€,
le Groupe EDF (via sa filiale SAFIDI) : 1,5 M€,
BNP Paribas : 1 M€,
la Caisse d’Épargne d’Alsace : 1 M€,
la Caisse d’Épargne de Bourgogne-Franche-Comté : 1 M€,
Capital Investissement Franche-Comté (CIFC) : 1 M€.
La société de gestion alsacienne Alsace Capital, en partenariat avec Invest PME (Groupe
Siparex), implantée en Franche-Comté et Bourgogne, assure la gestion de CAP INNOV’EST.
Elle bénéficie en outre de la collaboration de la société Bourgogne Croissance Innovation (BCI),
chargée de détecter des projets bourguignons susceptibles de bénéficier de CAP INNOV’EST.
CAP INNOV’EST a vocation à conforter le potentiel d’investissement des entreprises issues de
la recherche universitaire, des incubateurs ainsi que des pôles de compétitivité. Il vient ainsi
renforcer l’action de dispositifs existants ou en cours de création en faveur de l’innovation et
soutenus par le Programme d’investissements d’avenir en Alsace, Bourgogne et FrancheComté, tels que les Sociétés d’accélération de transfert de technologies (SATT), les fonds de
maturation et les pôles de recherche universitaire.
L’investissement des Régions Alsace, Bourgogne et Franche-Comté répond aux besoins de
financement en amorçage identifiés comme un enjeu prioritaire de la Stratégie régionale de
l’Innovation. Cette collaboration témoigne de la volonté des trois collectivités de mutualiser
leurs moyens au service de l’innovation et de l’emploi. EDF participe au fonds d'amorçage CAP
INNOV'EST dans le cadre de la Convention de coopération pour le développement durable
signée entre le groupe EDF et la Région Alsace, dont l'économie, l'emploi et l'innovation sont
des engagements forts.
À la date du 4 février 2015, CAP INNOV’EST a déjà investi dans trois sociétés : BioNext,
Inoviem Scientific et DTA Médical.
Pour plus d’informations :
www.investissement-avenir.gouvernement.fr
www.caissedesdepots.fr/activites/investissements-davenir
http://investissementsdavenir.bpifrance.fr/
***
En annexe :
-
les fiches de présentation des souscripteurs et des entreprises.
Contacts presse :
Bpifrance : [email protected] – 01 41 79 95 26
Région Alsace : [email protected] – 03 88 15 69 84
Région Bourgogne : [email protected] – 03 80 44 34 66
Région Franche-Comté : [email protected] – 03 81 61 61 08
Les investissements en fonds propres de Bpifrance sont opérés par Bpifrance
Investissement. Bpifrance, filiale de la Caisse des Dépôts et de l’État, partenaire de
confiance des entrepreneurs, accompagne les entreprises, de l’amorçage jusqu’à la
cotation en bourse, en crédit, en garantie et en fonds propres. Bpifrance assure, en outre,
des services d’accompagnement et de soutien renforcé à l’innovation, à la croissance
externe et à l’export, en partenariat avec Business France et Coface.
Bpifrance propose aux entreprises un continuum de financements à chaque étape clé de
leur développement et une offre adaptée aux spécificités régionales.
Fort de 42 implantations régionales (90 % des décisions prises en région), Bpifrance
constitue un outil de compétitivité économique au service des entrepreneurs. Bpifrance
agit en appui des politiques publiques conduites par l’État et par les Régions pour répondre
à trois objectifs :
• accompagner la croissance des PME
• préparer la compétitivité de demain
• contribuer au développement d’un écosystème favorable à l’entrepreneuriat.
Avec Bpifrance, les entreprises bénéficient d’un interlocuteur puissant, proche et efficace,
pour répondre à l’ensemble de leurs besoins de financement, d’innovation et
d’investissement.
Plus d’informations : www.bpifrance.fr – http://investissementsdavenir.bpifrance.fr/
Suivez-nous sur Twitter : @bpifrance
Le Fonds national d’amorçage (FNA), aujourd’hui doté de 600 millions d’euros dans le
cadre du Programme d’investissements d’avenir piloté par le Commissariat général à
l’investissement, est géré par Bpifrance Investissement qui opère les investissements en
fonds propres de Bpifrance, filiale du groupe Caisse des Dépôts ; Bpifrance
Investissement intervient par délégation de la Caisse des Dépôts. Le FNA finance les fonds
d’investissement qui réalisent eux-mêmes des investissements dans de jeunes entreprises
innovantes en phases d’amorçage et de démarrage. De 25 à 30 fonds d’amorçage seront à
terme soutenus par une équipe hautement expérimentée au sein de Bpifrance
Investissement. Les fonds, souscrits par le FNA, visent notamment les entreprises des
secteurs technologiques définis par la stratégie nationale pour la recherche et l’innovation :
la santé, l’alimentation et les biotechnologies, les technologies de l’information et de la
communication, les nanotechnologies et les écotechnologies.
Ce régime d’intervention publique en capital investissement auprès des jeunes entreprises
innovantes a été validé par la Commission européenne, le 20 avril 2011, tout comme
l’augmentation de 200 millions d’euros de l’enveloppe du FNA établie initialement à
400 millions d’euros (avis favorable de la CE en date du 26 avril 2012).
Pour plus d’information : http://www.investissement-avenir.gouvernement.fr
http://www.caissedesdepots.fr/activites/investissements-davenir
Au 31 décembre 2014, Bpifrance a investi, pour le compte de l’État, via Fonds national
d’amorçage (FNA) 326 millions d’euros dans 17 fonds d’amorçage, dont 125 millions
d’euros dans 6 fonds interrégionaux :
- les 17 fonds d’amorçage, qui gèrent au total 657 millions d’euros, ont investi près de
100 millions d’euros ans 160 entreprises,
- dont 32 millions d’euros dans 43 entreprises par les 6 fonds interrégionaux qui gèrent
un montant total de 230 millions d’euros.
Les actions de la Région Alsace
en faveur du développement économique
L’Alsace a un réel potentiel de compétitivité : c’est une région traditionnellement ouverte sur
le monde, dotée d’une force de frappe en matière de recherche et de développement
internationalement reconnue. Elle dispose de savoir-faire industriels de qualité encore
pratiqués par 24% des salariés alsaciens.
Ainsi, même si comme l’ensemble du pays, l’Alsace s’est trouvée confrontée en 2008 à la
crise financière et économique, qui produit encore aujourd’hui ses effets, notamment du
point de vue du taux de chômage, elle porte en elle une capacité à rebondir, pour peu qu’elle
exploite mieux sa capacité d’innovation et qu’elle conforte sa présence sur les marchés
étrangers en croissance.
Cette situation est au cœur des préoccupations de la Région Alsace, qui met en œuvre une
politique de développement économique à travers deux grands piliers : l’innovation, d’une
part, et l’aide aux PME, d’autre part.
1. Au titre de l’innovation, la Région Alsace développe le soutien aux actions
collectives de type pôles de compétitivité, clusters ou grappes d’entreprises.
Ces actions doivent permettre aux PME alsaciennes de développer l’innovation,
élément déterminant de la croissance des entreprises, et de nouer des partenariats
entre elles afin de conforter et de renforcer leur positionnement à l’international.
Il existe quatre pôles de compétitivité en Alsace : Alsace Biovalley, Hydreos, Véhicule
du Futur et Alsace Energivie - Fibres.
En 2014, la Région a consacré près de 2 M€ aux pôles de compétitivité, clusters et
grappes d’entreprises, auxquels adhèrent plus de 1 200 entreprises.
2. L’aide aux PME s’illustre à travers deux axes principaux :
-
les aides directes aux entreprises en faveur de la création d’emplois, de la
modernisation et du développement de l’appareil productif pour soutenir la croissance
de l’activité des entreprises.
-
les actions relevant de l’ingénierie financière, à savoir :

des interventions en fonds de garantie. La Région Alsace a alloué 5,5 M€ à
bpifrance depuis 2011 et 500 000 € à SIAGI depuis 2001 afin d’offrir 79M€
de garanties bancaires à des PME, via le fonds bpifrance, et 27 M€ de
garanties bancaires à des TPE, via le fonds SIAGI. Compte-tenu des
difficultés d’accès aux crédits que peuvent rencontrer les PME/TPE, ces
interventions sont déterminantes pour obtenir les prêts, indispensables au
financement de leur développement.

des interventions en capital : le capital investissement. La Région Alsace
est engagée depuis de nombreuses années pour mettre en place des fonds
régionaux gérés en proximité et pouvant intervenir dans les entreprises à tous
leurs stades de développement.
Le choix de souscrire à CAP INNOV’EST est rapidement apparu comme une évidence pour
la Région Alsace pour les raisons suivantes :
a)
ce fonds vient compléter la chaîne du capital investissement régional déjà dotée
d’une société de capital risque SCR dédiée à la création et au « petit » capital
développement et transmission (Alsace création, d’un capital de 12,7 M€), et d’un
Fonds Commun Professionnel d’Investissement de 50 M€ dédié au capital
développement (Alsace croissance, auquel la Région a souscrit aux côtés du groupe
CM-CIC et de Bpifrance).
b) La Région Alsace abrite un écosystème particulièrement favorable au
développement de start-up innovantes aux forts besoins en crédits d’amorçage,
notamment nées de l’Institut Hospitalo-Universitaire ou de la Société d’Accélération
et de Transfert de Technologie Conectus, projets tous deux fortement soutenus dans
le cadre du Programme des Investissements d’Avenir.
Géré par la société de gestion alsacienne Alsace capital, en charge également de la gestion
d’Alsace création et d’Alsace croissance, CAP INNOV’EST vient donc parachever l’offre en
capital investissement régional offert aux entreprises alsaciennes. Celles-ci disposent ainsi,
avec Alsace capital, d’un unique interlocuteur de proximité pour répondre à leurs besoins.
Développement économique :
La région Bourgogne aux côtés des entreprises
L’action économique du conseil régional de Bourgogne, définie dans la SRDEI (stratégie régionale
de développement économique et d’innovation), couvre l’ensemble du cycle de vie de
l’entreprise (amorçage, création/reprise, développement, export, consolidation) et des secteurs
d’activité (industrie, artisanat, agriculture, tourisme…). Elle est construite autour de cinq leviers
stratégiques : l’industrie, l’innovation, l’international, l’investissement et l’intelligence
collaborative.
La région conçoit, anime et coordonne la politique publique économique régionale en faveur des
entreprises (création, développement, innovation, export, environnement, économie sociale et
solidaire…). L’intervention régionale se traduit ainsi par des deux principales actions :
- la structuration du tissu économique pour favoriser l’innovation et l’essor des PME,
- l’accompagnement des PME pour favoriser leur compétitivité.
La structuration du tissu économique
La région a engagé avec les territoires une réflexion prospective pour se mettre en capacité de
répondre aux marchés de demain. Dans ce cadre, elle a élaboré une stratégie régionale
d’innovation et de spécialisation intelligente (SRI-SI) qui concentre les moyens sur cinq
domaines stratégiques :
- qualité de l’environnement, des aliments et de l’alimentation… au service du bien-être des
consommateurs
- matériaux et procédés avancés pour des applications sécurisées,
- intégration de solutions biomédicales pour le patient en milieu de vie : prévention,
diagnostic et thérapie,
- écoconception, écoconstruction, matériaux biosourcés,
- technologies innovantes et alternatives pour la mobilité et le transport.
Un plan d’action régional pour l’innovation (PARI) découle de cette spécialisation et concentre
l’action régionale sur :
- la montée en compétences des pôles de compétitivité, grappes et groupements. La
bourgogne compte deux pôles de compétitivité (Vitagora sur l’alimentation bien-être et le
Pôle Nucléaire de Bourgogne, quatre grappes (éolien, automobile de compétition,
agro-composites et maintenance ferroviaire) et plusieurs groupements en émergence
(santé, mécatronique, gestion active du bâtiment). Ces groupements rassemblent plus de
600 entreprises et mobilisent annuellement 1 million d’euros de fonds régionaux.
- la structuration de zones dédiées à l’innovation : NOVAREA, l’espace régional dédié à
l’innovation et aux entreprises sur l’agglomération dijonnaise, ainsi qu’un pôle dédié à
l’agro-écologie à Bretenières (21), qui rassemble structures de recherche, entreprises et
acteurs publics.
- le développement de projets collaboratifs de recherche et développement. Une
soixantaine de projets a été soutenue par la région depuis 2010.
Parallèlement à cette politique volontariste pour l’innovation, l’action régionale est complétée par
une politique d’internationalisation des entreprises, structurée en trois volets dans le cadre du
PAREX (plan d’action régional à l’export) :
- un réseau d’acteurs publics rassemblé autour d’objectifs communs et suivant plus de
700 entreprises exportatrices,
- un programme d’actions collectives pour encourager les entreprises à se positionner sur
des marchés nouveaux et de croissance. 60 opérations sont proposées annuellement dont
la moitié sont soutenus par la région. Ces actions à l’international permettent de rapporter
pour chaque euro investi, sept fois plus pour le territoire,
- une montée en compétences des entreprises par intégration de personnel compétent. Une
centaine d’emplois ont ainsi été créés en trois ans.
Cette politique de structuration du tissu économique est aussi complétée par un soutien aux
filières historiques (mécanique/métallurgie, agro-alimentaire ou plasturgie) ou émergentes, via
notamment des programmes régionaux nommés CAPéCO. Sept filières ont ainsi contractualisé
avec le conseil régional de Bourgogne depuis 2005.
L’accompagnement des PME
Les aides financières régionales couvrent l’ensemble des besoins des entreprises tout au long de
leur développement, afin de favoriser le financement de leurs projets par les banques et/ou les
investisseurs.
L’accompagnement financier se traduit notamment par :
- La mise en place de nouveaux outils de capital investissement à travers la création ou la
participation à des fonds de capital investissement régionaux et interrégionaux. Objectif :
assurer le niveau des fonds propres nécessaires aux entreprises tout au long de leur cycle
de vie. La Bourgogne participe au côté de l’Alsace et de la Franche-Comté à un fonds
interrégional de capital-risque (Cap’Innov’Est) qui a pour objet de financer en capital sur le
long terme, des entreprises innovantes en phase d’amorçage technologique. Cap’Innov’Est
intervient en amont de trois fonds de capital-investissement (création, développement et
consolidation) mis en place avec la Franche-Comté. Pour 2014, la région Bourgogne a
investi 8 M€ dans ces différents fonds.
- Des outils de garantie couvrant l’intégralité des projets des entreprises. Deux outils
interviennent en Bourgogne : Bourgogne garantie pour les PME en développement et le
fonds régional de garantie cogéré avec Bpifrance pour les projets de création ou reprise. La
dotation de la région Bourgogne dans ce fonds régional depuis 2005 est de 6 M€, et de
5 M€ pour Bourgogne garantie depuis sa création.
- Des dispositifs d’aides financières centrés sur les besoins de l’entreprise dans leur projet de
création, d’innovation, de développement notamment sur les marchés internationaux. En
2014, plus de 210 aides directes pour un montant de plus de 8 M€ ont été accordées aux
PME bourguignonnes, auxquels viennent s’ajouter le soutien financier aux actions
collectives des entreprises et à la structuration du tissu économique pour un montant
total de 32 M€.
- La coordination des aides financières en Bourgogne via une plateforme régionale
d’orientation des financements (Bpifrance, Etat, fonds de capital-investissement).
La Région Franche-Comté accompagne les
entreprises au quotidien
La Région mobilise ses moyens et ceux de ses partenaires, comme l’Europe et la Banque
publique d’investissement, pour soutenir les entreprises franc-comtoises. Pour faire face aux
difficultés liées à la crise et pour aider les entrepreneurs et les filières à relever les défis des
mutations économiques, la Franche-Comté facilite l’accès aux financements et accompagne
la promotion de l’activité.
Une série de dispositifs et d’aides adaptés à la taille des entreprises et à leurs objectifs de
croissance, quel que soit le secteur d’activité, est proposée.
Les outils ont vocation à accompagner les initiatives de terrain. Pour amorcer l’activité, la
développer, la transmettre ou la consolider, la Région propose des dispositifs dédiés.
1 - Des dispositifs dédiés à la création et au développement d’entreprises
La Région Franche-Comté aide les entrepreneurs, accompagne les entreprises dans les
phases cruciales de leur développement, et facilite les mutations nécessaires face à
l’évolution des marchés :
-
Avances remboursables : création/reprise et transmission, croissance,
développement et mutations
Capital-risque
Fonds régional de garantie
Aides à l’innovation au travers du Fonds régional d’innovation et du soutien aux pôles
de compétitivité
Aides à la compétitivité des filières historiques ou émergentes
Aides au développement des compétences : conseil, recrutement de cadres
Incubateur régional d’entreprises innovantes, Pépinières d’entreprises
Aides à la reprise d’hôtels et à la création et requalification d’hébergements
touristiques
2 - Des dispositifs dédiés à l’internationalisation des entreprises
Élaboré en partenariat avec les acteurs publics de l’accompagnement international, le Plan
régional d’internationalisation des entreprises (PRIE) organise le dispositif d’appui au
développement international des PME/ETI pour leur offrir les conditions d’un développement
pérenne à l’international.
-
Aides individuelles : aide au conseil export, aide au recrutement de cadres export,
aide au développement à l’international
Actions collectives : stands collectifs sur des salons professionnels, missions de
prospection…
3 - Des actions en faveur de l’économie sociale et solidaire
L’économie sociale et solidaire concilie la réalisation d’une activité économique, un
fonctionnement démocratique et participatif, allié à un objectif d’utilité sociale plutôt que de
lucrativité immédiate.
1
-
Accompagnement et promotion des entreprises sociales et solidaires
Consolidation et diversification des filières
Promotion de l’innovation sociale sur les territoires avec la mise en place à titre
expérimental d’un fonds dédié au projet d’innovation sociale en lien avec Bpifrance
Développement de l’animation et de la coopération
Un portail économique régional sur internet : franche-comte.fr ou entreprendre-enfranche-comte.fr
CAP INNOV’EST bénéficie en Franche-Comté d’un écosystème performant pour
accompagner les projets innovants (l’incubateur d’entreprises innovantes destiné aux projets
de création d’entreprises innovantes issues de la recherche privée ou publique, les pôles de
compétitivité (Véhicule du futur, Microtechniques, Plastipolis, Vitagora), la SATT Grand Est
(regroupant Université de Franche-Comté et Université de Bourgogne, Université de
Lorraine, Université de Troyes, CNRS et INSERM), une offre de financement publique en
parallèle de l’intervention de CAP INNOV’EST (avances remboursables, prêts dans le cadre
du FRI, prêts d’honneur et accompagnement du Réseau Entreprendre, prêts participatifs
d’amorçage de Bpifrance)
CAP INNOV’EST complète la palette d’outils dédiée aux fonds propres aux services des
entreprises franc-comtoises, fonds dotés de 16 M€ de crédits régionaux, qui permettent
d’accompagner la création, le développement mais également les phases de mutations des
entreprises. Sur ce dernier point, la Franche-Comté dispose d’une offre unique puisqu’audelà d’un fonds dédié (Défis), elle a mis en place un fonds de prêts d’honneur et une avance
remboursable qui concerne les phases de « retournement » des entreprises.
Contact presse :
Hélène Wokowski-Pierre : 03 81 61 61 08
2
EDF contributeur du développement économique des territoires
EDF participe aujourd’hui au fonds d’amorçage Cap Innov’Est et démontre ainsi son
engagement dans le développement économique des territoires. 1er investisseur financier
privé aux côtés des collectivités, le Groupe EDF participe à hauteur de 1,5 million d’euros
dans ce fonds. Dans le cadre de la convention de coopération pour le développement
durable de l’Alsace signée entre EDF et la Région Alsace, EDF a investi depuis 2008 près de
5,5 millions d’euros dans des fonds régionaux au profit de sociétés à fort potentiel de
croissance et de création d’emplois.
La participation d’EDF dans le Fonds d’amorçage interrégional Cap Innov’Est répond à une priorité:
accompagner les dirigeants qui créent de l’emploi, soutenir leur esprit d’aventure et leur capacité
d’innovation. Ces entreprises sont les moteurs de la croissance et du dynamisme. En Alsace, le
Groupe EDF a également investi dans deux autres fonds gérés par des structures régionales, SODIV
Alsace et Alsace Création, permettant ainsi la création ou le maintien de plus de 3 000 emplois.
Ces investissements sont effectués via SAFIDI (Société d’Aide au Financement du Développement
Industriel), société de financement du Groupe EDF. Grâce à l’octroi de prêts participatifs à des
entreprises ou à des prises de participation dans les sociétés d’intérêt local, SAFIDI accompagne le
développement économique local, les reconversions industrielles et l’essaimage.
EDF, qui participe à la fois aux comités stratégiques et aux comités d’investissements de ces fonds,
met toute sa compétence et son savoir-faire pour analyser les dossiers, participe aux décisions et fait
intervenir des experts pour évaluer des dossiers relevant du domaine de l’énergie. Beaucoup plus
qu’un actionnaire, EDF est un investisseur régional qui accompagne les entreprises à tous les stades
de leur développement, de la start-up à la PME, dans tous les secteurs d’activité.
A travers ses activités d’énergéticien, EDF réalise des investissements dans ses équipements. Il est un
contributeur actif et permanent, aujourd’hui et pour l’avenir des territoires. En Alsace, en Bourgogne
et en Franche Comté, plus de 6 000 salariés d’EDF participent au dynamisme économique des
régions. Le Groupe y est présent avec ses centrales nucléaires de Fessenheim et Belleville ainsi que
ses 38 usines hydroélectriques (la production des 12 centrales sur le Rhin représente 20 % de la
production hydraulique d’EDF en France). Il développe les énergies renouvelables, notamment la
géothermie profonde en Alsace. Le Groupe EDF propose une offre diversifiée d’électricité, de gaz et
de services énergétiques, en accompagnant les entreprises et les collectivités dans les économies
d’énergie.
Contact presse : Isabelle Cablé 03 88 25 38 37 / 06 88 18 01 19
… /…
A propos d’EDF en Alsace
Énergéticien solidaire et responsable, bâtisseur d’avenir, EDF avec l’ensemble de ses filiales en Alsace participe
activement au développement économique, social et environnemental de la région. Le Groupe EDF produit en
Alsace en moyenne 20 milliards de kWh d’électricité par an, 100 % décarbonés, d’origine nucléaire et
hydraulique. Il commercialise de l’électricité, du gaz et des services énergétiques et exploite les réseaux de
transport et de distribution d’électricité via ses filiales indépendantes.
Avec ses 3 000 salariés et 150 embauches par an, le Groupe EDF s’investit fortement pour le développement
durable de l’Alsace en s’engageant avec les acteurs locaux pour soutenir l’économie et l’emploi, innover,
préserver la biodiversité et contribuer au mieux vivre ensemble.
Son ambition économique et sociale se concrétise depuis 2008 par une convention de coopération pour le
développement durable avec la Région Alsace. Plus de 170 actions co-construites avec les acteurs régionaux ont
vu le jour. Le montant investi par EDF dans ce partenariat est de 32 millions d'euros sur 6 ans.
A propos d’EDF en Bourgogne
Le Groupe EDF en Bourgogne est très impliqué dans la transition énergétique. C'est le premier producteur
d'énergie renouvelable de la région, grâce à ses 6 centrales hydrauliques du Morvan ainsi qu'à la centrale solaire
de Massangis. La production d'électricité 100% sans CO2 rend le groupe exemplaire en la matière. Il va encore
plus loin, avec les inaugurations, en décembre 2014 de la chaufferie bois des Péjoces (Dijon) et en janvier 2015
de l’usine de tri-méthanisation de Chagny.
Le Groupe EDF en Bourgogne contribue au développement économique des territoires. Ainsi, avec les deux
nouvelles filiales Citelum et Dalkia, le Groupe EDF en Bourgogne emploie 2000 salariés et 75 alternants. 115
embauches ont été réalisées en 2013. C'est 257 millions d'euros qui sont investis dans l'économie locale,
notamment par des achats aux entreprises régionales.
Le Groupe EDF en Bourgogne s'engage à faire de l'électricité un vecteur de progrès pour la région et ses
habitants.
A propos d’EDF en Franche Comté
Avec ses centrales hydroélectriques du Jura et du Doubs, EDF fournit 90% de l'électricité produite à partir d'ENR.
De la production aux consommateurs, EDF et ses filiales apportent des expertises techniques et financières au
service des projets énergétiques de ses clients particuliers, entreprises, collectivités : production à partir d'ENR,
éco-efficacité et rénovation énergétiques des bâtiments... Ainsi, par exemple, plus de 5 000 logements sociaux
ont été rénovés depuis 2009 avec EDF.
En 2015, le Groupe EDF, acteur industriel engagé dans la transition énergétique, investira 110 millions d'euros
dans les réseaux électriques de transport et de distribution de ses filiales indépendantes (RTE et ERDF) et dans
ses ouvrages hydroélectriques, et procédera au recrutement d'une centaine de collaborateurs sur un effectif total
de 1000 salariés.
A propos de SAFIDI
SAFIDI (Société d’Aide au Financement du Développement Industriel), filiale détenue à 100 % par EDF, créée en
1985, est dédiée à la prise de participation dans des sociétés d’intérêt local (SEM ou filiales de SEM) et à l’octroi
de prêts participatifs à des PME en vue de création d’emplois. Sa mission est de mener des actions en faveur du
développement économique local et du développement des territoires. SAFIDI dispose de 32 millions d’euros de
fonds propres. Le montant courant de ses interventions est de 50 à 400 000 euros. La société compte
3,5 salariés qui s’appuient sur les compétences du Groupe (juridique, fiscale, etc …). Elle intervient à la demande
d’une unité du groupe EDF (direction ou filiale) en France et dans les DOM-COM. En 25 ans, SAFIDI a réalisé
plus de 1000 dossiers participatifs correspondant à 80 M€, 31 sites de reconversions industriels et de formation et
a contribué à la création de 21 000 emplois.
Sur les 80 participations qui constituent le portefeuille de SAFIDI, 11 sont en Alsace, Bourgogne et FrancheComté, pour un montant total de près de 7 millions d’euros.
A propos de la convention de coopération EDF & Région Alsace pour le développement durable de l’Alsace
EDF et la Région Alsace ont décidé depuis 2008 de travailler de concert dans le cadre d’une convention pour
amplifier leurs initiatives respectives et accompagner les projets portés par des entreprises, associations et
collectivités.
Cette convention de coopération agit dans trois domaines : économie, environnement, solidarité. Le maître mot,
c’est l’innovation, indispensable pour réussir la transition vers des modèles de développement économique
vertueux, respectueux de l’environnement et des êtres humains. Cette convention, renouvelée en 2012 est un
véritable levier pour stimuler l’activité régionale.
Elle mobilise des ressources et met en œuvre une série d’innovations autour de grands objectifs : la croissance
des petites et moyennes entreprises, l’épanouissement de l’économie sociale et solidaire, les solutions nouvelles
en matière de production et d’économies d’énergie, le déploiement des actions de rénovation énergétique des
bâtiments, la protection de la biodiversité, la promotion du "mieux vivre ensemble". Au total, depuis 2008, 32
millions d’euros auront ainsi été investis par EDF pour donner un coup de pouce décisif à des projets différents et
souvent originaux qui, chacun à leur manière, contribuent au développement durable de l’Alsace et œuvrent pour
une vie meilleure.
A propos de la Banque de Détail en France de BNP Paribas
En France, le pôle Banque de Détail compte plus de 30 000 collaborateurs au service de
près de 7 millions de clients particuliers, 580 000 clients professionnels et très petites
entreprises (TPE), 32 000 entreprises (PME, entreprises de taille intermédiaire (ETI),
grandes entreprises) et 75 000 associations. Il est leader sur le marché des Entreprises et de
la Banque Privée. Organisé autour de lignes de clientèles spécialisées pour apporter le
meilleur accompagnement, il offre une large gamme de produits et services, de la tenue de
compte courant jusqu'aux montages les plus experts en matière de financement des
entreprises ou de gestion de patrimoine. Les équipes de la Banque de Détail sont fortement
engagées au service de l'économie et de toutes les clientèles qu'elles accueillent au sein des
2 200 agences et dans les 300 pôles d’expertises : Banque Privée, Maisons des
Entrepreneurs, Pôles innovation et Centres d'Affaires Entreprises. La Banque de Détail
assure également une large présence sur les réseaux sociaux via notamment Facebook,
Twitter et Foursquare. Investissant en permanence dans l'innovation et la qualité de service,
BNP Paribas a lancé en mai 2013 la première banque digitale nativement conçue pour
utilisation sur mobiles : Hello Bank!. Cette nouvelle offre de relation clients est venue
compléter le dispositif de Banque en ligne (Centres de contacts, Internet, Mobile, Net
Agence, Net Crédit et Net Epargne) et les 6 000 automates mis à disposition de ses clients
particuliers et professionnels.
A propos des
entrepreneurs
engagements
de
BNP
Paribas
envers
les
BNP Paribas met les entrepreneurs au cœur de sa stratégie entreprise en France, avec
l’ambition d’acquérir 5 000 nouveaux clients PME par an sur la période 2014-2016.
La Banque a annoncé 7 nouveaux engagements en janvier 2014 à destination des
entrepreneurs, avec la mise à disposition d’une enveloppe minimale pour, l’année 2014, de
10 Mds d’€ de financement - dont 4 Mds dédiés aux solutions de trésorerie. BNP Paribas
développe également des dispositifs spécifiques pour 3 typologies clés d’entrepreneurs :
l’entrepreneuriat innovant, l’entrepreneuriat féminin et l’entrepreneuriat social et solidaire.
Ainsi, BNP Paribas définit l'entrepreneuriat innovant comme typologie clé d'entrepreneurs.
Par PME innovantes, BNP Paribas entend non seulement toutes les entreprises qui
développent l’innovation produits, mais aussi l’innovation dans leurs procédés, leurs
techniques de fabrication, leurs modes de commercialisation ou d’organisation. Ces PME
jouent un rôle décisif dans la création d'emploi et la croissance économique française. Leur
accompagnement bancaire nécessite des compétences et un savoir-faire particuliers.
Au sein des 15 Pôles Innovation de BNP Paribas partout en France, les Chargés d’Affaires
spécialisés, totalement intégrés dans les écosystèmes locaux, proposent aux PME
innovantes des solutions personnalisées. Ils travaillent en lien étroit avec l’ensemble des
métiers du Groupe, notamment en matière de commerce international, grâce à l’offre Trade
Développement, ou encore dans le domaine de l’e-commerce et des nouveaux usages de
paiement.
La Banque amplifie également son soutien au financement des startups en investissant
20 M€ dans des fonds d’amorçage en régions, dont 2/3 dans des fonds de capital
Innovation et 1/3 dans des fonds d’investissement RSE.
Banque régionale coopérative, partenaire des alsaciens,
la Caisse d’Epargne d’Alsace souscrit au fonds CAP INNOV’EST
pour soutenir la croissance des entreprises locales
- STRASBOURG. 4 FEVRIER 2015 -
La Caisse d’Epargne d’Alsace, forte de ses 614 000 clients et 130 000 sociétaires, est
une banque régionale dynamique au service de tous les acteurs économiques de son
territoire.
Acteur bancaire majeur, affiliée au Groupe BPCE, la Caisse d’Epargne d’Alsace (CEA) est
reconnue pour l’excellence et le caractère innovant de son offre complète de
bancassurance (collecte et gestion de l'épargne, crédits, moyens de paiement, gestion de
patrimoine, assurance...). Ses 1000 collaborateurs accompagnent au quotidien dans leurs
projets l'ensemble des acteurs économiques de sa région : particuliers, professionnels,
entreprises, associations, collectivités locales, promoteurs, organismes de logement social…
Depuis 2008, et malgré la crise, elle a accentué son engagement auprès des acteurs
économiques alsaciens. Son lien historique fort avec les territoires, sa capacité à décider vite
et au plus près des clients sont des facteurs de différenciation et de conquête que ses clients
plébiscitent. Son ancrage local permet à la CEA de réaliser chaque année des performances
commerciales en hausse significative et régulière.
Partenaire des projets de développement de la Région Alsace
Acteur de référence du marché alsacien, la Caisse d’Epargne d’Alsace est au cœur de tous les
grands projets d’investissements qui contribuent au rayonnement et au développement
durable de l’Alsace, et en particulier ceux portés par la Région Alsace.
Ainsi, dans les cinq dernières années, la CEA a été choisie par la Région Alsace en 2008 pour
un crédit-bail destiné à l’acquisition de nouvelles rames de TER, et en 2010 pour être le
banquier et l’arrangeur en financement de la Société ECOLYA dans le cadre du 1er contrat de
partenariat public-privé (PPP) portant sur la rénovation énergétique de 14 lycées
alsaciens.
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Aux côtés des entreprises et des entrepreneurs
Avec un fonds de commerce de PME et d’ETI doublé depuis 4 ans, la CEA s’affirme chaque
année davantage comme une banque au service des entreprises régionales. Attachée au
développement local, la CEA soutient les initiatives visant à développer le tissu entrepreneurial
alsacien. Depuis 2013, la CEA a signé un partenariat avec RHENATIC, Pôle de Compétences
TIC d’Alsace, visant à garantir aux adhérents de Rhénatic un accès facile à des interlocuteurs
bancaires familiarisés avec leurs enjeux et contraintes spécifiques.
Un (co-)investisseur régional de premier plan
La CEA est un acteur historique des principaux fonds de soutien et d’investissement
régionaux : Alsace Capital, Alsace Création ou la SODIV, notamment. Avec le soutien apporté
à la création du fonds CAP INNOV’EST, la CEA s’inscrit dans la continuité de cette démarche de
long cours.
En parallèle, la CEA vient de créer en partenariat avec des structures de capital risque du
Groupe BPCE, son propre véhicule de capital-développement. CEA-Capital Développement
est un outil dédié à l’investissement en fonds propres et quasi-fonds-propres, qui a vocation à
investir dans le capital d’entreprises alsaciennes en croissance réalisant un chiffre d’affaires
compris entre 2 et 100 millions d’euros.
Contact presse Caisse d’Epargne
Didier ALTIDE
Directeur Communication
Tél : 33 (0)3 88 52 55 24
[email protected]
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Communiqué de Presse
Dijon, le 4 février 2015
La Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté souscrit au fonds
CAP INNOV’EST pour accompagner le développement des
entreprises innovantes de ses territoires
Parce que l’innovation est un des leviers pour l’avenir de nos régions, la Caisse d’Epargne
de Bourgogne Franche-Comté, acteur régional de proximité, choisit, par l’intermédiaire de
sa société de Capital Développement, BDR INVEST, d’investir dans le fonds CAP
INNOV’EST.
Partenaire de tous les acteurs économiques, la Caisse d’Epargne de Bourgogne FrancheComté est une banque coopérative, au service du développement économique et social de
ses territoires.
Elle accompagne au quotidien 1 PME sur 4, dans leurs projets, à travers son réseau de 6
Centres d’Affaires. Grâce à l’expertise des Chargés d’Affaires et à l’appui des filiales BPCE, la
Caisse d’Epargne peut répondre à l’ensemble des besoins de ses clients et prospects, dans le
domaine de l’affacturage, du crédit-bail mobilier et immobilier, l’épargne salariale ou de la
couverture de taux de change et de l’accompagnement à l’international.
Dans un contexte économique toujours plus contraint, ses progressions régulières d’encours
de crédit aux entreprises témoignent du dynamisme et de la volonté de la Caisse d’Epargne
de Bourgogne Franche-Comté de remplir pleinement son rôle au service de l’économie
régionale.
Partageant les ambitions de développement au service de l’innovation, la Caisse d’Epargne
s’associe tout naturellement, aux acteurs régionaux pour soutenir tous les projets porteurs
d’avenir.
Contacts Presse :
Nathalie RENVOISÉ-BENHAMDOUNE – Directrice de la Communication
Tél . 03.80.70.41.47 – 06.63.33.60.30 – [email protected]
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Spécialement créée pour accompagner les entreprises de Bourgogne et de Franche-Comté,
BDR INVEST soutient les projets de Capital Développement des entreprises dans le cadre
d’une croissance interne ou externe, d’opérations de renforcement de fonds propres,
réorganisation de capital ou de transmission.
A propos de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté : La caisse d'Epargne de
Bourgogne-Franche Comté est une banque coopérative régionale au service du
développement économique et social de ses territoires. Grace à une situation financière
solide, 1.1 milliards d'euros de fonds propres, elle poursuit un développement ambitieux et a
généré, en 2013, 327 millions d'euros de produit net bancaire. Ses 1750 collaborateurs, à
travers 228 agences et 6 centres d'affaires, mettent chaque jour leurs compétences et leurs
expertises au service de plus de 1.1 millions de clients.
Contacts Presse :
Nathalie RENVOISÉ-BENHAMDOUNE – Directrice de la Communication
Tél . 03.80.70.41.47 – 06.63.33.60.30 – [email protected]
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BIONEXT lève 1 M€ en amorçage auprès du fonds Cap Innov’Est et de
Business Angels
BIONEXT, société de bioinformatique, à la croisée de l’IT et des biotechnologies, annonce avoir levé 1 million
d’euros en amorçage auprès de Cap Innov’Est et de business angels.
BIONEXT a l’ambition de devenir l’entreprise de référence de la biologie en rassemblant sur une seule et même
plateforme big-data, l’ensemble de la connaissance disponible sur les données structurales et "omiques"
(génomique, protéomique, métabolomique etc…) et de proposer des applications innovantes capables
d’exploiter ces données. Les objectifs de BIONEXT : accélérer et dé-risquer le cycle de développement des
médicaments, dont la durée et le coût ne cessent d'augmenter pour atteindre actuellement 12 ans et 1,2
milliard d'euros en moyenne ; et booster l'innovation thérapeutique, elle aussi en perte de vitesse depuis vingt
ans.
Le Big-Data pour accélérer et dérisquer le développement de médicaments
La plateforme big-data de BIONEXT, qui exploite la puissance de calcul quasi-illimitée offerte par le cloud
computing, permettra, par exemple, de prédire, en moins d'une heure, l'effet d'un médicament dans le corps
humain. Son intérêt réside notamment la détermination de nouvelles indication d’intérêt pour ce médicament,
l’identification des cibles d’un composé, l’anticipation d’un manque d’efficacité ou des effets secondaires
potentiels lors du développement d’un médicament. « Quand on voit on le nombre de candidats médicaments
arrêtées en phase cliniques II ou III ces dernières années pour des problèmes d'efficacité ou de toxicité, avec, à
chaque fois, plusieurs années de R&D et des dizaines ou centaines de millions d'euros perdus, on comprend
mieux l'importance de pouvoir détecter très tôt en amont ces échecs grâce à la puissance du digital », précise
Serge-Henri ALBOU, CEO de BIONEXT.
A terme, ces mêmes technologies se retrouveront au cœur de la médecine personnalisée, favorisant la
conception de médicaments personnalisés jusqu'à leur prescription au travers, par exemple, des diagnostics
compagnons (Companion Diagnostics) digitaux.
L'industrie pharmaceutique et des biotechnologies est en pleine mutation et le digital sera au cœur de cette
révolution. « L'apport de notre solution BVS pour la recherche et le développement de médicaments peut être
comparé à la révolution apportée par Dassault Systèmes il y a trente ans avec CATIA pour la conception des
avions assistée par ordinateur. Notre ambition est d’être le Dassault Systèmes de la Santé et de devenir très
rapidement le standard de l’Industrie " précise Serge-Henri Albou.
Un business model innovant pour rendre accessible à tous une innovation de rupture
Une autre force de BIONEXT réside dans son business-model innovant, inspiré des best practices du secteur IT,
à destination de l'industrie pharmaceutique et des biotechnologies. A l'opposé de ce qui se fait dans son
secteur, BIONEXT souhaite aussi rendre réellement accessible à tous ses technologies et favoriser l'innovation.
Une partie de son offre sera ainsi commercialisée sous forme de services en ligne avec un paiement par analyse
ou abonnement. L’offre démarrera à 100€ et ne nécessitera ni compétences informatiques ni matériel dédié,
puisqu'il suffira d'un simple navigateur pour lancer une analyse sur un composé ou médicament et voir les
résultats. « Nous voulons adresser, grâce au cloud computing et au SaaS (Software as a Service), les 98% du
marché délaissés par nos concurrents à cause de leurs business models et technologies traditionnelles », ajoute
Serge-Henri Albou.
Une technologie de rupture propriétaire et brevetée
L'offre commerciale, qui sera lancée courant 2015, repose sur une technologie de rupture protégée par deux
brevets. Issue de dix ans de R&D publique et privée, elle est déjà financée pour plus de deux millions d'euros
par plusieurs concours français et européens. BIONEXT est dirigée par Laurent-Philippe ALBOU, docteur en
bioinformatique structurale, qui a fait sa thèse à l'IGBMC à Strasbourg sous la direction du Professeur Dino
Moras et du Docteur Olivier Poch. C’est en 2008, après de nombreuses discussions avec son frère Serge-Henri,
dirigeant d’une entreprise dans le secteur IT, que naîtra le projet BIONEXT. Ils s’entourent alors d'un Board
expérimenté dans les secteurs IT et des Biotechnologies, parmi lesquels Jean-Paul Bertholier (JVC-Kenwood,
AVID, EFI), Paul Amsellem (The Mobile Network Group, Adenyo, Nokia) et Gilles Avenard (co-fondateur et
ancien CEO de BioAlliance Pharma, France Biotech) pour bâtir, avec leur aide précieuse, un business model
innovant permettant de positionner leur technologie en rupture avec la concurrence.
Alsace Capital, qui gère le fonds Cap Innov’Est en partenariat avec Invest PME (Groupe Siparex), a choisi
d’accompagner le déploiement de cette société à très haut potentiel en investissant 800.000 euros à son
capital. « Notre investissement dans BIONEXT, société qui exploite une réelle technologie de rupture et portée
par une équipe solide, complémentaire et dynamique, va lui permettre de se déployer sur un marché mondial en
forte croissance, pour rapidement devenir une référence incontournable en bioinformatique », explique JeanFrançois RAX, directeur de Participation du fonds Cap Innov'Est. Cet investissement, complété par l’apport de
plus de 200.000 euros du fonds Alsace Business Angels et de business angels indépendants et par un prêt
participatif d'amorçage de BPI France à hauteur de 300.000 euros pour le renforcement des fonds propres,
permettra à BIONEXT de lancer sa première offre commerciale et de se développer rapidement à
l’international.
A propos de BIONEXT
BIONEXT est basée à Strasbourg, au cœur du cluster trinational "BioValley". BIONEXT, entreprise 100% IT
dédiée aux « Digital Life Sciences », a été créée en 2009 par deux frères, Serge-Henri et Laurent-Philippe
ALBOU, sur l’idée d’associer une double révolution : celle de l'IT, avec le big-data et le cloud-computing, et celle
de la biologie, avec l'explosion des données "omiques". Les solutions de BIONEXT permettent de prédire, en
amont et grâce au digital, l'effet des médicaments dans le corps humain pour accélérer et réduire le risque lié
au développement de médicaments, tout en boostant l'innovation thérapeutique. BIONEXT a gagné plusieurs
prix et concours parmi lesquels le Concours national d'aide à la création d'entreprises de technologies
innovantes en 2010, et deux Eurostars européen en 2011 et 2013 . La société compte 7 collaborateurs.
Pour plus d'informations : www.bionext.com
Contacts :
Serge-Henri ALBOU, CEO ([email protected])
A propos de Cap Innov’Est
Fonds interrégional d’amorçage doté de 36 M€, Cap Innov’Est a vocation à investir dans le capital des start-ups
des régions Alsace, Bourgogne et Franche-Comté.
Ses souscripteurs sont le Fonds National d’amorçage (FNA), les trois régions Alsace, Bourgogne et FrancheComté, SAFIDI, les caisses d’épargne d’Alsace et Bourgogne/Franche-Comté, BNP Paribas et CIFC.
Pour plus d'informations : www.alsacecapital.eu
Contacts :
Cap Innov’Est : Jean-François Rax
Conseils: Juridique (Me Anne-Sophie Vaquer, cabinet HSK Avocats)
A propos d’Alsace Business Angels
Créée en 2006, Alsace Business Angels est une association régionale visant à développer les investissements
dans l’économie régionale et à soutenir les entrepreneurs innovants. Elle regroupe aujourd’hui 47 membres,
issus de différents domaines d’activité et d’expertise et disposant d’une grande expérience entrepreneuriale.
Son soutien se concrétise par l’apport de financement en capital et par l’accompagnement des porteurs de
projets sous la forme de partage d’expérience, de compétence et de réseaux.
Pour plus d’information : www.alsacebusinessangels.com
Contact :
Bernard Fliegans, Président
DTA Médical lève 1 M€ auprès du Fonds CAP INNOV’EST
DTA MEDICAL annonce avoir réalisé son premier tour de financement à hauteur de 1 million d’euros auprès du
fonds CAPINNOV EST.
Spécialisée dans la conception de dispositifs médicaux de traitement des plaies, DTA MEDICAL développe le
dispositif « Wound Induction », apportant aux établissements de santé une solution améliorant la cicatrisation
de plaies aigües et chroniques, tout en protégeant des infections nosocomiales. La configuration de « Wound
Induction » en enceinte de confinement, sans couverture de la plaie, devrait favoriser l’efficacité d’adjuvants
tels que les cellules souches ou de nébuliser des principes actifs à des fins thérapeutiques. Ces fonctionnalités
en font un véritable laboratoire innovant et unique vers de nouvelles voies de traitement des plaies aigues et
chroniques.
François DUFAŸ, fondateur de DTA MEDICAL, s’appuie sur les compétences d’un comité scientifique reconnu
dans le domaine, avec notamment la participation du Pr. Dominique CASANOVA (Chirurgien Plasticien et Chef
de service à l’Hôpital de la Conception de Marseille, membre de la « Société Française de Chirurgie Plastique,
Reconstructrice et Esthétique », membre du « Syndicat National de Chirurgie Plastique Reconstructrice et
Esthétique ») qui sera en charge de l’étude clinique. Le comité scientifique est présidé par le Dr. TALON, ancien
Chef de service d’hygiène du CHU de Besançon.
Un dispositif similaire, resté au stade de prototype, a été étudié par les Pr CASANOVA et Pr. TERVER pendant
près 10 ans sur 120 patients et a pu démontrer empiriquement de très bons résultats. Le dispositif « Wound
Induction », nettement plus abouti technologiquement laisse entrevoir des perspectives très enthousiasmantes
pour les patients et le monde hospitalier.
Ce dispositif médical de rupture s’adresse d’une part au marché des plaies traumatiques dont on dénombre 80
000 cas par an rien qu’en France, dont 3 700 grands brûlés, et d’autre part au traitement des plaies chroniques
dont le nombre excède 1 million de cas dans l’hexagone (escarres, plaies du pied diabétique, ulcères).
« Outre le confort du patient et une meilleure cicatrisation des plaies, le système « Wound Induction »
permettra également une diminution du temps et donc des coûts des traitements », explique le Président
François DUFAŸ.
Résolument concentrée sur la R&D, DTA MEDICAL a conclu des partenariats industriels de premier plan tant
pour la fabrication du dispositif que pour les principes actifs consommables.
La société envisage un début de commercialisation en 2016.
M. Philippe GARNIER a rejoint M. DUFAŸ pour prendre en charge le développement commercial et partenarial
de DTA MEDICAL. M. GARNIER est un spécialiste de la mise sur le marché de dispositifs médicaux innovants.
Diplômé de l’EM Lyon, il a notamment été directeur de développement régional dans un cabinet d’audit
financier reconnu avant de créer la société EFISCIENCE spécialisée dans l’accompagnement de startups
innovantes en santé.
ALSACE CAPITAL, qui gère le fonds CAP INNOV’EST en partenariat avec INVEST PME (Groupe Siparex), a décidé
d’investir 1 million d’euros en plusieurs tranches au capital de DTA Médical. Ce financement est abondé par
plusieurs financements complémentaires de la région Franche-Comté et de BPI FRANCE.
« Ce premier investissement de CAP INNOV’EST en Franche-Comté permettra à DTA MEDICAL de terminer la
phase de R&D, réaliser des préséries, conduire les études cliniques, obtenir le marquage CE et initier le
Parc d’Innovation 550 Blvd Gonthier d’Andernach 67400 Illkirch-Graffenstaden
T +33(0)3 67 10 61 02│F +33(0)3 88 43 11 38 │www.alsacecapital.eu │[email protected]
démarrage de la commercialisation en France et en Europe », indiquent Mathilde FAGLIN et Rémi BERTHIER,
Investisseurs sur CAP INNOV’EST.
A propos de DTA MEDICAL
DTA MEDICAL est basée à LOULLE (39) et a été créée en 2010 par François DUFAŸ. La société compte 3
employés ingénieurs biomédical et plasturgiste.
Contacts
François DUFAŸ, Président ([email protected])
Conseils: Juridique (Me BAROIN, Lamy & Associés Avocats)
A propos de CAP INNOV’EST
Fonds interrégional d’amorçage doté de 36 M€, CAP INNOV’EST a vocation à investir dans le capital des startups des régions Alsace, Bourgogne et Franche-Comté. Ses souscripteurs sont le Fonds National d’amorçage
(FNA), les trois régions Alsace, Bourgogne et Franche-Comté, SAFIDI, les Caisses d’Epargne d’Alsace et
Bourgogne/Franche-Comté, BNP Paribas et CIFC.
Contacts :
Rémi BERTHIER ([email protected]), Mathilde FAGLIN ([email protected]), Patrick BLASSELLE
Conseils: Juridique (Me VAQUER, HSK Avocats)
Parc d’Innovation 550 Blvd Gonthier d’Andernach 67400 Illkirch-Graffenstaden
T +33(0)3 67 10 61 02│F +33(0)3 88 43 11 38 │www.alsacecapital.eu │[email protected]
INOVIEM SCIENTIFIC lève 500.000 € en amorçage auprès du fonds
CAP INNOV’EST
Inoviem Scientific est une Contract Research Biotech (CRB) guidée par le développement technologique et
l’innovation au service de ses clients de l’industrie pharmaceutique et biotechnologique, afin de les
accompagner dans le développement d’agents pharmacologiques plus sûrs. La société porte trois valeurs
fondamentales qui lui sont chères, le respect de la vie, l’excellence et l’innovation. Inoviem Scientific a été
fondée en 2011 par le Dr Pierre Eftekhari et repose sur deux technologies propriétaires qui sont le fondement
de la société. Inoviem Scientific investit continuellement ses ressources humaines et financières dans le
développement de technologies complémentaires afin d’apporter les meilleures solutions technologiques,
créatives et innovantes pour ses clients.
« From preclinical to clinical: Leading explorer of drug-target interaction »
Pour plus d'informations : www.inoviem.com
Contact : Dr Pierre Eftekhari
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