Newsletter #03
Une autre
façon de
pratiquer
L’adoption d’un système d’empreinte optique n’est plus synonyme de “fabrication centralisée de la prothèse au cabinet dentaire” avec ses
limites en terme d’applications cliniques (inlay/onlay, couronne voir bridge de petite étendue) et de manutention associée. Les difficultés
levées par la profession face à cela était un problème d’implication dans la fabrication de la prothèse, les praticiens préférant passer plus
de temps “au fauteuil” que pour la conception et la fabrication des prothèses. La réponse des fabricants a été de proposer à la communauté
des caméras plus ergonomiques et connectées directement aux laboratoires grâce à internet.
Côté cabinet, les caméras n’ayant pas
une focale leur permettant de faire des
empreintes profondes, des scan bodies
sont employés pour rendre compte de la
profondeur et de la taille d’un canal ou
de la position d’implants intraosseux.
Ceux‐ci comme leur nom l’indique sont
scannés en bouche La philosophie est la même, des empreintes de la préparation
avec le cône de raccordement puis des corps de scannage
sont réalisées. Les scan bodies sont spécifiques au système de
forets employé.
Dans ce cas une réplique des tenons s’associe au corps de
l’inlay core. Le logiciel permet d’incorporer une clavette si
necessaire. La précision numérique offre la possibilité de
concevoir dans la même séance la couronne.
Côté laboratoire, le logiciel déduit une
situation clinique nécessaire à la
conception de l’inlay core ou du faux
moignon implantaire de la position du
scan body au sein de l’empreinte et des
informations qu’il contient.
Au préalable une empreinte de la situation gingivale est prise
puis du scan body. Celuici est choisi en fonction de la taille de
l’implant et positionné en bouche.
La réplique numérique du scan body contenant l’information de la connectique implantaire
est corrélée sur l’image et permet d’y associer la réplique de l’implant.
Les sociétés détentrices des systèmes d’empreinte
optique destinés aux cabinets dentaires travaillent
d’arrachepied afin de mieux répondre aux
attentes des praticiens. Les dépenses
en recherche et développement
sont considérables.
Les applications sont désormais
nombreuses et bien réelles.
La rapidité des caméras et leur manipulation les rendent
plus attractives et elles commencent à trouver leur place
au sein des cabinets d’orthodontie.
L’évolution de l’empreinte optique : Les 3+
+ d’indications couvertes
Les inlay cores, l’implantologie, l’orthodontie
+ de réactivité
Par internet l’empreinte est envoyée en quelques minutes au laboratoire pour
validation et débuter la conception
+ ouvert
Les fichiers numériques peuvent empreinter des passerelles afin de les rendre
compatibles avec les machines outils du laboratoire et les appareils du cabinet
dentaire.
Les conseils d’aria pour s’informer sur ce sujet lors du congrès :
Dr Christophe MEDARD :
scanner en bouche ou au laboratoire. Le duo praticien prothésiste
pour une prothèse implantaire sur mesure.
Dr Hero BREUNING :
évaluation de l’efficacité et de la qualité de la technologie de
numérisation intra‐buccale pour le traitement orthodontique.
Sans oublier la visite des stands !
4ÈMES RENCONTRES INTERNATIONALES
cad-cam dentaire
Espace Tête d’Or LYON27-28 septembre 2013
L’empreinte optique : les indications s’élargissent.
CS 3500 :
la nouvelle réalité
en CAD/CAM.
Portable, sans poudrage,
couleurs réelles.
Avec l’aimable autorisation
de Carestream
Avec l’aimable autorisation de B-Next et 3 Shape
Inscrivez-vous en ligne sur le site :
www.aria-cadcam.net
“A l'occasion de son passage en France
la CAI Academy s'associe à aria cad-cam
pour ses Rencontres 2013.
Dans un même lieu venez découvrir la CAI Academy”