APPUNTI
E
DOCUMENTI
(Contitiuaziolie
:
vedi
fascicolo
prcceclente, pp.
92-108)
CLIIE.
Mon
cher
ami,
rg
septsmbre
I&.
Je
vous
retourne
Ies
Qr
feuilles d'dpreuves qrie vous
avez
bien
voulu,
'
lire(1);
je
vous remercie pour tout
le
travail que
je
vous occasionne. Voici
quelques
explications
complenientaires.
Feuille
4,
note
T,
dernière
ligne.
J'ai
voulu
dire
que
géneralement les
,kcoles
ne
ressemblent pns
à
ce
que
Newman suppose; elles sont beaucoup
inoins ititelligentes que
cela
et
recberchent plut6t
des
formules que
des
ddveIoppements de pensée. Ne
cherchant
que
du
nouveau
et
voulant
6veiller
le
meme
goQt
chez
mes
lecteurs,
je
ne
peux
&tre
chef
d7&cole?
sur
tout
étant
donné que les écoles ressemblent rarement
h
ce
que
dit
Newman.
J1
faudrait peut-&re paraphraser, puisque vous
avez
trouvé
le
texte
obscur.
EeuiIle
7,
Iigne
17;
feuille
8,
ligne
6
et
Iigne
22;
feuille
g,
Iigne
rg;
feuille
ro,
Iigne
2
i
;
j'ai
mis
partout
reden~ione
pour traduire
délivrance
:
il
y
avait
eu
plusieurs mots employès;
j'ai
pris celui
qui
me
semblait
avoir
616
employk
le
plus souvent
par
le
traducteur.
Feuille
3,
ligne
20,
Le
mot
depresso
ne porte-t-il
pas
à
12Equivoque
pÒur
rendre
imprrissnntP
Le
courage
pcut Ctrc
impuissant
sans ?tre
dé-
primé.
Feuille
i
r,
ligne 9.
Le
mot
meridi~o
est
ernployè
en
parlant
d'un
changernént de
laiiiude,
et
i
la
ligne
suivante
en
parlailt
d'un
change-
ment
de
lo~tgitude.
II
y
a
évidcmment
dquivoque.
(I)
Si
tratta
ilella
traduzione
delle
Rcyexions
sttr
la
violence,
fatta
da
A.
Sari~o
e
pubblicata
dal
Latcrza
(Cotisidera,cioni
sttlla
viole)t,cn,
Bari,
xgog;
n.a
ed.,
1925).
«La Critica. Rivista di Letteratura, Storia e Filosofia diretta da B. Croce», 26, 1928
© 2007 per l’edizione digitale: CSI Biblioteca di Filosofia. Università di Roma “La Sapienza” –
Fondazione “Biblioteca Benedetto Croce” – Tutti i diritti riservati
FeuilIe
13,
lijine
14.
J'ai
employé une formule (abon~ination
de
In
d6solation) qui est
empruntée
à
la
Bible:
DanieI,
XI,
5,
et
Mathieu,
XXIV,
i
5.
I1
s'agit
d'un
des
grands
si~nes
qui
vont
annonter
la
fin
du
monde.
.Te
doute
que
l'expression
employée
par
le
trziducteur
rende
bien
le
texte
biblique.
Fcuille
r3,
note
I.
Est-ce
que
Ie
rnot
npache
ne correspond
pas
reppiszn?
C'est
u11 crirriiriel
qui
assassine
le
passant
au
coi11
d'une
rue
si
le
passanr
ne
lui
donne
pns
son
argent.
Feuille
14,
ligne
I
I.
Pourquoi
ne
pas
traduire te
mot
e~ztorrrcrge?
J'ai
vorilu
par1er
des
notnbi-eus
jeunes
gsns
qui
remplisscnt
le
cabinet
du
ministre
ot font
les
personnages
irnportnnts.
Feuille
r4,
ligne
i
2.
On
appclle
boitissetrr,
dnns
le
style
familier,
le
charlatan
qui
vnnle un rernèdc
sur
la
place,
ou l'acteur forain qui sante
la
beaut;
du
spectacle
naqiiel
i1
convie
les
passants.
Lc
bonisscur
est
celui
qui
fait
les
bonimettts:
ce
dernier
111ot
cst
dans
1,ittrC.
Je
pense
qu'il
doit
y
avoir un
mot
correspondunt
en
italici1.
Feuille
rq,
note
2.
Pourquoi
ne
pas
avoir
traduit
le
mot
brochztre?
Feuille
15.
Jz
pense
que
le
point
d'intérrogation
s'applique
h
scienqa
tnnledetrn.
J'ai
voulu
dire
que
!e
clergé, sous
l'
influence
de
J.
de
Muistre,
a
regardf
la
sciencr
morlcrna
cornnle
une
chosa dangereuse.
Des
catho-
!iqiies iristruits sont aujourd'hui eff-rny6
de
l'ignorante
que
les
thèses
[Se
,T.
de
Moistre
ont
fnvorisée;
ils
attaquent ces
thèses,
en
en signalrint
le
danger
et les tournnnt
au
besoin
en
ridicule.
D'autre
part
Ics
ennemis
de
l'&glise s'sppliquent
à
fairc
que
le
mythe
de
la
guerre
engsgde
entre
1'kglise
et
Satnn
ne
se
rajeunisse pas.
FeuilIe
28,
ligne
27;
feuille
29,
ligne
31;
feuille
31,
ligile
IO.
Je
crois
qu7jI
vnudrait
111ieux
Iaisser
en
fratlqais
le
inot
Blc.11,
qui
a
un
sens
très
d6termiiik dans ilotre
ìangue
politique
clepuis
quelques nt~nécs.
Feuille
30,
lisne
4r.
I1
y
avait
dans
le
texte
franqais
un
affreux
pro-
vincialisnie
belge:
«
St~vex-vouz,
sais-tu,
pour
une
fois
».
C'est
en
raison
de
ce
piovincialismc
que
j'avais mis
In
note 4;
celle-ci
perd
se
raison
d'&e avec
I;i
traduction
ndoptde
qui
ne
laisse
pas
soupqonner
que
je
disais
quelque chose capnble
de
ridiculiscr
les
Beiges,
Le
mieux
serait
de
laisser
le
provincialisme
sans
Ie
traduire,
ti
ce
qii'il
me
sen~ble.
J'ni
indiqué
pIusieurs
bfancs
à
Iaisser
entre
des
alindas
pour faciliter
la
lecture.
Je
vous
envoie
une
coupure
des
Déb'qts
relative
au
Congres
dlHei-
delberg.
Je
joins
h
mon
paquet
un
n.0
de
la
Coopdrntion
des
id6e.s.
Cetie
retTuc
est
rédigee
par
Deherma,
ancieii
ouvrier
typogra
phe,
qui
avait
fonde une
UniversitC
populaire Rorissante,
qui
a
fait
dcpuis
un
bon
muririge
et
qui
vit
mniritctizint
dans
le
1~4idi.
Cornme
beaucoup de
pri-
ntaircs,
il
est
très
fdru
de
scieiice
et
de
plus
positivistc.
Comme
vous
n'ovez
pas
beaucoup d'admiration pour
le
positivisme,
j'ai
pensé
que
sa
diatribe
vous
arnuserait.
Au
moinent
d'envoyer cctte
Iettre,
j'ai
recu
un
mot
de
PJI.
Antonio
«La Critica. Rivista di Letteratura, Storia e Filosofia diretta da B. Croce», 26, 1928
© 2007 per l’edizione digitale: CSI Biblioteca di Filosofia. Università di Roma “La Sapienza” –
Fondazione “Biblioteca Benedetto Croce” – Tutti i diritti riservati
Sarno,
le
trnducteur,
qui
rnc
prie
d'eiivoyer
Ies
dpreuves
chez
vous;
jt.
ne
recornmence
donc
pus
ma
lettre.
Si
queIques points
paraissent
obscurs,
je
vous
priernis de
me
le
faire savoir.
Je
voudrais
bicii
qu'on
n'oubliut
pas
de
reproduire
la
dédicace
que
j'ai
mise
en
tetc
du
Iivre.
P.
S.
Feuille
18,
iigne 38.
BiIE
of+ihyfzis.
N':tyant
pas
de
dicrionnaire
anglais
sous
la
main,
je
ne
sais
pas
s'il
fiut
righis
ou
righf:
prière
de
vérifier.
CLIV.
Je
n'ai
pas
I'
inten
tion
d'écrire
une
priface
pour
l'idition
italieilne
de
la
Violente;
je
ne
scrais
gucre
capnble
de
la
friire
e11
ce
rnoinent,
et
jl
y
a
d'ailleurs
des
choscs
B
dire spécialement
pour
l'ltalie
que
je
n2
sais
pns.
Ne pourriez-vous
avoir
I'obligeance
de
inettre
quelques
pages
en
tete
de
mon
livre?
nul
ne
peur
niieux
que
vous
en
montrer
l'intéret
pour
I'Italie.
-
Leone
m'écrit
qu'il
fait
traduire
le
Progrcs
et
qu'il
s'arrangera
pour trouver
un
dditeur;
je
crois
que
ce
Iivre
attaque
les
erreurs
modernes
sur
le
point
capital.
-
Je
nJai
pas
eu
encore
le
temps
de
lire
votre
communication
sur l'esil~ktique
(I).
7
octobre
1908.
J'envoie
aujourd'liui
à
M.
Sarno
un
paquet
d'dpreuves
corrigées;
je
crois
que
le
volume
sera
pr6t
avant
In
fin
dc
l'anndc,
étant
donnde
la
rapidité
avec
InquelIe
marche l'imprimeur.
Il
tiient
de
paraitre
un
vo-
lume
sur
Cournot
(2),
qui
vous
inrljressera
peut-&tre; si
vous
ne
l'avez
pas
recu,
je
dirai
h
M.
Rivière,
qui
est
l'&diteur,
de
vous
I'envoyer.
Cortrnot
commence
à
&tre
lu
en
France;
mais
ses
livres
sont
introusables
aujour-
d'hui,
ainsi
qu'onz~est
bien
aise
d'en
avoir
un
rdsumé.
CLVI.
12
octobre
1908.
J'écris
à
X.
Ldon
pour
lui
demander
de
me
faire
envoyer
les
kpreu-
ves;
je
les
corrigerai
suivant
votrc
desir.
I1
est
regrettable
que
tout
votrc
-
discours n'ait
pas
étd
réproduir
dans
Ia
Revue
de
métnphjcsique;
j'ai
(I)
Al
Congresso
filosofico
intcrnazionalc
di
Meidclberg:
Il
carattere
lirico
dcll'aute
e
I'infiti,cione
ptfr-a
(rjstamp.
in
P,-oblenti
di
estetica).
(2)
Quello
del
Mentré.
«La Critica. Rivista di Letteratura, Storia e Filosofia diretta da B. Croce», 26, 1928
© 2007 per l’edizione digitale: CSI Biblioteca di Filosofia. Università di Roma “La Sapienza” –
Fondazione “Biblioteca Benedetto Croce” – Tutti i diritti riservati
l
g0
APPUNTI
E
DOCUMJSNTI
peur qu'un
resumé
ne
le
defgure
un
peu.
-
Je
viens
de
recevoir
la
Philosophie
~nodcrne
d'AheI
Rey,
dans
laquelle
j'admire
la
f;icilité
avec
laquelle
les
jeunes
gelis
nrivigtrent
au
milieu
des
dificultds
qui
effraici~t
Iciirs
anciens.
C
LVII.
Je
pense que
M.
Sarrio vous aura envoy6, aaec ines dpreuves,
Ia
let-
tre
que
je
lui
ai
adressCe
pour lui signnler
les
points
qui
me
semblaient
tnériter correction.
-
3c
pense que votre article ferait,
en
@Reti
une.
ex-
'
cellente introduction
h
niqn livre auprès du public
i
talien
;
peiit-&tre
faudrait-il rgduirc
un
peu
ce
qui
est
dit
de Renan: c'est
h
vous d'apprd-
cier
cela en
Cprd
iiu
gofit
du
public.
-
Léon
m'a
envoyd
votre manuscrir
h
traduire; je regrette que vous ayex
ci13
résumer;
la
conférence
était
déjà
terriblemcnt concentrée; on
va
trouver votre esposé bien hég4lien; la
terminotogie
hégélienne
n'est
plus
du
tout faniilière
h
mes comparriotes.
CLVIII.
24
octobre
1908.
En
revoyant le
bel
article qiie vous avez consacré
à
mes
travaus
dans
la
Critica
du
20
juillet
1907,
j'ai
remarqué
que
peut-&re les lec-
teurs italiens attaccheront
à
une citatioli,
qui
se
trouve
!i
la psge
323
un
sens
qui
n'est
pas
tout
11
fiait
le
bon.
A
la
ligne
15
se trouve
le
mot
e'conomic
3
propos
du
dogrne trinitaire; il serait peut-&tre bon
de
mettre
une note porir indiquer
que
cctte
expression est
de
Tertullien: il entend
exprimer
que
la
inonarchie
divine
est orgnnisée. Voici ce
que
dit
l'abbé
Tixérant.,
professeui
h
1'1nstitut catliolique
de
Lyon:
rc
avant tout, re-
marque [Tertullien], il
fuuf
riffirmer
l'uniti
de
Dieu:
mais
cette unite
r~'excluc! pas
une
certaine Ccnnomie.
Le
mot
oixo+rol~E&
est
cher
à
Tertul-
lien;
il
iiidiquc,
seIon
lui,
rlu'il
y
a
en llieu
une
dispensation,
une
com-
munication
de
l'unite
qui
en
fait découicr une trinité:
unitalcm
in
tri-
nitaiern
disponib
».
Cette dispensation ne
divise
pas l'unite, elle
Ia
di-
stribue seulement: elle
ne
renversc
pas
la monarchie, elle l'organise
»
(TixCrnnt,
Hisioire
des
dopuies
:
Ln
the'otogie
nnldnicc'ennc,
p.
336).
Tisd-
rant cite
5
t7appui
de
son
dire: TertuIlien,
ndversus
Pra*renni,
2-3.
Je crois
quc
Ies
Pères de
~'l?~lise
ont trouvé cela plus simple
que
ne
nous paralt I'etre,
parce
qiiyils
avaient
soiis
les
yeux
le système des
magistratiires coll6giales romaines; chaque
consul
opérait
seul,
mais
Ctait
le
consiilat tout entier;
quand
il
y
a
eu un associ6
h
l'Empire,
il
a
de
mCme
dté
l'Empire.
Le
rnot
économie
»
n'a donc pas
ici
lo
sens qu70n lui donne
aujour-
cl'hui,
et
il
ne faudrait
pas
que
les lectetirs crusseot
quo
je
veuille
in-
troduire
du
rnat6rialìsme dconomique dans f'histoire
du
dogme trinitaire.
«La Critica. Rivista di Letteratura, Storia e Filosofia diretta da B. Croce», 26, 1928
© 2007 per l’edizione digitale: CSI Biblioteca di Filosofia. Università di Roma “La Sapienza” –
Fondazione “Biblioteca Benedetto Croce” – Tutti i diritti riservati
Je
suis
revenu dans l'article
sui-
ic
rnodernisme
sur
la
question rcla-
.tive
aiix
rapports
de
la
thdologie
et
de
Ia
science
(i),
TI
me
sernble de plus
:en
plus certain que l'historien fait
beaucoup
plus
acre
de
philosophe
.que
de
savant;
il
faut,
coinme
I'i~ldique
Bergson
h
propos
de
Ia biologie,
.que
le
philosoplie
se
mele
dc
discuter
Ics
faits
et
qu'
il
ne Ies
reqoivc
-pas
humblement
des
mnins
du
savant.
J'ai
eu
f'occasion
de
pnrler
de
cette extension de
sa
doctrine
à
l'histoire
avec
Bergson;
i1
la
trouve
très
satisfaisante,
et
je
ne
serais
pas
étonné
s'il
se
mettait
h
faire
quelque
.travail
dans cet esprit.
Si
la philosophie est
un
grand
Clérnent
des
recits
historiques,
il
ne
faut
donc
plus
donner
ce
rdcit
pour
de
la
science,
et
la
théologie peut,
sans
se
rnettre en
conflit
avec
la
science,
s'appuyer une
,phiIosophie
qui
a
conduit
h
un rdcit particuiier
aus
croyants. Quand
j'ai
kcrit
mon
livrc
sur
Rexiaii,
cette idee
était
loin
d'$tre aussi claire
pour
moi qu'elle
l'est
aujourd'hui
;
la
lecture
de
l'kvolufion
cr4atrice
rn'a
;beaucoup
Cclfiird
sur
ce
point.
Il
me
semble
qu'
il
est
très
irnportant,
dans
l7in1Cr6t
de
la science,
aussi
bicri
que
dans
celui
de
la philosophie,
de
ne
pas
confondre science et philosophie,
comme
on
l'a fait si long-
temps;
c'était l'erreur
fondamentale
du
rationafisine.
Bergson m'a
dit
hier
qu'il
11'avait
pas
été
à
Heidelberg,
parce
,qu7ayant
dtd
malade,
il
n'avait
pu
dcrire
sa
confdrence sur
le
devenir.
I1
ne sait
pas
quanti
il
pourra
l'kcrire.
J'ai
dit
à
l'dditeur
de
vous envoycr
le
Cournot
da
Mentre;
je
pense
qu'il
l'aura
fait; si
vous
tle
le
recevez
pas
d'ici
quelques jours, prévenez-
:mai
et
je
Iui
rappellerai
certe
affaire.
Dans
le
dernier
n.0
du
Mouve?ttertt
socinlisie
Arturo Labriola
dit
,qu'à
Milan
une partir!
de
la
haute
banque est
jlcii~e
eb
socialiste
(p.
3r9,
ligne
32).
Voilzli
donc
1'Italie
logke
8
la
mcme
enseigne que
la
France.
23
novembre
190s.
C
Vous
alIez
recevoir
un
volume
de
Daniel
I-lalkvy
su
Nietzsche
(2);
ce
'livre
ubtient
ici
un
sérieus
succhs, perce qu'il
est
fort
bien
écrit
et
que
i'auteur
a
peint
son
héros
avec
una
profonde syinpatliie;
il
a
pu
ainsi
.faire
comprcndre l'euvre
par
la
vie
de
l'homme,
sans
entrer dans
l'ana-
lyse
des
productions
de
Nietzsclie.
11,
IlaICvy serait
très
heureux
si
vous
.fassiez
tlous-meme
la
critiqire de
son
livre dans
la
CI-iiica:
je
crois que
.ce
Iivre merite,
en
effèt,
un
exameil
drieus;
il
iiie
semble
qu'il
aurait
.gagnC
ii
&tre ptus
nuuincé:
il
y
avait
dans
le
monde
qui entourait NietzscEie
(1)
A
proposito
della
critica
che
su
questo
punto
gli
avevo
mossa
nel
mio
-citato
articolo.
(2)
La
vie
de
Fréderic
Nief,-sclze
(Paris,
Calmun
IRvy,
1908).
«La Critica. Rivista di Letteratura, Storia e Filosofia diretta da B. Croce», 26, 1928
© 2007 per l’edizione digitale: CSI Biblioteca di Filosofia. Università di Roma “La Sapienza” –
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