153
Végétation vivace des rivages de galets
Extrait du Manuel d’interprétation
des habitats de l’Union européenne
Version EUR 15-1999
PAL. CLASS. : 17.3
Végétation vivace de la partie supérieure des plages avec
grands rivages de galets composée de Crambe maritima,
Honkenya peploides et d’espèces vivaces. À l’intérieur
de la zone supérieure des plages, les grandes structures
de galets peuvent être occupées par une végétation très
diversifiée. Dans les pelouses côtières sur galets stables et
plus anciens, des landes et des fourrés peuvent se dévelop-
per. Sur les galets plus anciens, on peut trouver des zones
avec une végétation inhabituelle dominée par lichens et
bryophytes.
Sous-types :
17.31 - Communautés à Chou marin baltique : Elymo-
Crambetum ;
17.32 - Communautés à Chou marin de la Manche :
Lathyro-Crambetum ;
17.33 - Communautés à Chou marin de l’Atlantique :
Crithmo-Crambetum.
Végétales :
Crambe maritima, Honkenya peploides, Elymus arenarius
(17.31), Lathyrus japonicus (17.31), Crithmum maritimum
(17.33).
Correspondances :
Classification nordique (17.31) : « 4112 Crambe mari-
tima-Elytrigia repens-typ », « 4113 Achillea millefolium-
Angelica archangelica-typ ».
Classification du Royaume-Uni (17.32) : « SD1 Rumex
crispus-Glaucium flavum shingle beach community ».
Caractères généraux
L’habitat générique regroupe l’ensemble des végétations péren-
nes de la partie sommitale des cordons et plages de galets, plus
ou moins enrichis en laisses de mer, sur substrat de galets parfois
mêlés de sables grossiers.
Ce type d’habitat est présent sur les côtes sédimentaires à grossier
du littoral du Nord-Pas-de-Calais et de Picardie, et sur les côtes
nord et ouest-armoricaines. Il est absent du littoral atlantique au
sud du Morbihan, ainsi que du littoral méditerranéen.
Pour ce type d’habitat, la gestion sera essentiellement la non-
intervention, en dehors de quelques cordons anciens en voie
d’embroussaillement où des pelouses pourraient être restaurées
ou replantées.
Pour les sites les plus sensibles ou dégradés, la mise en défens
ou la maîtrise de la fréquentation s’avèrent nécessaires. À une
large échelle, un suivi des aménagements ayant un impact sur la
dynamique sédimentaire littorale semble nécessaire.
Déclinaison en habitats élémentaires
En fonction de critères édaphiques et écologiques, l’habitat
générique est décliné en deux habitats élémentaires :
Végétation des hauts de cordons de galets
Végétation des revers internes des cordons de galets
Position des habitats élémentaires au sein
de la classification phytosociologique
française actuelle
³ Végétation vivace subnitrophile des dunes vives ou des bor-
dures maritimes sablo-graveleuses plus ou moins enrichies en
matière organique
Classe : Honckenyo peploidis-Elymetea arenarii
Communautés européennes, boréoatlantiques à atlantiques
Ordre : Honckenyo peploidis-Elymetalia arenarii
Communautés des levées de galets et hauts de plages
graveleux enrichis de laisses de mer ; de la Baltique au
golfe Cantabrique
Alliance : Honckenyo latifoliae-Crambion maritimae
Associations :
Honckenyetum peploidis
Lathyro japonici-Crambetum maritimae
Crithmo maritimi-Crambetum maritimae
Crithmo-maritimi-Sonchetum maritimi
Solano marini-Silenetum montanae
³ Végétations des prairies continentales
Classe : Arrhenetheretea elatioris
CODE CORINE 17.3
1220
Falaises maritimes et plages de galets
154
Falaises maritimes et plages de galets
Prairies mésophiles
Ordre : Arrhenatheretalia elatioris
Prairies subprimaires à Avoine élevée
Alliance : Arrhenatherion elatioris
Association :
Sileno maritimae-Arrhenatheretum elatioris
Bibliographie
BIORET F., 1989 - Contribution à l’étude de la flore et de la végétation
de quelques îles et archipels ouest et sud-armoricains. Thèse de
doctorat de l’université de Nantes, 1 vol., 480 p.
BIORET F., 1994 - Essai de synthèse de l’intérêt du patrimoine phy-
tocénotique des îles bretonnes. Colloques phytosociologiques,
XXII « La syntaxonomie et la systématique européennes, comme
base typologique des habitats », Bailleul 1993 : 125-144.
BIORET F. et MAGNANON S., 1994 - Inventaire phytocénotique du
littoral de Bretagne et évaluation de l’originalité et de l’intérêt
patrimonial des syntaxons d’importance communautaire. Colloques
phytosociologiques, XXII « La syntaxonomie et la synsystémati-
que européennes comme base typologique des habitats », Bailleul
1993 : 145-181.
BIORET, F., GODEAU, M. et YÉSOU, P., 1989 - Contribution à l’étude
de la flore, de la végétation et de l’avifaune marine de l’île de
Beniget (archipel de Molène, Finistère) : description préliminaire.
Bulletin de la Société botanique du Centre-Ouest, NS, 20 : 33-50.
BOUZILLÉ J.-B. et BIORET F., 1994 - La végétation de l’île Molène.
In Compte rendu de la 21e session extraordinaire de la Société bota-
nique du Centre-Ouest, juillet 1993, Finistère. Bulletin de la Société
botanique du Centre-Ouest, NS, 25 : 275-279.
DELVOSALLE L. et GÉHU J.-M., 1969 - Herborisation générale de
la Société royale de botanique de Belgique en 1967 dans le sud du
Massif armoricain. Mémoires de la Société royale de botanique de
Belgique, 4 : 15-44.
GÉHU J.-M., 1960 - La végétation des levées de galets du littoral fran-
çais de la Manche. Bulletin de la Société botanique du nord de la
France, 13(4) : 141-152.
GÉHU J.-M., 1960 - Un site célèbre de la côte nord-bretonne : Le Sillon
de Talbert (C.-d.-N.) ; observations phytosociologiques et écologi-
ques. Bulletin du laboratoire maritime de Dinard, 46 : 93-115.
GÉHU J.-M., 1963 - L’excursion dans le nord et l’ouest de la France de
la Société internationale de phytosociologie. Bulletin de la Société
botanique du nord de la France, 16(3) : 105-189.
GÉHU J.-M., 1964 - La végétation psammophile des îles de Houat et
Hoëdic. Bulletin de la Société botanique du nord de la France,
17(4) : 238-266.
GÉHU J.-M. et FRANCK J., 1982 - La végétation du littoral Nord-Pas-
de-Calais (Essai de synthèse). Région Nord-Pas-de-Calais/CREPIS,
1 vol., 361 p.
GÉHU J.-M. et GÉHU J., 1979 - Sur les végétations nord-atlantique et
baltique à Crambe maritima. Phytocoenologia, 6 : 269-299.
GÉHU J.-M. et GÉHU-FRANCK J., 1959 - Note phytoécologique
concernant la station de Cramba maritima de l’anse du Guesclin
(Ille-et-Vilaine). Bulletin du laboratoire maritime de Dinard,
45 : 56-62.
GODEAU M., BIORET F. et BOUZILLÉ J.-B. 1992 - Valeur systéma-
tique et phytosociologique de deux taxons du Massif armoricain :
Silene montana Arrondeau et Solanum marinum (Bab) Pojark.
Colloques phytosociologiques, XVIII « Phytosociologie littorale et
taxonomie » , Bailleul 1989 : 53-80.
155
Caractères diagnostiques de l’habitat
Caractéristiques stationnelles
De la limite des plus hautes mers au contact supérieur des laisses
de mer (0 m), pente faible à nulle.
Substrat de galets de granulométrie variable, parfois mélangés
à des sables grossiers, plus ou moins remanié au moment des
fortes marées.
Substrat occasionnellement baigné par les vagues au moment
des très grandes marées.
Apports réguliers de débris végétaux en décomposition (laisses
de mer) qui s’accumulent dans les interstices entre les éléments
grossiers.
Variabilité
Variabilité écologique :
- variabilité liée à la présence de sable mêlé aux galets et pré-
sentant un caractère plus pionnier : Pourpier de mer (Honckenya
peploides) ; association à Pourpier de mer (Honckenyetum
peploidis).
Variabilité géographique :
- du littoral des côtes de la Manche jusqu’au Finistère : Chou
maritime (Crambe maritima) seul, parfois accompagné par
l’Arroche de Babington (Atriplex glabriuscula) ; association
à Chou maritime et Criste marine (Crithmum maritimum)
(Crithmo maritimi-Crambetum maritimae), association à
Criste marine et Laiteron des champs (Sonchus arvensis)
(Crithmo-maritimi-Sonchetum maritimi) ;
- littoral de la mer du Nord : association à Chou maritime
et Gesse maritime (Lathyrus japonicus subsp. maritimus)
(Lathyro japonici-Crambetum maritimae), association extrême-
ment localisée et actuellement considérée comme éteinte.
Physionomie, structure
Végétation herbacée basse à moyenne, ouverte, dominée par les
espèces vivaces, présentant une seule strate, et dont le recouvrement
est le plus souvent faible.
Parmi les espèces dominantes, il faut citer un lot de vivaces :
Pourpier de mer (Honckenya peploides), Chou marin (Crambe
maritima), Criste marine (Crithmum maritimum), Oseille crépue
(Rumex crispus var. trigranulatus), accompagnées par quelques
annuelles ou bisannuelles : Bette maritime (Beta vulgaris subsp.
maritima), Pavot cornu (Glaucium flavum), Matricaire maritime
(Matricaria inodora subsp. maritima).
Cet habitat présente un développement linéaire ou en frange.
Espèces « indicatrices » du type d’habitat
Pourpier de mer
Chou marin
Criste marine
Bette maritime
Oseille crépue
Pavot cornu
Honckenya peploides
Crambe maritima
Crithmum maritimum
Beta vulgaris subsp. maritima
Rumex crispus var. trigranulatus
Glaucium flavum
Douce-amère
maritime
Silène montana
Gesse maritime (1)
Solanum marinum
Silene montana
Lathyrus japonicus subsp. maritimus
Confusions possibles avec d’autres habitats
Aucune confusion possible avec d’autres habitats.
Correspondances phytosociologiques
Alliance : Honckenyo latifoliae-Crambion maritimae
Associations :
Honckenyetum peploidis
Lathyro japonici-Crambetum maritimae*
Crithmo maritimi-Crambetum maritimae
Crithmo-maritimi-Sonchetum maritimi
* La Gesse maritime est disparue de sa seule station française
de Cayeux, mais l’association semble subsister de manière frag-
mentaire du fait de la « charnière » biogéographique constituée
par le site de Cayeux, où les deux associations Lathyro japonici-
Crambetum maritimae et Crithmo maritimi-Crambetum mariti-
mae seraient présentes.
Dynamique de la végétation
Spontanée
Habitat observable toute l’année, mais présentant son optimum
de la fin du printemps aux premières gelées automnales.
En raison du caractère assez instable du substrat, qui peut être
remanié au cours des tempêtes hivernales, cet habitat ne présente
pas de dynamique particulière mais une grande résilience.
Liée à la gestion
Les opérations de rechargement des plages peuvent entraîner des
perturbations, en rendant le substrat plus mobile.
Habitats associés ou en contact
Contacts inférieurs :
- végétation annuelle des laisses de mer (UE : 1210) sur cordons
de galets des côtes Manche-Atlantique et mer du Nord (contact
illustré, figure 4, page 72) ;
- végétations annuelles pionnières à Salicornia et autres des
zones boueuses et sableuses (UE : 1310).
Contacts supérieurs :
- végétation vivace des revers internes des cordons de galets
(fiche : 1220-2) ;
- pelouses subhalophiles du Saginion maritimae (UE : 1310
pro parte).
Végétation vivace des rivages de galets
Végétation des hauts de cordons de galets
CODE CORINE 17.3
1220
(1) Espèce considérée comme éteinte du nord de la France, et d’apparition ponctuelle récente
en Bretagne.
156
Végétation vivace des rivages de galets
Répartition géographique
Cet habitat est présent sur les cordons de galets des côtes du nord
de la France et du littoral armoricain, jusqu’au Morbihan qu’il
ne dépasse pas vers le sud.
Valeur écologique et biologique
Espèces végétales protégées au niveau national, Livre rouge
de la flore de France : Chou marin (Crambe maritima), Gesse
maritime (Lathyrus japonicus subsp. maritimus), Renouée de
Ray (Polygonum raii).
Autres espèces à valeur patrimoniale : Linaire des sables
(Linaria arenaria), Polycarpon tétraphylle (Polycarpon tetra-
phyllum) dans le nord du Cotentin.
Espèces de l’annexe I de la directive « Oiseaux »
Espèces nicheuses : Sterne naine (Sterna albifrons), Sterne cau-
gek (Sterna sandvicensis), Sterne pierregarin (Sterna hirundo),
Petit gravelot (Charadrius dubius), Gravelot à collier interrompu
(Charadrius alexandrinus), Grand gravelot (Charadrius hiaticula),
Goéland argenté (Larus argentatus), Pipit maritime (Anthus spi-
noletta), Huîtrier-pie (Heamatopus ostralegus).
Divers états de l’habitat ;
états de conservation à privilégier
États à privilégier
Maintien en l’état des végétations des cordons de galets.
Autres états observables
Dans les zones fréquentées, présence de formes floristiquement
appauvries et à faible recouvrement.
Tendances évolutives
et menaces potentielles
Régression de ce type d’habitat dans la partie méridionale de
son aire.
Fréquentation générant un piétinement ou une circulation des
véhicules défavorables au maintien de cet habitat.
Vulnérabilité vis-à-vis de l’artificialisation et de la modification
de la dynamique sédimentaire des littoraux par constructions
d’enrochements ou d’épis.
Exploitation artisanale locale ou industrielle de galets.
Cueillette du Chou marin à des fins alimentaires.
Artificialisation des cordons de galets par renforcement avec des
matériaux exogènes d’origine « continentale » (galets marins fos-
siles extraits de gravières littorales [anciens pouliers]).
Anciens dépôts d’ordures ayant généré le développement
de rudérales et de nitrophiles.
Cadre de gestion
États de l’habitat à privilégier
Maintien ou restauration d’un habitat pionnier linéaire ou dis-
continu, au contact supérieur des végétations des laisses de mer.
Rappel de quelques caractères sensibles de l’habitat
Sensibilité au piétinement.
Modes de gestion recommandés
Recommandations générales
D’une manière générale, la non-intervention est souhaitable
pour ce type d’habitat.
Opérations de gestion courante contribuant
au maintien des états à privilégier
Non-intervention. Sur les sites les plus fréquentés, la maîtrise de
la fréquentation peut être organisée (mise en défens de certaines
zones sensibles).
Autres éléments susceptibles d’influer sur les modes de
gestion de l’habitat
Dans le cas de la présence d’espèces de la directive « Oiseaux »,
notamment d’oiseaux nicheurs, la non-intervention doit être
accompagnée d’un suivi des populations.
Inventaires, expérimentations,
axes de recherche à développer
Compléments d’inventaires afin de préciser la synchorologie de
l’habitat.
Réalisation d’un bilan précis de l’état des habitats au regard de
l’érosion du trait de côte (diversité floristique, extension spa-
tiale…), organisé par région côtière.
Bibliographie
BIORET F., 1989, 1994.
BIORET F. et MAGNANON S., 1994.
BIORET F., GODEAU et M., YÉSOU P., 1989.
BOUZILLÉ J.-B. et BIORET F., 1994.
DELVOSALLE L. et GÉHU J.-M., 1969.
GÉHU J.-M., 1960, 1963 et 1964.
GÉHU J.-M. et FRANCK J., 1982.
GÉHU J.-M. et GÉHU J., 1979.
GÉHU J.-M. et GÉHU-FRANCK J., 1959.
GODEAU M. et BIORET F., BOUZILLÉ J.-B., 1992.
157
Végétation des revers internes
des cordons de galets
Caractères diagnostiques de l’habitat
Caractéristiques stationnelles
Altitude très faible : de la limite des plus hautes mers à 1 m,
pente faible à nulle.
Substrat de galets plus ou moins grossiers, plus ou moins stabi-
lisés, recouverts d’une pellicule sablo-organique.
Substrat exceptionnellement baigné par les vagues au moment
des très fortes marées hautes, mais encore fortement soumis à
l’influence marine.
Variabilité
Variabilité écologique :
- variabilité liée à un substrat plus ou moins enrichi en matière
organique provenant des laisses de mer : Douce-amère maritime
(Solanum marinum), Silène montana (Silene montana) ; asso-
ciation à Douce amère maritime et Silène montana (Solano
marini-Silenetum montanae) ;
- variabilité liée à la présence d’une pellicule sablo-organique
superposée aux galets : Avoine élevée (Arrhenatherum elatius),
Silène montana ; association à Avoine élevée et Silène mon-
tana (Sileno maritimae-Arrhenatheretum elatioris).
Physionomie, structure
Végétation herbacée basse à moyenne, ouverte, dominée par les
espèces vivaces, dont le recouvrement est parfois important.
Cet habitat présente un développement en ceintures parallèles à
la partie sommitale du cordon de galets.
Espèces « indicatrices » du type d’habitat
Douce-amère maritime
Silène montana
Avoine élevée
Oseille crépue
Pavot cornu
Silène maritime
Solanum marinum
Silene montana
Arrhenatherum elatius
Rumex crispus var.
trigranulatus
Glaucium flavum
Silene maritima
Confusions possibles avec d’autres habitats
Aucune.
Correspondances phytosociologiques
Alliance : Honckenyo latifoliae-Crambion maritimae
Association :
Solano marini-Silenetum montanae
Alliance : Arrhenatherion elatioris
Association :
Sileno maritimae-Arrhenatheretum elatioris
Dynamique de la végétation
Spontanée
Il s’agit d’un habitat observable toute l’année, mais présentant
son optimum de la fin du printemps à l’automne.
Au cours des tempêtes hivernales, les vagues peuvent franchir la
crête des cordons de galets en contribuant à un rajeunissement
régulier du substrat.
Cet habitat peut toutefois présenter une dynamique vers les four-
s arrière-littoraux à Argousier (Hippophaë rhamnoides) ou
à Ajonc d’Europe (Ulex europaeus), dans les parties les plus
internes et abritées.
Habitats associés ou en contact
Contacts inférieurs :
- végétation des hauts de cordons de galets (fiche : 1220-1) ;
- dépressions saumâtres inondables entre les cordons de galets ;
- végétations annuelles pionnières à Salicornes (UE : 1310) ;
- prés salés atlantiques (UE : 1330).
Contacts supérieurs :
- dunes à Hippophaë rhamnoides (UE : 2160) ;
- mosaïques avec les végétations des Saginetea maritimae
(UE : 1310 pro parte) et présence de fragments de Koelerion
albescentis ou des Helianthemetea (UE : 2130) ;
- existence de faciès à lichens et Thyms (Thymus spp.).
Répartition géographique
Cet habitat est présent sur les grèves de galets des côtes du nord
de la France au Finistère.
CODE CORINE 17.3
1220
Végétation vivace des rivages de galets
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