Sous le patronage de
Son Altesse le cheikh Mohammed Bin Rashid al-Maktoum
Vice-Président des Émirats arabes unis, Premier Ministre et Souverain de Dubaï
www.aimcongress.com
Centre international de conventions et d’expositions de Dubaï
Émirats arabes unis
Du 8 au 10 avril 2014
ﻥﻣ ﺔﻣﻳﺭﻛ ﺔﻳﺎﻋﺭ ﺕﺣﺗ
ﻡﻭﺗﻛﻣ ﻝﺁ ﺩﺷﺍﺭ ﻥﺑ ﺩﻣﺣﻣ ﺦﻳﺷﻟﺍ ﻭﻣﺳﻟﺍ ﺏﺣﺎﺻ
ﷲ ﻩﺎﻋﺭ ،ﻲﺑﺩ ﻡﻛﺎﺣ ءﺍﺭﺯﻭﻟﺍ ﺱﻠﺟﻣ ﺱﻳﺋﺭ ﺔﻟﻭﺩﻟﺍ ﺱﻳﺋﺭ ﺏﺋﺎﻧ
Réunion annuelle de l’investissement
Partenariats en matière d’investissement pour une croissance durable et inclusive
dans les marchés pionniers ou émergents
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Réalisations
AIM 2013 : de nouveaux records atteints
AIM 2013 a donné aux participants de nombreuses occasions de créer des réseaux stratégiques tout en apprenant et en
s’enrichissant au contact des autres.
Des transactions se chirant en millions de dollars des États-Unis
La participation d’un chef d’État et de 45 ministres / vice-ministres
Un espace d’interaction de 8000 mètres carrés
6070 visiteurs
291 exposants
84 pays
26 entreprises partenaires
111 médias partenaires
40 agences de promotion de l’investissement
12 sessions thématiques
26 exposés de pays
273 rencontres public - privé (G2B)
394 rencontres entre entreprises (B2B)
Un atelier orant une formation de qualité
Une visite de centres d’excellence
AIM 2013 a été le théâtre d’activités aussi diverses quenrichissantes, qui visaient principalement à encourager
l’interaction et léchange de connaissances et de bonnes pratiques ainsi quà stimuler les entreprises et l’investissement.
3
La cérémonie d’ouverture d’AIM 2013
Karl P. Sauvant
Resident Senior Fellow
Vale Columbia Center on Sustainable International
Investment (VCC)
États-Unis
Ibrahim M. Turhan
Président et directeur général
de Borsa Istanbul (BIST)
Turquie
Carlos Lopes
Secrétaire exécutif
de la Commission économique pour l’Afrique
Éthiopie
Taleb Rifai
Secrétaire général
de l’Organisation mondiale du tourisme
Espagne
Parag Khanna
Director
de Hybrid Reality Institute
États-Unis
«Il faut mener des actions stratégiques, c’est-à-dire créer une zone de commerce intra-africain. C’est là
que réside le potentiel de l’Afrique. Les Africains sont de plus en plus conscients qu’il s’agit d’une étape
indispensable. Lorsque les pays évolueront sur le plan politique, et ce n’est que le début en ce qui concerne
la mise en place de zones de libre-échange intégrées et novatrices, les relations commerciales avec des
partenaires comme la Chine et d’autres s’en trouveront complètement changées. »
«En ce qui concerne l’IED, les pays ne recherchent plus uniquement la quantité mais la qualité. Le souci
de qualité va croissant et je pense que les dirigeants de multinationales doivent de plus en plus en tenir
compte. Il ne s’agit pas seulement de savoir comment tirer un maximum de profit de tel ou tel pays mais
plutôt de faire en sorte que la situation soit à l’avantage de tous, que le pays d’accueil y trouve son compte en
termes économiques, sociaux et environnementaux, notamment si l’investissement porte sur des ressources
naturelles et que ses avantages économiques se traduisent par l’amélioration de la chaîne de valeur. »
«La troisième Réunion annuelle de l’investissement (AIM), qui s’est tenue à Dubaï sous le patronage du
gouvernement, a réuni des hommes d’affaires et des représentants venus de 114 marchés émergents,
apportant ainsi la preuve que c’est l’endroit idéal pour le réseautage commercial entre l’Amérique latine,
l’Afrique et l’Asie. À la croisée de trois continents, Dubaï est bien placé pour assister non seulement au
déplacement du pouvoir économique d’Ouest en Est, mais aussi à la montée en puissance du Sud. Quarante
pour cent des habitants de la planète vivent en bordure de l’océan Indien : Dubaï est au cœur de la croissance
des relations commerciales et financières. »
«L’année dernière, la Chine a envoyé de par le monde 82 millions de touristes, qui ont dépensé 105 milliards
de dollars des États-Unis; pour la première fois dans l’histoire, le nombre des touristes chinois a dépassé
celui des touristes allemands et américains. Je dis donc qu’il ne faut pas seulement s’intéresser aux flux
touristiques mais aussi observer les changements et les secteurs dans lesquels il faudrait investir. »
«L’activité économique entre les marchés émergents sera la clé d’une croissance forte, durable et équilibrée.
On constate une augmentation de l’investissement transfrontalier au sein des marchés émergents... et en
Turquie, c’est aussi ce que nous constatons. »
Son Altesse le cheikh Mohammed bin Rashid al-Maktoum lors de la cérémonie d’ouverture
de la troisième Réunion annuelle de l’investissement (AIM 2013)
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J’ai beaucoup apprécié qu’autant de représentants de pays du monde entier
se soient retrouvés à Dubaï à l’occasion de la troisième Réunion annuelle de
l’investissement (AIM 2013), qui s’est tenue du 30 avril au 2 mai 2013 sous
le patronage de Son Altesse le cheikh Mohammed bin Rashid al-Maktoum,
Vice-Président des E.A.U., Premier Ministre et Souverain de Dubaï. Quelque
38 ministres ont honoré la Réunion de leur présence, souvent venus à la tête
d’importantes délégations de hauts fonctionnaires et d’hommes et de femmes
d’affaires. Pas moins de 84 pays de divers continents ont pris part aux travaux
enrichissants et variés d’AIM 2013, auxquels ont également participé quelque
5 000 représentants du secteur privé, dont des directeurs généraux et des
présidents de conseil d’administration de bon nombre de grandes entreprises
et d’administrateurs de grandes fortunes. En outre, un certain nombre de chefs
d’organisations internationales et de hauts fonctionnaires ont pris part aux
délibérations de la conférence dans le cadre des activités spéciales tenues par
le Centre du commerce international (CCI), le UNEP-FI, l’OMT, la CNUCED ou
la CENUA ainsi que par des experts de l’IED de renommée internationale. Ce fut
un événement remarquable et des plus productifs qui a permis aux participants
de se rencontrer, d’apprendre au contact l’un de l’autre, d’échanger des idées,
d’explorer de nouvelles pistes, de conclure des accords de coopération et des
accords commerciaux et de se lancer dans de nouvelles entreprises.
Je saisis aussi cette occasion pour féliciter les agences de promotion de
l’investissement qui ont reçu les Prix AIM de l’investissement. Ces prix, qui ont
été décernés pour la première fois en 2013, récompensent les meilleurs projets
d’IED dans chaque région du monde, saluant la capacité du pays d’attirer
les projets et celle de la société étrangère de contribuer au développement
économique des marchés à forte croissance. Parmi les heureux lauréats, il y a
Message du Sultan al-Mansouri
Ministre de l’économie des Émirats arabes unis
eu le Kenya et l’Afrique du Sud pour l’Afrique, la Chine et l’Indonésie pour l’Asie-
Pacifique, la Turquie et l’Ukraine pour l’Europe orientale, l’Arabie saoudite et le
Yémen pour l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient, et le Brésil et le Mexique pour
l’Amérique latine.
Alors que le monde est toujours aux prises avec l’une des crises économiques
les plus graves et les plus longues de l’histoire, les marchés à forte croissance
font preuve de beaucoup de dynamisme et de résilience; il s’agit de tirer parti
de tous les moyens qui s’offrent pour se rencontrer, se consulter, discuter et
explorer de nouvelles pistes de coopération qui aideraient ces marchés à
relever les défis actuels et à jouer un rôle plus actif pour sortir le monde de
la récession en donnant une stabilité accrue à l’économie internationale. La
Réunion annuelle de l’investissement a montré une fois de plus qu’elle est le
forum le plus indiqué pour discuter de ces questions importantes, mutualiser
les données d’expérience et faire progresser l’agenda du développement. Le
thème d’AIM 2013 était « Vers un nouveau paysage économique international
- Conséquences sur l’investissement étranger direct et sur les perspectives de
croissance des économies émergentes et des marchés frontières. »
Comme je l’ai dit dans mon allocution d’ouverture d’AIM 2013, l’IED demeure
un moteur de première importance du processus de mondialisation. Il joue
un rôle indispensable de promotion du développement en contribuant à la
création d’emplois, en favorisant le transfert de technologies ou en améliorant
la productivité. Toutefois, les avantages escomptés de l’IED ne sont pas
automatiques; il faut des efforts soutenus à tous les niveaux pour réussir et
créer une relation positive entre l’investissement et la réalité socio-économique
dans la communauté qui en bénéficie. Un nouveau système international
d’investissement qui soutienne efficacement le développement durable pour
tous est nécessaire. C’est précisément pour cette raison que l’initiative AIM a
été lancée il y a trois ans : pour discuter de tout ce qui a trait à l’IED et à son rôle
dans le développement, en mettant l’accent sur les marchés à forte croissance.
AIM 2013 a été pour tous les participants une tribune leur permettant d’explorer,
de discuter de nouveaux partenariats et d’y participer concrètement, de lancer
de nouveaux projets d’investissement, de conclure de nouvelles transactions
et de mettre en place des accords de coopération bilatéraux et multilatéraux
tout en renforçant les relations existantes. Or, si les services fournis par AIM
pendant trois jours pouvaient l’être sur une base régulière, tout au long de
l’année, les bénéfices qu’en retirerait un grand nombre de parties prenantes,
en particulier dans les marchés pionniers et émergents, seraient énormes. Un
tel réseau pourrait être le prélude d’une plate-forme permanente qui réunirait
les principaux intervenants du domaine de l’investissement : les pays et
territoires qui cherchent des financements, les investisseurs intéressés par des
perspectives d’affaires viables et les conseillers en placement ayant une grande
expérience et une connaissance pointue de l’investissement étranger direct
et des questions connexes. Telle est la logique qui sous-tend le lancement du
Réseau d’investissement à la réunion tripartite de haut niveau et au conseil
consultatif de d’AIM. J’aimerais inviter la communauté financière internationale à
se joindre à cet important réseau, je m’adresse en particulier aux intermédiaires
des agences de promotion de l’investissement, aux experts de l’IED ainsi
qu’aux représentants du secteur privé.
Notre stratégie, aux Émirats arabes unis, s’inspire de Vision 2021. Il s’agit d’une
vision de l’avenir reposant sur une sécurité renforcée, une meilleure intégration,
une croissance équilibrée dans la région des E.A.U. et une économie diversifiée
qui s’appuiera sur les plus grands talents et la meilleure expertise pour assurer la
prospérité. Les objectifs de cette stratégie concernent l’amélioration qualitative
des systèmes de santé et d’éducation à travers le pays afin d’atteindre le plus
haut niveau possible tout en maintenant un environnement durable propre à
assurer le bien-être des générations futures. Afin de soutenir cette stratégie,
les E.A.U. se concentrent sur les investissements qui permettent d’atténuer
les effets des changements climatiques, par exemple l’énergie renouvelable,
la production haut de gamme et fondée sur le savoir, les services de qualité
ainsi que le tourisme et l’enseignement durables. De plus, conscient qu’il
importe que les entreprises locales puissent internationaliser leurs activités
et investir à l’étranger, le Gouvernement des E.A.U. encourage son secteur
privé à investir dans l’économie mondiale et c’est ce qu’il fait dans nombre de
pays, notamment dans les marchés pionniers et émergents ainsi que dans
les secteurs économiques les plus divers. Comme nous l’avons souligné au
cours de la conférence, les Highflyers des Émirats arabes unis, fleurons d’un
secteur privé dynamique et prospère, investissent avec succès à la fois à
l’échelon régional et au niveau mondial et sont continuellement à la recherche
de nouvelles affaires et entreprises rentables. Je vous invite donc, vous, les
pays du monde et les sociétés internationales, à tirer parti des stratégies
économiques uniques des E.A.U. et à contribuer à la mise en œuvre de ses
plans d’investissement et de développement en vue d’atteindre des objectifs
communs et de contribuer à rétablir la confiance dans l’économie mondiale. Je
vous invite aussi à profiter des occasions d’investissement qui s’ouvrent à vous
et à les explorer en coopération avec les Highflyers des Émirats arabes unis
pour instaurer des relations productives mutuellement bénéfiques.
Je tiens à remercier le Président, les Ministres, les Ambassadeurs et les
dignitaires étrangers ainsi que les éminents représentants du secteur privé,
les experts mondiaux et les milliers de personnes qui, par leur présence à
AIM 2013, ont enrichi nos débats et nos échanges.
5
AIM est un forum unique orant
une expérience et une exposition
multidimensionnelles aux
savoirs de pointe à une grande
variété d’entreprises, ainsi que
de nombreuses possibilités de
réseautage :
• uncontenuintellectueldequalité
(conférence,exposésdepays,
ateliers)
• unefoiredel’investissementet
ducommerce(exposition)
• desrencontresd’affaires
(rencontresB2B)
• deséchangesgouvernementauxà
hautniveau(tableronde
ministérielle,rencontresG2B)
• desévénementsetdesoccasions
deconstituerdesréseaux(dîner
degala,réceptionsnationales,
déjeunersetpausescafé)
AIM 2014 ore une
tribune d’importance
stratégique pour
le développement
des aaires.
Limpressionnante
couverture médiatique
accordée à l’événement
rehausse encore son prestige.
Quatrième Réunion annuelle de l’investissement
La quatrième Réunion de l’investissement sera une excellente occasion d’évaluer quelques-unes des possibilités d’investissement dans les marchés émergents et pionniers, qui orent des taux de
rendement potentiellement élevés dans un environnement de plus en plus sûr et stable. En 2014, les participants pourront se réunir dans une atmosphère propice et très dynamique, facilitant ainsi
l’apprentissage, la création de réseaux et l’instauration de nouvelles relations d’aaires et professionnelles prometteuses.
Réunion annuelle de l’investissement 2014
La troisième Réunion annuelle de l’investissement aura été le théâtre de nouveaux records puisque la
participation globale a triplé par rapport à l’année précédente, s’établissant à plus de six mille participants
venus de quatre-vingt-quatre pays. Le nombre de ministres présents a également fait un bond de près de
quarante pour cent, témoignant de l’importance grandissante qu’accordent les pays à la Réunion annuelle
de l’investissement en tant que rassemblement stratégique et forum d’aaires prestigieux. Un président
et quarante-cinq ministres ont participé à un programme d’activité riche et diversié. Plus d’une centaine
d’experts et de conférenciers de renom issus des communautés mondiales de l’investissement et du
commerce ont pris part aux diérentes sessions de cette conférence de haut calibre.
AIM 2013 a fourni un cadre propice, sécurisé et condentiel pour la conclusion d’accords de coopération,
de protocoles d’entente ainsi que pour la réalisation de transactions commerciales et de nouveaux projets
d’envergure. En l’espace de deux jours et demi, quelques deux cent soixante-treize rencontres public-privé
(G2B) et près de quatre cent rencontres entre entreprises (B2B) ont donné lieu à nombre de transactions
d’une valeur de plusieurs milliards de dollars portant sur de nouveaux projets de développement. Plus que
jamais, la Réunion annuelle de l’investissement est le forum idéal pour se rencontrer, discuter, apprendre et
conclure des aaires. Il n’aura fallu que trois ans pour quAIM devienne un rassemblement international bien
rodé et bien équipé répondant aux besoins des marchés en expansion, qu’il s’agisse des marchés pionniers
ou émergents. En 2013, les perspectives de l’économie mondiale demeurent très incertaines et la croissance
se poursuit à un rythme lent. Si la plupart des régions ont vu leur économie se redresser un tant soit peu, la
croissance demeure en dessous du potentiel, et les prévisions ont été revues légèrement à la baisse selon
les dernières statistiques du FMI. La récession qui se prolonge en Europe, la reprise timide aux États-Unis et
l’essouement de la demande mondiale, sous l’eet d’un ralentissement de la croissance dans plusieurs
marchés émergents clés, sont autant de causes expliquant la morosité du climat économique. Par contraste,
les économies émergentes et leurs taux de croissance achent une santé orissante.
Les pays en développement et en transition continuent denregistrer une croissance beaucoup plus
forte que celle des pays développés. D’après le Rapport sur l’investissement dans le monde 2013 publié
récemment par la CNUCED, les ux mondiaux d’IED ont diminué de 18 pour cent en 2012 et la reprise
prendra plus de temps quescompté. Là encore, la fragilité de l’économie mondiale et le climat dincertitude
général semblent en être les principales causes. Toutefois, les pays en développement prennent le devant.
En 2012 - pour la toute première fois - les économies en développement ont reçu plus d’IED que les marchés
matures, absorbant 52 pour cent des ux mondiaux d’IED. Compte tenu de ce qui précède, la quatrième
Réunion annuelle de l’investissement portera principalement sur le thème suivant : « Partenariats en matière
d’investissement pour une croissance durable et inclusive dans les marchés pionniers ou émergents ». Les
entreprises mondiales, et les investisseurs en général, ciblent les occasions d’aaires lucratives dans les
marchés pionniers et émergents et leurs marchés intérieurs en expansion qui connaissent une croissance
démographique et une augmentation de la demande et de la consommation et instaurent de nouveaux
partenariats d’investissement. AIM 2014 sera l’occasion d’examiner quelques-unes de ces possibilités
et de mettre en évidence les nouvelles formes d’IED à l’appui des secteurs créateurs d’emplois et des
exportations dans les régions du monde en développement. Nous étudierons également de nouvelles
stratégies d’implantation des sociétés, notamment celles des marchés à forte croissance. Cependant,
malgré l’amélioration des conditions nancières mondiales et la réduction des risques à court-
terme, le rythme de la croissance mondiale reste lent et les grands analystes se montrent prudents
lorsqu’ils étudient les perspectives pour la n de 2013 et 2014. En réponse à l’aaiblissement de leur
économie, de nombreux pays en développement, y compris certains grands marchés émergents tels
que la Chine, l’Inde ou le Brésil, ont adopté des politiques monétaires et scales plus expansionnistes
an de renforcer la demande intérieure, mais d’importants dés demeurent sur le plan structurel. Au
nombre des questions qui seront soulevées lors de la quatrième Réunion annuelle de l’investissement,
il y aura notamment les politiques et les stratégies que les gouvernements élaborent pour faire face
à la morosité du climat économique mondial, à la faiblesse de la demande et à la concurrence féroce
des autres marchés. Les participants pourront bénécier des connaissances d’experts sur les dernières
tendances en matière d’investissement et de commerce ainsi que sur les politiques et les stratégies
ecaces qui permettent aux gouvernements de réagir face à la conjoncture économique actuelle et au
tassement de la demande mondiale.
De plus, comme les marchés émergents sont devenus d’importants investisseurs au niveau mondial,
il sera opportun détudier l’ampleur des investissements Sud-Sud, les types et les modes d’accès aux
marchés de l’IED tels que les co-entreprises, les alliances et les partenariats. L’IED dans des secteurs
encore non explorés n’est qu’une partie du tableau de l’investissement international. Beaucoup
d’entreprises préfèrent passer par d’autres modes d’accès et, de plus en plus, des gouvernements
comme celui des E.A.U., par exemple, sont les acteurs de l’investissement dans ces marchés. Le fait que
le niveau général d’IED a baissé ne veut pas nécessairement dire que linvestissement international a
baissé. Les entreprises peuvent choisir d’autres stratégies de pénétration. Il est possible que l’IED ne
reprendra de l’importance que progressivement, sans pour autant redécoller, à moins qu’une nouvelle
vague de fusions et acquisitions ne permette de retrouver les taux de croissance antérieurs. Bien
entendu, cette situation a des conséquences sur toutes les parties intéressées, sur la transparence
des politiques d’investissement et sur les moteurs et les motivations des entreprises internationales.
Les politiques gouvernementales deviendront de plus en plus importantes. C’est pourquoi une des
questions clés à soulever lors de la prochaine AIM concernera le partenariat dans linvestissement
international.
Compte tenu de l’évolution générale de l’environnement de l’investissement, les pays élaborent de
nouvelles stratégies qui visent la promotion et l’établissement d’objectifs. Lors de la prochaine AIM, l’une
des questions clé que nous poserons sera d’identier ces nouvelles stratégies, en déterminant celles
qui marchent et celles qui ne marchent pas. Des exemples concrets d’études de cas sur l’application
des bonnes pratiques dans divers pays du monde seront examinés.La quatrième Réunion de
l’investissement sera une excellente occasion d’évaluer quelques-unes des possibilités d’investissement
dans les marchés émergents et pionniers, qui orent des taux de rendement potentiellement élevés
dans un environnement de plus en plus sûr et stable. En 2014, les participants pourront se réunir dans
une atmosphère propice et très dynamique, facilitant ainsi l’apprentissage, la création de réseaux et
l’instauration de nouvelles relations d’aaires et professionnelles prometteuses.
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